Occorax
- Non mais vraiment jai que ça à foutre que dattendre derrière une porte, pendant ce temps la jaurais pu faire travailler mon imagination sur la torture dun gueux, mais non je ne peux pas je dois attendre comme un malpropre que les choses arrive
Tel un gueux qui mendiât devant l'église. Pensa le seigneur qui tournait en rond depuis une dizaine de minute.
Après avoir pensé , ruminer , haït , détester , et maudit son cousin , il percuta une jeune femme qui sortait justement de la chambre , il cru tout dabord que cétait une servante , si cela aurait été vraiment le cas elle ne serait plus de ce monde pour témoigner du regard haineux quexprimait le seigneur , mais la jeune femme en question nétait quautre que la Vicomtesse de Valentigney , et apparemment elle ne lavait pas reconnu , avait t-il vieillit à ce point ?
Citation:Mais vous ne pouvez pas faire attention
Mais il sourit quand même , elle n'avait pas changé , il se demandait même si elle aussi était passé dans l'art de la torture.
- Quel accueil chaleureux que tu témoigne a ton oncle, enfin bref jai assez attendu et comme je vois que tu es sortie de la chambre, donc cela signifie que Bobyzz est en bas, celui la je vais le tué dés que je le vois, pensa le seigneur pour lui-même.
Il fit les bises a ça nièce, puis la regarda.
- Tu es prête on peut y allez? Il fit un signe au serviteur pour quil soccupe des malles, bon c'est vrai , il aurait pu aider à les porter mais les serviteurs par la suite n'auraient plus de travail et comme la Vicomtesse sabsentait, ils allaient être tranquille , même si selon le seigneur faudrait tous les mettre au cachot et les libérer à leur retour à quoi servait les serviteurs quand ils n'avais que peu de tâche ?_________________
Thays
Thays cheminait comme elle le faisait souvent, en suivant ses envies et subissait à présent les aléas des sentiers perdus.
Fidèle à son habitude, elle avait ôté ses chaussons de dentelles rouges et vagabondait, pieds nus foulant l'herbe grasse et douce. Elle évitait soigneusement les orties et autres mauvaises herbes qui auraient pu lui causer bien des désagréments.
De temps en temps, quand les prés étaient agréables et que le soleil caressait sa peau dorée - presque brune, elle fermait les yeux et marchait ainsi pendant quelques dizaines de pas, savourant la lumière, le vent, la terre, l'herbe. Ce jour, en ce lieu, elle était particulièrement haute. Elle cachait jusqu'à sa taille, ce qui lui évita à l'occasion les regards de badauds, désireux ou scandalisés de la voir porter une tenue si indécente.
Qu'ils aillent tous mourir, murmura-t-elle.
La végétation chatouillait délicieusement ses pieds, gambettes et cuisses, qui étaient d'ordinaire déjà très peu recouvertes par sa robe de dentelle rouge, tenue qu'il était coutume que celles de sa caste portent à Weno. Elle l'entretenait avec grand soin, refaisant elle-même la dentelle si parfois elle s'abîmait, et ne la jetterait sans doute jamais. En tous cas elle n'avait toujours pas trouvé ni le temps ni l'envie - surtout - de la troquer contre de ces horribles braies ou houppelandes qui tenaient chaud et ne mettaient pas en exergue ses attraits physiques. C'est que ce n'est pas dans ces tenues-là qu'elle attirera de potentiels amants !
Absorbée dans ses pensées, cheminant yeux fermés par moments, elle ne remarqua rien.
Elle entendit du bruit et s'en fit un jeu : garder les yeux fermés et deviner ce que c'était...
Un cheval, non, plusieurs... un carrosse.. plusieurs ? Non.. un seul.
A tous les coups encore un nobliau d'ici qui rentrait chez lui... ils n'étaient pas fichus de marcher ceux-là.
A peine se dit-elle cela qu'elle se demanda comment rentrer chez elle.
C'est que.. cette fois, elle avait été trop loin et avait fait trop de détours pour savoir où elle se trouvait.
Le nobliau du coin pourrait lui être utile, pour peu qu'elle put passer un moment agréable, en sus...
Elle ouvrit les yeux et héla le cocher d'une voie douce mais ferme et déterminée.
Holàààà cocher !
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Rien ne compte que la vérité pure,
Les actes véritables.
Inutile de faire amende honorable :
Du pardon je n'ai cure.
Les promesses non tenues sont des parjures,
J'en tiens rigueur et deviens un mur.
Occorax
- Ah ben ce nest pas trop tôt, marmonna le seigneur qui en avait par-dessus la tête dattendre, et dattendre
Ils étaient au moins arrivé à la frontière cétait déjà cela de gagner.
Mais le seigneur qui détestait attendre et détestait faire attendre les autres, allait vraiment sénerver avec les douaniers, non mais vraiment ça se voyait pas quils étaient des dignitaires impériaux ? La noblesse était négliger dans ce bas monde, quont fait attendre des gueux la oui le seigneur pouvait le comprendre, mais des nobles, franchement cétait insupportable
Après moult temps, du temps qui dura une éternité
Le seigneur voulait sortir du carrosse pour régler cela lui-même, donc ce qui voulait signifier quil aurait dû casser la tête a deux, ou trois douanier
Mais heureusement quAristote était avec les douaniers et que le carrosse repartie enfin pour la route du duché de la Lorraine.
Le seigneur acquiesça, quand Bobyzz son cousin, vantait les mérites du jeune duc Circa , pour une fois que les deux hommes était daccord sur une chose
Ensuite le voyage se passait dans le plus normal du monde, lui le Seigneur de Mandeure fuma ça pipe tranquillement tout en pensant a la torture et à lexpérience morbide quil pourrait faire aux gueux caché dans son cachot, cétait des pensée saugrenue dans un moment pareil, mais juste le fait de pensé, tua lennuie pour le moment, que voulez vous quun noble fait pendant un voyage ? Ça le seigneur se le demanda encore, pour lui il était clair que les carrosses daujourdhui nétait pas conforme au usage de la noblesse, cela manquait un minimum de cohérence quand ont pense que les gueux dans leur charrette délabré chantonnait la paille dans la bouge et quun noble de pur souche sennuyait ferme , mais
Au moins les nobles était dans un confort complet , même en temps pluvieux , cela la gueusaille pouvait se tamponner bien fort loreille pour avoir un confort dans une quelconque charrette
Citation:Holàààà cocher !
Le seigneur sortie la tête du carrosse pour voir qui avait crié cela, encore ces douaniers ?
Ce quil vit tout dabord le laissa bouche bée, il vit une gueuse apparemment au vu de son gout vestimentaire, mais elle était assez mignonne , elle avait un coté sauvage mais a la fois excitant , ont pouvait même voir ces cuisses a lair, le nobliau naimait pas la gueusaille mais franchement elle était mignonne la petite gueuse , même si il nallait pas le crier sur tout les chaumières, quil aurait bien envie de la forniquer dans un coin du ruelle , oui la ruelle nimporte laquelle le temps que c'était une ruelle ...
Elle était dune beauté sauvage daccord, mais pourquoi donc elle appela le cocher ? Si cétait une brigande il navait pas le choix de la tué, si cétait une mendiante il lui donnerait même pas un sous aussi belle soit-elle, si cétait une pauvre gueuse idiote qui ne trouvait plus son chemin ben ont lui donnera un mauvais chemin voila !
Il se tourna vers Bobyzz et Elfriede.
- Je moccupe de faire taire cette cruche ?_________________