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[RP] [Soule] Bertincourt vs Péronne

Angedepolignac
Ange ne connaissait rien a la soule, mais elle y vint pour soutenir Péronne et bien sûr Korame qui fait parti des joueur . Elle salua tout ceux présent, même ceux qu'elle ne connaissait pas et alors s'assoir dans les tribuns côté Péronnains .

Près d'elle, elle posa son fût de Père Naud venant tout droit des caves de Calais ... Celles-ci devaient être bien vide après la razia qu'elle y avait faite avant de partir . Elle imagina la tête des Calaisiens voyant leur réserves vident au trois quart et se mit à rire .

Se reprenant, sentant qu'on la regardait, elle tourna la tête vers le terrain de saoul a la recherche de son chéri . Le match était déjà commencer, ce qui était autant difficile que chercher un chat dans une forêt . Soudain elle l'aperçut et voyant la scène se mit à crier :


ALLLLEEEEZZZZZ PERONNNNNEEEE !!!!!!! ALLEEEEEEEEEEEEEZZZZ CHERIIIIIIIIIIIIII TU VAS LES AVOIR !!!!!!!!!!!

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Nadjine
Nadjine était arrivé devant le stade. Elle ne connaissait pas grand chose de la soule, mais se pris rapidement au jeu de la foule. Ne défendant personne, elle pris sa plumes et son parchemin prêt à commenter le match d'heure en heure.
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calaisienne et libre dans l'âme
Stilicon
Stilicon s'était fait discret et n'avait pas laissé sa joie éclatée. Pourtant, il était content de fouler à nouveau un terrain de soule. Il fit des étirements, et but en cachette un grand verre d'eau. Il voulait avoir les idées claires, mais il ne fallait pas que cela se sache. Il fit son entrée sur le terrain et après le coup de sifflet, il se mit en retrait non loin de la ligne de but et, de là, il observa ce qui se passa. Il reviendrait bien assez vite dans le vif du jeu. Il pensa à la tactique et fit confiance à Gabyc. Cela s'annonçait bien.
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Gabyc5
Avant le début du match:

Gabyc arriva enfin à Amiens après avoir voyagé une bonne partie de la nuit au dos d'un cheval pas très en forme qu'elle avait loué pour presque rien à un tavernier de Bertin. Elle avait même du faire une partie du trajet à pied, la bête trop fatiguée... Il faudrait qu'elle songe à se trouver un cheval bientôt... mais bon, l'important c'est d'être arrivé au match. Gabyc attacha la bête quelque part, pris son sac et fila tout de suite sur le terrain. Ils étaient déjà beaucoup d’arriver. Elle qui avait l’habitude d’être une des première à fouler le terrain… Elle se dirigea aussitôt au vestiaire et se prépara. Elle trainait toujours sa flasque de whisky. La jeune femme en prit deux bonnes lampées avant de la glisser dans sa ceinture et de filler sur le terrain. Ce n’est pas qu’elle avait soif, mais un match c’est toujours un peu de stresse. Aussi bien prendre ça relax.

Sortant du vestiaire, elle salua Omby, Pegas, Stili, Loulou, Perl et tous les autres qui étaient déjà là. Quelques échauffements rapides, une autre discrète lampée de whisky (on est soiffard ou on l’est pas) et elle réuni l’équipe autour d’un tonneau près du terrain. Elle observa l’équipe qu’elle avait enfin réussi à remonter : mi-vétéran, mi-recru. Ce match promettait. Gabyc prit la parole pour donner les instructions avant le match.


-Alors, tous prêt pour le match? Va falloir se dérouiller un peu! On n’a pas enfilé ces chandails depuis…hum… trop longtemps! Donc on fait simple pour commencer : vous cinq là, vous rester défense, les autres, à l’avant, à peu près comme ça , la jeune capitaine leur montra une petite esquisse qui représentait des x qu’elle avait fait sur le chemin vers Amiens. Pour la suite, vous ne lâchez pas la soule des yeux et vous n’oublier pas que vous avez le droit de taper vous aussi. Donc euh… c’est tout. Soiffards un jour, soiffards toujours et rappeler vous que les tonneaux sont pas fait pour rester plein… Allez! Tous sur le terrain!

Gabyc suivi les joueurs et prit position. Il y avait quelque supporter pour Bertin déjà dans les estrades. La jeune capitaine sourit. Seulement de retrouver le terrain lui donnait le sourire. L’odeur de l’herbe et de la boue, rien de mieux. Une autre lampée de whisky et elle était prête. YB mit enfin la soule au sol.

-Bertin un jour, Bertin toujours!!! Soiffards un jour, Soiffards toujours!!!! Bertin pour la victoire et les péronnain dans la boue!

Le match :

Et voilà. Gabyc tenta de suivre la soule dès la mise en jeu. Methea avait fait un bon travail en l’envoyant dans la zone adverse. Elle avait bien fait de recruter des vétérans aussi pensa t’elle. Gabyc avança aussi. Mais qu’est-ce qu’ils font! La soule reviens déjà! Gabyc regarda les autres se débrouiller, étant déjà trop loin de l’action. Puis, première mi-temps. La soule avait retrouvé le milieu du terrain juste à temps. La jeune capitaine trouvait sa propre tactique un peu douteuse, mais vu le résultat, elle ne se plaindrait pas. Dans les estrades, on entendait les supporters, douce mélodie pour les oreilles. Gabyc sourit et aida Omby encourager l’équipe :

-C’est bien, très bien! Faut pas lâcher! On essaie de tous rester debout pour le prochain tour et n’oubliez pas dans taper quelques un au passage! On va gagner! La soule est au soiffard!

La jeune Capitaine profita de ce petit répit pour prendre une autre lampée de whisky discretement. Puis la jeune Scott entama l’hymne avec énergie, suivant Omby. On allait peut-être leur casser les oreilles, mais ils se souviendront au moins de qui nous sommes une fois qu’ils seront dans la boue. Elle encouragea les recrus à crier l’hymne au soiffard aussi, reprenant place sur le terrain.

-Au Nord Est, onze héros se sont levés
Pour le défi, bravement vont peiner
Mais heureux habitants dans les gradins,
Ne peuvent faillir, ne peuvent perdre
Onze héros, l'adversaire cogneront
Onze héros, le terrain passeront,
Des coups offriront à l'adversaire,
Des bières fraîches à leurs supporteurs.

La soule est aux Soiffards
Ce que la souris est au busard :
Ils s'en emparent et ne lâchent plus
Tandis qu'ils volent vers le but!!!!!!!!

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Ombeline
-C’est bien, très bien! Faut pas lâcher! On essaie de tous rester debout pour le prochain tour et n’oubliez pas dans taper quelques un au passage! On va gagner! La soule est au soiffard!


Ombeline entendit Gabyc et acquiesça aux instructions.


Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Cheffffffffffffffffffffffff !!!!!
On lâchera PAS !!!
On va leur rentrer dans le lard !!!
Allez les Soiffards !!!
Tous avec notre Cap'taine Gab!!!
A l'assauttttttttttttttttttttttttt,
Pas pitié pour le diacre ou l'Ours !!!!
Aucun privilège, choppons les !!!


Levant le poing en l’air, elle entonna le refrain de l'hymne de leu équipe avec vigueur.

La soule est aux Soiffards
Ce que la souris est au busard :
Ils s'en emparent et ne lâchent plus
Tandis qu'ils volent vers le but
Mayaii
Maya était arrivée bien discretement sur le terrain de soule, passant au vestiaire pour se changer, elle avait ensuite fait sa course ainsi que les réchaufements necessaire. Elle était en très grande forme s'entrainant tous les matins pour l'armée. Elle était fin prête pour le match.

Elle s'installa à sa place sur le terrain, elle ressentait en elle une grande fébrilité, tellement contente d'être de nouveau sur le terrain.

Elle regarda Gabyc dans les yeux attendant ses instructions.

Le match commença enfin ... Suivait du regard tout ce qui se passait près d'elle suivant à la lettre les instructions de Gabyc, la capitaine. Quand Ombeline se mit à hurler près d'elle Maya la suivi.


Oui oui Aucun privilège, choppons les !!!

Maya sautait sur place et se mit à chanter avec Ombeline.

La soule est aux Soiffards
Ce que la souris est au busard :
Ils s'en emparent et ne lâchent plus
Tandis qu'ils volent vers le but

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Leportel62
Arf....v'là que la soule était revenue au point de départ. Cela ne bougeait pas assez à son goût et il avait une forte envie de transformer ses ennemis du jour en cireurs de pompes.

Il regarda ses plus proches partenaires. maya était juste devant lui alors que Damechanelle trouvait sur sa droite.

Heureusement, qu'Omby, Gabyc et maya étaient là, au moins elles chantaient et cela mettait un peu d'ambiance sur le terrain.

Lou avait repéré la présece du Doc. Au moins, elle tombait bien cela allait lui permettre d'appuyer un peu plus les coups.

Il regarda son adversaire direct qu'il ne connaissait pas. Il lui adressa un trés beau sourire.

Attend mon mignon que je te tombe dessus toi.

Bon on leur fait brouter le gazon ou quoi!!!!!!
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Damechanel
MOUARFFFFFF a qui qui veut faire brouter le gazon???

BOUDJOU PERONNAIS ON SE REVEILLE ON SE BOUGE ON LES BOUFFE TOUT CRUS

TAYOOO LES BURP'S

entre les BURP'P et les soiffards fallait reconnaitre que ca faisait du monde a picoler!!!
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Leducg
Comme a son habitude Leducg se fit discret et écouta le divers encouragement. On entendait surtout ceux pour Berti, néanmoins les encouragements Péronnais était présent eux aussi.
C'est alors que le coup d'envoie fut donner, Leducg suivit donc la tactique qui avait été misse au point peu de temps avant le match et parti se placer en défense, alors que la plus part de l’équipe monta a l’assaut de la soule.


Aller les BURP's montrons leur se qu'on sais faire !!!

URBS NESCIA VINCI
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Pegas
Quelque minutes autour du terrain d'un rythme lent, suivit par des exercice d'assouplissement et étirement, le numéro 4 de l'équipe des HS de Bertincourt fut fin prêt pour disputer ce grand match contre l'équipe peronnaise qui contenait des nom qui en disait beaucoup quand il s'agit de compétition, notamment Leducg, il fut déjà pas mal de fois un rude adversaire pour le jeune sénéchal dans les concours militaire surtout dans les tirs à l'arc, mais cette fois ci c'est tout un autre type de compétition, malgré l'importance des individualité, c'est surtout le travail collectif de l'équipe qui fera la différence.
échauffement fait, Pegas salua les membres de son équipe et prit sa place sur les terrain selon les instruction de la capitaine... à sa gauche se trouvait la baronne qui avait une cravache neuve, et la capitaine de l'équipe spécialiste et amateur de whisky à sa droite, l'ex bras droit de l'équipe se sentait très bien entouré ^^, toues les conditions furent bonnes pour lui pour faire un bon match...

Le coup de sifflet ne tarda pas, le pépère donna le signal du coup d'envoi, Pegas le regardait d'un œil méfiant, l'arbitre semblait un peu bourré, pourvue qu'il ne s'endorme pas au milieu du terrain se disait Pegas en regardant YB ^^...

La peau de chèvre commença à sauter d'un coté à l'autre sans trop bouger du milieu du terrain, la rencontre seblait jusque là équilibrée et aucune équipe ne semplait menacée pour le moment...
Une ambiance particulière régnait sur le terrain avec chorale formée par les joueurs qui motivait l'équipe en chantant le fameux hymne des HSB, ...


[excusez moi, j'étais trop en retard, et j'ai pas lu tous les poste, j'ai fait un rp rapido, heureusement que le match n'est qu'à son début ^^]
...
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--Rufus


Le vieux coursier était venu avec l’escouade d’Ytres pour ce fameux match. Il salua la Baronne, une fois l’avalanche familière de recommandations faîtes par cette dernière…à croire qu’il ne savait point y faire …. Enfin bon … il entraîna le mouflet en direction des tribunes et observa la foule colorée présente, tout en se grattant le menton et le cou de manière un peu rustre, jetant par ci par là, quelques glaires bien verdâtres.

Il avait mis une dosette de parfum pour attirer la belle femelle de son rencard. D’ailleurs, il avait un peu les mains moites à force de les triturer, se mandant si elle viendrait, n’ayant pas eu de réponse. Faut dire qu’il ne savait pas si elle était retournée dans son bureau qu’il avait visité dans la nuit. Il y avait d’ailleurs, pris le temps de s’assoir sur le fauteuil de l’Amiénoise, et respiré à pleines narines, l’exquis fumet de cette dernière. Toujours est-il que le vieux débridé l’attendait de pied ferme et pas que du pied.
Il souriait bêtement, assis là sur les bancs des tribunes, le regard rivé vers l’entrée du stade.
Pour l’occasion, il avait remis le chapeau rond offert par sa patronne … ça lui donnait un genre on ne plus gentleman. A coup sur, elle aimerait.


Les hurlements le sortirent de sa rêverie, et à son tour, il se mit à scander avec vigueur des encouragements pour l’équipe des Heureux Soiffards, tout en jouant des poings pour mieux appuyer ses paroles.



Ravalez-leur l’ fazade !!!

Faîtes leur brouter la belouse, que za leur zort par leur troudebal !!!

Cognez ferme !!! Écrazez les, zes Béronnais, tayoooooooooooooo !!!

Pétez leur, les chicots !!!
Jaidelachance
[ Quelques minutes plus tôt ]



Alors qu'elle assistait tranquillement au match de Soule, Jaid avait reçu un nouveau mot doux de la part de son lieutenant, apporté par un pigeon malodorant .

Citation:



Rapplique tes fesses de *** illico au Fort dans ton bureau !! Sinon je te fais exécuter devant tous tes ivrognes de soldats en guise d'exemple !
C'est que j'ai des vacances à prendre moi, magne ton gros *** !





Elle avait donc dû quitter le stade en toute hâte, de peur de finir étranglée dans un coin de la cour, ou pire : de se retrouver pendue à la poutre de son propre bureau, le corps tout pantelant au dessus du tirroir où elle accumulait les bouteilles vidées...

Arrivée sur place bien sûr personne ne l'avait attendue, mais le médecin Néfi lui était tombée dessus comme un troupeau de cochons devant un sac de maïs : Il avait fallu se farcir la visite médicale soit-disant obligatoire, oui, soit-disant, car chacun sait que si quelqu'un veut devenir soldat, c'est qu'il a forcément une défaillance mentale quelque part.
Alors forcément, c'était facile de trouver que telle blessure était infectée, que tel soldat boit un peu plus que de mesure, que telle jambe était bonne à couper sur le champ - d'ailleurs Jaid n'avait jamais compris l'intérêt de faire ça dans un champ - ou encore que telle dent était bonne à arracher sous prétexte qu'elle faisait mal et qu'il en restait plein d'autres.
N'importe quoi toute cette science.


Mais par bonheur pendant la visite une missive inattendue était apparue à sa fenêtre, signée de la main délicâte du Maître-d'Armes Rufus, remplie d'attentions et de compliments épicés : les flageolets mouillés comptant parmi ses plats favoris, surtout par leurs vertus secondaires à empester tout le dortoir du Fort, lui laissant ainsi la meilleure paillasse près de la fenêtre ouverte, c'est du moins ce que lui racontaient ses camarades soldats.
En un mot : Son prince Charmant avait tapé dans le mille !


Le problème, c'est qu'après s'être débarrassée de sa visite médicale, Jaid n'avait trouvé aucune loque à se mettre sur le dos. Tout il était resté sale dans sa cabane à Amiens, et c'était un sacré souci de se radiner au match et de faire bonne impression à messire Rufus avec des bas troués et un uniforme tâché de fiente de poule.
Alors une idée de génie lui était apparue.
Ben puisque la Lieutenante elle faisait la maligne, eh ben Jaid lui piquerait un de ses uniformes. La brunette en avait repéré un ou deux très moulants dans la salle des équipements, que sa supérieure gardait certainement pour les grandes occasions. Il avait suffit de changer les galons en mettant les siens à la place, et le tour était joué.

Malheureusement, en enfilant l'uniforme de sa supérieure, Jaid s'était aperçue que toutes les deux n'étaient pas du tout bâties pareil : Tandis qu'Astreria était grande, charnue, toute plantureuse et toute en rondeur ( pas belle quoi ) , Jaid était assez sèche, assez petite et assez ... plate.

C'est donc accoûtrée d'un uniforme au décolleté plongeant sur un corsage à moitié vide que Jaid retourna sur le terrain du match, la bave aux lèvres et le nez coulant, à la recherche de l'homme de ses fantasmes, priant Aristote pour que son Lieutenant ne se soit aperçu de rien.


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Shazame
Depuis le temps, qu’il attendait cela… Le pauvre bougre de Shazame avait souhaité longtemps retrouver l’ambiance survolté des matchs de soule. Les pauvres moines qu’il avait côtoyé depuis de long moins, n’avait même pas les derniers résultats du championnat de France… Ni ceux d’Artois… Rude vie que celle là !

Shaz prit donc un billet à l’entrer du stade. Lorsqu’il ouvrit la bourse pour donner les écus, le prix de la place lui donna une bien belle claque.


*Fichtre, le prix a encore augmenté… plus d’un écu la place… Tu vas voir que bientôt, il vous nous vendre des produits ces sportifs là. *

Il prit place dans les gradins en compagnie de Kal. Bien sur, il fit un détour à la buvette histoire de prendre un petit tonnelet qui fera bien l’affaire pour lui et son chien. Fort heureusement, le prix de la bière était toujours le même ! Normal pour un produit de première nécessité.

Le public était déjà présent et le match avait déjà commencé. Il prit le pouls, en discutant avec deux petit vieux assis au premier rang.


Alors, sa combat dur ?

Bof… Bof… Sa tape dans la baballe… Rien de plus ! Pas même un nez cassé…
De mon temps, il y aurait déjà eu une jambe de brisé ! L’Artois va mal mon bien monsieur…

En effet, rien à voir avec les matches qu’il avait fait à l’époque avec les bourrins de Cambrai… Ca c’était du spectacle. Il prit place dans les gradins. C’est a se moment là qu’il aperçu Rufus, le coursier militaire. L’homme regardait béatement l’entrée du stade. Surement une poulette qui devait arriver. Sinon il n’aurait jamais mit un chapeau.

*Sacré Rufus*.

Il se place à coté de Rufus, ce dernier était toujours en train de regarder fixement l’entrée du stade.

Bonjour l’ami !
Si tu attends quelqu’un vas y donc… Je garde le petit baron ! Cela fait tellement longtemps…


A ses mots, Shazame porta sa main sur la tête de Nat afin de lui ébouriffer les cheveux.

Comment vas-tu,-toi ?
Yeuxbleus83
[Tour n°2]

Un petit instant de repos et les voila tous repartis. Ça démarre très fort et c'est Kyana qui lance les hostitilités d'un bon coup de botte dans la soule. Cela n'est pas du gout des bertincourtois. Methea, Sylvine et Leportel62 se chargent de lui faire comprendre. La peronnaise encaisse pendant que Dagoon pousse la soule jusque devant l'enbut adverse. Lâchée par Korame et portée plus que par son capitaine, elle n'a pas la force d'aller plus loin.

Taper ou porter, le bougre de Korame a choisi et il est allé défendre sa partenaire en adressant une bonne droite à Sylvine pendant que Chriss43 en faisait de même sur le bélier blond péronnais.

Voilà une bonne partie avec des coups et du sang. Accessoirement, certains continuent à jouer avec la peau de chèvre. Ombeline relance les siens en éloignant le danger de son enbut mais tire dans les chevilles de Hyunkel ce qui remet la soule au même endroit. A-t-elle essayé de le faire tomber la maline ? On ne saura le dire puisqu'il n'a pas mis pied à terre, mais le danger reste présent pour les bertincourtois. Stilicon décide alors de prendre les choses en main et remonte celle-ci, avant d'adresser une magnifique passe à Perl qui tente à son tour de passer à Mayaii mais celle-ci est intercepté par Katr qui la laisse dans le camp adverse pour ce tour. Le tour suivant s'annonce passionnant



[Consignes pour quand vous voulez, mais essayez de me les donner en entier ce coup-ci ^^]

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--Rufus



Gueulant comme un putois, levant le poing, le vieux coursier poursuivait ses invectives à l’encontre des Péronnais.

Allez j’ vous dis de leur péter leurs chicots !!!
Tapez zen blein dans leur lard zà zes molluzques !!!

Écrazez les, zes Béronnais, tayoooooooooooooo, vais vous montrer moi, bondiouuuuuuuu de nom dediousss !!!

Waouuuuuuuuu, allez Baronne, pétez lui la tronche à l’empafé là, allez zun coup sec entre les valseuses !!!


Tout existé sur son banc, il sautillait sur place. Il jouait des poings au grand désarroi de Nathanaël qui zigzaguait et se trémoussait afin d’éviter un coup du boxeur en herbe à ses côtés. Le coup de sifflet annonçant la fin de ce round, le calma quelque peu et lui fit de nouveau tourner la tête en direction de l’entrée du stade.

Ben, qu’est-ze donc qu’elle fiche …. Va pas me poser zun lapin… j’ferai pien voir …. Bas bossible zes ponnes femmes…. Jamais à l’heure….

Marmonnements bourrus, tout en jetant un p ‘tite giclée verdâtre au sol.

Bonjour l’ami !
Si tu attends quelqu’un vas y donc… Je garde le petit baron ! Cela fait tellement longtemps…


Ohhhh, Zenéchal, tudieu, j’vous avais bas vu.
Bon’jour za vous. Zavait la tête un beu plus zà l’endroit ze jour.
Zesty que za m’arrangerait pien, dis donc.
Zavait vu, la Baronne est zaussi sur la belouse.
Elle a repris de la pèche, enfin zety bas encore za mais za n’empêchez bas d’ fiche les chocottes.


Tout à coup, il LA vit à la porte d’entrée, et se releva prestement.

Ben, j’vous confie, Messire Shazame et zattention, hein, surveillez le, faut bas qu’il trainasse zavec la gamine Squire, ba bon, que za….
Elle l’empopine dans de zales combines, peste que zelle-là, faut l’avoir au coin de l’œil…
mais zest pas le vieux Rufus qu’elle aura …
J’vous la surveille, moua … fichue femelle, za promet pour l’avenir.

Bon, zesty pas le tout, mais m’en vais faire zun tour, et j’ reviens. Peut-être pien pas zeul.


Le vieux coursier lui fit un clin d'œil complice tout en remontant ses valseuses d'un geste des plus délicats et partit. Il descendit bien vite les escaliers des tribunes et prit la direction de l’actrice de ses fantasmes… Plus il avançait vers ELLE, plus ses mains devinrent moites … Il tenait, avec bien du mal , en place. Son pois chiche tournait à mille à l’heure … cherchant de quelle manière l’aborder …. Réutilisez les p’tites phrases apprises, ou encore … mais plus le temps de tergiverser, ELLE était déjà devant lui.

D’un air baveux, il la détailla dans le fichu qu’elle portait, se demandant où donc elle avait choppé ça. Il aurait pensé qu’elle aurait mis au moins un fichu de femme, plutôt qu’un uniforme…. Mine boudeuse de prime abord, puis plus curieuse voir lubrique ensuite, en apercevant que le fichu bleu soldatesque laissait entrevoir un bout de la pieau de la donzelle. La machine de ses rêves débridés démarra au quart de tour… Il commença même à faire le poisson, ouvrant et fermant la bouche à un rythme quasi hypnotique sans qu'aucun son n'en sorte. Puis il se ressaisit.
C’est donc avec une légère bave dégoulinant du bec et une révérence bien appuyée tout en ôtant son couvre chef, qu’il l’aborda.


O divine zapparition… O flageolette mouillante d’ mes ébicuriens fantasmes vous voila zenfin.
Zêtes zencore plus détonante dans ze ze fichu.


Il remit son couvre chef sur ses cheveux hirsutes et un peu graisseux. Ba oui, pas eu le temps de batifoler dans une barbaque de flotte trop de travail avec la patronne depuis son retour dans les casernes. Il tendit la paluche vers elle, attrapa la sienne et exécuta un baise-main quelque peu baveux.

Ze vous donne mon bras beauté ? Clignotement d’un des noeilnoeils bien appuyé, tout dans la délicatesse du parfait gentleman enfin du moins dans sa vision qu’il en avait^^

Za vous dis de poser votre croupe sur l’un de zes bancs ?

D’un geste un peu bourru, bousculant légèrement la Sergente d’Amiens, et dégrafant l’un des boutons du corsage, bien involontairement, pour sûr, il montra les tribunes. Il s'aperçut soudain de son geste en voyant la chemise entre ouverte...

Tudieu, pas fait exprès, roooo. Quel maladroit, qu’ j’suis. Vais vous le rebraguetter, voulez bien ? Zety y faire.
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