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[RP] Brèves de Comptoir & autres joyeusetés

Aelaia

▤ L'abus de rimes est dangereux pour la santé. ▤
A rire sans modération.



    AELAIA - Et elle laissera pousser ses tifs pour les pendre à la fenêtre de son donjon doré.

    Aelaia a trop lu de bouquins, étant môme.

    JHOANNES - Hum. ça se voit que t'as jamais essayé ça toi hein.
    AELAIA - Moi, je préfère les couper.

    Aelaia agite ses boucles raccourcies au début de l'hiver.

    DAYSEN - PAF. J'ai saisi.

    Jhoannes fronce le museau.
    Aelaia tourne le visage vers celui qui a saisi. Ah.


    JHOANNES - Ta vie tes boucles.
    IMBAULT - Parce que t'as pas besoin d'avoir les cheveux qui pendent d'une fenêtre pour avoir une horde de sbires à tes pieds ?
    AELAIA - Je sème des p'tits bouts de brioche, moi.
    JHOANNES - En vrai ça pourrait faire une chanson.

    Jhoannes fait passer la gnole.

    AELAIA - Fais nous rêver de ta douce voix ?

    Jhoannes offre une tournée générale !
    Daysen trinque et picole


    IMBAULT - Vas y ! Donne tout !
    AELAIA - Bobault tape des mains pour l'accompagnement musical !

    Aelaia récupère la gnole. Cul sec d'une mini gorgée, avant de passer aux voisin préposé aux percussions ; à Bobault, quoi.

    JHOANNES - ♫ Ta vie tes boucles, ma vie mes boules ! J'en ai rien à foutre, tant qu'tu roule ton boule, y a tout qui rou-ouleuuuuuh. ♫
    JHOANNES - ... Sérieux, à travailler.

    Imbault. tapote sur la table pour le rythme
    Aelaia se tape un beau fou rire. Bordel. Le pire, c'est que y'a du level.
    Imbault. fait les chœurs pour accompagner le tout en continuant à taper le rythme sur la table
    Daysen observe la tablée.


    IMBAULT - ♪ Tant qu'elle roooule son boooouuule ♫
    JHOANNES - ♫ Moi j'pars manger des mouuuuuules, avec ta tante à Vésouuul... ♫
    JHOANNES - Krkrkr.
    AELAIA - Eh, les gars ? , arrive-t-elle à articuler entre deux fous rires.
    JHOANNES - ♫ Ma vie mes b- Hum ?
    AELAIA - J'vous aime. Changez pas.
    IMBAULT - ♪ A gauche ! A droite ! J'm'en fous des priorités tant qu'j'peux ken tatie Béré ! ♫

    Aelaia sifflote pour accompagner.

    IMBAULT - Allez tout le monde, la choré !
    JHOANNES - Allez Daysen, balancez vos lignes !
    IMBAULT - ♪ A gauuuche ! ♫
    AELAIA - Woop *hips* wooop !

    Imbault. balance un petit move sur la gauche pas trop simple à répliquer

    IMBAULT - ♪ A droiiiite ! ♫

    Imbault. envoie le même côté droit tout en percussionnant du peton.

    IMBAULT - ♪ J'm'en fous des priorités tant qu'j'peux ken tatie Béré ! ♫
    DAYSEN - Nan.. suis po doué. pas comme vous.
    AELAIA - Et qu'tu roules ton boule boule boule ♪

    Imbault. envoie un petit mouvement descriptif typique du rap américain que nous ne décrirons pas ici par pudeur

    IMBAULT - Vas y Ael ! Roule roule !
    JHOANNES - ♫ En haut, en bas, ça c'est tatie Jeanette qui m'fait du pied en loucedé !
    AELAIA - ♫ En diagonette, c'est Pinette qui n'a pas la suette, ouh ouh ♫
    IMBAULT - ♪ Jeanette ! Huguette ! Paulette ! ♫
    IMBAULT - Pinette ?
    AELAIA - J'cherchais une rime.
    JHOANNES - Pinette...
    AELAIA - Lapinette.

    Jhoannes hoche doucement. La vibe est cassée.

    IMBAULT - Donc t'as pensé à une pine et t'as voulu rendre ça mignon ?
    JHOANNES - Krkr. Tu l'as imaginée avec un petit ruban autour ?
    AELAIA - Mais non. J'ai pensé aux pattes de lap.. M'enfin !

    Imbault. baisse un peu les yeux histoire de vérifier s'il n'aurait pas le chibre trop moulé par ses braies mais c'bon, le tabard cache tout ça

    JHOANNES - Et genre tu lui rends des petites visites matinales ? "Coucou ma pinette"...
    IMBAULT -Et quand tu la caresses elle s'étire de plaisir ?
    AELAIA - Allez Daysen ! Vous aviez plus de verve sur la place publique !
    JHOANNES - Quelle drôle de bestiole quand même cette pinette. Sacrée pinette.
    AELAIA - C'est Bobault qui me l'a soufflée à l'oreille.

    Aelaia hoche vivement.

    IMBAULT - Je t'ai soufflé une pine à l'oreille ?

    Imbault. cligne

    AELAIA - C'est pas ce que tu as dit ? Ginette ? C'était Ginette ?
    IMBAULT - Euh... Ouaiss. Ginette.
    DAYSEN - J'attends la prochaine comtesse pour lui faire quelques rimes
    IMBAULT - La nièce de l'orfèvre qui vivait près du canal Van Flemsh à Bruges.
    AELAIA - ♫ Lucie, Ma Mie t'es l'bonheur de ma vie ! ♫

    Jhoannes observe Ael.

    JHOANNES - Vous faites quoi là ? Pourquoi vous foutez une ligne romantique ? Ça causait de cul. M'enfin.
    AELAIA - J'balance des rimes sur la future Comtesse. Je peux pas... parler de son cul.
    JHOANNES - Ah bon ? C'est interdit ?
    AELAIA - J'suis pudique.
    JHOANNES - Genre.
    IMBAULT - Dis lui les termes Ael.
    AELAIA - Les termes ? ♪ Lucie...t'as l'boulie qui m'donne... envie ? ♫
    IMBAULT - Popopooooooo !
    JHOANNES - Le boulie !
    AELAIA - Hé, j'fais comme je peux, hein.
    IMBAULT - ♪ Et pour Ael hip hip hip ! Et pour Ael hip hip hip ! Et pour Ael hip hip hip houraaaa ! ♫
    JHOANNES - Non mais ça rend bien, ça fait un peu péon du hameau.
    IMBAULT - ♪ Elle est des nooootres, elle a fait sa beaaauf comme les aaauuuutreuh ! ♫
    JHOANNES - "Lo l'boulie qu'donne envie."

    Aelaia n'propose pas d'toper dans l'nombrèl d'la Marlène, lo.

    JHOANNES - Bon, sur toutes ces belles conneries, bonne soirée.
    AELAIA - Rabat-joie. C'était pas fini !
    JHOANNES - Ah mais je t'en prie, termine tes rimes.
    AELAIA - Il manque des rimes en "esssss" pour tonton Jhoannessss

    Jhoannes plisse le regard.

    AELAIA - C'est facile.
    JHOANNES - Ouais, elle va être terriblement difficile à trouver celle-ci...
    AELAIA - Daysen. J'suis sûre que vous l'avez, là ! Allez !
    DAYSEN - 'Suis po doué, suis timide.

    Jhoannes encourage le type du regard. Vas-y mec. C'est donné là.

    IMBAULT - ♪ Jhoannesss ! Jhoannesss ! Viens qu'on te dreeessse ! ♫
    IMBAULT - ♪ Jhoannesss ! Jhoannesss ! Viens qu'on te graaiiiisseuh ! ♫
    AELAIA - No stress, t'as les f....

    Aelaia encourage le brun du regard.

    JHOANNES - Krkrkr... Ah ?

    Imbault. fait un "Vas y" silencieux à Boule pour qu'elle balance ses lignes

    JHOANNES - Hum. Bon j'm'arrache !

    Daysen s'offre un verre.
    Daysen s'offre un verre.
    Jhoannes filoche vers les marches en roulant des hanches. Ouh.


    DAYSEN - Je bois bois, c'est pour trouver l'inspiration comme vous.

    Daysen picole

    JHOANNES - 'nuit !
    IMBAULT - Yeah ! Roule ton boule maboule !
    DAYSEN - Bonne nuit.

    Jhoannes sort de la taverne.

    AELAIA - No stress, pas b'soin d'en faire des caisses, les fessses de Jhoannes...

    Aelaia cherche une dernière rime.

    IMBAULT - Woop ! Woop !

    Daysen sourit puis se lève
    Aelaia s'incline. Ayé. Le show est fini.

_________________
Astoria.
Hystérie Féminine
Ou quand l'innocente question d'une gamine ranime de vieilles querelles conjugales.


Citation:


Rolin : Il est trop malin, il a compris qu'y avait aucun intérêt à attaquer à son père, contrairement à Loth et à Alixia

Rolin caresse ledit chat qui se laisse faire

Alixia : J'attaque pas moi

Astoria : Il confond avec son autre fille blonde qui s'appelle Alixia

Alixia : Il a pas d'autre fille blonde.

Astoria : Je t'assure que si. Tiens au fait, en parlant d'enfant illégitime... Elle est devenue quoi la morveuse de Clo ?

Rolin : Mmh pourquoi tu d'mandes ?

Alixia : On peut l'adopter ?

Rolin caresse pareillement le museau de sa fille, pour voir si elle est docile

Alixia : Arrêteuuuh

Alixia. secoue la tête

Astoria : Et toi pourquoi tu réponds pas....?

Astoria. plisse les paupières subitement suspicieuse.

Alixia : Ca se trouve elle est en maison close.

Rolin glousse de la réaction de la petite blonde, et une deuxième fois devant la réponse apportée.

Rolin : Mmh... comment tu connais les maisons closes, toi ?

Alixia : C'est des maisons fermées. Je le sais car on me l'a dit

Astoria. constate qu'il élude et ça, ça pue du cul.

Alixia : Elle est p'tet morte

Astoria: Tant mieux.

Alixia : Comme sa mère

Rolin : Voilà, elle doit êt' dans une maison close

Alixia :Quand elle aura 10 ans elle viendra te trouver aussi

Rolin finit par lui répondre

Alixia : Comme moi j'ai fait.

Astoria : Elle est où ?

Rolin : Clo l'avait mise dans un... euh, les machins à l'église pour les orphelins

Astoria. : Je refuse d'avoir sous le nez le fruit de tes amours avec cette trainée que t'as embrassé avant qu'on se marie ! J'te jure que je te tue et elle avec.

Alixia. : Mais moi tu as bien voulu de moi alors que papa était aussi avec maman avant que vous vous mariez. Même si au début tu voulais pas trop.

Astoria. : Au début nan je voulais pas. Tu peux lui demander.

Alixia. : Tu as changé d'avis.

Astoria : Nan mais c'est pas pareil.

Alixia : Peut être que tu vas changer pour la fille rousse aussi.

Astoria : Ta mère elle est pas venue chercher ton père alors qu'il allait m'épouser.

Alixia : La Clo elle a fait ça ?

Astoria : Ouais, Clo elle a pas comprit que c'était terminé visiblement, puisqu'elle lui filait des rendez-vous secrets en pleine nuit sur les bords de la Vienne

Alixia : P'tet que papa y disait encore des mots d'amour à cette époque

Astoria. : Et que ton connard de père, il s'y précipitait. Me laissant toute seule. Trois semaines avant qu'on se marrie !

Alixia : Han la la ! C'est vraiment pas gentil !

Astoria. : Ouais. rien que pour ça je devrais divorcer !

Astoria. en a encore des palpitations

Rolin : C'était pour vérifier si elle était jalouse, si elle tentait quoi qu'ce soit, toussa

Astoria : Il ment! T'as eu envie de revivre un peu de la nostalgie d'avant que j'arrive !

Alixia : C'est vraiment moche ! Pourquoi tu t'es mariée quand même ?

Astoria : Ils avaient des propos super ambiguës, ça se dragouillait sévère. Hmm...

Alixia : Oui mais au final il a choisi toi.

Astoria : Tu parles ! Il m'a pas choisi. C'est moi qui l'ai choisi. Lui il s'est juste laissé porter, comme tous les hommes.

Alixia : Oui, mais il aurait pu dire qu'il préfère Clo. Alors que finalement il est avec toi.

Astoria : Mais bon si j'avais pas tenté de le reprendre, il serait allé avec Clo.

Alixia : En plus tu t'es battue pour l'avoir !

Astoria : Non mais ton père, pour qu'il la quitte "sa" Clo, ça été long de plusieurs mois
"je vous aime toutes les deux" Gnagnagna. Mon cul !

Alixia : C'est horrible !

Rolin : Mais j'l'ai quittée.

Astoria : T'avais juste peur de te retrouver comme un con tout seul avec ta bite !

Alixia : Haaaan !

Astoria. résume vulgairement

Alixia. choquée du vocabulaire.

Astoria : C'est confortable le mariage, pour ton père. C'est dur de sortir de son petit confort.

Rolin : Une bite, c't'un poney pour adulte.

Rolin explique à sa fille, tant pis si elle confond plus tard, à supposer qu'elle ne sache pas déjà ce que c'est

_________________
Kachina
[Quand Josie et Kachi tentent de convaincre Amicie de l'importance d'être embrassée]

    Mazet avec la gravité d'un futur ancien président de la république, se dirige vers la sortie et sort de la taverne.
    Amicie pouffe


    Josephine.. : Non mais regardez le !
    Vous l'avez vu, là, faire son numéro ?

    Amicie : Quel drôle d'oiseau.
    Il est amusant comme tout.
    Même s'il n'a pas de goût.


    Amicie parle de la plume, et du refus
    Josephine.. pouffe

    Josephine.. hoche la tête

    Kachi : C'est un joueur. Les hommes font ça. Les filles aussi d'ailleurs.
    Josephine: Un mauvais joueur.
    Je vous l'assure !

    Kachi : Bah...... je vous pense assez fines pour jouer avec brio
    Ami ?
    Si jamais Bart se propose......A la place de Mazet pour ce premier baiser...

    Josephine.. : Ah non. Il est moins beau.
    Mais peut-être qu'il embrassera mieux.
    Il a de l'expérience. Il est plus vieux !

    Amicie : Je ne l'ai jamais vu.
    Kachina : Bart est beau
    Amicie : C'est très gentil de votre part, mais cela ira.
    J'embrasse le ciel le matin, la chaleur des bains le soir.
    Les bourgeons en pousse l'après-midi.
    Mes mains lorsqu'il vente trop fort.
    Mais pas les Bart . Ou très rarement.

    Kachi : Oh misère, vous finirez nonne à ce rythme là
    Josephine. : Pourquoi croyez-vous que je veux qu'elle recoive son premier baiser ?
    Et puis elle comprendra ainsi pourquoi je veux retrouver mon Charles au plus vite !


    Kachina hoche la tête pour Josie, d'un air convaincu
    Kachi : Ah oui, là, je comprends l'urgence
    Josephine. : Dites-lui, vous, ce que ca fait, d'être embrassée, aimée !
    Amicie : Est-ce qu'il est important d'embrasser un être aimé, déjà ?

    Kachi : Oui. Il faut l'envie de l'autre. C'est très intime un baiser.
    Il faut le désir au moins à défaut de l'amour

    Josephine : Oh, ca se fait aussi par défi.
    Mais c'est bien moins agréable.

    Kachi : Aussi oui. Mais je n'embrasserais jamais - même par défi - le vieux Gédéon tout édenté moi avec son haleine puant l'ail, vous voyez ?


    Amicie lorgne sur sa soeur qui s'y connait un peu trop
    Amicie : Le désir oui.
    Kachi : Donc le désir est là. Il brule vos reins. Vous situez Ami ?
    Amicie : Je situe, oui.
    Je suis très bonne en anatomie


    Kachina ne peut réprimer un sourire à l'entendre
    Kachi : Et malgré vous, vous fermez les yeux
    Peut etre pour mieux vous couper du monde


    Amicie écoute avec attention.
    Kachi : Et là, vous avez une bouche qui vient se poser sur la votre.

    Josephine.. se mord la lèvre en écoutant Kachi, repensant à Charles
    Kachi : C'est..........Déroutant la première fois
    Peut etre que quand sa langue forcera vos lèvres, vous penserez...
    Berk......
    Mais faut pas s'arreter à ça oh non........

    Josephine.. : C'est humide, Amie. Et chaud. Et doux.

    Josephine.. hoche la tête pour appuyer les propos de Kachina
    Kachi : Parce qu'ensuite..............

    Amicie essaye de se l'imaginer, mais ne parvient pas à associer l'image de l'homme à quelqu'un.
    Kachi : Ensuite......... le monde s'arrete de tourner
    Vous chavirez, vous etes en perdition, habitée par des sensations folles, vos sens en émoi

    Amicie se concentre, avec beaucoup de difficulté.
    Kachi : Ce parfum de cuir à sa veste
    Josephine.. : Ca ne sent pas le cuir, non. Ca sent...
    Kachi : La douceur de ses cheveux sous vos doigts quand vous vous arrimez à sa nuque


    Josephine.. essaie de mettre un mot sur l'odeur dont elle se souvient
    Kachina offre un regard agacé à Josie


    Kachi : Josie, fichtre ne me coupez pas. Le mien sent le cuir, d'accord ?
    Si le votre sent le cheval, c'est pas ma faute hum ?

    Josephine.. se tait et fait un geste d'excuse
    Pardon, pardon, mais c'est perturbant quand vous dites ca, je n'ai pas envie de m'imaginer embrasser Alan !
    Kachi : Hein ? Ah non bon sang, non. N'imaginez pas. Je refuse.

    Kachina bougonne
    Josephine.. se marre


    Kachi : Et donc vous êtes là à vous régaler d'un autre alors que lui aussi vous dévore.
    C'est d'une violence inouie un baiser


    Kachina regarde les filles
    Josephine.. hoche lentement la tête pour confirmer


    Kachi : Le cuir, le musc, la mousse, le fumier peu importe après tout. Tant que vos sens sont aux abois
    Et de ces sensations à votre bouche, découlent mille autres effets secondaires. Vous tremblez, vous vascillez sur vos jambes. Vous n'êtes plus de ce monde.


    Amicie : Mais est-ce que tous les baisers sont ainsi ?
    Ou uniquement le premier ?

    Kachi : Le premier, soyons honnetes est toujours comme un tour d'essai
    Josephine.. : Ceux de Charles s'amélioraient à chaque seconde
    Kachi : Vous serez maladroite, vous n'oserez pas. Il aura tous les pouvoirs
    C'est tout un art le baiser.

    Josephine. : Sauf s'il ne sait pas embrasser.
    Rappelez-vous Gaëtan. Mon dieu, il m'avait mordue la l..
    .


    Josephine.. se tait pour laisser Kachina poursuivre

    Kachi : Arf oui. Certains sont moins doués que d'autres, je plussoie.
    Bref, ça peut etre très tendre aussi un baiser
    On peut se dire dans un baiser l'amour infini qu'on a pour l'Autre ou l'envie dévorante aussi.
    Bref, embrassez vous que diantre
    Embrasez vous
    Moi je vous laisse à rever de ça, débrouillez vous !


    Kachina se lève, défroisse ses jupes, ramasse sa besace pour la glisser à l'épaule et tourne les talons après les avoir saluées de la main

_________________
Kachina
[Quand Constance et Kachi cherchent enseigne pour un partenariat à venir dans la dentelle]


    Ansvald : Elle est belle cette robe?

    Constance_weber le regarde outrée
    Constance : Je l'ai faite de mes blanches mains enfin!
    Elle est parfaite!


    Kachina lance un regard tout aussi outré à Ansvald
    M'enfin, nous sommes associées Constance et moi et notre boutique c'est de la haute couture bordel

    Ansvald rit
    Je sais bien mais je veux me rassurer

    Josephine.. pouffe dans sa main, n'aimerait pas être à la place d'Ansvald
    Vous auriez dû vous renseigner avant de commander
    S'il ne la veut pas, je vous la prends Constance !
    Ansvald : Je ne suis pas trop inquiet, quand je vois les robes que vous portez toutes
    Constance : L'orfèvrerie de la couture...nous faisons dans la maestria, Kachi et moi
    Kachi : Ouais
    De KL à Crapaudine, je vous jure que ça en jette


    Constance_weber rit
    Constance : C'est ca!
    Kachina rit aussi
    Kachi : D'ailleurs, je vais dire à mon Frère de nous faire une enseigne. Il nous faut une enseigne accrocheuse
    Josie, Ansvald, vous avez une idée ?


    Constance_weber les regarde tour à tour
    Kachina les interroge aussi de son regard clair
    Ansvald se gratte la tête


    Kachi : Fanfreluches de brunes ?
    Constance : Sirène et fanfreluches ?
    Kachi : Non, il faut que tu y sois aussi

    Josephine.. réfléchit
    Kachi : De Crapaudines en Sirènes ?

    Constance_weber s'abime dans une réflexion intense
    Constance : Oh c'est joli
    Kachi : Par contre s'ils viennent ici commander des queues en écailles, c'est non


    Constance_weber explose de rire
    Kachina se marre


    Josephine : J'aime bien Sirène et fanfreluches que suggère Constance, mais, on ne voit pas votre signature dans cette appellation, c'est dommage non ?
    Kachi : Oui Josie, c'est ce que je lui dis
    Les deux S ? Souris et Sirène ?

    Josephine : ou alors mettez une souris qui coud sur l'enseigne
    Constance : SS ...; c'est lourd de sens non
    Kachi : Oui


    Kachina grimace
    Kachi : ça sonnera mal à l'avenir ,je plussoie
    Kachina n'a aucune envie,mais aucune de coudre une quelconque étoile jaune sur ses vêtements.
    KLC ?
    ça fait poulet non ?
    Pas fameux en plus


    Constance_weber se marre
    Constance : On va nous commander des pots
    Kachi : Et puis on fait pas dans la grande série, fichtre

    Ansvald rit
    Exquises frippes ?
    Kachi : Non ça fait recyclage et c'est pas encore tendance, ça
    Constance : Fanfreluches exquises !
    Pour promesse d'extase

    Kachi : Non, ça fait salon de thé ou boutique spéciale précieuses


    Constance_weber sourit candide
    Ansvald rit


    Kachi :On habille tout le monde hey oh du moment qu'ils payent

    Constance_weber rit
    Sauf les pintades
    Kachi : Promesse d'extases, ça fait genre je n'habille que les catins
    Ah oui elles vont se faire voir celles là où alors elles aligneront les écus.

    Constance : On aurait une clientèle large cela dit
    Josephine : K & C simplement sinon
    Ansvald : S'il n'y a pas d'extases avec cette robe en soie, je viens vous voir Constance! et je décroche l'enseigne!

    Ansvald sourit en coin
    Constance : Je vous promets que votre Victoire en sera toute retournée, hum
    Josephine : OU C & K
    Tout dépend laquelle de vous deux mettra le plus de capital


    Kachina rit en entendant Josie

    C & K ça marchera plus tard, c'est certain. Je vois déjà de grands défilés là
    Josephine : Des poulaines et de la laine !
    Kachi : Ah joli
    Constance : J'aime bien aussi

    Kachi : Mais les peaux alors ?
    Josephine : Cuir & soie
    Poulaines et jupons
    Kachi : ça fait divin marquis cuir et soie mais j'aime bien
    C comme Constance. S comme Sirène


    Constance_weber réalise qu'elle a oublié quelque chose et se faufile en arrière cuisine
    Kachina la regarde s'éclipser et écarquille les yeux avant de soupirer...
    Kachi : M'enfin qu'est ce qu'elle va foutre dans MA cuisine ?
    C'est fou ça
    Nous sommes à l'Antre ici pas à l'Alambic par le Diable
    On rentre partout ici comme dans un moulin, j'y crois pas

    Kachina offre une tournée générale !
    Josephine : Elle va vous cuisiner quelque chose ?
    Elle fait de si bons petits pains !

    Josephine.. en gargouille d'avance

_________________
Nessia
Six jours de cuite. Si foutus jours à tenter de ravaler son hoquet pour faire comme si.
Comme si tout allait bien. Comme si tout était parfait. Elle maitrîîîîîîse elle a dit.
On vous promet que c'est vrai. C'est là, ce qui s'appelle, de l'auto-persuasion.
Qui ne fonctionne pas. Nous sommes d'accord.


    Cahute en bord de Vienne - fin de soirée du vingt-six mars.

Après moultes conversations étrangement étranges et du bidulage intempestif qui se contrebalance par du " suceur de poutre" - copyright Imbault alors qu'il se transforme l'espace de trois phrases, à ce qui ressemble aux yeux de Varenne, en une sorte de cul serré bien comme il faut dans le vivre noblement - et qui lui arrachera un joyeux fou rire, arrive le moment de partir.

Nessia : Je vais me coucher ! Sois pas sage ! Et bonne nuit !
Imbault : J'te raccompagne ? T'as l'air tanguante !
Nessia : Mais , je maitrise hé hips ! Toujours ! Faut garder la face.. en essayant hips de ne pas hips se l'emplafonner dans un hips arbre, j'en conviens. hips Si hips t'es pas pressé oui. Si tu l'es non. Comme tu veux, toi qui vois et sais.
Imbault : Essaye en articulant ? T'as tellement de hoquet que j'ai rien capté
Nessia : Ta hips gueule ?

Nessia. réussit a hipser , wow
Imbault. se marre

Où comment ne pas maitriser l'art du hoquet involontaire qui arrive pile au bon moment pour que t'ai l'air d'une grande andouille.
Humf

_________________
Melissandre_malemort
Parceque le respect est MORT.

Melissandre_malemort
Bonsoir

Juliane__longshanks
Bonjour petit Colibri !

Siegfried_fechter
Salut p'tite peste.

Brynhild_assfridr
Bonsoir Princesse de poche

Melissandre_malemort
A moi aussi, vous m'avez manqué, bande de barbares.
Shawie
Shawie
Merci
T'as buté l'accusé au fait ?

Zert secoue la tête
Nan, on le tue surtout pas hein.
J'veux vraiment le voir dans les orties moi


Shawie
Bah oui, mais il reste muet l'con

Zert grimace
Il est peut être timide?


Nalian_
quelqu'un lui a peut etre coupé la langue
ou le prépuce


Zert
Ou il attend que la reyne ou ses armées arrivent.


Nalian_
dans les deux cas on parle pas


Shawie
Ou qué sa femme parle pour lui
Ca fait beaucoup de "si" toussa

Zert
Si on coupe le prépuce les hommes parlent plus?
Zert se frotte le menton


Shawie
C'quoi ?

Zert
Mhm. Intéressant.


Shawie
C'est avant la puce ?
C'quoi le rapport avec les hommes ?

Nalian_
c'est le bout du kiki Sha


Shawie
Hmm QUOI ?
C'est mignon comme nom ça

Nalian_
oui hein


Shawie
J'croyais qu'on disait "bite"

Nalian_
on s'y attacherai presque


Shawie
Pour ça qué personne pigne

Zert se frotte le visage

Nalian_
oh mon petit prépuce , vient la toi !


Shawie
Porqué on biffle alors ?

Zert
Ca vous va bien comme nom d'ailleurs.


Shawie
On pourrait dire "prépucer"

Zert
Parce que y'en a qui n'en n'ont plus.


Shawie
Plus ?

Zert
Du coup, faut les intégrer.


Nalian_
oui du coup ca bifle


Zert
Oui, couic

Zert mime un ciseau

Nalian_
y'en a qui s'font coupé l'bout de peau du kiki

Nalian_ met sa main a son entre jambe a mal rien que d'y penser

Shawie
Ca n'a ni queue ni tête
Astoria.
Oculus Penetratus : Matinée du 2 mai 1470.


    Siegfried_fechter arrive, trois bon mètres de cordes autours de l'épaule.
    Siegfried_fechter : Astoria ?
    Siegfried_fechter regarde si elle est dans la pièce.


    Astoria. sursaute. Elle quitte le laboratoire et entrouvre la tenture.
    Astoria : Ah, bonjour.


    Siegfried_fechter : Bonjour, tu va bien ?

    Astoria. : Qu'est-ce que tu fiches...?

    Siegfried_fechter hausse un sourcil, puis regarde son épaule.

    Astoria. plisse les mirettes sur le cordage.

    Siegfried_fechter : Ah, oui, herm.
    Siegfried_fechter s'éclaircis la voix.


    Siegfried_fechter : Soit tu viens gentiment, soit en te débattant, vile sorcière.
    Siegfried_fechter dit-il avec une voix grave.


    Astoria. : Je te demande pardon ?

    Siegfried_fechter : C'est un enlèvement, pardi.

    Astoria. : Un enlèvement, bah tiens. Et en quel honneur ?

    Siegfried_fechter : Pour faire chier ton mari bien entendu.
    Siegfried_fechter s'approche d'elle, tout doux. Le langage corporel bien a l'opposé des mots.


    Astoria. : Tu te ranges donc dans le camp des traîtres et des vilains

    Siegfried_fechter : Je suis un méchant oui. Qui l'eut crû.

    Astoria. recule dans le laboratoire, méfiante. Elle sait qu'il y a une porte de sortie.

    Siegfried_fechter : Roh ça va, j'déconne.

    Astoria : Je croyais que tu étais surtout un mercenaire.

    Siegfried_fechter étant borgne d'un oeil, donc, pense le poser sur un meuble qui serait similaire à un comptoir, mais dans un "sbrof" sonore, le cordage tombe par terre.
    Siegfried_fechter : Ah, merde.


    Astoria. fronce le museau, toujours très méfiante. En ces temps troublés à quel "sein" peut-on encore se fier ?

    Siegfried_fechter : Astoria ? Tu m'as déjà vu venir avec des intentions mauvaises, tu te doutes bien que j't'aurais même pas laisser l'occasion d'me voir si j'voulais vraiment t'enlever.

    Astoria : On ne peut pas dire que je sois une proie très difficile à appréhender. Même frontalement.

    Siegfried_fechter : Bah, t'as des fioles. Pleins d'saloperie, à en croire les rumeurs. J'vais pas prendre le risque que tu m'en pète une sur la gueule.

    Astoria. : C'est vrai, mais...Qu'est-ce qui t'amène alors ?
    Astoria. quitte finalement la sécurité de ses remparts de tissus en époussetant les manches de sa robe.


    Siegfried_fechter : Te dire bonjour. C'dingue hein, comme si j't'aimais bien dans l'fond.

    Astoria. : Et cette corde, elle te sert à quoi ? Dans le tréfond. Très très au fond.

    Siegfried_fechter : Oh, j'voulais te proposer de t'attacher une croix de Saint-André.
    Siegfried_fechter dit-il en mettant un coup de pied dans l'tas de cordage.


    Astoria. éclate de rire malgré elle.
    Astoria. : Et tu crois que je suis le genre de fille qu'on attache ?


    Siegfried_fechter : C'est pour hisser la nouvelle roue à auges pour mon marteau hydraulique. Honnêtement ? J'suis presque certain qu't'es l'genre de fille qui adore être matée par une main bien ferme.

    Astoria. : Tu me parles araméen là. Et ça dépend, je dirais.

    Siegfried_fechter : En gros j'ai un... Merde comment on dit encore ? Moulin à eau, près de ma forge le long d'la vienne.

    Astoria. hoche

    Siegfried_fechter : Qui m'permets d'hisser un gros marteau avec le courant, pour battre le fer. Histoire d'pouvoir former le métal plus facilement et plus rapidement.

    Astoria. : Ah oui d'accord.

    Siegfried_fechter : T'a aucune idée d'quoi j'parle hein ?
    Siegfried_fechter lui sourit, pas méchant.


    Astoria. se gratte la joue du bout de l'ongle
    Astoria. : Non pas trop. Tous ces travaux manuels....J'y suis étrangère.


    Siegfried_fechter : T'as les mains toutes douces toi. Pas caleuses. Mais bon y a pas d'sous métier.

    Astoria.: J'ai toujours préféré me prélasser dans les coussins dans la mesure du possible.

    Siegfried_fechter : Mh-mh. J't'ai rarement vue en dehors de ton...Euh. Salon de thé ?

    Astoria. : Cabinet de voyance. Mais je sors, si si. Et puis ici je filtre qui je veux voir ou ne pas voir.

    Siegfried_fechter hoche la tête.
    Siegfried_fechter : Dis, tu connais un tailleur de pierres précieuses ?


    Astoria. : Alcimane, je crois qu'elle fait du taillage.

    Siegfried_fechter : Qui... Es partie avec Sha' à perpète les bains.
    Mh.


    Astoria. : Ma foi je ne sais pas qui d'autre est compétent...Ah peut-être Eliza.

    Siegfried_fechter : J'essaierais de lui demander tiens. Si j'arrive à ne pas me faire planter.

    Astoria. : pourquoi elle te planterait ?

    Siegfried_fechter : J'ai l'impression qu'elle me fait la tête depuis quelle est avec Léandre. Bah.

    Astoria : Je ne sais pas qui est ce type. Mais bon, tu l'as repoussé ? Du coup elle s'est rabattue dessus ?

    Siegfried_fechter : Bah j'sais pas qui c'est lui. Mh, non, j'ai rien fait avec elle. C't'une noble.

    Astoria.: Ah et tu ne touches pas aux nobles ?

    Siegfried_fechter : N'ah.

    Astoria. : Tu me brises le cœur. Mais du coup t'as pas tellement d'opportunités. Toutes les femmes du coin, ou presque, sont nobles

    Siegfried_fechter : J'sais. Mais j'peux faire une exception pour toi Asto'.
    Siegfried_fechter dit-il en s'approchant pour lui prendre le menton dans la paume. Hilare, dans le regard.

    Astoria.: Bah tiens. Qu'est-ce qui me distingue d'une Eliza Corleone, Dame de Montcuq ?Ce n'est pas parce qu'on m'appelle Sein au Vent, j'en suis sûre.

    Siegfried_fechter : L'inaccessibilité, Astoria. Ça donne du défi.
    Siegfried_fechter sourit et se recule, amusé.


    Astoria. sourit en coin
    Astoria. : Comment va Tara ? Je ne la vois plus trop.


    Siegfried_fechter : J'sais pas, moi non plus.
    Siegfried_fechter inspire et souffle.
    Siegfried_fechter : Comment va Rolin ?


    Astoria : Et bien...
    Astoria. hésite à être franche
    Astoria. : Il tâche de faire bonne figure. Mais quelque chose en lui s'est brisé.


    Siegfried_fechter : Mh. Il est au bout du rouleau, en somme.

    Astoria.: Je ne dirais pas au bout du rouleau. Je dirais qu'il mesure à présent comme la nature humaine est malsaine. Ce n'est pas un animal politique. Il avait cette candeur de ceux qui veulent bien faire et qui se heurtent à des obstacles qu'on dresse sur leurs chemins, parce que leurs gueules ne reviennent pas. Sa gueule et la mienne d'ailleurs. Ne nous y trompons pas, c'est d'abord et avant toute chose, un délit de faciès.
    Ce qu'on critique chez Rolin, c'est exactement la même chose que chez des Aelaia ou des Arry qui se cachent derrière des bilans positifs
    La COLM est morte depuis des années. Personne ne s'en est occupé. Aussi ça ne pas être positif.
    Et aujourd'hui on se plaint de la sécurité, Rolin a fait avec les moyens du bord, les mêmes que ses prédécesseurs qui n'ont jamais été inquiétés de rien.
    Mais ce n'est pas son bilan qu'on critique, car économiquement, on a remonté la pente. L'an dernier, quand j'ai quitté le conseil, on avait quasi 45.000 écus de mémoire.
    On était l'un des comtés les plus riches. Je suis arrivée dans ce nouveau conseil avec à peine 15.000 écus de trésorerie. Qu'on ne vienne pas me dire que tout n'a pas été lamentablement caché sous le tapis.


    Siegfried_fechter : Hin. Un comté plus pauvre que le Périgord, en somme.

    Astoria.: Rolin paye parce qu'il s'appelle d'Arpaon, et il paye pour tous les errements des précédents conseils. Thaïs et Maïwen ont bossé, je dis pas le contraire. Mais on partait de très bas. Quand je lis Aelaïa qui prétend que son bilan économique était bon, je me pose des questions. Comment ça peut être bon quand t'es en déficit ? Ou alors elle partait d'encore plus bas. Mais en un an...où sont passés ces 30.000 écus qui manquent à la comptabilité ? Bref.
    A se faire attaquer de tout côté alors qu'il n'a fait ni pire ni moins bien que ceux d'avant,
    il est heurté dans sa dignité. Et c'est à sa dignité qu'on en veut. On cherche l'humiliation, de celle dont on espère qu'il ne se relève pas.


    Siegfried_fechter hausse les épaules.
    Siegfried_fechter : En somme, pourquoi je déteste la politique.


    Astoria. : C'est une hallali à laquelle vous participez tous. Consciemment ou non.

    Siegfried_fechter hausse les épaules.
    Siegfried_fechter : J'en suis conscient. J'essaie juste d'éviter d'jeter plus de trucs à sa gueule.


    Astoria. : La destruction pour la destruction n'amène que le chaos derrière. Ce sont des divisions au sein même de la population. De ces divisions qui ne se combleront plus jamais tant la rancoeur est tenace. Roman m'avait écrit pour me demander l'assurance que ni toi, ni celle qui t'accompagnait ne risqueriez le poutrage.
    J'ai eu cette phrase, qui l'a fait sourire, en disant que vous restiez des nôtres en dépit de ce qu'il s'était passé en PA.
    Il m'a répondu "une Corléone, des vôtres ?" je lui ai dit que jusqu'à preuve du contraire, vous viviez ici. Et qu'à ce titre vous en étiez.
    Je remarque simplement que dans le camp adverse, cette réalité n'existe pas.
    On sacrifie sur l'autel de ses amertumes les siens.


    Siegfried_fechter hausse les épaules.
    Siegfried_fechter : J'suis mercenaire. Et j'ai pas participé à la prise du château, si ça peux te rassurer.

    Astoria. : Ne te caches pas derrière tes contrats, Siegfried.

    Siegfried_fechter : A ça qu'ils servent tu sais.

    Astoria. : Je connais assez tes affinités pour savoir que tout ce qu'il se passe ici ne te heurte en rien.

    Siegfried_fechter : Peu de choses me heurtent, en vérité.

    Astoria.: Pour autant quand la maison brûle, il faut sauver ses ouailles.

    Siegfried_fechter : Bien entendu. Mais qu'est-ce qui te fais croire, icelieu, que je suis de l'autre camp par une quelconque affinité envers Nessia ou qui sais-je ?

    Astoria.: Mon intime conviction ? Tu sais je ne déteste pas tout ceux qui ont participé de près ou de loin à cette prise de château. Je crois même que la plupart de ceux qui y ont participé ignoraient plus ou moins les projets de reprises.

    Siegfried_fechter : Et bien, pour une fois, ton intime conviction est erronée.

    Astoria. : Zert, par exemple. Tout ce qu'elle y perçoit c'est de la distraction. Au-delà de ça c'est quelqu'un que j'apprécie.

    Siegfried_fechter : J'suis dans c'te troupe parce-que Rouge m'a engagé pour la remplacer dans l'armée.

    Astoria. : Rouge ? Parce qu'elle en était ?

    Siegfried_fechter : Moi, vos enjeux politiques m'importent peu, la maison ne brûle pas, des enfants se battent pour savoir qui aura les meubles et ça ne me regarde pas.
    Pour le coup du Périgord, à la base.


    Astoria. : J'aurais dû lui faire boire du cyanure plutôt que de l'aider à trouver le sommeil.

    Siegfried_fechter : Pas pour la prise du castel, ça elle en sait rien.

    Astoria.: Ah.

    Siegfried_fechter : Faut pas croire, j'vous aime bien toi et Rolin.

    Astoria.: On fait croire qu'il s'agit d'un soulèvement populaire. Tu sais ce que Wolf est venu nous dire chez les nobles ?

    Siegfried_fechter : Mh ?

    Astoria.: "Moi j'en ai marre de ce comté qui refuse d'élever mon fief" Il se révolte sur ce postulat...entre autre. 15 ans de service dit-il. Et on lui aurait refusé une baronnie y'a quelques temps déjà. A nous en tout cas il n'a rien demandé, mais... Quand on entend ça, on se dit qu'en fait, y'avait une volonté de pourrir sous n'importe quel prétexte.

    Siegfried_fechter : J'suis pas au conseil. Du coup, j'en sais rien.

    Astoria.: Sans être au conseil. On tape quand même sur un mec globalement discret.

    Siegfried_fechter : M'ah. Peut-être ça l'soucis, sa discrétion ? J'en sais rien, le pourquoi du comment m'importe peu.

    Astoria.: Il a toujours été présent, au conseil. Il est maladroit, mais pas inaccessible. Il est bien plus abordable que moi. Mais tu vois, parce qu'il est mon mari, et juste parce qu'il est mon mari, On attendait un seul faux pas pour lui tomber dessus.

    Siegfried_fechter rit un peu.
    Siegfried_fechter : Ah ça, ta réputation de sorcière n'a pas du aller dans son sens.


    Astoria. : C'est assez dramatique de ne pas être en capacité intellectuelle de faire la distinction. Quand j'entends que je l'ai contrôlé de bout en bout. Les gens ne savent pas combien de dispute nous avons eu. Rolin il fait bien ce qu'il veut. Et pour réfléchir il n'a jamais eu besoin de moi. Mais bon, n'en parlons plus. Tout ce que je veux, c'est le protéger.

    Siegfried_fechter : Et c'est a ton honneur, tu sais.

    Astoria. hausse une épaule
    Astoria.: C'est mon double. Je ne vais pas m'amputer de mes deux jambes.


    Siegfried_fechter: Mh, y'a des rats qui abandonnent le navire parfois, tu sais.
    Siegfried_fechter lui sourit et lui tapote l'épaule avant de prendre sa corde.


    Siegfried_fechter : Allez, j'vais pas t'embêter plus longtemps.

    Astoria.: Bonne journée, Siegfried.

    Siegfried_fechter : Toujours, si t'a besoin de quelque chose hésite pas.
    Siegfried_fechter lui sourit.
    Siegfried_fechter : Et mon bonjour, sincère, à Rolin.

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Aelaia

▤ L'Ordre du Saucisson. ▤
La Pause Brioche, Tulle, lundi 3 mai 1470.



    AELAÏABonjour, bonjour.

    Helleanore dresse le nez de son coin de table, sagement installée, pour sourire à la silhouette floue, qu'elle reconnaît plus à la voix qu'autre chose.

    HELLEANORELe bonjour, D... Ddddd-Aelaïa.
    AELAÏA Ouh, vous avez failli !

    Aelaia étire un grand sourire avant de se trouver un coin où poser une fesse. Les deux, même, tant qu'à faire.
    Helleanore peine à se reprendre, certes, mais elle met du coeur. Puis elle se pointe de l'index, l'air innocent on ne peut plus faux.


    HELLEANOREMoi ? Certainement pas !
    AELAÏANon, c'est vrai. Vous n'auriez pas osé. Foi de saucisson, tout ça.

    Aelaia papillonne des cils.
    Helleanore regarde à droite, à gauche, on ne sait jamais, avant d'esquisser un petit sourire.


    HELLEANORE... Je ne peux pas prêter serment sur les saucissons. Trop dangereux.
    AELAÏAC'est sacré.
    HELLEANOREExactement. Puis imaginez... Par le plus grand des hasards évidemment, que ce soit faux. Et que les saucissons se périment. On va mourir, c'est sûr.
    AELAÏAUn saucisson ne périme pas. Il... il se bonifie avec l'âge. Comme les hommes. Mh. Comme le bon vin. Le bon vin.
    HELLEANOREJe gage que certains hommes ne sont pas des saucissons, dans ce cas... Mais alors, nous voilà sauvées ! On peut prêter serment sur les saucissons. Suffit d'en avoir un constamment à portée.
    AELAÏAC'est que ce ne sont pas... de vrais hommes. Purs saucissons. Non ?

    Aelaia passe sa main sur son visage. Elle est un peu timbrée, parfois. Mais ça fait du bien.

    HELLEANOREJe ne crois pas. Ils n'ont aucune ficelle, et on ne peut pas les pendre par les pieds. Purs hommes, sans gramme de saucisson, je dirais. Ce qui est regrettable, ils sont donc moins appréciables. […] Je devrais peut-être me marier avec un saucisson...

    Helleanore a un esprit avec des méandres parfois bien timbrés aussi. Mais elle niera tout, évidemment.

    AELAÏAExactement. Et... Hein ? Vous marier avec un saucisson ? Vous risqueriez de passer pour une mante religieuse. Vous saviez qu'elles dévoraient leur moitié après l'union ?
    HELLEANORENon... J'admets ne pas avoir la curiosité de les regarder faire pour le savoir. Mais soit, un mari saucisson sans union, alors ! Pour qu'il reste sauf. Même si... Un saucisson. Son objectif ultime dans la vie c'est d'être mangé...

    Aelaia imagine un homme enroulé de ficelle façon rosette de Lyon, maintenant.

    AELAÏAEt le nôtre, est de dévorer tous les saucissons. Quelle vie ! Mais qu'elle est bien faite !
    HELLEANOREChacun son objectif dans la vie, c'est ainsi ! Il faut de tout pour faire un monde, c'est ce qu'on m'a dit. S'il y a des saucissons dans le monde, alors il faut des gens pour les manger. C'est... Comment dit-on… L'ordre naturel des choses, voilà.
    AELAÏAMais oui, voilà. Ou on peut aussi parler de sélection naturelle. Il y en a qui naissent saucissons, et c'est ainsi. Les proies et les chasseurs. Les faibles et les faiblesses...
    HELLEANOREProbablement aussi, oui. Il faut sa bonne étoile à la naissance pour ne pas être un saucisson toute sa vie, c'est tout.
    AELAÏAOn peut changer en cours de route ?
    HELLEANOREMh. Certainement ? Si... On n'est pas assez appétissant. Pas assez sec. Ou si l'ordre des saucissons nous chasse ? Des choses comme cela.
    AELAÏAUn Ordre, carrément ? Ça devient sérieux !

    Aelaia opine un peu. L'idée lui plaît.

    HELLEANOREAu moins, si ! Il faut bien attester que les saucissons sont des bons saucissons.
    AELAÏAVous avez tout-à-fait raison. Il faut les goûter, alors ?
    HELLEANORESi. Tous. Pour vérifier, évidemment.
    AELAÏAMais du coup, il en manque un bout, après ?
    HELLEANOREMh. Est-ce qu'être saucisson et homme, cela aide à faire repousser des bouts ?
    AELAÏAComme les plantes ?
    HELLEANOREOu les queues des lézards. Si.
    AELAÏASi ce sont de belles plantes, ya. Donc si ce sont de bons saucissons, ça repoussera.
    HELLEANOREAlors, c'est acté. Il leur est nécessaire d'être de bons saucissons. Saucisson mauvais, saucisson disparaît.
    AELAÏAPour leur survie. Et le bien de l'humani...Mais c'est génial comme slogan, ça ! […] Saucisson exquis, saucisson pour la vie.

    Helleanore élargit un sourire bien trop amusé pour ce qu'elles racontent, en tâchant d'en chercher encore un autre.

    HELLEANORESaucisson à la noisette, saucisson en fête !
    AELAÏANotons que les saucissons à la noisette font partie des bons !
    HELLEANOREÉvidemment. On ne peut pas les renier, on les aromatise juste.

    Helleanore cligne un peu des yeux, l'idée fait son petit bout de chemin.

    AELAÏAVous savez qu'à force d'en parler, on va faire leur fête, justement, à votre réserve ?

_________________
Shawie
- Gueret la presque morte -



Shawie
C'était quoi l'mot dé tantot ?

Julie75
demain tu le place genre aux hasards pour voir
Hermétique
mais vraiment quand tu sais pas, tu dis "c'est pas faux"


Shawie
Hétéroclite non ?
C'est les zones sensibles ça

Julie75
ah non ça c'est toi
érogène


Shawie
Moi j'suis pas hermétique, j'fuite pas

Julie75
c'est l'inverse
si tu es hermétique tu fuis pas


Shawie
C'moi que alors ?

Julie75
c'était moi qui disait être hermétique
mais seulement dans mon langage
toi il est direct et il fuit pas

Julie75 cherche une logique

Shawie
Awé c'pas faux
Nessia
Un moment comme un autre à la Cahute
Limoges


Wig et Ness en devise gratuite de ' j'te lance des fions mignons " et Finlams d'entrer dans la taverne.

Nessia. Salut Ed !
Finlams : B'soir.

Finlams s'assied a la première chaise venue.

Ludwig : Bonjour !
Nessia : Wig. Ed. Ed . Wig. Pour peu a vous deux ca fait Edwige.

Nessia. a un humour de merde oui !

Finlams : S'qui Edwige ?
Ludwig : On dirait que tu vas chanter une chanson
Nessia. : Votre duo. Edwige. Quand vous serez tous les deux, je vais vous appeler comme, ca.

Nessia. est en total délire

Finlams ... Nah. Mo' s'Ed'.P'is j'compte pas faire de duo. J'ai d'ja assez a gérer avec mes gars.
Ludwig Du coup j't'appellerai Shiass avec Shawie...

Ludwig : dodeline de la tête
Nessia. éclate de rire


Nessia. : C'est pas mal, j'aime bien
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Zert
Ronde de la maréchaussée des moeurs


Armée de sa fourche, Zert arpente les moindres recoins de Limoges pour redonner à la ville sa salubrité. Finissant sa ronde, elle aperçoit au travers de la fenêtre de taverne municipale Limousine une silhouette éclairée à la lueur d'une bougie.

    Zert fourche en devant, donne un petit tapotement vers le blond pour voir s'il est mort
    Zert pique dans le gras du bide, les joies de la couvade

    Zert - DENIIIIS! On a encore un pécore qui a bu dans le fût dans lequel j'avais pissé. Faut l'évacuer là... Il reste de la place dans la fosse commune?
    Zert grommelle et sort chercher un brouette.


Ce soir Dan aura le droit à un tour de brouette, le veinard. Ne faites pas comme Dan, ne dormez pas en taverne !
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Nessia
Cahute en bord de Vienne
Salade composée.




Zantet C'est un peu compliqué en ce moment pour elle de se montrer...J'ai eu de la chance de la voir en taverne ce matin juste après avoir vu votre courrier
Nessia. Ah ? Elle sort peu ?
Zantet : Oui, en ce moment, si elle se montre une fois par semaine, c'est déjà un miracle...
Nessia. : . On peut la tirer de son trou si vous voulez Avec hm .. un appât ? Du fromage !

Nessia. appâte Alci ainsi donc pour elle ça doit fonctionner avec tout le monde ahin


Zantet : Mais enfin ! J'suis pas assez bien comme appât vous pensez ?
Nessia : Ah si si vous l'êtes, mais enduisez vous de fromage pour voir ?

Nessia. y tient a son fromage, oui !
Zantet fronce un peu sourcil


Zantet : Vous avez de drôles d'envies vous...Mais bon, j'dis rarement non à de nouvelles expériences

Nessia. éclate de rire

Nessia : Le fromage, c'est la vie.

Nessia. lève l'index et précise

Nessia : Avec un radis !
Zantet : Hum...Et faut le placer où le radis ?
Nessia : Hm .. sur votre pif.

Nessia. dodeline

Zantet : Z'avez pas l'air persuadée...
Nessia : Je réfléchissais. Dans les oreilles c'est moins drôle.
Zantet : Oui bah vous me montrerez d'abord hein. J'suis pas certain de tout comprendre

Nessia. s'esclaffe
_________________
A.s.t.r.i.d
▁ 𝐒𝐔𝐑 𝐋𝐄𝐒 𝐑𝐈𝐕𝐄𝐒 𝐃𝐄 𝐕𝐈𝐄𝐍𝐍𝐄𝐒 ▁
Tard dans la Nuit du 24 au 25 Juin - 1470 - LIMOGES.


ASTRID : Bah.. ! Tu es là, toi ?

FEVE : Uh. C'est juste toi. Mm-mh.

ASTRID : Tu dormais ?

FEVE opine, et retourne son regard vers les étoiles.
FEVE : Non, j'regardais les étoiles.

ASTRID : A quoi penses-tu.. en regardant les étoiles ?

FEVE : Mmh. Rien. Tu savais que les vilains vont là-haut ?
FEVE lui pointe la lune.


ASTRID : Qui t'as raconté ça ? Non, Je ne le savais pas.

FEVE est étrangement calme et sage, ce soir. 'Fin, outre le fait qu'elle se soit éclipsé du MAB.
FEVE : Son Altesse royale, Frank.


ASTRID : Frank ? Mh.. 'Connais pas. Tu es sûre que ça va ?

FEVE : C'est un autre prince de sang, comme Méli.

ASTRID : D'accord.. De sa famille ?

FEVE : Mm-mh. Nan.

ASTRID : Mh. Et son nom de famille alors ?

FEVE : Euhhhh..

ASTRID : Hum ! A se demander si il existe vraiment !

FEVE : Si ! C'est un des premiers ! Après Nebisa. Je mens pas !

ASTRID : Ah.. Non, non, d'accord, d'accord.
Alors, comment s'est terminée ton entre-vue avec Imbault ?


FEVE qui était couchée sur son long, recroise ses bras contre sa poitrine.
FEVE : S't'un gros aéré du bocal. Encore plus gros que Montparnasse. Ou de Ligny.


ASTRID : A ce point là ?

FEVE se montre de mauvaise foi pour le coup, mais la petiote a la racune facile, tout particulièrement, lorsqu'elle perd.

ASTRID : Il a l'air d'apprécier ta mère ! Ah-hin !

FEVE : Just'ment ! Moi, je l'aime pas !

ASTRID : Parce que tu es une petite jalouse, tu as peur de la perdre !

FEVE marmonne quelques paroles très peu gracieuses, peu digne d'une fille de reyne.

ASTRID : Espérons que mon fils ne sera pas du même acabit !

FEVE : Je suis pas jalouse ! C'est juste que je l'aime pas !

ASTRID : Et pourquoi ? Parce que c'est un homme ?

FEVE : Parce que.. parce.. Mm-mh.

ASTRID : Mh. Quel argument ! Il faut bien pourtant qu'elle refasse sa vie..

FEVE : Mais pas avec lui !

ASTRID : Tu veux choisir à sa place ?

FEVE : Y'a Sieg ! Lui, je veux pas.

ASTRID : Tu veux qu'elle choisisse, Sieg' ??? Boarf' ! Entre peste & choléra !
ASTRID : Faible haussement des épaules fatiguées.

FEVE : Lui, il est gentil, au moins.

ASTRID : Mh.. Cela fait un moment que Je ne l'ai plus croisé, d'ailleurs.

FEVE : Moi-aussi.

ASTRID : Il est mort ? Ou "fait" le mort..

FEVE : J'sais pas.

ASTRID : Mh. J'ai envoyé quantité de courriers ce soir..

FEVE : QUOI? Mais.. mais.. t'es même pas encore au conseil !

ASTRID : Bah.. Si Je veux le former le Conseil.. J'ai peut être intérêt à bouger mon cul à temps !

FEVE se retourne et la regarde avec de gros yeux bien ronds. Mais l'est folle ou quoi ?
FEVE : T'es pas normale, moi, j'te le dis.


ASTRID : Déjà que Je ne sais trop si l'on va me prendre un tantinet au sérieux, à la tête du Comté. Pourquoi ?

FEVE : T'as passée ta soirée.. à écrire !

ASTRID : Il reste deux semaines. Oui cela m'occupe.
C'est mieux d'écrire que de faire dans la Luxure ! ..à écrire de la merde.. Mais.. J'ai écris.

A.s.t.r.i.d Leur verse godet de Prune.. Bouteille laissée par Constance tout à l'heure.

FEVE : UH!
FEVE se relève aussitôt en voyant la bouteille, et attrape son verre.

FEVE : Merci ! Bah moi, je préfère boire. C'est mieux !

ASTRID : Oui, enfin.. Il n'y a pas que " boire " dans la vie !

FEVE : Si tu m'dis.. t'promener toute nue.. Ou prendre des bains, je passe.

ASTRID : Mais nonnn! Fut un temps.. Enfin, Bref ! J'oublie que tu n'as que dix ans !

FEVE : EURK!
FEVE la regarde avec un petit air rempli de dédain! Mais eurk!

ASTRID Se marre en douce.
ASTRID : Tu ne diras plus ça, plus tard !

FEVE : Eurk! Non!

ASTRID : Oui, oui, on en reparlera.

FEVE : Ah non ! J'te jure !

ASTRID : Je disais cela aussi.. Et puis. Voilà. Le résultat. Ne Jure pas ! Tu veux devenir Bigote ?

FEVE y croit fort, fort, fort, et s'empresse se mettre les mains devant les yeux.
FEVE : Eurk, eurk, eurk !

ASTRID : C'est beau l'innocence !

FEVE : Bigote, c'est quoi, ça ?

ASTRID Très amusée.
ASTRID : Sainte-nitouche-pas. Grenouille de Bénitier.

FEVE : Hein? C'est quoi ça?

ASTRID : Bah.. Hum.
ASTRID Comment expliquer.. Ah-hin !
ASTRID : Ceux et celles qui ont juré ne pas.. Euh..
ASTRID S'embarque franchement..
ASTRID : ..pratiquer la Luxure.

FEVE : AH! D'faire comme Monty et Marguerite ?

ASTRID : Enfuie le nez dans son godet de Prune.
ASTRID : Oui, voilà.

FEVE : Bah si! Je le jure!
ASTRID Ne sait exactement ce qu'ils font, mais l'idée est là.

ASTRID : Bon, bon, bon..

FEVE : C'est dégueux! Point barre!

ASTRID : Comment le sais-tu franchement ! Tu n'as jamais vécu!

FEVE : Mais j'ai tout entendu!

ASTRID : Vraiment tout ?
A.s.t.r.i.d Sourire en coin.

FEVE : Tout! Vous criez, chialez, et blabla ! Pis, vous êtes tous nus ! C'est dégueux ! Point barre !

ASTRID : Pour le coup, Se marre franchement.
ASTRID : Il y a un peu de cela..

FEVE : Bah voilà ! J'vois pas ce qui a de si merveilleux ! C'est juste dégueux!

ASTRID : Hum.Certes, certes.
ASTRID : Ne va pas rentrer dans les détails ni explications.

FEVE : Bah oui! Fait que moi, je vais être bi.. gote!

ASTRID : Nous en reparlerons !
ASTRID : N'en croit pas un traitre mot.

FEVE : C'est ça.
FEVE recroise les bras contre elle.
ASTRID Sourire entendu.

FEVE : J'pense que je vais rentrer, y commence à faire froid.
FEVE se relève alors.

ASTRID : Mh.. Oui. Prudence sur la route.

FEVE : Tu restes ici ? Mm-mh.

ASTRID : Oui, encore un peu..

FEVE en profite pour secouer ses jupes, et opine.
FEVE : D'accord.. Bonne nuit Astrid.


ASTRID : Bonne nuit Fève.
ASTRID Remarquera qu'elle ne l'appelle pas Fauvette !
ASTRID : A demain.

FEVE lui sourit, et file - s'enfonçant dans l'ombre environnante.
ASTRID Agite des doigts.

ASTRID N’ose même plus trop le regarder en face ce cercle Lunaire. Cela lui renvoie de ces effets inavouables.

***
Feve
[Hall d'entrée du M.A.B.]

A.S.T.R.I.D : Bouh !

Fève sursaute et par accident, balance en l'air un œuf tout brun pâle.

FÈVE : AAAAAAAAHHHH NOOOOOON !
FÈVE : P'TAIN ASTRID!

A.s.t.r.i.d sursaute au cris.

A.S.T.R.I.D : Ergo! Hum' !
FÈVE : C'était SON PREMIER !
FÈVE : Je v'nais de le trouver !
A.S.T.R.I.D : OUPS.

A.s.t.r.i.d Bouche en forme de " O " qui se couvre d'une main, vite fait.

A.S.T.R.I.D : Bah.. Elle en refera d'autres !

Fève pointe d'un nouveau doigt accusateur le pauvre restant d'œuf qui s'est écrasé au sol.

FÈVE : R'garde ce que tu as fait ! C'était d'ta faute !
A.S.T.R.I.D : Comme d'habitude, quoi !

A.s.t.r.i.d gonfle & dégonfle ses joues.

FÈVE : Après. C'est moi qu'on accuse d'faire des bêtises !
A.S.T.R.I.D : Hum.
FÈVE : Non, mais c'était son premier en plus !

Feve frappe le sol d'un coup de pied, l'air complètement découragé.

A.S.T.R.I.D : Elle en refera d'autres, t'en fais pas.
FÈVE : Tu dis ça, mais tu l'sais pas ! Pis, un premier, elle en r'fera plus ja-mais !

A.s.t.r.i.d, minimalise vachement ouais !

FÈVE : Plus jamais ! Du tout !
A.S.T.R.I.D : Et pourquoi Elle n'en referait plus, hé !
FÈVE : Parce qu'un premier, ça s'fait qu'une fois !
ASTRID : Ah-hin !
FÈVE : Aaaaah-aaaaaaaah-arg!
FÈVE : P'tain, quoi!

A.s.t.r.i.d se mordille la lèvre, décontenancée.

A.S.T.R.I.D :  On va lui faire un petit enterrement..

Feve gonfle ses petites joues et croise les bras, son visage virant au rouge.

FÈVE : Je suis pas un bébé!
A.S.T.R.I.D : Bah ?
FÈVE : P'tain, il est fichu! Cassé!
A.S.T.R.I.D : Ah ça.. On ne peut recoller les morceaux.

Fève lui fait de gros yeux.

A.S.T.R.I.D : Bouh ! J'ai peur, maintenant !

A.s.t.r.i.d feigne la peur viscérale.

A.S.T.R.I.D : C'est bête.. On ne pourra même pas en faire une omelette, maintenant !

Feve attrape une chope, furieuse, et lui balance. A.s.t.r.i.d l'esquive de justesse ! Dans un fracas de verre brisé.

FÈVE : T'ES PAS DRÔLE !
FÈVE : Il était pas pour manger!
A.S.T.R.I.D : MAIS !
A.S.T.R.I.D : Tu allais le couver ?

A.s.t.r.i.d se tient quand même sur ses gardes des fois que..

FÈVE : NOOooOoon! J'allais l'aimer! Épicétou!
A.S.T.R.I.D : Tu sais.. ce n'est pas une.. poupée hein..
A.S.T.R.I.D :  Enfin.. ce n'était pas..
FÈVE : Je sais, mais... Rhaaaa-haaaaa-arg !
FÈVE : Tu n'peux pas comprendre !
FÈVE : Tu les aimes pas comme moi!
A.S.T.R.I.D : Ah ça.. hé.. Hum.
A.S.T.R.I.D : A mais moi Je ne les aime pas tout court !
A.S.T.R.I.D : Ou plutôt d'une indifférence totale.
FÈVE : C'est pour ça que j'ai b'soin d'un garde! C'est à cause des gens comme toi!
FÈVE : Les mangeurs.. d'canards!
A.S.T.R.I.D : Mais non ! Je n'ai encore mangé aucun canard !
A.S.T.R.I.D :  Mais plus on en parle.. Plus cela me donne envie !
FÈVE : ASTRID!
A.S.T.R.I.D : Quoi !
FÈVE : On les mange pas! Que j'ai dit!
A.S.T.R.I.D : Au pire.. Je teste.. Mais tu ne le sauras pas !
FÈVE :Bah tu vas aller sur la Lune!

A.s.t.r.i.d pouffe pour le coup !

A.S.T.R.I.D : On ira tous un jour de toute façon.

FÈVE : Ah non, pas moi! Il y a des sorcières là-bas!
A.S.T.R.I.D : Carrément !

Fève gonfle ses petites joues, frustrée.

FÈVE : Sale mangeuse d'canards et sorcière!
A.S.T.R.I.D : Sorcière ? Ah bon ?
A.S.T.R.I.D : Tu sais la lune, c'est assez loin quand même !
A.S.T.R.I.D : Je ne suis pas sûre d'y arriver un jour.
FÈVE : Tu n'y comprends rien! C'est tout! Je vais dormir!

Feve regarde une dernière fois, le désastre au sol, et chigne un brin.

A.S.T.R.I.D : Rhooo !!!
FÈVE : Hmpf !
A.S.T.R.I.D : Hum!

Feve contourne la table, et se dirige vers l'escalier à petits pas furieux.

A.S.T.R.I.D : Bonne... enfin..hum.
FÈVE : AUREVOIR!

A.s.t.r.i.d marmonne " nuit "...

A.S.T.R.I.D : En tout cas j'ai trouvé mon " cri "
A.S.T.R.I.D :  " BOUH " !

FÈVE : HAAAAAAAA! P'TAIN! J'TE DÉTESTE! AIEEEE! T'ES PAS DRÔLE!

S'exclame la petite tout en se frappant un bout d'orteil contre une marche.
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    En indigo, c'est Alice. - En olive, c'est Fève
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