Faster83
LJD Madg, il était peux être inutile de poster ce message dans les deux rp. Merci de respecter le temps RP qui ne correspond que très rarement au temps ingame
[Tente de commandement de l’armée « Lous Aguiles de Abidos », Cité Paloise, le 31 iéme jour du mois de Juillet de l'an 1457.]
Faster ne dit plus rien. Il se contente de rester derrière la comtessa, pensant que celle-ci va prendre la parole.
Le seigneur se sent épié par le Wolback. Faut dire que les deux hommes se connaissent peu et ne se sont croisé que dans de très rare occasion.
Tout deux s’observent, se jaugent, essayant de deviner ce que l’autre à dans les tripes, et jusqu’ou il pourra aller.
Le vieux chef d’armée écoute Alleaume. L’Orthézien à plutôt l’air sincère.
Une nouvelles fois, les doutes reviennent. Depuis le temps, Faster a appris à se méfier de tous et de tout le monde, surtout des gens qui savent s’exprimer en public.
Quand l’ancien maire d’Orthez se tait, c’est à son frère de prendre la parole.
S’il y a bien une chose ou Faster est d’accord avec lui, c’est qu’il serait vraiment regrettable de se battre entre Béarnais. Mais auront-ils le choix ?
Les deux hommes et leurs compagnons semblent déterminés. C’est surement un des point commun entre les félons et les deux chefs d’armée, inséparable depuis leur arrivée dans le Béarn.
Comme le Mauléonnais s’y attend, Eriadan parle de la trêve dominicale.
Si les hommes de « Vae Victis » espèrent gagner une journée pour rassembler les volontaires, c’est bien mal connaître le Faster.
L’ancien officier n’hésitera certainement pas à désobéir aux ordres du conseil pour essayer d’éviter qu’il ne coule le moins de sang possible.
Les deux anciens loups de champagne se regardent. Tout deux se comprennent, et savent que si leurs informateurs les avertissent de la levée de l’oriflamme de l’armée félonne, ils lèveront le camp pour aller neutralisé cette armée, quelques soit le jour.
Soudain, un vacarme se fait entendre aux abords de la tente, coupant net toutes conversations.
Le rabat de la tente s’ouvre d’un coup. Une ombre, suivie aussitôt de son propriétaire apparaît. Le colosse écossais plante sa Claymore dans le sol et commence à parler en direction des deux frêres.
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