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[RP] L'Eglise de Fribourg !

Smilla48
Smilla se dirigea vers l'autel. Elle signa le registre, prit la bougie et la médaille que lui tendait le prêtre.

Merci mon père,dit-elle.

Elle retourna s'assoir vous suivre la cérémonie en l'honneur de Krogardelest.
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Nicolasdecues
Félicitations à vous trois. C'est mon premier bapteme, et je partage avec vous toute l'émotion que les fidèles ressentent. Je vous laisse reprendre vos places. N'oubliez pas de prendre vos certificats de baptème en sortant.

Nicolas regardait l'auditoire souriant, et ce dit que maintenant était venue l'heure du souvenir.

Je vais maintenant demander quelques minutes d'attention.
Une demande particulière m'a été faite.
Vous n'etes pas sans savoir qu'un Fribourgeois des plus apprécié s'est éteint il y a peu. Et même si lui et l'Eglise n'étaient pas les meilleures amies du monde, il a laissé un souvenir empli d'amour à Fribourg. Et à ce titre, il mérite qu'on pense à lui, et que l'on prie ensemble pour que le Très Haut l'accueille à ses côtés.


Messire Krogardelest, que ton esprit repose en paix, au paradis solaire, car c'est le lieu ou l'amitié et la fraternité sont une idée partagée de tous.

Levez vous, et joignez vous à moi pour cette prière.




Et Nicolas de prier en compagnie des fidèles, des croyants, et de tous ceux qui eurent reconnu un Kro un homme de bien.

J'aimerai ajouter à ceci une prière un peu particuliere, un message de compassion que m'a demandé de lire Saan, ami de Kro

Citation:


A toi Pochtron de Fribourg, et ami de toujours, je te laisse ce message accompagné par toute les bières que je puis t'offrir, je ne serais point là à ton enterrement mais le coeur y est, j'espère que la haut tu trouveras amour, bonheur et surtout boisson à volonté, tu nous quittes mais ton voyage ne fait que commencer, on se reverra aux cieux si ceux ci sont cléments avec moi.


Et à la demande de Vicomtest, j'allumerai une bougie, qui brulera dans notre Eglise le temps du souvenir.



Recueillons nous ensemble une minute, après quoi je vous libererai afin que chacun retourne aux travaux que le Seigneur lui réclame.

Nicolas baissait la tête, et le silence se fit dans l'Eglise de Fribourg.
Smilla48
En entendant les mots du prêtre, Smilla se rappela les bons moments passés avec Kro lors de son voyage de Grandson à Fribourg. Elle se sentit triste et des larmes coulèrent le long de ses joues. Elle se cacha le visage dans ses mains et pria pour le repos de l'âme de Kro. Très haut, accueillez cet homme au paradis. C'était un homme bon. Que son âme trouve le repos éternel. Apaisez les souffrances de sa compagne. Bénissez la et protégez la. Amen.
Une fois la cérémonie terminait, Smilla sortit de l'église. Un mélange de sentiments confus l'envahissaient. Elle était heureuse d'être baptisée, de vivre à Fribourg. Mais elle était aussi triste de la mort de Kro et à cause du départ de ses amis. Elle s'inquiétait pour l'avenir et se réjouissait en même temps. Pour chasser toutes ces pensées contradictoires, elle décida d'aller marcher seul dans la forêt avant de se joindre à la fête organisée à la bonne tablée.
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Edwige60
Edwige se leva et récita la prière en même temps que Nicolas.
A la fin de celle-ci elle tira de sous sa manche une choppe qu'elle avais apportée et fit mine de la lever

a la santé de kro un vrai buveur de bière il ne pouvais partir sans cet hommage.


Elle Resta un moment, ressasçant tous les souvenirs qu'elle avais de cet homme puis se dirigea vers la sortie.

il n'aurais pas aimé qu'on le pleure trop
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Tchantches
Tchantchès complice, avait lui aussi amené une chope.

Dans le cas particulier il la leva dans l'église et la but d'un trait après avoir crié


A Kro.
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pnj
Roland passais devant l'église la tête basse toujours dans ses penssées il marchais droit devant lui , il se retourna et se dit "Je dois dire au revoir a Kro car il fut mon ami" il revint sur c'est pas et entra dans l'église. Il se dirigea vers un coin sombre s'agenouilla et se mis a prier.

"Kro mon ami j'espère que tu m'entend la ou tu est , je regrète maintenant de ne pas t'avoir parler plus souvent mais tu sais je ne suis pas un grand causeur je suis très réservés mais tu dois savoir Kro que j'avais beaucoups d'estime pour toi, tu était un homme juste et droit , un homme en qui on pouvait avoir confiance , moi je t'ai fais confiance en mettant smilla sous ta protection quand elle a quitté Grandson pour Fribourg. Je te remercie pour tout mon cher ami, et la ou tu te trouve maintenant j'espère que tu aura le repos et l'amour que tu mérite, AU REVOIR KRO MON CHER AMI QUE LE SEIGNEUR T'OUVRE SES BRAS ET TE PROTEGE POUR L'ETERNITE."

Roland se releva et se dirigea vers la sortie toujours la tête basse toujours dans ses penssées, il sortis et se fondit dans la foule puis marcha en direction de sa maison pour y retrouver Smilla car elle seule pouvait apaiser sa peine et c'est tourmants.
Nicolasdecues
[Mercredi, messe de semaine. Moins de monde que le Dimanche...les temps sont durs pour un Diacre en Confédération...]




Fribourg était une bien grande ville pour la petite église.
Pourtant, lorsque clerc il n'y avait pas, et quand les messes n'y étaient pas célébrées, elle était bien vide. Ainsi, la nomination d'un diacre avait donné à la foi en la cité un nouveau souffle.

En ce mercredi, alors que le manteau blanc de la neige immaculée recouvrait encore la montagne helvète, Nicolas s'était rendu à la sacristie de la petit église paroissiale pour y célébrer la messe. Pour cette occasion, il avaitressorti une messe bergealienne, pas de sa plume soit, mais qui lui plaisait beaucoup.

Alors que le bedeau faisait sonner les cloches et accueillait les premiers fidèles, Nicolas revêtait sa chasuble. Toute simple, un peu mitée. Mais si proche de la condition de ses amis Fribourgeois, qui ne roulaient pour la plupart pas sur l'or.
En s'avançant vers le choeur, il frappa les grandes dalles de pierre avec son bâton de pelerin, toute humble et sans fioritures, sur lequel il s'appuya ensuite avant le début de la messe.

Puis, quand la nef se fut emplie, d'une voix forte mais mélodieuse, il introduit la messe par ces propos :


Soyez mes frères et soeurs les bienvenus en notre humble église . Aujourd'hui, j'ai voulu vous faire lecture des chapitres VI et VII du Livre des Vertus, ainsi que vous faire sermon sur le libre arbitre.
Les helvetes y sont particulierment attaché, car nous foulons ici une terre de Liberté.

Commençons le crédo, tous ensemble.



Les fidèles récitèrent ensuite le crédo, tandis que le diacre posait le Livre sur le lutrin et l'ouvrait à la page marquée d'un fin signet. Puis, il dit:

Parole du Seigneur.

Citation:


Alors gronda le tonnerre, les nuages s’écartèrent et une douce lumière se fit dans l’espace ainsi dégagé dans le ciel. Parmi les créatures, un grand silence se fit. De la lueur céleste, une voix grave, pénétrante, mais douce et sereine se fit entendre. Alors, la voix dit:

“Nombre d’entre vous se disent Mes préférés, mais jamais Je n’ai jusqu’alors donné de préférence à quelque créature que ce soit. Le temps est venu que Je fasse un choix parmi Mes créatures. Pour faire ce choix, Je vais vous poser une unique question.”

Dieu leur demanda donc :

“Vous vivez grâce à Moi, car Je suis votre créateur. Vous vous nourrissez, vous vous reproduisez, vous élevez votre progéniture. Mais vous ne savez pas pourquoi vous vivez. Selon vous, quel sens ai-Je donné à la vie ?”.

La plupart des créatures ne surent que répondre. Elles se regardaient les unes les autres, espérant trouver chez leurs voisines la réponse à cette bien étrange question. Ce n'est que quelques instants plus tard que l’une d’entre elles s’avança. Elle semblait sûre d’elle et de sa réponse. Toutes les autres espèces lui ouvrirent le passage et, bientôt, un espace se dégagea autour d’elle. Elle leva les yeux vers Dieu, mais son regard était plein de suffisance. Elle répondit:

“Tu as fait les créatures animées par le besoin de se nourrir. Tu as fait les forts capables de dévorer les faibles. Sans conteste, il s’agit donc d’assurer la domination du fort sur le faible !”.

Elle attendit que Dieu la félicite pour sa réponse, mais en vain. Car Il ne lui répondit pas.

Il se tourna vers un groupe de créatures. C’était justement celui qui faisait partie de l’espèce humaine et qui avait parcouru le monde. Dieu savait que ce groupe se croyait rejeté par Lui. Ces humains pensaient être privés de tout talent. Ils estimaient être mis à l’écart de la création du fait de leur prétendue infériorité. Mais, parmi eux, l’humain qui portait le nom d’Oane détenait, sans en être sûr, la réponse à la question posée par le Très Haut.

Car Oane doutait. Il regardait souvent les étoiles, espérant voir Dieu. Il aimait le Très Haut d’un amour sincère, mais ne savait pas si cela était le véritable sens de la vie. Il voulait bien donner sa réponse, mais il était considéré comme faible d’esprit par son groupe et personne ne voulait le laisser parler. Mais Dieu était omnipotent. Il avait écouté le groupe d’humains se plaindre. Mais surtout, Il avait perçu l’amour et le doute dans le coeur d’Oane.

Alors, depuis le ciel, un rayon de lumière se fit et vint nimber Oane. Toutes les créatures furent ébahies, admirant la douce lumière qui auréolait l’humain. Elles s’écartèrent alors, le laissant seul face à Dieu. Il contempla son corps enluminé d’un regard plein de curiosité. Puis il se tourna vers les membres de son groupe. Pour la première fois de sa vie, il put voir dans leur regard non pas du mépris mais du respect.

Et Dieu lui demanda:

“Et toi, l’humain, n’as-tu rien à Me répondre? J’ai ici convoqué toute Ma création pour trouver celui qui donnera la juste réponse à Ma question. Tu es venu et tu n’as pas répondu. Alors, maintenant, Je te somme de le faire !”.

Alors, Oane, hésitant, répondit:

“Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur.

Nous sommes certes enchaînés à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait.”

Alors Dieu dit:

“Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants.”


Nicolas déclama alors son sermon.

Chasser ? Se battre ? Tuer ? Sont-ce là de pieuses actions ?

Pourtant, Oane fut auréolé pour une telle réponse. En effet, sa réponse n'était pas barbare, mais sainte, car elle fut la preuve pour les humains du libre arbitre !

Le libre arbitre, c'est cette capacité que nous avons de pouvoir juger de la vertu de nos gestes. L'aristotélicien devra toujours se demander, avant d'entreprendre quoique ce soit, si cela est bien ou mal, bon ou mauvais. Car c'est seulement si il choisit sagement qu'il pourra mener une vie vertueuse et ainsi accéder au royaume des Cieux.

Or, mes chers frères, mes chères soeurs, ne craignez pas le divin, car son amour est plus grand que le péché. Dieu sait pardonner, mais encore faut-il se repentir, faire pénitence.

Là est tout le sens de la confession ! Faute avouée est faute à demi-pardonnée. De là l'importance de visiter régulièrement les confessionnaux, ou simplement, de parler à qui sait écouter quand de conféssionaux il n'y a pas !


Nicolas reprit son souffle. Les Fribourgeois savaient de qui il parlait quand il évoquait le repentir. Car toute l'Helvétie avait été laissée exsangue par Sforza et Myttis...

Maintenant, mes amis, communions.

Nicolas versa le vin dans le calice et déposa le pain sur la patène, et tandis qu'il les offrait au Seigneur, il s'extasia. La célébration de l'amitié était de ces sacrements qui nourrissent l'âme.

Avec une voix implorante, le diacre eut beaucoup de mal à dire les paroles liturgiques rituelles :




L'envoi suivit :

Allez en paix!
Makedange
Makedange entra dans l'église par une porte latérale alors que la messe commençait. Elle s'inclina devant l'autel et pris place sur un banc au milieu de la nef.
Elle se recueillit un bref instant, puis se concentra sur le message du jour.
Asphodelle
A Fribourg, c'était le dimanche le jour de la messe...

Asphodelle se repose pour une fois : ce n'est pas elle qui officie...

L'homélie de Nicolas est magnifique...elle aimait beaucoup cet homme...de jour en jour qu'elle le côtoyait, elle le trouvait de plus en plus sage, de plus en plus pieu, de plus en plus mesuré...en fait, à bien y penser, elle l'admirait...oui elle admirait vraiment cet homme.

Elle se dit pendant l'office...qu'elle aimerait grandement être écoutée...elle avait besoin de se confesser...aussi...
A force de s'occuper de ses paroissiens...de toutes ces fonctions pour Rome, elle oubliait de s'arrêter et de se livrer à une autre personne, à se reposer sur quelqu'un d'autre et écouter ses conseils.

Elle récite le crédo...et adresse un regard vers Nicolas...elle n'ose pas y aller de front...idiot n'est-ce pas?

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Nicolasdecues
Nicolas avait terminé sa messe, sous le regard d'une de ses collègues, bien plus expérimentée que lui dans l'exercice.
Il espérait avoir fait un sermon correct, mais elle pourrait sans doute le conseiller.
Comme elle trainait un peu à quitter l'Eglise, Nicolas se dirigea vers elle.


Bonjour ma soeur!
Content de vous croiser ici!
J'espere que mon office vous aura plu.

Puis je vous inviter à discuter un peu le temps de ranger la sacristie?
Asphodelle
Les gens d'Eglise avaient, en général, une empathie si grande qu'ils sentaient autour d'eux...les appels des âmes tristes.

Elle sourit, s'étant reposée sur cette assurance sans se tromper.

Elle lui répondit :
il était superbe!!! je vous remercie pour cet office...il sait communiquer...l'essence de la réponse d'Oane...mon passage préféré...et aussi, mon soutien en cette vie...

Je me raccroche à sa réponse, j'en ai fais mon crédo...ce fut aussi le thème de ma toute première homélie à Sion....


Elle baissa les yeux, et les relevant, assura :

Oui...oui je le veux mon frère....je vous aiderai à ranger si vous le permettez...
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Nicolasdecues
Parfait....

Asphodelle semblait ailleurs. Ou génée.
Elle n'était de toute évidence pas dans son assiette.


Alors, dîtes-moi. Que nous vaut votre visite à Fribourg?
Vous officiez à Sion si je ne me trompe...


Nicolas rassemblait les ouvrages posés sur l'autel, et ne savait plus comment prendre l'encensoir. Les mains étaient pleines.
Asphodelle
Elle le voit embarrassé et s'empresse de prendre l'encensoir qu'à l'évidence, il ne pourrait prendre de façon aisé.

Elle lui sourit :
oui...je suis la diaconesse de Sion depuis maintenant un peu plus d'un an...

Monseigneur Scarpia, à l'époque...m'avait destinée à cette charge : j'habitais la Normandie, et par un umbroglio autour d'une histoire...c'est lui qui me baptisa en hâte...je vous raconterai cela...^^

Lors de mon baptême...il y eut comme une magie qui s'opéra...entre Monseigneur Scarpia et moi : notre amitié depuis, jamais ne fut entachée...et je l'aime toujours comme au premier jour...comme diraient les amoureux...^^
J'attends, qu'il se remette de sa mélancolie...je bataille fort pour qu'il ne parte pas...

C'est ainsi...qu'il reconnut en moi, la femme du Verbe...bien que j'étais toujours soldat...car en ce temps-là, j'étais Commandeur à l'Ordre des Chevaliers Francs...

Il n'y avait plus de curé à Sion...et cela faisait quelques mois que la cathédrale ne résonnaient plus trop...

Il me conserva donc la place, et je profitais d'une mobilisation à Saint-Claude, où nous reprenions la mairie d'un groupe de brigands, pour -ne remontant pas de suite en Normandie - aller de suite à Sion...et commencer à rencontrer mes paroissiens et faire mes homélies.


Elle s'arrête dans le récit...tant de choses se sont passées depuis...


Le Très-Haut me fit la grâce de m'ouvrir une issue lors de la croisade à Genève : à ce moment, j'étais à Bayeux pour récupérer mes affaires...
Voyez comme Il fut juste...Il m'a permis de ne pas participer au conflit...car ma plus grande peur était d'être engagée contre mes paroissiens : je me serai suicidée si lors d'un combat, j'en avais blessé ou tué un...je les aime tant...
Comme je regrette...que cela ce soit passé ainsi Nicolas...si j'avais été Haut-Dignitaire à cette époque...j'aurai tout fait pour éviter que cela ne se transforme en confrontation...
Je me souviens de ma colère lors de l'assassinat de Petitced...
Mes colères sont terribles...celle-là fut mémorable, je pense que les murs de la Citadelle de l'OCF s'en souviennent encore...


Elle s'arrête encore...le regarde...se rends compte qu'elle se livre depuis quelques bonnes minutes déjà...et qu'elle, pourtant si secrète, avait envie de se livrer à lui...et personne d'autres.

Pourquoi je vous raconte tout cela?...elle eut un sourire triste et indéfinissable...je vous embête avec ma vie...

Elle reprend alors :

Comment allez-vous Nicolas?
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Nicolasdecues
Nicolas souriait. Tant de gens avaient connu son oncle Petitced..Mieux que lui ou sa demi soeur d'ailleurs.
Mais non ma soeur. Votre vie m'interesse justement. Car c'est lorsque l'on sait d'ou l'on vient qu'on sait ou on va!
Votre histoire est touchante à bien des égards. Vous aviez choisi les armes, et Mgr Scarpia vous a amené vers l'Eglise, en tant que diaconesse.
Maintenant vous portez la parole d'Amour, et je sais, certains amis sédunois me l'ont dit, que vous faites ça avec tant de fougue et de don de votre personne que vous avez participé à faire de Sion la ville la plus fervente de toute la CH.

Quant à moi, je vais bien.
J'ai souffert, et j'ai même douté du Très Haut quand mon oncle est mort. Mais je sais que lui n'a jamais douté. C'était un homme libre, et Aristote l'aura accueilli à sa droite.


Nicolas masquait mal un pincement au coeur sous son sourire.

Mais vous n'etes pas venue jusqu'à moi pour me parler de votre histoire, me trompe-je?
J'ai comme l'impréssion que quelquechose de plus lourd vous chagrine...
Tchantches
Dimanche, jour de prière.

Tchantchès espérait voir en ces lieux, le cardinal, la diaconesse et Nicolas à l'office.

Toujours propmt à la prière, il était venu tôt pour se receuillir et réfléchir au xderniers événements.

Le spectre de la guerre, se représentait une fois de plus à cause des lions.
Mais cette fois la Noblesse Noire serait là pour préserver le pays, enfin il pourrait servir comme il l'a toujours souhaité pour le bien commun.

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