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[RP] La chute de la maison Wagner

Cerberos
1
***

Maltea lui avait ordonné de partir sur le champ et c’est ce qu’il fit… A peine arrivé à Brienne afin d’y laisser la Duchesse en sécurité qu’il prit un nouveau cheval et partit à bride abattue…
La soleil commencait peu à peu à disparaître et la nuit n'arrangeait pas sa situation, sa vision baissait sans cesse un peu plus…
Les heures défilaient et aucune nouvelles de Richard, pas même un passant pour lui donner une indication quand soudain il aperçut quelque chose à terre.. Ou plutôt quelqu'un... Il sauta de sa monture et s'en approcha à pas rapide, une main sur le pommeau de son épée.

Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'il reconnut le visage du Duc de Brienne, baignant dans son sang ! Son corps fut instantanément parcourut de frissons, le froid se fit sentir plus intensément sous cette vision.. S'il avait été accompagné, l'on aurait remarqué son visage devenu aussi blanc que du linge propre...


Maistre... Je suis là, nous retournons à Brienne, tenez bon..

Détachant sa cape, il le couvrit et tenta désespérément de le soulever, chose qui ne se révéla pas facile... Son esprit était tourmenté par la peur, pourquoi ?! Pourquoi fallait-il que cela lui arrive ?! Une fois son Maitre "mit" en scelle, Cerberos ne compta pas les minutes qu'il passa désespérément à essayer de monter à son tour... Il fallait dire que tenter de stabiliser un homme gravement blessé sur un cheval et de se mettre soit même en place n'était pas chose aisée !

Le coup d'étriers qu'il infligea au cheval dû être aussi douloureux qu'il ne fut efficace, le Capitaine de la Garde rejoignit ainsi le Château en peu de temps, manquant à plusieurs reprises de tomber à terre...
Les remparts passés, il cria comme jamais il n'avait eut à le faire...


À l'aide ! Appelez Sa Grâsce sans tarder, des médecins !

Le temps de descendre Richard fut interminable, il usait de la plus extrême des douceurs pour ne pas aggraver sa situation... Il n'espérait qu'une chose en son fort intérieur : que Maltea puisse le voir avant qu'il ne rende l'âme à jamais...



2
***

Il fut soulagé lorsqu’il put apercevoir son Maitre sain et sauf, le trajet avait fait naître en lui quelques peurs comme celle de le retrouver mort ou gravement blessé, jonchant la route ou sur le bas coté…
L’explication qui suivit fut plutôt courte à son goût mais lui fit nettement comprendre le risque encouru par Richard et la chance de toujours le trouver vivant… Non qu’il doutait de son adresse à l’épée, mais plutôt de la supériorité numérique des assaillants…

Ils prirent très vite le chemin du retour, tout allait parfaitement… Trop parfaitement d’ailleurs…
Ce qui suivit se passa très vite, ne lui laissant pas même le temps de réagir…
Richard se retrouva en un clin d’œil broyé sous le corps massif de sa monture… Il poussa un cri, partagé entre la surprise et le désespoir…

Détachant sa cape, il le couvrit et tenta désespérément de le soulever, chose qui ne se révéla pas facile... Son esprit était tourmenté par la peur, pourquoi ?! Pourquoi fallait-il que cela lui arrive ?! Une fois son Maitre "mit" en scelle, Cerberos ne compta pas les minutes qu'il passa désespérément à essayer de monter à son tour... Il fallait dire que tenter de stabiliser un homme gravement blessé sur un cheval et de se mettre soit même en place n'était pas chose aisée !

Le coup d'étriers qu'il infligea au cheval dû être aussi douloureux qu'il ne fut efficace, le Capitaine de la Garde rejoignit ainsi le Château en peu de temps, manquant à plusieurs reprises de tomber à terre...
Les remparts passés, il cria comme jamais il n'avait eut à le faire...


À l'aide ! Appelez Sa Grâsce sans tarder, des médecins !

Le temps de descendre Richard fut interminable, il usait de la plus extrême des douceurs pour ne pas aggraver sa situation... Il n'espérait qu'une chose en son fort intérieur : que Maltea puisse le voir avant qu'il ne rende l'âme à jamais...
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Blessé... A jamais...

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A feu Richard Wagner et à son père Kurt Wagner, Grands de Champagne.

Qu'Aristote les accueille comme il se doit.
Maltea
Post1

Faisant les cent pas dans le petit salon du château de Brienne, Maltea s’inquiétait de plus en plus. Elle avait envoyé Cerberos à la recherche de Richard, elle s’attendait au pire.
Sur la route, elle avait pu voir les gardes mis à mort ainsi que son beau frère Gabriel. Son corps reposait maintenant à la chapelle de Brienne. Connaissant son époux, elle avait toutes les raisons d’avoir peur. Les heures s’écoulaient lentement et un mauvais pressentiment lui enserrait le cœur comme dans un étau.
Pourquoi ne l’avait-elle pas accompagné, elle aurait su le dissuader de partir. Mais non, il avait voulu qu’elle voyage en carrosse alors qu’elle avait horreur de cela.
Que s’était-il passé ? Un gueux aviné était venu donner quelques renseignements, mais vu l’état dans lequel il se trouvait, elle avait peur que tout cela ne soit qu’affabulation. Il avait soit disant assisté à la scène et avait vu son époux arriver quelque temps après et repartir toutes brides abattues dans la direction apposée de Brienne…

Des bruits de galop se firent entendre dans la cours, des cris parmi lesquels, elle reconnut la voix de Cerberos. Elle cessa de réfléchir pour aller aux nouvelles.
Sortant en trombe du salon, elle put voir le chef de sa garde tenant le corps de son époux dans ses bras. Celui-ci semblait inconscient. Elle s’approcha rapidement et donna des ordres afin que l’on allonge le duc et qu’on aille chercher Amory de toute urgence.

Agenouillée aux côtés de son époux, elle luttait contre l’immense vide qui s’emparait de son être. Lui prenant doucement la main, elle lui parlait voulant lui faire ouvrir les yeux.
D’un linge humide, elle essayait d’effacer les traces de sang du visage de son époux. La respiration de Richard se faisait de plus en plus faible…


Richard, ouvre les yeux, tu m’as promis de ne jamais m’abandonner. Je t’en supplie ne me laisse pas seule…

Son regard se voilait de larme, sa voix devenait tremblante et de plus en plus aigüe.

Tu dois vivre pour voir grandir ta fille, tu l’as tellement attendue, Richard, je ne suis rien sans toi, ne me laisse pas, non je ne pourrais le supporter. Ne me laisse pas, ne me laisse pas…

La duchesse de Brienne répétait sans cesse cette phrase comme une litanie, la tête maintenant posée sur le torse de son époux. Se redressant, elle déposa ses lèvres sur celle de Richard puis tourna la tête pensant qu’Amory venait d’arriver dans la pièce mais ce n’était qu’un serviteur.
Elle reposa son regard sur son époux et les larmes glissèrent en flot sur son visage blême, tombant sur celui du duc de Brienne qui venait de rendre son dernier souffle de vie.
Un cri de grand chagrin raisonna dans tout le château. La scène déchirante d’une jeune femme blonde martelant de ses poings la poitrine de son époux comme pour le ramener à la vie, de ses pleurs et de ses plaintes de douleur était l’image que pouvait voir les personnes présentes dans la pièce.
Elle s’effondra sur le duc, comme à bout de force et resta ainsi prostrée sur le défunt, s’accrochant à lui. En s’approchant on pouvait tout de même entendre en un murmure, une phrase sans cesse répétée « je suis là, je t’aime, je t’accompagne, tu n’es pas seul mon aimé »
On essaya de la retirer du corps du jeune duc, mais dans son désespoir, la duchesse, s’accrochait, ne voulant plus quitter son époux…




Post 2

La duchesse ne pouvait pas trouver le sommeil, elle n’avait d’ailleurs nullement essayé. Elle arpentait les longs corridors du château, maudissant ceux qui avaient pris la vie de Gabriel.
Elle réfléchissait depuis maintenant de longues heures… qui avaient pu enlever un enfant ? Sa belle-mère… oui mais jamais elle n’aurait fait assassiner son fils, surtout Gabriel et ce même dans sa colère. Un gueux sentant la vinasse à plein nez s’était présenté au château en racontant une absurdité, disant que des membres de la prévôté étaient à l’origine du carnage… ce qui mettait alors en cause le prévôt et donc confirmait la piste de Pétillante. Cependant cela était impensable pour Maltea. Elle n’appréciait guère plus sa belle-mère depuis que celle-ci s’était permis de vouloir passer au dessus de son autorité de mère concernant sa fille. De toute façon, ça ne changeait rien vu que sa belle-mère n’avait jamais su la sentir… jalousie mal placée depuis sa romance avec le défunt duc de Joigny. Pétillante avait cru à tord que Maltea avait eu une liaison ou ne serait que des sentiments pour celui-ci alors que seule une amitié les avaient lié. De plus Ghost pouvait être une raclure quand il le voulait, mais elle ne le pensait pas capable de cela, bien trop droit… du moins elle l’espérait.
Non son idée convergeait vers le père naturel de l’enfant, lui seul était capable de cela, mais elle ne pourrait jamais le prouver… sa vengeance néanmoins viendrait bien un jour. Elle ferait rechercher sa fille, il ne pourrait décemment pas la cacher éternellement. Elle était capable de s’allier à ses pires ennemis pour avoir sa vengeance contre Dragonet. Son instinct lui disait qu’elle ne se trompait pas.
Toute à ses pensée, elle arriva devant le grand escalier et son cœur fit un bond dans sa poitrine.
Dieu soit loué, son époux était rentré et en un seul morceau. C’est alors que tout s’enchaina en une fraction de seconde. Elle vit son époux perdre l’équilibre et partir en arrière. Sa tête frappa la pierre avant que son corps ne dévale le grand escalier.
Maltea ne put réprimer un hurlement qui réveilla toute la maisonnée. Elle dévala elle aussi l’escalier et se pencha sur son époux. Le sang coulait faisant une flaque à la hauteur de la tête du duc de Brienne.


Qu’on aille chercher le sieur Amory, vite !

L’ordre claqua dans le silence pesant de la demeure des ducs de Brienne. Maltea s’agenouilla aux côtés de son époux inconscient, dont la vie semblait quitter son beau visage, devenant de plus en plus pâle.
Elle luttait contre l’immense vide qui s’emparait de son être. Lui prenant doucement la main, elle lui parlait voulant lui faire ouvrir les yeux, lui caressant doucement la joue.
La respiration de Richard se faisait de plus en plus faible…


Richard, ouvre les yeux, tu m’as promis de ne jamais m’abandonner. Je t’en supplie ne me laisse pas seule…

Son regard se voilait de larme, sa voix devenait tremblante et de plus en plus aigüe.

Tu dois vivre pour voir grandir ta fille, tu l’as tellement attendue, Richard, je ne suis rien sans toi, ne me laisse pas, non je ne pourrais le supporter. Ne me laisse pas, ne me laisse pas…

La duchesse de Brienne répétait sans cesse cette phrase comme une litanie, la tête maintenant posée sur le torse de son époux. Se redressant, elle déposa ses lèvres sur celle de Richard puis tourna la tête pensant qu’Amory venait d’arriver dans la pièce mais ce n’était qu’un serviteur.
Elle reposa son regard sur son époux et les larmes glissèrent en flot sur son visage blême, tombant sur celui du duc de Brienne qui venait de rendre son dernier souffle de vie.
Un cri de grand chagrin raisonna dans tout le château. La scène déchirante d’une jeune femme blonde martelant de ses poings la poitrine de son époux comme pour le ramener à la vie, de ses pleurs et de ses plaintes de douleur était l’image que pouvait voir les personnes présentes dans la pièce.
Elle s’effondra sur le duc, comme à bout de force et resta ainsi prostrée sur le défunt, s’accrochant à lui. En s’approchant on pouvait tout de même entendre en un murmure, une phrase sans cesse répétée « je suis là, je t’aime, je t’accompagne, tu n’es pas seul mon aimé »
On essaya de la retirer du corps du jeune duc, mais dans son désespoir, la duchesse, s’accrochait, ne voulant plus quitter son époux…

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Amory


Ils étaient tranquillement à Airain, quand un envoyé de Brienne, arriva et lui demanda de se hâter. Sa suzeraine avait apparement grand besoin de lui. Il donna des ordres rapis et précis, afin que leur carosse soit attelé. Ysa voulait absolument l'accompagner et il n'eut pas le coeur de lui refuser vu son état avancé dans sa grossesse.


Le tonnerre volant de seize sabots ferrés dévalait la route étroite emportant à sa suite un carosse dont la caisse vert foncé aux couleurs de la ferté, occupé par sa vicomtesse et son futur.
Il venait de traverser compiègne en trombe, évitant de justesse, une charette sauvée de la collision par l'ouverture d'une grange. C'était un jour ensoleillé de septembre. Il était déjà tard et il s'agissait d'arriver au plus vite auprès de la duchesse Maltea.

pas de laquais à l'arrière du véhicule lançé à train d'enfer. Un seul se cramponnait au siège où il était assis à côté du vigoureux cocher aussi large que haut dont la poigne maîtrisait avec aisance les quatres démons furieux de son attelage.

Arrivé enfin au castel de Brienne, Amory ne laissa pas la valet venir aider la Ferté. Il s'en chargea lui même. Il est vrai qu'elle pesait son pesant d'or mais surtout portait en elle le futur héritier d'Airain.

Il prit la main d'Ysa dans la sienne et l'entraîna vers les marches menant à la porte principale. Elle leur fut largement ouverte et en pénétrant plus à même dans la demeur du Bleu, ils tombèrent sur un spectacle dont ils se souviendraient logntemps. Un laquet à la mîne déconfite leur appris que le Duc de Brienne venait de trépasser. Maltea sa douce épouse était étendu sur le corps de son défunt mari. Nul n'arrivait à la décrocher.

Amory ne supportant pas de voir sa suzeraine dans un tel état, mais surtout comprenant sa douleur, aboya contre ceux qui voulaient absolument relever la duchesse.


"Cessez je vous prie!!! Laissez là dire au revoir à son tendre!! Reculez et laissez nous."

le ton avait été ferme et n'attendais aucunes répliques. Le personnel de Brienne s'inclina et sortit les laissant seul devant ce triste spectacle.

Le Seigneur de Chéu s'approcha alors de sa suzeraine et s'accroupit à ses côté. Il essaya de croiser son regard. Il prit délicatement le poignet de Richard et essaya d'y trouver un poux. Mais rien comme il le craignait, pire il commençait déjà à se refroidir.

Il fit signe de la tête à Ysa que tout était finit pour le bleu et qu'il devait reposer en paix. L'urgence maintenant était de s'occuper de Maltea.


"Duchesse, c'est moi Amory. Vous m'avez fait demander? Je suis venu avec la Ferté. Vous voulez bien venir parler avec nous? Nous allons installer Richard comme il se faut. Le sol est froid il faut que vous le lachiez pour qu'il soit mieux installer."

Il lui parlait avec douceur, ne voulant pas la brusquer.
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Koroseth
Le voilà qui venait juste de s'acheter un cheval et il y avait mis le prix... Les proches de Koro lui répétaient souvent que c'était un radin, qu'il voulait vendre tous ses produits à des prix exorbitants, ne payant pas de tournées générales en taverne, ne se déplaçant jamais seul entre deux villes, etc... Mais là non, il avait versé une grosse somme pour posséder un cheval vigoureux, rapide et endurant. Après tout, cela commençait à faire un moment qu'il faisait partie de la Grande Maison de Brienne et il se devait tout de même d'avoir un cheval à lui plutôt que de les emprunter. Il était donc en selle en direction du château de son seigneur et maître afin de lui rendre visite comme il aimait le faire de temps en temps lorsque son emploi du temps le lui permettait. Le voyage se passait bien, le temps était clément. Il en profita pour "tester" son cheval en le faisant galoper de plus en plus vite, de plus en plus longtemps. Par Aristote, ce cheval était impressionnant ! Voilà qui allait promettre de plaisantes parties de chasse avec le duc de Brienne lorsque ce dernier aurait le temps. C'est alors qu'il aperçu un carrosse sur le chemin et dût faire ralentir sa monture et finit par le croiser au petit galop tout en ayant jeté un œil aux armoiries et continua son chemin sans même se retourner.

Bien plus tard, il arriva sur les terres de Brienne et en vue du château. Un peu de poussière s'élevait en direction de la demeure du Duc. Après quelques minutes, c'était à lui d'emprunter la route menant à l'entrée. Il salua les sentinelles qui gardaient la cour, descendit de cheval avant de l'attacher dans les écuries et entra dans le château. Personne... Il marcha dans les couloirs et croisa des personnes qui avaient basse mine et qu'il reconnut comme faisant partie du personnel des lieux.


- Eh bien ! Que se passe t-il ?! Pouvez-vous m'indiquer où se trouve le Duc, je vous prie ?

L'un deux voulut parler mais ne sut apparemment pas quoi dire, et baissa la tête avant d'indiquer le fond du couloir. Koroseth n'avait pas vraiment apprécié la chose, non pas parce qu'il ne lui avait pas adressé la parole, mais parce que sa main avait tremblé en indiquant la direction. L'écuyer de Brienne avança rapidement sans même s'excuser d'avoir bousculé l'un d'eux. Il entra avec fracas dans la pièce sans se soucier le moins du monde si quelqu'un pouvait se trouver juste derrière. Heureusement ce ne fut pas le cas, sinon la personne en question l'aurait bien senti. Et là, il put voir ce qu'il se passait...

Cette entrée fit se tourner trois têtes dans sa direction : Un homme qu'il avait déjà aperçu, il ne savait plus où mais son nom finit par lui revenir rapidement ; Ysa, la vicomtesse qu'il avait déjà croisé plusieurs fois il y a quelques temps de cela ; Cerberos, la mine dépitée dans un coin de la salle. Au milieu, il vit Maltea à terre serrant un homme... du sang... et l'homme en question... il ne voyait pas son visage... Légèrement tremblant il s'avança, lentement. Il était terrorisé car il avait peur de savoir qui était étendu, mort, dans cette flaque de sang. Et quand son visage apparut, il se retrouva tétanisé, le monde autour de lui semblant s'écrouler, l'emportant avec lui.


- M... messire.. R... Ric ?...

"Messire Ric". Il l'avait toujours appelé ainsi après qu'ils s'étaient parlé les premières fois. Il était en train de commencer à se rappeler les nombreuses fois qu'ils s'étaient vus quand il secoua la tête et fit deux pas vers Amory, le regard implorant.

- V... vous êtes médicastre, non ?... Je vous en supplie... faîtes quelque chose !...

Il avait parlé tout bas, en se contenant du mieux qu'il le pouvait. Mais le regard de son interlocuteur lui fit comprendre que ce n'était plus la peine. Il fit deux pas en arrière et mit sa main gantée au niveau de sa mâchoire inférieure, et la serra, fort. Il n'arrivait pas à réfléchir, sa main serrée en bas de son visage lui faisait mal mais ne s'en souciait guère. Il reculait toujours et finit par se retrouver dos à un mur. Il faisait des efforts pour ne pas exploser de colère. Il se laissa glisser au sol, toujours un peu tremblant et continua d'observer la pauvre Maltea qui ne lâchait pas prise.
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