Sindbad
--Theobald a écrit:
Oyez, oyez, bonnes gens
Moi, Theobald, ménestrel par vocation, conteur par passion et commentateur de matches de soule à l'occasion, entreprends ce jour de vous narrer la geste de l'un des hommes les plus singuliers qu'il m'ait jamais été donné de rencontrer.
Tout commence au couvent Sainte Marguerite de Cahors, alors récemment libéré par le Bon Roy Levan.Un voyageur ouvre les yeux. Au dessus de lui, une soeur lui applique sur le front des compresses humides. Qui est-il ? Elle l'ignore. Tout au plus a t-elle repéré que, dans son délire, l'homme s'exprime en une langue étrange et inconnue. Comme s'il venait de loin. Elle a lu, il y a peu, les aventures de ce marin d'Orient répondant au nom de Sindbad. L'homme portera désormais ce nom, jusqu'à ce que sa mémoire lui revienne.
En haillon, l'homme poursuit sa vie à Cahors. Vagabond d'abord, paysan ensuite. Très vite, il s'oriente vers la voie diplomatique. D'ambassadeur, il devient rapidement vice-Chambellan, puis Chambellan. Les portes du Conseil de Guyenne s'ouvrent à lui. Les mandats s'enchaînent. Et tout semble lui sourire.
Mais la roue tourne parfois, et voilà que, venus de la lointaine Venise, les représentants dun ordre mystérieux, lOrdre de la Pierre-Dieu, laccusent du vol dune relique et du meurtre de son gardien. Le constantinopolitain accepte dêtre hypnotisé pour prouver sa bonne foi. Il découvre alors que ses souvenirs ont été bloqués par hypnose, et que la seule personne qui peut les débloquer se trouve en Orléans. Suivi par sa compagne Ranya, son gardedu corps Aparajita, venue des lointaines Indes et un représentant de lOrdre, linquiétant transylvanien Katalin Lupescu, voilà que notre homme arrive aux portes de la cité dOrléans.
Theobald
Chroniqueur de vies horrifiques
Oyez, oyez, bonnes gens
Moi, Theobald, ménestrel par vocation, conteur par passion et commentateur de matches de soule à l'occasion, entreprends ce jour de vous narrer la geste de l'un des hommes les plus singuliers qu'il m'ait jamais été donné de rencontrer.
Tout commence au couvent Sainte Marguerite de Cahors, alors récemment libéré par le Bon Roy Levan.Un voyageur ouvre les yeux. Au dessus de lui, une soeur lui applique sur le front des compresses humides. Qui est-il ? Elle l'ignore. Tout au plus a t-elle repéré que, dans son délire, l'homme s'exprime en une langue étrange et inconnue. Comme s'il venait de loin. Elle a lu, il y a peu, les aventures de ce marin d'Orient répondant au nom de Sindbad. L'homme portera désormais ce nom, jusqu'à ce que sa mémoire lui revienne.
En haillon, l'homme poursuit sa vie à Cahors. Vagabond d'abord, paysan ensuite. Très vite, il s'oriente vers la voie diplomatique. D'ambassadeur, il devient rapidement vice-Chambellan, puis Chambellan. Les portes du Conseil de Guyenne s'ouvrent à lui. Les mandats s'enchaînent. Et tout semble lui sourire.
Mais la roue tourne parfois, et voilà que, venus de la lointaine Venise, les représentants dun ordre mystérieux, lOrdre de la Pierre-Dieu, laccusent du vol dune relique et du meurtre de son gardien. Le constantinopolitain accepte dêtre hypnotisé pour prouver sa bonne foi. Il découvre alors que ses souvenirs ont été bloqués par hypnose, et que la seule personne qui peut les débloquer se trouve en Orléans. Suivi par sa compagne Ranya, son gardedu corps Aparajita, venue des lointaines Indes et un représentant de lOrdre, linquiétant transylvanien Katalin Lupescu, voilà que notre homme arrive aux portes de la cité dOrléans.
Theobald
Chroniqueur de vies horrifiques