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Le Puy affronte Keswick an pays languedocien ! Yehaaaa !!!!!

Aristide
Aristide se dirigeant vers Vyyb,

Bien nous avons tous une troisieme mi temps à partager si je ne me trompe pas... Bien joué messieurs puizots!!
Vyyb
Au sympathique capitaine anglais, qui parlait plutôt pas mal le français, et qui venait le réconforter, Vyyb répondit :

Ponot, monseigneur, pas Puyzots. Et ne me demandez pas pourquoi, macarel, je n'en sais rien !
Félicitation pour votre victoire. Votre tactique est éclatante. Tout pour la circulation rapide de la soule, quand nous nous avions plutôt opté pour la confrontation virile.
Sinon, avec plaisir pour cette "troisième" mi-temps. Mais, au fait, pourquoi parlez-vous de "mi-temps" ? Notre match a eu lieu en deux temps, je n'aurais participé qu'à la seconde moitié ?


Mais après tout, il s'en fichait. Il leva son verre et trinqua avec Aristide. Et il appela ses coéquipiers à se joindre à eux.
Aristide
Aristide réconforté par la réponse franche de son adversaire était ravi de s'etre trouvé un camarade de troisieme mi temps. Se dirigeant vers la buvette et toujours honteux de son erreur, Aristide indiqua qu'il désirait deux bieres. Deux belles blondes avec un peu de mousse arriverent à cela, il passa l'une d'entre elle à Vyyb.

Et bien à la votre!! En esperant vous recroisez bientot sur les terrains de soule. Et merci pour ce match...Bravo à votre equipe
Bouzimir
bouzi avait fait tout son possible en poutrant un autre anglois mais v'la...ils etaient sournois et avaient su passer entre les ponots....

et l anglois marqua fierement ...


mouais...on en a tout de meme mit à terre!!!

hahahahaha !!!

on vous aura un jour.....

bon sur ce...elle est où la biere???

c est que j ai soif moi...et chaud...
Vyyb
Tchiiiiin !
Si iou lèyteur !
Tessay
Les Ponots dans leur hargne aplatirent un autre Anglois, mais la soule glissa entre les pattes de LadyPitt un Anglois arriva à la pousser dans l’embut.

La défaite était amère, il fallait la faire disparaître avec de la bière.

Déjà Vyyb sympathisait avec le capitaine adverse.

Et Bouzi avait soif ! Rien d’étonnant.


Il rassembla son équipe et leur dit :
Bon pour un match de reprise c’était pas mal les Ponots, bravo pour le poutrage, mais il faudra être plus vigilent la prochaine fois.

Il alla saluer Aristide.

Quon gratuleï chone, ite ouaz faillenelly pleyed, letse eve a goude bire nahou... Congratulation, it was finely played, lets have a good beer now


Allez les Ponots perçons les tonneau buvons tous notre soul, à la soule on fini toujours saoul !
Tristan
Début somme toute difficile pour la peste, elle qui n’avait vraiment pas compris les règles, courant de droite à gauche en essayant de mimer les gestes de ses coéquipiers. Jusqu’à la révélation, enfin non pas vraiment, juste un peu plus d’assurance, au moins là, elle pouvait faire semblant de. Un coup près de sa chipie, un coup auprès de Mills. Jamais très loin d’eux et malgré le froid mordant, tout à l’action, elle ne voyait rien. Si le terrain, les adversaires mais concentrée quoi…ou bien alors elle simulait bien la concentration.

L’adrénaline faisait que la jeune femme était prête à tout, presque, pour faire marquer son équipe mais elle ne réussit en fait qu’a remettre la balle au centre, encore fallut-il qu’elle sache ce qu’elle venait de faire mais soit, elle n’allait pas se laisser décourager, il était encore temps…plus tout à fait.

Et puis une voix, une chaleur. Elle détourna la tête pour voir si elle n’avait pas rêvée et lorsqu’elle vit le Montbazon, son sourire s’éclaira, il avait promis et il était venu… Il était venu et seul cela comptait. Elle jeta un regard vers Mills, sourire affiché sur le visage, elle lui expliquerait…plus tard lorsque cela serait le moment pour l’heure il devait finir le match.

Un baiser pour sa chipie, une caresse pour Mills et un sourire pour ses amis et voila la peste qui, en short et sueur se précipite vers Valexan.


Vaaaaaaaal.

Sans retenue ni pudeur saute dans les bras de son cousin, enfouissant sa tête dans le creux de son cou.

Tu as vu comment je suis trop…forte… Eclata de rire, taquine, ses tempêteslui faisant à présent face.
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