Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9   >   >>

[RP] Allégeance à Ingeburge, Duchesse de Bourgogne

frim2811
Frim, à l'entrée, était restée à l'ombre, sans se faire connaitre, simplement pour assurer une certaine sécurité anonyme.

Son sang bouillait en entendant parler l'ex régent, et oser prêter serment au nom du Cartel lui donnait des nausées.

Elle connaissait quelques membres du Cartel, et c'était son devoir d'en être informé, mais quand on connaissant dans quel camp ils avaient été ces derniers temps, elle du faire un effort considérable pour rester à sa place, celle de l'ombre.

Aussi ne bougea t-elle pas, toutefois pressée de pouvoir quitter ces lieux qu'elle détestait par dessus tout
Theognis
Les yeux pris d'un léger vertige, il fut dispensé de réponse par la bienveillante intervention de la Duchesse, qui tapa sur le coffret pour remettre dans le droit chemin son esprit vagabond.
Saluant d'un sourire Son Eminente Altesse, un sourire un peu absent, il donne les cadeaux à son valet, sans le regarder, avec la consigne silencieuse d'en prendre grand soin.
Ainsi, Théo, esquissant un pas de côté, fait semblant de suivre le reste de la cérémonie. De fait, il réfléchit au rafraichissement....Une liqueur de prune, bien entendu! Un sourire discret éclaire ses lèvres, avec un clin d'oeil à la Comtesse.
Puis il va regagner sa place, discrètement.

_________________
Ingeburge
Migisti semblait bien pâle tout d'un coup*, était-ce la perspective de devoir quitter ses deux charmantes compagnes ou était-ce l'idée de s'approcher de sa future suzeraine?

Ladite suzeraine n'aurait pu le dire et elle n'eut de toute façon pas le loisir de creuser la question car voilà que Vaxilart se présentait toutes voiles dehors dans la salle de réception et fonçait droit vers elle. Et Mirandole, non content de perturber la cérémonie et de griller la politesse aux personnes qui attendaient se laça dans un discours ampoulé et non dénué d'images.

Ingeburge finit par comprendre que celui qui l'avait précédée sur le trône ducal de Bourgogne était en train de s'émouvoir du couple qu'elle formait avec la Malemort et de dresser leur panégyrique.
C'est ainsi que la Duchesse de Bourgogne apprit qu'elle était une sainte à l'âpre dureté, une statue de sel au cœur fermé et que la Comtesse de Ségur était une mystérieuse et garçonne pécheresse tendre et aimante. Ma foi, pourquoi pas.

Vaxilart poursuivit son vibrant éloge, soulignant l'irréalité de la vision qu'elles formaient toutes deux et Ingeburge ne sut si elle devait s'en montrer flattée ou vexée.

Et ce fut la seconde option qui fut choisie car Ingeburge était d'une mauvaise foi confondante quand elle avait décidé de ne pas se réjouir :

— Ecarlate présence, dites-vous?
Elle pointa du doigt sa robe noire et répéta :
— Ecarlate? Quoi? Ce drap de soie importée à grands frais de Florence où il a été teint avec des pigments riches et profonds, vous trouvez qu'il a l'air d'être rouge?

Faussement dépitée, elle s'assit sur le trône et s'adressa à Nebisa :
— Faites attention, Votre Grandeur, Monseigneur Vaxilart veut croquer votre pomme. En parfaite sainte que je semble être, cette gourmande perspective ne peut que me faire rougir... peut-être ainsi deviendrais-je écarlate et me conformerais-je à l'image rougeoyante que Monseigneur a de moi?

Elle ne rougit pas pour sûr mais se contenta de sourire, narquoise.


----
* accord du JD Migisti qui a dû s'absenter.

_________________

Malade depuis plusieurs jours, revient à peine, tout doux s'il vous plaît, merci!
nebisa
La Malemort n'était pas de celles que l'on peut aisément surprendre, loin s'en faut. Cependant, l'arrivée et la tirade du presque Duc de Saint Fargeau la laissa interloquée, estomaquée, presque sidérée... hésitant à comprendre, à traduire concrétement la portée des mots du noble, et sans doute l'esprit échauffé par la contemplation des éphébes latins de la Duchesse il lui semblait que...

Mais non, ce n'était pas possible, il n'oserait pas... pas ainsi, pas en public... Quoi que... avec les Bourguignons, il ne faut s'étonner de rien, elle était bien placée pour le savoir depuis le temps... Aussi, en réponse à la Duchesse, la Malemort se pencha-t-elle pour chuchoter...


Ai-je mal compris ou... Messire Vaxilart vient-il de confessé d'être encore puceau et de nous proposer ... de passer un moment tous les trois dans un lit ?

Ce n'était pas que la situation fusse nouvelle pour elle, mais l'expérience ne l'avait pas convaincue la derniére fois qu'elle s'y était essayé... la Malemort n'avait pas d'attrait pour les femmes ...
_________________
Ingeburge
Le petit sourire moqueur d'Ingeburge s'effaça dès qu'elle entendit la demande de Nebisa. Certes, pour elle également les mots de Vaxilart étaient pour le moins tendancieux — et Dieu sait qu'elle n'avait pas l'esprit mal placé — mais elle ne s'était pas imaginé que leur signification était celle entrevue par le Maréchal d'Armes.

La duchesse se troubla donc, écarquillant les yeux et entrouvrant légèrement la bouche. Ne sachant que déclarer sur l'instant, elle regarda tour à tour le Vicomte de Saint Fargeau et la Comtesse de Ségur, se refusant à songer à quoi que ce soit et surtout pas à cela.
Un peu remise, elle demanda enfin à sa voisine :

— Oh... c'est donc cela que veut exprimer le vicomte quand il dit qu'il est nôtre, que nous pouvons prendre son âme et recevoir son cœur?

Elle pencha la tête, songeuse puis expliqua :
— C'est que voyez-vous, je ne suis pas des plus expérimentées en la matière... Je me suis mariée à peine sortie du couvent et j'ai depuis dirons-nous, changé de voie. Et puis, vu ce que je suis, ce n'est pas tous les jours que l'on me...

Mais là, la Prinzessin se tut brusquement pensant à ces déclarations étranges qu'on lui avait déjà faites; elle se souvenait avec acuité que certains hommes lui avaient déjà tenu pareil discours et continuaient à le faire du reste mais elle n'avait jamais pensé à mal, ne voyant dans ces tirades qu'une galanterie somme toute innocente et n'étant pas le moins du monde titillée parce qui pouvait lui être dit.
Elle s'exclama alors, se rendant compte qu'elle avait été bien candide :

— Par tous les Saints!
Et elle ajouta un peu précipitamment :
— Ceux du Paradis solaire, hein!
_________________

Malade depuis plusieurs jours, revient à peine, tout doux s'il vous plaît, merci!
nebisa
Hochant la tête avec compassion aux propos de la Duchesse, la Malemort complête de son avis, fruit de ses expériences personelles, toutes plus désastreuses les unes que les autres...

Vostre Grasce a bien raison, le mariage est une tragédie, un drame, une abhération. Mieux faut se rallier quelques amants loyaux et vigoureux que de s'aliéner un époux volage, menteur et veule qui aura tôt fait de vous trahir et vous plonger dans le gouffre abyssal d'une union désastreuse, sources de tous les maux de la création. Non vraiment, le mariage n'a pour seul avantage que la procréation de légitimes héritiers pouvant développer une noble lignée...

Aprés un instant de réflexion, nuancé d'amertume douloureuse.

Pourquoi... qu'il est doux de croire en la possibilité d'une confiance et d'une tendresse mutuelle... qui se perpétue avec le temps et devient plus forte quand bien même la passion disparait... Enfin... basta, les rêves sont bons pour les enfants... Revenons en à la proposition de Messire Vaxilart... les hommes ont le coeur bien bas, et l'âme voyageuse, je ne peux que voir dans ses propos une offre, certes flateuse mais maladroitement formulée, tant par le moment que par la forme... moi tendre ! Non mais vraiment, on aurat tout entendu...

Amusée, elle conclut, plus bas encore, aprés avoir pris le temps d'abserver le décolleté ducal...

Ils sont tout a fait bien vos solaires mais trois ou quattre doigts de tissus en moins les mettraient d'avantage en valeur...C'est fort utile pour les discutions diplomatiques d'ailleurs .
_________________
Vaxilart
Le Vicomte regardait les deux femmes piailler devant ses yeux sans être capable d’entendre le sens de la conversation au-delà de quelques échos de mots qu’il attrapait parfois au passage. Devant la réaction des dames, il ne put que s’écarlater d’une légère rougeur foncière. Il se rapprocha et proposa à voix plus basse – il n’avait pas l’intention de se ridiculiser publiquement d’avantage tout de même.

-Dure et tendre Déesses… Heu! Duchesses, pouvons-nous… Heu… Continuer. Je ne voulais vous indisposer, c’est… heu… sortit tout seul…
_________________
angelique0309
Angélique avait suivi les diverses interventions sans piper mot, choquée par les paroles de d'Arquian, mais point étonnée, il avait toujours une étincelle de gredin au fond des yeux...en tout cas...ce n'était pas à lui qu'elle confierait ses bijoux...

Par contre, elle se crispa quelque peu en entendant Vaxilart se lamenter de ne pas avoir ramené de peintre pour immortaliser le moment...connaissant sa capacité à dénicher de jeunes talents elle en avait déjà fait les frais, nul doute que la Duchesse serait rentrée dans une ire mémorable....à sa dernière tirade, elle fut tout bonnement choquée...

Elle se pencha vers la Princesse Armoria


Je ne connaissais pas Vaxi sous cet angle...je l'imaginais plutôt austère, vivant en ermite dans son château, il cache bien son jeu, je me demande comment va réagir le Baron Migisti..qui est un célibataire endurci lui aussi...
_________________


Ex-Maire de Joinville, Baronne d'Ancy-le-Franc
Ingeburge
Et la Malemort et la Duduche de Bourgogne de tailler une bavette, tranquillou, insoucieuses du décorum, du lieu, de l'instant et de tous ceux qui les entourent. Et la discussion était franchement des plus instructives entre ces deux femmes si dissemblables. Ingeburge appréciait d'ailleurs de deviser avec la Comtesse de Ségur qui avait toujours le don de la vexer quand elle évoquait la déliquescente, décadente et dramatique noblesse germanique; elle la voyait là, même si la raison de a présence était des plus officielles, sous un jour différent.

La Prinzessin écoutait donc Nebisa partager d'un ton docte ce qu'elle savait des hommes et du mariage. Elle hochait parfois la tête se retrouvant dans certains propos et haussa le reste ses sourcils déliés, un peu effarée des conseils qui lui étaient ainsi dispensés.
Elle glissa, un peu plus bas :

— Certes le mariage présente plus d'inconvénients que d'avantages, je vous accorde ce point mais je ne suis guère en position de me rallier qui que ce soit et je n'en ai de toute façon pas l'envie. La proposition du Vicomte de Saint-Fargeau restera donc de mon côté lettre morte, si tant est que c'est là ce qu'il veut vraiment.
Non, clerc ou pas, la question charnelle l'avait toujours laissée indifférente. N'avait-elle pas refusée de sacrifier au rituel de la nuit de noces et n'avait-elle pas répugné à accomplir le devoir conjugal? Elle avait eu une riche idée d'épouser un débauché, l'un comme l'autre s'étaient d'ailleurs toujours demandé par quelle miracle ils avaient pu avoir un enfant ensemble.

A la remarque de Nebisa sur cette tendresse que Vaxilart lui prêtait et qu'elle contestait, elle répondit :

— Oh, je ne suis pas une sainte, la balance est donc rééquilibrée. Mais je revendique la dureté, oh ça oui.

Puis, finalement, sur la question du décolleté, elle ne dit rien, se contentant de poser pudiquement la main sur le tassel recouvrant la naissance de sa gorge. Porter des robes échancrées? Grands dieux non! Elle refusait déjà la soutane et savait bien que certains prélats désapprouvaient ses tenues ajustées... alors se décolleter! Le Pape lui-même en sortirait de léthargie!

Fort heureusement, la terreur des hérauts, le seul, l'unique, l'inénarrable mais irremplaçable Vaxilart de la Mirandole parla à nouveau, elle cessa donc de penser à Sa Légumière Sainteté en train de la reluquer. Le volubile vicomte cette fois fit court mais toujours si inspiré.
Ingeburge le regarda, pensive puis jeta un coup d'œil vers la salle. Migisti semblait toujours indisposé et Verbam tirait une tête de six pieds de long.

La divine — c'est Vaxou qu'il le dit! — Duchesse de Bourgogne se leva finalement et s'approcha de Vaxilart, les mains tendues. Après, tout il était là et recevoir présentement son allégeance n'allait pas bouleverser une cérémonie qui commençait à s'animer.
Elle dit :

— Je vous écoute.
_________________

Malade depuis plusieurs jours, revient à peine, tout doux s'il vous plaît, merci!
Vaxilart
-Eh bien, merci.

Cette phrase lui semblait suffisante, mais dans les circonstances, elle donnait plus l’impression d’une réponse à l’attention que la Duchesse lui donnait qu’à un présent envoyé… Ainsi, il recommença un épilogage.

-Avant tout merci Duchesse. Merci pour ce que vous faites et ce que vous ferez.

Je vous dit cela ici et avant tout car ce merci sera probablement le seul que vous recevrez. De fait, en devenant Duchesse, vous acceptiez d’un côté de devenir l’une des nouvelles têtes de mules à laquelle les bourguignons se réjouiront de démolir publiquement… Vous acceptiez de vous voir détesté, détourné et utilisé. Et, franchement, ça prend du courage! Bien du courage!

Un duc ne réussira sans doute jamais à plaire à son peuple en entier, et ses ennemis politiques auront toujours un argument, vrai ou faux, qu’ils utiliseront contre lui en leur faveur. L’instauration du scrutin fut bien mauvaise idée, c’était donner la parole au peuple, peuple idiot, illogique, et bas, très bas… Enfin, ce n’est plus comme si l’on avait le choix. « Donne quelque chose à tes rotures, mais ne t’attends pas à recevoir la monnaie de ta pièce », voilà le seul remerciement que ces gueux pourront vous offrir.

Ainsi, recevez mon merci, et ma reconnaissance envers le travail que vous effectuerai (peu importe ce qu’il sera, il est bon puisque vous êtes guidé par le Très-Haut et c’est là la seule réelle valeur du travail, les opinions, mon opinion, n’ont aucune valeur sur le plan historique de la marque que vous laisserez). Comptez-vous tout de même chanceuse d’être duchesse dans un moment assez calme en Bourgogne, peut-être les vipères vous épargneront quelque peu… Mais, de merci, n’en attendez aucun, si ce n’est que ceux que j’espère le mien inspirera.

Alors, ne tentez pas de plaire, soyez simplement, soyez humaine, vous êtes ravissante en soi.

Merci.

_________________
Ingeburge
Décidément, elle n'avait pas e succès avec ses mains. A chaque fois qu'elle les avaient présentées, elles avaient été dédaignées. Elle les mit donc dans son dos et écouta la nouvelle tirade vaxilartienne.
Tête bien droite et yeux plantés dans ceux de son vis-à-vis, elle enregistrait le moindre mot arrivant à ses oreilles, captait la moindre inflexion de la voix qu'elle entendait, notait la moindre mimique du visage qui lui faisait face.

A la fin du discours du Joinvillois, elle déclara :

— Sachez que je suis touchée par ces remerciements que vous m'adressez. Je ne pense nullement les mériter, n'ayant pas encore fait mes preuves et je ne les recherche de toute façon pas. Mais je saurai tirer de ceux que vous me témoignez aujourd'hui la force nécessaire pour aller vers les objectifs que je me suis fixés. Quant au calme de la Bourgogne, l'on dit qu'il faut se méfier de l'eau qui dort et je ne suis après tout qu'au début de mon mandat.
Enfin, sur le fait que je vais être détestée... n'ayez crainte, c'est déjà le cas et depuis bien longtemps maintenant.


Elle eut un petit sourire indéfinissable.
_________________

Malade depuis plusieurs jours, revient à peine, tout doux s'il vous plaît, merci!
Armoria
Et le féminin babil de perdurer, non sans un signe vers un laquais, auquelle elle murmura d'apporter un bon verre de prune tonnerroise au Baron en proie au malaise.

Vaxilart, austère ? Pensez-vous ! Figurez-vous que quand j'ai été enlevée - remarquez que grâce à la fabuleuse inaction de Verbam, Vaxilart l'ignorait, enfin passons - il a écrit à ma fille... Une fraîche pucelle, rendez-vous compte ! Lui écrire sans l'accord maternel ! Ma fille en était fort choquée.
_________________

Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Vaxilart
Le Vicomte sourit aux dernières paroles de la Duchesse, de fait, il n’était pas sûr de la réaction à adopter, était-elle sérieuse ou s’essayait-elle à la farce? Le sourire neutre était alors le plus approprié.

-Duchesse, n’ayez craintes, vous n’êtes point détestée de votre fidèle vassal. Il n’y a que les faibles d’esprit pour ne point ressentir la chaleur qui vous habite.

Sur ce, il tendit les mains.
_________________
Ingeburge
La chaleur? Elle, chaleureuse? Pour le coup, son sourire s'effaça non pas parce qu'elle estimait que ce n'était là que mensonge mais bien parce que le Vicomte de Saint Fargeau lui paraissait tout drôle tout à coup.
Elle pencha alors légèrement la tête sur le côté, observant plus attentivement l'homme qui lui faisait face. Etait-il ivre? Ou était-il simplement nerveux pour une raison qu'elle ignorait? Ou, encore, était-il nerveux au point de s'être soûlé? Hum.

Légèrement mais pas assez intriguée, la duchesse prit le parti de ne point répondre et mit ses mains dans celles de Vaxilart qui en sus de lui avoir déclaré ne pas la détester était le premier de ses vassaux à présenter ses mains.
Derechef, elle dit :

— Je vous écoute.
_________________

Malade depuis plusieurs jours, revient à peine, tout doux s'il vous plaît, merci!
Vaxilart
L’ivresse de ce doux touché lui faisait tout drôle! Enfin, il touchait la main d’une sainte! Une goute de sueur perla sur son front, il remerciait le ciel de ne point lui avoir donné droit au beau petit péton de pied de la Duchesse, pour le coup il serait bien mort foudroyé par la Némésis du Très-Haut. Reprenant un peu sur lui, tentant de ne pas trop s’imaginer le vélin de qualité que pourrait offrir aux plus grands auteurs cette sublimissime peau, il débuta son allégeance.

-Chère Duchesse,

Pour mes fiefs, le Vicomté de St-Fargeau (élevé au titre de duché présentement si je ne me trompe) et la baronnie d’Auxonne. Veuillez accepter le présent serment que je vous porte.

Ainsi, sachez que je vous serais toujours fidèle, des femmes fatales vous êtes la reine, aucune ne saurait corrompre mon âme! Sachez qu’à toujours vous recevrez mon aide, fusse-t-elle armée ou autre, sachez que pour cela je suis même près à rejoindre votre garde personnelle (mes origines sont tout d’abord italienne) en autant que pour cela je ne dusse devenir énuque. Et finalement conseil, pour autant que votre grande sagesse en aie besoin!

Qu’une Penthièvre m’épouse si à ce serment je devais jamais faillir!

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)