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[RP] : A l' Abreuvoir Moussant

pnj


Allez, faut se bouger, sinon l'pat'on va 'core nous taper su' l'dos avec sa canne de vieilla'd.

Un bruit assourdissant et l'homme qui venait de parler se retourna, montrant ses dents disparues qui lui empêchait de prononcer les "r"

C'édidjou Babun!! C'est-y pas possib' de faire une ca...co...pho...un b'uit pa'eil!! Qu'est-ce-qu'y va di'e not'e pat'on si les voisins viendent et nous disent qu'on fa t'op d'b'uit ?? C'est la canne qui nous attend moi j'te'l'dis!


C'est alors que le chef des livreurs arrive*

Qui a fait ça ?

-Hum...Ca quoi ?
-C'est-y pas nous messi'e

-Bon vous le poserez là!


Le chef montre l'emplacement de l'abreuvoir

Avant vous démonterez celui qui est actuellement ici.
-Oui pat'on, tout de suite pat'on.


Puis ils se mirent à la tâche...

Le soir venu

L'abreuvoir était monté, la troupe partit aussi vite qu'elle fut venue, sans dire mot à personne. Laissant un petit billet sur l'abreuvoir:
Citation:
Avec tous les compliments d'Hico, voici le nouvel abreuvoir de l'Abreuvoir Moussant
Eglantina
Le tenancière de l'établissement avait passé la plupart de sa journée, assise à une table de la réserve, le nez dans ce qui semblait être des dossiers, voir des impôts encore n'importe quel document important, que nenni les papiers qu'elle observait avec tant d'attention était des simples parchemins, réponses aux nombreux pigeons qui atterrissaient à Annecy porteur de nouvelles d'amis voyageurs.

Les bruits qui émanait de la salle principale, n'attira pas son attention, pas qu'elle soit sourde, mais elle n'avait point l'habitude d'entendre une taverne silencieuse.
De toute manière, au moindre problème Nayamé, la tavernière, serait venue l'avertir, elle devait sûrement être quelque part dans les alentours de la taverne.

Après plusieurs minutes à exercer sa piètre calligraphie, apprise sur le tas il y a quelques années, elle se lança dans l'écriture, la langue légerement sorti, les yeux plissés pour la concentration, la main un peu tremblante de peur de tacher le parchemin.
Une fois cette douce besogne terminée, elle posa toutes les lettres sur le coin de son bureau de fortune, se promettant de trouver un moyen rapide pour faire la correspondance.

En sortant de la réserve, son regard se planta directement sur la nouvelle partie du meulier, un nouvel abreuvoir, celui en cuivre qui datait des débuts de la taverne avait commencer à mal vieillir et c'est avec une bonne surprise qu'elle alla observer celui-là.

Elle ne se rappelait plus, qui à l'époque avait eut l'idée d'installer à l'intérieur ce drôle d'objet, elle avait encore plus de mal à s'imaginer qui avait eu l'idée de le remplir de bière ! Mais c'était une tradition, cette même tradition voulait qu'Hico en soit le donateur, c'était ainsi et pas autrement. Quand elle vu le message sur le comptoir :

Citation:

Avec tous les compliments d'Hico, voici le nouvel abreuvoir de l'Abreuvoir Moussant


Elle ne fut donc pas surprise, et un sourire amusé rempli son visage, il fallait que Naya voie ça.

-Nayaaaaa ! Hé ! La belle, vient voir ce que l'Hico nous a livré !

Elle ne savait pas trop ou pouvait être sa tavernière, mais elle aimait bien hurler à tord et à travers, cela ne l'a gênait en rien!
Nayame


Alors que Naya approchait de l'Abreuvoir plongée dans ses pensées, elle entendit hurler...son nom! Un sursaut la figea une seconde. Mais que se passait il donc? Elle n'avait pas compris la fin de la phrase bien entendu. Son regard se porta vers la porte qui n'était plus qu'à quelques mètres. Mais pourquoi Eg criait donc son nom alors qu'elle n'était même pas là? L'aurait elle vu par la fenêtre? Venait elle d'arriver et la cherchait elle?

Après avoir couru jusque la porte et arrivée sur le seuil, Naya ouvrit aussitôt. Affolée elle commença :

Qu'est ce qu'il y a??? Qu'est ce qu'il y a?????

Son regard se posa tout d'abord sur Eg qui tenait un parchemin à la main puis sur ce qui semblait être un nouvel abreuvoir.

Mais qu'il y a t-il? Pourquoi me cries tu ainsi?
Eglantina
Situation bête à s'époumoner comme un folle, alors que Nayame n'était même pas sur les lieux, elle devait avoir l'aire fine, elle mettrait ça sur la fatigue !

-Pourquoi crie-je ? Euh... je crie, car ... On a reçu un... abreuvoir
Elle avait mit l'intonation sur sa phrase comme si elle se posait une question, puis elle regarda Naya en coin.

-Il me faut des raisons valables et approuvés maintenant pour scander ton nom à tout poumons ?

Elle la regarda très sérieusement, une main sur la hanche, avec un petit air méprisant, qui ne se mariait franchement pas avec les traits de son visage, puis son regard s'attendrit et elle commença à rire.

-Naya, excuses moi, Je pensais que tu étais à l'étage, enfin bref... Ne le trouves tu pas joli ?
Il parait qu'il y a de l'or dedans, c'est ce qu'Hico m'a fait comprendre... de l'or tu imagines !

Son regard pétillait, elle aurait bien aimé que Mandra le voie... Il fallait qu'elle le décrive dans sa prochaine lettre. C'était peut être un rien, mais la vie est faites de ces petites choses.

-Tu veux bien m'aider à le remplir, dis ?
Elle la regarda avec cet air enfantin qu'elle avait parfois, cet air de fillette, qu'une simple bulle de savon aurait pu faire sourire. Parfois, il ne fallait pas chercher le bonheur bien loin.
pnj
Le chevalier Grandgousier avait décidé de profiter de son bref passage à Annecy pour venir présenter ses hommages à Mandragore, et prendre nouvelles de Perrine. Aussitôt la chevauchée dont il était part avait-elle fait halte dans les faubourgs annéciens qu'il avait poussé plus avant et maintenant poussait la porte de l'Abreuvoir Moussant.

Ayant souvenance des reproches quasi-hystériques dont il avait été l'objet la dernière fois qu'il avait déposé un sanglier sanguinolent sur le parquet ciré, il s'essuya cette fois consciencieusement les chausses et secoua la neige qui blanchissait son mantel avant d'entrer. Une fois à l'intérieur, il découvrit une inconnue qui tirait un lourd abreuvoir au milieu de la pièce. Il se rua à son aide et saisit l'autre extrémité de l'abreuvoir, qu'il souleva sans peine.


- Où voulez-vous le mettre, ma'ame ?
Noria
Nous sommes une semaine après un dîner que Noria n'est pas près d'oublier




Noria, se trouvant à Annecy, avait décidé (en fait il n'y avait pas vraiment de décision à prendre car c'était devenu depuis peu une habitude, et plutôt agréable l'habitude du reste) de passer voir Eglantina à sa taverne. Au moment où il pénétrait dans l'établissement, il remarqua plusieurs choses : Eglantina déplaçait le célèbre accessoire qui avait donné son nom à la taverne et Grandgousier qui se précipitait à son aide. Au moment où il allait saluer et se précipiter également à l'aide, il failli buter dans... la carcasse d'un sanglier. Regardant tour à tour la carcasse et le chevalier, un grand sourire se peingnit sur son visage et il s'avança pour aller prêter main forte.

- Bonjour Ma Dame et bien le salut à vous Messire Chevalier ! Hé bien Ma Mie, ne pouviez-vous donc point attendre ma venue ou me faire mander avant que d'entreprendre ces grandes manoeuvres de déplacement et de remplissage ? Nous n'avons qu'un dos et il s'agit de bien veiller sur lui !

Il se mit juste à côté d'Eglantina, lui fit un chaste baiser sur la joue tout en la poussant légèrement sur le côté avant d'empoigner le bord de l'abreuvoir en face de Grandgousier...

- Alors ? où est-ce qu'il va ?

Tout en attendant la réponse, il interpella le chevalier, tout en désignant la carcasse du menton...

- Hum Messire... bel animal que vous avez chassé là ! Auriez-vous par hasard profité de mon... hospitalité en Baronnie des Echelles ? De là à ce que d'aucuns viennent à penser que vous êtes mon principal fournisseur de venaison, il n'y a qu'un pas...

Puis il éclata de rire....
pnj


Grandgousier, tenant toujours l'abreuvoir et attendant les directives de la dame, rit de bon cœur avec le commandeur et lui narra ainsi l'origine de la carcasse dans l'entrée:

- Ah ! Ah ! Commandeur... vous allez me faire une réputation de braconnier, mortecouilles ! Mais il y a du vrai dans vos propos. Nous avons occis cette bête sur des terres qui ne sont point nostres, alors que nous cheminions tranquillement de Chambéry à Annecy, aux environs d'Albens. Mais il s'est jeté sur nous ! Et a même fortement navré l'un de nos chevaux ! Il fallait bien que nous l'abattions. Que faire de la carcasse ? La laisser aux corbeaux ? Je vous demande un peu, monsire Commandeur, l'intérêt de cette coutume rastaquouère qui saigne les honnêtes chasseurs, et nous plus que quiconque, gens de bonne compagnie et des mieux endentés, nous obligeant à respecter cette loi inique d'entre toutes qui trouve honorable de laisser pourrir sur un talus la dépouille d'un sanglier étranglé par nos soins, et de tout notre amour, encore. Et bien, vous penserez ce que vous voudrez ; mais moi je dis que toute proie entamée se dévore en entier. Bastard, certes, je suis, mais de noble extraction : jamais dans mon glorieux lignage, nul n'osa gaspiller le quart d'une bouchée. Non, mauvaise politique, je n'en démords pas. Que les nobles seigneurs partagent avec leurs gens un carré de gazon tendre pour y élever gras agneaux, passe, cela ne me dérange guère. Au contraire : qu'ils croissent et multiplient, mon ventre y trouve son crédit. Mais jeter de la viande sauvage au tout venant de la sorte, à quoi sert d'être courageux ? Non, non, c'est se moquer du monde.
Eglantina
Plus rien ne surprenait la jeune tenancière, à peine avait elle prit en main un bord de l'abreuvoir que Grandgousier et Noria entraient en cœur

-Ah bah vous tombez à pique ! Toujours besoin d'hommes forts par ici !
C'est vrai que pour les travaux un peu physique, Nayame et elle allait bien devoir retrousser leurs manches...
Noria s'approche d'elle et lui embrassa poliment la joue, elle lui sourit amusée puis lui murmura dans le creux de l'oreille.


-Vous me connaissez, j'suis une grande impatiente, et c'est pas un... petit... abreuvoir qui va faire flancher Eglantina ! Hum ! J'ai vu pire... Mais maintenant que vous êtes là, c'est vrai qu'un coup de main est pas de refus.

Il la poussa doucement pour prendre sa place, elle sourit de ce geste et le laissa faire, puis dépoussiéra d'un geste de la main son tablier, avant de prendre son air sérieux de propriétaire.

-Alors, Messieurs vu que vous êtes aussi réveillés que des jeunes taureaux, je ne vais pas vous faire attendre pour donner mes directives... J'vois bien cet abreuvoir, ... Hum en dessous de cette fenêtre, la grande là, qui donne sur la ville, voyez ?

Elle pointa précisément le lieu du doigt, il était bien à 5 mètres, ils allaient suer, elle en était consciente.

-Évidemment, l'effort mérite réconfort, j'vous offre la tournée dès que cela est réglé... Allez allez fini la discutaille ! Au boulot !
Elle ria intérieurement, ils s'étaient désignés pour l'aider, ils allaient l'aidé !
Noria
Ha... les aventures du Chevalier Grandgousier, il y aurait, un jour probablement, de quoi écrire un livre. En tous les cas, et même si l'abreuvoir n'était pas aussi léger qu'une plume et lui-même pas aussi charpenté que Grandgousier, Noria ne put s'empêcher de rire à le description des faits tels que racontés.

- Ha ça Chevalier, je suis bien d'accord avec vous ! Et d'autant plus que l'un de vos chevaux a été navré ! Finalement ce n'est que juste prix que de disposer de cette carcasse en dédommagement des dégâts causés ! A ce propos...

Il se retourna vers Eglantina qui indiquait la destination de l'abreuvoir...

- Très bien, c'est noté Ma Mie ! Tout comme est notée la venue de la tournée dès le déplacement terminé. Mais, j'y pense... si le Chevalier Grandgousier s'est donné la peine de venir jusqu'ici avec cette carcasse, peut-être avait-il en tête quelque idée de banqueter. Donc tant qu'on y est et si c'était bien là son idée, est-ce que avec l'aide de Nayame, qu'il me semble avoir entendue vous mettriez en route quelque cuissot et ragoût ? D'autant qu'il est possible que l'un ou l'autre de ses compagnons de voyage ait gorge sèche et ventre vide ! Sans compter que Messire Grandgousier est l'un des meilleur compagnon de table que je connaisse !

Puis il se tourna vers le Chevalier en ajustant sa prise sur le bord de l'objet...

Han... !
Bien, on se le fait ce grand chambardement ?
pnj


Tout en déplaçant l'abreuvoir avec Noria, Grandgousier acquiesça à l'idée de disposer du sanglier sans plus tarder. Il aurait aimé le manger un peu plus faisandé, mais le temps était contre lui puisqu'il repartait dans la nuit avec ses compagnons de chevauchée. Finalement arrivé à l'endroit désigné, il lâcha prise et l'abreuvoir fut enfin posé.

- Voilà chose de faicte, par les sainctes couillasses de l'êveque de Genève. Reste à amener les chevaux. Mais je n'entends pas les reproches de Mandragore, est-elle absente ? Est-elle encore en vadrouille ? Et surtout, dictes-moi, qu'est devenue la gentille Perrine qui vivait à l'étage ?
Eglantina
Elle réfléchit quelques secondes... le sanglier trônait fièrement au milieu de l'entrée, heureusement la mise à mort par étranglement n'était pas sanglante, elle ne pensa donc guère à l'avenir de son parquet, quand elle entendit cuissots, ragout et autres pâtés, elle pâlit un peu.

-C'est que, oui je comprends bien que vous voulez ripailler, il n'y a aucun problème mais si vous voulez qu'on fasse quelque chose de cette bête, il nous faudra plus de temps qu'un déplacement d'abreuvoir rega'dez il n'est point dépecer... à la limite...
elle regarda Nayame en coin

A la limite, on peut cuisiner cela pour le diner de ce soir, et vous réservez une table dans un coin ou vous pourrez profiter à outrance de ce trophée de chasse, et du gabarits de ce sanglier, je peux en conclure qu'il y a assez pour plus de deux hommes, malgré le fait que j'ose imaginer vos faims. Ce que je peux vous proposez sachant que le soir n'a pas pointer son nez et que vous me semblez déjà prêt à banqueter,
elle lui sourit tendrement
c'est de vous amener deux trois cochonnailles bien de chez nous, pour vous mettre en jambe , cela vous convient ?

Elle était ravie de voir Noria, et cela se lisait dans ses yeux qui pétillaient.

Dès que le transport de l'abreuvoir fut terminé, elle allait observer un peu l'emplacement et hocha la tête satisfaite, quand grandgousier demanda des nouvelles des blondes d'Annecy, Eglantina parut un peu gênée premièrement.

-Vous touchez le point sensible, l'sieur, j'vais être porteuse de mauvaises nouvelles, j'le pense. Pour commencer de l'habitante de l'étage de l'abreuvoir, la pauvre Perrine, et bien savez que je ne l'ai pas vu fouler les pavés de la ville de ces pieds nues depuis le début de l'automne, rien de rien. Sa chambre est vide depuis. Espérons que l'hiver à épargner cette femme là...
En ce qui concerne Mandragore, elle est en vadrouille comme vous dites, mais la sorte de vadrouille ou la seule chose qu'on laisse derrière c'est des amis et des souvenirs. Depuis j'ai la garde de cette taverne là, en souvenir de cette Mandragore, qui va manquer à cette ville, soyez s'en sûr.


Elle baissa un peu la tête, s'essuya les mains sur son tablier, et sans un mot parti chercher deux cervoises dans la réserve ainsi que quelques charcuteries

-Pour vous remerciez de vos efforts messires !

Elle s'assit sur le coin de la table, comme à son habitude et observait Noria en coin
pnj
Lolarose revenait d'un long voyage qui l'avait mené jusqu'à Nimes. Ca faisait trois longues semaines qu'elle n'avait plus fouler le sol annecien. Ses amis lui avaient beaucoup manqué mais elle avait pu connaitre l'amour pendant son voyage. Elle ne regrettait pas d'être partie, oh ca non. Mais ca lui faisait du bien de retrouver sa ville natale, la ville de tous ses souvenirs. Elle décida, avant de rentrer chez elle, de se rendre à l'abrevoir moussant. Elle était à peu prés certaine d'y retrouver quelques-un de ses amis et surtout Eglantina. Son amie lui avait écrit dans une de ces lettres qu'elle était devenue la propriétaire, apprenant en même temps le départ de Mandragore. Savoir que sa Mandra de l'ombre était peut-être partie pour toujours la peiner beaucoup mais elle ne préféra pas trop y penser. Aussi ouvrit-elle la porte et franchit le seuil.
Lolarose ouvrit d'abord de grands yeux en voyant deux messires se dépetrer comme ils pouvaient pour placer un tout nouvel abrevoir puis son regard fut attiré par une damoiselle au macaron qui révassait dans son coin...


Oh ! EG! EG! Que je suis contente de te voir!

Lola déposa sa lourde besace à terre et courut se jeter dans les bras de son amie.
Oh si tu savais comme tu m'as manquée, j'ai tant de choses à te raconter!

Elle se détacha un peu d'Eg pour la regarder un peu mieux :

Mais, madame la propiétaire du fameux Abrevoir moussant, vous m'avez l'air bien en forme, même un peu rêveuse! C'est qui le coupable de toute cette rêverie? Serait-ce celui dont vous me parlez dans vos lettres? Où est-il, que je le vois de mes propres yeux!

Lola souriait, heureuse puis vit que Naya était également là :

Oh Naya! Comme je suis contente de te voir! Comme ca fait longtemps!
Je suis bien contente que tu sois toujours la taverniere! Bien qu'Eg te remplacait bien, j'aime quand c'est toi !


Lola sourit à ses deux amies et regarda alors les deux hommes qui s'épuisaient à la tâche.

Dites, les filles, c'est qui ces deux-là? Je ne crois pas encore les connaitre, des petits nouveaux?
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- Hmmmm... ces deulx là font finir par jouer du serrecropière avant Pasques, à voir comme ils se belutent...

marmonna le chevalier vert en souriant, car il avait saisit les regards que s'échangeaient les deux annéciens. Il eut une pensée pour la dame qu'il avait laissé derrière lui en partant en campagne. Il s'interrogeait toujours sur la nature de l'étrange effet qu'elle lui faisait... Contrairement aux jouvencelles qu'il croisait habituellement, en présence de cette dame l'envie de tenir conversation primait sur d'autres bien plus... primaires. Que lui arrivait-il ? Quoiqu'il en soit si sa réputation de coureur de jupons allait en pâtir, celle de dévoreur de jambons n'en serait point affectée, et son gaster se chargeait de le lui rappeler. Un grondement digne de l'éboulement du Mont Granier deux siècles auparavant monta de son ventre...

- Mortecouilles... j'en suis navré pour Mandragore et encore plus peiné pour la petite Perrine. C'était une gentille pucelle... Aarrffff... Ne pleurons pas nos amies, car c'est une grâce que nous fait la vie de nous séparer d'elles avant que la mort ne les ait séparés de nous. En tout cas j'ai grand faim. Où sont ces jambons ?
Noria
Au moment où Noria se penchait pour prendre pichets et plateau, il fut interrompu par l'arrivée d'une jeune femme, apparemment en très bons termes avec Eglantina. Puis il reprit son geste tout en regardant Eglantina toujours abcequée sur son coin de table et il lui fit un rapide clin d'oeil dans le dos de la nouvelle arrivante lorsque leurs regards se croisèrent. Saisissant les victuailles, il les attira vers lui, puis déposa une chope devant Grandgousier et lui-même avant que de poser les cochonnailles au centre de la table. Il était grand temps car il venait d'ouïr un bruit facilement reconnaissable pour qui l'avait entendu au moins une fois : l'appel de la faim chez le Chevalier vert. Ce qui le fit sourire...

- Tenez Messire, voici un petit casse-dalle, le temps que la bête soit dépecée et mise à cuire !

Puis il se pencha en avant vers son vis-à-vis, profitant de ce qu'il prenait une bonne tranche de jambon...

- Hum... dites moi cher ami, qu'avez-vous marmonné dans vostre barbe à l'instant ?
Nayame


Naya avait regardé la scène attentivement. Elle laissa faire Eg qui s'en sortait plutôt bien à vrai dire. Mandra eut bien raison de la choisir pour la remplacer. Un petit soupire en pensant à son amie, elle rejoignit Eg et Lola après avoir préparé des chopes de bière qu'elle leur tendit.

Ravie de te revoir également ma belle Lola!!!! Tu tombes à pic! T'as vu le bel abreuvoir? Tout neuf! Faudra remercier Hico!

Puis à l'attention d'Eg et dans un murmure : Ma p'tite Eg, ne crie pas ainsi la prochaine fois, tu m'as fait une peur bleue!!! Elle lui adressa un sourire puis à l'attention des hommes :

Messire Noria ravie de vous connaître enfin autrement qu'à la loterie! Et messire Grandgousier!!!...Eh bien, je dois avouer que vous avez toujours le chic pour faire vos entrées! Le jour ou vous entrerez comme tout le monde, je m'inquiéterai surement. Cela fait bien longtemps qu'on ne vous avait vu!!! Comment vous portez vous?

Et se rapellant le regard lancé par Eg elle reprit à son intention :

Euh..Eg...J'espère que tu ne comptes pas sur moi pour dépecer ce mastodonte??? Le faire cuire je veux bien mais le reste...je ne suis pas sure d'y arriver. Et ...en regardant l'animal d'un air se rapprochant du dégoût...enfin...t'as vu ça? Je ne vais pas me battre avec ça tout de même?? Son regard se posa sur Eg avec un air de désespoir? Elle espérait grandement que cette tache soit donnée à quelqu'un d'autre. Tu pourrais demandé cela à un de nos amis boucher, ils seront bien plus doués que moi.
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