Vera.
- Travestissement dominical pour enlèvement pas très banal c'est à l'Oculus Penetratus que ça se passe.
L'heure du départ approche et me voilà anxieuse, difficile de couper le cordon ombilical avec les Astolins entre autre. J'étais presque sereine en préparant mes malles et pourtant, le geste de monsieur le maire Rolin avait marqué mon esprit. Une cagnotte de 600 écus, municipale pour faire les courses ... L'idée prend forme dans ma caboche, 600 écus pour acheter ce qu'il manque à Limoges et comme les grands malades mentaux, j'ajoute une lubie à ma folie, je suis Limoges et ce qu'il va me manquer le plus c'est bien ces deux là. Si l'enlèvement de Rolin était bien trop compliqué à envisager et à préparer, je m'étais dessinée le plan d'exécution pour le rapt de l'amie Bohémienne.
Elle m'en voudrait sans doute à mort par la suite, mais je devais bien faire cet effort. Je n'accordais ma confiance à personne pour s'occuper d'une affaire de si haute importance. Le sable du temps me jouait des tours et il fallait me presser.
Un heaume vissé sur la tête, une armure enfilée avec grande peine et voilà que je déambule dans les ruelles de la ville. Je prends soins de balancer les grelots, les clochettes pour ne pas me faire démasquer trop vite.
Alors Von Bretzel tu la joues comment ce dimanche ? Russe, arabe, italien, français, un mélange de tout et de rien ? C'est le dé qui décide et c'est l'accent rital qui est de sortie. Le sort en est ainsi.
Vera. Le pas est lourd , tel un panda guerrier, la silhouette débarque dans sa main droite un sac en toile de jute, dans l'autre un couteau de boucher.
Vera. Le visage est maquillé de boue argileuse.
- La bohémiana entrrré dans lé sac ou gié té ségné commé ouna trrrouié !
Vera. Voix rauque ou rock'n italia
Astoria. rouvre les yeux et regarde la boîte de conserve.
Astoria. : Mais...?
Vera. : céci ést ouno enlèvement !
Astoria : Un enlèvement ?
Vera. : entrré dans le sac !
Astoria. : De qui ? de quoi ?
Vera. Agite le sac avec l'énergie d'un rital qui ne s'appelle pas Rocco Freddy mais plutôt Rocky Balboa là.
Astoria. : Vous voulez que j'entre là dedans ? C'est hors de question, faudra me passer sur le corps.
Vera. : Sourrr lés chemins perrr Florrrencé , gié té passerrré sourrr lé corrrps t'inquièté poulétté !
Vera. Se surprend quand même de ses menaces improvisées.
Astoria. louche sur le couteaux de boucher. On sait jamais avec les ritals, ils parlent beaucoup avec les mains, un coup pourrait toujours partir par inadvertance lors d'une grande tirade très éloquente.
Vera. Agite le couteau du coup afin de se donner un air plus persuasif et dangereusement dangereux.
Astoria. : Attendez attendez ! Inutile de s'énerver
Vous savez personne ne va payer ma rançon, on n'a pas un rond.
Vous voulez pas plutôt kidnapper Vera, c'est une femme d'Eglise un peu naïve mais blindée de thunes.
Vera. : Ki a dit ké c'ést perrr té rrrançonnerrr ? Gié vé té vendrrré à ouna famillé ki véout boirrré dou sang dé sorrrcièrrré !
Astoria. : Vous avez un putain d'accent à couper au....cou...Hmpf
Je suis enceinte !
Vera. : Vérrra é déjà dans le sac et dans la charrrrrrété
Astoria. : Mais ce n'est pas une sorcière, elle ?
Vera. agite à nouveau le couteau.
Astoria : Vous allez en faire quoi ?
Vera. puis le sac.
Astoria. tente de gagner du temps pour réfléchir à une issue qui ne soit pas mortelle.
Vera. la vendrrrré au marrrrché ovin Rrrromé la veut cette brrrrééébis gâleuse.
Astoria. : Ecoutez. Mon mari va sûrement vous tuer. Vous êtes trop jeune pour mourir
Réfléchissez bien à ce que vous voulez.
Vera. Tente de se précipiter vers elle avec la grâce d'un type dans une boîte de conserve comme si le temps lui était compté.
Astoria. se recroqueville sur elle-même, comme un hérisson.
Vera.: Rrréfléchirrr à ké ?
Vera. a quand même un mouvement de recul, a pitié ? !
Vera.: Dans lé sac !
avant ké lé marrri à toi vienne !
Astoria. pleurniche un peu en appelant Rolin tandis qu'elle rampe jusqu'au sac
Vera. est confrontée au tutoiement inhabituel, à l'accent ainsi qu'au port d'armure qui commence à l'échauffer là.
Vera. Satisfaite de la docilité de son amie/otage.
Vera. Bienné bienné !
Astoria. chouine comme les petits chiots qu'on s'apprête à noyer parce qu'ils encombrent.
Vera. :Lé plus simplé serrrré ké tu grrrrimpe de ton plein grrrrré dans lé charrrrété
ké té sourrrriiis.
Astoria. : Faut pas pousser !
Vera. : commé si t'été avec un camarrrradé.
Astoria. : C'est un enlèvement pas un voyage touristique !
Vera. dodeline de la tête.
Vera. : Jé vé té rrraconté oune histoirrrré !
oune bourrrgmestrré ké l'a donné 600 écus à quelqu'un pourrrr achété ce ké manqué à la villé, ou cé ké lé manqué à cette perrrrsonné
et cette perrrsonné l'a donné 600 écus à mi pourrr té prrrendré.
Vera. dit ça avec un air pervers tiens, a appris que le verbe prendre dit comme ça voulait tout dire ou presque.
Astoria. :Qui ? QUI vous a donné cet argent ? !
Vera. Dissimule un rire en approchant de trop près le couteau de boucher de sa trogne a un mouvement de recul.
Vera. : oune ami ké mé veule du bienne !
Astoria. :Et qui me veut du mal !
Vera. en roue libre avec l'accent, commence à faire un mixe de l'ibérique et de l'italien.
Vera. : on pourrra sé fère du bienne toi et mi !
Astoria. :Je suis mariée !
ROLIIIIIIIIIIN
Vera. :gié souis ouno hommé en velourrrs dans ouno corrrps dé ferrr...
Astoria. sonne l'alerte.
Astoria.: ROLINNNNNNNNNNNN
Vera. : Rrrrolin s'il vienne il va souffrrrirrr !
Astoria. en boucle, elle appelle son sauveur, son héros.
Astoria. :ROLIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINN AU SECOURS !
ON VEUT ME TUER !
Vera. no ! juste té saigné commé lé trrrruie si té continué à crrrrié...là..
Astoria.: Hiiiiiii
Si vous me touchez vous serez maudit !
Vera.: Haaaaaaaaan gié ne suis pas monté commé oune âne mais plutôt comme oune étalonné cé trrrop tôt pourrr té montrrré
gié n'souis pas oune animalé...
Vera. commence à gagner en autonomie niveau accent en revanche pas convaincue qu'un rital cause comme ça ..
Vera: si si té pourra mé maudirreee en chemin...
Astoria. :Vous serez responsable de la mort d'un innocent !
Vera. :gié ferré en sorrrrté ké té souas pas innocenté
gié té férré couiné mieux ké ton marri...
Astoria.: Je parle pas de moi mais de mon bébé !
Vera. merci aux années de teneuse d'auberge et de crachoir..
Vera : lé bébé j'y toucherré à peiné l'aurrra une bossé
on l'appellerrraa bo bossé à la placé de bo gossé et ça serrra oune peu mon fils...
Vera. Commence à toucher le fond ayé.
Astoria.: Vous êtes un être profondément abjecte !
Vera : Cé soirrrrré entrrrre ici et oune villé gié te fairrrré oublié la peurrrr
Adelaide_ entre dans la taverne.
Adelaide :Bonsoir !
Astoria. est dans un sac en toile de jute en passe d'être enlevée par un faux rital en armure
Vera. Va devoir mettre les bouchées doubles, rendue à tenter d'enlever la sorcière, va devoir tenter l'enlèvement de la princesse aussi, n'était pas préparée.
Astoria.: Au secours ! ROLIN ! Au secours !
Astoria. hurle dans l'espoir que cette arrivée inespérée la tire de ce mauvais pas
Vera. agite son couteau de boucher et un peu son sac en toile de jute où elle a enfin réussi à " enfiler" Astoria.
Vera.: Oune rouquiné !
Adelaide_ s'arrête net de sourire quand elle voit ce qu'elle croit voir, et s'arme de... D'un coussin. Qu'elle lance sur l'homme en armure.
Adelaide : Lâchez-la, sale blanc-bec !
Adelaide_ pèse dans le game de l'insulte.
Vera. Tel un Nicky Larson qui n'a jamais peur de personne, sort un second sac en toile de jute de nulle part, c'est magique.
Vera. : Rrrouquiné rrrentrrré dans cé sac en silencé.
Astoria. déchante un peu, cette voix est bien trop féminine pour être celle de son mari, ce qui ne l'empêche pas pour autant de continuer à hurler ses appels au secours.
Vera.: mon commanditairrrré il va êtrrrré content !
Alfred555 entre dans la taverne.
Alfred555 entre et salue.
Alfred555 : Bonsoiiir à toutes !
Vera. ayé la sent la panique d'être grillée agite toujours son couteau sous les yeux d'Adélaïde et surveille Astoria.
Adelaide_ se recule et attrape un télescope, qu'elle brandit comme une batte de baseball.
Alfred555 : Et bonsoir à la boiboite lustrée.
Astoria : AU SECOUUUURS !
Adelaide_: JE VOUS ASSOMME JE VOUS PRÉVIENS !
Astoria. dans son sac en jute qui espère toujours son sauveur.
Vera.: Hé le bouffonnné donné moua oune coup dé main et gié te laissé la vie saufé !
Alfred555 s'assied un peu plus loin, se demandant ce qu'il se passe là.
Alfred555: Vous voulez que je vous donne un coup ? Mais vous êtes caparaçonné, c'est de la triche !
Véra a la lubie d'enlever Astoria à la base, elle a enfilé son armure, mode travestissement dominical et la joue rital bad boy qui veut la "prendre " ah ah ah et bon puisque la princesse débarque, autant viser gros, les deux pour le prix d'une !
Vera. : ouné coup de main allé allé, prrrenné la rrrousse gié prrrends la brune dans lé sac !
Vera. agite le sac en toile de jute.
Astoria. : Je donne le double à celui qui me libère !
Alfred555 regarde l'une, puis l'autre.
Astoria.: LE DOUBLE !
Vera. gié té donné beaucoup beaucoup d'arrrgent
Astoria. ne précise pas le double de quoi, pas folle la guêpe.
Adelaide_ jette un regard menaçant à Alfred, toujours armée de son télescope.
Alfred555: Quand même, la rousse est un peu jeune pour que je la "prenne"... Vous les aimez jeune, vous, on dirait...
Pervers !
Pédéraste !
Vera. : si si si oune perrrrvers.
Vera. claque la langue sur son palais là pour se donner un genre.
Alfred555 se demande ce qu'il fout là, quand même
Vera.: Lé pédérrrasté il va té fairrrré un trrrrroissième trrrrou de né si té l'aidé pas !
Adelaide_:Je vous apprendrai ce qu'il en coûte de s'en prendre à une fille de France !
Adelaide_ met un coup de télescope dans la casserole.
Astoria. s'alarme du bruit.
Alfred55: Une fille de France ?
Astoria.: Keskécé ?
Vera. :Gié souis fils de puta d'Italie ké ...ellé m'agrrrrréssé la fils dé la frrrrrancé aïe aïe aïe mamia...
Adelaide_: Montjoie ! Saint Denis !
Adelaide_ s'enflamme. Et remet un coup. Ça résonne.
Alfred555 : Punaise, vous êtes mal barré ! C'est la fille de Elisabeth Stilton !
Vera. contente de porter l'armure pour le coup n'avait pas préparé ce scénario.
Alfred555 : Elle va vous faire la peau.
Adelaide_ : Que... Mais... Mais pas du tout !
Alfred555 regarde la gamine.
Vera. Tente d'avoir la "main mise" sur le sac de jute portant Astoria du coup.
Alfred555 : Nan mais ne me cassez pas la baraque, là, j'arrivais à être crédible... Maintenant, ça va être plus dur...
Adelaide_: Ah pardon.
Adelaide_ fait un petit chassé vers l'arrière.
Adelaide_ : Je vous préviens j'ai un entraînement militaire !
J'ai été formée par le capitaine de la garde royale !
Vera.: La rrrouquine té enrrrragé commé la brrrrrebis égarrrrrré !
Alfred555 : Nan parce que bon, voilà, si je dis - au hasard - que vous êtes la fille de Guillaume de la Mirandole, il va se marrer.
Alors que Stilton, il flippe !
Vera. : gié vé té prendrrrrré mais aprrrrrés..
Adelaide : Je vais vous occire si vous ne la relâchez pas !
Vous pourfendre !
En deux !
Comme une pomme coupée en deux !
[i]
Alfred555 a le sens des priorité.
Vera. Caresse les tifs de sa copine genre t'inquiètes poupette j'vais pas te violer meuf.
Alfred555:Ou une poire.
Astoria. chouine dans son sac pour sa part en se demandant pourquoi Rolin ne débarque pas dès qu'elle pense à lui ou qu'elle l'appelle
Vera. Mais bon elle incarne le pervers rital donc la caresse est ressentie comme celle d'un gros dégueulasse en rut.
Astoria : Il va me violer ! Il va me violer !
Alfred555 : Franchement, lachez Astoria. En plus, elle est enceinte. Même plus bonne à se faire violer.
Vera. : Gié lé aimé grrroossé !
Astoria. s'insurge, c'est pas parce qu'on est dans un toile de jute qu'on peut plus faire juter, hé !
Vera. Vas y remet une couche là. De dégueulasse.
Astoria. Mais je suis plus bonne que la plus bonne de tes copines, enfoiré !
Adelaide: Olalalala.
Alfred555 : Oh ça va, n'en rajutez pas une couche.
Vera. elle vé sé fairrrrré prendrrrré par un vrrré hommé
Vera. Hilare dans sa caboche ayé.
Alfred555: Mouais... Vrai homme, vrai homme...
Vera. tapote sur sa carcasse en ferraille avec la pointe de son couteau de boucher donc.
Alfred555 : Un vrai homme qui doit se mettre dans une armure pour avoir le courage d'attaquer une faible femme et une morveuse, je n'appelle pas ça "un vrai homme".
Vera. Tout il é solidé ché moué ! * l'accent part en sucette par moment, elle le cherche quoi**
Adelaide_ :Je vais vous découper votre zigounette et en faire du boudin, ouais !
Vera : gié oune armée à quelqué jourrrré dé la villé !
Vera. A mal à ses ovaires alors que la princesse cause de lui couper son saucisson imaginaire.
Astoria.: Ce n'est pas moi qui ait tué Alistaire ! j'le jure !
Alfred555 : Montrez-nous au moins ce qui fait de vous un "vrai homme". Qu'on voit ce avec quoi vous allez travailler Astoria.
Astoria. Même si j'ai vendu des faux remèdes contre la Tarra !
Adelaide_Bien fait pour lui d'abord.
Astoria. se figure qu'on veut lui faire porter le chapeau pour la mort peu glorieuse du Tyran.
Alfred555 : Astoria, vous l'avez tellement voulu, maintenant assumez la mort d'Alistaire.
Vera. Astorrrrria gié vé té fairrrré mieux l'amourrrrré maintenant ké t'a parrrrlé vrrrai !
Vera. Grimace quand même.
Astoria: J'ai prédit sa mort ! Je ne l'ai pas maudit !
Il était déjà condamné.
Vera: La rrrrouquiné fillé dé la frrrrancé entrrrré dans lé sac de la toilé dé juté
gié vous embarrrrqué toutes les deux allé.
Alfred555: Ah, l'autre truffe de Vera doit jubiler, elle qui vous traite tout le temps de sorcière ! Vous pensez qu'elle allumera votre bûcher ?
Adelaide_ :Jamais !
Astoria.: Il a aussi enlevé Vera !
Vera. : lé Vérrrrrra lé dans la charrrrréttté.
Astoria. chouine de plus belle.
Alfred555 - Vera ? OLALALALA
Vera.: si si..
Alfred555 : Elle va ENFIN connaître l'amour !
OLALALALA !
Vera. : oune parrrtouzé !
Vera. grimace de plus belle ayé.
Alfred555 :En fait, vous êtes une véritable âme charitable, messire !
Astoria.: Mais délivrez-moi bordel à queue !
Vera. Ce personnage elle ne l'avait jamais joué, en plus un dimanche !
Alfred555 : Certes, il y a souvent des queues qui trainent dans les bordels.
Vera. :si si lé bouffonné y'a de la placé pourrrrr 8 quand y'en a la placé pourrrr 3.
Astoria. se sent comme la princesse dans Thierry la France qu'on oublie de libérer de l'arbre auquel elle se trouve ligotée.
Alfred555 : C'est vrai que Vera a un nom qui finit en "a". Comme dans la chanson "Daniella".
Vera. espère être dans les temps quand même, jetant un oeil à la porte des fois que Rolin débarque et lui nique toute sa stratégie.
Vera :Si si commé la Astorrria
gié vé lé fairrrré couinééé
si ellé né sont pas sagé.
Vera. agite son couteau.
Vera. Bon la rrrouquiné gié pas toute la nouité !
Alfred555 - Ah oui, Vera n'est pas sage du tout. Une véritable pécheresse.
Vera.- si si la péchéressé gié la rramène à Rrroma
Alfred555: Astoria est une salope, mais elle le revendique.
Adelaide_ Vous ne m'aurez pas vivante !
Vera.21:59 la fils d'la frrrancé gié vous vé vivanté
Alfred555 :La fille, pas la fils.
Adelaide_: Gié dit non d'abord !
Alfred555- Apprenez à parler local avant de vous la péter !
Vera.- si si parlé italianno y spagnolo el rigolo Bouffonné !
gié parrrrlé pas vrrrraiment la francé !
Alfred555- Ouais, mais vous ne comprenez pas le sens du mot "non", visiblement.
Alfred555 ricane.
A cet instant précis, l'Arpaon est dans la charrette et je suis presque triomphante ou pas du tout. La soirée n'était pas encore fini après tout.
Une fugue et un enlèvement c'est d'un compliqué à organiser !
_________________
Comtesse de Comborn & Baronne de Lavauguyon
Chanoine du diocèse de Limoges
Marieuse au chômage technique
Amatrice de messes en sourdine
"Cry romain: Parle à mon cul ma tête est malade !"
en ce moment c'est un peu ça...
Chanoine du diocèse de Limoges
Marieuse au chômage technique
Amatrice de messes en sourdine
"Cry romain: Parle à mon cul ma tête est malade !"
en ce moment c'est un peu ça...