Laurine.
De toute évidence les hormones de chacun étaient entrées en ébullition, laction, si on peut nommer ainsi ce fouillis incompréhensible, cette débauche de violence tant attendue, battait on plein.
Comme qui dirait que le capitaine adverse avait quelques difficultés à se laisser cogner par une faible femme comme Laurine. Le coup quelle lui porta fut fatal mais hélas pas pour lui, pourtant décapitainer une équipe aurait pu être une stratégie efficace, mais lhomme semblait peu disposé à faire montre dun peu de bonne volonté. Finalement peut-être bien que si elle avait laissé Insa fin bon on ne le saurait jamais, puis tant pis hein, ils avaient quà être plus clair.
Toujours est-il que ce fut la tendre Bouzi qui fit les frais de lire dActa, à un point tel que même larbitre naurait plus pu préciser sil sagissait dun homme ou dune femme. Cest pour vous dire.
Dans sa course effrénée, toujours droit devant sans trop se retourner, Laurine cru entendre quelques cris étouffé aux accents ponots.
Boudiou ca va pas se passer comme ca !
Les adversaires scandaient dans leur idiome incompréhensible un espèce de leitmotiv comme quoi une certaine Sornura ne les embêtait pas.
Cest qui celle là encore ?
Elle navait plus ce machin en cuir pour gêner ses mouvements et se précipita donc dans le tas informe de maillot des deux couleurs qui étaient occupés à se mélanger avec entrain. Larbitre lui-même semblait intéressé par ces ébats et sétait approché de la mêlée car cest bien ainsi quil convenait de nommer ce pugilat général. Toute subjuguée par le combat elle ne vit pas la militaire rejoindre sournoisement sa trajectoire. Leur pieds croisèrent le fer et Laurine prit son envol avant de racler copieusement le sol de ses dents longues.
Les deux mains en avant elle tenta de se rattraper à nimporte quoi de fiable qui pourrait arrêter sa lente transformation en taupe soulienne. Ce furent les braies de larbitre qui en firent les frais. Restait à espérer que la ceinture de ce dernier résisterait au choc
Elle recracha la terre quelle avait failli avaler et invectiva la responsable de son vol plané.
Fale bête, rrrrrr pppppttttt, pouah !!!, tu perds rien pour attendre toi !
Cest alors quelle se rendit compte doù elle avait les mains, et la tête dans une étrange complicité avec le sifflet arbitral
Oooops
Comme qui dirait que le capitaine adverse avait quelques difficultés à se laisser cogner par une faible femme comme Laurine. Le coup quelle lui porta fut fatal mais hélas pas pour lui, pourtant décapitainer une équipe aurait pu être une stratégie efficace, mais lhomme semblait peu disposé à faire montre dun peu de bonne volonté. Finalement peut-être bien que si elle avait laissé Insa fin bon on ne le saurait jamais, puis tant pis hein, ils avaient quà être plus clair.
Toujours est-il que ce fut la tendre Bouzi qui fit les frais de lire dActa, à un point tel que même larbitre naurait plus pu préciser sil sagissait dun homme ou dune femme. Cest pour vous dire.
Dans sa course effrénée, toujours droit devant sans trop se retourner, Laurine cru entendre quelques cris étouffé aux accents ponots.
Boudiou ca va pas se passer comme ca !
Les adversaires scandaient dans leur idiome incompréhensible un espèce de leitmotiv comme quoi une certaine Sornura ne les embêtait pas.
Cest qui celle là encore ?
Elle navait plus ce machin en cuir pour gêner ses mouvements et se précipita donc dans le tas informe de maillot des deux couleurs qui étaient occupés à se mélanger avec entrain. Larbitre lui-même semblait intéressé par ces ébats et sétait approché de la mêlée car cest bien ainsi quil convenait de nommer ce pugilat général. Toute subjuguée par le combat elle ne vit pas la militaire rejoindre sournoisement sa trajectoire. Leur pieds croisèrent le fer et Laurine prit son envol avant de racler copieusement le sol de ses dents longues.
Les deux mains en avant elle tenta de se rattraper à nimporte quoi de fiable qui pourrait arrêter sa lente transformation en taupe soulienne. Ce furent les braies de larbitre qui en firent les frais. Restait à espérer que la ceinture de ce dernier résisterait au choc
Elle recracha la terre quelle avait failli avaler et invectiva la responsable de son vol plané.
Fale bête, rrrrrr pppppttttt, pouah !!!, tu perds rien pour attendre toi !
Cest alors quelle se rendit compte doù elle avait les mains, et la tête dans une étrange complicité avec le sifflet arbitral
Oooops