[RP] L'Eglise de Fribourg !

Rodolfus, notre bon Curé, arriva de sa demeure pour accueillir les fidèles.
Il ouvra les portes de notre Belle Eglise, reconstruite après l'incendie lâche des Paiens.

Entrez mes biens chers Frères, mes biens Chères Soeurs !
Venez écoutez la parole du Très Haut et d'Aristote !

Aujourd'hui, mon sermont portera sur une partie du Livre des vertus : la Vie.

Dieu était parfait, alors que Sa création était imparfaite. Alors qu’Il était conscient de Lui-même, Sa création ne pensait pas. Alors qu’Il choisissait ce qu’Il faisait, Sa création ne faisait que s’adapter. Alors qu’Il était capable de créer, Sa création ne faisait que se suffire à elle-même. Alors qu’il voulait aimer Sa création et être aimé d’elle en retour, elle en était incapable.

Dieu réunit alors l’amour qu’Il avait en Lui. Il en fit l’esprit, qui ne pouvait être ni touché, ni vu, ni senti, ni goûté, ni entendu, car il était différent de la matière. L’esprit contenait l’intelligence, composée de la raison et des sentiments. Dieu y en avait mis le plus de Lui-même: la capacité de choisir et celle de ressentir. Le Très Haut associa la matière à l’esprit, pour que ce dernier puisse exister en harmonie avec le monde, et nomma le tout “vie”.

Mais la vie était imparfaite. Bien que créée par Dieu et composante de Lui, elle n’était pas Lui tout entier. Sa capacité de choisir était partielle, car son savoir et son pouvoir n’était pas illimités. Sa capacité de ressentir était tronquée, car elle était composée de matière, neutre et impersonnelle. Mais Dieu voulait aimer la vie et que la vie l’aime en retour.

Mais, pour que Dieu et la vie puissent s’aimer mutuellement, il fallait que cette dernière s’efforce constamment de se rapprocher de la perfection divine. Car elle était incapable de l’égaler. Le Très Haut créa donc le troisième mouvement: les choses supérieures iraient vers Dieu. Ainsi, la matière dont la vie était composée étant une chose lourde, elle fut posée sur le monde, car elle allait vers le bas. Mais, comme elle était aussi composée d’esprit, qui était une chose supérieure, elle tendrait vers la perfection divine.

Et sur le monde, la vie prit une multitude de formes, des plus petites aux plus grandes. Les végétaux s’emplissaient de la lumière des étoiles, couvrant ainsi le monde d’une couche de verdure. Les animaux gambadaient ou voletaient entre les végétaux. Ainsi, alors que Dieu semblait immobile, la vie se manifestait par un mouvement incessant. En effet, Dieu, étant éternel, n’était pas soumis à ce besoin perpétuel de mobilité qui faisait que la vie était sans cesse en activité. Il paraissait ainsi être immobile. Mais c’est cette action ininterrompue que Dieu aimait par dessus tout observer dans Sa création.

Mais Dieu n’avait pas conçu le mouvement de la vie comme une force infinie et, pour qu’il se perpétue, il fallait que l’animal broute le végétal, que le prédateur dévore la proie, et que les cadavres d’animaux pourrissent pour nourrir les végétaux. Ainsi, la mort faisait partie intégrante de la vie. Mais, pour que cela ne détruise pas Ses créatures, Dieu partagea chaque espèce en deux principes complémentaires, qu’il appela masculin et féminin. Tous deux étaient égaux et devaient se rechercher pour s’unifier, et ainsi perpétuer la vie.

Ainsi, de la vie Dieu créa le temps, où la mort succède à la vie, la vie à la mort, et la progéniture à ses géniteurs. De même, l’eau rejoignait le ciel pour descendre sur terre et alimenter les rivières, et le feu sortait des volcans pour alimenter la terre, qui s’accumulait pour nourrir le feu en son sein. Le monde tout entier était uni dans un mouvement perpétuel de vie, alors que Dieu paraissait immobile, échappant aux contraintes du temps.

Il en est de même pour notre Eglise : elle revit et ne cessera de vivre contre tous les paiens.

Rodolfus finit son sermont et demanda à l'auditoire de se lever. Il bénit l'assistance et pria...

AMEN

Un enfant de coeur passa parmi la foule pour la quète et la déposa dans l'urne.

La messe finie, Rodolfus pria les fidèles de se diriger vers la sortie en les remerciant.
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Ex-Curé de Fribourg jeté de sa paroisse

Tchantchès fidèle à la messe était bien heureux de voir le retour du curé à la vie active.

Il avait trouvé le sermon du curé très pertinent. Il avait eu une pensée émue pour son ali Lothaire qui ne ferais plus jamais de sermon, mais ce temps était hélas révolu.

A la fin de la messe il alla voir le curé...

Mon père, soutiendrez vous le conseil pour les journées cantonales ?

Celles-ci vont être expliquées en halles

http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=5224196&sid=WudLPPoCEVuwJIrXDX5IsHk4U#5224196
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Rodolfus, notre bon Curé, arriva de sa demeure pour accueillir les fidèles.
Il ouvra les portes de notre Belle Eglise, déjà beaucoup de monde arrivait :

Entrez mes biens chers Frères, mes biens Chères Soeurs !
Venez écoutez la parole du Très Haut et d'Aristote !

Aujourd'hui, mon sermont portera sur une partie du Livre des vertus : la Réunion.

Dieu regardait, ému, le petit groupe de créatures qui pleurait. Elles se sentaient abandonnées de Lui, car elles n’étaient pas dotées de talents particuliers. Elles en étaient venues à croire qu’Il les détestait, alors qu’Il aimait chacune de Ses créations. Elles faisaient partie de Lui et les détester reviendrait à haïr une part de Lui. Il avait créé l’univers, le monde et la vie pour pouvoir les aimer, et Il les aimait.

Par à cet amour, Dieu avait doté chaque espèce de créatures composant la vie de talents afin qu’elles trouvent toutes leur place dans Sa création. Mais ce magnifique cadeau restait invisible aux yeux de ce petit groupe membre. Les humains qui le composaient étaient habités par le doute, restant aveugles à Son amour. Leurs larmes étaient sincères mais injustes. Ils ne demandaient qu’à être aimés de Lui, mais ne voyaient pas qu’Il le faisait déjà.

Les autres créatures étaient conscientes de ce cadeau, mais n’en avaient pas compris la raison. Elles s’imaginaient toutes être les seules à être ainsi récompensées. Les unes pensaient que seule la force étaient un cadeau de Dieu. D’autres faisaient la même erreur avec la vitesse, la nombreuse progéniture, la longévité, la laine, la capacité à voler ou encore le territoire qui leur avait été alloué par Lui. Elles s’estimaient donc toutes favorisées de Lui et se croyaient Ses préférées.

Mais cet humain, que les siens appelaient Oane, portait en lui le germe du talent que Dieu avait donné aux siens. Il prenait petit à petit conscience du véritable amour que Dieu portait à Sa création. Il commençait à comprendre que chaque composante de la création était aimée de Dieu, mais ne savait pas encore pourquoi. Il passait son temps à regarder les étoiles, espérant y trouver le Très Haut, mais il ne savait rien de Son omniprésence.

Alors, Dieu décida que le temps était venu de donner sa véritable place dans l’univers à l’espèce dans laquelle se trouvait la seule créature qui comprenait l’amour, seul véritable sens de la vie. Il se dit qu’il fallait éprouver l’amour que Ses créatures avaient pour Lui. Pour ce faire, Il décida de réunir toutes les créatures du monde en un seul endroit et de leur demander ce qu’était la vie. Ce qu’Il ferait d’elles dépendrait de leurs réponses.

Alors, d’une seule pensée de Dieu, toutes les créatures du monde entier furent au courant de la convocation divine. Sans attendre, elles se mirent en route. Il existait une gigantesque plaine verdoyante sur un continent verdoyant. C’était là que le monde entier devait se réunir pour entendre la question divine. C’était là que le sort de l’univers allait se jouer.

Il fallut de nombreuses années pour réunir tant de créatures. Toutes ne survécurent pas à ce long voyage, mais aucune n’avait l’intention de rebrousser chemin. Dieu avait insufflé en elles l’envie irrépressible de venir rejoindre la grande réunion de toute la création. Elles traversèrent les mers, les montagnes, les glaciers, les déserts brûlants et tant d’autres lieux difficiles. Elles continuaient cependant à vivre, à mourir, à se nourrir et à procréer. Mais tout cela en ne cessant jamais d’avancer.

Et enfin vint le jour fatidique où toute la création était réunie

Il en est de même pour notre Eglise et notre Cité : aujourd'hui est un jour de paix et de solidarité. Notre Mairie a mis en place les Journées Cantonales pour les vagabonds et je m'en réjouis !

Rodolfus finit son sermont et demanda à l'auditoire de se lever. Il bénit l'assistance et pria...

AMEN

Un enfant de coeur passa parmi la foule pour la quète et la déposa dans l'urne.

La messe finie, Rodolfus pria les fidèles de se diriger vers la sortie en les remerciant.
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Ex-Curé de Fribourg jeté de sa paroisse

Toujours fidèle au service Religieux, Tchant écoutait religieusement les sermons de l'abbé.

Il était friant du livre des vertu et des bons exemples qui y était expliqués.

Il regrettait simplement que si peu de fidèles venait les écouter.

Il se dit que peut-être Messire El Barto viendrait ici entendre parler dle l'AMOUR du très haut ?
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Finmor entra et s'assi pour assister à la messe.

Il regarda tchantches, son parrain, bien qu'il ne fut pas encore bâptisé (Finmor, pas Tchantchès), pour se calquer sur ses mouvement, dans la crainte de commettre un impair.
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Chef Douanier de Fribourg.

Bonjour,

comme convenu, je souhaite me faire batpiser.

Mes parrain et marainne n'ont pas changé.
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Chef Douanier de Fribourg.

Mes chers amis, voici le Credo dont vous aurez besoin pour votre Baptême.

Parenez-le pour dimanche, quand l'évêque vous appelera auprès de lui dan la cathédrale, il vous suffira de le répéter au moment où vous serez baptisez au sein de la grande famille des frères et seours d'Aristote.

Vous entrerez alors dans l'amour universel qui iradie notre communauté et de tout ceux qui en sont membres et qui appliquent les bons principes des philosophes Ariustotes, christos et tous les justes du livre des vetus.

Voici, donc, la profession de foy appelée CREDO :

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Finmor arriva tôt l'église ce matin là. Il était visiblement le premier.

Il s'avança entre les allées, lentement, silencieusement pour bien s'imprégner des lieux. Il espérait de tout coeur que Zeraw pourrait venir, il la savait très occupée pour le moment.

Il s'assit au deuième rang et commença à se recueillir.
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Chef Douanier de Fribourg.

Roland arriva a l'église il entra silencieusement pour ne déranger personnes. Il s'avanca lentement et choisis une place et pria.

Seigneur très haut créateur de toutes choses je te remercie de tout les bienfaits a mon égard, protège moi dans toutes mes actions et protège aussi tout mes amis.

Roland resortis silencieusement content d'être venu prier.

Rodolfus, notre bon Curé, arriva de sa demeure pour accueillir les fidèles.
Il ouvra les portes de notre Belle Eglise.

Entrez mes biens chers Frères, mes biens Chères Soeurs !
Venez écoutez la parole du Très Haut et d'Aristote !

Aujourd'hui, mon sermont portera sur une partie du Livre des vertus : la Question.

Ce fut la plus grande concentration de créatures qui ait jamais eu lieu.

Elles étaient plusieurs milliards à s’être réunies sur la même gigantesque plaine. Elles se côtoyaient sans la moindre animosité. Les loups attendaient auprès des moutons, les chiens auprès des chats, les aigles auprès des mulots et les lions auprès des gazelles. On y voyait même des végétaux. Ainsi, les chênes, sapins, peupliers, oliviers, pommiers, dattiers et autres arbres formaient la plus gigantesque forêt qui soit. Les fleurs, les légumes, les fruits, le blé et le maïs étaient aussi présents. La gigantesque plaine était un véritable sanctuaire pour toute la vie, car elles attendaient toutes patiemment que Dieu viennent à elles pour leur poser la question.

Alors gronda le tonnerre, les nuages s’écartèrent et une douce lumière se fit dans l’espace ainsi dégagé dans le ciel. Parmi les créatures, un grand silence se fit. De la lueur céleste, une voix grave, pénétrante, mais douce et sereine se fit entendre. Alors, la voix dit: “Ecoutez-Moi, vous que J’ai conçu, car Je suis votre Dieu. Sans Moi, vous n'existeriez pas, et à Moi, vous devez fidélité.”

Dieu ajouta: “Nombre d’entre vous se disent Mes préférés, mais jamais Je n’ai jusqu’alors donné de préférence quelque créature que ce soit. Alors, le temps est venu que Je change cela. Le temps est venu que Je fasse un choix parmi Mes créatures. Le temps est venu que Je nomme une espèce parmi vous “Mes enfants”. Pour faire ce choix, Je vais vous poser une unique question.”

Dieu leur demanda donc: “Vous vivez grâce à Moi, car Je suis votre créateur. Vous vous nourrissez, vous vous reproduisez, vous élevez votre progéniture. Mais vous ne savez pas pourquoi vous vivez. Selon vous, quel sens ai-Je donné à la vie?”.

La plupart des créatures ne surent que répondre. Elles se regardaient les unes les autres, espérant trouver chez leurs voisines la réponse à cette bien étrange question. On pouvait observer un poisson rester béat, ne sachant que dire, un cheval frottant le sol de ses sabots, un chêne se courbant, cherchant désespérément la réponse à ses racines, et même une colombe se grattant la tête en signe de réflexion.

Mais l’une d’entre elles s’avança. Elle semblait sûre d’elle et de sa réponse. Toutes les autres espèces lui ouvrirent le passage et, bientôt, un espace se dégagea autour d’elle. Elle leva les yeux vers Dieu, mais son regard était plein de suffisance. Elle répondit: “Tu as fait les créatures animées par le besoin de se nourrir. Tu as fait les forts capables de dévorer les faibles. Sans conteste, il s’agit donc d’assurer la domination du fort sur le faible!”.

Elle ajouta: “J’en veux pour preuve que je suis le dernier représentant de mon espèce. Seul le plus fort a survécu parmi les miens! Si Tu me nommes “Ton enfant”, je saurai Te montrer qui, de toutes créatures, doit dominer le monde.”

Elle attendit que Dieu la félicite pour sa réponse, mais en vain. Car Il ne lui répondit pas.

Il en est de même pour notre Eglise et notre Cité : celui qui pose les bonnes questions trouvera les bonnes réponse en notre Dieu et en Aristote !

AMEN

Rodolfus finit son sermont et demanda à l'auditoire de se lever. Il bénit l'assistance et pria...

Dass Ihr Ames benies wird !

Un enfant de coeur passa parmi la foule pour la quète et la déposa dans l'urne.

La messe finie, Rodolfus pria les fidèles de se diriger vers la sortie en les remerciant.
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Ex-Curé de Fribourg jeté de sa paroisse

Edwige qui s'apprêtait a partir vit le curé arriver et assista donc a l'office mais pourquoi ce message maintenant que veut dire ce sermonelle réfléchissais au message qu'avais voulut faire passer Rodolfus... ne comprenant pas...
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GolfPack, passa par le chemin de notre tres belle église, et entendis des murrures venants de la porte entre-ouverte et s'approcha du seuil de celle-ci, et la plus clairement il entendit la parole divine de notre bon curé Rodolfus, et pris la résolution d'assité dorénavant aux messes.


avant même que quelqu'un s'appersoi de sa présence il disparu aussi vite, avec de meilleurs intentions.

Aud avait fait le voyage pour l'occasion, elle été heureuse d'apperçevoir soleila.
Elle se dirgea vers elle pour la saluer et prendre de ses nouvelles
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Dark arriva alors en l'église de Fribourg. Il aperçu les invités déjà présent à l'intérieur... Il prit le temps de saluer chacun puis se dirigea vers Soleila.

- Bonjour Soleila. Je te souhaite tout mes vœux de bonheur^^ Tu es ravissante dans cette robe, le bonheur te rend plus ravissante que jamais^^

Il remarqua alors que Swenn brillait par son absence...

- Tiens, Swenn n'est pas encore arrivé? Moi qui croyais être déjà bien en retard... Veux-tu que je parte voir après lui...? Le connaissant, il essaye certainement de parfaire son habillement. Pour tenter d'arriver à la hauteur de ta beauté et pour que ce jour soit encore plus beau pour toi^^
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Possibilité de créer des bannières, contactez moi par mp^^

Roland arriva près de l'église et entra. Il chercha des yeux soleila et se diriga vers elle.

- Bonjour soleila, tu est merveilleuse dans cette robe. Je vous souhaite a tout deux un amour merveilleux et éternel.

Roland émus regarda autour de lui et vus une place en retrait et s'y instala pour prier.

- Dieu très haut créateur de toutes choses, protège se couple de toutes les intempéries de la vie. Pose ta main ho dieu très haut et protège les.

amen.

Catouline voit passer Swenn et Soleila, qu'ils sont beaux tout les deux, ils rayonnent de bonheur
Catouline prie pour eux en silence que leur bonheur soit éternel, et que la vie leur apporte l'abondance en toute chose ...
Elle ira les félicité après ce dit elle
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Catouline

Gaïa étant pressée de se rendre à la mairie passa à l'église pour voir les deux jeunes prêts à se donner le OUI pour la vie.
Elle murmura une petite prière pour les deux..

Que le bonheur et le respect mutuel regne votre couple :
Et que vous gardiez toujours l'amitié pour l'autre dans vos coeurs qui est la base de l'amour !

Laissant un sourire vers l'église elle continua son chemin vers l'avoyerie.

Je vais le réjoindre plus tard au banquet pensa-t-elle.
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Ancienne Chancelière des Helvètes
Ehem. Kanzlerin Helvetiens

Rodolfus, notre bon Curé, arriva de sa demeure pour accueillir les fidèles.
Il ouvra les portes de notre Belle Eglise et fit sonner les cloches.

Entrez mes biens chers Frères, mes biens Chères Soeurs !
Venez écoutez la parole du Très Haut et d'Aristote !

Aujourd'hui, mon sermont portera sur une partie du Livre des vertus : le Mal et ses serviteurs !

Le Mal est partout et il a encore frappé : la tentation a été trop grande pour quelques uns et la Confédération Helvétique va en subir les frais.
Des malandrins nous ont dérobés, vous le savez certainement, une grosse somme d'argent.
J'en appelle à tous ! Si vous rencontrez ces personnes, merci d'en prévenir le juge local : ils doivent comparaitre pour leurs forfaits devant Aristote lui-même, ce n'est que pure justice.

ARISTOTUS DEUS EST !

Une clameur s'éleva de l'Assemblée ; tous étaient d'accord !

Et que Dieu vous garde !

AMEN

Rodolfus finit son sermont et demanda à l'auditoire de se lever. Il bénit l'assistance et pria...

Dass Ihr Ames benies wird !

Un enfant de coeur passa parmi la foule pour la quète et la déposa dans l'urne.

La messe finie, Rodolfus pria les fidèles de se diriger vers la sortie en les remerciant.
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Ex-Curé de Fribourg jeté de sa paroisse

Bonjour mon Fils,

Tout fidèle peut avoir accès au baptème ou à un autre sacrement, du moment qu'il croit et respecte les principes d'Aristote.

Je ne suis par contre pas au courant de cette propagande dont vous parlez !
En outre, je suis constamment sur les chemins et ne peut être à tous les endroits en même temps : mais Aristote s'en charge pour moi !
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Ex-Curé de Fribourg jeté de sa paroisse

Justement non, mais ce serait l'argument de certains opposants et c'est pourquoi je demande conseil à un éminent spécialiste.

Pouvons nous de bonne foi indiquer aux jeunes arrivé la procédure pour un sain baptême, sans être taxé de papiste ?
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Tchantchès se sentait enfin un peu moins seul à Fribourg.

Il avait bien entendu le discours du curé, et il lui semblait que tout à coup il était peut-être un pu moins seul.

Lothaire lui manquait toujours ,mais il voyait bien que son curé Rodulfus avait des proportions à défendre la foy.

Les mécréants allaient devoir apprendre à composer ...
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Rodolfus, notre bon Curé, arriva de sa demeure pour accueillir les fidèles.
Il ouvra les portes de notre Belle Eglise et fit sonner les cloches.

Entrez mes biens chers Frères, mes biens Chères Soeurs !
Venez écoutez la parole du Très Haut et d'Aristote !

Aujourd'hui, mon sermont portera sur une partie du Livre des vertus : le Jugement divin !

Je levai les yeux de la flaque d’eau où toutes ces images horribles venaient de s’offrir à mes yeux. Je tremblais de toute mon âme, les cris de souffrance des pauvres victimes de ces quatre calamités résonnant encore dans mon coeur. Je pleurais de chaudes larmes, tant était horrible le sort de ces pauvres malheureux.

Alors, Dieu, d’une voix douce et apaisante, me dit: “Vois, comment risque de finir le monde que tu aimes tant. Il sera détruit par l’eau, la terre, le vent et le feu. Mais n’aies crainte, car si vous vous montrez vertueux, vous pourrez éviter ces inutiles souffrances. Et que ceux qui vivent dans la vertu ne s’inquiètent pas, car jamais Je n’oublie ceux qui M’aiment.”, me dit le Très Haut. Je vis en effet les nuages s’en aller, les vents se calmer, les flammes mourir. Mais la terre trembla de plus belle.

Et les hommes et les femmes qui avaient vécu les atrocités que j’avais pu voir dans la flaque sortir du monde en volant. Ils étaient innombrables, debout les uns près des autres, tels une mer d’humains. Malgré le temps indéfinissable qu’ils avaient attendu sous terre, ils avaient l’air de retrouver une nouvelle jeunesse. Ils s’envolèrent en un magnifique nuage d’êtres venant rejoindre leur Créateur.

Derrière eux, je vis le monde, gigantesque boule de matière. Tous les humains l’avaient quitté. Sa surface se mit à se craqueler, des flammes titanesques surgissant des crevasses ainsi formées. Puis, le monde tout entier s’embrasa. Il illuminait les autres astres d’une puissante lumière rouge. Enfin, dans une incommensurable explosion, il acheva la mission que Dieu lui avait confié.

Les humains s’installèrent le long de des étoiles, sur ce que l’on appelle la voie lactée. Ils s’organisèrent alors en une file qui semblait interminable. Certains avaient l’air heureux d’attendre le Jugement Divin, d’autres versaient de chaudes larmes, regrettant de n’avoir pas su écouter les paroles divines transmises par le prophète Aristote et Christos, le messie. Les anges attendaient patiemment les humains sur le soleil. Et sur la lune, les démons crachaient leurs haine à la face des futurs jugés.

Et Dieu me parla: “Vois. Ces hommes et ces femmes qui sont maintenant unis dans l’attente du jugement de leur âme. Je vous ai faits aspirant à la vertu et J’ai fait celle-ci de telle manière que si l’un d’entre vous la pratiquait, elle se communiquerait aux autres.” Je reconnaissais là l’enseignement d’Aristote et les paroles de Christos! “Il y avait un but à cela, ajouta-t-il, Me servir, M’honorer et M’aimer, mais aussi vous aimer les uns les autres. Je suis la main invisible qui guide vos pas, mais nombre d’entre vous se sont détournés de Ma Parole.”

“Vous êtes jugés un à un lorsque vous mourrez, mais cela ne sera pas toujours le cas. En effet, j’ai laissé la créature à laquelle Je n’ai pas donné de nom prouver ses dires selon lesquels c’est au fort de dominer le faible. Si, encore une fois, vous vous détournez de Moi en trop grand nombre, ce que tu as vu dans la flaque s’accomplira. Si vous oubliez à nouveau l’amour que J’ai pour vous et que vous ne m’aimiez plus à nouveau, cela sera vérité. Si Ma parole, révélée par Aristote et Christos n’est plus écoutée, Je détruirai le monde et la vie, car l’amour n’en sera plus le sens. Alors, prend garde à ne pas laisser Ma parole se perdre dans les gouffres de l’oubli.”

Voilà pourquoi je vous révèle cela. La vertu doit guider chacun de nos pas. Chacun doit la transmettre à son prochain. Telle est la Parole de Dieu. Ne vous échappez pas de la sage voie de sa main, ou viendra le jour où le monde disparaîtra et où nous seront tous jugés!

Il en va de même pour nous tous : nous serons tous jugés par Dieu pour nos actions dans notre vie terrestre.
Ceux qui auront suivi la parole du Tès Haut et ses préceptes le suivront dans son Eden.
Ceux qui auront mal agis, commis des méfaits ou des crimes (sauf pendant les croisades, faut pas pousser quand même) iront finir leur vie spirituelles dans les Abymes de l'Enfer !

AMEN

Rodolfus finit son sermont et demanda à l'auditoire de se lever. Il bénit l'assistance et pria...

Dass Ihr Ames benies wird !

Un enfant de coeur passa parmi la foule pour la quète et la déposa dans l'urne.

La messe finie, Rodolfus pria les fidèles de se diriger vers la sortie en les remerciant.
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Ex-Curé de Fribourg jeté de sa paroisse

Edwige assista a la messe

la vertu certains devraient y réfléchir. D'autres êtres moins exigeants car l'excès n'est pas bon non plus..
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[Aussi tôt qu'au premier jour]

Izaac entra doucement dans la nef, sans faire de bruit. Avant Prime, il n'y avait que peu de gens dans ces lieux. Ça roupillait aussi sévère qu'en Provence à l'heure du soleil vertical. L'église de Fribourg avait une nef haute. Définitivement, les prières montent plus vite et plus haut vers le Ciel, dans des lieux comme celui-là.

Génuflexion discrète, la main du bénitier au front puis au cœur. Izaac s'engagea sans faire de bruit entre les colonnes. Ses pas sonnaient sur les dalles propres. Dans la chapelle latérale, il s'immobilisa humblement.

Dans un murmure... pour ne point déranger les rares grenouilles de bénitiers,
Il n’est de Dieu que Dieu.
En disant : « croyez en moi », le très Haut a voulu que la vie entière des fidèles fût l’antichambre du Ciel.
Cette parole ne peut pas souffrir des prescriptions d’une Autorité, telles qu'elles sont exigées par le prêtre et le seigneur. Aucune prescription d’Homme n’est légitime.
Le Très haut transmet ses commandements par les rêves et par le verbe.
C’est pourquoi le vrai croyant doit se défier de ceux qui usurpent la parole divine, et ce jusqu’à l’entrée dans le royaume des cieux.
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P4.

Genor était déjà venue deux fois dans l'église de Fribourg depuis son arrivée. Sa vie était rude et ses premiers pas devaient être rassurés, elle se mit donc, les deux fois, derrière le pilier droit près de la porte.
Elle avait pu observer les allées et venues dans l'église, elle avait pu entendre les prêches du prêtre Rodolphus.
Elle n'aimait pas trop cette voix faussement douce qui annonçait des félicités aux vertueux et des atrocités aux autres. Elle savait que Dieu reconnaîtrait les siens, elle ne s'était pas sentie réconfortée du tout par ce prône trop ambivalent.
Ce dimanche, elle entre dans l'église très tôt, elle s'avance vers l'autel et dit en son coeur : " délivre-moi, grand Dieu des sectaires et de l'arrogance de ceux qui croient te connaître, accueille ma vie telle qu'elle est, je fais de mon mieux, tu le sais." Elle s'incline et sort.
Peut-être rencontrera-t-elle quelques personnes chaleureuses ce dimanche ?

Comme tout les dimanches, Hiro se rendit à l'église pour assister à la messe.
Il entra, chercha une place et s'assied, puis il commença a se recueillir.

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Propriétaire de la taverne "Au Tonneau Moussant"
Cultivateur de Maïs

Roland entra doucement dans la petite église la tête basse et alla se mettre a genoux devant l'autel pour prier.


Dieu très haut, que ton non soit éternelle, que ta puissance soit éternelle et que ta bonté envers nous dure a toujours.
je te prie mon dieu non pas pour moi mais pour ma marraine edwige, pose ta main appaisante sur elle, mes du repos dans son coeur, protège la ho Dieu très haut, je te remercie ho Dieu car je sais que tu donne a celui qui te demande.
Que ta volonté soit faite, et non la mienne. Amen.


Roland se dirigea doucement vers la sortie et se fondis dans la foule.

Nicolas écouta le nouvel arrivant en terminant sa prière.

Messire Tchantches je présume. On m'a déja beaucoup parlé de vous!
Et de vos hauts faits d'armes contre les hérétiques effectivement.
Compagnon de foi, je suis heureux d'enfin vous rencontrer.
Je vous suis, nous avons sans doute beaucoup de choses à nous dire sur cette jolie ville...

Après son signe de croix, Nicolas se leva

Ah pardon, je me nomme Nicolas de Cues. Je vous suis...

Allons-y donc.

Messire, j'aimerais que vous me parliez de vous et que vous me disiez ce que vous aimeriez faire à Fribourg.

En ce moment nous avons bien un curé, mais il semble fort occuppé, et nous aimerions pourvoir disposer d'un diacre qui ferait la messe les marcredis et dimanches sans faillir.

Je me disais qu'un croyant comme vous pourrait assumer une telle tâche si le très haut le veut ?
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Et bien Suavhada, je crois que pour ça il va falloir retrouver le curé. Il doit etre fort occupé en ce moment.

Le sacrement du Bapteme est l'acte de foi le plus important dans la vie d'un Aristotélicien. Je suis heureux que vous décidiez de vous rapprocher un peu plus de la grande famille d'Aristote et d eChristos, même si je sais que vous les portez en votre coeur depuis fort longtemps.

Méssire Tchantches, si Rodolfus est trop occupé, pourriez vous avoir une autorisation exceptionnelle d'ooficier?

nicolas sourit

Nous nous sommes mals compris. Je ne suis pas curé, même pas diacre. Mais je viens d'etre nommé bedeau de l'Eglise de Fribourg. Je vais sonner les cloches pour rappeler leur devoir aux Fribourgeois!

J'ai croisé tantôt notre Curé, Rodolfus. Il était un peu occupé, mais sera sans doute fier de pouvoir vous administrer le sacrement!

Cet empressement à rejoindre officielement les enfants D'Aristote et de Christos est tout à votre honneur madame!

Je ressentirai d'autant plus d'allegresse en vous voyant vous faire baptiser!
Que le Trés Haut vous protège, et au plaisir de vous croiser en priere ci-lieu.

Nicolas se signa, et sortit de l'église. On le reverrait sans doute tard ce soir...comme tous les soirs.

Revenu de mission avec l'armée Tchantchès se préparait pour la messe du mercredi soir.

Il lui fallait aller prier.
Il faisait et refaisait l'examen de sa conscience et il trouvait qu'il n'avait pas été parfait dans les jours qui avaient précérés.

Il avait été intransigeant avec les imperfections des autres et son attitude n'avait pas été très aristotélicienne.

Il se repentirait et se mortifierait gravement pour expier ses débordements d'humeur.

Mais afin de paraître en pleine forme à la messe du soir, il prit la décision de ne s'infliger la punition que tard en soirée.

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Bonjour Messire, je sais qu'il ne faut pas être bien vieux pour être diacre, cela sera donc vite réglé.

Bien sûr que je veux bien vous accompagner dans vos prières.
Au contraire, je serai particulièrement heureux de pouvoir prier avec vous.

Joignant le geste à la parole, Tchantchès se mit à genoux et mains jointes entonna un psaume à la gloire d'Aristote.


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Tchantchès se présenta à la messe comme à son habitude.

Cette fois il alla prier pour le salut de son âme, il avait accepté le duel de Kartouche et ne sachant pas encore quand ni où, il aurait lieu, il espéra que cela pourrait se traiter assez rapidement.

Soit je nettoierai le monde d'un fourbe horrible, soit j'aurai mon passe-port pour le soleil et irai enfin retrouver ma Marguerite.

Tchantchès se décida alors à chanter un cantique de sa composition, car l'église n'était pas bien remplie.

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Messire, il prétend que je l'ai offensé en son honneur, ne point y aller serait donc couardise de ma part.

Je ne peux me soustraire à la règle du chevalier. L'honneur est sa valeur sûre comme doit l'être la mienne.

Mais priez mon ami, priez non pas pour la vie qui ne compte pas, mais pour le salut de mon âme.
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GolfPack entra dans l'église et entendit des voix qu'il lui semblait connaitre, il s'avanca silencieusement et vit messires Nicolasdecues entrein de prié le tres Haut.

Messire, ce serait pour moi un honneur de me joindre a vous dans cette prière, messire Nicoladescues répondit faite donc messire, Aristote et Christos acceuillent avec amour ses fidèles.

Golf salua messire Tchantches dame Suavhada et messire Nicolasdecues.
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Edwige priais depuis longtemps maintenant le jour c'était levé sans qu'elle sans aperçoive sans être apaisée pourtant son cœur étais serré d'angoisse.

le pas lourd elle se dirigeas vers la sortie

Les bannières sont de 200 par 600 et NON de 600 x 300 Référez-vous aux règles de censure. Avertissement envoyé - FGK
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GolfPack revint en ces lieux saint qu'il aime bien pour une prière particulière.



Oh, tres Haut écoute ma prière elle n'est pas pour moi, mais plustôt pour un tres grand amis que je respect et admire beaucoups.

Golf, ferma les yeux et sombra profondement dans la prière, oh Aristote et Christos posés vos mains sur mon amis et couvrer le de votre puissance divine, et guider le vers la réusite et le bonheur.

Golf, termina sa prière et quita l'église tranquilou
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Rodolfus passa ce jour près de son Eglise : il vit la foule qui s'y pressait et fut heureux de cet état.
Pour remercier Aristote de ce bienfait, il s'en alla à la taverne la plus proche pour fêter cet évênement !
En criant et en chantant :
Loué sois-tu Aristote notre Sauveur, car ta bénédiction est sur nous et tu protèges notre cité de ses plus infames ennemis.
AMEN...
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Ex-Curé de Fribourg jeté de sa paroisse

S'était une soirée claire ou la lueure de la lune eclairait clairement les marches de l'église, une soirée froide Golfpac désida d'y entre afin de faire une petite prière le temp de se réchauffer unt peut.

Il vit le père Rodolffus terminant sa prière, il s'avanca et demanda au père pour recevoir le sacre du batême, mon père indiquer moi la voie a suivre pour recevoir le batême.

Apres avoir dit sa prière Golf s'enmétouffa dans son manteau et reparti pour chez lui.
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Qu'il est bon de se recueillir dans notre très chère Eglise. On s'y sent en pleine quiétude... On est en accord avec soi-même ce qui permet le respect d'autrui.

Gloire à Dieu et à l'Eglise de Fribourg.

Rodolfus arriva de bonne heure à l'Eglise.
Aujoourd'hui allait devenir un grand jour : c'était un jour de joie et de bonheur car notre congrégation allait s'enrichir de 2 âmes errantes.
Il s'adressa à la foule massée dans l'Eglise.

Nous sommes aujourd'hui là pour acqueuillir 2 âmes dans notre congrégation !
Je me suis entretenu avec eux en confession et je les ai absouds de leurs pêchés !
AMEN

Et les paroissiens de reprendre de vive voix ALELOUIA !

Ils m'ont révélé leurs plus grandes peines et je vais ce jour les délivrer de leurs démons !
AMEN

Et les paroissiens de reprendre de vive voix ALELOUIA !

Voici Lisarine et Gofpack, 2 de nos concitoyens qui ont souhaité rejoindre notre Eglise et Aristote !

Il les fit s'avancer devant l'autel puis en leur versant la Sainte Eau sur la tête, il leur fit réciter les 4 psaumes du Baptème :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Et maintenant je suis heureux car notre Cité compte désormais 2 âmes prètent à défendre notre Eglise et Aristote !

Et les paroissiens de reprendre de vive voix ALELOUIA ! ALELOUIA ! ALELOUIA !
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Ex-Curé de Fribourg jeté de sa paroisse

Les baptemes de son ami Golf et de Dame Lisarine le réjouissaient. Ils attendaient cet avenement avec l'impatience et la joie d'un enfant qui retrouve sa famille.

Le visage radieux des baptisés illuminait toute l'église, et c'est avec joie, et dans la discrétion, que Nicolas reprenait le crédo.

Deux frères de plus ...toujours de quoi se réjouir...

Golfpack revient en ce haut lieu vénéré par plusieurs concitoyen(e)s, pour remercier le tres haut.

Je m'avanca silencieusement afin de ne déranger personne, je m'assoie sur le banc a ma gauche joingna les mains et commenca a prier Aristote.

O tres haut Aristote, je suis heureux d'avoir rejoint la comunauté aristotélisienne, que Cristos me bénisse et veille sur moi et tout les fidèles de cette grande famille.

Amen

Et Golf salua d'un signe de tête ses aims présents icilieu, et s'en retourna.

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Phisto rentra chez lui. Il égorgea un mouton, il récolta le sang qui giclait de la gorge tranchée. Il ajouta du fiel de boeuf dans le bol encore fumant et de l'esprit de vin pour que le sang ne coagule pas en refroidissant.
Quand l'horrible mixture fut froide, il constat avec plaisir qu'elle était bien rouge et ne se coagulait pas. Il eut un petit rire...
- " Une petite fiole discrète... Voilàààààààà.
Il sortit de chez lui, fermant soigneusement la porte. Il se dirigea à grands pas vers l'église.
Il s'abîma dans une prière, attentif aux personnes présentes.
Il était midi, tout le monde était rentré, pour le repas, sans doute
- Mangez, mangez, braves bourgeois de Fribourg ...
Il se dirigea vers le fond de l'église, s'approcha du baptistère ...
Il regarda encore soigneusement autour de lui. Il souleva le couverce et observa l'eau baptismale... Un fin sourire aux lèvres, il versa tout le contenu de sa fiole, ferma le couvercle et s'éloigna rapidement...
- " Ah ah, ces maudits aristotéliciens vont maintenant vraiment baptiser dans le sang de l'agneau !!!"
Il éclata de rire et se perdit dans FRibourg

Le dimanche matin jour de messe.

Tchantchès s'avança comme à son habitude.
Il alla dans la petite chapelle adjacente afin de prier à l"écart avant l'office.

Il lui fallait réfléchir à plusieurs événements passés.
L'avenir s'annonçait difficile.
Ses pires ennemis, Le Lion de Juda, se concentrait verls l'Helvétie.

LA Noblesse noire était un obstacle à leur vivier de troupes et de moyen. LA réforme était en danger. Tous les helvètes uaraient du s'unir autour de la Noblesse Noire et délivrer définotivement le pays, mais non, certains se faisaient même naïvement les complices des bandits. Ils se laissaient manipuler aveugles et sourds aux dangers.

Tchantchès pria donc pour que le trèq haut fasse tomber les écailles de ces citoyens, qu'il ne comprennait pas mais qu'il narrivait pas à détester cependant.
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Pendant que le messe se déroulait, Phisto s'approcha de la porte.
Avisant un battant de bois, il accrocha un parchemin gratté qu'il déroula en prenant bien soin de taper sur le clou pendant les chants.

C'est l'Eglise qui fait l'enfer ! Pas le diable !

Et puis il s'en alla en ricanant

Fra Timeo s'activait dans l'église. Il était allé, avant tout, voir le curé.
Un accorte servante lui avait ouvert et lui avait dit que " Le Seigneur Curé" était à table. Fra timeo avait entendu
- Quest -che que ch' est ?
- Un petit moine , seigneur Curé
La tête de Rodolfus entourée d'une large serviette s'était montrée dans l'entrebaillement de la porte
- " Oui ?
- Seigneur Curé, je viens vous demander de préparer l'église pour la messe de minuit. Je voudrais rappeler le message de Paix et de Bonheur de notre frère François d'Assise.
Le curé l'avait regardé d'un air un peu méfiant.Et puis
- Faites mon ami...
Et donc Timeo se sentit autorisé à commencer ses préparatifs.
Il s'était recommandé d'Edwige de Genor et de Barba pour recruter des figurants, il leur expliqua leur rôle et puis commença une répétition générale. L'église se remplissait déjà, ce n'était pas l'heure de la messe, mais l'arrivée d'animaux, d'enfants dans l'église attirait les curieux :






Il y avait une belle animation dans l'église ce matin là.
Timeo était heureux

Tchantchès à l'heure de la messe alla prier.

Il était si enthousiaste en ce jour dominical qu'il entonna un psaume :

Galadrielle , dans son berceau
priait deja notre tres haut
Archange de la conservation ,
elle est toujours pleine de raison .

sainte , sainte Galadrielle,
Galadrielle veille sur nous.

Sainte Raphaelle n'avait pas peur ,
D'acclamer Dieu et sa grandeur .
La conviction comme seule arme ,
Elle vous aide a sauver votre âme !

Sainte , sainte , sainte Raphaelle,
Sainte Raphaelle veille sur nous .

Bien que tres pauvre saint Michel ,
avait une fois bien reel .
Pour la justice à Oanylone,
il lisait dans le coeur des hommes!

l'archange saint michel ,
l'archange michel veille sur nous .

Saint sylphael du plaisir ,
gardait toujours le sourire .
Aimant la vie par dessus tout ,
semant la joie un peu partout .

Saint , saint , saint Sylphael ,
Saint Sylphael veille sur nous .

les septs archanges pour toujours ,
pres du Tres haut sont plein d'amour .
Et sur la paradis Solaire ,
ils veillent ensemble sur notre terre.

saint saint les sept Archanges ,
les septs Archanges veillent suir nous ...
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Nicolas de cues arrivait du clocher, après avoir décroché le drapeau impi..

Je suis là je suis là, j'arrive....

-Bonjour messire Golpack,comment allez vous?Je vous presente tous mes voeux de bonheur,et de reussite et prosperité.Ou lala ,je m emballe ,quand je commence je m arrete plus.

Et Barba piqua un fard.........

-Ah Nicoladecues vous etes la,j avais l impression que l eglise etait deserte.Mais dites moi qu elle est cette chose sur le parvis?

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La République ou la mort...

Messire Nico vous avez raison.

Savez vous que mon épée est aiguisée avec beaucoup de raison ?
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Mes seigneurs! C'est trop d'honneur.

Moi vous pouvez m'appeler Nicolas....
Fra timeo je suppose?

Barba' m'a déjà parlé de vous. Entrez je vous prie...
Pour les dessins ne vous en faites pas trop. Il y a toujours quelques plaisantins ou quelques hérétiques que cela amuse. je suis certain que le Très haut ne s'offusquera pas de si peu. A nous de régler ces quelques soucis.

Les temps sont barbares, mais l'Amour du Très Haut les submergera tous...En dernier recours, l'épée de Tchantches pourra châtier les plus récalcitrants.

Je m'en vais prier. Vous joindrez vous à nous?

je serai ravi, Barba d'assister à votre baptême, je vais même , si vous le voulez, composer un hymne que je vous apprendrai pour la cérémonie.
j'espère que nous pourrons joindre Rodolfus pour votre baptême, mais peut-etre que Maître Nicolas peut s'en charger ?
Vous savez comment joindre cet introuvable curé ?

Golf se leva tôt ce matin avant même le lever du soleil, ne voulant pas manquer le batême de Barba il tres tôt arriva a l'église avant même le père Rodolfus

Il avanca dans l'allé vers le porte lampions et y alluma un lampion,
pour marquer cette journée spécial du batême de Barbapounette.

Et Golf alla s'assoir au 3iem. banc a sa droite, et attenda la cérémonie de la messe et du batême, tout en priant le Tres Haut.
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Barba arriva devant l eglise,elle etait impressionnée.Elle vit Golfpack a l entrée.
-Bonjour messire Golfpack,comment allez vous?Entrons nous?

Ils entrerent tous deux dans l eglise,Barba vit Tchantches son parrain qu elle alla saluait.
-Bonjour mon parrain.
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La République ou la mort...

Fra Timeo entra dans l'église.
Il vit Barbapounette et lui fit deux bises en rougissant.
- J'espère de tous mes voeux, Barba, que ce baptême te rendra heureuse et que tu trouveras toujours sur ta route des bonnes personnes.
J'ai un petit cadeau pour toi, c'est plus pauvre que la belle médaille qui t'attend, mais c'est de grand coeur, pour un grand coeur

Il lui donna un petit parchemin, doux comme l'agneau dont il était tiré :

Prongs s'était fait belle ce matin.. mais rapidement car elle avait un peu trop dormi. Enfin elle arriva au pas de course à l'église et fut soulagée de voir que le père Rodolfus n'était pas encore arrivé.

Bonjour tout le monde. Bonjour Barb. Elle lui sourit. Et s'approcha d'elle.

Prête pour ce grand jour?
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Bailli démissionnaire
Ancienne Avoyère de Fribourg (5 mandats)
Ancienne Prime consul de Lausanne (2 mandats)
Ancienne juge de Lausanne (2 mandats)
Ancienne Diplomate pour Lausanne (1 mandat)

Lord Andaevinn entra dans l'église, Salua Barbapounette et s'en fut s'asseoir près de ses amis. Il se réjouissait pour Barbapounette, c'était un grand jour.

Il fit asseoir la Chimère à ses côtés. Petite bête très sage. Elle espérait qu'il y aurait de l'orgue. Elle adorait l'orgue.

Andaevinn, quand à lui, espèrait que Barbapounette ne fuirait pas immédiatement après son Baptème! Il avait des choses à lui dire, à l'heureuse baptisée du jour!

Il s'assit confortablement et contempla la décoration simple de cette belle église de Fribourg
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Genor adorait les livres... Elle examina avec attention le parchemin qu'avait donné Timeo
- Dis-donc Barba, murmura-t-elle, il est trop modeste le moinillon, c'est un vrai chef d'oeuvre qu'il t'a offert, je me demande d'où il vient.
Elle fit une fois de plus un effort pour s'adresser à l'homme d 'église, elle avait gardé des fuites éperdues de sa mère pendant sa petite enfance une méfiance ... physique vis-à-vis des clercs.
- Frère Timeo, c'est un fort beau vélin que vous avez offert à Barbapounette, pour autant que je m'y connaisse,, il me semble avoir beaucoup de valeur.

Timeo rougit, il aimait bien cette demoiselle qui se donnait des airs de dame, mais il se demandait toujours pourquoi elle était si brusque avec lui

- Oh, pas tant que ça, c'est moi qui l'ait peint dans mon ermitage de la forêt sur une peau que j'ai préparée.
- Il a fallu beaucoup de temps ?

Timeo sourit :
- j'ai l'éternité pour moi, vous ne savez pas ce que c'est, jeune demoiselle qui courez partout;..

Genor rougit aussi
- C'est vrai que je cours toujours comme si une ombre me poursuivait.
Elle avait l'air sombre d'un coup.
- Dites donc, vous ne seriez pas évadé d'une abbaye par hasard, c'est un travail digne du scriptorium d'une grande abbaye ?
Timeo baissa les yeux
- Evadé, non, j'étais à l'abbaye du Monte Rassino au scriptorium, mais j'ai voulu arpenter le monde comme un pauvre prêcheur, ermite.

Genor se sentit soudain plus en sympathie avec le moinillon...
- Il faudra que nous parlions ailleurs, Frère Timeo, j'aime les livres et je trouve qu'il est bien difficile de s'en procurer à Fribourg.
Voyant l'église se remplir:
- Alors, il vient ce curé ?
Celui-là de clerc, elle ne l'aimait pas, elle s'en méfiait comme de lapeste !

Timeo aimait les animaux
Il tendit la main vers Chimaera et fredonnait une petite mélodie douce, qui avait l'air de charmer la bête.
Elle se dirigea vers lui en ronronnant et se blottit sous sa main d'un air béat.
Timeo murmura
- "tu es une belle princesse, ma belle ....
se tournant vers Andaevin
- Vous avez là un splendide animal, my Lord et vous aussi, Dame Avoyère, comment s'appellent-elles ?

Timeo rougit derechef
- Je ne suis point messire, je suis un pauvre frère ermite que Dame Edwige a sorti de la forêt et qui loge chez Barbapounette. Je suis sorti de ma solitude depuis quelques jours trouvant Fribourg bien accueillante.
Il s'y trouve de braves gens qui vivent décemment et j'espère pouvoir y rendre de menus services pendant l'hiver, le Très-haut aime la prière de ses serviteurs mais ne désire point leur mort par grands froids.

Edwige arriva a l'église légèrement en retard mais moins que le curé apparemment il n'étais toujours pas arrivé.

L'église étais bien remplie pour ce baptême et elle eu même de la difficulté a se glisser sur un banc tant il y avais de monde.

elle salua de la main ses amis je les verrais a la sortie a présent on peux a peine bouger pour cette fois on aurais dû aller a la cathédrale c'est plus grand
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Bon bon bon...

Nicolas regardait le soleil qui commençait à tomber dans le ciel Fribourgeois, et la lumière décliner doucement dans l'Eglise.

Il commence à se faire tard, trouvez pas ?
Je vais allumer les grands bougeoirs de l'Eglise, ça nous éclairera un peu!

Et puis je vais faire un saut à la cathédrale...on ne sait jamais, il est peut etre retenu là bas...

Ncolas utilisa l'allumoir, ce qui redonna vie et chaleur à l'Eglise, dans laquelle, fallait bien le remarquer, il commençait à peler sévere...

Finmor etait la ,Barba reprenait espoir.

-Bonoir mon parrain ,comment allez vous?Comme je suis heureuse de vous voir.Cela fait longtemps et je me demandais si il ne vous etait pas arrivé quelquechose .

Barba cachait sa colere et sa tristesse,,elle baissa la tete,les larmes montaient.
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La République ou la mort...

Barba fut surprise de voir dame Cameliane ici,surtout a cette heure.Elle prenait le temps de venir,alors qu elle ne se connaisaient que depuis quelques heures.Quelle gentillesse.

-Dame Cameliane vous ici et a cette heure?Vous avez fait beaucoup pour moi deja, et maintenant vous voici.Vous avez un grand coeur.

Oui je suis triste,mais qui plus est en colere,une terrible colere.J attendais ce jour avec impatiente,il est certain qu il sera innoubliable.Il est vrai que tout les gens qui me sont chers sont ici presents,mais je m en veux terriblement de les avoir fait deplacer pour rien.

Un sourire apparut sur le visage de Barba.Cameliane avait le don de reconforteret Barb se dit qu il lui plaierait bien de la connaitre davantage.

-C est vrai il y a ce pigeon,il y a de l espoir,et tous cela grace a vous.De toute facon il sera porteur de bonne paroles.

Cameliane dut partir,sa ville l attendait,quelle femme d une grande bonté.

-Que le Tres Haut veille sur vous,ainsi que sur vos proches,rentrez bien et faites attention.

Le chagrin s estompait,mais elle demeurait decue.les paroles et l attitude de Cameliane l avait touchée.
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La République ou la mort...

Barba regardait son parrain,il avait toujours les mots justes.

-Merci messire,mais vous m envoyez navrée de vous avoir fait venir pour rien,je suis confuse.De plus vous etes tres pris,et avez remis vos occupations a plus tard.
on devrait interdir le vin de messe!et ne mette que de la tisane !Barba riat de sa betise,la colere etait passée.
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La République ou la mort...

Prongs était triste pour Barbapounette et espéra que Rudolfus avait une bonne excuse.
Oh ça nous donnera un pretexte pour fêter plus longtemps! Elle lui sourit se voulant rassurante. Parfois il faut quelques épreuves pour arriver à ce que l'on souhaite mais nul doute que bientôt tu sera baptisée.
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Bailli démissionnaire
Ancienne Avoyère de Fribourg (5 mandats)
Ancienne Prime consul de Lausanne (2 mandats)
Ancienne juge de Lausanne (2 mandats)
Ancienne Diplomate pour Lausanne (1 mandat)

Lothem se leva et se glissa près de Barbapounette.

-Je suis désolé Barbapounette. Je dois vite te laisser j'ai deux trois trucs à remettre en place.

Lothem aussi était déçu, il avait préparer une fête pour Barbapounette. Il y avait pris du temps et elle ne pourrait se réaliser.

Quel homme d'Aristot peut se déclarer comme tel si il n'est pas la pour ses paroissiens ?

Nicolas avait fait le tour des appartements du curé, al cathédrale et meme les tavernes..on ne sait jamais .Pas de trace de Rodolfus.

Mes amis vous me voyez navré...Aucune trace du père Rodolfus. J'espere qu'il ne lui est pas arrivé malheur.

Nicolas semblait visiblement tracassé.

Tchantches ... j'ai presque tous les diplomes me permettant de faire la messe ici. J'ai reçu la Licence d'Aristologie cette semaine.
mais c'est le curé qui nomme son diacre. Et il a refusé du fait de mon peu d'experience la derniere fois que je l'ai croisé.
Ne me manque que....le bapteme!
La cérémonie se déroule à Noirlac, va falloir que je prenne mon âne pour éffectuer cette longue route...Vous etes cordial...Nicolas ravala ses paroles, voyant la tristesse des futurs baptisés. Surement pas le moment de parler de lui....

Je vais en toucher deux mots à notre Eveque. La situation est plus que confuse à Fribourg, et ça commence à peser ...Pas le moment de faire une crise de Foi après les fetes!

En entendant le juste courroux de Fra Timeo Tchantchès s'apporcha de lui.

Mon frère je comprend votre ire, mais rassurez-vous tous les clercs ne sont pas de cet accabit.

J'en connais de justes et pieux et dont le sacerdoce s'exerce en toute honnêteté, je pense même pouvoir dire qu'ils sont majoritaire.

Notre Bonne ville n'est pas heureuse dans le mimnistère qui est exercé et cela depuis que je suis à Fribourg.

Mais je vous en prie, ne faite pas de l'exception la généralité. Notre Saint-Père fait ce qu'il faut pour faire le ménage dans ses troupes. Mais cela n'est pas toujours facile car Rome est loin.

De plus même une petite ville comme Fribourg ne peut déjà supporter l'idée de voir un clerc avec un escorte épiscopale, donc à ce rythme les déplacements d'Evêque n'est pas aisé. Certains Brigands se sont spécialisés dans la manière de les détrousser.

Ma propre marraine Dame Nicobess préfère voir une évêque se faire égorger sur les routes que de voir deux malheureux gardes l'accompagner pour sa sauvegarde.

Bref, tout cela pour vous dire que les choses finiront pas s'arranger et que le plus important reste la pureté de la foi. Il faut juste un peu de patience

Prions ensemble le seigneur je vous prie.

Tchantchès se tin à genoux à côté du Frère et entonna les psaumes arostotéliciens de bon coeur avec lui...
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barbapounette dit:

Edwige entendant cela s'éclipsa de l'église courrut jusque chez barba pour finir de préparer la fête souriant de la surprise qu'elle aurais cela devrais lui remonter le moral
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[b]A table
Genor se fit un plaisir de le chanter presque comme une petite revanche, sur ce sacré n... de ...... de crétin de prêtre[/b]

nicolas arriva derriere Le pere Rodolfus...

Humm...C'était hier le bapteme...sont tous partis manger à l'auberge là bas...
Allez vous reposer un peu...quelques jours, à l'air frais..

Une fois ma cérémonie de bapteme terminé, je pourrais vous aider un peu plus...J'ai déja réussi la Licence d'Aristologie...Ca va aller, ça va aller...

Tchan mon ami..content de te voir....
Je crois que le père Rodolfus est fievreux....Il faudrait que tu m'aides à le ramener dans ses appartements.

N'est ce pas mon père?

Chuchottant à tchantches...

Il a du attraper cette maladie d'espagne ...vous savez, l'influenza...
Il faut le mettre en quarante jours dans sa chambre,et avaler des décoctions d'écorce de saule..Que personne ne l'approche durant tout le temps de la guérison...

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Cruauté Réveille Toi, Fureur Guide Mon Bras, Seigneur Apaise Mon Coeur...
Il ne faut pas juger un homme sur ses fréquentations. Judas avait des amis irréprochables...
Général de l'A.C.G - Ex Capitaine Confédéral

Mes enfants mes enfants calmons nous! Timée, je vous prie..C'est une Eglise ici et il faut savoir raison garder.

Vous voyez bien qu'il n'est pas en pleine posséssion de ses moyens. Aidez moi plutot à l'amener dans ses appartements!
La fievre le tourmente et il a plus besoin de repos que de sermons...

C'est le surmenage tout ça...Avec tous ces actes blasphématoires....

Messire Rodolfus, nous sommes heureux du retour de votre raison,

A fribourg nous avons l'herboristerie d'Edwige qui devrait pouvoir vous aider à vous soigner.

Je sens que vous allez un peu vous investir dans la vie de votre paroisse, Nicolas et moi-même seront là pour vous y aider.

De plus il ne dépend que de vous de demander à Rome que Nicolas complètement formé soit maintenant nommé diacre à Fribourg.

Et tchantchès en soutenant Rodolfus du mieux qu'il pouvait l'enmena vers la sortie de l'Eglise afin de présenter Rodolfus à Edwige.
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Phisto voulut profiter du désarroi occasionné par la défection du prêtre.

- Haha se dit-il si les Aristotéliciens travaillent eux-mêmes à leur perdition, ça m'arrange ...
Il ricana
- On va leur donner un peu d'émotions pour ce dimanche.

Il entra de nuit dans l'église à pas de loup et se dirigea vers la statue d'Aristote qui se trouvait à côté de l'autel:

Il se mit à en scier la tête. il travailla doucement avec précision, puis ouvrit le sac lourd qu'il avait porté jusque là , il en sortit une tête effrayante, la fixa sur la statue décapitée avec quelques chevilles.
Il recula pour contempler son oeuvre... Les bougies éclairaient faiblement le spectacle qui s'offrait à ses yeux et cela le fit rire



- Ah ah braves aristotéliciens, bon dimanche !

Roland entra dans l'église discrètement comme a son habitude regarda autour de lui et alla se mettre a genoux dans un coin reculé et pria:

Ho dieu très haut, je te prie aujourd'hui non pas pour moi mais pour Smilla ma compagne, tu la connait toi qui sais et voie tout, tu voie son coeur pur et généreux tu voie toute sa gentillesse envers moi et les autres, tu voie toute la bonté qu'elle a dans le coeur, je te demande oh très haut de posé ton regard sur elle de la protégé car sans elle oh dieu moi je n'exite plus pose ta main sur smilla oh Dieu et guide c'est pas pour qu'elle se tourne vers toi. Mais que ta volonté sois faite seigneur et non la mienne, Amen.

Roland se releva et se dirigea vers la sortie, puis se fondis dans la foule qui se trouvais la.

Genor était entrée dans l'église sachant qu'il n'y aurait probablement pas de messe. Elle s'était promis d'y rester un peu pour méditer sur sa vie, ses projets, ses ambitions...
Comment s'adressait-on au Très Haut ?
Quand elle assistait à la messe, elle se disait que ce sacripant de Rodolfus, tout en étant le prêtre négligent qu'il était, savait et donc faisait bien les choses ...
Mais maintenant livrée à elle-même, n'ayant pour toute expérience de la foi que les peurs de sa mère sans cesse poursuivie par des religieux sectaires parce qu'elle était une femme libre ...Genor aussi se voulait une femme libre ... Elle suivait la messe pour ne pas devoir vivre comme sa mère ... mais le coeur n'y était pas... Elle aimait bien cependant le gentil frère Timée et avait bu du petit lait quand il était parti dans sa grande colère contre Rodolfus... En plus il était instruit... Voilà un religieux comme elle pouvait les apprécier...
Mais où était-il donc, cela faisait plusieurs jours qu'elle ne l'avait plus vu.

Puis elle entendit le cri de Barbapounette. Elle se précipita ....
Elle vit la statue, Barbapounette l'air catastrophé et Tchantchès qui dormait là allongé sur un banc, comme le fier soldat qu'il était... Seulement le veilleur dormait encore, même pas réveillé par les cris, il ronflait comme un feu bien garni !!!
Genor le secoua doucement :
- Mesire Tchantchès, mesire Tchantchès ... Mais qu'est-ce que cela ? Est-ce que vous avez vu quelque chose ?

Barba etait petrifiée,la tete c etait fendue et avait atterit a ses pieds.Les yeux de l horrible visage semblaient la fixer,elle n arrivait pas a en detacher son regard.Elle devenait blanche comme la neige.C etait un maivais signe,une vrai malediction.
Enfin elle reussit a parler d une voix tremblante.

-Mais enfin que se passe t il dans cette eglise?C est impensable.

Dans son dos,elle entendit une voix,en retournant elle vit Genor,qui semblait secouer quelque chose ou quelqu un.
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La République ou la mort...

swenn entra dans leglise avec will pour prier pour soleila mais il vit tchantches assis non loing au aguès et il s'approcha :

que se passe til tchantches? jai vus une statue decapitée tu as besoin d'aide?
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Tchantchès rêvait à des voyages au soleil de Syrie quand il se senti secoué comme un prunier.

Dame Genora était là devant lui et elle criait :

Ah bonjour Dame Genora.

Bonjour Nathe et aussi Swenn.

Je n'ai vu qu'une ombre s'nefuir, ma jambe raide ne m'aurait pas permi de le rattrapper.

C'était un homme avec une cape sombre.
Il ne faisait qu'un mètre cinquante donc pas très grand.
Je voulais que la messe se passe sans problème mais apparament la tête est tombée.

Je veillais pour faire cesser ces actes terribles et préserver notre Eglise.

Mais si vous sortez de l'Eglise et que vous suivez les traces de pas, vous verrez que le forfaiteur est parti contourner l'Eglise.

Or personne ne va jamais pas là, regardez ses traces dans la neige, peut-être trouverez vous un indice particulier. Cette nuit il faisait trop noir.

Un petit homme avec un tête diabolique, nous aurons vite fait de le trouver, Fribourg n'(est pas si grande.
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un homme arriva dans le fond de l'église,il était livide...
- Veve ... venez vvoir dehors
Visiblement, il ne bégayait pas à cause du froid
- Au ci ci ci me me au auu cimetière

(HRP ) la Suite sur le topic "mais Phisto les fit les méfaits de Phisto..."

Tchantchès suivi le groupe vers l'extérieur afin d'aller vérifier.

Il remarqua toutefois que les marques dans la neiges étaient bizarre.
elles ressemblaient d'avantage à des sabots de bouc qu'à des pieds humains.

Qu'est-ce que cela voulait dire ?
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Smilla entra dans l'église pour la première fois. Elle allait s'assoir dans un coin pour prier quand elle vis la statue d'Aristote. Elle n'en cru pas ses yeux. Elle ne comprendrais jamais un tel acte de vandalisme. Elle se sentit triste et pour la première fois pria :
"Seigneur veuillez pardonnez à celui qui a fait ceci. Seigneur veuillez aussi bénir et protéger Roland, l'homme que j'aime. Il est tout pour moi, c'est un homme bon. Aidez moi à le rendre heureux. Veuillez aussi me guider dans ma quête spirituel pour me rapprocher de vous. Que votre volonté soit faites. Amen"

Smilla se leva et sortis de l'église.
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De retour à Fribourg. Enfin. Sa belle ville lui manquait, et les longs trajets le fatiguaient énormément. Son âne, qu'il avait appelé Mittys, portait lui avec aisance les lourds bagages.

Arrivée devant l'Eglise, personne. Nicolas se décida à entrer.

Sacrilège

La statue d'Aristote avait été profanée, le cimetiere dévasté. Des traces de pieds de boucs filaient dans la neige.
Une oeuvre de la créature sans nom? Certainement pas. On ne voyait pas de traces de la queue qu'il laisse trainer derriere lui. Et il ne s'abaisse pas à ces petits méfaits. Il préfere corrompre les âmes et fourvoyer les puissants. Bien plus éfficace...

Nicolas réfléchit ... suivre les traces, peut etre....mais vu les nombreux pas qui recouvraient les pas, il ne devait pas etre le seul. Les marques se dirigeaient vers la Cathédrale. Le pire était à craindre.

Mais de toute manière, les méfaits étaient dejà commis. Et leur auteur, soit arrété, ce en quoi il doutait, on l'aurait fait prévenir dans ce cas, soit en liberté, en train d'admirer son oeuvre parmi une foule de badauds.

Alors Nicolas décida non pas de suivre les pas, mais de remonter les traces. Elles cheminaient à travers les mauvais quartier de la ville, et étaient souvent recouvertes. Puis quittaient l'enceinte protectrice. Pour courir à travers champs. Ca et là, elles disparaissaient, coupées par les traces des charriots, puis réapparaissaient plus loin, près de quelque étoffe arrachée par les mauvaises branches...

Petite chaumiere à l'écart du village.

Rester sur place, sur le flanc de la maison, et attendre, caché derriere le tas de bois de chauffe...le sacrilege finirait bien par rentrer ...



http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=327299&sid=AqocN6fRavwbIqCMGT2LfB6mO

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Le petit Nicolas avait les pétoches. Les mains moites et les grelots qui s'entrechoquent. Comme si le carillon de l'église de Fribourg était descendu de plusieurs mètres.

Toujours est-il que les cloches tintinnabulaient, fallait s'y mettre et pas flancher.
http://www.sounddogs.com/previews/2107/mp3/320658_SOUNDDOGS_BE.mp3




Le Diacre s'assura, avant de commencer, que les 5 éléments aristotéliciens était bien présent : de l'eau dans une coupelle, le feu sur un cierge, une pierre taillée sur l'autel, l'encensoir était bien plein et l'arrivée des fidèles à l'intérieur de l'église allait bientôt remplir l'atmosphère d'ether. Et puis zou, dehors!

Debout sur le parvis, il attendait l'arrivée des ouailles, avec un sourire de vendeur en toges et braies de Lyon, vous savez, celui qu'on croise le dimanche après la messe sur les quais, et qui ouvrant leurs mantels, vous propose aussi des certificats de baptême contrefaits...enfin bref, c'est une autre histoire...

A grand renfort de poignées de main, il les invitait à entrer dans la nef. leur emboitant la pas, il s'installa à la sacristie.

Maxc serra la main du diacre avant de rentré dans l'eglise, il se dirrigea vers le millieu de l'eglise, et il s'assit, fit une rapide prière et attendit que la messe commenca
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A perdu toutes illusions...
Est devenu un mercenaire, un guerrier libre, combattant pour son pain et ses opinions

Genor était dans l'église depuis un petit bout de temps, dans le fond d'une chapelle du transept. Son coeur était sombre et désorienté, elle avait grand besoin de calme et de méditation.
Tout ce mal au coeur des hommes, cette violence qui ne demande qu'un relâchement de l'esprit pour sortir..Même chez ses amis, même pour elle... Elle avait envie de demander pardon, mais à qui ?
Elle avait besoin d'être réconfortée comme la toute petite fille qu'elle était encore ...
Elle vit Nicolas en habits sacerdotaux et puis ses concitoyens entrer.
Elle était content que la vie liturgique reprenne à Fribourg que Nicolas remplace Rodolfus... Elle l'aimait bien le petit diacre : il était instruit, plein d'humour et de douceur... Et sûrement, qu'il ne débiterait pas des âneries automatiques comme l'autre...

Elle salua Tchantchès, avec une certaine réserve.
Il faisait partie de ces hommes qui la perturbaient : à la fois bons et débordant de la violence des temps obscurs.
Elle s'approcha aussi du Lord Andaevinn : elle avait déjà brièvement croisé cet homme distingué et avait envie de le connaître mieux.
Elle le salua d'un discret : " Bonjour My Lord, je suis heureuse de vous rencontrer en cette occasion, j'ai beaucoup entendu parler de vous"
Elle fit un grand sourire à Nicolas
- Alors messire Diacre, c'est un grand jour pour vous !!!

Edwige entra dans l'église elle étais en proie au doute depuis quelques temps déjà . Et si Je trahissait l'esprit de mes ancêtres? j'ai accepté le baptême, j'ai donné ma parole...ma mère aurais souhaité me voir aristotéliscienne. Mais mon père approuverait il ce choix? Tchantches m'as fais comprendre l'amour de l'église pour ses pratiquants c'est une grande famille mais me fourvoyait je?
L'incendie chez moi... l'esprit noir qui as frappé Fribourg ces derniers jours tout cela est-ce que ce sont des signes dois-je retourner a mes anciennes pratiques?
Peut être d'assister a la messe m'apportera des réponses...
croisant Nicolas elle lui fit un sourire toujours dans ses pensées elle s'assit au fond de l'église attendant la messe...
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Edwige dans ses pensées n'avais pas vu Nicolas prendre place mais elle l'entendit et répéta en cœur avec toute l'assemblée le crédo....

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Le Crédo. Toujours un moment privilégié, une communion des âmes...

Bon! Merci à vous!
Attaquons le gros de la messe par une lecture...La vita de Christos...
Un court morceau choisi de ce livre plein d'enseignement...

Je vous lis ça, et on se fera un petit bilan après

Comme vous l'avez supputé, c'est d'altruisme et d'abnégation dont je vais vous parler ce matin, à potron-minet...
Construire une église, c'est construire une famille. Et aujourd'hui, je vous le dit, ma famille c'est vous.
Alors je vous accueille ici bas, je vous tends les bras et je me donne à vous, sans retenue.
Et je vous demanderait de faire pareil avec votre prochain, de l'accueillir, avec altruisme, et abnégation. Soyez fiers de ne plus penser à vous.
Vos biens, vos possessions, votre terre, ce n'est rien à coté de la richesse que vous pourrez tirer de la relation aux autres.
A ce propos, à la fin de cette messe, les enfants de chœur passeront entre les travées pour la quête....je compte sur vous, l'église et la cathédrale ont besoin de menues réfection.

Alors prions ensemble le Très haut de nous accorder le don de s'oublier, pour penser à l'autre.

Edwige écoutais Nicolas avec attention,

Altruisme? Abnégation? Ces mot étaient plus qu'une réalité ici a Fribourg.
Tous œuvraient ensemble, elle avais trouvé aide et amitié lorsqu'elle en avais eu besoin et elle même donnerais tout ce qu'elle même possédais pour aider un Fribourgeois....fussent -ils nouveaux venus.
Vraiment Nicolas pour cette première messe ne pouvais avoir choisi meilleur sujet...

Cela ne m'aide pas il me faut des réponses... je dois savoir si j'ai fais le bon choix...
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Le club des vieilles du fond tournait de l'œil, il fallait en finir...

Et bien mes enfants, ensemble nous allons partager le pain et laisser passer les enfants de chœur avec leur petit panier, pensez à l'enseignement du jour, et soyez généreux.

La miche était rompue à ce genre d'exercices, elle ne se fit pas prier pour le partage.

Allez dans la paix et remerciez le Très Haut en partant, de m'avoir permis de faire une messe assez brève pour que les vessies les moins résistantes n'aient pas à sortir pendant le sermon!

Que Dieu vous garde!

Nicolas accompagna ses ouailles jusque la sortie, en jetant un regard accusateurs à ceux qui évitaient consciencieusement le geste d'obole, et en se fendant d'un sourir soulagé vers ses amis.

Et les cloches se remirent à sonner, libérant les fidèles

http://www.sounddogs.com/previews/2107/mp3/320658_SOUNDDOGS_BE.mp3

Encore une journée à prier et à corriger les copies des pastorales rendues par les futurs batisés.
Bientôt plusieurs baptemes allaient avoir lieu.

Alors, en briquant la statue d'Aristote, et pour s'alleger l'esprit, nicolas chantonnait...

Il a un prénom d'italien
A les cheveux qui s'en vont
Et ses grosses mains d'assassin
Sentent le savon
Sforza, Sforza

J'lui confirai pas ma soeur
J'refuserai son parapluie
Et j'prendrai pas l'ascenseur
Sforza, Sforza

Même s'il sent la camomille
Même s'il propose des cachous
Même si j'me sentais en famille
En présence d'un fou
Sforza

Il a un rire de fillette
Quand un oiseau du seigneur
Dans ses grosses mains de voleur
Vient manger des miettes
Sforza, Sforza

C'est peut-être moi qui déraille
Mais si j'étais une caille
J'aimerai mieux mourir de faim
Que de manger dans la main
De Sforza, Sforza

Ce formidable malandrin
Qu'en a fait Jeannine, plus d'un
Parc'qu'avec un air benoit
Il reviens nous casser les noix

Moi-même je change de couleur
J'me sens devenir liquide
J'me sens tomber dans le vide
Quand Sforza le voleur
Croise mon chemin

Sforza

Cheveux rare, barde noire
Je rajoute un entonnoir
Dans un coin de mon cahier
Je fais le portrait de Sforza

Malgrès mon trèfle à quatre feuille
Ma medaille de communion
J'vais plus aux WC tout seul
Sans apprehension
Sforza, Sforza

Si vous rencontrez Sforza
Avant que le jour s'enfuit
Alors que la cloche sonna
Alors qu'il s'ennuit

Sans un cris, sans une plainte
Sans un bruit, sans une quinte
Vous partirez faire fortune
Dans la région de la lune

Car lorsqu'il pète un fusible
Il n'a plus de sentiments
Mais il a les pieds sensibles
Et dans son logement
Sforza, Sforza

Rentre ses pieds dans une bassine
Et rompt avec le passé
Sa conscience assassine
De fleur est tapissée
Sforza, Sforza

Tout juste arrivé d'un petit voyage, en ce dimanche matin
Golf arriva tôt a l'église pour la messe.

Me voila le premier arrivé, Nicolas ainsi qes les autres ne vont surement
pas tarder a arriver, il doit bien y avoir une messe ce matin c'est
dimanche, les citoyens de Fribourg sont des gents tres pieux ils
ne manqueront pas la messe.

Et Golf s'assoya près d'un confessional, et pria le Tres Haut.
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kyrahn entra tout doucement. Elle était un peu déçue que son baptême soit reporté mais ça lui laisserait au moins le temps de se familiariser avec ce lieu. C'était la première fois qu'elle entrait dans l'église et elle fut impressionnée par la grandeur et l'apaisement dégagés par le bâtiment.

Il n'y avait pas encore beaucoup de monde et elle alla s'asseoir discrètement derrière un pilier.

Anya entra dans l'église, vu Smilla, alla s'assoir au près d'elle, et pria également...
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Se dirigant vers la sortie, tout près d'ou ce tennait le diacre Nicolas, Golf trempa le bout de ses doigts dans l'eau bénite, fesant face a l'autel du Tres Haut il mit un genou parterre, ferma les yeux et fit un grand signe
de la croix en signe de son profond respect l'église Aritotelisienne, se relevant il vit le diacre Nicolas, le salua puis lui serra amicalement la main, et lui dit......

Bonjour Nico, et bien avec tout ces batêmes la famille va grandire, je vous promet de venir assister au batême de ces nouveaux.


Et Golf sorti de l'église pour retourner sur sa terre.
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Après avoir salué ses quelques amis, Nicolas enchaina.

Merci, vous pouvez vous asseoir.

Aujourd'hui j'ai choisit un sujet brulant d'actualité.
Comme vous le savez si vous etiez là la semaine derniere, je vous avait parlé d'amitié aristotélicienne.
C'est le même sujet qui reviendra en ce beau Dimanche.

Ce que vous savez aussi, c'est que les relations entre la Confédération et l'Eglise ne sont pas au beau fixe. Et ensemble, en avoyerie, nous avons travaillé à les rétablir. De cette discussion est né un concordat que l'on vous propose aujourd'hui d'aller voter.
Ce Concordat n'apporte rien à l'Eglise. Et n'enleve rien à Fribourg et à sa liberté de penser légendaire.
Alors pourquoi le signer me direz vous? Si il ne nous apporte ni à l'un ni à l'autre aucun avantage, pourquoi le signer, et s'élever contre ceux qui l'accusent de tous les maux?

Je vous le dit très simplement: parcequ'il nous rapproche. Il rapproche les freres aristotéliciens les uns des autres. Il rapproche les spinozistes et les avérroistes de nous, qui les regardons parfois de travers.
Parcequ'il offre des libertés que la charte fribourgoise ne leur accorde toujours pas.

Parcequ'il nous permet de nous avancer et de tendre la main vers l'autre.

Aussi, communions ensemble mes freres. Avancez vous pour l'eucharistie, et éssayez de ne pas me mordre les doigts en prenant l'hostie.

Nicolas fit défiler les fidèles, leur tendant le morceau de pain, et les bénissant tour à tour.

Edwige arrivée un peu en retard a la messe se glissa au dernier rang.

son bandage a moitié caché sous son bonnetr lui donnais une drôle d'allure mais elle s'en moquais depuis son baptême elle n'avais jamais raté une messe.

Nicolas, parlais de ce texte qui étais affiché et envotation elle l'avais lu et relu et réfléchissais encore ne voulant pas se tromper.
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Tchantchès vit l'annonce et en tant que fidèle assidu de l'église il savait déjà qu'il serait là dimanche.

Si Nicolas avait besoin de lui, il saurait où le trouver.

Mercredi soir jour de messe, Tchantchès se mit à prier.
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Golf traversant le centre du village, pressa le pas en montant les marches du parvis le petit vent du Nord lui frisquait les oreils,
et de plus n'aimant pas etre en retard pour la messe.

Il vit messire Tchantches et dame Edwidge a l'intérieur,
se diriga vers eux les salua... bonsoir mes amis, et oui comme
vous j'ai vue l'annonce a l'entrer je serai présent Dimanche
sans faute, je ne manquerai certainement pas ces 2 cérémonies,
l'une de grande joie et l'autre d'une désolante tristesse.

Leurs disait notre diacre Nico n'est pas arriver pour célébrer l'office



Bah, ont l'attenderas entre amis, tout en se disant vaut,
mieux etre icelieu a la chaleur qu'a l'extérieur a gelé.
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Maxc avait mis sa plus belle chemise, aujourd'hui était un grand jour il allait enfin rentré dans la sainte église Aristotélicienne...

Il salua Nicolas puis rentra dans l'église
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A perdu toutes illusions...
Est devenu un mercenaire, un guerrier libre, combattant pour son pain et ses opinions

Smilla arriva à l'église en avant. Elle salua le prêtre et entra. Il y avait déjà messire Tchantches et messire Marxc. Il alla s'assoir à côté de ce dernier en attendant que la cérémonie ne commence.
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Barba c etait levée tot ce matin .
Elle traversa le village recouvert de givre.
Emmitouflée dans son chale ,elle pressa le pas.Le froid etait sec.arrivée devant l eglise elle croisa plusieus personnes qu elle connaissait.Elle entra et salua ses amis.Plus en avant elle vit Tchantches prie,elle ne vouut pas le deranger.Elle s assit sut un des premiers bancs.Elle ne voulait pas rater le bapteme de ses amis.
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La République ou la mort...

En entrant, Jepavu n'avait pas vu Barba au premier banc. Il fit un signe à son amie en guise de bonjour et d'amitié.

Roland avais accompagné Smilla son tendre amour jusqu'a l'église , elle allais se faire baptisé, il la regarda les yeux brillant d'amour et lui dit "Oh que tu est belle mon ange que le Seigneur pose Sa main sur toi et te protège." Puis se dirigea vers un coin sombre et se mis a genoux pour prier.

"Seigneur toi créateur de toutes choses écoute ma prière et recois ma demande oh mon Dieu. Je te prie pour Smilla ma future épouse, je te demande oh mon dieu de posé Ta main protectrice sur elle, proptège la de toute maladie et de tout tourment veille sur elle Seigneur car elle est tout pour moi et sans elle je ne serais rien, je ne te demande rien pour moi dieu puissant mais bénis Smilla car aujourd'hui elle te recois dans son coeur."

Roland se dirigea vers ses amis qui étais déjà dans l'église les salua puis s'assis. Il regardais Smilla merveilleuse de beauté qui allais recevoir son baptême.

Maxc étant rentré dans les premiers, et s'étant installé au premier rang, il se dandinait comme un asticot à chaque entrée pour voir qui était la personne qui passait la porte...

Il sourit à la vue de l'entrée de ses amis, et surtout de sa chère et tendre anya
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A perdu toutes illusions...
Est devenu un mercenaire, un guerrier libre, combattant pour son pain et ses opinions

Lothem ouvrit la grande porte de l'église.

En rentrant il vu Kyrahn, il lui fit un clin d'oeil et se dirigea vers elle.
Il lui murmura...
tu verras ça va bien se passer. Profite de ta journée et laisse toi porter .

puis il alla s'assoir, attendant le début de la cérémonie.
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Tchantchès eu juste le temps de lui répondre.

- Sacré Lara, tu m'étonneras toujours, je me disais bien que tu avais un bon fond ...

Et il lui rendit son sourire de manière légèrement ironique, et tout le monde pu voir cette fois sa bouche presque édentée, cela pouvait arriver quand il ne se surveillait pas.
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Après s'être vêtue de manière décente,yunab arriva devant l'église,elle espérait ne pas être trop en retard...

Ce serait pour elle la première fois qu'elle accompagnerait quelqu'un lors de son baptême elle avait vraiment été touchée que kyrahn le lui demande.
Elle entra et chercha celle-ci du regard,elle l'appercut assise au premier rang et alla la rejoindre.
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Avant que Barba ne sorte, Lothem la pris par la main et lui murmura.

Barba, si tu t'éclipses pour aller préparer la tablée, n'oublie pas que je peux t'aider. Nicolas ne m'en voudra pas de sécher la célébration pour préparer la petite fête. Si tu y vas je te suis.
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yunab se placa derrière kyrahn,ferma les yeux et récita le crédo


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen.
_________________

Je reconnais en Dieu le moteur u monde
La pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde
Je reconnais l’église aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, e je jure de lui rester fidèle ainsi qu’a son autorité, seule représentante sur terre de l’être divin.
J’accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection prés de dieu dans ma contemplation éternelle de sa beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.
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Est devenu un mercenaire, un guerrier libre, combattant pour son pain et ses opinions

Genor écoutait attentivement. D'habitude, elle profitait de ces baptêmes pour prier à sa manière et se retrancher dans un silence accueillant au mystère. Mais cette fois, cela concernait quelqu'un qu'elle aimait;
Entendant Kirahn dire à haute voix

elle ne put s'empêcher de grincer des dents, quelle prétention...
Quelle prétention à guider les âmes !
Quelle prétention à dire le tout de l'univers !

Genor se mit à prier de toute son âme que son amie Kirahn et aussi Smillia et Maxc vivent suffisamment et suffisamment bien pour connaître la diversité, le mystère du monde qui nous était donné... Bien plus riche que ce que peuvent en dire les curés...
Elle soupira ne pouvant s'empêcher de penser à son ami Nicolas ...

Smilla émue se leva et dit:

Oui, je m'en repends.

Puis elle récita le credo sentant derrière elle la présence de sa marraine et celle de Roland, un peu plus loin:

puis le crédo espérant ne pas mélanger les mots

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

Amen

Smilla récita en même temps que les autres futurs baptisés :

Je reconnais en Dieu le moteur u monde
La pensée suprême et la cause efficiente et finale du monde
Je reconnais l’église aristotélicienne comme mon guide dans la connaissance de Dieu, e je jure de lui rester fidèle ainsi qu’a son autorité, seule représentante sur terre de l’être divin.
J’accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon âme en vue de ma résurrection prés de dieu dans ma contemplation éternelle de sa beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.
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Edwige étais arrivée un peu en retard la cérémonie avais déjà commencé et étais presque terminée aussi se glissa t-elle sans bruit sur le derniers banc près de la porte récita le crédo en même temps que les nouveaux baptisés.
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- Nenni Tchantchès, je ne suis point marraine à l'Eglise, c'est Dame Yunab qui va signer...

Désolée ... reprit-elle avec un sourire taquin.

Elle prit le fusain et le regarda, elle pouffa de rire
- si vous signez avec cela Messire, votre nom n'y est plus sur les parchemins de Rome, regardez,...
elle fit une petite trace sur le bois du banc, frotta
- cela s'efface le fusain... sacré Tchantchès vous n'êtes peut-être pas dans les petits papiers de la Curie !!!

Elle s'en alla en riant, le plantant là....

yunab prit sa plume et signa le registre en souriant a sa fileulle et fit un petit clin d'oeil a Genor
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kyrahn s'approcha du registre, prit la plume et signa de sa plus belle écriture. Elle sourit à son parrain et sa marraines ainsi qu'à ses amis (tiens, elle ne voyait plus ni barba, ni lothem... mais où étaient-ils?)

Puis se tournant vers Nicolas, elle prit la bougie et la médaille qu'il lui tendait.

Merci Nicolas...

Enfin, elle se dirigea vers la sortie, heureuse comme jamais... dehors, Jepavu l'attendait

Félicitations à vous trois. C'est mon premier bapteme, et je partage avec vous toute l'émotion que les fidèles ressentent. Je vous laisse reprendre vos places. N'oubliez pas de prendre vos certificats de baptème en sortant.

Nicolas regardait l'auditoire souriant, et ce dit que maintenant était venue l'heure du souvenir.

Je vais maintenant demander quelques minutes d'attention.
Une demande particulière m'a été faite.
Vous n'etes pas sans savoir qu'un Fribourgeois des plus apprécié s'est éteint il y a peu. Et même si lui et l'Eglise n'étaient pas les meilleures amies du monde, il a laissé un souvenir empli d'amour à Fribourg. Et à ce titre, il mérite qu'on pense à lui, et que l'on prie ensemble pour que le Très Haut l'accueille à ses côtés.

Messire Krogardelest, que ton esprit repose en paix, au paradis solaire, car c'est le lieu ou l'amitié et la fraternité sont une idée partagée de tous.

Levez vous, et joignez vous à moi pour cette prière.



Et Nicolas de prier en compagnie des fidèles, des croyants, et de tous ceux qui eurent reconnu un Kro un homme de bien.

J'aimerai ajouter à ceci une prière un peu particuliere, un message de compassion que m'a demandé de lire Saan, ami de Kro

Et à la demande de Vicomtest, j'allumerai une bougie, qui brulera dans notre Eglise le temps du souvenir.



Recueillons nous ensemble une minute, après quoi je vous libererai afin que chacun retourne aux travaux que le Seigneur lui réclame.

Nicolas baissait la tête, et le silence se fit dans l'Eglise de Fribourg.

Edwige se leva et récita la prière en même temps que Nicolas.
A la fin de celle-ci elle tira de sous sa manche une choppe qu'elle avais apportée et fit mine de la lever
a la santé de kro un vrai buveur de bière il ne pouvais partir sans cet hommage.


Elle Resta un moment, ressasçant tous les souvenirs qu'elle avais de cet homme puis se dirigea vers la sortie.

il n'aurais pas aimé qu'on le pleure trop
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Roland passais devant l'église la tête basse toujours dans ses penssées il marchais droit devant lui , il se retourna et se dit "Je dois dire au revoir a Kro car il fut mon ami" il revint sur c'est pas et entra dans l'église. Il se dirigea vers un coin sombre s'agenouilla et se mis a prier.

"Kro mon ami j'espère que tu m'entend la ou tu est , je regrète maintenant de ne pas t'avoir parler plus souvent mais tu sais je ne suis pas un grand causeur je suis très réservés mais tu dois savoir Kro que j'avais beaucoups d'estime pour toi, tu était un homme juste et droit , un homme en qui on pouvait avoir confiance , moi je t'ai fais confiance en mettant smilla sous ta protection quand elle a quitté Grandson pour Fribourg. Je te remercie pour tout mon cher ami, et la ou tu te trouve maintenant j'espère que tu aura le repos et l'amour que tu mérite, AU REVOIR KRO MON CHER AMI QUE LE SEIGNEUR T'OUVRE SES BRAS ET TE PROTEGE POUR L'ETERNITE."

Roland se releva et se dirigea vers la sortie toujours la tête basse toujours dans ses penssées, il sortis et se fondit dans la foule puis marcha en direction de sa maison pour y retrouver Smilla car elle seule pouvait apaiser sa peine et c'est tourmants.

Nicolas avait terminé sa messe, sous le regard d'une de ses collègues, bien plus expérimentée que lui dans l'exercice.
Il espérait avoir fait un sermon correct, mais elle pourrait sans doute le conseiller.
Comme elle trainait un peu à quitter l'Eglise, Nicolas se dirigea vers elle.

Bonjour ma soeur!
Content de vous croiser ici!
J'espere que mon office vous aura plu.

Puis je vous inviter à discuter un peu le temps de ranger la sacristie?

Parfait....

Asphodelle semblait ailleurs. Ou génée.
Elle n'était de toute évidence pas dans son assiette.

Alors, dîtes-moi. Que nous vaut votre visite à Fribourg?
Vous officiez à Sion si je ne me trompe...

Nicolas rassemblait les ouvrages posés sur l'autel, et ne savait plus comment prendre l'encensoir. Les mains étaient pleines.

Nicolas souriait. Tant de gens avaient connu son oncle Petitced..Mieux que lui ou sa demi soeur d'ailleurs.
Mais non ma soeur. Votre vie m'interesse justement. Car c'est lorsque l'on sait d'ou l'on vient qu'on sait ou on va!
Votre histoire est touchante à bien des égards. Vous aviez choisi les armes, et Mgr Scarpia vous a amené vers l'Eglise, en tant que diaconesse.
Maintenant vous portez la parole d'Amour, et je sais, certains amis sédunois me l'ont dit, que vous faites ça avec tant de fougue et de don de votre personne que vous avez participé à faire de Sion la ville la plus fervente de toute la CH.

Quant à moi, je vais bien.
J'ai souffert, et j'ai même douté du Très Haut quand mon oncle est mort. Mais je sais que lui n'a jamais douté. C'était un homme libre, et Aristote l'aura accueilli à sa droite.

Nicolas masquait mal un pincement au coeur sous son sourire.

Mais vous n'etes pas venue jusqu'à moi pour me parler de votre histoire, me trompe-je?
J'ai comme l'impréssion que quelquechose de plus lourd vous chagrine...

Kyrahn entra dans l'église, salua Tchantches et s'installa un peu en retrait.

Elle se remémora les événements des derniers jours et se mit à prier pour ses amis, pour son fiancé et pour un monde meilleur.

Genor entra, elle salua Tchantchès d'un petit air moqueur, elle ne pouvait pas s'en empêcher ; ce grand flandrin fort en gueule qui s'agenouillait devant les soutanes !!!!

Elle vit sa filleule
- salut ma belle, alors, il y a déjà une semaine de passée depuis ton baptême !!! Jolie fête, hein ?
Bon alors, c'est quoi aujourd'hui un évêque , c'est ça ?Une nouvelle soutane à Fribourg ça commence à sentir un peu trop l'eau bénite ici.
Elle soupira et s'apprêta a encore endurer un sermon... Elle se mit à rêvasser... Elle repassa dans sa mémoire tous les évènements de cette semaine.. Les élections ... Les discussions avec Prongs pour recoller les morceaux ... Que la vie est compliquée...

Conviée à donner la messe auprès de Nicolas...elle entre dans l'Eglise...

Il y avait quelques âmes à chérir ce jour au sein de cette grande maison...

Elle s'approcha timidement, et se plaça au premier rang, demandant le pardon pour toutes ses fautes :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensées, en paroles, en actions.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis récite le crédo qui unit les coeurs tel un lien invisible.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.
Je crois en l'Action Divine ;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible ;
En la communion des Saints ;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
AMEN
_________________

Elle rougit un peu comme à son premier jour d'homélie à Sion...et avança devant tout le monde auprès de lui, un petit sourire doux sur son visage.

Elle prit le Livre et le lut pour accompagner Nicolas...et déclama ainsi d'une vois claire :

_________________

- Extraordinaire dit Genor tout bas, dans tous les cas on gagne... Une seule langue et c'est l'unité ... gngnagnagnère...dans l'autre, les humains sont sommés de s'entendre...Le Très Haut est Très Sage et Bienveillant dans tous les cas.
pas une parole sur la volonté ou non pour les hommes de s'entendre et la mauvaise foi..."Les humains ne se comprirent plus" ... quel gain... De toutes façons, ils ne se comprennent pas ...et surtout quand il font semblant...
Quel ramassis d'inepties brodées sur les rêves et les douleurs les plus profondes...

Voyant sa filleule qui la regardait marmonner en ronchonnant, Genor lui fit un clin d'oeil et se remit à faire semblant d'écouter...
Elle rigola en voyant Tchantchès se curer le nez avec précision
- L'aura, l'aura pas ? ... L' a eu.. bravo messire Tchan ...

Elle poussa sa filleule du coude en lui désignant la pêche de Tchancthès...
Elles furent prises toutes les deux d'un fou rire ravageur...

Emporté par le sermon d'Asphodelle, nicolas s'était mis à applaudir...tout seul, sous les yeux médusés de ses paroissiens....

Hummm..pardon excusez moi....

Magnifique sermon ma soeur. Sion a de la chance d'avoir un diacre si inspiré. On sent en vous la flamme du Très Haut!
Un grand merci.

Chers fidèles, je vous laisse méditer ce magnifique sermon, et je vais procéder au partage du pain.

Nicolas rompit les miches, et commenca la distribution, bénissant les fidèles qui s'avancaient.

Caramiel jeta un coup d'œil par la porte entrebâillée de l'église pour s'assurer qu'elle était vide et se glissa à l'intérieur.
Elle s'inclina brièvement devant l'autel et se dirigea vers le coin le plus obscur de l'église. Pour s'assurer de ne pas être dérangée, elle s'installa derrière un des poteaux qui soutenaient la nef.

C'était sa première sortie depuis le jour funeste où elle avait eu confirmation de ce qu'elle redoutait.
D'abord elle avait tenté de s'étourdir par le travail ; rien n'y avait fait. Son cœur saignait et elle n'arrivait pas à se concentrer sur son ouvrage. Alors, elle s'était laissée aller à la douleur, se cloîtrant chez elle.
Aujourd'hui elle était venu se recueillir ici, dans le silence si paisible de cette église, il n'y avait pas de messe donc peu de chance de croiser quelqu'un, pour prendre une décision.
Elle ne se sentait pas le courage de reprendre sa vie d'avant, centrée sur le travail et bornée par sa solitude. A cette situation, elle ne voyait que deux issues : se laisser mourir aussi, ou bien partir.
La première solution était terriblement séduisante : en quelques jours son tourment prendrait fin et elle rejoindrait peut-être son aimé dans l'au-delà. Partir sur les routes était bien hasardeux; elle avait aimé ses précédents voyages mais à présent il lui manquerait toujours quelque chose.

Dans la quiétude de l'église elle réfléchissait à toutes ces choses, pesant le pour et le contre, absorbée par ces pensées.

Bonjour frère Nicolas, c'est moi Makedange.

Rabattant sa capuche vers l'arrière, Makedange révéla son visage au diacre qui se tenait devant elle. Embarrassée d'être ainsi découverte, elle se leva et fit une courte révérence pour se donner une contenance et le temps de réfléchir à ce qu'elle pourrait dire.

Voyez vous j'avais grand besoin de me recueillir alors je suis venue ici. J'espère que ma présence n'est pas importune. Je sais qu'il n'y a pas de messe aujourd'hui, mais la porte n"était pas fermée alors...

Elle parlait dans un débit haché, espérant que son sourire crispé passerait pour de la timidité et que se faisant le diacre ne la regarderait pas de trop près. Elle ne s'était pas préoccupée de son apparence en sortant de chez elle, ne comptant pas croiser de connaissance et réalisait à présent que ses yeux cernés et ses traits tirés devaient attester de son état de déréliction.

J'allais partir justement.



Elle sentit une larme poindre au coin de son œil et essaya de l'essuyer discrètement. Elle sentait de la bienveillance et de la sollicitude chez Nicolas et cela réveillait en elle des échos douloureux. La tentation était forte aussi de déposer là son fardeau et d'accepter cette main tendue.