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La plage de Honfleur

Sinbad




fond sonore... somewhere..

Depuis qu'ils étaient rentrés à Honfleur avec sa 'tite chérie d'amour, sa 'tite Mel qu'il aime tant et pour qui il donnerait sa vie sans aucune hésitation, Sin passait tout son temps en mer.
Il savait qu'ils avaient trés peu de temps devant eux avant de reprendre de nouveau la route de l'aventure, celle-là même qui leur avait permis de se découvrir et de s'aimer au delà de toute raison, de toute prévision, et il voulait en profiter au maximum, profiter des derniers jours, des dernières heures à contempler cette mer splendide envers laquelle il avait un respect sans bornes, une admiration sans faille qu'il n'avait accordé à personne d'autre et qui en retour se laissait dominer, lui livrant ses secrets comme à un ami, comme un amant, mais qui restait malgré tout dangereuse comme une bête fauve qu'on ne peut apprivoiser, et qui vous rappelle lorsque vous avez tendance à l'oublier qu'elle n'obéit qu'à des instincts sauvages.
Un jour il la rejoindrait définitivement pour s'unir à elle pour l'éternité c'était là son souhait, mais auparavant il avait encore beaucoup d'amour à donner à sa Meliemelo, et ils avaient encore beaucoup d'histoires et de folles aventures à vivre, en tous les cas il le souhaitait et l'espérait de tout son coeur.

Le marin, tout en se laissant transporter dans sa barque au gré du vent et des courants se remémorait le chemin parcourut depuis que son père lui avait appris pour la première fois à tenir une canne et jeter un filet, lui transmettant ainsi le goût de la pêche et une partie du savoir qu'il acquerra plus tard et qu'il acquiert encore aujourd'hui jour après jour.
Il souriait à cette idée et se délectait de ces moments hors du temps qui lui faisait oublier l'espace d'un instant la bêtise et la méchanceté des hommes lorsqu'il finit par s'endormir, bercé par le murmure ininterrompu des vagues qui le ramenèrent sur la plage le filet rempli à craquer et la barque à la limite de sombrer. Le choc sur le sable pourtant rude ne le réveilla qu'à moitié mais une grosse vague qui arrivait juste derrière finit le travail le tirant subitement et violemment de son sommeil....


ohhh la vaaaaacheeeee !!!!!!!! rhoooooo toiiiiiii !!!!! lança t-il le doigt pointé vers cette mer immense qu'il était le seul à l'entendre se moquer de lui au travers ...son imagination?...... possible, mais n'était-elle pas réellement vivante?
ne l'avait-elle pas ramené une fois de plus à bon port.....?

c'est totalement rassasié de cette proximité qu'on peut même qualifier d'intimité et de communion avec cette nature imprévisible qui peut mettre à mort lorsqu'elle le désire ceux qui la défient, qu'il quitta la plage après avoir amarré sa barque, et qu'il rejoignit sa p'tite chaumière pour se débarbouiller avec l'eau fraîche de son puits, avant de se changer et d'aller retrouver propre comme un sou neuf l'amour de sa vie, un bouquet de roses rouges fraîchement cueillies à la main, et un amour immense pour elle dans son coeur...

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Carnet de Voyage ☁ ☂
Enored
[A l'aube un matin]

Ils avaient chevauché toute la nuit. Au petit matin, les voilà à Honfleur. A l'entrée de la ville, la rouquine sentit l'effluve marine. Elle se sentait enfin revivre. La mer ! enfin ! Elle laissa son compagnon de route aux abords des remparts et prit le chemin qui menait vers la plage. Lançant son cheval au galop, la mer, il fallait qu'elle voit la mer. L'effluve marine se faisait de plus en plus forte, la rouquine passa le port, ce n'était pas là qu'elle avait débarqué des mois ? années ? auparavant. Elle ne comptait ni les jours ni les années.

La plage enfin ! La rouquine retint son cheval et descendit, le laissant vaquer librement à ses envies. Elle fit quelques pas vers la mer. La mer qui lui manquait depuis si longtemps. Enored s'arrêta enfin, debout sur la plage, le regard perdu dans les vagues qui prenaient le même reflet que ses cheveux avec le soleil qui se levait. Le vent jouait sur son visage. Et l'appel de la mer se fit sentir, plus puissant que jamais. Son souffle suivait le flux et le reflux des vagues. Un sourire étrange se dessina sur le visage enfantin de la rouquine. D'une main, elle fouilla dans sa besace pour sortir un morceau de tissus. Elle baissa le regard vers le foulard noir frappé d'une tête de mort. Depuis bien longtemps elle le cachait cette relique de son passé au fond de sa poche. Elle se mit à fredonner une chanson connue d'elle, de ses frères, celle que sa mère chantait le soir sur leur bateau. Celle qu'ils chantaient avec rage au moment des attaques, des tempêtes, pour tenir encore et encore ...

Ag amharc trí m’óige,
Is mé ‘bhí sámh,
Gan eolas marbh
Bhí mé óg gan am...

La rouquine laissa les mots se perdre dans le vent, ramassa son foulard au fond de sa poche et siffla. Son cheval vint à sa hauteur, il marcha à ses côtés jusqu'aux portes de la ville.

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Sissou47
Depuis plusieurs jours déjà Siss n'allait pas bien,mais elle ne voulait le montrer à personne!Alors elle restait sagement chez elle a ressacer ses souvenirs!
La disparition soudaine de son Frère Daymon l'avait anéantie,et elle avait beaucoup de mal à l'accepter.Comme si un malheur ne venait jamais seul,ce fût au tour du père Drago de rejoindre Aristote aux côtés de dav et de Daymon.La jeune femme avait certes de la peine et beaucoup de mélancolie,ce qui n'etait pas sans laisser des traces dans son coeur.Heureusement qu'elle était amoureuse et que son tendre chevalier était à ses côtés,pour la soutenir,lui aussi avait était peiner par la perte de Day.Pour se donner du courage et affronter la journée,la jeune femme décidat d'aller respirer l'air marin.Elle adorait cette partie de plage,elle y était à l abris des regards,et pouvait laisser échapper ses peines et ses larmes sans que ses amis ne la voient.
Les ambrums et le chants des mouettes avaient sur la jeune femme un éffet de la tranquillisée,ses pas la guider toujours sur la plage depuis quelques temps,la plage savait comment bercée la jeune femme,lui redonner le sourire,lui oter toutes peines .Elle continuat de érrer ainsi ,l'espris dans le vague et les pensées vers son ange!!

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Miraille
miraille arrive sur la plage et se pose sur le sable fin .

miraille regarde les vagues et scrute l'horizon .

si au moins j'avait mon bateau je pourrai voyager et voir d'autres monde .

je ne sais plus quoi faire ici .

il me s'emble que tout le monde ma oublier ici a honfleur depuis mon voyage de quelques jours a fécamp .

je me demande meme si je ne vais pas tout abandonner pour allez dans un autre village loin d'ici .

miraille pose sa tête entre ses mains et commenca a réfléchir .

( de 1 je ne verrai plus sissou , kerd , amelie , max , job , lapinou et les autres )

( de 2 je ne verrai plus emma qui s'emble m'avoir oublié c'est moment ci )

je me retrouve bien seul dans ce village .

miraille ne sais plus quoi faire .

mon départ va etre un choc pour ceux qui me connaisse mais la je suis très désespérer
Jamie68
Jamie avait besoin de prendre l'air alors elle se dirigea vers la plage.

Elle était triste et seul john ou la mer pouvait lui rendre sa joie de vivre.
Mais le problème était john.

Des gens lui avaient dit qu'il avait trouvé john déprimé. Elle était inquiète d'avoir appris ça. Pourtant elle aimait john comme jamais elle n'avait aimé auparavant. Et son coeur lui disait que john aussi l'aimait.

Alors que se passait il ? John avait il changé d'avis ? Aimait il quelqu'un d'autre ? Si c'était ça, elle était prête à s'effacer car elle voulait plus que tout qu'il soit heureux. Elle l'aimait plus que sa vie. Elle pourait se sacrifier pour lui....

Non elle en était sur que john l'aimait. Ils voulaient se marier et avoir des enfants ensemble. Alors pourquoi déprimait il ?

Elle ne comprenait rien, elle aimerait tellement qu'il soit là avec elle , qu'il la prenne dans les bras et la traite d'idiote....

Elle regarda la mer afin de puiser la force de celle là.....


je t'aime tellement mon amour, tu me manques quand tu n'es pas là . J'aimerai tellement que tu sois là et que tu me prennes dans tes bras.
Sirdadou
j avais besoin d air, d air pur
il me fallait marchait pour oublier un instant qui j etais et pourquoi je me sentais si seul
pourtant tant d ami(e)s autours de moi mais il y avait se vide se trou noir qui envahissait mes pensées
je regarder au loin les vagues et mes par de la les vagues un signe une silhouette mais rien pas de repose juste le vent glacé qui me souffler au visage
il regarda autours de lui mais rien ne bouger comme si le temps c etait arreter pour un moment le silence de la mer et du vent
il etait troublé juste un instant
puis se dit qu il fallait mieux repartir
se retourna et marcha avec ses doutes et ses incertitudes
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Signature hors normes
Teumeretini
Teumeretini se rendit à la plage apres être passer à la taverne du repère du fauve ou elle avait beaucoup bu avec ses amis, elle a féter le retrouvaille de son amie Mymy.

Tous en titubant, elle marcha jusqu'a la mer et regarde la lune


elle est vraiment magnifique


Puis s'allonge sur le sable tous en regardant les étoiles et la lune
Mymydu35
Mymy était heureuse de pouvoir enfin voir la mer.....le bruit des vagues déferlant sur le sable, cette odeur bien particulière qui vous apaise et vous ennivre a la fois......elle ota ses bottes, marcha ainsi sur le sable.....qu'elle très belle sensation de liberté de pourvoir marcher ainsi en sentant tout ces petits grains s'écraser, se glisser entre ses doigts pieds.....elle s'arreta un moment pour fixer l'horizon.....elle ferma les yeux , respira l'air marin, le vent soufflait faisant bouger ses cheveux dans tout les sens.....que de bonnes sensations ......

elle ouvrit a nouveau les yeux et souria , bien qu'elle soit toute seule.....ce petit moment rien qu'a elle , quel bonheur, comme quoi, il suffisait parfois de peu de chose pour se sentir bien et heureuse....

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Sissou47
Marchant droit devant elle,la jeune femme arrivat sur la plage,cherchant son coin à l'abris de tous regards.Ses amis partaient les uns après les autres,cela lui laisser un goût amer en elle.Elle savait bien que tous allés bien.Une forte envie de voyage les avaient pris,qui pouvait-elle?Rien à part voir sa ville restait vide,pleine de leur rire,de leur présence.Mais malgrès tout la jeune femme avait qu'un regard sur tout cela,celui de rejoindre son tendre dans sa tour froide.Il était entré en retraite pour un long moment,et cela lui laisser un grand vide dans sa vie.Une partie d'elle était avec lui,l'autre ici sur cette plage.
Elle espérait tant de sa douce ballade!!!Les embruns avaient pour habitude de la bercer en leur sein,mais cette fois elle restait inconsolable.Pourtant,le vent lui soufflait doucement sur le visage comme pour chasser toute mélancolie ou souffrance,mais rien son coeur pleurait,alors comme pour tout exutoir,elle laissat couler ses larmes.
Sachant que pour une fois elle pouvait bien les laisser poindre,et que là personne ne la verrer.S'assayant au pied d'un roché,le regard perdu dans l'immensité de l'eau,les genoux tout contre elle ,la tête appuyée dans ses mains,elle se laissat aller.Restat ainsi jusqu'à la tombée de la nuit.

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Mymydu35
Mymy revint sur cette plage , elle regarda l'horizon , pensant qu'elle était sûr de revenir ici un jour tellement elle aimait cet endroit......elle sortit un morceau de tissu de sa besace, se baisse, ramassa un peu de sable qu'elle deposa dedans , elle fit un noeud avec les quatre extrémités du tissu et le remit dans sa besace....

Elle souria en pensant a son amie Lulu....

Elle regarda un dernière fois la mer et prit la direction de la ville....

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Kerdwin



[musique]

Aujourd’hui il faisait beau…Le ciel était presque dégagé…le crachin qui tombait depuis quelques jours s’était arrêté pendant la nuit laissant place, en cette fin de matinée, aux rayons du soleil qui commençaient à peine à réchauffer les corps… L’air humide renforçait l’odeur iodée qu’exhalait la mer… le vent léger, chargé d’embruns vous faisait la peau moite et salée…

Maureen, bien arrimée sur le dos de Kerd…dormait… son bonnet, aux pompons dansants au fil des pas de maman, enfoncé sur les oreilles. On apercevait juste son joli minois. L’orange de l’étoffe, qui la calait contre sa mère, mêlé au laiteux de sa peau de slave…origines de son père, le grand Stefanov… lui donnaient reflets saumonés de la pêche…

La jeune femme avait eu envie de plage… marcher au bord de l’eau… aller jusqu’à la vieille barque d’Anseis pour s’y mettre à l’abri de la brise…
Elle voulait surtout que sa fille profite des cadeaux que savait aussi faire l’océan… l’imprégner des odeurs et des bruits qu’il offrait… comme elle l’avait été…
La Petite Sirène savait qu’elle ne pourrait jamais quitter le vent… les embruns, les mouettes… le goût du sel sur les lèvres… le bruit des vagues, les jours de tempête, lorsqu’elles enflent de puissance et vienne s’écraser, dans un immense fracas, au pied du phare où des remparts… leur clapotis quand la mer ressemble à un grande tache d’huile brillante de la lumière sélénique ou de celle du soleil…
L’idée de voyager loin de son océan, la terrifiait au point de lui serrer le cœur à lui en faire mal…

Maureen, commençant à manifester la faim en poussant de petits vagissements, Kerd hâta le pas vers la vieille barque...
A l’abri du vent et des regards, elle allaita son bébé…

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L'amour comme épée, l'humour comme bouclier
Malavida
la marche le long de la plage d'une longueur infinie, un paysage monotone qui ne change jamais donnant l'irréelle impression de rester sur place dans le mouvement des vagues et de la course du soleil, le pas pesant et la marche lourde dans le sable épuisant
pourtant enfin à la nuit presque tombée le cadavre familier de l'abri autrefois occupé
malavida allait pouvoir se reposer un peu, la barque était toujours là,
les choses meurent plus longtemps que ce qu'elles vivent
il approcha de la barque couchée sur le flanc
Kerdwin


Repue, Maureen s’était rendormie sur la poitrine de sa mère, au chaud dans son châle orange que Kerd avait, pour cette fois, attaché sur le devant…
La nuit commençait à tomber tout comme le vent qui, poussivement, menait les nuages vers le large, les laissant jouer avec la lune qui, par intermittence, au gré de leur fantaisie, irisait le crêt des vagues…
Le froid en cette fin d’après-midi de février piquait nez et joues, les laissant rouges, comme frottés par une poignée de sable… la jeune femme commençait à en ressentir la morsure… il était temps de rentrer…

En émergeant de derrière la barque, elle poussa un cri… le pas qu’elle fit en arrière la plaqua contre la paroi de la falaise… Un homme était là, face à elle, de l’autre côté de la vieille embarcation… Dans la pénombre, il était impossible de distinguer son visage…


Vous m’avez fait peur, Messire… Qui êtes-vous ?... Que me voulez-vous ?...
L'on pouvait sentir une petite pointe d'inquiètude dans la voix de la jeune femme...

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L'amour comme épée, l'humour comme bouclier
Malavida
je ne suis personne et je ne vous veux rien
Kerdwin


je ne suis personne et je ne vous veux rien

La noirceur des nuages de plus en plus nombreux, assombrissait le crépuscule… La jeune femme essayait vainement de distinguer les traits de son vis-à-vis… seule la silhouette se découpait sur la pénombre.

Mais cette voix ?… cette voix elle l’avait déjà entendue… Subitement elle se souvint… en quelques secondes le visage de l’homme apparut à son esprit…


Eh bien Messire dont le nom est Personne, nous nous sommes déjà rencontrés… en taverne… deux semaines environ avant la naissance de cette petite… lui indiquant le nourrisson endormi… elle n’a que quelques jours…
La fatigue étant trop présente ce soir là, j’avais mis fin à notre discussion pour rentrer chez moi… Messire Malva… Mala… désolée j’ai oublié…
On m’appelle Kerd… et voici ma fille Maureen.

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L'amour comme épée, l'humour comme bouclier
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