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[RP] Le Lac d'Annecy (réouvre ses portes)

Hico
Voix OFF:
Ahh...Le Lac d'Annecy...Ses plages, ses embarcations, ses poissons, ses pêcheurs, ses filles nues sur la plage ou sur ses embracations en train de regarder les pêcheurs...

Comme vous l'avez deviné, le Lac d'Annecy réouvre ses portes, ce RP est pour tous, y compris les voyageurs. Alors amusez vous bien


Hico se promenait sur les bords du lac d'Annecy. Ce long serpent aqueux et sinueux des montagnes, ce Lac qui donnait à Annecy son humidité très douce et qui donnait en été cette impression de "ni trop chaud ni trop froid" Mais qui en hiver donnait un froid humide qui traverse les vêtements. Ce lac, qui du haut de la Forclaz ou de la Tournette, était un grand bassin, un bassin magnifique.
Kinette
Kinette avait cette habitude de se promener au bord du lac et de s'arrêter sur le bord, pour penser...
Elle avait bravé la fraicheur matinale et était venue admirer le lever du jour...

Elle resta un long moment songeuse.
Titca
Malgrée la neige et le froid Titca, Achille et Lyes avait décider de se rendre au lac d'Annecy fallait dire que les trois nouveau Savoyard aimait l'eau, oh bien sur la mer était un endroit bien plus rêver que le lac surtout en ce froid d'hivers mais parfois il fallait prendre un peu l'air ! Mare des remparts, mare du jardin.

Allons les enfants ne trainer pas... Bien au chaud sous sa cape, Titca regarda derrière elle voyant ses enfants faire les fous avec leurs épée en bois, la jeune femme tapota du pied presser de revoir un peu d'eau.

On zarrive maman. Ronchonna Lyes en courant derrière sa mère suivit de très près par Achille.

La petite famille arriva enfin au bord du lac et resta bouche bée devant la beauté du lieux, ce paysage coupait le souffle, trouvent une place proche de l'eau Titca y déposa une couverture et prit place sortent un livre et quelques parchemins pendant que ses enfants courait de gauche à droite, mais la paix ne fut que de très courte durée.

Maman, maman... on peu toucher le minivous ? Demanda Achille au coter de Lyes leurs yeux poser sur son ventre.

Titca souriante et amusée du comportement de ses enfants accepta sans râler et voici comme soudainement deux mains tapotaient son ventre, parlent avec minious ses frères semblait ravie.

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Isomer
En ces jours d'hiver une bonne partie du lac était gelé par le froid, il y avait encore pas mal de neige mais la journée était belle, un ciel bleu avec un soleil radieux, réchauffait le visage contre le froid et les cœurs après les mauvais jours...

Iso avançait les mains dans les poches lentement sur le sentier qui bordait le lac, trainant les pieds et tapant dans tout les cailloux qui se portaient a lui.
De temps en temps il se baissait pour ramasser le bout de bois que son chien lui avait ramener et le lançais dans l'herbe encore recouverte de neige... Celui-ci était content de refaire des promenades, il faut dire que ces derniers temps Iso l'avait un peu délaissé...

L'air songeur, le regard sans expression il suivait son chemin sans un mot. Devant lui, au loin, Dame Titca et ses enfants... Iso repensa à son sac de noix, il en saisi une, la cassa puis la mangea.

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-Isomer d'Amour, le golden écureuil d'Annecy !
-Frère de Frisk0, neveu de Chitoss et cousin de Tziira
Kinette
Kinette allait reprendre la route et naturellement avant de partir, elle était venue se recueillir au bord du lac.
Elle pensait à son long voyage et même l'idée de reprendre la route à deux, ne la laissait pas sereine.
Elle soupira et emporta son baluchon dans un dernier regard sur ce lac magnifique.
Corenn
Cela faisait presque une semaine que Corenn était arrivée à Annecy.
Elle avait visité quelques tavernes, rencontré des habitants, mais elle avait surtout travaillé.
Elle était exténuée, n’avait pas beaucoup d’argent et n’avait donc pu manger tous les jours, ce qui lui valait une apparence squelettique.

Par une matinée particulièrement ensoleillée, Corenn sortit de sa misérable bicoque.
Elle parcouru les ruelles passant devant diverses échoppes aux étalages affriolants.
Elle arriva à la sortie de la ville et aperçu un sentier. Elle décida de le suivre pressée de découvrir de nouvelles merveilles.

Le sentier traversait une petite forêt. Corenn s’y engagea en chantonnant un air guilleret.
Au fur et à mesure qu’elle s’enfonçait dans l’ombre des arbres, Corenn s’émerveillait de la beauté que pouvait receler ces lieux.

Après quelques décimes de marche, la vue se dégagea peu à peu , les branches des arbres laissant apparaître un magnifique Lac.


"C’est donc cela, le Lac d’Annecy !" se dit-elle admirative de la splendeur du paysage.

Elle se promena sur les bords du Lac jusqu’à trouver un coin d’herbe .
Elle glissa ses orteils dans les brins d’herbe, ferma les yeux, et essaya d‘entendre le son des brins se frottant contre ses pieds. Elle adorait cette sensation.
Puis elle s’allongea , pris une grande bouffée d’air frais et regarda les nuages essayant de deviner les formes qu’ils pouvaient dessiner dans le bleu du ciel.
Elle se sentait détendue, libre et se laissa emportée par la musique de la nature… les chants d’oiseaux… le bruissements des feuilles chatouillées par le vent… les clapotis de l’eau.
C’était la plus belle chanson qui lui avait été donné d’entendre .

Ce lieu si paisible deviendrai son lieu de méditation.
Titca
Des son retours de Paris Titca ne passa même pas à la maison, elle n'aurait jamais dû entrer dans ce château encore moins entrer dans son bureau, cette conversation l'avait achever, d'ailleurs la jeune femme ne savait absolument pas comment son cheval avait retrouvée le chemin du retour, surement pas grâce à elle qui était perdue dans ses pensées, une fois au bord du lac, la jeune femme mit le pied à terre et tomba assise sur le sol.

Non mais...non... Comme tout le long du trajet elle avait marmonner, ronchonner, râler et tournée la conversation, mais si tout cela était bien réel.

Un jour viendrai ou elle le tuerai son papy, elle allait lui faire une crise qui provoquerait sa mort ''demain'' avait-il dit ! Oui mais malgré le froid, la nuit, Titca avait décider de dormir quand même au près de Jacou seulement voila le voyage avait durée toute la nuit et au petit matin, la jeune femme n'avait toujours pas l'air fatiguée.


...ket ket ket.Même en breton les mots ne semblait pas vraiment réel, ferment les yeux elle ce coucha et regarda le ciel, peut être que tout rependrait sa place demain, de toute façon elle devait retournée à Paris, retrouver le château, le donjon, le bureau et son papy. doucement la jeune femme se redressa et rentra chez elle en trainent les pattes, Jacou saurait surement comment réagir...
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Quich
Quich arriva sur les berges. Inspirant un grand bol d'air, il s'assit sur l'herbe, les jambes croisées. Belle journée pour un repas en plein air...
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Quich, en l'état de Jardinier
Majoli
Majoli se rappela que Quich devait l'attendre au lac aujourd'hui... Elle avait été retenue ailleurs et s'en voulait un peu... Elle espérait qu'il soit toujours là... Elle se rendit prestement sur les rives du lac et le vit au loin. Elle en était heureuse...

Il avait l'air calme et concentré... Elle s'approcha doucement sans se faire remarquer... arriva derrière lui... et lui mit les mains sur les yeux...


Devine qui est là ? lui dit-elle.
Jezabel


A l'aube naissance, le chariot conduit par Simeon s'ébranla aux portes d'Annecy. La Vicomtesse était à ses côtés, aux aguets, afin de parer à toute éventualité.
Ils empruntèrent la rue Notre Dame, puis bifurquèrent rue Royale et déposèrent le précieux chargement sur le terrain qui accueillait jadis son élevage porcin. Elle jeta un coup d'oeil furtif à la bâtisse... Cela faisait un mois qu'il était parti. Jézabel leva les yeux vers Simeon.


Va donc te reposer à la maison. J'irai trouver les enfants... plus tard.

Tirant sur les rênes, la jeune femme fit faire demi-tour à Eole et rebroussa chemin. Au pas, ils sortirent de la ville, direction le lac d'Annecy. La Vicomtesse était toute à ses pensées, la tête basse... On aurait pu la prendre pour une vieille dame tant son dos était courbé.
Annecy bénéficiait de belles enceintes fortifiées, elle se demandait bien qui en avait été le maitre d'oeuvre. Route de Genève... Elle soupira longuement, et descendit de monture à la lisière de la forêt.


Temps pour toi d'avoir un peu de répit, je t'ai fait joyeusement gambader pendant des jours...

Elle caressa le museau de son ami à quatre jambes, puis gratifia l'animal de grattouilles de la nuque au garrot, passant ses doigts gantés dans la crinière du cheval qui se mouvait sur son encolure. Qu'étaient devenu les patous? Et les chevaux qu'on leur avait offert le jour de leur mariage? Sans doute laissés au bon soin des domestiques de Thonon. Elle emmènerait les chiens à Séez, ils y seraient heureux à courir dans les alpages à surveiller les moutons. Les poneys? Peut-être pour les enfants, à moins qu'ils ne restent la-bas, pour la descendance de Neottie. Il faudrait qu'elle lui en parle, à l'occasion...

La neige crissait sous ses pieds, elle sourit, se rappelant de doux moments en compagnie de son époux. Etonnant comme elle passait de la colère à la nostalgie en un instant. Toujours ce même petit lacet, et elle déboucha devant le lac. La beauté du spectacle était à couper le souffle. La sinueuse étendue d'eau flamboyait de mille feux, l'astre naissant se frayant un chemin entre les monts qui la bordait. Elle remarqua au loin quelques barques, certains pêcheurs étaient déjà à pied d'oeuvre pour ramener sur le marché quelques carpes bien dodues, pour le plus grand bonheur des étudiants.

Jézabel lâcha les rênes d'Eole afin de lui offrir un moment de liberté, l'alezan partit à la recherche d'un peu d'herbe... sans doute encore bien cachée sous la fine couche de neige. La Vicomtesse poussa la neige d'un tronc d'arbre du revers de la main puis s'y assit, contemplant les vaguelettes créées par la petite bise qui soufflait. Le printemps était arrivé dans les coeurs, mais il y avait encore du chemin à faire avant de pouvoir laisser de côté les manteaux de peau.
Titca


L'astre solaire ce couchait lentement derrière les montages du lac d'Annecy, petite ville ou Titca était arrivée quelques mois plutôt avec comme seul possession une miche de pain et du courage, beaucoup de courage à vrais dire pour traverser le royaume de France au grand complet seule et sans véritable escorte, pourtant ce jour là à Annecy c'était une jeune heureuse et vivante, une gamine au air de petite fille trop gâtée espiègle et profitent de chaque moment de la vie comme le plus beau des cadeaux, perdue avec un seul ami mais tellement heureuse d'être vivante.

Aujourd'hui une toute autre femme longeait les bord du lac, le visage sans grand expression, le regard perdu sur l'eau qui bougeait doucement au rythme de vent , Titca trainait les pieds doucement semblent ce soucier de personnes, perdue dans son monde compliquée, enfermée dans une carapace crée il y à longtemps à Orléans.

C'est environs à cette époque là que tout c'était effondrée dans sa vie, une jeunesse rose et dorée une famille aimante et solide, Koran son oncle, un père, un mentor, un ami... quand tout allait mal, tout deux prenait le temps de marcher au bord de l'eau en racontent des histoires sur les courageux marins ou sur Villian le père de Titca mort trop tôt, beaucoup trop tôt.

En ce jour de mars, tout les mots semblait retombée sur Titca dans un grand et énorme flot de tristesse. Plongent doucement la main dans l'eau, la jeune femme ferma les yeux à ce jour une personne lui manquait pas dessus tout au monde, son frère. Celui-ci était grand, blond - quand on savait ses deux parents brun on pouvait ce poser quelques questions.- Adorable et protecteur, mais mort ou du moins disparut depuis des années, quand leurs famille éclata et que trois enfants qui ne demandait rien de la vie furent envoyer au quartes coins du Royaume de France.

Sortent sa main de l'eau glacée elle secoua la tête et regarda l'horizon, la colère et la peur était présente dans son coeur, mais le plus fort de tout ses sentiment était surement là tristesse, pourquoi avait-elle réagit ainsi ?! Parce que elle l'aimait sans nul doute, non pas comme un amour vrais et pure Jacouillet passerait toujours avent tout les autres, mais parce que elle avait en ''lui'' retrouvée une partie de Eno... Aurait-elle le courage de lui dire ? surement pas ! Pourtant il le fallait avent de le perde complètement avent de voir leurs amitié d'envolé comme des cendres après un terrible incendie, oui....elle devait lui parler... Mais ''lui'' honora t'il vraiment ses promesse Hico lui en avait faites aussi et il as fini par ce donner la mort plutôt que de tenir ... paroles.

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Alek_le_croise


Depuis son arrivée ici, Alek avait pu revoir une vieille amie, dont depuis un bout de temps, il n'avait pas eu de nouvelles. Enfin cela devait plutôt être de sa faute mais bon, il l'avait enfin retrouvé et espérait ne pas gâcher cette amitié.
Bientôt, il devrait partir, laisser son amie, repartir et il n'avait toujours pas vu le lac, ce lac qu'il venait voir avec tant d'impatience, mais il n'avait pas eu l'occasion de se déplacer de l'autre coté de la ville.

Maintenant, voyant le soleil se coucher, et après avoir reçu les indications de Tit, il courut vers le lac, en arrivant au coin que lui avait préciser cette dernière, il s'assit sur un rocher le soleil se couchant au dessus des montagne reflétait sur l'eau. L'endroit etait magnifique, il resta pensif en regardant le reflet du soleil.

Il resta quelques minutes a se rappeler et a se questionner sur ce qui s'était passé pourquoi il avait commencer ce voyage, ce que devenait ses amis, qu'allait il devenir? il chassât ces idées, et se rappela la joie de retrouver son amie d'Orléans et de découvrir sa nouvelle vie et ses nouveaux amis, ainsi que la joie de savoir qu'elle allait se marier.

Mais bon une chose, plus importante, lui redonnant moins le sourire, il regarda l'eau et se rappela la mare de tisane "Notre lac" il repensait a elle qui ne voulait pas qu'ils partent, a elle qu'il avait laisser en espérant qu'elle l'attendrait. Cette meme personne qui n'avait pas répondu a son pigeon, avait elle les memes sentiments que lui. Il regardait le lac, le soleil s'etait couché, les larmes lui coulaient discretement. Du moins il esperait, et pour en etre sur, il y retournera. A Dié, une Armée, une capitaine, a Dié!!!!!
Il se releva sur cette pensée, sortit son épée et gravit son nom sur un rocher comme elle l'avait fait pour lui dans la taverne.
"Antlia"
Precye_
La jeune femme vint traîner ses pieds jusqu'au bord du lac, qui était en somme tout aussi magnifique que le lac de Genève et attrappa des cailloux qu'elle s'amusa à faire rebondir sur l'eau lisse et plate du lac.
Elle était arrivée depuis quelques jours et ne cessait de penser à son amour de lieutenant et à ses enfants qui lui manquaient énormément.

Elle repensa à tout ce qui s'était passé ces derniers jours....mais elle était une battante et ne s'en laisserait pas compter...Persévérante elle était, et elle le resterait.....

Elle huma délicieusement l'air de ses montagnes chéries et repartit d'un pas tranquille vers la taverne de l'abreuvoir....Son amour serait là à son réveil le lendemain......
Precye_


Ce soir-là, c'est tendrement enlacée contre l'homme de sa vie, Powerjeff, que Precye se promenait aux abords du lac.
Ils profitaient des derniers rayons de soleil pour partager ce moment avant d'aller à l'Abreuvoir Moussant se restaurer et se coucher pour d'intenses retrouvailles.....
Ils n'arrêtaient pas de discuter, son amour de lieutenant lui racontait les dernières nouvelles en provenance de Genève et n'arrêtait pas de lui susurrer à l'oreille qu'elle était encore plus jolie qu'auparavant avec sa nouvelle coupe blonde.

La jeune femme était ravie de le revoir enfin, il lui avait tellement manqué ces derniers jours. Ils n'arrêtaient pas de se regarder et de s'embrasser et c'est d'un commun accord qu'ils abrégèrent la promenade pour rentrer à la taverne.
Liloudu33
Citation:
Seule sur la plage,
Les yeux dans l'eau,
Son rêve était trop beau ...


Lilou était arrivé à Annecy, seule ... Où était-il? Personne n'avait su la renseigner.

Ses enfants étaient à Yenne, la Baronnie reprenait ses couleurs, ses saveurs, ses odeurs : elle reprenait vie en somme!

Mais, Lilou était venue sur Annecy pour le travail et pour surveiller la parcelle de terre qu'elle avait achetée dans cette ville. Elle comptait acheter une petite demeure sur les hauteurs du lac certainement ... Enfin, elle aurait le temps d'y réfléchir plus tard...

Elle voulait voir le lac. L'eau la reposait, l'aider à réfléchir, le calme et la tranquillité du lieu voilà ce dont elle avait besoin.

Elle se promena longtemps le long de la rive avant de trouver le lieu idéal : une petite plage entourée d’arbre et d’arbuste à l’abri des regards. La fonte des neiges, qui avait commençait depuis quelques temps, avait gonflé le lac : c'était un magnifique endroit !

Elle joua comme une enfant à faire des ricochés sur la surface de l'eau grâce à des pierres plates. La jeune baronne profitait, sans escorte, sans gardes, sans personne simplement la solitude, le lac, elle et malheureusement ses pensées!

Maudites, Maudites pensées qui l'assaillaient ...
Elle pensait, pensait beaucoup trop ...
Cette colère, il fallait qu'elle sorte ...

Un cri, un cri commençait à naitre dans son ventre. Plus il remontait vers ses lèvres rouges et pulpeuses plus il prenait de la puissance, il se chargeait de sa colère, de ses craintes, de ses angoisses ...

Il arrive ...
Il vient ...
Il sort ...
Un AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH qui la laissa essoufflée et tremblante, puis un rire nerveux qui laissa la place à des larmes.

Il fallait la comprendre, elle reposait ses valises sur cette terre avec de nouveau projet, un avenir qui recommençait à se tracer. Et, elle devait affronter tout cela.

En fait, non, reposer ses valises n'avaient pas été si difficile c'était ce qui l'avait fait revenir ici qui était le plus difficile à gérer!

Ho ca oui, elle l'aimait! Elle n’aurait jamais pu faire cela si elle ne l'aimait pas ...

Elle attrapa son épée et se mit à se battre contre un ennemi imaginaire tout en lui parlant. Si quelqu'un l'avait vu à ce moment là, il l'aurait certainement pris pour une folle ... Mais rien ne lui importait sauf de soulager son cœur et son esprit. Elle se lança dans un corps à corps comme lors d'un de ses entrainements quotidiens, la parole en plus ...


- Comment oses- tu ... Comment oses- tu me considérer comme la dernière des potiches! Je suis la, j'existe ... Prends moi en considération ... Sinon…

Demi tour, arme levée, pied en avant, esquive, légèreté, habilité, défense ...

- Quoi ... Tu veux que cela fonctionne ... Alors regarde moi, et prend toute la mesure de ses mots, je ne suis pas n'importe qui, n'importe qu'elle gourde que tu aurais pu mettre dans ton lit…


Ecart à droite, esquive à gauche, elle planta sa lame dans un morceau de bois échoué sur la rive et cria une nouvelle fois.

- JE SUIS LILOU, LILOU BATARDE DE MONTMAYEUR FILLE D'UN DUC ET D'UNE CATIN, JE SUIS MOI ET PERSONNE NE CHANGERA CELA ...

Elle tomba à genoux, les yeux brillant, une nouvelle étoile venait d’apparaitre dans ses yeux depuis si longtemps éteins.

- Et je suis amoureuse de toi …

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