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[RP] Mariage de Sofie de Valmonte et Merlin de Montbazillac

Tuatha
Chose promise , chose due .


Elle avait reçu l'invitation il y a quelques temps maintenant , elle avait donc prévu de se rendre à la cérémonie de mariage de Merlin et Sofie .
La seule chose qu'elle n'avait pas prévu en fait , c'était la guerre .
Une chose à ne jamais faire , se marier pendant une guerre, mais bon l'amour aboli tous les obstacles c'est bien connu .

C'est donc en déjouant les armées ennemies qu'elle avait réussit un coup de maître , arriver entière au mariage !
Et pas trop en retard en plus !
Si c'est pas la classe çà ?

Bref après un petit bivouac en pleine nature , discrètement bien sur , elle s'était apprêtée , changeant sa tenue de militaire , pour une tenue un peu plus féminine , mais avec un arsenal sous les jupons , on ne sait jamais .

Une entrée dans l'édifice religieux , aussi discrète que son bivouac et la voilà installée à quelques rangées du fond , non loin de la sortie .
Un regard dans les travées pour apercevoir Leo et Zhora qui sont au premier rang en compagnie du futur marié , un sourire leur fut adressé , avant de saluer d'un signe de tête les autres personnes présentes .

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Princesselaure
{Une parenthèse dés-enchantée...}


Et de lancer le trousseau de clefs dans la coupelle de métal qui finit sa course sur le sol de la piaule... Oups !

Tu ne me croiras jamais ! J'ai eu un accident de la route ! Un chat a traversé devant mon coche et BIM BAM BOUM ! Tout foutu le minou... Du sang partout... Des boyaux plein les roues... Même une dent plantée dans le sabot du baudet ! Bref ! J'étais avec ma secrétaire oui !

Terminant sa pâle imitation de l'Homme dans son état de splendeur, elle termina son cirque dans les bras de sa meilleure amie. Partageant le rire et l'étreinte dans une folle farandole.

Qu'il est bon de te revoir ma Coquillette ! Oui oui écoutes j'avais un plan du tonnerre ! Voyage au centre de L'or ! Mais je sais pas un contretemps sans doute, j'ai dû trouver un coche et son sbire, un cheval et passer incognito en Bretagne... Chaud quand tu es Laure d'Orsenac... Du coup j'ai utilisé un vieux bouquin de tante Adel avec des mots bretons, des phrases... Bref pas sure du sens mais en tout cas suis en vie sous les traits de Laure de Montfort-Lotrec ! Franchement c'est passé crème ! Ah ben pas mal ton coup de la crémière... Mais tu aurais pas pu faire vendeuse de gaufres ou de crêpes plutôt ?! Ca t'aurais éviter les sabots... Ben je sais pas il parait hein qu'elles ont de la corne qui pousse et qui protège le pied... Comme ça ni cloque ni boursouflure! Fin c'est ptet une légende on vérifiera !

Un dernier sourire alors qu'elle parcourent l'auberge à la recherche de la rousse du jour.

C'est N....

Ne quittant des yeux la chevelure de la rousse, avec la brosse prise au piège des tentacules... Oui de ses belle boucles rousses c'est ce que je viens de penser non ?! Même quand elle est dans ses bras elle n'arrive pas à chasser cette vision d'horreur.

Oui ... Euh oui ! Heureuse aussi oé... D'accord donc heureuse comme à chaque fois vu que tu as bien souvent besoin de... Hein ?! Non rien !Une dévouée oui ou une courageuse hein... Non non ! Rien! Voilà une bonniche ! Il te faut une bonniche ! T'as pas encore trouvé Bécassine traîner dans le coin ? Mais si ! Ma Cousine ! Celle qui traîne avec Marie la Loucheuse ! Mouais... Normale... Dommage qu'on ne puisse pas en dire autant de .... ça !

Cherchant du regard ses affaires, le sac qu'elle lui avait fait préparé avec le baume de soin gras pour faire façon de sa tignasse avant son départ en ... villégiature...

Oui enfin les trois années c'est nous qui les supportions hein ! Rendons à César ce qui doit l'être ! Crevarde ! Gné ? Je t'ai couché à plein d'endroit ma Valmonte... Dans des lits aux draps de soie, dans la paille, dans la boue et le sable, l'herbe et la merdasse ! Mais euh... Mon nez rit Taj ?!

Peur de nous croiser... Hum... Bien sur... En espérant qu'il se soit simplement pas volatilisé par l'océan ! Non ! L'angoisse... Secouer la caboche en tirant sur la brosse pour la délivrer... Sortir une plume d'édredon... Sentant un truc dur et piquant sous son index...

AIIIIEEE ! Put'rain ! Tu m'expliques ce que fout ton cure-dent en os humain dans ta perruque ! Je vous jure... On fera pas des miracles hein bien longtemps que j'ai rendu mes pouvoirs et sortilèges féeriques !

Tirant dessus comme on file la laine de mouton... Pour peu une fois lisses, les cheveux traînent sur le pavé... Bon d'accord j'abuse mais n’empêche ça vous change la donzelle ! Tournant son poignet alors qu'elle commence à choper une crampe... Regard vers Elie qui s'occupe du visage de la bête du Gévaudan... Enfin la Belle du Jour !! Profitant de tirer des mèches de temps en temps... Quoi j’extériorise ma colère !

N’empêches moi au moins j'ai eu un enterrement de vie de vieille noble la veille du tierce mariage... T'as fait quoi toi ? Une belote ou une carmagnole ?
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Aloara
[L'absence donne tout son sens et son intensité à la présence.
Elle est son espace de liberté pour rendre les retrouvailles encore plus belles...*]


Il est des choses que nous ne pouvons pas rattraper et le temps en fait parti... Plus de deux années d'absence, loin de ses proches, de ses amis, des gens qu'elle aimait... C'est qu'en y repensant aujourd'hui, elle regretterait presque et cela pour plusieurs raisons qu'elle taira... Mais bon... On ne change pas le passé, on vit avec... Et pour sûre qu'elle vivra avec une certaine blessure sur le coeur...

Bref, elle était de retour et c'était cela le plus important... D'ailleurs, à peine eut-elle rejoint les Terres de Montcuq et plus particulièrement sa chambre, qu'elle écrivit à son Vassal pour l'en informer... Quel échange ! Quelles nouvelles contées ! Elle était tout simplement heureuse de retrouver épistolairement Condé, son Enchanteur, le Bienfaiteur de Monbazillac et de savoir qu'il allait se marier prochainement... Une annonce accompagnée d'une demande pour la Dénéré puisqu'il lui faisait l'honneur et le privilège d'en faire sa Témoin de mariage... Une proposition qu'elle s'empressa d'accepter avec grand plaisir...

Qui dit donc un mariage, dit des emplettes... Le lendemain, la Duchesse s'en alla faire les échoppes périgourdines afin de trouver une toilette complète pour l'occasion... Et c'est en passant devant une taverne, qu'elle L'aperçut au travers de la vitre... Lui, celui qui l'avait abandonné depuis plus d'un quinquennat, presque une décennie même... Etait-ce seulement possible ? Elle qui le croyait mort !!!
Elle rentra légèrement troublée, mit un certains temps avant d'avoir le courage de prendre sa plume et de lui écrire... Quelle ne fut pas sa surprise quand elle reçut réponse à son vélin... L'échange était en place, ne restait qu'à organiser des retrouvailles, choses bien compliquées pour l'Angevine au vu de son emploi du temps fort chargé... Les jours passèrent, mais ne se ressemblèrent pas... L'impatience de le revoir mais toujours se fichu temps qui manquait à l'ex Princesse... Elle réfléchit et trouva le Mariage de Condé comme The opportunité de pouvoir passer toute une journée en sa compagnie...

Fallait croire que l'invitation eut du bon, le soir même les retrouvailles se firent... Et quelles retrouvailles... Elle n'aurait point cru qu'elles se passeraient de la sorte... Comme quoi, l'absence d'un être cher fait prendre conscience à quelle point sa présence nous est si précieuse...


[Le lendemain des retrouvailles... Après une bonne cuite... Le jour du départ...]


La soirée avait été des plus agréables et même si elle avait fini ronde comme un cul de pelle, elle se souvenait de tout, dans les moindre détails à son réveil... Elle savait pertinemment où elle se trouvait, son Hôte avait tout organisé pour que le départ se fasse de sa Demeure pour écourter le voyage de quelques lieux...
Elle ouvrit les yeux doucement et sourit légèrement en voyant les rayons du soleil entrer dans la chambre... Le voyage allait être ensoleillé et cela dans tous les sens du terme !

Alors qu'elle s'étira, elle entendit frapper :


Duchessa, il est l'or de se lover... Anne est aqui por vous préparare...

Oh mazette !!! Le Musclor était là lui aussi ! Misère, il est vrai qu'elle avait omis ce détail... Depuis son retour, le garde amoureux ne la quittait plus d'une semelle... Compréhensible après deux ans, mais il n'en restait pas moins le Garde Boulet de la Dénéré ! D'ailleurs L'avait-il croisé ? Surement que non, sinon son réveil n'aurait pas été si calme et doux... Un Musclor jaloux, ça s'entend à l'autre bout de la ville...

Faites entrer Anne, et Vous, allez préparer le coche !

Elle entendit le garde râler quand Anne entra... L'heure était à la toilette... Après une bonne heure de préparation, la Duchesse fut prête...
Elle s'empressa de quitter ses appartements en faisant attention de ne pas se prendre les pieds dans la robe (vous imaginez si elle se vautre devant Lui ? Elle accuserait le coup avec les verres de la veille en disant que c'est Sa faute, mais bon la honte quand même !), et appela dans les couloirs :


Tytussss... Youhouuuuuuuu.... On va être en retard !!! Dépêchons !!!! L'autel nous attend !!!!!!

En même temps, le jour où vous verrez la Dénéré à l'heure... Il ne doit pas encore exister dans le calendaire celui-là... Ceci dit, là, il ne fallait pas trop qu'elle le soit... C'était elle la Témoin, vous imaginez la Témoin en retard ? Mieux valait pas l'imaginer non, encore moins un Enchanteur fâché... Ouai ouai, elle avait déjà eu à faire à ses bouderies, ben c'était pas de la tarte, Merlin furax, la Montmorency se faisait petite... Déjà qu'elle est pas très grande mais là... La pensée la fit frissonner...

Allez hop hop hop !!! On y va !!! J'ai pas envie de faire un mariage et mon enterrement en même temps !

Elle se rendit vers les escaliers et qu'elle surprise en le voyant déjà en bas, prêt à l'attendre... Joues rosies, elle ne perdit pas plus de temps avant de le rejoindre...


*Patrick Louis Richard
Jiveli
Je courais, tel le lapin blanc regardant sa montre à gousset et ...

Anachronisme !

Aristote ? Ça fait un moment que nous n'avions pas parlé. Mais là, c'est pas le moment !

Je halète et l'autre me sort des gros-mots. Déjà, pour ce mariage sur lequel j'ai tant travaillé, j'ai mis la belle robe, houppelande, que Parrain m'a offert, la rose rouge que ma marraine m'a offerte, j'honore un peu les deux. Je garde par contre mon épée et mon bouclier puisque je suis officiellement chargée du service d'ordre.

En fait, c'est en velin que ce mariage a été coûteux. Trois ans de missives... J'aurais dû m'habiller avec des parchemins si ça ne menaçait pas de s'envoler sans arrêt.

Le parvis, l'église, je les vois, ils sont proches, il faudra s'arrêter à temps pour ne pas m'affaler épuisée et en sueur les jupes relevées...

Perdue dans mes pensées, je manque de m'étaler sur un homme puant en haillon.

Un sou pour les pauvres Demoiselle ?

Marraine m'a bien prévenu, aucun intrus à son mariage et je sens que celui-là va vouloir racketter tous les invités.

C'est un mariage d'Auvergnats mon brave, inutile de rester, vous n'aurez rien !

Un mariage ? Intéressant. Je vous demande un sou, c'est tout.

Arf, voilà que je venais de lui indiquer moi-même comment nous ennuyer.

Je n'ai pas de sou, je suis vagabonde !

Z'êtes drôlement attifée pour une vagabonde.

Mais ?... euh, je vous en pose moi des questions ? Je suis une vagabonde d'un nouveau genre... Et maintenant, dégagez d'ici.


Hors de question, près de l'église, c'est là que ça rapporte, les temps sont durs ma petite dame.

Alors, déjà manant, je ne suis pas « Votre petite dame » et je suis le chef du service d'ordre de ce mariage, doublée d'un soldat très violent, connue de par le monde, célèbre...


REGARDEZ dit l'homme en écarquillant les yeux

Quoi ?

Vos chevilles, elles enflent !!!


Je soulevais ma robe, regardant un moment avant de comprendre que ce malotru se gaussait.

Ça suffit !!! dégagez maintenant ou j'emploie la manière forte !!

Ouh, mais c'est qu'elle s'agace la demoiselle 
!

A ces mots, mon sang ne fit qu'un tour, j’assénais un grand coup du pommeau de mon épée sur la tête du malotru qui s'effondra. Je sortis ensuite mes parchemins pour vérifier que je n'avais pas fait une bêtise...

gna gna gna, c'était où... ah... voilà

Leçon N° 54122, je cite : « Jiveli, ne te laisse pas traiter de pouffiasse, pétasse, radasse, les mots en asse sont de vilains mots ! »

C'est la dernière fois que tu me traite d'agace !!


C'est que maintenant, je devais ranger le corps, ça faisait sale sinon, sur la route du cortège nuptial...

Je l'attrapais par les pieds et le traînais jusqu'au premier buisson venu, je verrais plus tard comment m'en débarrasser, il y aurait bien une bonne âme pour m'aider.


S'essuyer les mains, replacer ma fleur, c'est tout sourire que j'arrivais sur la Parvis.

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Elienore
[Aux grands maux, les grands remèdes]


Misère! C'était pire qu'elle ne l'imaginait. Une cascade de paroles qui se transforme subitement en cascade de larmes. Tout en serrant son amie dans ses bras avec de petits tapotements dans le dos pour la calmer, croisant les doigts pour ne pas se retrouver avec une traînée de morve sur l'épaule, elle l'entraîne vers un siège et l'y installe.

Allons allons, sèche moi ces larmes!
Cela fait trois ans que vous jouez à "Je t'aime moi non plus". Trois ans que tu nous rends folles Laure et moi a multiplier les conquêtes plus crétines les unes que les autres pour tenter de l'oublier. Ceci alors que nous savions pertinemment qu'il n'y avait que Merlin dans ta tête.
Aujourd'hui c'est votre grand jour, celui de votre mariage, tu ne vas pas pleurer.
Tu as voulu Merlin, tu as Merlin, alors souris que diable!


Elie se mord la lèvre, se rendant compte qu'elle a sensiblement dit la même chose à Laure pour le résultat qu'on connait.

Humpf non, oublie la dernière phrase mais souris quand même.

Tout en babillant elle observe l'ampleur des dégâts. Mazette on est sur du gros oeuvre là! La blonde a pris les opérations en main niveau chevelure rebelle, regard dubitatif sur les mains qui démêlent et tirent, sortant des trucs improbables des boucles.

Je vous jure... On fera pas des miracles hein bien longtemps que j'ai rendu mes pouvoirs et sortilèges féeriques !

Tu ne penses pas qu'on aurait plus de chances de tout tondre? Parce que mine de rien, on frôle de très près le mouton irlandais.

La royalo du trio sort de son panier à malices, dans le style Mary Poppins, une fiole d'eau de bleuets et un délicat mouchoir de dentelle. Vous ne pensiez tout de même pas qu'il y avait vraiment une motte de beurre? Elle commence par tamponner les yeux rougis et gonflés, avec patience et douceur. Puis sans prévenir on pince les joues pour leur donner une belle teinte rosée.

Râle pas. Faut souffrir pour être belle, c'est bien connu.
Malheureusement certaines plus que d'autres..


Le visage est présentable, les cheveux presque disciplinés. Elie cherche du regard la robe de mariée pour finaliser le chantier.

Rassure moi, tu as mis une culotte bleue?
Hersende
Le lieu du mariage avait posé quelques problèmes à Hersende. En tant que Marquise de Provence qu'elle avait déclaré neutre dans le conflit entre la France et la Bretagne, espérant toujours amener les deux souverains à revenir à la table de médiation, elle ne trouvait pas idéal de venir faire la fête près du champ de bataille...

Aussi pour passer la plus inaperçue possible, elle avait demandé à Zeze et Sandino de lui faire une petite place et avait réussi à se glisser anonymement avec eux jusqu'à l'église. Elle les avait quittés le temps de se rendre plus présentable.

Elle les rejoignit alors qu'ils étaient en pleine conversation avec le futur époux.

Bonjour Merlin, alors pas trop nerveux?
Mais c'était inutile car elle voyait bien que Zeze était en train de terroriser le jeune homme.

Tu auras l'air maligne s'il se sauve, glissa Hersende à la matriarche en arrivant devant Erwany qu'elle embrassa et Bretsinclair qu'elle salua.
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Hersende de Brotel, Marquise de Provence
*atalante
Finalement, je n'étais pas si en retard, les portes de l'église étaient encore ouverte, sur le parvis s'agitait une garde.

Quand j'avais reçu l'invitation, j'avais en premier lieu cru a une farce de la part de Laure ou d'Elienore, pis vu le lieu de la cérémonie, non, c'était bien du Sofio, alors elle c'était enfin décidée d’arrêter de rouquiner, enfin pour cela au moins. Et du coup, c'est le Merlinos sur qui c'était tombé, le pauvre, enfin, depuis le temps, si il ne la connais pas assez .
Ca tombait bien en fait, j'avais une bonne livraison à faire en Anjou, vu la période, quelques douceurs pour la belle Rose.

J'avance sur le parvis et reconnais la garde, la douce Jiveli, une crème cette jeune femme, et la douce odeur d'ail.........couplé de fromage puant, le kikinet même, ce parfum......

Et là, un mendiant qui vend des programmes, nan mais lâche moi toi, le vil est collant, pénible à souhait, je lui décarre un coup de pied botté dans les cotes, ça lui apprendra.
Mais c'est lui qui pu en fait, c'est pas Jiveli qui s'est mise au fromage.........

En avançant a la rencontre de la brunette je réfléchit a la situation, odeur de pied fromageux, vil personnage, Sofio, Jiveli dans les parages......

J'embrasse Jiveli..


Ah, que je suis contente de te voir en bonne santé, tu as enfin réussi à la caser. ça mérite une grosse prime, l'Eugène va devoir te céder sa part.
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méa clunes non pulus
Merlinrr
Après la mise en garde de la matriarche, il sourit. Il aimait cette protection que le clan exerçait sur Sofie, elle était faite d'une amitié bienveillante qui réchauffait les cœurs. A lui de ne jamais avoir à subir les foudres de la Kumpania. Mais son amour était de ceux qui défiaient le temps. Il n'avait rien à craindre.
Hersende accompagnait le clan. Il la connaissait peu, mais leurs premiers échanges avaient été cordiaux et il avait grandement apprécié son engagement. Sans nul doute une femme de cœur et d'honneur.

- Comtesse, c'est un honneur. Sofie sera touchée de votre présence.

Il n'avait pas vu Zhora, accrochée au bras de Leo et ne se formalisa pas de ses pieds nus.

- Bonjour Zhora, vous avez bien les alliances ? Stressé l'Enchanteur ? Penses-tu !

Toujours sur le parvis, il invitait les arrivants à entrer lorsque son attention fut attirée par un personnage coloré qui haranguait la foule. La silhouette lui sembla vaguement familière et n'eut été l'arrivée des invités eut-il creusé pour en savoir davantage d'autant que Jiveli qui devait assurer le service d'ordre, semblait en retard. Il garda toutefois un œil sur le rouquin jusqu'à l'arrivée de cette dernière au devant de laquelle il s'avança.

- Bonjour fillote. Content de te voir. Regarde ce marchand là... d'un simple signe de tête il lui indiqua le rouquin, je pense l'avoir déjà vu quelque part. Garde un oeil sur lui, veux-tu ? Il ne me parait pas très aristotélicien ce bougre. Méfiance donc et au pire tu le dégages. Je te laisse le soin de surveiller le parvis.

Déjà les premiers invités avaient pris place. Devait-il s'avancer jusqu'à l'autel ? Il décida d'attendre Monseigneur Iaudas devant la nef.
Un homme à l'allure martiale fut salué d'une inclinaison du chef, sans doute un ami de Sofie qu'il ne connaissait pas. Il le laissa choisir sa place. Sofie les présenterait après la cérémonie.

Nouveau salut cette fois à la Duchesse d'Ouessant qui cherchait à passer inaperçue.

- Bonjour Tuatha, et merci d'être là. Je vous laisse vous installer.

Il connaissait celle qui arriva ensuite depuis plusieurs années, une blonde ma foi fort sympathique qu'il avait connue maire de Montpensier et qui s'était, depuis, auto-proclamée Princesse de la ville.

- Altesse... Vous êtes seule ? Vous n'avez pas amené Jo ? sourire en coin, Cette fois nous y sommes ! J'ai conquis le coeur de la plus merveilleuse des montpensieroises.

Bien sûr elle ne l'était plus, mais ses racines étaient malgré tout profondément ancrées dans cette terre auvergnate qu'elle aimait tant. Et la faune nouvelle qui la peuplait actuellement ne pourrait jamais y changer quoi que ce soit.

Killian était en retard. Montomrency se faisait attendre. Lui n'attendait que sa future femme, le cœur battant à mesure que s'égrenaient les minutes.
Sofie.de.valmonte
[La guerre en chambrée]



Quand la chambre devient le champ de bataille et que les choses sont prises en main.. On pourrait entendre des cris à travers les murs et des envies de meurtre, c’est ce qu’elle contient, quand ses cheveux sont tirés, malmenés et qu’on dirait bien qu’un plaisir sadique se mêle aux préparatifs. Elle se mord les lèvres, au lieu de mordre une main, elle tourne et virevolte sous des mains cruelles. Pendant que Javotte et Anastasie s'efforcent de mettre un peu de magie à ce jour spécial.


N’empêches moi au moins j'ai eu un enterrement de vie de vieille noble la veille du tierce mariage... T'as fait quoi toi ? Une belote ou une carmagnole ?


Une espèce de danse, elle y pensait, pour certains oiseaux cela se passe ainsi, mais elle ne peut avouer, que la nuit de pré noce sera comme chaque nuit, remplie de féerie. Comment raconter qu'en ses bras, elle est reine, comment narrer la féerie de la vie, depuis qu'il lui a posé la question ultime, à laquelle elle a répondu Non.. Et ce retour quelque part sur une route de l'Empire. Cette révélation se posant comme une évidence. Elle était certaine pour reprendre les dires de Jiveli, que quelque part dans le monde, une île avait sombré au fond de l'océan.

Une chauve-souris est entrée dans la chambre, j’ai pris peur et Merlin armé de son courage l’a pourchassé voila tout..

Plus la chose est énorme, plus le mensonge passe, bien sûr quand elle parle de chose, c’est la chose en question et non pas.. Elle secoue la tête , reprenant des esprits, ses yeux trouvent enfin le chemin de l’ouverture grâce aux soins. Le sourire revient, ses cheveux commencent à rendre leurs âmes, mèche par mèche ils brandissent l’étendard blanc, autant que ses joues rosissent.



Une culotte bleue, j’ai barré les fleurs de lys dessus, une chose empruntée, une chose volée, du neuf. et ..de l’ancien ?

De l’ancien, elle réfléchit, et regarde ses amies, un sourire aux lèvres, pourquoi chercher si loin parfois, ce qui se trouve à portée du regard.

Je crois que tout est bon..Ce corsage est à serrer, puis la robe choisie n’est pas conventionnelle, mais le temps qui nous fut donné pour les préparatifs étant un peu court, ce sera parfait.. Non ?

Et le doute qui toujours revient, nul doute de son amour, des doutes du temps qu’il fera, d’autres doutes sur les préparatifs, des doutes sur la vie, la mort, sur la reproduction des conifères et puis ..Et puis..Lui!

Un visage humain redonné, des cheveux tirés qui n’en finissent pas, le reflet dans le miroir l’étonne, ce ne sont pas les apparences qui ressortent, mais quelque chose a changé en son regard, la misère du monde s’est envolée, ses pensées sont devenues frivoles, la lueur est présente comme si le poids sur ses épaules venait de la soulager, au bout de ces années d’errance. Le champ était en jachère, il vient de refleurir sous une nuée de coquelicots. Elle sent le bleuet, elle est fin prête, elle se tourne encore une fois vers elles et c’est reparti pour les longues tirades, mais elles ont l’habitude et elles sont venues pour souffrir..


J’ai encore du mal à le croire, comme si j’allais me réveiller d’un rêve enchanté. Depuis le premier regard, je n’ai pensé qu’à lui, j’ai traversé le temps dans un brouillard épars, au fond du chemin, je voyais son visage. Vous avez toujours été présentes pour entendre mes complaintes, cette fois je vais poser mes valises à ses pieds.. Laure plus jamais nous ne dormirons ensembles, je sais la vie est cruelle, tu dois l’accepter..Elie j’ai fini de me poser les milliers de questions ou tu répondais avec sagesse, je crois que je viens de trouver la malle aux réponses. Non j'en suis certaine à présent, les doutes se sont envolés, les questions se perdent dans le vent , elles n'ont plus besoin d'exister. Je m'émancipe, Laurette, plus besoin d'argent de poche, pourtant c'était chouette chez Laurette..Elie la garde partagée ne se fera pas non plus, je vous autorise avec bonté à faire vos vies.. Pourquoi vous trainez ? On s’y rend ?



De l’auberge à l’église le chemin est court, elles s’y rendront à pied, le temps de bavasser, le temps de rêvasser encore un peu, les cloches qui sonnent déjà..Elle est tentée de demander à Laure, si la facture pour le tout lui est arrivée.. Mais son frère se chargera de celle du banquet, le service de l'ordre est assuré, pour presque rien, pour les animations, on lui a assuré ne pas s'en faire. Un regret toutefois, Jo ne sera pas présent, sans la pierre le rustique manque un peu. Elle le sait sous bonne garde quelque part en son village natal. Celui qu'elle a du fuir aussi, laissant derrière elle des souvenirs du passé, quelques larmes et regrets, quelques rires et songes.

Sur le parvis son coeur s'emballe, elle cesse de respirer un instant.. Seras tu là.. Ce rendez vous donné, elle le sait, il est déjà présent. Un peu comme si son âme répondait au sien, elle peut le sentir tout proche, jamais loin. A ses amies et témoins, la demande envers Sandino..


Pourriez vous , vous assurer que Sandino est présent, c'est à son bras que je dois entrer dans l'enceinte, un honneur qu'il me fait..


Comme la tradition l'exige, elle sera la dernière à entrer, au bras de celui qui lui inspire le respect, pour rejoindre son âme sous peu..En cette attente, elle n'allait pas ronger un ongle, mais un regard sur un mendiant presque roux, il ne semble pas frais, un peu amoché, tenant en ses mains des parchemins, elle est interloquée et fouille au fond de ses poches vides

Laure t'as un écu? un bon geste pour ce jour exceptionnel?

Elle désigne le pauvre éclopé du doigt, ce roux est étrange, elle remercie le ciel de ne pas lui avoir donné ce reflet si orangé. Surement que le pauvre homme écrit des odes ratées et tente de les fourguer aux passants.Un jour il pourra y perdre la vie ainsi, il faut qu'elle pense à dire à Jiveli de ne pas voir en lui un danger, un seul regard suffit pour voir qu'il ne ferait pas de mal à une mouche, il semble qu'il boitille, surement une mauvaise rencontre, parfois les gens sont si sauvages.


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Tytus
[on dirait le Sud mais pas que ]

Tytus avait une solide dose de haine envers le Poitou et pourtant son père était Poitevin et une encore grosse détestation de l'Anjou et pourtant sa mère était angevine.

Si la vie de Tytus était un naufrage, la métaphore avait même un lieu et c'était le port d'Angers.

Dès lors quand il reçut une missive d'Aloara de dénéré, ex Duchesse d'Anjou il faillit vomir sa tartine de pâté de chien puis beugla un juron qui fit tinter la cloche de l'église.
Mais au travers des lambeaux de souvenirs qui revenaient parfois des temps d'avant il lui revint que les Dénérés étaient une famille dont ses parents étaient proche et qui plus est, une famille royaliste.

Alors il prit le temps de réfléchir et de se refaire un petit casse dalle et peu de temps après il prit sa plume et une feuille et comme c'était le printemps les feuilles poussèrent.

À bien y repenser le Baron était presque certain qu'ils avaient été tout les deux aussi étonnés de se revoir ainsi en taverne à Périgueux si longtemps après et si loin de leurs fiefs Angevins mais était ce le destin ou la fatalité ?
Après qu'en dire ? On a bien bu c'est sûr, on a évoqué des souvenirs qu'on avait pas, on a gloussé en se montrant nos cicatrices comme on fait tout le temps dans ces cas là . Et puis on est rentré chacun chez moi.
Pique nique douille où est l'embrouille ?


Ben je vais te le dire, c'est le lendemain !

Déjà tu veux amener le plateau du petit dèj et boum, y'a un mastard qui bloque le passage.

Euh, oh...là il faudrait bouger un peu …

S'ensuit un grand silence autant poilu que musculturel


Nan mais sérieux, t'es chez moi gros balourd, tu te bouges maintenant ...Non ? Mais si ...et tu me regardes quand tu me parles...et d'accord même quand tu me parles pas c'est aussi bien ...
Bon déjà c'est bien que tu baisses les yeux.... même si tu es grand j'apprécie le geste.
Allez tu me laisses passer et.je double ta pâtée ...


Deux heures plus tard Tytus avait fini tout seul le plateau, fait ses bagages et la calèche était prête pour la Dénéré et son sale gros con
Un jour il l'aurait

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Sandino
...Assis, enfin vautré sur un banc dans les derniers de l'église, le vieux gitan somnole doucettement après une longue chevauchée quand soudain il reçoit un coup de coude dans les cotes.

- cosa !! je ronfle pas j'écoutais !! j'en suis sur !! Pas vrai Hersende
S'est-il exclamé à l'adresse de sa compagne assise à ses cotés et de la marquise.

- si ma quelqu'un veut te parler.

- qui ça le très haut ?

- non un valet !!

- de pique ou de coeur ?


Un autre coup de coude lui fait ouvrir les yeux et regarder ce qu'il en est.


- y peut quoi pour tes zigues le vioque ? Fait il alors au messager

- Pourriez vous , vous assurer que Sandino est présent, c'est à son bras que je dois entrer dans l'enceinte, un honneur qu'il me fait.

Le Patriarche fronce les sourcils en fixant le messager d'une air sévère.

- tu dégoises que je dois m'assurer d'avoir mis enceinte une gadji avec mon bras d'honneur ?

- ma no couillon ! c'est Sof que tu dois amener devant l'autel à ton bras.
Répond Zézé à la place du messager.

Cette fois bien réveillé Sandino se lève, époussette un peu sa tenue puis part en direction du parvis où il trouve la future épouse et Laure.


- téé véééé les sept plaies d'égypte qui sont que deux comme les trois rois mages, bon allez andiamo, j'ai conduit Laure à notre Dame c'est bien le diable si je n'arrive pas te conduire toi.

Le Patriarche gitan tend alors son bras et de l'autre main invite la mariée à entrer avec lui.
Iaudas
Tout fut déjà en place pour le début de la cérémonie, notre cardinal qui allait officier le sacrement du mariage se tenait déjà en place en derrière l'autel. Bien sûr, notre prélat accueillit tous les invités venus à cette occasion très spéciale pour les mariés. Vêtu de sa tenue épiscopale, l'homme d'Église se tenait là dans l'attente. Aucun des visages lui rappelait quelque souvenir pour l'instant.
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Leoriccio
Leo et Zhora sont là, dans l'église. Leo voit du monde arriver petit à petit. Il profite d'avoir un peu de temps pour étudier ce qu'il se passe, ça leur fera des leçons pour leur propre marriage, dans un futur pas si lointain espère-t-il. Et dès qu'il peut, il échange un doux baiser avec sa chérie...

Comme les autres, il attend l'arrivée de la mariée... Le meilleur est pour la fin, on dit toujours... Cela voudrait dire que dans le couple MErlin/Sofie, ce serait Sofie la meileure ? Il secoue la tête et se dit qu'il se trompe totalement... La fin, c'est quand ils seront mariés ! Le meilleur, c'est le couple qu'ils forment à deux ! Il est tellement enthousiate qu'il pousse un petit cri :


Vive les mariés !!

Zhora lui donne un coup de coude et il en perd le souffle... Il se rend compte de sa méprise et espère qu'il n'a pas été trop entendu... Surtout que la mariée n'est pas encore entrée dans l'église...
Princesselaure
{ ...L'armistice à la clef ! }


Finissant de démêler et de retirer ce qui n'a pas sa place dans la coiffe d'une épousée, on tracera alors la liste suivante pour la déposer plus tard au bureaux des objets trouvés... Si jamais les proprios voulaient récupérer leur(s) bien(s)!

Citation:

- 1 Cure-dent en os
- 3 poux de rousse
- 5 perles
- 1 petite clef en laiton
- 1 liste de course
- 2 bougies
- 1 fiole de liqueur
- 2 mouches en vie
- 1 limace
...
- 1 kg de sourire
- 1 cuillère de générosité
- 1 vie de fous rires


Finissant de préparer la dame, en bouclant légèrement la chevelure devenue de rêve ! Un sourire en se disant qu'avec un peu de bonne volonté on peut faire des miracles ! Parfois... Pas toujours... Là c'est juste du bol ! Arquant un sourcil en se disant qu'en plus elle se foutait d'elles !

Une chauve-souris... Ben oui bien sur ! Heureusement que ce héros se trouvait sous la main dis... Il foutait quoi dans ta chambre ?! J'aurai deux mots à dire à ce fillot ! Après la messe ! Avant ça serait malvenu et bien trop risqué de le voir déguerpir !

Le regard de la mort qui va avec... Bien sur ! Ohhhh ! Roulant des yeux...

Bon puisque Madame semble avoir suivi le protocole à la lettre on va pouvoir y aller ?! Ah oui... la Robe ! Euh... Sofie je peux savoir pourquoi tu me fixes en parlant de chose ancienne ?! Non je refuse de passer la cérémonie sur ton dos et pire encore sous ta robe ! C'est mort ! Je préfère encore te filer cent deniers ! Mais oui tu seras pas refaite... On a fait ce qu'on a pu avec ce que l'on avait hein ! AHHHH PARFAITE ! Humm.... La perfection tu sais... Bon allez hein ! On se magne le croupion mesdames !

Comment esquiver... Ou comment se venger ... C'est au choix... Mais qu'elle est belle cette Kalope... Et elle le sait... Tant par son physique que par ce qu'elle porte en elle ! Non pas un marmot ! Son coeur ! Et sa connerie aussi.... Arffff.... Faites la taire elle me file la migraine !

Un rêve voilà tous mes vœux pour ta nouvelle vie ! Bon tu veux pas qu'on... Bon... Oui ma porte te sera toujours ouverte ! T'auras la clef pour nourrir le chat et les canaris pendant mes voyages ! Tu encenseras mon logis de ton parfum... Ton absence en sera moins douloureuse... HEIN ? Fini ! Fini ! Oh Mazette le plus beau jour de ma vie ! AMEN !

De se fendre d'un rire éclatant... Et de la biser... Fort... Pincer une dernière fois ses joues... Hein ?! Mais non je chiale pas ! T'avais perdu des couleurs !

Bon Elie on prend ton coche... Moi j'ai eu un petit souci avec le mien... Enfin surtout mon cocher... Hein ?! A pied ?! Bon... Soit...

La porte est claquée, Sofie au centre du trio, les voilà qui arpentent les rues et places pour se rendre à l'église... Les cloches les pressent un peu plus... La blonde ne pense plus au passé mais à l'avenir qui sera plus grand encore, plus riche, plus fastueux... Go demain ! Puis alors que sur le parvis se masse la foule habituelle des mariages... Mais voilà que l'ascension se stoppe comme la boîte à biscuits que l'on claque sur la main !

Un écu pour ?! Tu dois prendre un chariot pour rentrer dans l'église toi ?! Ahhhh pour lui ?! Euh... Arfff non désolée ! Vraiment ! Mais à la sortie promis je vous en donnerai deux enfin non... Fin si ! Je demanderai à mon oncle Iaudas, le cardinal de me dépanner ! Pis si jamais on piochera dans les paniers de quête pour vous ! Le Très Haut saura me le pardonner ! Bon on t’abandonne là et on va aller se placer au premier rang... On t'envoie Sandi ? Bon...

S'avançant vers elle, posant ses mains sur ses avants bras... Un sourire complice, un regard bienveillant... Celui là même qu'elle savait lui offrir quand la blonde broyait du noir ou du carmin... Les deux couleurs avaient ces derniers temps le même gout sévère...

Bon tu respires, tu affiches un sourire charmeur mais pas aguicheur et marches droit devant ! Direction l'autel et Merlin... Et... Putain sois heureuse Valmonte enfin pour encore quelques heures... Cette vie tu la mérites ! Je t'aime !

Et de tourner les talons, laissant le temps à Elie de faire la dernière leçon à la Rousse, entrant dans le saint lieu... Souriant aux quelques personnes connues...Revoyant des personnes appréciées de Provence, du BA ou d'ailleurs... Alors que bientôt raisonnera la musique douce annonçant l'entrée imminente de la mariée ! Javotte avança jusqu'à son fillot et lui déposa une bise sur la joue... Murmurant à son oreille...

C'est bon... Elle est venue ! Et promis ni traînée ni amochée ! Prenez soin d'elle Merlin...Et ne laissez personne brouiller le bonheur que l'on peut lire sur vos deux visages... Car je ne récupère pas les brebis égarées et encore moins les déchets ! Je ne suis pas Sainte Anne hein ... Pis hein j'ai bien mérité mon repos... Elle a fait tellement d'efforts Pour vous Merlin !

D'adresser un franc sourire avant de biser Sandino, son père spirituel également...Elle laissera le soin à Elie de lui dire que So attend dehors... Elle aura le temps de lui parler tantôt et la voilà qui se dirige vers son banc en saluant d'un signe de caboche les moins connus... Un sourire à Hersende, Zézé, Ed...Atalante... Bref allez au diable l'avarice ! Elle sourit à tout le monde c'est jour de fête ! Elle marie sa sangsue de meilleure amie ! Hop séant posé sur le banc ! Regard qui se porte sur pépé qui va officier ! Et qui se tient dans le coin... Aussi elle murmure...

Iaud... Psssttt... Pas de buffet la rappe ! C'est chacun son casse-dalle !

Haussant les épaules alors que son regard se pose sur un vitrail...
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Killian.
Il fit les comptes à l'extérieur discrètement, une dizaine de programmes vendus, et trois tickets achetés pour le bonus nuit de noce. Ce n'était pas si mal pour si peu de temps passé à racketter les invités.

Alors... 466 écus... ça fait hmmm.. 9,32 fromages. Pas si mal. Cachons ça...

Il retira son déguisement, enfila quelque chose de plus classe, planqua les programmes restants dans le fin fond de sa poche, et les écus gagnés dans sa légendaire bourse remplies d'oursins. Il retourna aux festivités..

Se tenant les cotes après la sauvage agression sur le parvis de l'église, Killian entra et s'installa le plus loin possible de Belzebut. Le mal incarné était donc là, avec son sourire diabolique, et sa robe à mille faces. Il scruta les invités déjà présents, pas mal de têtes inconnues, sans doute les invités de Merlin...

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Killian de Montfort-Balmyr
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