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[RP] La chaumière d'Angelique et Philivert

--Bapounet


"Bapounet....gentil Bapounet.....viens mon mignon..".

Le petit gourmand machait avec délectation la douce truffe qu'au prix de gros efforts, il avait réussi à atteindre quand une voix se fit entendre le faisant tressaillir. Les yeux en bouton de bottine se dirigèrent vers l'homme sans que Bapounet ne cesse de macher... Inconscient qu'il était d'être le but d'une course, le porcelet ne comprenait pas le danger...


"Regarde Bapounet la belle pomme.. c'est très bon les pommes, viens goûter la bonne pomme Bapounet"


Bapounet huma un instant le parfum du fruit présenté, mais il restait encore un peu de son trésor à avaler, aussi surveillant toujours du coin de l'oeil le Tribun, il continua de se goinfrer.

"WHAAAA"


" - Gruiiiikkkkkkkk ! GRUIIIIKKKKK !! GRUIK !! GRUIK !!"


L'homme avait plongé, affolant le jeune verrat qui bien entendu bondit en avant pour lui échapper, pas assez vite pourtant.


"Je le tiens, ouiiii"

Avec un cri de triomphe, Philivert réussit à atteindre une de ses pattes arrière ; la graisse aidant après une vigoureuse contorsion, Bapounet s'échappa affolé, laissant là les restes de sa ripaille. Petit galop et il contourna le chêne, rejoignant à toute vitesse la venelle au grand dam du malchanceux.

Dans sa tête de cochon, Bapounet se demandait qu'elle mouche avait piqué cet homme au point qu'il lui en veuille ainsi. Après un moment de course paniquée, il huma l'air...


" - Grrrommpffffff, grommmppf..."


Un nouveau fumet vint lui chatouiller les narines et le porcelet, groin au ras du sol reprit son chemin prestement.


Philivert
Rogoudieuuu, m'le paiera ce cochon

Philivert dépité essuya du revers de la main la boue qui l'empêchait de voir par où s'était enfoui Bapounet. Une apparition, un Ange se tenait devant lui en riant. En apercevant son épouse adorée il oublia sa colère et même Bapounet. Il prit la main que lui tendait Angélique et se laissa entrainé vers leur chaumière.

Angélique lui avait préparé un baquet d'eau chaude pour qu'il se débarrasse de cette boue
. "Ange, mon amour, veux tu m'aider à enlever mes vêtements"

Philivert ne regretta pas d'avoir loupé Bapounet et profita pleinement de ce moment de détente.
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Philivert
Philivert tout propre tout beau se dit qu'il était temps de retrouver le cochon. C'était une affair d'honneur maintenant entre lui et Bapounet.

Il embrassa tendrement Angélique en lui murmurant : je t'aime mon coeur, je reviens vite, et fit un bisou à son petit Valentin.


Et il partit à la recherche du porcelet.
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Philivert
Philivert revenait de sa promenade au bord de la Gélise. Il avait fait son choix et savait quel candidat il soutiendrait.

Il entra chez lui et la chaleur de la pièce lui fit oublier toutes ses pensées. Le chat Grisdoux confortablement installé sur un coussin faisait une sieste près de la cheminée.

Il pris Angélique dans ses bras et l'embrassa tendrement, l'amour de son épouse l'inondait de paix et de sérénité, il ne pourrait jamais s'en passer.

Puis il pris Valentin sur ses genoux et entreprit un concours de grimace avec lui. Ils éclatèrent de rire tous les deux.

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Philivert
A force de rire, fatigué, Valentin ferma les yeux et s'endormit aussitôt comme savent le faire les enfants. Philivert le posa doucement dans son berceau et l'observa un moment, amusé devant ce sommeil et se demandant à quoi il pouvait rêver.

Il s'en revint près d'Angélique qui posa sa tête sur son épaule.



Angélique la vie près de toi coule sereine comme une rivière dans la campagne. Elle prend sa source au profond de nos cœurs et distille un bonheur calme et puissant comme son cours. Baignons nous dans cette onde et je boirai des perles de vie sur ton corps. Elle nous enveloppera dans son manteau d'argent et nous pourrons nous laisser flotter sur le courant du désir. Puis sur sa berge, bercés par son murmure, nous nous endormirons l'un contre l'autre, la tête dans les étoiles et nos âmes mains dans la main continueront cette danse au pays des rêves. Je t'aime.

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Philivert
Philivert pris Valentin et le posa sur ses épaules.

Aller mon bonhomme, allons faire une promenade pendant que le ciel est clément.
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Lyngwen
Quinze long jour c'etait ecouler, quinze long jour ou lyly vit eauze s'ecoulait, quinze long jour a pleurer... Lyngwen de sa maison regardait un parchemin, elle n'arrivait pas a ce faire a cette idée, elle ne pouvait leurs ecrire elle penser a phil a angelique a valentin, comme leurs annoncer la nouvelle.Elle ne sait plus qui elle etait, etait t-elle un pantin de bois a qui on tire les ficelles pour la faire mouvoir dans le decor. Elle etait vulnerable, elle le savait. Elle ne demandait qu'une chose redevenir lyly, mais etait ce possible? l'abandon, la soliude la faisait souffrir, trop de pression trop d'epreuve. Plus les jour passaient puis lyly, ce disait il m'as abandonner, il ne reviendras pas. Plus elle se disait il faut que tu vive et non que tu survive, n'etait ce pas le message qu'on avait voulut lui faire passer hier. Elle pensait a cette homme qui n'avait pas profiter de sa faiblesse, et a se donneur de doute qui lui profiter des occasions pour attraper les femmes dans son filet. Elle se decidat enfin pris un parchemin et sa plume et ecrivit

Citation:

Phil, angelique, valentin

Il est difficile pour moi de vous ecrire, voila depuis le 23 je n'ai plus aucune nouvelle de bayard. Je ne sais pas ce qu'il s'est passer, son dernier courrier, relater son bonheur d'etre prés de moi, je ne sais si je doit esperer un retour. Je ne connaissaient pas tous les amis de bayard, juste vous. Phil si tu connait de ses amis peu tu leur annoncer sa disparition, je ne peu dire "mort" car est ce le cas?

Lyngwen


Puis elle l'accrochat a la patte de son pigeon et le fit s'envoler
Philivert
Philivert aussi avait constaté la disparition de son ami Bayard et la lettre de Lyngwen l'émut profondément.

Il lui répondit aussitôt:

Citation:
Ma chère Lyng,

J'avais constaté aussi la disparation de Bayard, Disparition soudaine et incompréhensible car je sais qu'il est très épris de toi, ses poèmes en sont une preuve certaine.
Mais attendons Lyng encore quelques temps, tant que le messager d'Aristote ne nous annonce pas sa fin, il y a un espoir de le voir revenir.
Notre demeure est grande ouverte et tu peux venir chercher du réconfort et de l'amitié chez nous à tous moments.

Nous t'embrassons

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Philivert
Philivert n'était plus charpentier mais il avait garder ses outils; il avait donc confectionné un petit charriot à roulettes pour promené sans peine Valentin qui commençait à devenir bien lourd.

Il avait entendu dire que des œufs étaient cachés dans le village, le soleil brillait, quoi de plus réjouissant que de satisfaire à la tradition et d'aller à la chasse aux œufs. Il installa Valentin dans le petit charriot.


"Aller mon p'tit bonhomme on va essayé de dénicher quelques oeufs"

Et ils s'en furent dans les rues de la ville.
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Philivert
Ils avaient déambulé dans tout le village, fouillé dans maints endroits, mais d'oeufs point. Ils étaient revenus éreintés de cette journée, les joues rosies par le doux soleil de printemps.

Philivert avait donné à manger à Valentin, celui ci avait englouti son repas avec voracité. Grisdoux aussi avait eu droit à un petit morceau de lard et un peu de lait frais.

La fatigue se faisait sentir, Valentin baillait tant qu'il pouvait et ses petits yeux se fermaient. Il l'installa dans son berceau et Valentin s'endormit de suite tenant son lapin contre lui.

Philivert s'installa dans un fauteuil, Grisdoux monta sur ses genoux et se coucha en ronronnant.

Le ronronnement du chat, le vacillement de la flamme des bougies le plongèrent dans un demi sommeil..... Angélique était là, illuminant ses rêves.....

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Yopyop
C'est marchant tranquillement que le jeune couple parcourut le chemin entre la boulangerie et la maison de leurs amis. Ils profitaient de ce moment de tranquillité pour déambuler dans les rues d'Eauze la belle. Il était si agréable de passer quelques moments ainsi en famille, profitant de la douce chaleur du soleil printanier, de l'éveil de la nature, des senteurs dégagées par les arbres et fleurs, du bruit des oiseaux... Cae et Yop, se tenant par le bras ne manquaient pas de montrer et d'apprendre à leurs deux trésors le nom des plantes, leurs vertus pour soigner ou simplement se nourrir ou juste décorer la maison. Les deux enfants écoutaient toujours intéressés d'apprendre et de savoir.

Mais arrivant devant chez Phil, ils prirent leur air sérieux et se précipitant devant la porte, une dispute éclata entre Joffrey et Aliénor :
Moi ! Non, Moi, ... Répétaient ils chacun de leur voix forte et criarde. Cessez immédiatement ce vacarme ! Leur ordonna Yop. Vous allez frapper ensemble chez messire Philivert, cela évitera les jalousies. De plus avec vos cris, vous allez effrayer Valentin et Grisdoux ! Ce sont alors quatre petites mains qui frappèrent avec sérieux et application sur la porte. Espérons que quelqu'un les entendent...
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Philivert
Philivert passait de doux moments avec Angélique, ils plaisantaient, regardaient leur enfant avec tendresse, faisaient des projets....soudain il entendit quelques bruits....Angélique commença à vaciller.....Il essaya de lui prendre la main mais n'attrapa que du vide... l'angoisse l'assaillit.. ANGELIQUE NE PARS PAS.....mais Angelique disparaissait petit à petit....NON ANGE REVIENS....déjà Angélique n'était plus là... JE T'AIME......

Philivert ouvrit les yeux. Un rêve, bien sûr, il ne rêvait que d'elle. Il entendit de nouveaux des coups. Quelqu'un frappait à l'huis. Il s'était endormi dans le fauteuil, Grisdoux était toujours sur ses genoux, il le posa par terre, essuya son visage plein de sueur.Il alla voir Valentin qui dormait encore profondément, sourit en le voyant si calme, il avait son pouce dans la bouche, les autres doigts tenaient l'oreille de son lapin serrée contre sa joue, il était si attendrissant.


Puis il se dirigea vers la porte en essayant de faire disparaitre son angoisse derrière un masque d'homme serein.

Il ouvrit la porte et sourit en voyant Aliénor et Joffrey tout excités tentant d'apercevoir derrière ses jambes le chat.
Bonjour les enfants, il les souleva chacun leur tour pour les embrasser et les laissa courir après Grisdoux.

Caerellyn, Yopyop, quel plaisir de vous voir, entrez.
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Caerellyn
Leur père eut tôt fait de remettre de l'ordre dans ce vacarme.

A mi-voix, elle gronda aussi


Voyons, vous allez réveiller le petit Valentin.....

La porte s'ouvrit et Phil lui parut plus pâle qu'à l'accoutumée.

Elle allait s'avancer pour l'embrasser quand les deux garnement, pressés d'aller voir le jeune enfant et Grisdoux, filèrent entre les jambes de leur ami, les déstabilisant quelque peu. Elle ouvrit la bouche, toute prête à gronder de nouveau, puis la referma. Elle jeta un regard en direction de son époux, regard complice et un tantinet désespéré........Ils étaient si plein de vie. Elle soupira en souriant.


Phil, comment vas-tu? Elle put enfin l'embrasser avec affection.

Tu as l'air fatigué, Valentin te poserait-il quelques soucis de santé?

Elle lui murmura à l'oreille en agrippant la main de Yop

Mènes-nous vite le voir, il change si vite à son âge, j'avoue que j'ai grande hâte moi aussi de l'embrasser.


Faisant fi de toute politesse, comme les enfants, elle entraîna les deux hommes vers l'intérieur de la maison.
Philivert
Philivert embrassa sa Marraine et serra la main de Yopyop, il eut à peine le temps de les prier d'entrer que déjà Cae se précipitait vers le berceau de Valentin. Il accompagna ses amis près du berceau où Valentin dormait paisiblement.

Regarde comme il va bien, un vrai petit ange, il ne devrait pas tarder à se réveiller. En attendant prenez place je vais vous préparez une tisane, et pour vous les enfants du lait chaud.

Philivert alla préparer les boissons. Il revint et servit ses invités.

J'ai appris une triste nouvelle ce matin, mon ami Bayard n'est plus. C'était un homme brave et généreux avec lequel j'ai passé des moments inoubliables. Qu'Aristote veille sur son âme.

Ouinn, Ouinnnnn.. Oh Valentin se réveille.

Philivert alla le sortir de son berceau et le bébé cessa de pleurer. Il le déposé dans les bras de Cae, charmeur Valentin tenta des sourires pour l'attendrir.

Je reviens de suite je vais lui préparer son biberon.
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Caerellyn
Elle tendit les bras, souriante.

Le bonjour petite étoile! ainsi tu as grande faim? Par Aristote, tu grandis bien trop vite.........que tu es beau.

Elle déposa un léger baiser sur son crâne duveteux, puis sur ses mains qui jouaient dans ses cheveux.

Les enfants s'étaient approché, leurs petites mains croisées derrière le dos.

Vous pouvez l'embrasser très doucement si Philivert le permet..

D'une seule voix ils quémandèrent:

Zon peut lui donner zun baizer?

Elle éclata de rire en cherchant à croiser les yeux de son ami.

Ce qu'elle y lut lui fit baisser la tête, une profonde tristesse l'envahit.
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