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[RP] L'Eglise de Fribourg !

Ellisal
Ellisal rentra silencieusement dans la bâtisse. Elle prit un cierge, déposa quelques écus dans le tronc à côté, et remonta l'allée. Après avoir allumé le cierge qu'elle déposa à l'endroit prévu, elle s'agenouilla, se signa et joignit les mains, la tête baissée et les larmes aux yeux. Puis, elle murmura une prière pour que l'âme de sa mère vive heureuse auprès de Dieu et de son amour.

Elle se rappela un livre qu'elle avait lu au monastère, il s'agissait d'un des livres des Dialogues d'Aristote, le IV ème, dans lequel le prophète parlait à propos du devenir de l'âme. Elle se releva, et alla s'installer sur l'un des bancs de l'église.

Elle médita ce qu'elle se rappelait du texte pendant un long moment, et finit par se lever, et l'âme un peu apaisée par la grâce du Très-Haut, récita intérieurement le crédo Aristotélicien, avant de quitter les lieux.

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Ne cliquez surtout pas, qui sait où vous pourriez être entraîné !
Tchantches
Tchantchès priait, il regrettait son ancien diacre, Nicolas Descues

Alors il osa, il invectiva le seigneur.

Ô très haut, entend ma prière, puisque notre curé est perdu dans le fond desa cave les trois quart du temps, fais revenir parmi-nous le diacre Nicolas, qui était si proche de la population.

Je t'en conjure entend ma prière et Fribourg sera à nouvau animé de sa ferveur, tu nous a assez éprouvé.

Regarde comment nous avons résisté à la tentative d'implantation de cette réforme léonine, je t'en prie ô mon souverain divin, daigne nous écouter et nous exaucer.

Amen

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Doc23
Doc marchais dans la ville et regardais autour de lui les gens circuler, Fribourg était une bien belle ville. Il arriva devant l'église et entra. Il se dirigea vers un coin sombre et se mis a prier.

"Seigneur Dieu très Haut Je Te prie aujourd'hui pour te remercier,
Merci Seigneur pour tes bien fait envers moi et guine,
Merci Seigneur pour nous avoir protéger durant notre long voyage,
Merci pour la nourriture que Tu nous donnent chaque jour,
Merci pour tout les amis que nous avons ici, protège les Seigneur
Merci pour tout ce que tu fait pour nous.
Seigneur je te prie de veiller spécialement sur Guine ma compagne car c'est une femme bien
Seigneur que ta volonté sois faite et non la mienne AMEN.

Doc se releva et se dirigea vers la sortie regarda autour de lui puis se fondis dans la foule.
Guiguine
apres une nuit bien meritée, je me dirige vers l église, arrivée devant le porte, je fus tjs en admiration devant celle-ci. J ouvre la porte, regarda autour de moi entra et je fis le signe de croix.
j avancais sans faire de bruit, et je vais m agenouiller pres de l autel.

Ho seigneur, merci, je suis heureuse ici a Fribourg.
Ho Seingeur, merci

Je continue ma priére silencieusement, ca c est mon coeur qui te parle.

je restais un moment, le regard fixé sur cette flamme qui brille sur
l autel puis, je me leve, fis le signe de la croix et me dirigea vers la sortie
je me retourne regarde une dernière fois et sorti tres discretement
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guiguine,
Nicolasdecues
Il était sorti de sa retraite. Et n'avait pas pris contact avec sa hiérarchie.
Il était parti quelques mois, mais c'était le visage accablé par l'âge qu'il revenait à Fribourg, laissant vide le siège de Diacre de Grandson qu'on lui avait proposé avant son départ forcé à la retraite.

Les documents qu'il avait découvert en fouillant les archives de la ville, peu avant son départ, l'avaient retourné. A tel point qu'il avait du se terrer dans un monastère pour réfléchir. Et le démon le brulait de l'intérieur.

Les mensonges de Lorgol, les trahisons d'Ingeburge, les manipulations qui ont amené à la Croisade...et toutes ces compromissions.
La folie de la Réforme, de ces pillards de tombeaux, ces profanateurs des terres du Très Haut...ils souillent les âmes, ils payeront le prix fort.
Il fallait une ligne de conduite droite, dans l'Église qui l'avait accueillit. Et cette ligne était devenue bien trop tortueuse pour lui.
Il n'abandonnerait cependant jamais ses ouailles, mais il avait tant changé qu'il craignait qu'elles ne le reconnaissent pas.
Ses paumes souples et ses mains tendues avaient laissé la place à des mains rêches, un visage fermé, dur.

C'est à genou, face à l'autel, qu'on le retrouva au petit matin.
Entre ses dents il marmonnait, en pleurs.


C'est la compromission qui tuera l'Église. Et ici il n'y en aura point. Dusses-je y laisser la vie. Les fous, les hérétiques, et les traitres à l'Église. Ou qu'ils soient, ils bruleront.

C'est la compromission qui tuera l'Église. Et ici il n'y en aura point. Dusses-je y laisser la vie. Les fous, les hérétiques, et les traitres à l'Église. Ou qu'ils soient, ils bruleront.

C'est la compromission qui tuera l'Église. Et ici il n'y en aura point. Dusses-je y laisser la vie. Les fous, les hérétiques, et les traitres à l'Église. Ou qu'ils soient, ils bruleront.


Il répétait inlassablement cette litanie.
Tchantches
Tchantchès, comme tous les jours, passait par l'église, toujours aussi peu férequzntée par le curé lui-même.

Celui-ci n'avait même pas préparé la messe dominicale.

Il entra donc pour y prier quand il vit une sorte de prédicateur monacal dans une prière étrange et émouvante.

En s'approchant de lui , il entendit :


Citation:
C'est la compromission qui tuera l'Église. Et ici il n'y en aura point. Dusses-je y laisser la vie. Les fous, les hérétiques, et les traitres à l'Église. Ou qu'ils soient, ils bruleront.


Il connaissait cette voix, mais ne reconnaissait pas l'homme, qui répétait sans cesse la même prière et en sanglots.

- Nicolas ?

- C'est toi ?

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Nicolasdecues
Nicolas se leva, s'essuya le visage.
Il était contrit, fatigué, marqué, comme si des années eurent passé depuis son départ de Fribourg.


Oui, c'est moi mon ami.
Je suis heureux de voir un combattant comme toi toujours debout.

Je n'ai plus confiance Tchantches. L'Eglise a été salie, trahie, par beaucoup. A l'interieur. Maintenant, je sais.
Et la gangrène réformée progresse à grands pas, sous des atours plus agréables que jamais.

Il faut allumer des buchers Tchantches...et je ne parle pas au figuré. Nous avons besoin de l'Inquisition.
Tchantches
Tchantchès était surpris de voir Nicolas si remonté et dans cet état, cela n'était pas dans ses habitudes.

Allumer des bûchés ?

Mais comme tu y vas, je te croyais modéré et adepte de la discussion et de l'ouverture.

A ce titre nous pensons-même organiser une rencontre à Fribourg entre l'EA et la réforme, afin de voir ce qui peut-être fait, pour ramener nos frères réformés dans le coeur de la vraie religion.

Tu ne penses pas que nous pouvons ramener les brebis égarées dans le bon troupeau ?

Maintenant tu parles de trahison dans le sein de notre sainte mère l'Eglise Aristotélicienne ?

Tu m'inquiètes, raconte-moi ce que tu as vu que je comprenne.


Et tchantchès s'assit à côté de Nicolas sur la première marche de l'autel.
Il dépalça sa ceinture afin que sa grande épée ne racle pas le seul provoquant ainsi une gêne inutile.

Il allongea les jambez et joigna ses deux mains sur les genoux, puis penché en avant il dit encore.


Allez, vas-y raconte-moi.
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Nicolasdecues
Il prit place aux côtés de son vieux camarade. Et espérait que lui n'avait pas perdu cette rage qui a longtemps protégé Fribourg.

Ca fait plus d'un mois que je fouille les archives du monastere Tchantches. Plus d'un mois que je retourne les couriers, que je lis les reports d'évenements.
C'est clair pour moi.

Lorgol et Ingeburge ont manipulé mon oncle, Yohann65, son assassin, a retrouvé son rang de curé, la Croisade n'a été qu'un moyen d'assouvir leur soif personnelle de pouvoir. Et le Lion n'a été que le levier de ce dessein.
Et cette Réforme qui avance masquée, douceureuse, c'est l'enfant de ce pecher charnel, plus encore que le Lion.

J'ai perdu confiance en certaines personnes dans notre Eglise. Et j'ai compris que le mal était trop profond pour qu'on puisse y remédier.
Il est chevillé au corps des hommes, ils sont corrompus, rongés.
Je n'ai plus de solution Tchan'. Ils avancent, ils souillent les âmes des honnetes gens, nous devons combattre le feu par le feu.

Il faut éliminer la Réforme, et venger l'honneur de notre Eglise. Redonner confiance au peuple en nous montrant fermes mon ami.
Je suis las des compromissions. Je n'avancerai pas dans cette fange...

Il faut combattre...jusqu'à leur mort ou la notre.
Tchantches
Tchantchès écoutait avec attention ce que Nicolas lui disait.

Nicolas, je pensais que tu savais tout cela.

Tu sais, mon père a été tué par des brigands commandités par l'évêque de Liège.

Même dans notre église il y a des créatures de la bête sans nom.


Il se gratta le nez sans s'en rendre compte et il triturait une petite boulette tout en parlant.

Lorgol, Yohann, tout le monde sait qu'il s'agit de brebis égarées. Pour Ingeburge, je serais toutefois plus prudent, et n'oublie pas que certains acteurs de la croisade contre le lion était sincères, notemment les armées saintes elles-même.

Toutefois, comme toujours dans ces cas là, il y a toujours des profiteurs.

Pour ce uqi est de la réforme, je suis content aussi que tu asi compris le vrai danger qu'elle représente, c'est pourquoi j'espère que tu participeras aux débats à Fribourg pour ce qui est de la sensibilité fribourgeoise, car je n'ai plus de nouvelles de Lothem.

Regarde cette invitation que je dois t'adresser de la part de Giulio.



Tchantchès lui tendit le parchemin et le regarda le lire.
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Nicolasdecues
Je sais Tchantches...je connais leur engagement, leur sincérité.
Mais cette compromission les salit eux aussi. Nous nous enfonçons dans le compromis mou...nous perdons pied face à la Réforme.

L'erreur fait parti du cheminement de l'homme Tchantchès, mais quand elle devient contagieuse, il faut l'éradiquer.
Seul le feu nous sauvera des cette infection. La Réforme, c'est notre peste brune!
Le Très Haut nous met à l'épreuve, c'est aujourd'hui que nous reconnaitrons les siens des féaux de la Bête sans nom.


Il saisit le papier, et l'examina attentivement.

Si elle est élue, j'irai. J'irai défendre notre foi face à l'Hérétique!

La flamme brulait d'ores et déjà dans ses yeux.
Tchantches
Ecoute mon frère, écoute-moi bien.

Le feu n'est pas la première solution.
Bien sûr, tu connais ma lutte contre le mal et la réforme qui en découle.

Nous avons créé la Noblesse Noire dans ce but, et elle oeuvre bien et se développe avec aucune compromission.

Si tu brûle tous les réformés, cela relancera la lutte de manière déséquilibrée pour notre vraie foy.

C'est par l'enseignement, l'exemple de la vertu, en formant des élites pour gouverner, que nous erradiquerons cette peste brune, comme tu l'appelles.

Chacune de leurs offensives maladroites sont contrecarées avec succès. Aide-moi à libérer la CH de cette engeance, et demain la CH toute entière purifiera, Genève et Grandson de ces rats.

Rejoints la Noblesse Noire, et lance des prêches en église que le très haut le veut, que nous ne sommes que les exécuteurs de sa volonté et tu verras ce que demai ndeviendra.

Un jour, peut-être, nous attraperons et prouverons la forfaiture des traîtres, tels que Izaac, Sanctus, Genor et même Prongs.

Devant le tribunal de la sainte inquisition ils seront comdamnés, et alors, oui mon frère, ce jour là, nous pourrons dresser des bûchers.

Mais actuellement la garde épiscopale n'a même pas liberté de passage et la sainte inquisition n'a rien à dire.

Maintenant, c'est l'heure de la Noblesse Noire et de la reconquête de nos libertés.

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Ceedjane
Sous un soleil voilé, Ceedjane prit le chemin de l'église.
A l'intérieur, deux hommes chuchotaient qu'elle salua
d'un signe de tête et alla s'agenouiller

Par Ta lumière, Ta grandeur,
Ta puissance et Ta splendeur
Tu as éclairé ma voie

Tu es mon compagnon de route

Dans la joie et la peine
Dans la force et la faiblesse
Tu es mon guide

Je m'en remets à toi, entends ma prière


Elle adressa silencieusement une prière pour chacun
de ses compagnons qui l'entourera pendant son mandat
et demanda au Très-Haut de bénir tous les Fribourgeois,
puis sortit prendre le chemin de l'avoyerie.
Nicolasdecues
Nicolas salua la fidèle qui venait prier. C'était une bonne chose que l'Eglise ait toujours ses fidèles dans les temps de perfidie qui sont ceux que l'on vivait aujourd'hui.

J'ai essayé Tchantches...tu le sais. J'ai essayé de faire concorder amour et hérésie, j'ai essayé de tendre la main. Mais ce n'est plus possible mon ami. Chaque jour, ils sont de plus en plus insidieux, montrent un visage de plus en plus angélique. Mais ce sont les enfants de l'Immonde Tchantches.

Ceux qui se trompent de chemin peuvent être compris. Pas ceux qui entraient les enfants du Très Haut dans leur sillage nauséabond.

Fribourg doit revenir une ville orthodoxe, et ne pas sombrer dans cette mièvrerie ambiante, qui voudrait que les enfants du Très Haut et ceux de la Bête sans nom se côtoient en échangeant des sourires doucereux.
La Noblesse Noire ne doit pas s'acoquiner avec eux Tchantchès. Si toi tu baisse pavillon, alors il en est fini de tout espoir à Fribourg!
Tchantches
Nicolas, je ne baisse pas pavillon.

Je t'assure que ce concile sera la discussion de la dernière chance pour la paix.

En la faisant nous leur donnons une chance de momntrer leur bonne volonté.

Pad de ciolence sans discussion d'abord, et tu auras ton rôle à jour.

Viens me voir au château et je t'expliquerai dans les détails ce qui se passera.
Tu peux aussi en parler directement à Messire Giulio.

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