Archibald_ryback
Voilà quelques jours déjà, qu'en Toul tu es arrivé. De gré? Point réellement, pour autant, le regrettes-tu aujourd'hui? Point le moins du monde. Tes geôliers savaient-ils, en t'abandonnant non loin de là, que tu t'y plairais? Savaient-ils que tu voudrais, en ces terres qui t'étaient inconnus, gagner ta place? C'était fort aussi probable que de voir le soleil en pleine nuit.
Tu étais arrivé là, tel un cheveux sur la soupe, et pourtant, tu y fus fort bien accueilli, bien mieux qu'eux ne t'avaient traités durant toutes ces années. Tu y rencontras des personnes forts différentes, mais toutes très intéressantes, particulières chacune à leur manière.
Les premières nuits, tu les passas au refuge, lieu aménagé de sorte que ceux qui, comme toi, ne disposaient de rien, aient un endroit sec et protégé du vent ou prendre un peu de repos. Pour autant, tu n'y venais qu'à l'aube naissante, et pour cause... Les seuls instants, depuis toujours, qui étaient réellement 'tiens', arrivaient à la nuit tombée. Ces instants où, parfois, tu laissais enfin couler les larmes qui t'avaient, plus d'une fois, brûlé les yeux en journée.
Mais aussi et surtout, ces moments où, le nez levé vers le ciel, tu contais, à voix basse, tes mésaventures à celle que tu as rapidement considéré comme une amie lointaine, mais toujours présente: La lune. Aujourd'hui encore, tu contes à l'astre lunaire tes joies et tes peines, et, contrairement au passé, les joies ont pris le pas sur les peines, à ta grande surprise, et probablement, la sienne aussi si elle pouvait ressentir un tel sentiment.
Ces rencontres, ces gens si différents de ce que tu as connu, tu les as, dors et déjà, pris en affection pas vrai? Et il t'es bien difficile de le cacher, que ce soit par la voix, par tes tours enflammés ou simplement par ce sourire bien plus présent qu'il ne le fut jadis.
Voici quelques jours à peine, que tu es arrivé, et pourtant, tu as dors et déjà suffisamment oeuvré que pour te voir offrir, en échange d'une somme qui te parait pourtant importante, une petite maison, ainsi qu'un champs. Cela, tu le dois à la chance, mais aussi à ces êtres qui ont pris place en ta vie.
A présent, te voila sur les murs de la ville, à chanter alors que ton regard scrute les routes. Toi, protéger quelque chose ou quelqu'un... Voilà qui aurait fait s'esclaffer joyeusement tes geôliers, qui ne voyaient que la force brute comme unique protection. Tu n'as jamais été fort, mais tu es attentif, et cela, nul ne pourra te l'ôter, tant que tes yeux fonctionneront. Et Toul, ces gens hors du commun que tu y as rencontré, si tu ne peux les protéger par l'épée, tu le peux au moins... Par la voix s'il venait à y avoir du danger.
Tu étais arrivé là, tel un cheveux sur la soupe, et pourtant, tu y fus fort bien accueilli, bien mieux qu'eux ne t'avaient traités durant toutes ces années. Tu y rencontras des personnes forts différentes, mais toutes très intéressantes, particulières chacune à leur manière.
Les premières nuits, tu les passas au refuge, lieu aménagé de sorte que ceux qui, comme toi, ne disposaient de rien, aient un endroit sec et protégé du vent ou prendre un peu de repos. Pour autant, tu n'y venais qu'à l'aube naissante, et pour cause... Les seuls instants, depuis toujours, qui étaient réellement 'tiens', arrivaient à la nuit tombée. Ces instants où, parfois, tu laissais enfin couler les larmes qui t'avaient, plus d'une fois, brûlé les yeux en journée.
Mais aussi et surtout, ces moments où, le nez levé vers le ciel, tu contais, à voix basse, tes mésaventures à celle que tu as rapidement considéré comme une amie lointaine, mais toujours présente: La lune. Aujourd'hui encore, tu contes à l'astre lunaire tes joies et tes peines, et, contrairement au passé, les joies ont pris le pas sur les peines, à ta grande surprise, et probablement, la sienne aussi si elle pouvait ressentir un tel sentiment.
Ces rencontres, ces gens si différents de ce que tu as connu, tu les as, dors et déjà, pris en affection pas vrai? Et il t'es bien difficile de le cacher, que ce soit par la voix, par tes tours enflammés ou simplement par ce sourire bien plus présent qu'il ne le fut jadis.
Voici quelques jours à peine, que tu es arrivé, et pourtant, tu as dors et déjà suffisamment oeuvré que pour te voir offrir, en échange d'une somme qui te parait pourtant importante, une petite maison, ainsi qu'un champs. Cela, tu le dois à la chance, mais aussi à ces êtres qui ont pris place en ta vie.
A présent, te voila sur les murs de la ville, à chanter alors que ton regard scrute les routes. Toi, protéger quelque chose ou quelqu'un... Voilà qui aurait fait s'esclaffer joyeusement tes geôliers, qui ne voyaient que la force brute comme unique protection. Tu n'as jamais été fort, mais tu es attentif, et cela, nul ne pourra te l'ôter, tant que tes yeux fonctionneront. Et Toul, ces gens hors du commun que tu y as rencontré, si tu ne peux les protéger par l'épée, tu le peux au moins... Par la voix s'il venait à y avoir du danger.