Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, ..., 15, 16, 17   >   >>

La plage de Honfleur

Kerdwin
[Ainsi va la vie...]

Avant d’aller retrouver Stefanov, dans leur maison-phare, l’appel de la plage et de la mer avait retenti dans le cœur de la Petite Sirène.

Fatiguée, mais heureuse de son voyage, elle déambulât dans les ruelles de Honfleur, sa bien aimée …elle lui avait manquée sa ville…c’était la première fois qu’elle la quittait si longtemps.


La fine pluie normande du matin, avait laissé place à un temps mi-figue mi-raisin…alternance de nuages noirs et de faibles éclaircies où le soleil avait du mal à percer la croûte nuageuse…mais il aurait fallu un ouragan des plus violents, pour empêcher promenade à la jeune femme.

Au bout du chemin de sable, qui aux beaux jours verrait les genêts refleurirent, l’océan, dans sa robe d’hiver, l’attendait…debout, les yeux émerveillés de tant de grandeur, elle resta là de longues minutes, l’admirant comme si elle le voyait pour la première fois…le plaisir qu’elle éprouvât à cet instant, était indescriptible.

Le besoin du contact avec le sable, à même la peau de ses pieds nus, lui fit rapidement ôter bottes et bas…elle n’aimait pas les porter mais la froidure du temps ne lui laissait guère le choix.
Tranquillement elle s’avança vers le recoin de la côte où Anseis avait entreposé sa barque avant son départ.
Assise contre la frêle embarcation, les genoux repliés sous le menton
elle fixa l’horizon, là où le ciel cherche, en vain, à toucher l’eau.
Anseis…elle repensa aux délicieux moments qu’elle avait passés avec lui, de nuit, au cimetière baigné par la lumière de la lune, écoutant les sons divins de la la flûte… la plupart du temps, il ne savait même pas qu’elle était la, cachée dans l’ombre…sur les remparts et sur la plage… où, une seule fois ils avaient été réunis… mais elle avait changé la Petite Sirène, avec Stefanov, elle était devenue femme, une belle femme épanouie et le fruit de leur amour, qu’elle portait en son ventre, la comblait de bonheur…elle l’aimait tant son Messire…non, elle n’était plus la gamine que le jeune muet avait laissée quelques mois auparavant, certes, jusqu’à son dernier souffle il resterait dans son cœur et elle n’oublierait jamais la promesse qu’ils s’étaient faîte…mais l’amour qu’elle avait pour son homme, était indestructible.

Un crachin froid et dense l’arrêta dans ses pensées, elle refit le chemin à l’envers, le visage tourné vers l’océan.
Il était temps d’aller retrouver Stéfanov…

_________________
L'amour comme épée, l'humour comme bouclier
Sissou47
Cela faisait fort longtemps que la jeune femme n'était venue sur cette plage.Depuis qu'elle y avait découvert cette enfant Asiah,qui depuis vivait avec Max et elle dans leur demeure,et qu'ils élevaient comme si c'était leur enfant!!! Bien sur ils le savaient fort bien tous deux qu'un jour les parents de cette douce enfants allaient refaire surface et qu'ils voudraient la reprendre.À cela la jeune femme le savait fort bien et si attender.Mais elle ne pouvait s'empêché de l'aimer.
Tout en se promenant Siss ne put cesser de penser à la ballade romantique qu'elle avait fait avec Max,elle en était fort éprise et ne pouver envisager de vivre sans lui,sans ses bras,sans son tendre amour,elle en sourit.Elle était heureuse.Elle avait tout ce qu'une femme rêvait,un homme,une enfant,des amis,une jolie demeure.Elle possédait le plus beau de tout les bonheur!! L'amour!!Sissou regardat la neige qui avait remplacé le sable,et elle crépitait sous ses pas,la jeune femme aimait bien le sable,car elle pouvait y marcher pieds nus,mais là avec toute cette neige,elle préférait garder ses chausses.Puis ses pensées se mirent à vagabonder,et un large sourire illuminait son doux visage!!elle se posat sur un rocher et regardat la mer,loin perdue dans ses douces pensées!!!
Vdrakan
Véé Drakan arrive et regarde l'eau noir avec les reflet de la lune entre deux nuage, triste de quité un lieux aussi triste il se contente de se rapellé des bons moment qu'il a passé a Honfleur, avec ces amis

"Honfleur, tu va me manqué"

Il regarda plus intensément l'eau, il aurait voulu parlé a quelqu'un mais personne ne l'écouterais.

"Par ou vais-je partir ce coup ci?"

Il ferma les yeux et reflechit quelque instant en ce demandant ce que ces paroles l'inspiré en lui, il s'allongea et decida de resté un petit moment ici avec dans ces pensés l'idée que ces pas le reconduiré toujours a Honfleur et s'endormit
Sissou47
Sissou avait repris ses vieilles habitudes.La tristesse était de retour,son tendre chevalier blanc lui manquer.Et cette séparation ainsi que les funérailles de Dav l'avait anéantie!Elle se sentait bien seule,et son coeur souffrait de ne pas être dans les bras de l'homme qu'elle aimait plus que tout.Sans lui sa vie n'avait plus de sens,elle n'était rien et ce malgrès elle,sa vie continuait!!Elle devait montré qu'elle était heureuse devant ses amis,que rien ne pouvait la toucher ou la faire souffrir.Sans but précis elle vagabondait sur la plage,laissant ses pensées s'échapper vers celui qui occuper son coeur.Ses pas la menaient sur la plage ou pour la première fois elle était allé en mer avec lui.Ses souvenirs revinrent plus forts encore,comme si c'était la vieille.Elle donnerait tout ce qu'elle possède pour être à ce moment précis avec lui.La jeune femme marchat fort longtemps sur le sable,sans pour autant cesser de penser.
Amelie_rose
Amélie était venue ici pour décompresser.
Rien de tel qu'un bon jogging pour faire descendre la pression!
Car le mariage arrivait à grands pas, rien n'était prêt et surtout elle espérait être à la hauteur.

C'est alors qu'elle aperçut Sissou, rêveuse, comme toujours qui se promenait doucement sur la plage.

Elle s'empressa de la rejoindre pour partager un moment avec elle.


Sissou, ma belle !
Comment vas-tu ?
Sissou47
Siss avait reconnu la douce voix de son amie,avait relevé la tête et lui sourit !

Je vais bien ma Lili!!
Et toi que fais tu là par ce froid ???!!!!
Tu as besoin de te changer les idées?!!!
tu sais les ambrums marins sont là pour chasser tout stresses et toutes peines!!
D'ou mes promenades ici!!
J'adore la plage,la mer,le chant des mouettes.


Sissou parlait car,elle avait deviné que son amie s'inquièter pour elle.Elle se devait de lui montrer que tout aller pour le mieux!Puis lui adressat un large sourire.Et marchat à ses côtés!
Vdrakan
Véé Drakan commencait réellement a aprécier Honfleur. Il sortait de plus en plus souvent de sa maison pour marché dans cette ville et la visiter. Il marchait droit vers l'eau du lac et s'assit a moins d'un metre du bord et fixa l'eau noir. Il se souvint de ces anciennes habitudes et s'allongea sur le sable pour fixé les étoiles. Il entendis des bruit venant de la ville mais ce fut de plus en plus lointain puis ce mit a somnolé.
Amelie_rose
Elle lui sourit également et l'écouta.

-Je vais bien ma Lili!!

Sissou cachait sa peine une fois de plus, Amélie savait bien qu'elle ne pouvait pas faire grand chose, car la mélancolie s'invitait fréquemment chez Sissou.
Elle était très sensible, la seule chose qu'elle pouvait faire était l'écouter.


-Et toi que fais tu là par ce froid ???!!!!
Tu as besoin de te changer les idées?!!!


- Oui, le mariage approche et je commence à vraiment en prendre conscience...

- tu sais les ambrums marins sont là pour chasser tout stresses et toutes peines!!
D'ou mes promenades ici!!


Amélie inspira profondément pour emplir ses poumons du bon air marin, puis répondit :
- Tu as raison Sissou, cela fait du bien !

- J'adore la plage,la mer,le chant des mouettes.

-Dis moi Sissou? Y a t-il des choses que tu n'aimes pas??

Elle lui fit un clin d'oeil et attendit sa réponse.
Sissou47
Ecoutat Amélie tout en souriant.Il était vrai que la jeune femme savait cacher sa peine à ses amis.Mais que pouvaient ils bien faire pour elle à part être auprès d'elle .Elle était bien entourée du reste,toujours autour d'elle tant de personnes qu'elle savait apprécier.Puis revient sur terre et dis à Amélie:

Oui!!
Il y a une chose que je n'aime pas!!
La Mort!!
Je la haie du fond du coeur.
Mais parfois je sais qu'elle délivre de tant de souffrances.
Et là je sais la remercier.
Mais sinon,je le haie!!
Et puis il y a aussi la Jalousie !!
Ou bien encore l'hypocrisie!!
Voilà les seules choses que je n'aime pas Lili!!
Ton mariage!!
C'est vrai il approche à grands pas!!
Je sais Lili qu'avec Sha tu seras une femme très heureuse et comblée!!
C'est un homme très attentionné!!!
Je suis si heureuse pour vous deux!!
Votre couple est si beau.
Que de bonheur dans vos yeux et tant d'amour aussi!!
Sois heureuse ma Lili!!!!


Puis la jeune femme se tût et marchat aux côtés de son amie.Elle avait qu'une hâte retrouver son doux chevalier qui lui manquer tant.Mais être ainsi sur cette plage lui donner la joie et du bonheur dans le coeur.Puis perdue dans ses pensées,elle sourit à son amie Lili!!
Salim84
Que ces beau ici j'aime promener mais penser sur cette plage!! accompagnée de la louve Ivoire je me mis a rêver assis sur mon petit rocher. la louve entre mes jambes les mains poser sur sa tête écrin doux sorte deux joyaux me regardant prêt a me suivre a tout mouvement. Aller viens lui Ivoire,un saut sans suivie me supassant
Nous nous mettons a courir sans retenue,essayant de me mettre a sa hauteur pour ne pas se faire ridiculiser,en vain mon souffle couper,la regardant en vainqueur,j'en es pas moins une caresse !! tombant essouffler elle se jeta sur moi la langue au aboie, nous somme sur le retour car mon ange ma Daddy va s'inquiéter? mes pensé ranger,la louve agripper!!, a son nom ne se fait pas prier et telle une gazelle se mis a d'étaler,mes yeux aiguiser,la lune en suspension au dessus , ah!je l'entrevoie,"aller viens on rentre " et nous voila partie dans le noir.
Daddydou
Daddy, sachant son Salim sur la plage, voullut aller le rejoindre.

A son arrivée, une légère brise lui fit voleter ses longs cheveux blonds. Elle respira profondément et comprit soudain pourquoi tout le monde venait ici pour méditer. C'était l'endroit idéal pour se vider l'esprit. La houle des vagues, telle une berceuse, l'apaisa.

De loin elle vit son poète courrir avec la louve; cette louve qu'elle n'avait toujours point nommé, d'ailleurs. Elle les vit tout deux, galopant dans sa direction.

"Il est tard, mon coeur! Rentrons nous réchauffer!" lui dit-elle en souriant.

Elle glissa sa main dans la sienne et ils s'en allèrent dans la nuit suivi de près par la bête sans nom.
Malavida
arrivé sur la plage, et se détournant de ces silhouettes rendues fantomatiques par la lumière de plomb qui tombait d'un ciel morne, malavida avisa un creux, un peu à l'écart, une cavité rocheuse devant laquelle un cadavre de barque à moitié rongé par le sel se dressait ainsi que le squelette d'une bête fantasmagorique
il approcha prudemment, l'endroit était sec malgré l'humidité ambiante et à l'abri du vent, qui vous transperce la peau de ses aiguilles de pluie
l'endroit lui convenait, d'ici il pourrait pécher pour se nourrir et vivre ainsi qu'il l'entendait,
rassemblant quelques morceaux de bois flotté, et quelques chocs étincellants de pierres plus tard, un feu crépitait éclairant d'une lumière chaude l'intérieur vermoulue de la barque couchée sur le flanc et donc on eût dit que les entrailles vomissaient ses derniers boyaux, dans le mouvement chaotique d'un rideau d'algues qui en fermait l'accès
malavida s'assit prés du feu et sortit un de ses bâtons qu'il machouillat pensif et dont le gout âcre et la saveur de réglisse définissait si bien ce qu'il pensait de cette vie
Malavida
la lumière rasante d'un soleil naissant sur l'horizon déchirait l'aube sale de rayon mauves et oranges, des gouttes d'eau salines suintaient de la barque s'illuminant de reflets chatoyants dans leur chute.... floc ! fit l'une d'entre elles en s'écrasant sur le front de malavida.
Il ouvrit un oeil paresseux ... étirant lentement ses membres humides il prit conscience du jour naissant
la plage semblait neuve balayée par un vent sec, venu d'on ne sait où, la mer grise s'étalait devant lui calme et offerte, le ciel était terne et promettait une morne journée comme souvent dans ces régions, le temps idéal pour la pêche.
Avisant sa besace rapiécée il en sorti un long fil fin ainsi qu'un hameçon dérobé tantôt sur le port, et oui il fallait bien survivre, ne connaissant que trop bien ses semblables il se gardait de leur "générosité" toujours trop chère payée à son goût.
Une fois son ouvrage achevé, il se dirigea vers la mer d'un pas décidé, porta son choix sur un petit promontoire rocheux, puis installé tout au bout sur un rocher à la forme torturé il lança sa ligne et se replongea dans ses pensées, l'estomac tenaillé par la faim.
Miraille
miraille arriva a la plage .

hé béééééé il fait frais mo fois ici *hips *

miraille se laissa tomber sur le sable et regarda la mer .


drôle de vagues cette nuit *hips* .

miraille se releva et marcha vers les vagues pour finir par entrer dans l'eau glacée.
Malavida
le soleil était déjà haut dans le ciel lorsque malavida s'éveilla les membres douloureusement tendus par des crampes souvenir d'une veillée trop longue et d'un repos trop court
Ses yeux aussi entrevoyaient avec peine le chatoiement scintillant des étoiles de soleil que les rayons chauds de l'astre déposait sur les vagues miroitantes de la mer
l'air était pur, calme, presque irréel, le temps s'écoulait dans une lenteur idéale, perdu encore dans les brumes oniriques de sa nuit, malavida croyait apercevoir dans la lumière dorée comme le reflet d'éclat d'une armure argentée, il pouvait presque distinguer le visage noble et beau d'un chevalier encadré de cheveux blonds et bouclés ...
Pourtant d'un lent mouvement, une houle soudaine, jeu dont ne sait quel courant sous marin, mystérieux tourbillon du gouffre amer, enflât une vague verte et noire, qui enfla à la surface marine chassant le soleil comme un animal qui s'ébroue, et dans la fureur grandissante de sa lame d'écume rejeta violemment sur la grève déchirée le cadavre hideux d'une énorme pieuvre qui vint s'écraser dans un horrible et indescriptible bruit fixant de l'oeil unique de sa gueule à moitié rongée un malavida saisit par la promptitude de l'effet
tout à fait éveillé maintenant, malavida se leva et d'un pas nonchalant, il promena son regard désinvolte presque méprisant sur le cadavre puant, et se dit que la nature généreuse par la puissante symbolique de son langage, lui montrait d'évidence une vérité qu'il savait de longue date, car en vérité sous les plus beaux atours et les plus belles apparences se cachent parfois les plus infectes créatures, pourritures cadavériques, miasme puant grouillant de haine et d'abjectes pensées, toute habillée d'honneur et de nobles principes
détournant son regard lourd, il regarda le ciel, se dit que l'air était trop calme pour que la pêche soit bonne, c'est air là n'était bon pour rien ....
à part peut être pour la tempête ....
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 5, 6, 7, ..., 15, 16, 17   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)