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[RP] L'Eglise de Fribourg !

Nicolasdecues
Merci à vous....

Que serait une messe sans un bon sermon...Oui, je vois vos mines réjouies, un meilleur moment pour certains!
Et bien non, vous n'y couperez pas! Car c'est la volonté du Très Haut que de permettre aux hommes d'apprendre de la Vita d'Artistote et de Christos.

On m'a parfois repproché de trop parler des hérétiques de la Réforme dans mes sermons. Aussi, je vous en ferai grâce aujourd'hui. Gardez quand même au coin de l'oeil cette engeance qui nous nuit à tous...

Aujourd'hui, je vous parlerai d'Anani Mhour.


...

Ânani Mhour est né le jour de la chute de Oanylone dans une famille ayant quitté la ville parmi les premières et pour l’amour de Dieu.
Son père racontait souvent qu’il avait tout suivi depuis l’autre côté du lac, les foudres déchirant les bâtiments jusqu’à ce que les abysses engloutissent les restes de la cité. Il aimait raconter comment un arc-en-ciel avait été visible trois jours durant après la destruction de la ville maudite.
Il avait vu arriver les voiliers apportant des lots de réfugiés dont certains parlaient une langue inconnue alors qu’il les avait connus parlant la même langue que lui des semaines auparavant.
C'est ainsi que furent décrits les débuts de la vie d'A.Mhour.

De sa vie pieuse, adonnée à la Calligraphie et au Déssin, on retira surtout trois de ses enseignements.


Les 3 thèses de A. Mhour.


On retient de sa vie surtout ses trois principales thèses.

La première pourrait être l’une des sources de la hiérarchie non familiale.


Citation:
Dieu Créateur du monde est le père et il faut l’aimer, le craindre et le respecter, mais cela est donc valable pour tous les fils envers leur père et mère. Et de manière générale si le père a autorité sur le fils, c’est que tout ceux qui ont l’autorité sur nous doivent être aimés, craints et respectés comme un père. Mais comme le père doit protéger son fils, avoir l’autorité sur une autre personne entraîne les mêmes responsabilités. Celui qui pour une raison ou l’autre prend la place du père doit en accepter les honneurs mais aussi les responsabilités.



La deuxième thèse de Mhour était que le seigneur récompensait l’amitié par la longévité des choses.

Citation:
Oane a dit un jour lors de la création de notre première cité « c’est par l’amour et la complémentarité que vous pourrez créer, car notre Créateur nous veut tous unis dans la vie comme d’humbles serviteurs de la création ».
C’est tellement vrai que c’est parce que nous avons oublié cette règle que le Tout Puissant nous a punis, chacun voulant devenir le maître et faire de son frère devant dieu un serviteur .
L’amour du savoir a poussé l’humain à créer l’écriture pour conserver ce savoir, mais l’écriture sans amour n’est que suite de mots tristes et sans âme. C’est donc l’amour de l’écriture qui fait qu’un écrit prend tout son sens et l’amour de la lecture qui fera que ce texte ne sera pas perdu.
Tout ce qui est fait pour durer doit être fait dans l’amour et l’amitié. Si le maçon travail sans amitié pour son client, la maison qu’il construit s’écroulera aux premiers vents.



La troisième thèse qu’il affectionne peut-être par-dessus tout est que celui qui maîtrise la parole possède de nombreux pouvoirs et doit servir pour le bien et la paix.


Citation:
Je vais vous conter l’histoire de Ocless qui fut une grande dame mais qui, bien que possédant le pouvoir de la parole, préférait celui de l’épée.

Ocless était la matriarcale d’une grande famille aujourd’hui oubliée. Chaque fois qu’une discussion tournait à son désavantage, elle sortait son épée et la plaçait devant elle, pointe tournée vers son contradicteur. Très vite la discussion tournait dans le sens désiré par la dame et narquoise elle remettait son épée dans le fourreau.
Sa famille disparut car n’ayant personne qui osait la contredire dans ses paroles elle ne put que persister dans ses erreurs et conduire sa famille à la faillite. Il était impossible pour le clan de vivre en permanence avec la peur de l’épée de la Dame Ocless au dessus d’eux.

Tout homme et toute femme a pour mission de sauver l’humanité aux yeux de Dieu, et pour cela il doit faire ce pourquoi l’humanité a été choisie pour prendre soin de la création. L’humain se doit donc, d’être heureux tout en aidant son prochain à l’être aussi, car on ne peut concevoir donner de l’amour autour de soi si on n’est pas déjà heureux soi-même .
Dieu dans sa grande sagesse nous a donné plus que la parole, il nous a donné la possibilité d’utiliser cette parole pour propager l’amitié et le bonheur.
Il est donc dans notre devoir d’utiliser la parole pour réconforter nos semblables et les rendre heureux, mais la parole est aussi une arme puissante et il serait bon que ceux qui en détiennent les clés ne puissent en plus être armés. L’humain est fait d’esprit et de matière, il possède deux types d’armes, l’une fondée sur l’esprit et l’autre sur la matière.
L’arme de l’esprit donnée par Dieu est faite de politiques, de prêches et de diplomaties. Elle doit permettre que l’arme de matière qui fera couler le sang et la haine ne soit pas tirée de son fourreau. Pour cela il serait avantageux à ceux qui portent la parole de ne pas porter le glaive.


Ces trois preceptes sont pour moi parmis les plus importants.
*Si on te confie des responsabilités, montre t'en digne, et acceptes en les avantages, comme les inconvénients.
*Aimer et être aimé d'un Amour mérité, voici ce qui donne la longévité des choses et leur beauté, intemporelle.
*Et le Glaive , même bien manié sera toujours moins fort que la Plume et la Parole


Je vais vous liberer, non sans avoir récité le Crédo, et partagé avec vous le pain de l'amitié aristotélicienne.



Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN


Le club des vieilles du fond tournait de l'œil, il fallait en finir...

Et bien mes enfants, ensemble nous allons partager le pain et laisser passer les enfants de chœur avec leur petit panier, pensez à l'enseignement du jour, et soyez généreux.

La miche était rompue à ce genre d'exercices, elle ne se fit pas prier pour le partage.

Allez dans la paix et remerciez le Très Haut en partant, de m'avoir permis de faire une messe assez brève pour que les vessies les moins résistantes n'aient pas à sortir pendant le sermon!

Que Dieu vous garde!

Nicolas accompagna ses ouailles jusque la sortie, en jetant un regard accusateurs à ceux qui évitaient consciencieusement le geste d'obole, et en se fendant d'un sourir soulagé vers ses amis.

Et les cloches se remirent à sonner, libérant les fidèles


http://www.sounddogs.com/previews/2107/mp3/320658_SOUNDDOGS_BE.mp3
Nicolasdecues
Le Conféssional!
il avait oublié la dame en noir dans le Conféssionnal.
Remontant sa toge, il se mit à courir au travers de l'Eglise.


Je suis là ma soeur....Dites m'en plus sur ces pechés qui semblent peser sur votre âme...
--Tempsdereves
Tempsdereves avait eu le temps de se reposer et sursauta lorsque le père arriva... je vous disais ceci :

Citation:

Pardonnez-moi mon père car j'ai pêché, que mon âme soit purifiée et ma conscience allégée.

Mon esprit indiscipliné attire régulièrement l'attention, mon orgueil et mon amour-propre sont mes ennemis et je ne peux les combattre seule.
J'ai négligé depuis quelques temps le Très-Haut en ne participant presque plus aux messes et n'allant presque pas en sa Maison, alors qu'il ne mérite que louanges.
Mes colères sont terribles lorsque je n'obtiens pas ce que je veux et mon entourage subit mes violences verbales.
Je demande votre aide et celle du Très-Haut de me donner la force de me maîtriser et son pardon. Mon cœur n'y est pour rien, celui-ci est pur, il recherche le chemin de la lumière.
Je demande pardon aux personnes que j'ai malmenées, sachant que le tort que j'ai fait à leur âme et à leur corps.


Par ailleurs mon père, je crois qu'il y a des sorcières en Helvétie....
Nicolasdecues
Les hérétiques de tous poils trainent en Helvétie madame...C'est un terreau fertile, qui se nourrit de certaines erreurs passées de l'Eglise.
A nous de redonner confiance, et de lutter à chaque instant contre ceux qui veulent la perte de l'âme humaine.

La tempérance est sans doute la principale des vertus. Mais la colère, justement maitrisée, fait parti de l'équilibre proné par Aristote. Nous ne pouvons être parfaits, et il faut savoir accepter ses qualités comme ses défauts. Et surtout savoir gérer les accès de ses penchants naturels.

Dites m'en plus sur ces sorcieres que vous dites se tapir sur nos Terres?
--Tempsdereves
Tempsdereves opinait du chef aux paroles du diacre. Ignorant l'odeur de ce dernier, elle-même était en eau sous son accoutrement , elle se pencha plus en avant et souffla contre la petite ouverture qui la séparait du religieux.

Mon père, elles se promènent à travers les clairières et sur les chemins.
Au château, un jeune chevalier était en amour pour moi et récitait devant quelques poèmes courtois. Or, sa tête s'est tournée lorsqu'il a croisé le regard d'une donzelle, dont je tairai le nom… pour l'instant… qui a la réputation d'être une coureuse de remparts.


Satisfaite de sa petite pique, elle continua.

L'une d'elle, Zoya, m'a ordonné de faire quelques manipulations avec une bougie, et m'a dit - elle ouvrit la porte du confessionnal s'assurant que personne n'était trop près, la referma dans un claquement sec – pour m'aider, au même moment, qu'elle sera avec la lune et appellera les forces suprêmes….
Je lui ai donné ma bourse pleine d'écus, alors que je pensais vous la remettre en fin de messe.


Se relevant et de sa voix aigrelette de mégère, agaçante pour les oreilles sensibles, dites moi mon père, est-ce l'usage de serrer la statue du Très-Haut après avoir bu dans la coupe et de faire des petits signes aux vieilles du fond de l'église.
Nicolasdecues
Vous savez ma sœur que l'enfer est lunaire...et qui en appelle à la Lune en appelle à la Créature Sans Nom.
Réfléchissons un peu.

La Créature Sans Nom, nous serons d'accord là dessus, est là pour corrompre l'âme humaine, et empêcher le fidèle Aristotélicien d'accéder au paradis solaire.
Pensez vous que cette bête infâme puisse vouloir vous aider?
Si elle le faisait, cela ne serait que pour vous plonger dans plus grand tourment.
Est ce là ce que vous recherchez? La satisfaction temporaire pour ensuite endurer mille souffrances? Je ne crois pas ma sœur, je ne crois pas ....


Nicolas sortit du confessionnal, ouvrant la porte de la loge voisine, et emmenant par le bras la pècheresse, tétanisée de surprise (enfin, si LJD veut bien ^^)

C'est ensemble que nous allons prier...nous pas pour la réussite de vos projets. Mais pour que ces sorcières qui tentent de vous corrompre trouvent le salut. Que ce soit dans la rédemption ou dans les flammes du bucher.

Suivez moi!


Nicolas alluma un cierge, et se mit à répéter le crédo en boucle, à genoux, face à la statue de Saint-Sylphaël
Naell_quant
Les cloches n'avaient pas sonné, mais les portes de l'église étaient bien ouvertes.

Naell, joignit les mains, assise et pria quelques instants. Une prière silencieuse pleine de remerciements lui fit fermer les yeux.
Tchantches
Tchantchès alla prier, il avait vu une étrangère briguer un poste de maire à Fribourg.

Or il n'avait pas confiance.
Elle sui semblait fourbe et vicieuse, d'ailleurs n'avait elle pas déjà affronté la loi de Fribourg une fois ?

Certes elle avait été relaxée, mais ne s'était-elle pas entêtée et n'avait-elle pas persisté même une fois au courant de la loi sur l'éligibilité ?

Tchantchès pria pour qu'un vrai citoyen de souche, un vrai Fribourgeois se présente aux éléection, une personne de confiance en qui les fribourgeois pourraient se reconnaître.

Il pria , il pria avec ferveur et ferma les yeux en attendant d'être exaucé.

_________________
--Zoya


Prête, encapuchonnée et de noire vêtue, Zoya suivit sa sœur qui avait fait le plein d'herbes, elle-même s'était munie de sa besace inhabituellement vide, c'est qu'elles avaient un grand coup à faire. Elle se tourna vers le dénommé Mijauré Z encore déconfit du soufflet qu'il venait de se prendre et le pria de leur ouvrir le chemin en faisant discrètement le guet.

La nuit enveloppait la ville, quelques taverniers endormis sur leur comptoir attendaient les premiers travailleurs. Les derniers clients avaient été virés à grands coups de sceaux d'eau, plus particulièrement un qui avait la fâcheuse habitude de rester à ne rien dire et écouter les autres parler…..celui-ci va en découdre d'ici peu, mais là, il y avait urgence.

Jolie chope, sacrée chope veux tu me laisser tranquille …. héééééé tu veux pas partager ma brouette ?

Zoya faillit s'évanouir de peur lorsque l'éméché, bizarrement habillé de bas rouges portant fièrement un chapeau blanc un peu aplati l'interpella et lui présenta ses compliments sur sa main.

Au regard noir de Zély, le sac à vin s'esquiva sans demander son reste, sûr d'être victime d'une crise de délirium avancé.

Ayant évité de justesse un bataillon qui s'en revenait d'une longue mission d'escorte, Zoya atteignit la porte de l'église. Zedicus montait la garde leur fit un pssssssst si discret que les deux sœurs sursautèrent.

Doucement, sans un grincement elles ouvrirent la porte et pénétrèrent les lieux éclairés par les faibles flammes vacillantes des cierges et des bougies, piètre symbole de la croyance des fribourgeois aristotéliciens.

Mmm ça sent le renfermé ici pensa Zoya en ouvrant le tabernacle et se fourrant une partie des hosties dans la bouche, un peu sec, ça colle au palais, le vin du ciboire allait faire passer cela. Lorsqu'elle termina le vin, d'un lancé arrière parfait, le coude bien droit, elle jeta le calice à travers l'église et claqua de la langue, signe d'intense satisfaction.

Rappelée à l'ordre par sa sœur, qui ne négligeait pas non plus de s'envoyer une poignée de petits biscuits, elles éteignirent, d'un geste précis, les bougies et les rangèrent une à une dans les besaces en une disposition très précise. Pour leur faim de revanche c'était un totem. Elles posèrent une petite coupe remplie d'huile, d'herbes, de sel et poudres diverses que Zély alluma dans un ricanement, pensant au prochain sermon du diacre Nicolas, qui pour une fois ne surveillerait pas les petites vieille du fond de l'église, éviterait de s'asseoir sur les marches de l'autel pendant son prêche et de prendre le vieux Tchan pour la tapette en robe.

Avant de partir, elles firent lever le plus gros cierge qui s'envola à travers l'église pour finir sa course fendu en deux sur l'autel pendant qu'elles criaient, les yeux révulsés, gloire à toi Créature Sans Nom, nous sommes tes fidèles servantes.

Le guetteur Z commençait s'endormir et surpris, un vrai bleu, il leur indiqua la position des soldats rentrant d'escorte dont il avait pu retenir les noms : Chamosard, Finmor, Saan, Sortide Ulach……. Gloire à toi Satan, de les avoir aveuglés et rendus sourds.

Munies de leur butin, le trio prit le chemin de leur campement. Il est 5h00, Fribourg s'éveille, il est 5 h00, ils n'ont pas sommeil.
Tchantches
Tchantchès se rendit à l'église comme tous les dimanches et il se mit à prier avec ferveur comme à son habitude.

Après 30 bonnes minutes de méditation et de prières intenses, il finit par entrer en transe et fut saisi d'une incroyable vision.

Il vit tout d'abord un immense bateau sur les flots, le bateau avançait lentement au grès d'une mer d'huile.
Le bateau était un vieux rafiot médiéval avec un château qui ressemblait aux remparts de Fribourg.



A bord il y vit tous les habitants de la ville qui étaient heureux et navigaient le coeur léger remplis d'insouciance.

Pourtant une créature horrible était parmis les passagers, elle venait de la nuit des temps pour précipiter toutes sortes de malheurs sur la ville tant elle étit jalouse du bonheur des autres et méprisante à l'égard des défensseurs du château.

Tchantchès reconnu la gorgonne Medusa dee l'antiquité sous les trais de GAÏA :



Gaïa donc, qui avait fait en sorte que le bateau "Fribourg" passe par les eaux dangereuses des sirènes qui précipitent tous les navires dans un horrible naufrage, car les marins subjugués par leurs champs abandonnaient le navire et sautaient à l'eau pour se faire dévorer jusqu'à ce que le navire lui-même se déchire sur les rochers cachés sous les flots tranquiles de la côte.

La sirène Naell Quant, d'accord avec Gaïa se mit à chanter d'un chant mélodieux.



Tchantchès sourd comme un pot vit le danger et tenta de prévenir la foule du mal que ce chant recellait en lui.

Mais Alta, n'entendit rien, séduit il cria :


- Mon précieux ....



Et il se jetta dans les flots où la sirène, une fois qu'elle eut obtenu ce qu'elle désirait le dévora tout cru.

Le Bâteau "Fribourg" se fracassa ensuite sur les rochers et sombra corps et biens dans les eaux où les sirènes purent se repaître des hommes, des femmes et des enfants ainsi offerts à leur appétit féroce.

Moralité, celui qui écoute le chant des sirènes, finit émasculé et perdu dans le fond des abîmes.

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Ellisal
On était mercredi, mais ce n'était pas encore l'heure de la messe. Étant donné qu'elle n'était pas certaine qu'il y en aurait une ce jour, elle avait ménagé une pause dans son emploi du temps pour passer par l'église. Un besoin de se recueillir se faisant ressentir.
Quand elle pénétra à l'intérieur, elle fut surprise de voir le désordre qui y régnait. Le calice gisait au beau milieu de l'allée et quant elle leva les yeux vers l'autel elle y trouva une massive bougie fendue en deux. Elle remarqua également que les cierges avaient disparus et qu'il régnait une odeur étrange d'herbes brûlées.
La poussière s'amoncelant recouvrait la scène d'un odieux pillage perpétré dans le lieu saint. Horrifiée par cet acte de barbarie, la savoyarde se signa, et récita son crédo avant d'aller en toucher un mot au poste de police.

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Ne cliquez surtout pas, qui sait où vous pourriez être entraîné !
Tchantches
notre Eglise a été envoutée, trois rangées de sièges sont devenues invisibles, mais que ce passe t'il ?

Tchantchès, chose rare avait peur, et en même temps était dans une colère noire.
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--Zoya
Je suis là, la voix et l'esprit sont là, n'ayez pas peur vous serez récompensés par la richesse, le savoir vous serez enviés de tous .... venez à moi

Tchantches
- Sors de ce lieux sacré esprit de la bête sans nom et n'y représente plus ton âme damnée, au no de Kristos et de Aristote je te l'interdit formellement.

tchantchès envoya une forte pensée d'amour Aristotélicien en espérant ainsi terroriser cette vile créature. Elle ne pourrait plsu entrer en l"église sans y être invitée.
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Wwpaddy
Paddy se disait que maintenant qu'il était maire, il fallait bien qu'il fasse l'effort de se déplacer à l'église ! Aussi fut-il surpris de la voir vide en ce jour de messe. Il avait entendu parler d'un esprit malin qui s'y était parait-il glissé. Mais là, rien, vide, personne, aucun esprit, si ce n'est l'esprit sain (que tout le monde ne semblait plus avoir a Fribourg et en CH).
Il resta seul quelques instants, fit une longue prière.
Finalement il s'en alla, pensant à une connaissance religieuse qu'il avait rencontré près de Cucugnan.
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