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[RP] L'Eglise de Fribourg !

Ceedjane
Elle était prête, elle fit le tour de sa maison imprimant cette image dans sa tête, des amis viendraient s'en occuper ainsi que de son potager. Elle passa dans les ruelles du village, regarda les différentes demeures de ses amis. Il faisait encore nuit, Fribourg dormait encore.

Elle entra dans l'église, saluant d'un signe de tête les soldats présents, alla s'agenouiller devant l'autel et pria avec force pour l'armée, ses amis, son amour et demanda la protection du Très-Haut.

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anc. avoyère de Fribourg, 2 mandats
porte-parole de la Confédération Helvétique
représentante à la Chancellerie impériale
Cleophee
Les premières lueurs de l'aube la virent emmitouflée dans sa vieille cape de laine, marchant d'un pas franc vers ce que les gens d'ici appelaient l'église.
Ses amis lui avaient assurés que tous étaient autorisés à pénétrer dans le lieu et lutant contre sa conscience qui lui disait que ce ne serait peut être pas bien perçus, elle avait fini par ce décider à pousser la porte du lieu.

Le léger grincement des gonds lui fit retenir sa respiration. Et si on la chassait de l'endroit ? Certains étaient clair sur le châtiment qu'encouraient ceux qui ne croyaient pas en leur dieu, elle avait déjà été témoin de certains propos forts éloquents et n'avait oser poser des questions sur le sujet, de crainte d'être prise à parti.

Qu'y pouvait-elle si la religion n'avait jamais été abordé que par sous entendu lors de son éducation ? Ce à quoi on l'avait destiné lorsqu'on l'avait recueillie, ne souffrait pas de religion. La religion condamnait les femmes comme celle qui l'avait élevé. L'on ne choisit pas son destin disait-elle. Peut être avait-elle raison, mais à cette heure Cleophee doutait du bien fondé de cette remarque.

Pénétrant lentement dans le lieu saint, elle balaya rapidement l'endroit des yeux, s'assurant que personne ne s'y trouvait. Soupirant doucement de soulagement, elle s'avança, les yeux fixés sur le mur en face d'elle. Elle avait été loin de s'imaginer la beauté des lieux. Si l'ensemble était froid et austère, les statues et vitraux apportaient une sorte de vie propre au lieu. Les couleurs en étaient chaudes et accueillantes, tendit que les statuettes étaient délicatement taillées, offrant l'impression aux esprits imaginatifs, de vouloir prendre vie d'un moment à l'autre.

L'émerveillement et la curiosité prirent peu à peu le pas sur l'inquiétude et faisant courir ses doigts sur le bois des pupitres, elle commença à faire le tour de l'église, détaillant chaque objet, chaque représentation, cherchant à en comprendre le sens profond sans toutefois y parvenir vraiment.

S'arrêtant devant une statue d'avantage travaillée que les autres, elle se prit à en suivre les lignes épurées du visage, laissant ses doigts glisser sur le poli et le froid de la pierre taillée. Les yeux perdu dans le vague, elle revit d'autres œuvres, bien moins chastes que celles-ci mais tout aussi délicatement sculptées, les couloirs d'un palazzio et les rires d'une enfant, qui était à l'époque, bien loin d'imaginer ce que la vie hors des murs pouvait être.

Perdue dans ses pensées, elle resta un long moment debout, face à cette étrange statue si vide de sens pour elle, mais non moins rassurante.
Edwige60
Tandis qu'elle écoutait gronder la place de berne,
Rugir, et pleurer a propos de la NN clouée au pilori pour une faute imaginaire. Tchantches mon aimé trainé dans la boue...

Tout a ses pensées amères ses pas la menèrent a l'église.


elle entre s'assoit sur un banc, s'adresse alors au ciel. a voix basse


Oh Très Haut ! créateur de toutes choses...
Alors que rongée par la faim, le froid, durant mon exil hors de la vie humaine. Alors que nourrie que de tièdes solitudes, accompagnée des créatures de la forêt. je n'ai cessé de te prier ;
Alors que je te vois Toujours plein de douceur !

Pourquoi laisser de tels fléaux s'installer en ma patrie?
pourquoi, la couardise est de mise ici?

me serais je trompée de voix, me serais éloignée de toi?
Grand père m'as instruit d'une manière de te prier... puis j'ai reconnu ta voix dans l'église et m'y suis installée....


c'est alors qu'un son de harpe se fit entendre des voix d'enfants se mêlèrent bientôt a la musique.
Le Chant sacré brisa les doutes qui s'étaient installés en elle;
Elle frémit, alors que le soleil entre par les vitraux baignant de rose et de bleu l'église.

L'amour du Très Haut lui ravit le cœur, et dans un flot de larmes, Elle écoute le chant.

Alors Ruissela en elle l'apaisement.

elle sourit et remercia le Très Haut en récitant le crédo.



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Makedange
La nuit était tombée sur Fribourg, les rares passant pressaient le pas. MAkedange ressera sa cape autour de ses épaules et poussa la porte de l'église. Celle ci laissa entendre un grincement sinistre, signe que les gongs n'avaient pas été graissés depuis fort longtemps. L'église était déserte et il y régnait une obscurité épaisse. Les derniers cierges qui y avaient été allumés s'étaient consumés depuis fort longtemps. Quelle désolation!
Heureusement qu'elle avait pensé à emporter une bougie avec elle. Elle referma la porte et alluma sa bougie qu'elle protégea de sa main contre les courants d'air.
Elle s'avança jusqu'à l'autel, posa sa bougie à ses pieds et s'assit au premier rang. Les bancs était couverts de poussière, de même l'autel. Quelle honte! Que faisait donc l'archevêque?
Trêve d'indignation, elle était ici pour trouver un peu de paix!
Elle laissa le calme des lieux pénétrer en elle et tout doucement glissa dans une forme contemplative de prière, laissant les mots se former tout seul au seuil de sa conscience.

Lorsqu'elle émergea, la bougie était presque consumée. Elle la laissa là et ressortit de l'église par la porte principale. Elle se sentait mieux.
Ellisal
Une fois de plus, Ellisal se rendit en l'église de Fribourg. Elle se sentait terriblement seule. S'asseyant sur le premier banc, elle se signa, récita le crédo avant de fermer les yeux et de se plonger dans une muette prière.

Louant le Seigneur d'avoir accordé au messire Tchantchès un peu plus de temps ici bas, elle Lui demanda de pourvoir à une cure rapide des maux qui l'affectaient. Elle Le pria également de veiller sur tous ceux chers à son cœur et dont elle n'avait aucune nouvelles, et bien sûr sur sa petite sœur si loin.

Quand son séant lui signifia que sa torture avait assez duré, la fribourgeoise se leva et prononça le mot d'usage en fin de prière avant de s'en aller retrouver résidence et activités diverses.

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Ne cliquez surtout pas, qui sait où vous pourriez être entraîné !
Brottos
Le Père Brottos de la Motte St Pierre, nouveau curé de Fribourg, ce jour là, se dirirgea vers l'église afin de dire sa première messe officielle.

Il avait habitude de dire sa messe privative tous les jours mais la messe officielle, quant à elle, avait lieue une fois par semaine afin que les paroissiens puissent venir prier et communier.

Il était déjà venu tous les jours depuis son arrivée dans l'église pour prier et communier de coeur avec son Dieu.....

Il entra dans l'église et se dirigea vers la sacrisite pour revêtir son aube et son étole, pendant que Louisette faisait sonner les cloches ........



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Père Brottos de la Motte St Pierre, curé de Fribourg.

Dieu et la nature ne font rien en vain .......
Ceedjane
Tard la nuit, Ceedjane entra dans l'église et alla prier .... elle ne se posait pas de question quant à sa foi, mais bien de son mariage qui allait arriver prochainement... les questions n'étaient pas réglées ....

Elle remercia le Très-Haut de sa présence continuelle dans son coeur, mais son esprit était troublé, elle cherchait des réponses.

Demain, elle serait à Lausanne... elle lui demanda encore sa protection et se signa devant la croix
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anc. avoyère de Fribourg, 2 mandats
porte-parole de la Confédération Helvétique
représentante à la Chancellerie impériale
Tchantches
Tchantchès, tout content d'enfin assister à une vraie messe donnée par un vrai curé à Fribourg, se dirigea à l'église.

Sa jambe raide le fit moins boîter que dh'abitude.

Il pria et fit d'emblée son credo



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Rodolfus
Rodolfus arriva devant son Eglise qu'il avit fidèlement servi pendant 2 ans.

Et constata que la porte était close ce dimanche.


Il n'y aura donc pas de messe aujourd'hui.
Le Père Brottos qui se dit mon Frère a réussi son vil complot et a réussi à me jeter dehors, mais maintenant ce sont les citoyens de Fribourg qui en patissent.

La malédiction a donc bien frappé Fribourg, c'est un signe !

AMEN

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Ex-Curé de Fribourg jeté de sa paroisse
Brottos
Brottos venait de faire sonner les cloches par sa servante Louisette et la messe commença........



Brottos après être passé quelques instants à la sacristie était prêt à officier la cérémonie du partage du pain et de l'eau dite "eucharisitie", il était un peu troublé par le fait que c'était sa prmière messe "officielle" dans cette paroisse de Fribourg.......


Les cloches cessèrent de carillonner......Brottos reconnut quelques personnes de la cité Fribourgeoise qu'il avait déjà croisé......

La messe commença........

Brottos derrière l'autel, tendit les bras et dit :


Soyez tous les bienvenus à la table du Seigneur, oui je dis bien tous et j'ai le plaisir de me présenter officiellement à vous en ce 15ème jour de ce mois de Novembre de l'an de grâce de notre Seigneur 1457, je me nomme Brottos de la Motte St Pierre, votre nouveau curé ici à Fribourg, je viens d'être nommé par Monseigneur Arthur de Nivellus afin de succéder au père Rodolfus votre ancien curé, à qui j'adrese une pensée particulière pour ces années de service ici à Fribourg, il est d'ailleurs ici et nous le saluons !!!!!

Brottos tendit le bras et montra son prédecesseur avec gentillesse, il espérait ainsi calmer les énervements de ces jours passés et Brottos souhaitait qu'on passe ainsi à une période de construction, d'évolution et de changements positifs.......

Mais tout d'abord, traçons sur nous le signe de notre appartenance à l'église Universelle, l'église Aristotélicienne, le signe de la croix de Christos, au nom de Dieu, de Christos et d'Aristote......amen !!!!!

Brottos, repris par l'assemblée fit son signe de croix .......

Avant d'écouter la parole de Dieu et de recevoir le pain de vie, nous devons demander à Dieu et reçevoir de lui la purification. C'est le rôle de la préparation pénitentielle.

Au début de cette célébration, reconnaissons que nous sommes pécheurs et que nous avons péché, nous nous frappons la poitrine..... et disons :

Je confesse à Dieu tout puissant et je reconnais devant mes frères et soeurs que j'ai pèché en pensées, en paroles, par actions et par omissions, oui j'ai vraiment pèché, c'est pourquoi je supplie Dieu, Christos et Aristote et vous aussi mes frères et soeurs de prier pour moi le Seigneur notre Dieu !!!!!!

Brottos étendit les bras et dit :

Que Dieu tout puissant vous bénisse, qu'il vous accorde son pardon et vous conduise vers la pleine Lumière, amen !!!!!
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Père Brottos de la Motte St Pierre, curé de Fribourg.

Dieu et la nature ne font rien en vain .......
Ferrucius
Assis dans les premiers rangs, Giulio assista à la messe du père Brottos.

Enfin nos concitoyens auront des célébrations dignes, finis les baptêmes et autres liturgies en taverne. Que Chritos soit loué d'avoir entendu la prière de ses enfants.

Il s'agenouilla reconnaissant ses fautes et pria afin que Christos lui donne la force et la sagesse de poursuivre sa tâche.
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Tchantches
Fribourg dispose enfin d'un VRAI prêtre, et la boulasse n'est pas la première préoccupation pour les friborugeois croyants.


Le vil, le comploteur, c'est celui qui refuse de conmprendre que sa place n'est plus ici.

C'est l'ensemble de la communauté qui ne veut plus de vous comme prêtre Messire rodolfus.

Mais pour une fois je suis content de vous voir dans ce qui fut votre église, on ne vous voyait qu'en taverne, et encore, il fallait y venir sur rendez-vous.

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Brottos
La messe continua ......

Le curé, bras grands ouverts annonça :


Rendons Gloire à Dieu pour les merveilles qu'il fait pour nous et en chacun de nous, car rappelons nous que notre chant est un chant de remerciement. Il est joyeux.
Je demande à chacun dans le secret de son coeur de se tourner vers Dieu dans une prière personnelle


Puis il entonna le Gloria repris en choeur par l'assemblée :



" Gloire à Dieu au plus haut des cieux, Et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté.
Nous Vous louons, Nous Vous bénissons, Nous Vous adorons, Nous Vous glorifions, Nous Vous rendons grâces pour Votre immense gloire.
Seigneur Dieu, Roi du ciel, Dieu le Père tout-puissant.
Dieu, Christos et Aristote qui enlevez les péchés du monde, ayez pitié de nous.
Vous Qui enlevez les péchés du monde, recevez notre prière.
Vous Qui êtes assis à la droite de Dieu, ayez pitié de nous.
Car Vous seul êtes Saint, Vous seul êtes Seigneur, Vous seul êtes le Très-Haut, avec Christos et Aristote"
Amen.


Le temps de la lecture était arrivé, Brottos se dirigea vers l'ambon et fit la lecture :


Commençant la lecture, il dit :

Citation:
Lecture du Livre des vertus au Livre II, le Duo Prophétique, La vita de Christos :

Lorsque j’ai connu Christos, celui-ci aimait à nous parler des heures durant, d’une voix passionnée autant que passionnante. Nous buvions ses paroles avec ferveur et en nourrissions nos âmes. Ce fut lors d’une de ces discussions que Christos nous raconta son enfance. Ainsi, je vous la rapporte, mes enfants, car cette partie de sa vie fut aussi belle que ce que j’ai vécu à ses côtés.

Maria vivait avec Giosep qu’elle allait épouser. Tous deux étaient d’humbles vagabonds, mais ils vivaient dans la vertu, en remerciant le Très Haut des bienfaits terrestres dont ils jouissaient. En outre, ils éprouvaient l’un pour l’autre un amour sincère et pur de toute luxure, leur vie était heureuse. Mais un jour, Maria vit en songe un cavalier venant de loin aller à sa rencontre. Arrivé devant sa maison, il mit pied à terre. C'était un homme d’allure majestueuse; il s’avança, et dit :

" Maria, n’aie crainte, car l'Eternel t’aime et t’a choisie. Aussi, un enfant va naître de toi, que tu nommeras Jeshua. Il sera un guide, un messie habité par Dieu. Il portera la parole de Dieu partout ou il lui sera donné d’aller et sauvera le peuple de ses péchés en lui enseignant la sagesse d’Aristote. "

Le cavalier repartit ensuite vers sa contrée lointaine comme il était venu. Maria se réveilla à ce moment là et vit Giosep devant elle la regarder avec des yeux amoureux.

Et il advint ce que le songe avait annoncé, Marie conçut un enfant, et les deux parents firent en tout selon la prophétie d’Aristote, le nommant Jeshua.

L’Enfant naquit à Bethléem, en Judée. Du fait du surpeuplement qui existait alors dans cette ville, le couple ne trouva pour se loger qu’une bicoque délabrée car il n’y avait plus de place ailleurs pour les accueillir. Mais lorsque l’enfant naquit, celui-ci semblait, à tous ceux qui le virent, être touché par la grâce divine, car il rayonnait de douceur et de calme. Si bien que les gens du petit village se cotisèrent pour que cet enfant béni de Dieu ait tout ce qui lui était nécessaire. Les uns amenèrent du linge, d’autres contribuèrent à la rénovation de la bicoque et d’autres encore amenèrent des vêtements neufs et de la nourriture aux deux heureux parents.

Maria était transfigurée par le bonheur. Sa joie la rendait lumineuse et elle remerciait chaque jour le Très Haut de la naissance de cet enfant.

C'est dans ce calme paisible que Jeshua commença sa vie, loin de toute violence et de toute perversion... jusqu'à ce que...
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Après la lecture, en guise de sermon, Brottos voulut se présenter à l'assemblée tout en reprenant la lecture du jour ......
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Père Brottos de la Motte St Pierre, curé de Fribourg.

Dieu et la nature ne font rien en vain .......
Brottos
Le curé commença son sermon :

Mes bien chers frères, mes bien chères soeurs,
Aujourd'hui pour moi est jour de fête et jour de joie, car j'ai le plaisir en cet instant, avec vous tous, de célèbrer pour la première fois l'instant du partage, partage du pain et de l'eau et quoi de plus festif et plus joyeux que de partager un bon festin avec ses amis !!!!
Je vous appelle mes amis, car vous l'êtes, dit Jeshua, marchant sur la route avec ses amis et moi aussi, sur la route qui est la nôtre je vous le dis, vous êtes mes amis !!!!!
Cette route d'ailleurs que je viens de faire et qui m'a conduit de Lourdes jusqu'à vous, une route très longue parfois semée d'embûches comme le jour où des brigands m'ont tombé dessus et m'ont laissé à moitié inanimé sur le bord du chemin, heureusement que j'avais des amis, c'est eux qui ont permis que je sois là aujourd'hui.....
Il est important donc d'avoir des amis et je vous le confirme Jeshua et Aristote sont vos amis, jamais ils ne vous abandonneront sur le bord du chemin, non ils seront toujours là, vous aidant à avancer, vous portant lorsque la route devient difficile, connaissez vous d'ailleurs ce magnifique poème :


Une nuit, j’ai eu un songe.

J’ai rêvé que je marchais le long d’une plage, en
compagnie du Seigneur.

Dans le ciel apparaissaient, les unes après les autres,
toutes les scènes de ma vie.

J’ai regardé en arrière et j’ai vu qu’à chaque
scène de ma vie, il y avait deux paires de traces sur le sable:
L’une était la mienne, l’autre était celle du Seigneur.

Ainsi nous continuions à marcher, jusqu’à ce que tous
les jours de ma vie aient défilé devant moi.

Alors je me suis arrêté et j’ai regardé en arrière.
J’ai remarqué qu’en certains endroits, il n’y avait
qu’une seule paire d’empreintes, et cela correspondait
exactement avec les jours les plus difficiles de ma vie,
les jours de plus grande angoisse, de plus grande peur
et aussi de plus grande douleur.

Je l’ai donc interrogé : " Seigneur… tu m’as dit que tu
étais avec moi tous les jours de ma vie et j’ai accepté
de vivre avec Toi. Mais j’ai remarqué que dans les pires
moments de ma vie, il n’y avait qu’une seule trace de pas.
Je ne peux pas comprendre que tu m’aies laissé seul
aux moments où j’avais le plus besoin de Toi. "

Et le Seigneur répondit : " Mon fils, tu m’es tellement
précieux ! Je t’aime ! Je ne t’aurais jamais abandonné,
pas même une seule minute !

Les jours où tu n’as vu qu’une seule trace de pas sur le
sable, ces jours d’épreuves et de souffrances, eh bien:
c’était moi qui te portais. "


Ne l'oublions jamais, mes amis, Dieu nous accompagne et nous porte....enfin finissons par cette prière que j'aime particulièrement :

Celui qui demeure sous l'abri du Très Haut Repose à l'ombre du Tout Puissant.
Je dis à l'Éternel: Mon refuge et ma forteresse, Mon Dieu en qui je me confie!
Car c'est lui qui te délivre du filet de l'oiseleur, De la peste et de ses ravages.
Il te couvrira de ses plumes, Et tu trouveras un refuge sous ses ailes; Sa fidélité est un bouclier et une cuirasse.
Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, Ni la flèche qui vole de jour,
Ni la peste qui marche dans les ténèbres, Ni la contagion qui frappe en plein midi.
Que mille tombent à ton côté, Et dix mille à ta droite, Tu ne seras pas atteint;
De tes yeux seulement tu regarderas, Et tu verras la rétribution des méchants.
Car tu es mon refuge, ô Éternel! Tu fais du Très Haut ta retraite.
Aucun malheur ne t'arrivera, Aucun fléau n'approchera de ta tente.
Car il ordonnera à ses anges De te garder dans toutes tes voies;
Ils te porteront sur les mains, De peur que ton pied ne heurte contre une pierre.
Tu marcheras sur le lion et sur l'aspic, Tu fouleras le lionceau et le dragon.
Puisqu'il m'aime, je le délivrerai; Je le protégerai, puisqu'il connaît mon nom.
Il m'invoquera, et je lui répondrai; Je serai avec lui dans la détresse, Je le délivrerai et je le glorifierai.
Je le rassasierai de longs jours, Et je lui ferai voir mon salut.


Amen !!!!!

Brottos s'assit et prit un instant de silence avant de célèbrer l'instant du partage du pain et de l'eau........
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Père Brottos de la Motte St Pierre, curé de Fribourg.

Dieu et la nature ne font rien en vain .......
Rodolfus
Rodolfus s'adressa alors à la foule :

J'ai été viré de mon Poste ! Vous m'avez tous jeté la pierre mais je constate que ce qui a été dit hier est une parodie de messe...
Si vous allez au village, vous verrez qu'il n'y a pas de Curé !
Celui qui se présente à vous est un imposteur qui n'a même pas rempli ses obligations de prétrise.
Vous n'avez pas eu le bout de pain, ni le sang d'Aristote obligatoire pour toute office.

Le Diable est dans la place et vous ne le voyez même pas ! Vous êtes complétement embrigandé par une meute de loups indignes d'Aristote et du Très Haut !


Et Rodolfus de quitter l'Eglise furieux .
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Ex-Curé de Fribourg jeté de sa paroisse
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