Andrea_
Aaaah les bains publics, cette merveilleuse invention. Ce luxe tombé du ciel tant que personne n'a compris qu'il y a plus de vies -et de morts- dans un baquet que sur une barbe. Alors imaginez un barbu dans un baquet, ahah!
J'aime l'eau, tant que je vois ET que je touche le fond. Autant vous dire que lorsque j'ai compris qu'il y avait dans la même ville MON cul et des bains publics, j'ai sauté sur l'occasion. Des sources chaudes, luxe ultime, j'allais passer un bon moment. D'autant meilleur qu'en passant la porte du bâtiment qui les abritait, il n'y avait personne. Pas un chat, pas un rat. Est-ce que j'allais me payer le luxe de me baigner nue dans un endroit où n'importe qui pouvait entrer? Oui.
Parce que je suis une rebelle ouais, et aussi parce que... Oui, bon, j'ai oublié de prendre une chainse et tout le monde sait que depuis que j'abrite un Alzo junior, je ne m'embarrasse pas d'une couche supplémentaire sous ma robe, comprenez bien que j'ai laaaargement assez de son habitat naturel pour sembler énorme et que si je peux paraitre moins grosse que je ne le suis déjà, c'est tout bénef'.
Dans la salle attenante elle avait viré ses bottes, quitté sa robe et remonté son chignon. Puis elle s'était regardée, longtemps, de face d'abord, avant de fermer les yeux, puis de dos, en évitant soigneusement le profil. Y a pas à chier, elle était encore bien canon pour son âge. De dos, oui, mais bien canon quand même. Le temps de prendre un drap posé -pas celui du dessus nonnnn, tout le monde le touche mais personne ne le prend-, -ni celui du dessous parce que ça ferait tom...- TOUT en dessous de la pile donc, laissant les autres en tas désordonné dont les extrémités trempaient déjà dans une flaque d'eau croupie pleine de... d'eau de pieds sales.
Enroulée dans son drap, sourire au bec, elle posait la main sur la poignée, derrière cette porte ? Une flaque bouillante et peu profonde.
Et c'est tout.
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*Phrase de "Larme fatale" J. Doré, E. De Pretto, Merci pour la bannière, vraiment.
J'aime l'eau, tant que je vois ET que je touche le fond. Autant vous dire que lorsque j'ai compris qu'il y avait dans la même ville MON cul et des bains publics, j'ai sauté sur l'occasion. Des sources chaudes, luxe ultime, j'allais passer un bon moment. D'autant meilleur qu'en passant la porte du bâtiment qui les abritait, il n'y avait personne. Pas un chat, pas un rat. Est-ce que j'allais me payer le luxe de me baigner nue dans un endroit où n'importe qui pouvait entrer? Oui.
Parce que je suis une rebelle ouais, et aussi parce que... Oui, bon, j'ai oublié de prendre une chainse et tout le monde sait que depuis que j'abrite un Alzo junior, je ne m'embarrasse pas d'une couche supplémentaire sous ma robe, comprenez bien que j'ai laaaargement assez de son habitat naturel pour sembler énorme et que si je peux paraitre moins grosse que je ne le suis déjà, c'est tout bénef'.
Dans la salle attenante elle avait viré ses bottes, quitté sa robe et remonté son chignon. Puis elle s'était regardée, longtemps, de face d'abord, avant de fermer les yeux, puis de dos, en évitant soigneusement le profil. Y a pas à chier, elle était encore bien canon pour son âge. De dos, oui, mais bien canon quand même. Le temps de prendre un drap posé -pas celui du dessus nonnnn, tout le monde le touche mais personne ne le prend-, -ni celui du dessous parce que ça ferait tom...- TOUT en dessous de la pile donc, laissant les autres en tas désordonné dont les extrémités trempaient déjà dans une flaque d'eau croupie pleine de... d'eau de pieds sales.
Enroulée dans son drap, sourire au bec, elle posait la main sur la poignée, derrière cette porte ? Une flaque bouillante et peu profonde.
Et c'est tout.
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*Phrase de "Larme fatale" J. Doré, E. De Pretto, Merci pour la bannière, vraiment.