Jeffrey
Ah ça ma chère compagne de voyage c'est un talent dont vous ne soupçonniez pas. J'ai l'odorat développé, d'autant plus que votre merveilleux parfum je le reconnaîtrait même entouré de purin. Ouais je sais c'est romantique, mais je vois pas plus imagé, alors pardonnez-moi.
Malgré mes vaines tentatives de me sortir de cette fâcheuse situation, me voilà saucissonné ou me voilà jambonné (c'est être un jambon pour ceux qui se demandent). Un comble pour un gascon non ? D'habitude c'est lui qui mange les jambons...
Tas vraiment AUCUN instinct de survie cest dingue ! Déjà tu pouvais pas deviner que cétait moi, à moins davoir senti mon superbe parfum « eau de rose », ensuite tes même pas fichu de fermer ta porte à clés.
Facile de savoir que c'est toi... tes seins sont reconnaissables même dans le noir hein ! A force de les regarder, je les connais.
Réfléchis à tes conn.. je re..
HE OH ME LAISSE PAS LA COMME CA HEIN
Bah oui, c'est quoi cette histoire ? Se faire jambonner d'accord, mais le laisser en plan comme ça alors que le Senher était au garde à vous, c'est limite du scandale. A part vouloir me faire souffrir pour une raison qui lui échappe... Bah quoi, j'ai pas été si insupportable que ça, la preuve nous voilà presque arrivé à destination. Je n'ai pas craqué, et visiblement elle non plus. Enfin je n'ai pas craqué... C'est une autre histoire, mais il ne lui dira pas, préférant garder pour lui ses pulsions. Eh oui l'Homme est fait de pulsion, qu'il arrive à maîtriser pour le bien de la communauté.
Ah oui, et j'ai pas fermé à clé la porte pour une raison... Dois-je vous la dire maintenant ? Bien sur que non, un peu de suspense dans ce récit ne fait pas de mal. Un jour peut-être qui sait ?
Un instant je crus vivement qu'elle allait se barrer comme une fleur, me laissant finir la nuit, excité, seul, sans pouvoir me soulager car attaché. Vous imaginez la merde ? C'est une sacré torture ! Pire qu'arracher une dent ou des ongles, j'ai le sang chaud moi... Faut surtout pas me faire ça. C'EST INHUMAIN !
Mais comme le disais Jean-Michel, là voilà, fermant la porte mais restant dans la pièce. Bien sûr dans la pénombre, j'était légèrement en doute. Etait-elle partie ou encore là ? Néanmoins, je parvenais à distinguer une certaine ombre sans toutefois être sûr.
Oh Thierry, le jeu de mot était un peu facile là !
Oui Jean-Michel, j'ai presque envie de dire que c'est un carton jaune ! Le bout de champ frisé c'est limite.
Puis, finalement, après quelques secondes d'attentes en espérant qu'elle fini par avoir pitié de moi et qu'elle vienne me détacher, je sentis une main étrangère mais si familière venir m'effleurer le haut de mon épaule, jusqu'au creux de ma main. Pris de court, je n'arrivais plus à sortir un seul son de ma bouche. Me voilà pour la première fois muet. Elle est parvenue à me couper le sifflet. [JE PARLE DE LA VOIX HEIN]
Puis ses lèvres viennent cueillir les miennes, surpris mais agréablement pour une fois, me voilà attaché certes mais bien vivant. Mon souffle haletant, ma peau frissonnant au contact de ce corps. Je ne vais pas vous cacher que sa peau contre la mienne, continuait un peu plus à me faire de l'effet.
Néanmoins ses mouvements fût très limités. Attachés et totalement acquis à la cause de ma partenaire, succombant définitivement à Son Altesse, malheureusement trop facilement à mon goût, je profitai de ses lèvres, qui pour une fois ne l'agressait pas.
Mon corps réagit, comme vous pouvez vous en douter, il réagit comme un homme. Je fini par réussir à détacher mes lèvres des siennes, mais afin de garder un temps soit peu le contrôle et ne pas être totalement soumis à mon escorteuse, j'entrepris de mordre, avec une certaine douceur quand même [c'est pas un morceau de viande !] son cou, avant d'y déposer à plusieurs reprises ses fines lèvres afin de soulager la marque qu'il vient de créer sur sa peau. Me voilà, maintenant submergé par un désir jusque là inavouable et retrancher au plus profond de lui même, trahi par ses gestes.
Eh bien Jean-Michel, on dirait que Son Altesse avait finalement raison, en voilà un, qui est tombé sous son charme.
Evidemment, Thierry, il n'avait pas l'ombre d'une chance. On dirait un enfant qui vient d'avoir son jouet préféré, mais ce qui s'annonce n'est pas un jeu d'enfant...
Je tentais légèrement de me débattre, pour essayer de faire comprendre que je souhaitais au plus profond de moi même être détaché afin de profiter de cette situation qu'il avait plus d'une fois rêvé pendant leur voyage. Eh oui, je ne vous avais pas tout dit, mais j'ai toujours eu un faible pour les personnes insupportable. Au moins, obtenir de sa part, une faveur celle de pouvoir la découvrir de ses mains. Celle de pouvoir prendre la mesure de cette Princesse.
Mais, je sais très bien qu'elle est unique en son genre :
Indomptable
Indomptée
Forte
Indépendante
Imprévisible
Je vais m'arrêté là, cela vaut mieux pour tout le monde. Et surtout SES CHEVILLES.
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Malgré mes vaines tentatives de me sortir de cette fâcheuse situation, me voilà saucissonné ou me voilà jambonné (c'est être un jambon pour ceux qui se demandent). Un comble pour un gascon non ? D'habitude c'est lui qui mange les jambons...
Tas vraiment AUCUN instinct de survie cest dingue ! Déjà tu pouvais pas deviner que cétait moi, à moins davoir senti mon superbe parfum « eau de rose », ensuite tes même pas fichu de fermer ta porte à clés.
Facile de savoir que c'est toi... tes seins sont reconnaissables même dans le noir hein ! A force de les regarder, je les connais.
Réfléchis à tes conn.. je re..
HE OH ME LAISSE PAS LA COMME CA HEIN
Bah oui, c'est quoi cette histoire ? Se faire jambonner d'accord, mais le laisser en plan comme ça alors que le Senher était au garde à vous, c'est limite du scandale. A part vouloir me faire souffrir pour une raison qui lui échappe... Bah quoi, j'ai pas été si insupportable que ça, la preuve nous voilà presque arrivé à destination. Je n'ai pas craqué, et visiblement elle non plus. Enfin je n'ai pas craqué... C'est une autre histoire, mais il ne lui dira pas, préférant garder pour lui ses pulsions. Eh oui l'Homme est fait de pulsion, qu'il arrive à maîtriser pour le bien de la communauté.
Ah oui, et j'ai pas fermé à clé la porte pour une raison... Dois-je vous la dire maintenant ? Bien sur que non, un peu de suspense dans ce récit ne fait pas de mal. Un jour peut-être qui sait ?
Un instant je crus vivement qu'elle allait se barrer comme une fleur, me laissant finir la nuit, excité, seul, sans pouvoir me soulager car attaché. Vous imaginez la merde ? C'est une sacré torture ! Pire qu'arracher une dent ou des ongles, j'ai le sang chaud moi... Faut surtout pas me faire ça. C'EST INHUMAIN !
Mais comme le disais Jean-Michel, là voilà, fermant la porte mais restant dans la pièce. Bien sûr dans la pénombre, j'était légèrement en doute. Etait-elle partie ou encore là ? Néanmoins, je parvenais à distinguer une certaine ombre sans toutefois être sûr.
Oh Thierry, le jeu de mot était un peu facile là !
Oui Jean-Michel, j'ai presque envie de dire que c'est un carton jaune ! Le bout de champ frisé c'est limite.
Puis, finalement, après quelques secondes d'attentes en espérant qu'elle fini par avoir pitié de moi et qu'elle vienne me détacher, je sentis une main étrangère mais si familière venir m'effleurer le haut de mon épaule, jusqu'au creux de ma main. Pris de court, je n'arrivais plus à sortir un seul son de ma bouche. Me voilà pour la première fois muet. Elle est parvenue à me couper le sifflet. [JE PARLE DE LA VOIX HEIN]
Puis ses lèvres viennent cueillir les miennes, surpris mais agréablement pour une fois, me voilà attaché certes mais bien vivant. Mon souffle haletant, ma peau frissonnant au contact de ce corps. Je ne vais pas vous cacher que sa peau contre la mienne, continuait un peu plus à me faire de l'effet.
Néanmoins ses mouvements fût très limités. Attachés et totalement acquis à la cause de ma partenaire, succombant définitivement à Son Altesse, malheureusement trop facilement à mon goût, je profitai de ses lèvres, qui pour une fois ne l'agressait pas.
Mon corps réagit, comme vous pouvez vous en douter, il réagit comme un homme. Je fini par réussir à détacher mes lèvres des siennes, mais afin de garder un temps soit peu le contrôle et ne pas être totalement soumis à mon escorteuse, j'entrepris de mordre, avec une certaine douceur quand même [c'est pas un morceau de viande !] son cou, avant d'y déposer à plusieurs reprises ses fines lèvres afin de soulager la marque qu'il vient de créer sur sa peau. Me voilà, maintenant submergé par un désir jusque là inavouable et retrancher au plus profond de lui même, trahi par ses gestes.
Eh bien Jean-Michel, on dirait que Son Altesse avait finalement raison, en voilà un, qui est tombé sous son charme.
Evidemment, Thierry, il n'avait pas l'ombre d'une chance. On dirait un enfant qui vient d'avoir son jouet préféré, mais ce qui s'annonce n'est pas un jeu d'enfant...
Je tentais légèrement de me débattre, pour essayer de faire comprendre que je souhaitais au plus profond de moi même être détaché afin de profiter de cette situation qu'il avait plus d'une fois rêvé pendant leur voyage. Eh oui, je ne vous avais pas tout dit, mais j'ai toujours eu un faible pour les personnes insupportable. Au moins, obtenir de sa part, une faveur celle de pouvoir la découvrir de ses mains. Celle de pouvoir prendre la mesure de cette Princesse.
Mais, je sais très bien qu'elle est unique en son genre :
Indomptable
Indomptée
Forte
Indépendante
Imprévisible
Je vais m'arrêté là, cela vaut mieux pour tout le monde. Et surtout SES CHEVILLES.
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