[RP] L'Eglise de Fribourg !

Edwige assista a la messe qui pour une fois ne lui apportas pas la paix qu'elle lui procurais d'habitude.

des jours sombres se profilaient en effet elle sortit de l'église regardant sa bourse non pas cette fois ,ci je ne peux me permettre de donner, cela m'attriste mais je dois faire des économies pour pouvoir aider la CH

elle entendit la question de tchantches

excusez moi mais je vous ais entendu de quelle propagande honteuse parlez vous? c'est honteux de vouloir se faire baptiser a présent?
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Justement non, mais ce serait l'argument de certains opposants et c'est pourquoi je demande conseil à un éminent spécialiste.

Pouvons nous de bonne foi indiquer aux jeunes arrivé la procédure pour un sain baptême, sans être taxé de papiste ?
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Les personnes qui souhaitent être baptisés sont les bienvenus : ce sont ceux qui croient en Aristote et ses principes !

Ceux qui disent que le baptème est honteux sont des impies et méritent le buché pour ces paroles outrageuses et calomnieuses !

Bien je respecte ceux qui croient en un autre Dieu qu'Aristote, et que je le déplore, Aristote reste le seul Dieu et j'en suis son messager.

AMEN
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Ex-Curé de Fribourg jeté de sa paroisse

Tchantchès se sentait enfin un peu moins seul à Fribourg.

Il avait bien entendu le discours du curé, et il lui semblait que tout à coup il était peut-être un pu moins seul.

Lothaire lui manquait toujours ,mais il voyait bien que son curé Rodulfus avait des proportions à défendre la foy.

Les mécréants allaient devoir apprendre à composer ...
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Rodolfus, notre bon Curé, arriva de sa demeure pour accueillir les fidèles.
Il ouvra les portes de notre Belle Eglise et fit sonner les cloches.

Entrez mes biens chers Frères, mes biens Chères Soeurs !
Venez écoutez la parole du Très Haut et d'Aristote !

Aujourd'hui, mon sermont portera sur une partie du Livre des vertus : le Jugement divin !

Je levai les yeux de la flaque d’eau où toutes ces images horribles venaient de s’offrir à mes yeux. Je tremblais de toute mon âme, les cris de souffrance des pauvres victimes de ces quatre calamités résonnant encore dans mon coeur. Je pleurais de chaudes larmes, tant était horrible le sort de ces pauvres malheureux.

Alors, Dieu, d’une voix douce et apaisante, me dit: “Vois, comment risque de finir le monde que tu aimes tant. Il sera détruit par l’eau, la terre, le vent et le feu. Mais n’aies crainte, car si vous vous montrez vertueux, vous pourrez éviter ces inutiles souffrances. Et que ceux qui vivent dans la vertu ne s’inquiètent pas, car jamais Je n’oublie ceux qui M’aiment.”, me dit le Très Haut. Je vis en effet les nuages s’en aller, les vents se calmer, les flammes mourir. Mais la terre trembla de plus belle.

Et les hommes et les femmes qui avaient vécu les atrocités que j’avais pu voir dans la flaque sortir du monde en volant. Ils étaient innombrables, debout les uns près des autres, tels une mer d’humains. Malgré le temps indéfinissable qu’ils avaient attendu sous terre, ils avaient l’air de retrouver une nouvelle jeunesse. Ils s’envolèrent en un magnifique nuage d’êtres venant rejoindre leur Créateur.

Derrière eux, je vis le monde, gigantesque boule de matière. Tous les humains l’avaient quitté. Sa surface se mit à se craqueler, des flammes titanesques surgissant des crevasses ainsi formées. Puis, le monde tout entier s’embrasa. Il illuminait les autres astres d’une puissante lumière rouge. Enfin, dans une incommensurable explosion, il acheva la mission que Dieu lui avait confié.

Les humains s’installèrent le long de des étoiles, sur ce que l’on appelle la voie lactée. Ils s’organisèrent alors en une file qui semblait interminable. Certains avaient l’air heureux d’attendre le Jugement Divin, d’autres versaient de chaudes larmes, regrettant de n’avoir pas su écouter les paroles divines transmises par le prophète Aristote et Christos, le messie. Les anges attendaient patiemment les humains sur le soleil. Et sur la lune, les démons crachaient leurs haine à la face des futurs jugés.

Et Dieu me parla: “Vois. Ces hommes et ces femmes qui sont maintenant unis dans l’attente du jugement de leur âme. Je vous ai faits aspirant à la vertu et J’ai fait celle-ci de telle manière que si l’un d’entre vous la pratiquait, elle se communiquerait aux autres.” Je reconnaissais là l’enseignement d’Aristote et les paroles de Christos! “Il y avait un but à cela, ajouta-t-il, Me servir, M’honorer et M’aimer, mais aussi vous aimer les uns les autres. Je suis la main invisible qui guide vos pas, mais nombre d’entre vous se sont détournés de Ma Parole.”

“Vous êtes jugés un à un lorsque vous mourrez, mais cela ne sera pas toujours le cas. En effet, j’ai laissé la créature à laquelle Je n’ai pas donné de nom prouver ses dires selon lesquels c’est au fort de dominer le faible. Si, encore une fois, vous vous détournez de Moi en trop grand nombre, ce que tu as vu dans la flaque s’accomplira. Si vous oubliez à nouveau l’amour que J’ai pour vous et que vous ne m’aimiez plus à nouveau, cela sera vérité. Si Ma parole, révélée par Aristote et Christos n’est plus écoutée, Je détruirai le monde et la vie, car l’amour n’en sera plus le sens. Alors, prend garde à ne pas laisser Ma parole se perdre dans les gouffres de l’oubli.”

Voilà pourquoi je vous révèle cela. La vertu doit guider chacun de nos pas. Chacun doit la transmettre à son prochain. Telle est la Parole de Dieu. Ne vous échappez pas de la sage voie de sa main, ou viendra le jour où le monde disparaîtra et où nous seront tous jugés!

Il en va de même pour nous tous : nous serons tous jugés par Dieu pour nos actions dans notre vie terrestre.
Ceux qui auront suivi la parole du Tès Haut et ses préceptes le suivront dans son Eden.
Ceux qui auront mal agis, commis des méfaits ou des crimes (sauf pendant les croisades, faut pas pousser quand même) iront finir leur vie spirituelles dans les Abymes de l'Enfer !

AMEN

Rodolfus finit son sermont et demanda à l'auditoire de se lever. Il bénit l'assistance et pria...

Dass Ihr Ames benies wird !

Un enfant de coeur passa parmi la foule pour la quète et la déposa dans l'urne.

La messe finie, Rodolfus pria les fidèles de se diriger vers la sortie en les remerciant.
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Ex-Curé de Fribourg jeté de sa paroisse

Tchantchès écouta avec attention le sermon du curé.

Il était très conscient du pouvoir de la vertu et de son importance face à la bête sans nom.

Puisse le peuple des croyants être attentifs à ce message
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Edwige assista a la messe

la vertu certains devraient y réfléchir. D'autres êtres moins exigeants car l'excès n'est pas bon non plus..
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Roland entra dans l'église alla saluer messire Tchantches et ensuite se dirigea vers sa marraine Edwige et lui fit la bise.
Puis se mit a l'écart pour prier.


Dieu très haut regarde ton sertviteur pose ta main sur lui et protège le des embuches de la vie. Mais que ta volonté soit fait ho mon Dieu, pas la mienne.


Roland ensuite se dirigea vers la sortie pour se fondre dans la foule.

[Aussi tôt qu'au premier jour]

Izaac entra doucement dans la nef, sans faire de bruit. Avant Prime, il n'y avait que peu de gens dans ces lieux. Ça roupillait aussi sévère qu'en Provence à l'heure du soleil vertical. L'église de Fribourg avait une nef haute. Définitivement, les prières montent plus vite et plus haut vers le Ciel, dans des lieux comme celui-là.

Génuflexion discrète, la main du bénitier au front puis au cœur. Izaac s'engagea sans faire de bruit entre les colonnes. Ses pas sonnaient sur les dalles propres. Dans la chapelle latérale, il s'immobilisa humblement.

Dans un murmure... pour ne point déranger les rares grenouilles de bénitiers,
Il n’est de Dieu que Dieu.
En disant : « croyez en moi », le très Haut a voulu que la vie entière des fidèles fût l’antichambre du Ciel.
Cette parole ne peut pas souffrir des prescriptions d’une Autorité, telles qu'elles sont exigées par le prêtre et le seigneur. Aucune prescription d’Homme n’est légitime.
Le Très haut transmet ses commandements par les rêves et par le verbe.
C’est pourquoi le vrai croyant doit se défier de ceux qui usurpent la parole divine, et ce jusqu’à l’entrée dans le royaume des cieux.
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P4.

Charles arriva, s'avança au devant sous la croix, la regardant il dit d'un ton bas:

Tout-haut, j'ai commis le pêché, j'ai commis l'ignoble pensée, je n'ai voué mes poèmes qu'à ma vie voilà que je conte celle des autres. J'ai tant traversé grâce à toi, de mes erreurs passées à mes beaux jours ici. Puisse tu un jour me pardonner mes crimes, moi je ne le ferais jamais, bénit Adr1010 qui m'a ouvert les yeux, protège et bénit le, car c'est pour moi l'ami le plus fidèle, moi je n'ai besoin que de ton pardon.

Il reste ensuite silencieux, les mains jouintes, fermant les yeux il demeura à genoux en silence devant son pardon et ses erreurs.

Genor était déjà venue deux fois dans l'église de Fribourg depuis son arrivée. Sa vie était rude et ses premiers pas devaient être rassurés, elle se mit donc, les deux fois, derrière le pilier droit près de la porte.
Elle avait pu observer les allées et venues dans l'église, elle avait pu entendre les prêches du prêtre Rodolphus.
Elle n'aimait pas trop cette voix faussement douce qui annonçait des félicités aux vertueux et des atrocités aux autres. Elle savait que Dieu reconnaîtrait les siens, elle ne s'était pas sentie réconfortée du tout par ce prône trop ambivalent.
Ce dimanche, elle entre dans l'église très tôt, elle s'avance vers l'autel et dit en son coeur : " délivre-moi, grand Dieu des sectaires et de l'arrogance de ceux qui croient te connaître, accueille ma vie telle qu'elle est, je fais de mon mieux, tu le sais." Elle s'incline et sort.
Peut-être rencontrera-t-elle quelques personnes chaleureuses ce dimanche ?

Le jour du seigneur était arrivé.

Tchantchès vint s'installer un peu en avance comme à son habitude afin de pouvoir prier.

Mon Dieu, ta magnificence est en train d'inonder le monde. Hier j'a iconverti le plus horrible es monstres assassin, Astarith, celui qui fut mon fils.

Demain si tout va bien je convertirai un autre brigand honni de Fribourg qui semble rechercher ton pardon.

Les hommes qui veulent rejoindre mon idée de duché se multiplient partout en CH.

Ah mon très haut que ta magnificence sera totale, quand ce beau duc se promènera avec ses armées qui porteront ta croix en Oriflamme et que la CH sera unie forte et puissante.
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Comme tout les dimanches, Hiro se rendit à l'église pour assister à la messe.
Il entra, chercha une place et s'assied, puis il commença a se recueillir.

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Propriétaire de la taverne "Au Tonneau Moussant"
Cultivateur de Maïs

[tôt le matin, quand y'a pas trop d'monde, histoire de ne pas prendre trop de seaux de purin sur la gueule]

En prière, dans cette petite chapelle latérale qui était bien confortable. Izaac se remémorait les premiers jours, à Genève.




première épître : De l'Autorité de l'Eglise

Ces jours du froid mois de mars 1456, Izaac, à sa table, noircissait du papier. Il traçait les lettres avec dextérité. Il recopiait. Il tentait d’expliquer à ceux qui lui écrivait ce qu’il entendait.

Il se disait aussi, que vraiment, cet exercice était pénible. Or, on lui avait parlé d'une machine, à Strasbourg...

Il reprit.

1.Il n’est de Dieu que Dieu.
2. En disant : « croyez en moi », le très Haut a voulu que la vie entière des fidèles fût l’antichambre du Ciel.
3. Cette parole ne peut pas souffrir des prescriptions d’une Autorité, telles qu'elles sont exigées par le prêtre et le seigneur. Aucune prescription d’Homme n’est légitime.
4. Le Très haut transmet ses commandements par les rêves et par le verbe.
5. C’est pourquoi le vrai croyant doit se défier de ceux qui usurpent la parole divine, et ce jusqu’à l’entrée dans le royaume des cieux.

Izaac pensait en effet que l’Eglise d’Aristote avait usurpé la parole de Dieu. Elle s’était autoproclamée intercesseur entre Dieu et le croyant.
Naïvement, Izaac entendait que la foi des origines soit rétablie. Qu’aucun ne s’attribue une légitimité qu’il ne pouvait avoir.

Le Cardinal, son Pape, ceux là et ceux qui les servaient blasphémaient la parole de l’Unique. Quelle impudence de proclamer que Dieu ne parlait pas directement au croyant.

Ces gens mettaient l’âme du croyant en péril. Le jour du Jugement, que dire à son Créateur, lorsqu’il demanderait : « qu’as tu fait de la vie que je t’ai confiée ? Comment as-tu pu laisser des Hommes dirent en mon nom ! »

La réformation de la foi aristotélicienne commençait par cela.
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P4.