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[RP] L'Eglise de Fribourg !

Tchantches
Tchantchès avait appris les massacres perpétrés par les sicaires du Lion de Juda dans le béarn.

Ce qui le navrait le plus c'était le rôle joué par son amie Barbapounette, ancienne Tribun de Fribourg et officier de l'ACF qui se mêle aux barbares brigands pour massacrer des innocents et piller les marchés du Béarn.

Il se mit à genoux et une larme aux yeux il pria.

Il pria pour l'âme et les douleurs des pauvres innocents, mais il pria aussi pour la pauvre barbapounette qui au jeu de l'amour s'était laissé séduire par une sicaire et l'avait suivi pour le mal de l'humanité.

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Brottos
(COMMENCEMENT DE LA MESSE DE LA SEMAINE DU 30/11 au 7/12)



Lorsque les cloches eurent fini de sonner, la messe put commencer ......



Brottos derrière l'autel, les bras ouverts en signe d'accueil prononça l'ouverture de la messe :


Soyez les bienvenus dans la maison de Dieu :

Au nom de Dieu, Christos et Aristote, amen !!!!!!

Chacun fit son signe de croix à l'exemple du curé.

Mes frères, mes Soeurs, mes enfants......

En ce jour, nous sommes tous présent ici pour prier le Seigneur..
En cet endroit, Il est notre hôte, et nous sommes ses invités.
Humains libres de nos choix,c'est vrai mais pas toujours heureux certes.
La vie est un grand chemin, parcourus de différentes routes, et chaque jour, il nous faut choisir une route.
Parfois, si nous empruntons un mauvais chemin, il ne faut point penser que le Seigneur nous abandonne.
Il est le berger qui guide nos âmes, Il est celui qui nous permet de revenir sur le droit chemin.
Si vous avez un jour l'impression d'avoir un chemin qui vous éloigne de la route lumineuse de la vertu, ne désespérez point, car en souffrant sous Ponce, Christos à lié pour toujours l'Homme et Dieu, et il suffit d'une sincère repentance pour qu'une âme mortelle soit purifiée, et puisse continuer sa route, libérée des vices.
Aussi, en ce jour, implorons le Seigneur de nous délivrer de nos pèchés..


Redisons d'un coeur confiant :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, je reconnais devant mes frères que j'ai pèché en pensée, en parole, par action et par omission, oui j'ai vraiment pèché.
C'est pourquoi je supplie Dieu, les anges et tous les saints, et vous, mes frères de prier pour moi le Seigneur notre Dieu.

Brottos donna sa bénédiction à la foule :

Que le Très Haut vous accorde son pardon, l'absolution et la rémission de tous vos péchés, amen !!!!!!

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Père Brottos de la Motte St Pierre, curé de Fribourg.

Dieu et la nature ne font rien en vain .......
Ferrucius
Encore furieux de l'attiude des princes de l'EA envers sa ville, Giulio resta dans le fond de l'église afin d'assister à la messe. Le père Brottos n'était pour rien dans cette affaire et il risquait pourtant d'être celui qui paierait pour les autres.

Se recueillant, Giulio esaya de chasser les mauvaises pensées et de prier Christos et sa Sainte Mère afin d'éclairer ses décisions.

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Tchantches
Tchantchès s'installa à côté de giulio.
Il vit à sa mine qu'il n'était pas content.
Il lui chuchota


Hey, Giulio, t'inquiète pas, j'ai parlé à l'évêque, je pense qu'il va valider le concordat
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Brottos
La messe continua ......

Le curé, bras grands ouverts annonça :


Rendons Gloire à Dieu pour les merveilles qu'il fait pour nous et en chacun de nous, car rappelons nous que notre chant est un chant de remerciement. Il est joyeux.
Je demande à chacun dans le secret de son coeur de se tourner vers Dieu dans une prière personnelle


Puis il entonna le Gloria repris en choeur par l'assemblée :

" Gloire à Dieu au plus haut des cieux, Et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté.
Nous Vous louons, Nous Vous bénissons, Nous Vous adorons, Nous Vous glorifions, Nous Vous rendons grâces pour Votre immense gloire.
Seigneur Dieu, Roi du ciel, Dieu le Père tout-puissant.
Dieu, Christos et Aristote qui enlevez les péchés du monde, ayez pitié de nous.
Vous Qui enlevez les péchés du monde, recevez notre prière.
Vous Qui êtes assis à la droite de Dieu, ayez pitié de nous.
Car Vous seul êtes Saint, Vous seul êtes Seigneur, Vous seul êtes le Très-Haut, avec Christos et Aristote"
Amen.


Le temps de la lecture était arrivé, Brottos se dirigea vers l'ambon et fit la lecture :



Commençant la lecture, il dit :

Citation:
Citation:
Lecture du Livre des vertus au Livre II chapitre II, le Duo Prophétique, La vita de Christos :

Mais Maria était trop heureuse d’être mère de celui qui allait devenir le messie pour tenir sa langue. Un jour, alors qu’elle allait chercher de l’eau à la fontaine, elle croisa une courtisane du roi de Judée qu'on appelait Elitobias.

Elitobias, une érudite servant la voie de l'Etat avec zèle, vivait dans un luxe insultant, se nourrissant de viande, de poisson, de lait... Elle avait l’habitude de se moquer de la pauvreté de Maria. " Moi, disait-elle, je sers le grand roi de cette contrée, notre aimé Mistral IV. "

Alors, Maria fit une erreur, ne pouvant plus supporter les sarcasmes de Elitobias, elle lui répondit :

" Et moi, je suis la mère du Messie, de Jeshua qui portera le message d’Aristote et qui détrônera tous vos faux rois, vos faux prophètes. Mistral IV est un roi temporaire, mon fils le dépassera en charisme et son nom restera gravé dans les mémoires vachement plus longtemps que ton Roi."

Alors, Elitobias, qui croyait aux songes et aux signes du destin, fut troublée. Elle rentra précipitamment dans le palais de Mistral IV pour prévenir son maître.

Mistral IV était un homme de marbre, une statue polie par la patine du temps. C’était un ténébreux, un veuf, un inconsolé au regard triste et lointain. Un prince qui avait combattu les mèdes grâce à un astucieux système de poulies et de charrettes. Mais sa gloire était alors bien pâle, et il était devenu un roi silencieux et détaché des misères de son peuple. Jaloux de son pouvoir, il prétendait diriger ses sujets mais laissait en fait à sa femme intriguante le soin de gouverner le royaume. Lui ne sortait jamais des ors de son palais que pour réprimer un complot ou anéantir une fronde.

Lorsqu’il entendit Elitobias, pour laquelle il avait une inclination coupable, raconter ce qu’elle avait entendu, il fut surpris. Alors, il lui demanda: " Qui est ce péquenot qui se fait appeler Jeshua et qui sauvera son peuple ? Où pourrais-je le trouver ? Dans quelle halle ? Dans quelle gargote ?"

Elitobias poursuivit alors son discours dénonciateur, en espérant mériter ainsi les grâces de ce roi d’une beauté glacée.

" D’après ce que m’a dit Maria, Jeshua est le messie, le guide, le miroir de la divinité. Il est annoncé par Aristote et, selon sa prophétie, il apportera aux hommes la bonne parole et confirmera les préceptes Aristotéliciens. Son influence sera grande et ses disciples nombreux, qui se reconnaîtront en lui et en Aristote pour les millénaires à venir. Vous pourrez le trouver à Bethléem. "

A ces mots, Mistral sentit remonter en lui ses anciennes superstitions, ainsi que le souvenir de la foi qu’il avait su réprimer et noyer dans son cœur. Il avait peur de perdre son trône et prenait la menace au sérieux. Il appela ses gardes, et leur dit:

" Gardes, un homme vient de naître, qui pourrait conjurer contre moi. Il faut à tout prix empêcher cet homme de percer. Il se trouve à Bethléem. Trouvez le, et assassinez le ! Usez même d’astucieux systèmes de poulies et de charrettes si nécessaire !".

Alors, la garde du roi s’exécuta, et partit vers Bethléem.

Mais cette nuit là, Maria eut de nouveau un songe. Elle revit le cavalier qui lui avait annoncé la naissance de Jeshua. Il réapparut en effet à Maria et lui dit:

"Levez vous ! Prenez Jeshua avec vous, et allez sur les chemins. Dirigez-vous au Nord, vers l'Île de Chypre, et restez y jusqu'à ce que l’on vous prévienne. Car Mistral veut faire périr le petit enfant. "

Alors, les parents se levèrent, prirent dans leur bicoque les miches de pain et épis de maïs qui leur restaient et partirent sur les routes, en direction du Nord, en passant par Tarotshé. Ils sortirent des frontières du pays et restèrent en Chypre aussi longtemps que la menace grondait.

Mistral IV, apprenant par ses gardes que les parents avaient fui le pays, devint furieux, et dit : " Gardes, ce Giosep et cette Maria sont des provocateurs ! ils m’ont roulé et se sont rendus coupables de trahison en refusant un édit royal! Qu’on les éradique immédiatement ! Quant à ce fils de... de... il ne doit pas percer. Allez et trouvez tous les enfants de moins de deux ans, et éradiquez-les, à la fronde s’il le faut. "

Alors, les fameuses armées de Mistral, celles qu’il était capable de lever en masse en quelques heures seulement, se mirent en marche et sillonnèrent tout le pays. Ils arpentèrent chaque halle, chaque gargote, laissant des messages sur lesquels ils demandaient à la population de présenter aux autorités tous les enfants de moins de deux ans, pour les recenser, soi-disant.

Et les gens du peuple, innocemment, présentèrent leurs enfants ou leurs filleuls aux autorités sans se rendre compte du drame qui se jouait.
Et l’on entendit des pleurs, des cris, et l’on vit du sang, de la sueur et des larmes. Ces gardes, qui étaient affreux, sales et méchants égorgeaient ces jeunes âmes innocentes devant les yeux de leur parents.

Et le ténébreux, du haut de son trône, regardait le massacre silencieusement, mélancolique et froid. Après cette crise, le roi retomba dans son silence, léthargique. Si bien qu’il oublia, les années passant, de s’alimenter et perdit des forces. Il devint faible, puis squelettique, et mourut enfin.

A Chypre, les parents apprirent la mort de Mistral et pensèrent que la vie de Jeshua n’était plus menacée. Alors, Giosep et Maria décidèrent de rentrer en Judée, cependant, ils choisirent de ne plus appeler leur fils Jeshua mais Christos, pour ne pas attirer l’attention sur lui. Ils prirent dans leur bicoque les miches de pain et épis de maïs qui leur restaient et partirent sur les routes, en direction du Sud, en passant par Tarotshé. Il arrivèrent enfin dans une ville appelée Nazareth, afin que s’accomplisse la prophétie d’Aristote.


Brottos commença l'homélie :

Que peut-on lire dans ces écritures ?

Ce qu'on peut lire à travers ces lignes c'est l'obéissance d'un couple envers leur Dieu afin de sauver leur enfant, le messie lui-même, le nouveau Prophète, celui qui apporte la Lumière dans notre monde de ténèbres !!!!

Il nous appartient d'imiter à notre manière ce couple exemplaire en suivant la volonté de Dieu dans notre vie et pour notre vie si nous voulons que Dieu nous sauve !!!!
L'obéissance est une vertu fondamentale dans la vie du fidèle et 'obéissance exige donc la certitude que l'Autorité est légitime et que l'ordre n'est pas évidemment contraire à la loi divine.
Hélas, il arrive parfois que des prescriptions qui usurpent le beau titre de lois ne sont que des erreurs magistrales.
Alors jusqu'où faut-il obéir ?
Quand est-il obligatoire de désobéir ?
C'est une question de prudence. Qu'est-ce que la prudence si ce n'est la capacité de réfléchir avant d'agir. De mesurer à l'avance les conséquences d'un acte ou d'une attitude.

Pour être sûr de bien obéir nous devons nous laisser guider par la prudence.
La prière est indispensable, l'instruction aussi. Cependant, c'est à la prudence que reviennent la rectitude et la certitude de nos choix.
Le rôle primordial de la prudence est de discerner et de reconnaître le « vrai bien ».

Enfin pour conclure ce chapitre, il ne faut pas avoir la présomption de croire que c'est nous qui allons sauver l'Eglise comme Giosep et mariae ont sauvé leur enfant mais c'est plutôt Elle qui nous sauve.
Cependant, nous devons agir pour assumer nos responsabilités. Notre action doit être énergique, ordonnée et soumise à la charité, à l'obéissance et à la prudence.
Premièrement, il faut combattre fermement l'erreur et non point les personnes.
Nous devons exprimer aux Autorités compétentes notre ferme position de façon claire, régulière et sans équivoque.
La charité n'exclut pas la fermeté. La fermeté n'exclut pas la charité. Christos nous le rappelle en toutes choses : « Que votre oui soit oui et que votre non soit non ».
Amen !!!!!

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Père Brottos de la Motte St Pierre, curé de Fribourg.

Dieu et la nature ne font rien en vain .......
Tchantches
Tchantchès heureux buvait les divines paroles de l'excellent curé dont avait hérité Fribourg.

Rien que pour cela il rendait grâce au très haut, et il réfléchit lui aussi au sens des paroles du massacre des innocents.

Genève, avait au nom d'une parole temporelle provoqué l'ire du Béarn et de la France toute entière et bientôt notre pays serait à nouveau à feu et à sang à cause de l'incurie de certains fauteurs de trouble.

Il comprit que les armes allaient à nouveau frapper et qu'il serait une fois de plus au milieu de la tourmente.

Alors il pria, il pria pour demander au très haut de ne pas le faire choisir entre défendre Genève ou l'assiéger avec les armées étrangères qui ne manqueraient pas de venir.

Pourvu que les 10 maires se décident vite à prendre position face à Genève la fourbe. Faute de quoi il aurait un grave dilemme à résoudre.

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Brottos
Brottos prit un instant de méditation, assis, puis se releva et se dirigeant vers l'autel et ouvrant les bras, clama à l'attention de l'assemblée :

D'un coeur pur et d'un esprit renouvellé, redisons ensemble cette prière, cet acte de foi, le Crédo :


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Père Brottos de la Motte St Pierre, curé de Fribourg.

Dieu et la nature ne font rien en vain .......
Tchantches
Tchantchès reprit en coeur avec le curé le crédo de tous les croyants détenteurs de la vraie foy.


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Brottos


Après la récitation du Crédo, vint l'instant de la prière universelle, Brottos en expliqua tout le sens :

La prière universelle montre qu’on ne vient pas à la messe pour soi tout seul. On pense aux autres et on prie pour eux.
Nous invoquons ici le Seigneur pour tous les besoins de l’Eglise et du monde.
Normalement cette prière contient 4 intentions :
a) pour les besoins de l’Eglise
b) pour les dirigeants des affaires publiques et le salut du monde entier
c) pour ceux qui sont accablés par toutes sortes de difficultés
d) pour la communauté locale


et pria les bras grands ouverts :



Prions mes amis pour notre sainte Église attaquée de toutes parts par les oeuvres du Malin, pour nos dirigeants afin que leurs consciences soient éclairées par les lumières du Très-Haut, pour tous ceux qui souffrent dans leur chair et leur esprit et enfin prions pour notre paroisse de Fribourg en ces instants où la violence et la haine sont à nos portes .....

Brottos expliqua également le sens de la communion appelée également eucharistie :

La célébration de l’Eucharistie n’est pas simplement une intervention de Dieu mais aussi une action de l’homme qui va à la rencontre de son créateur avec les fruits de la terre.
Avec le pain et le vin, nous présentons à Dieu le fruit de votre labeur de la semaine, le fruit de votre travail, tout ce qui fait votre bonheur mais aussi votre tristesse.




Brottos distribua donc le pain et le vin ......



Lorsque la communion fut terminé, Brottos se tint derrière l'autel et dit :

Mes bien chers frères, mes bien chères soeurs, l’Eucharistie est tout à la fois un sacrifice, un banquet, une action de grâce et le signe de la présence divine. N’oublions pas de rendre grâce à Dieu et de le remercier d’être venu encore une fois dans notre cœur.
l’Église Aristotélicienne perpétue et répand l’amour de Dieu sur la terre par les sacrements et nous donne la vie même de Dieu. C’est particulièrement éclatant dans l’Eucharistie qui est le plus grand des sacrements : le pain et le vin qui donnent la vie, amen !!!!!


Brottos bénit l’assemblée en disant :

Au nom de Dieu, d'Aristote et de Christos, amen !!!!!
Allez dans la paix de Christos, allez, sortez et annoncer Christos là où vous vivez maintenant que vous avez été fortifié par la fraction du pain. Et pour terminer, nous chantons le chant final :




Que tes oeuvres sont belles,
Que tes oeuvres sont grandes !
Seigneur, Seigneur, tu nous combles de joie.
Que tes oeuvres sont belles,
Que tes oeuvres sont grandes !
Seigneur, Seigneur, tu nous combles de joie.

1 - C’est toi, le Dieu qui nous as faits,
Qui nous as pétris de la terre !
Tout homme est une histoire sacrée,
L’homme est à l’image de Dieu !
Ton amour nous a façonnés
Tirés du ventre de la terre !
Tu as mis en nous ton Esprit :
Nous tenons debout sur la terre !

2 - La terre nous donne le pain,
Le vin qui réjouit notre coeur.
Tu fais germer le grain semé,
Au temps voulu, les fruits mûrissent !
Tu rassasies tous les vivants ;
Les hommes travaillent pour vivre.

3 - C’est toi qui bâtis nos maisons,
Veilleur, tu veilles sur la ville !
Tu bénis chez nous les enfants ;
Tu veux la paix à nos frontières !
Tu tiens le registre des peuples ;
En toi chacun trouve ses sources



Au nom de Dieu, de Christos et d'Aristote, amen !!!!!!


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Père Brottos de la Motte St Pierre, curé de Fribourg.

Dieu et la nature ne font rien en vain .......
Tchantches
Tchantchès écoutait la prière de Père Brotos, et il comprenait que cet homme mieux que jamais s'imprégnait parfaitement de la particularité de Fribourg.

Il se joignit aux prières du père et lui aussi pria pour la pais et la miséricorde et lui aussi rendit grâce pour les bienfaits du très haut.

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Chamosard
N'ayant pas put dormir de la nuit à cause d'une grande tristesse, Chamo s'était poster sur les remparts de la ville pour attendre le jour.
Le soleil apparaissant, Chamo quitta les remparts et se dirigea vers l'église pour s'y recueillir.

Il arriva devant l'immense porte. Personne ne s'y trouvait encore. Il entra dans l'église, s'installa devant, s'agenouilla et commença à prier en souvenir de son ami disparu.


hô tout puissant, daigner recevoir à vos côtés le grand homme qu'était Valdoise.
Accordez lui la miséricorde de votre salut.


Val, veille sur nous tous, ne laisse pas Fribourg sombrer dans l'obscurantisme.


Puis il entama son crédo:

Je crois en Dieu, le Très Haut tout puissant,
Créateur du ciel et de la Terre,
Des l'Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de notre mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Ne de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.

Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la Communion des Saints,
En la remission des péchés,
En la Vie Eternelle.

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Vice Prévot Cantonal
Adjudant chef de l'ACF
Tavernier cantonal
Heyrwen
Heyrwen entra en pleurs dans l'église ... en colère, triste, brisée ... tout un mélange de sentiment. Elle avança le long de l'allée et s'écroula en pleurs en plein milieu ...

"pourquoi?? pourquoi l'avez vous rappelé à vous?!!!"

Elle mit ses mains au sol et releva le visage vers le plafond

"Il ne méritait pas de mourir ainsi!!! Il vous était dévoué et vous l'avez rappelé prés de vous!!!
Vous me l'avez retiré!"


Elle s'affala sur le sol se vidant de toute sa tristesse, puis dans ses sanglots elle murmura ...

"Val ... reviens moi ... je t'aime, reviens je t'en pries ..."
Brottos
Brottos entendit des cris et des pleurs au fond de l'église et parvint rapidement vers la dame qui était dans un état d'immense chagrin, se tournant vers elle, il lui demanda :

Qu'y a t'il donc dame que vous soyez dans un tel état de chagrin ?
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Père Brottos de la Motte St Pierre, curé de Fribourg.

Dieu et la nature ne font rien en vain .......
Heyrwen
Heyrwen releva la tête et s'essuya les yeux pour que sa vue redevienne claire. Elle reconnut le père Brottos ...

"Mon père! Notre seigneur, m'a pris mon Val ... m'a pris l'homme que j'aime ..."

Elle pleura de nouveau

"Je ... je ne sais pas comment la cérémonie va se passer, je ne sais pas qui animera cette cérémonie ... je suis perdue mon père ..."

Elle mit ses mains dans le visage et se remit à pleurer.
Doudouce.x3


Rose s'était vêtue de noir afin de rejoidre le cortège du Mari de Heyrwen.
En passant devant l'Eglise, elle se laissa un peu de temps pour prier..
S'agenouillant devant l'hôtel, Doudou plaça correctement ses mains, se concentra quelques instants et murmura à voix basse sa prière.

Oh, mon bon Dieu..
Je sais que je ne vais pas très souvent à la messe, mais je te promet d'y aller plus souvent !
Je suis nouvelle Fribourgeoise, et j'espère que tu veilles sur mes parents.
Personne ici ne sait encore qu'ils ne sont pas loins, mais je préférerais les oublier, après ce qu'ils m'ont fait.
Ils ont pêchés ! Moi aussi, mais pas à ce point.
Et je sais que si je ne leur pardonne pas, tu m'en voudras, laisse-moi du temps, mon Dieu...
Je te disais que j'étais arrivée à Fribourg, je m'amuse beaucoup, mais j'aimerais que tu punisses le tueur de femmes...

Et aussi que tu me trouves l'homme idéal, hihi ^^

Rose ayant achevé sa prière, se leva et ressortit afin de trouver le chemin de Hey et son mari...

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