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[RP] Singulière invasion

Les Cotereaux
On avait relâché les hyènes, les vraies. Dans ce branle-bas de combat point organisé, les soldats semblaient désorientés mais quelques uns déjà, pommeau au poing, heaumes et salades de travers, en découdaient déjà avec la meute à quatres pattes. Très vite, les animaux se dispersèrent, fuyant sous les coups meurtriers des épées, ou fonçant droit dans l'action, les crocs découverts, salivant à qui mieux mieux.

Encore et toujours, tout se déroulait sans le moindre cafouillis qui aurait pu compromettre quoi que ce soit.

On observa les petits groupes se former autour d'officiers qui criardaient dans la nuit. On se mit en place, cordes se tendirent. Le signal fut attendu.

Le ciel laissa zébrer quelques éclairs, continuant à asperger doucement la pierre, le bois, la terre, métamorphosant certains en surfaces glissantes, d'autres en boues gluantes.

Dans l'indescriptible bazar , au travers fumée et cris, le clairon trompetta à nouveau. Des flèches fusèrent de toutes parts, des créneaux, des tours, des bâtiments, des recoins de la cour. De courts poignards furent tirés de leur ceinture et tranchèrent à maintes reprises. Pris à même les réserves savoyardes, de lourdes barriques furent ouvertes du haut des remparts. Un déluge s'ajouta à la pluie alors que l'eau contenue dans les tonneaux se déversaient sans vergogne. Les flèches atteignirent leurs cibles, transperçant les sacs de paille et de farine, suspendus en hauteur qui laisserent tomber une neige plutôt particulière. Sans compter les énormes sacs de jutes éventrées qui laissèrent échapper des plumes diverses sur les officiers, cibles privilégiées. Au final, un peu en retard, comme imprévu au plan, les chevaux furent relâchés au fond des écuries en direction de ladite cour en pagaille. Piqués aux flancs, les équidés galopèrent en désordre, manquant percuter les soldats en maintes occasions.

Et comme si ce n'eût pas été assez, de l'ombre sortirent les maîtres du capharnaüm. Tout de noir vêtus, ils restaient difficiles à distinguer mais à la lueur des zébrures lumineuses du firmament, on peut entrapercevoir leurs rapières, leurs épées et autres outillages tranchants. Leurs cris fusèrent, mi-coyotes, mi-hyènes, comme une horde d'hommes sauvages. De leurs gorges ils poussèrent moults ricanements sadiques et discordants, à la manière d'horribles démons. Ils s'engagèrent dans les couloirs, dans la cour, se fondant un instant dans l'ombre, se montrant aux yeux le moment d'après.

Tous avaient un but précis. S'approcher des officiers et leur en faire voir de toutes les couleurs, et même plus.

Ils franchirent le chaos à toutes jambes, comme entraînés à la situation. Quelques petites grappes d'obscurs personnages se formèrent. L'une d'entre elle se rapprocha de Grangousier et ceux qui tentaient de s'orienter autour de lui. Vifs comme pas possible, les agitateurs attaquèrent de partout, à dextre ou à senestre, dans des attaques bien orchestrées, les armes frappant boucliers, choquant contre leurs vis-à-vis de leur ennemis. Même scénario se reproduit envers Quorum, Xarius et tout autre officier accompagné par sa petite troupe de soldats.

Du côté des lices, un groupuscule d'individus ténébreux s'insinuèrent sous le couvert de la nuit vers ceux qui tentaient de se procurer des arcs. Leurs ordres étaient on ne peut plus clair; Ils devaient séparer la Régente et Capitaine du reste des troupes qui pourraient l'accompagner. Telles étaient les paroles du chef, qui s'occuperait probablement d'elle personnellement... très probablement. Les assaillants fondirent sur leurs proies en poussant leurs affreux hurlements, obligeant ceux qui se munissaient d'arcs à les délaisser pour prendre des armes de corps à corps, ou bien, en désespoir de cause, la fuite...

/HRP Je tiens à préciser qu'aucun des personnages non-joueurs de mon crû ne pourront être blessés ou tués par autre que mon bon vouloir. Battez-vous contre eux, mais sachez qu'ils ne menaceront pas votre vie, et que, de même, vous ne pourrez menacer la leur. Merci.
lavava
Lav qui ne dormait pas depuis la mort de mahaut avait décidé de quitter un peu la mairie pour se réfugier là où elle se sentait le mieux. Couchée sur sa paillasse elle fixait le plafond, incapable de fermer les yeux quand un bruit qu'elle exécrait, celui du clairon, finit de l'énerver. S'en suivit un vacarme assourdissant. Tout ceci ne présageait rien de bon. Elle sauta dans ses chausses, attrapa son bâton et son bouclier et courrut dans les couloir enfumés. La fumée âcre irritait ses yeux, sa gorge brulait. Elle courrait dans les couloirs, il fallait qu'elle sorte le plus vite possible...
Enfin ! Enfin de l'air ! Elle respira un grand coup
Le sergent Xarius était en train de rassembler ses soldats. Albus qu'elle n'avait pas eu le temps de désseller, était toujours au même endroit à l'écart, énervé par tout ce vacarme et cet affollement. Elle courrut vers lui, eut juste le temps d' rattraper ses rennes avant qu'il ne s'enfuit appeuré. Elle réussit apres maints efforts à le calmer un temps soit peu et grimpa en selle. Elle partit enfin rejoindre son sergent.
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Niac
Niac se rapprochait de la plus haute tour, la Grande Tour, celle ou se trouvait le feu de détresse ! Ce coin était plutôt calme, la bataille se déroulait de l’autre coté, prés des remparts et de la grande cour.
Elle entra dans l’hôpital et se saisi d’une torche afin d’allumer le bûcher. Elle se dirigea à toute vitesse vers la dites tour et grimpa les escaliers, la paille prit en un clin d’œil, elle attendit quelques secondes afin de s’assurer que le bucher prenait bien.
Le feu était recouvert d’un petit toit surélevé afin que la pluie ou la neige ne l’éteigne pas, petit toit qui s’enflammerait surement une fois que le brasier prendrait de l’ampleur.

Elle redescendit par où elle était montée et pris le chemin vers la cour, là où le remue ménage se passait. Elle repassa sur le côté de l’hôpital, entre les deux terrains de lices et bifurqua à droite vers la cour où elle arriva.

Le spectacle était plutôt surprenant et désolant, des plumes volaient dans tous les sens, de la farine, ainsi que d’autres condiments et marchandises provenant des réserves de la caserne.
On aurait dis que certains soldats s’étaient battus avec des poules dans un poulailler. Elle imaginait les soldats dans le petit poulailler.
Niac ne put réprimer un léger sourire mais la réalité la fit revenir à elle aussitôt.

Dans la cohue, elle aperçu la Régente, Loucy et se dirigea vers elle.
En effet, elle ne reconnaissait pas son Lieutenant dans l’agitation.

Elle commença par la saluer et à se présenter, bien que les deux femmes étaient amies, et se connaissaient bien, ce fut un automatisme pour Niac que de le faire.


Madame la Régente !
Soldat Vétéran Niac, Fantassin d’Elite d’Annecy, à vos ordres Madame.


La Duchesse attendit un signe de la Régente !
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La carte de la Caserne à consulter pour tout mouvement par soucis de cohérence RP :
http://armeesavoyarde.forumpro.fr/la-cour-f62/plan-de-la-caserne-de-l-armee-de-savoie-t4163.htm
thornton
A l'hôpital

Foutu quinte de toux! A peine remis de la maladie qui l'avait maintenue au lit quelques jours. Thorn travaillait dans la caserne et classait quelques dossiers, inspectant quelques soldats. Foutre dieu, des bombardes semblaient tombaient sur la caserne, à croire qu'Aristote faisait les éclairs et qu'il les dirigeaient droit sur la caserne. Des cris lui emplirent les oreilles, il se leva et prit son épée et son bouclier non loin de lui. Il mettait toujours un poignard à sa ceinture... Au cas où se disait. Ben peut être bien que ce cas où sera ce soir.
Courant vers la naissance du bruit, il se demandai qui avait l'audace de causer un tel bordel. Ah! Les foutus Judas avaient attaqués! Cela ne pouvait être que ça...Finalement, le jeune Louis allait surement l'accompagner à la potence, enfin s'ils survivaient.

Sergent Grandgousierrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!
Qu'est ce que c'est que ce boxon?
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Soldat-infirmier

cuistox
Cuistox entendu qu'il se passait quelque chose d'anormal et sortit du batiment pour voir ce qu'il s'y passait et vit que tous les soldat prenaient leurs armures et armes!

D'un coup il vis son luitenant qui lui cria de s'armer au plus vite et de les rejoindre car nous étions attaqué.

le sang de cuistox ne fit qu'un tours et sans demandé d'autres explication fonca jusqu'a l'écurie pour prendre son cheval et partir au plus vite rejoindre ses frères d'armes pour leurs preté main forte!


Sergent! cria cuistox je suis avec vous!
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Cavalier de Belley

Loucy
Arrivés pour prendre les arcs, ils eurent la mauvaise surprise de voir qu'il en manquait un. Un soldat devrait combattre avec son épée. En tant que Capitaine, et sachant manier l'épée, ayant pris cette habitude, Lou décida qu'elle ne prendrait pas d'arc, les laissant à ses soldats.

Une fois équipés, ils se hâtèrent de se diriger vers la Cour. La jeune femme tenait son épée et gardait son bouclier, surveillant autour d'eux à chaque pas. Elle criait quelques ordres aussi, leur ordonnant de rester grouper et de ne pas hésiter à tirer sur les ennemis. Elle leva la tête vers ce qui tombait sur eux.

Mais qu'est ce que c'était que ce bazar ! Voilà que des plumes et des denrées alimentaires leur tombaient dessus. Manquait plus que ça, pensa-t-elle. Ils étaient bien beaux à voir .. Enfin ce n'était pas le moment de penser à ça, il fallait rester concentrer, l'heure n'était pas à l'esthétique !

Ils n'avaient que peu avancer, étant toujours du côté des lices quand elle entendit une voix familière l'interpeler.


Madame la Régente !
Soldat Vétéran Niac, Fantassin d’Elite d’Annecy, à vos ordres Madame.


Bien. Soldat Niac, en attendant de trouver votre lieutenant, restez avec nous. Je vous prends sous mes ordres. Suivez nous, nous nous rendons dans la Cour afin de combattre.

La Régente vérifia que Niac avait son équipement et fit un léger sourire en voyant que c'était le cas.

Elle venait à peine de vérifier cela qu'elle aperçut des ombres bouger. Elle regarda autour d'elle et pensa à ses soldats aussitôt. Ils étaient trop près ... Beaucoup trop près pour utiliser des flèches ... Ca ne servirait à rien dans ce cas là ...


N'utilisez pas vos arcs ! Vous gâcheriez des flèches et ne les blesseriez pas ! Que chacun d'entre vous utilise son arme ! Battez vous ... Vous en êtes capables !

Loucy se mit en position d'attaque, évaluant en même temps la situation, chose difficile dans le noir ... Elle n'était pas sure de voir tous les individus... Quoiqu'il en soit il était hors de question que ses soldats perdent la vie, elle venait déjà de perdre une soldate de son CA, il n'était pas envisageable que cela se reproduise.
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Duchesse et Capitaine
Sergent du CA des archers de Belley
Co Chef du recrutement


xarius
Xarius etait sur sont cheval. Puis il appercut Forigoler accompangné de Lavava et de Cuistox. Il les regarda et leur demenda
Ou est Sirlapinus ? Nous allons rester grouper !!!

Xarius tourna la tete et vit que les envahisseur s'approché de plus en plus
Tenez vous pret !!! Sortez vos epée et montrer leur comment se defend un savoyard !!
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Grandgousier
Les Cotereaux a écrit:
Ils franchirent le chaos à toutes jambes, comme entraînés à la situation. Quelques petites grappes d'obscurs personnages se formèrent. L'une d'entre elle se rapprocha de Grangousier et ceux qui tentaient de s'orienter autour de lui. Vifs comme pas possible, les agitateurs attaquèrent de partout, à dextre ou à senestre, dans des attaques bien orchestrées, les armes frappant boucliers, choquant contre leurs vis-à-vis de leur ennemis.


Grandgousier para le coup d’estoc de l'homme en noir avec son bouclier, la douleur résonna dans tout son bras. Vivement il feinta à senestre, repoussa l’ennemi déséquilibré d’une poussée violente et manqua de lui ouvrir la mâchoire de sa bâtarde, d’un coup remontant en diagonale. Encore mal réveillé, couvert de sang et de boue il voyait le dernier carré des quelques compagnons qu'il avait pu rassembler s’amenuiser de minutes en minutes autour de lui. Et ces hommes de l'ombre qui revenaient sans cesse. Comment était-il possible qu’ils soient aussi nombreux ? Par Aristote ! Plus nombreux que les grains de raisins dans les vignes de feu le duc Alpi. Des fantassins dur au mal qui encaissaient aussi bien que ses vaillants compagnons.

Il ne vit pas venir le poignard de l'homme masqué qui s’enfonça dans sa cuisse. Il en poussa un tel rugissement de colère et de douleur qu'il y eut un léger reflux des combattants masqués, impressionnés bien malgré eux par sa masse verte et le tonnerre qui lui servait de voix. Il avait réussi à saisir son agresseur par le col:


- Mortecouilles, est-ce ainsi que tu comptois me faire rendre mon âme à Dieu, vermyne noire ? Bats-toi ! gronda-t-il, avant de le lâcher tout aussi brutalement.

Il se reprit immédiatement, et tous ses hommes avec lui, guère plus d’une vingtaine, galvanisés par sa puissance brute et animale. Grandgousier tout en se battant furieusement entonna le chant du deuxième CA chambérien d'un ton rageur. Tous le reprirent. La plupart des agresseurs se figèrent pendant quelques secondes. Qui étaient ces fous qui allaient à la mort en chantant des paillardises ? Qui étaient ces fous qui se battaient en chantant ? Mais cela ne les arrêta pas bien longtemps.

Et puis de l’extérieur du cercle de fer il reconnut la voix gromellante de Thorton
:

Thornton a écrit:
Sergent Grandgousierrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr! Qu'est ce que c'est que ce boxon?


Il meugla à son tour par dessus le fracas des armes:

- Par icy, Thorton, vil broute-légume ! A moy Chambéry, viens doncques te battre ! Fini la sieste à l'infirmerie ! Il faut croire que Dieu a d’autres projets pour nous !

L'excitation du combat et la pensée de voir un Thornton à peine réveillé sortir au combat les braies sur les genoux décuplèrent son énergie. Il était hilare.
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thornton
Le soldat entendit son sergent beugler, preuve qu'il n'était pas encore mort et même qu'il se battait courageusement. Dégainant son épée, il alla défendre son sergent et s'attaquant à l'arrière garde du cercle, il repoussai les ennemis, tranchait à tout va.

Salopiots! Vous me ferez pas un deuxième trou là où j'en ai déjà un Taïhaut!

Il se précipita vers l'ennemi, en fendant les épées, son bouclier droit devant lui et beuglant toujours à la mort. Le bouclier lui masquait la vision, il trébucha sur un corps sans vie et se retrouva nez à nez avec son sergent.

Ah! Bonsoir GG, belle soirée pour mourir non?

Il lui sourit et sans attendre sa réponse ou son coup de pied au cul, il se remit en garde, prêt à repousser les ombres.
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Soldat-infirmier

Asiac
Asiac qui lui était tranquille dans son bureau entrain de remplir de la paperasse en fumant de sa pipe préféré entendit sa porte presque défoncer par les coup porté à cette dernière. Il se leva en sursaut et alla vite ouvrir l'épée à la main. Derrière la porte se trouvait un garde de la caserne. Il avait l'air essoufflé. Il prit une gande inspiration et dit très rapidement:

Une attaque sur la cserne vite!

Asiac pris les jambes à son cou et partit aux pas de courses rejoindre son Capitaine qui avait surement besoin de lui. Il sortit de l'état major et s'arrêta pour tenter de voir ou d'entendre de ou se battaient les soldats. Le garde réussit à le ratrapper et posa une main faible sur son épaule.

La Capitaine est à la grande tour Messir.

Asiac se retourna vers le valheureux garde.

Merci à vous cher garde, rejoignez votre corps d'arme et soyez prêt svp.

Asaic repartit à la course, direction la grande tour. Il passait par tout les petits raccourcit qu'il connaissait. Ayant lui même contruit de ses mains nues cette caserne, il savaittrès bien tout ses petits secret. Il arriva finalement devant la grande tour. Il s'arrêta brusquement pour tenter de trouver Loucy. Il la vit au loin, le dos contre la parroit de la tour. Il se dirigea le plus vite qu'il put vers elle. Il s'installa à ses côtés et lui donna un petit coup de coude pour qu,elle se rendre compte qu'il était là.

Bonjour, Capitaine, on m'a dit qu'il se passait quelque chose de pas commun et de non désiré? Qu'est-ce que je peux faire pour vous aider?

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Naurestel
La jeune femme tentait d'avancer vers le centre de la cours. Là ou le plus d'action se déroulait. Elle savait bien que c'était la pagaille et qu'ils étaient tous désorganisés. Mais ainsi isolée elle était qu'un agneau sans défense. Frappant les hyènes de plus belle. Tuant tout ce qu'elle pouvait. Elle avança lentement et surement.

Un cheval effaré passa à quelques centimètres d'elle. Elle dut retenir un cri de surprise avant de s'esquiver prestement. Il n'était guère le moment de distraire qui que ce soit. Revenant du terrain d'entrainement elle distingua au loin Ripouf aux prises avec des hommes. Il y en avait partout! "Pourquoi?"

Elle repéra quelques hyènes qui se rapprochait dangereusement. N'écoutant que son courage elle s'élança et se plaça derrière Ripouf, dos à lui pour protéger ses arrières.

- Tout le monde est sorti?, s'enquit-elle entre deux coups. Ça va?

Un canidé bondit droit sur elle, mais sa lame, parfaitement ajusté porta un coup. Un seul. L'animal retomba la tête tranchée.
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Soldat-Infirmière de Belley
robter
S'éveillant brusquement au son d'une grande détonation. Il trouvait que le maître Canonnier exagérait de faire ses essaie à une heure si matinale, quand dire, dans la nuit. Dans le quartier général où il se trouvait en train de dormir sur son dernier rapport en tant que Logisticien de l'Armée "Dia Loupious danya dé Savoy". Furieux il se leva pour aller lui dire sa façon de pensée.

Lorsqu'il sortit il vit des flammes au sein de la caserne elle même.

Ah mais qu'elle bourde ! Puis il réfléchissa rapidement, jamais Frode ne pointait ses gueules de feu vers la caserne. Ils sont envahi fut sa rapide compréhension. Il entendait des hurlements qui furent suivit par le cliquetis d'armes et armures. Il aurait aimé que se soit un banal cauchemar, mais tout le ramenait sur une réalité plus que tangible.

Avant de se diriger vers le lieu de la bataille il prit soins avec l'aide du Connétable Asiac d'assurer à ce que le quartier général soit sécurisé. Il posta soigneusement les Soldats aux endroits stratégiques pour en effectuer la meilleure défense qui soit. Il demanda à ce que deux hommes assurent le rôle de guetteurs sur les toits.

Ceux-ci l'avertirent que les Sergents Grangousiers et Quorum et leurs hommes respectifs se battaient déjà vaillamment et que le signal d'avertissement brûlait déjà son toit. On lui fit remarquer que l'étendard de la régente faisait toujours figure de ralliement. C'est ensuite qu'il alla vers ses hommes dans la caserne de Belley, qui est la plus populeuse. Il se dit que de là bas ils pourraient tout réorganiser. Avant de s'y rendre il envoya une cohorte vers la porte d'entrée afin d'éviter que d'autres assaillants ne viennent en renfort. Mais on lui dit que la herse était toujours close et sous bonne garde, mais par où l'ennemi était-il passé ?

Mon Connétable, je crois que cette pluie leur a certainement servit de couverture pour s'approcher sans se faire entendre.

C'est le Sergent Xarius qu'il vit en premier, il lui commanda de prendre la tête avec ses Cavaliers pour effectuer une reconnaissance des lieus tout en prêtant main forte aux Sergents Quorum et Grangousier.

Xarius, Lavava, forigoler et Cuistox, attaquez l'ennemi seulement après votre reconnaissance et lorsque mes deux CA de fantassins auront commencer à attaquer dans la cour. L'effet de surprise sera total. Que le Très Haut vous protège.

Lavava j'espère qu'il y a l'assassin de Mahaut la dedans.

Les Archers Belleysans sous la gouverne de la Duchesse il n'avait point à s'en occuper. Il rassemblera tout les fantassins de Belley avec le Sergent Batfranki pour y débusquer ces canailles et leurs hyènes.

Passant aux côtés de Ripouf il lui dit :

Tu en voulait une mission, et bien tu es servis maintenant. Rejoins les autres Archers avec le Capitaine.

Quartier général sécurisé.
Casernes en flammes qui j'espère sera ralentit par la pluie du Très Haut.
Porte d'entrée sécurisé.

Avec ce constat il se dirigea avec une poignée de frères et soeurs d'armes vers la Cour où l'action se déroulait. En passant par le comptoir du Mess il eu la surprise de voir s'étaler sur lui une montagne de plumes poisseuses et collantes, quel mauvaise plaisanterie.

Mais qu'est-ce que c'est que ça !!! S'essuyant à tout le moins le visage pour ne pas perdre son sens le plus précieux du moment, la vue. Que de ridicule, mais il n'est point le temps de pleurnicher.

Aux abord de la bataille dans la Cour, il vit Naurestel qui avait mal à partir avec ces maudites hyènes et elle était isolée en plus. À l'arrivée d,une troupe si nombreuse celles ci s'enfuiyèrent et il damanda à ce que L'archer infirmière les rejoignent, puis d'un pas décidé, bravant les flèches tout en augmentant la cadence pour aider les Soldats de Bourg et de Chambéry.

CHARGEZ !!! AAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH !!! Bouclier et épée en main, visière baissée.
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Lieutenant et Recruteur de Belley
Ex-Logisticien

Naurestel
La présence de son ami et Lieutenant Robter la rassura très vite. Ayant remonté jusqu'à Ripouf, elle se battait avec hargnes. La nuit s'annonçait longue. Très longue. Mais cela n'importait que peu à présent. La bataille faisait rage dans les rangs de l'armée savoyarde. Une première vraie bataille depuis qu'elle avait rejoinds ses rangs. Décidés à repousser l'ennemi coute que coute, elle resta néanmoins attentive aux ordres qui étaient crier ça et là.

Robter tentait de son mieu d'organiser les troupes, tandis que Loucy faisait elle aussi de son mieu. Une hyène apparut dans son champs de vision et elle frappa. Ne perdant pas une seule seconde elle céda le passage à une autre avant de refrapper. Un homme tout de noir vêtu se présenta à elle. L'envahisseur.

Naurestel sentit la colère et l'adrénaline monté en flèche, mais se contrint uniquement à se défendre à qui mieu mieu. Elle ne connaissait rien de ses hommes et ce n'était pas le moment de les sous-estimer.
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Soldat-Infirmière de Belley
ripouf
Ripouf, toujours placez prêt du capitaine, avançait vers la cour. Au fur et à mesure qu'ils avançaient, la peur s'en prenait d'avantage tout comme l'excitation. Ils avancèrent dans le vacarme des bruits sourd du clairon et les soldats en alerte lorsque, sortit de nulle part, le groupe se fait assaillir de tout bord tout coté... Il vit non loin de lui le lieutenant qui s'approchait, maniant l'épée avec grâce et se frayer un chemin jusqu'au groupe.

Citation:
Tu en voulait une mission, et bien tu es servis maintenant


il ne pût s'empêcher de rire, même si le moment était grave.

Mais Lieutenant où est votre CA? Bahh pas la peine de discuté, nous devons protéger Loucy!

L'assault fût commencer, et après la demande du capitaine de changé d'arme puisque ceux-ci était trop près, Ripouf se sentit plus confiant. Les épées s'entrechoquèrent. Un combat sans merci des soldats contre les brigands. Un combat à faire défrisé les caniches. L'entraide était toujours le mot d'ordre et voilà qu'ils combattaient vraiment ensemble pour la première fois.

Mais ou est Naurestel!? ce demanda-t-il juste au moment ou, reculant d'un pas, fit dos à dos avec elle.

Ahhh! te voilà! et déjà armé! tant mieux! On se lance sur c'est 2 là!

Il pointa en direction du coté droit du capitaine...Il n'avait pas le temps de faire du bavardage, il fallait réagir.

Ripouf voyait la bataille se déroulé, chacun se donnait au maximum... Il fit quelque regard rapide en direction de Loucy, tout allait bien, elle se débrouillait....

À l'assault!!!!!
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D'ici jusqu'au bout du monde, présent je serai, d'ici jusqu'au bout du monde, j'y arriverai.
alex6560
Alex s'éveilla brusquement suite à de noimbreux bruits dans a caserne. Il fut réveillé aussi par le hurlement du sergent Xarius dans la garnison de Belley. Il se leva, s'habilla rapidement bien chaudement, pris son fourreau et son bouclier et avança vers les remparts.

Beaucoup de soldats étaient rassemblés et la pagaille faisaient rage. Il avait peur, peur pour tous ces amis et il espérait que rien ne leur arriverait. Il sortit son épée et s'avança, essayant de chercher un officier, esquivant les denrées alimentaires qui tombaient de toute part accompagné de plumes qui grattait le nez lorsqu'elle tombait trop près. On entendait des cris de rage d'aissaillants qui grimpaient les remparts mais il n'en vit pas encore malgré le tintement des épées que l'on pouvait entendre et le crissement de la corde des arcs.

Il pensait aussi au sergent Batfranki, il avait peur qu'il lui arrive quelque chose alors que celui ci venait d'être papa mais il ne fallait pas y penser et il aurait aimé le voir avant le grand combat .....

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