[RP] Singulière invasion

louis1er

Louis voyait déjà les troupes se déverser à l’intérieur de la caserne. Ils ne les avaient pas vu franchir les remparts, mais le fait été là. Il vit un groupe fondre sur eux. Sa tante avait rejoint son groupe n’ayant pas encore trouvé son régiment.

Ilavait déjà une flèche encoché et abattit d’un trait bien placé une hyène qui s’approchait trop près d’eux. Des objets non identifié volait au dessus d’eux, plumes et nourriture tombait, mais rien de grâve…

N'utilisez pas vos arcs ! Vous gâcheriez des flèches et ne les blesseriez pas ! Que chacun d'entre vous utilise son arme ! Battez vous ... Vous en êtes capables !

Louis souri à la dernière remarque de Loucy, n’avait elle pas confiance en ses hommes ? Louis décida de devenir son ombre il sorti la lame étincelante copie conforme de celle de son excellence leg l’ancien. Il leva son écus au couleurs de Tossiat et se plaça au côté de la régente.

Loucy, ma lame sera la vôtre, mon écu le vôtre et ma vie à votre service…

Le jeune écuyer et porte parole de Savoie c’était mit en position d’attente, il trancherait les ennemies comme un bucheron coupe les arbres sans haine, ni vengeance. Il serait un soldat comme Saint Kyrène l’enseignait. Seul façon de ne pas être damné à la lune lorsque l’on doit tuer un homme. Il se souviendrait de tout ceux qu’Aurore et les Francs lui avait appris.

En criant, il déclama la devise de la famille…

SINE HONOREM NIHIL VITAM

La scène était en place et le jeu pouvait commencer…
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Quorum

Quorum criait

3ieme CA direction cour d'honneur aidé le 2ieme CA !

Quorum avançait prudemment un ennemi arriva de la gauche.Le sergent avança en faisant 3 moulinets et tenta de blessé son adversaire qui fit une parade et qui l'attaqua au jambe.A ce moment même 3 autres guerriers habillé de noir luisant arrivèrent.Eddo commença à combattre le petit qui était armé d'un bouclier et d'un bâton.Bourbier lui combattit vaillamment un gros et grand homme au cheveu brun armé de deux épée qui en sortit une troisième.Templar et Syxte combattait eux un archer qui tira une flèche qui frôla Syxte.Le dernier ennemi lacha son arc et sortit une épée très longue.iOn entendait Templar dire:

C'est quoi cette épée ????

syxte répondu:

Une très longue épée mon cher !

Quorum faisais fuir son ennemi de quelque metre par minute.Bourbier et Eddo était au meme niveau que leur adversaire.Bourbier vit la lance casser en deux ets ortit une épée en fer blanc ou était inscrit:

Bourbier de Gilhlac.Chevalier de l'OLA

Eddo cria:

Asiac, Niac à l'aide nous sommes dans une embuscade !

Eddo avait raison, 10 soldats arrivèrent armée jusqu'au dent

Appelés le premier CA ! continua t-il a crié
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Laveur de vaisselle

Jacouillet

Jacouillet essayait de se dépatouiller tout seul contre des êtres en noir. Et il s'égosillait en essayant de savoir ou combatait son CA.

Caaaalciooooor, Faaaarf, Froooooode, Biiiiiil vous êtes ouuuuuuu ?

Tout un coup un homme en noir sauta sur lui du haut d'un mur. Jacouillet le vit de justesse et put faire une roulade afin de l'éviter. L'homme voyant qu'il n'a pas réussi à tuer Jacouillet par cette méthode, s'enfuit et se dirigea vers d'autres hommes en noir qui se battait contre Quorum et son CA. Enervé, Jacouillet courut après lui,pensant bien lui faire tâter du fil de son épée.

Viens te battre fils de chienne, que je te fende le crâne en deux, que je te démembres, que je te mange le foie et le coeur et que je t'arraches le bijoux de familles avec les dents. Aaaaaaaaaah

Jacouillet prêta main forte à Quorum, et espérait bien que l'assaillant de tout à l'heure était dans le lot, car il était difficile de les distinguer, on aurait dit une armée de jumeaux diaboliques.
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Quorum

Quorum vu arriver Jac suivit de Lola, Calcior, Bill, Bibi, Asiac et Niac.Le sergent se dit ouf.Il cassa le nez d'un de ses ennemis fit une clé de coude à un autre et se fit toucher par une lame d'épée qui traversa sa chemise

Chambéry,Belley,Bourg repliez-vous il avance !

Lola était tellement stréssé qu'elle ratait toute ses flèches mais heuresement Chambéry commençait à se repliez.

- Laiyna, Gousier ! A l'aide !

- Malheur criait Laiyna des hyenes !

- Quel poisse ! répondit le sergent Lola abandonne les fléches, prend ton épée !

- Ok dit Lola

Eddo et Bourbier était en train de se faire mitrailler de carreau.Pendant ce temps Syxte et Templar avançait plutot facilement

- Revenez ici ! Syxte et Templar ! Arreter de vous isolez !

Effectivement ! Templar et Sxyte était entouré de soldats

Thorthon et un autre allez aider Syxte et Templar!
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Laveur de vaisselle

ocdbill

bill arriva a son tour chevauchant son fidéle destryer l épée a la main il repoussa quelques soldats enemis afin de rejoindre les siens .
-courage mes amis je me joins a vous !
-regroupons nous autour du Capitaine et forçons l enemis a reculer hors des murs de notre cité afin que nos archers puissent les arroser abondament de fleches enflammées..

Bill attendais ce moment depuis longtemp il ne vivait que pour se battre perdre la vie en combattant l enemi ne lui faisait pas peur , une grande haine monter en lui la vue du sang décuplé sa force il attendait maintenant les ordres tous en faisant tournoyer son épee en guise de protection il formait maintenant un mur de protection avec les xoldats de tous les CA ............
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Turbulette

Turbulette qui avait été réveillée dès les premiers cris qu'avait connue la caserne avait sauté sur son bâton. Dans toute la pagaille elle avait entendu la voix de Loucy disant qu'ils fallait aller récupérer des arcs. Sans vraiment savoir ce qui l'attendait, Turbulette était donc aller rejoindre ses confrères et consœurs. Turbulette était souvent prise de "turbulences" comme ses amis disaient, mais en ce qui concerne son ouïe, ou sa vue celles-ci était plus que bonne. Elle écoutait d'une oreille distraite ce que pouvaient dire les uns et les autres mais elle écoutait attentivement ce qui se passait derrière. Au moment où elle tendit le bras pour prendre un arc, ils se firent attaquer. Elle n'eut d'autre choix que de prendre son bâton. Les assaillants fondirent sur eux en poussant leurs affreux hurlements. Turbulette suivit donc de près son Capitaine et lui chuchota, de façon à ce que seule Loucy puisse entendre :

Que fait-on, on essaye de se battre ici ou on essaye de mieux les surprendre après, en se repliant ? Il faudrait les faire reculer un peu, le temps de prendre des arcs...
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Soyez réaliste, demandez l'impossible.

Archer à Belley

Quorum

Quorum sauta sur un homme chauve comme...comme un prêtre et l'étouffa pendant 10 secondes et le pépé tomba au sol et appela turbulette

- Soldat Turbulette prenez un arc et tirez des flèches enflammés pour faire fuir les hyènes !

Mais à l'instant même le soldat Farf arriva en criant

- Percé ennemi devant la garnison d'Annecy !

- 5 soldats pour allez aidé devant la garnison ! ordonna le sergent

- Shera est sel contre trois ! continua Farfounet

- Templar, Eddo, Bourbier, Syxte et Farf allez aidé ! Farf toi tu reste avec Shera pour prévenir les prochaines attaque, ok ?

Les soldats partirent en aide à Shera.Quelques secondes plus tard Xarius était touché

- Louis va appeller Anathaisse et Anabase pour venir soigner Xarius ! Et reste en fraction devant l'infirmerie !

- Je suis pas soldat ! répondit le porte-parole

- Fait le pour la Savoie Louis !

Louis partit..
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Laveur de vaisselle

forigoler

Prise au milieu de la tourmente, Forigoler ne savait plus où donner de la tête. Les ordres pleuvaient de toutes part... Quand le lieutenant Robter intervient, ils prirent immédiatement la tête et partirent en reconnaissance. Heureusement elle avait appris à mener sa monture, il y a quelques jours encore sa jument l'aurait déjà désarçonné depuis longtemps. Forigoler se demandait où était Sirlapinus, il aurait du être avec eux. Elle était inquiète pour lui ... Mais soudain un homme en noir fondit sur Xarius et lui enfonça sa dague dans le dos. Il s'écroula sur l'avant du cheval mais resta en selle.

Elle talonna sa monture et abattit son épée sur le brigand qui resta à terre.

Elle entendit Quorum faire appeler les infirmières.

Pas la peine, je m'en occupe ! Je suis infimière moi aussi.

Elle prit les rennes du cheval de Xarius et l'éloigna quelques peu du champs de bataille. Elle examina la blessure. Rien de trop sérieux. D'ailleurs, il reprit connaissance très vite. Elle déchira un pan de son habit, fit un bandage de fortune ...

Sergent, comment vous sentez-vous ? ... que faisons-nous ? Voulez-vous que je vous emmène à l'infirmerie ou retournons-nous au combat ?

Elle n'était plus la novice inquiète de savoir si elle y arriverait ou pas le jour J ... elle avait le regard d'une guerrière prête à en découdre au péril de sa vie.
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Turbulette

Les cotereaux :

Citation:

Du côté des lices, un groupuscule d'individus ténébreux s'insinuèrent sous le couvert de la nuit vers ceux qui tentaient de se procurer des arcs. Leurs ordres étaient on ne peut plus clair; Ils devaient séparer la Régente et Capitaine du reste des troupes qui pourraient l'accompagner. Telles étaient les paroles du chef, qui s'occuperait probablement d'elle personnellement... très probablement. Les assaillants fondirent sur leurs proies en poussant leurs affreux hurlements, obligeant ceux qui se munissaient d'arcs à les délaisser pour prendre des armes de corps à corps, ou bien, en désespoir de cause, la fuite...

Turbulette entendit la voix de l'officier Quorum dire "Soldat Turbulette prenez un arc et tirez des flèches enflammés pour faire fuir les hyènes !". Elle fit volteface et répondit à celui ci.

- Officier Quorum, je ne peux envoyer des flèches enflammées puisque nos ennemis nous empêchent d'accéder à nos arcs. De plus comme l'a dit Louis et le Capitaine, nous sommes beaucoup trop près de nos assaillants pour tirer sans risquer de gâcher nos flèches. Il va falloir faire du corps à corps pour le moment ! Capitaine, on fait quoi ?

Sur cette phrase Turbulette vit plusieurs individus ténébreux se rapprocher dangereusement d'eux. Arme à la main, elle attaqua sans aucune pitié un des assaillants. Un coup dans le flan, au menton puis sur la main pour tenter de le désarmer...
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Soyez réaliste, demandez l'impossible.

Archer à Belley

Frode

Frode endormi dans son atelier avait été reveillé par deux intrus. Les deux hommes ignorant sa presence n'avaient pas essayé de cacher leur presence.En se reveillant il fit tomber un de ses outils et vit les deux hommes de diriger vers lui avec manifestement des attentions hostiles. Il tira son épée er se dirigea vers eux en poussant un cri tel qu'il ne l'avait pas fait depuis longtemp. Le visage recouvert d'un peu de sang des intrus mais aussi du sien car il avait une entaille a la joue il entendi des bruits de bataille et Jac crié son nom.

Frode comprit vite la situation, sachant qu'une armure ne pouvait etre mise seul il ne prit que sa salade ,une cuirasse et des gantelets. Prenant un des chevaux qu'il avait il l'attela a un ridbaudequin et se dirigea vers le lieu des affontements. Arrivé a destination il chargea sa piece mais ne reconnaissant ni amis ni ennemis il cria

Savoyard ici le maitre canonier qui va utilser ses competences , repliez vous et rechargez aprés le tir

En voyant une hyene se dirigé vers lui il tira son épée , mais trop tard les machoires de la betes de refermerent...sur un de ses gantelets.

robter

***Ceci est un message de modération.***

Quorum a écrit:

Les soldats partirent en aide à Shera.Quelques secondes plus tard Xarius était touché

- Louis va appeller Anathaisse et Anabase pour venir soigner Xarius ! Et reste en fraction devant l'infirmerie !

- Je suis pas soldat ! répondit le porte-parole

- Fait le pour la Savoie Louis !

Louis partit..

Si vous faites parler ou agir d'autres personnages il ne faut en aucun cas leurs faire faire des agissements qui leur seraient dangereux ou dégradant, à moins d'avoir leurs consentements. Faites attention à ceci JDL du Quorum.
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Lieutenant et Recruteur de Belley
Ex-Logisticien

louis1er

/hrp: louis est sous les ordres du capitaine Loucy et personne d'autre, il agira comme un garde le garde du corps de la régente.

Merci de respecter mon jeu. Vous pouvez modéré ce message des que LJD Quorum aura edité

Je rappele aussi que louis est un soldat d'elite formé dans un OMR depuis ses 9 ans.../HRP

Certain s'imaginait donner des ordres et faire agir Louis comme une marionnette, mais Louis était un soldat d'élite, si il n'avait pas fait le choix de ne pas prêter serment à l'ocf, il serait déjà un chevalier de Dieu, mais Louis préférais servir la Savoie et donner sa vie pour la régente si il le fallait. Il regardait les ennemies approcher avec un sourire au lèvre. Il plaça son écus devant lui et commença à avancer vers l'ennemie...

Il devrait sans doute prendre des vies cette nuit, il espérait juste que la sienne ne lui serait pas prise. Il défendrait sa vie et celle de la régente comme il se devait et comme ont lui avait appris, Louis était concentré sur les ennemies qui approchaient et sur les projectiles qui pouvaient arriver sur lui.
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sirlapinus

Je venais de sortir de l'écurie en trombe sur mon cheval, épée au claire pour rejoindre mon régiment et je parvint enfin a me tailler un chemin jusqu'a eux....

cavalier sirlapinus au rapport sergent... sergent??? qui commande la cavalerie de belley ??? personne ????

Très bien je prend le commandement !!!!

je criais pour me faire entendre les cavaliers se battais un peu partout, il fallais se regrouper autour des officiers.

cavalier de Belley, regoupement

Je m'étais placé près de loucy, le capitaine, et je tournais sur moi même en agitant ma lame au dessus de ma tête. Il fallai coordonner nos actions. plusieurs soldat ennemi essayaient de s'approcher de nos chef, bon sang nous devons nous organiser...

Plusieur cavaliers se trouvais a mes cotés a présent, de Belley et ... d'autre garnison et nous représentions une force respectable...

Capitaine, cavalier de Belley a vos ordres, nous allons vous donner du temps, que le très haut vous protège...

Cavalier en formation de combat, garde a vous pour charger l'ennemi, EN AVVVAAANNNTTTT

Nous chargons en direction du gros des assaillants, piétinant les quadrupèdes sur notre passage et percutant les ombres noirs. La charge eu l'effet escompté, une dizaine de cavaliers sur une ligne compact à un peu de puissance et l'ennemi dans cette zone était dispersé, ne menacant plus directement nos commandant. Nous par contre étions un peu isolé....

Ne vous arrêtez pas, on retourne au centre pour recommencer...

la nuit promettais d'être longue
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cavalier du 1er régiment de cavalerie de Belley

Grandgousier

Les minutes passaient et le chaos ne faisait qu'empirer... Une pièce d'artillerie fût sortie de la remise, et ses servants avaient tout l'air de vouloir y bouter le feu, au risque que le boulet aille finir de détruire ce que les incendies avaient commencé. Des cavaliers chargeaient dans l'espace exigu qu'était la cour de la caserne, les chevaux affolés par le feu ne feraient guère la différence entre un homme en noir et un soldat savoyard. Le sergent Grandgousier craignait maintenant plus qu'un de ses hommes ne soit blessé par un camarade d'une autre garnison que par l'ennemi.

Il décida de replier les chambériens vers la poterne d'entrée. Au moins ils y seraient en relative sécurité, leur flanc couvert par les murailles. De plus, ils empêcheraient ainsi à la fois les ennemis infiltrés de sortir et d'éventuels renforts de profiter du chaos ambiant pour rentrer par la grande porte. Il commença à reculer en criant à ses hommes:

- Chambériens, formez le hérisson ! Repli vers la poterne, restez serrés ! E Capoë !!!

Citation:

NDA: Lorsqu’un petit groupe de soldats d’infanterie restait isolé et devait résister à l’attaque d'un ennemi supérieur en nombre, ils se rangeaient en herisson, c’est-à-dire en cercle, tournant le dos les uns aux autres et se défendant les armes pointées vers l'extérieur contre les attaques des ennemis, tout en conservant une mobilité réduite.

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thornton

Thorn obéit à son sergent et alla se placer selon ses instructions.

Hey Sergent, c'est quoi ces bestioles? Des loups modifiés par la magie ou bien les servants du Très Bas?

Il se remit en garde, réprimant la toux qui lui gagner la gorge

[HRP] LJD Les Coteraux... Des hyènes en Savoie en Novembre??? Ce que vous fumez ou buvez, j'en veux aussi [/HRP]
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Soldat-infirmier

Singulière invasion

Les Cotereaux

La nuit était tombée depuis belle lurette, le Soleil qui s'effaçait toujours plus tôt, atteint par le mal de l'hiver venant. Le ciel, noir comme de l'encre, laissait tomber un désagréable crachin de pluie. De faibles éclairs illuminaient le tout par courts instants espacés.

Sur les remparts de la caserne Savoyarde, plusieurs devaient être les gardes de faction qui aurait préféré avoir une soirée plus froide, pour tour-de-garder sous la neige au lieu de ce froid rideau un brin trop mouillé qui empêchait de voir plus loin que le bout de son propre appendice nasal. C'est patrouillant et pestant qu'ils ne virent rien venir...

Non loin des remparts, où la forêt coupait avec les terres à découvert, un lugubre hurlement de coyote retentit longuement. Avec force échos, d'autres cris répondirent, plus excités les uns les autres. N'eusse été une simple meute de canidés, la caserne n'aurait point eu à s'en faire. Pourtant, les soucis approchaient, à couvert de la nuit. Ombres noires se fondant dans le décor, profitant de la situation, faisaient sournoise approche. Bientôt, un filin s'éleva dans le ciel. Passant par-dessus remparts, la corde s'accrocha aux bordures de pierre avec aisance, à l'aide de son extrémité métallique munie de plusieurs crochets. Les faibles crissements de la manoeuvre ne purent être remarqués par les gardes, sans doute aucun.

Très vite, on grimpa le long du cordage, s'appuyant du bout des pieds sur moults pierres saillantes du mur, mais se fiant surtout à la force des bras. Dès qu'on se fut hissé, le câble retomba au pied de la muraille dans un infime bruit sourd. Le temps était maintenant à passer à l'action.

Un bref coup à la nuque et le premier garde tomba, assommé.

Paf, et de deux.

Un sec impact et le troisième s'affala.

Vite comme l'air, le reste des guetteurs sur le chemin de ronde subirent le même sort. Tout se déroulait à merveille. Des mains expertes s'affairèrent un peu partout, fouillant, déplaçant. On évita les quartiers habités de très peu, avec une scrupuleuse précision, comme si l'endroit était déjà familier.

Si on se fiait au Soleil pour indiquer l'heure à cette époque, la nuit, toute notion de temps devenait floue. Mais, pour un observateur aguerri, on pouvait estimer qu'approchait du milieu de la nuit.

Quand tout fut prêt, on se mit à la recherche de clairons, ceux-là même qui servaient à sonner rassemblements militaires. Puis, soudain...

Le son du clairon s'éleva du haut des remparts, du côté de la cour, tout juste en haut de la herse, bruyant, aggressant. Alors, à l'intérieur des froids couloirs de pierre de la caserne, de longs sillons de poudre noire s'embrasèrent avec une rapidité folle dans un assourdissant vacarme de pétarades. Les couloirs furent vite enfumés. Le son du clairon cessa momentanément au sein de la cacophonie mille fois amplifiée par les murs de pierre. Un peu partout, dans la cour, de lourds madriers firent de durs impacts au sol, dans un barouf à peine possible. Des hurlements ricanants, de hiènes cette fois, se joignirent à l'épouvantable Capharnaüm.

L'effet de surprise était créé...

Restait à voir la réaction...

Ceci est un RP libre à tous. J'espère que la participation sera grande sinon, cela démontrera, RP parlant bien sûr, l'Armée Savoyarde est une bande de flans mous. Fiers, motivés et courageux, ne vous abstenez pas!
Piètres Rpistes (et je suis sûr qu'ils sont rares), retenez-vous. Mais comme c'est en forgeant qu'on devient forgeron, si vous êtes prêt à fournir votre meilleure performance de RP, faites-vous plaisir!
Autre petite note: Je serais bien peiné si on accordait aucune importance à ce RP, encore plus si on osait le supprimer. Merci de respecter le joueur!
Ah oui, pour ceux qui douteraient de la possibilité de la mise en scène, sachez que cela a déjà été fait, à une autre époque, dans un lieu autre, dans l'Histoire, la Vraie!

Naurestel

La jeune femme était restée une bonne partie de la journée à l'infirmerie. Elle était archer-infirmier depuis peu et elle adorait ce nouveau rôle qu'elle avait au sein de l'armée Savoyarde. Elle avait passé nombre de soldats en consultation et avait même passer une partie de la nuit à faire ses papiers. Biensur tout paraissait si paisible dans la caserne. Rien ne se passait en savoie ou presque. C'en était trop beau. Pas de guerre, peu d'ennemi. Peu d'action. Elle était biensur allée à quelques reprises en mission, défendue la mairie et empêcher quelques révoltes, mais ce n'était jamais rien de très grave.

Ayant terminé une bonne partie du travail, elle se leva pour se diriger vers la sortie de l'hopital. Chaque visite comportait son dossier dans lequel elle devait, elle et les autres infirmières, consigné l'état de tous et chacun. Elle avait fait un court arrêt dans la salle où l'on classait tout les dossiers de chacun des soldats. Elle rangea ses affaires et prépara rapidement ce qu'elle aurait besoin pour le lendemain. Elle récupéra plus par habitude que par peur son bâton et se prépara à franchir la porte lorsqu'elle entendit le clairon. Elle se figea momontannément. Comment diable pouvait-on sonné un rassemblement à une heure aussi tardive? C'était impossible, et très louche. La Capitaine n'aurait jamais eu une aussi drôle d'idée.

Doucement, elle sortit comme une ombre. Cela ne présageait rien de bon, elle se montrait maintenant méfiante et attentive. Ce qu'elle vit la laissa bouche bée. Des hyènes étaient dans la cours! et la caserne!! la caserne était attaquée!! Les différents bâtiments fumaient devant ses yeux. Se maudissant de ne pas avoir été de garde, elle fit appelle à la force qu'elle avait gagné avec le nouvel entrainement. Biensur, la mort de Mahaut résonnait encore fort dans son âme. Perdre une camarade n'avait jamais été une chose facile, mais c'était encore trop frais. Sans perdre une seconde, elle partit à la course. La pluie tombait toujours, glaciale. Cela dit la jeune femme n'arrêterait pas. Ses cheveux se plaquèrent bien vite sur sa tête et elle frissona légèrement. Les hurlements reprirent. Plus proche. Féroces.

Elle n'avait pas d'épée ni de bouclier, or se battre à main nue contre les hyènes s'avérait une très mauvaise idée. Elle préféra les éviter et les repousser avec son bâton, alliant agilité et grâce. Les canidés, eux ne s'arrêteraient pas. L'idée d'avoir un repas les énervaient bien trop. Bien que ce fut futile, elle en frappa plusieurs, maniant son bâton comme une épée. Mais les résultats n'était pas les mêmes. Après une course folle, maintes fois interrompu elle put atteindre le premier Bâtiment : La garnison de Belley. Elle y entra malgré la fumée et cria à plein poumons.

-Soldats! On nous attaque!!!!!!!!!

Elle s'enfonça plus profondément se protégeant le visage. La fumée embuait sa vue et elle toussait affreusement. C'était le chaos. Un vrai chaos, si bien installé qu'on ne pourrait pas deviner d'où provenait avant des lustres. Refusant de céder, elle continua quelques mètres et cria à nouveau :

- Soldats!!!! Dehors! C'est une attaque!

N'y tenant plus elle sortit rapidement. La fumée sortait des fenêtres noirs et compactes, annonciateur de fléau. Elle toussa et pris de grande gouler d'air. Quelques minutes de plus et elle aurait probablement perdu connaissance, et serait morte, axiphissiée. Le regard profondément inquiet elle regardait les autres bâtiments qui subissaient le même sort. Quelques soldats sortirent bien rapidement. Cela la rassura un peu, mais tout n'était pas joué.

Elle s'élança de nouveau...

bon bon bon...je m'essai j'étais très inspirée alors on verra ce que vous en penserez!
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Soldat-Infirmière de Belley

ripouf

Encore en somnolence, bien endormi, Ripouf entendit des cris provenant de partout. Se laissant désiré par le sommeil, il n'y prêta pas attention... Les cris retentissaient plus puissament que jamais! Comme un clairon, quelqu'un sonnait l'alerte.... L'homme de Belley se réveilla en sursaut, sans jamais savoir se qui se passait. Il regarda au alentour... s'étira. Encore les même cris étaient percevable au loin...

Mais qu'est-ce qui se passe? l'instant même qu'il regarda au alentour, il vit la fumée surgir de la porte!

BAHHHH! Mais qu'est-ce qui se passe!!!!!!???

Ripouf courut vers la porte et la ferma aussitôt, la chaleur et la fumée commençais à entrer comme des filaments de soie tombant d'un vêtement ruinée...

Il cria le plus fort possible! CASERNE DE BELLEY! NOUS SOMMES ATTAQUER! TOUT LE MODE DEBOUT!!!! Il n'avait pas le temps des réveiller un par un...

Ripouf enleva aussitôt sa chemise l'aspergea d'eau, et la mit dans la fente de la porte. Ceci empêcherais que la fumée entre et nous étouffe.

L'archer cherchait aussitôt une 2e sorties de secours... ce fût bref qu'il opta pour la fenêtre, mais fût surpris d'y voir le spectacle dehors... Les tonnerres, la pluie, les éclairs, la cadence de chacun essayant de fuire et le hurlement des prédateurs à l'extérieur l'essaie présagé une image d'horreur... celui qui était à la tête de cette cacophonie savait comment causé la panique... Du plus, il vit Naurestel, armée de son bâton, en position de combat, entouré par..... Des hyènes!? Mais comment ces animaux de la savane se sont ils ramassé en avant de la caserne?! Ripouf courut prendre son arc près de sa couche, c'était la seule chance d'essayer de sauvé son amie.

NAURESTEL! ATTENTION!!!

Il décocha une première flèches qui vint se planter dans le flanc droit d'une des hyènes... le reste n'allait qu'être a elle. bonne chance ce disait-il dans sa tête...

Maintenant, il faut faire évacuer tout le monde....

La fenêtre de leur chambré se trouvais au 3e étages... mauvaise idée de se lancer en bas... Réfléchis, réfléchis...

Tout le monde! apporter moi vos draps! nous allons faire une cordes et être capable de descendre en bas! Aller plus de nerfs! ceci n'est pas un exercice...

En fait, la caserne n'avait jamais envisagé une telle attaque.... pourtant elle aurait dût, c'était le point stratégique pour une attaque bien coordonné...

Il attacha les draps ensemble, asser long pour l'attacher sur un rebord de lit et que celui-ci, aussitôt lancé par la fenêtre, serait capable de touché le sol.

Aller on descend! je serai le dernier, pour faire sûr que tout le monde soit en sécurité....
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D'ici jusqu'au bout du monde, présent je serai, d'ici jusqu'au bout du monde, j'y arriverai.

Naurestel

La jeune femme qui s'était élancée de nouveau après avoir crier sans cesse qu'ils étaient attaqués, s'était très vite retrouvée en mauvaise posture. Les hyènes l'avait très vite retrouvée, et cette fois ils étaient déterminés. Elle s'était arrêtée en terrain découvert. La pluie continuant de s'abattre impitoyablement sur la caserne de la Savoie.

Elle empoigna fermement son bâton et repensa à sa stratégie. Elle devait éviter de se retrouver acculée. Ainsi elle ne serait qu'une proie facile à cueillir. Mais être en terrain découvert n'était guère mieu. Elle siffla un juron entre ses dents. Les hyènes se rapprochaient en grondant de plus belle. Elle attendait le premier assaut, comptant sur son agilité plus que sur sa force pour ce sortir de se guêpier. Les autres bâtiments étaient en périls et les gens qui y étaient aussi. Tous de braves soldats.

Alors qu'un canidé se ramassa pour se jeter sur elle. Naurestel entendit le cris de son compagnon ripouf. Elle leva pendant une fraction le regard et une flèche siffla près de son oreille pour se ficher dans les flancs de l'un des animaux à ses cotés. Ceci lui permit de reprendre l'avantage. Les canidés furent d'abords surprit, puis toujours en grondant ils ne firent qu'un pas. Un seul.

Ce n'était pas la peur qui faisait battre le coeur de la jeune femme. Mais la rage. La rage de savoir que ses amis étaient en danger, et qu'elle était la seule dehors. Ripouf tentait tant bien que mal de faire sortir tout le monde, mais c'était long et périlleux. Elle craignait pour leur vie. Calmant sa respiration, refermant sa prise elle se lança, sauvage et violente.

Elle frappa une hyène sur le coté, une plainte sortit. Stridente. Elle ne s'en préoccupa plus. Elle avait déjà une autre cible en vue. N'étant pas impressionné, le canidé ne recula pas et montra vainement ses crocs. La jeune femme attendit son attaque. l'animal se ramassa et fit un bond magnifique que seule sa parfaite musculature lui permettait. Mais la fougueuse soldat avait déjà disparu pour laisser la place à une autre hyène. Sonnés, ils ne bougèrent plus.

La Belleysanne jeta un oeil autour d'elle. Il en restait trois. Les autres arriveraient très vite et le temps comptait. Elle se dépêcha d'en finir, sachant qu'elle n'en avait tué aucun. Si elle pouvait se munir d'une épée, les choses seraient toutes autres.

Réflichissant à toute allure, elle se dirigea en vitesse vers les autres batiments qui abritaient les différentes garnisons...
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Soldat-Infirmière de Belley

Grandgousier

Dans la chambrée du second CA de la garnison chambérienne, le sergent Grandgousier se réveilla en sursaut. Encore a moitié endormi, il se demanda ce qui avait ainsi brisé net son rêve juste au moment où il allait conclure avec la belle... le bruit se répéta. Enfin, un bruit... il s'agissait en fait d'explosions et du fracas de charpentes qui s'écroulaient contre une porte... Sa porte... Il se réveilla alors complètement.

Jaillissant de son lit, il enfila à la hâte sa cotte de mailles, boucla à sa taille la ceinture qui portait sa bâtarde, et vérifia qu'icelle coulissait bien. Tout cela ne dura pas plus de quelques secondes, et déjà la porte volait en éclats sous le coup d'une nouvelle explosion de poudre noire. Après quelques minutes, Grandgousier retrouva enfin sa lucidité, et regarda là où il y avait auparavant une lourde porte. Dans le couloir gisaient les cadavres des deux sentinelles de la garnison chambérienne. Il n'avait pas compris ce qui s'était passé. Refoulant nombre de ses interrogations, il obéit encore à son entrainement, qui lui soufflait de sortir son épée du fourreau et lui-même de ce traquenard.

Il se précipita le long du couloir, passant devant des pièces d'où sortaient l'air hébété les soldats de Chambéry. Ça et là gisaient aussi des cadavres de sentinelles, ensevelis sous les gravats des plafonds écroulés. Il continua son chemin vers la sortie, ralliant les quelques soldats en état de se battre. Il entendait au dehors des cris, de rage et d'agonie, des bruits de course, des cliquetis de mailles... Un désordre indescriptible semblait régner dans la forteresse...Que se passait il ?

Grandgousier déboucha enfin à l'air libre, il vit que certains bâtiments de la caserne étaient en proie à un début d'incendie, mais entendit aussi les bruits des autres garnisons qui sortaient en ordre dispersé de leurs dortoirs. Le chaos régnait, il fallait d'urgence que les officiers organisent la réaction. Il en chercha un du regard, en vain... puis seulement se remémora que lui-même en était. Il se plaça au beau milieu de la cour et hurla le ralliement:

- A moi braves compagnons, sus aux rebelles !
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Loucy

Loucy était restée dans son bureau, elle s'était endormie dans le fauteuil qui servait habituellement à accueillir les invités. Une légère couverture la couvrait, l'empêchant d'avoir trop froid. Il s'agissait plus là d'un repos précaire qu'une bonne nuit de sommeil, mais elle avait prévu de se lever tôt, et s'était couchée beaucoup trop tard.
Des clairons ..

Humm ... Binome .... Arrête d'imiter le clairon .. Je dors...murmura-t-elle, encore à moitié dans le monde onirique.

Puis prenant conscience du froid, se souvenant qu'elle était seule dans son bureau, elle se releva brusquement. Elle alla prestement jusqu'à sa fenêtre et regarda vers la Cour.
Le spectacle qu'elle y vit ... Elle aurait souhaité que ce fut un cauchemar et qu'elle puisse se réveiller.

Par Aristote ...

Elle remarqua Nau courir, poursuivie par des hyènes, elle n'avait pas le temps de s'interroger sur le pourquoi du comment de leur présence ici. Elle attrapa son épée, récupéra son bouclier en courant, et se dirigea dans la Cour.

Attaquer la caserne ... Il ne manquait plus que cela...

Elle se dirigea vers le bâtiment de Belley, allant chercher son CA. Elle remarqua qu'ils sortaient par la fenêtre, apparemment sous l'influence de Ripouf. Il les encourageait et les guidait. Elle regarda les soldats arriver un à un devant elle, tout en vérifiant que la voie restait libre. Que personne n'arrivait pour les attaquer. Puis releva la tête vers Ripouf

Allez Ripouf, tu es le dernier c'est ton tour ! Soldats, réunissez vous par CA, immédiatement. Les archers, vous venez avec moi. Les autres, vous restez grouper, les sergents et lieutenant vont arriver dans un instant.

Voyant la disposition se faire selon ses ordres, Loucy réfléchissait. Il leur fallait des arcs et rapidement ... Elle héla ses soldats à la suivre et se dirigea rapidement vers la lice, vers le terrain d'entrainement de tir à l'arc. Il devait bien rester quelques arcs là-bas, du moins de quoi leur servir ce soir. Que la majorité de ses archers en ait un.

Il manquait Naurestel parmi eux. Leur première étape serait d'aller la chercher ... Elle avait toute confiance dans les autres officiers et savaient que chacun gérerait parfaitement son CA. Il fallait donc réunir entièrement le sien, avant de se rendre au combat et d'empêcher que cette attaque réussisse.
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Duchesse et Capitaine
Sergent du CA des archers de Belley
Co Chef du recrutement

louis1er

Louis était encore endormis sur le ban à côté de la meurtrière de la taverne. Il était sur son noble destrier et galopait fièrement à la tête d’une centaine d’homme. Il portait un heaume cuivré et sur son bouclier l’on pouvait voir un blason en forme de chêne, il entendait sonner son cors, mais pourtant il ne le portait pas à la bouche… il bougea son bras et en voulant donner un cou d’éperon à son destrier il se retrouva sur le sol… Il n’était plus sur le champ de bataille, mais sur la pierre noir de la taverne de la caserne…

Le son du cors n’était qu’un son de cloche, il pouvait reconnaître parfaitement le son d’une alerte. Ayant été élevé au sein de la citadelle franche, Louis était rompu à l’exercice militaire. Le jeune homme se leva d’un cou, alla plonger sa tête dans le tonneau d’eau derrière le bar et se précipita vers les écuries. Il était tant d’agir, il attrapa sa côte de maille et l’enfila, il prit son heaume son épée et son écus aux couleurs de Tossiat puis rejoignit la cours.

Déjà le capitaine et régente de Savoie donnait les ordres.

Allez Ripouf, tu es le dernier c'est ton tour ! Soldats, réunissez vous par CA, immédiatement. Les archers, vous venez avec moi. Les autres, vous restez grouper, les sergents et lieutenant vont arriver dans un instant.

Louis qui excellait à l’arc, suivit loucy et se mit immédiatement à son service

Régente, Je suis à vostre service.

Le bruit de botte résonnait, la défense de la caserne se mettait en place. Il était grand temps d’agir. Louis prit un arc sur le support, ainsi qu’un carquois. Il se mettait au service de Loucy et la protégerais de son écus et de son glaive par la suite si la situation le nécéssitait….
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Naurestel

La jeune femme avait bifurquée vers le bâtiments de la garnison d'Annecy. Les soldats commençaient à sortir un à un du brasier. Cette pensée la soulagea un peu. Un grognement lugubre se fit alors entendre dans son dos. Les hyènes. Décidement c'était une vraie plaie. Voyant que les soldats étaient désorganisés et pas tous armés, elle changea de cap avant que les animaux les remarque.

La caserne de la Savoie était bourdonnante. Mais une telle activité aurait été davantage apprécier si elle avait été dans le cadre d'un entrainement militaire quelconque. Des ordres résonnaient ci et là, mais la jeune Belleysanne n'avait aucune façon de savoir si c'est compagnon était tous sortis.

Ses pensées filaient comme une flèche. Elle eut d'abord l'idée de se réfugier dans la forêt pour les prendre un à un, mais les arbres et leurs racines la ralentirait suffisament pour qu'elle devienne un repas sur un plateau d'argent, or il lui fallait resté en vie et aidé la savoie. Se disant qu'elle ne perdrait rien en essayant, elle se dirigea vers le parcours installé par Julius. Si elle ne pouvait pas se mettre en sécurité, elle s'armerait dignement.

Après avoir contourné l'étang et s'être rendue à l'épouvantail elle abandonna son manche pour l'épée d'emprunt. Bien qu'elle ne soit pas tout a fait fait pour elle, Naurestel était convaincue que ça l'aiderait. Elle empoigna solidement la garde et à peine fut-elle retournée pour faire demi-tour qu'une hyène se précipita sur elle.

La jeune femme leva son arme qui brilla sous la lune. Plainte stridente. Respiration sacadée. Dernier souffle. L'animal retomba inerte à ses pieds. Les autres se rapprochèrent, furieux de perdre un compagnon. Les vêtements détrampés et tâché de terre et de sang, les cheveux plaqués sur sa tête, elle leur lança un regard dur et impitoyable.

Un autre canidé s'élança, bien que trop hâtivement. Attaque futile, réussite impossible. Il subit le même sort que le premier. Cette fois, elle les attendait de pied ferme.
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Soldat-Infirmière de Belley

Niac

Niac dormait paisiblement, épuisée par ces longues et dures journées entre les entraînements à la caserne et son travail de Chancelière Impériale. Elle fut réveillée par le clairon et par un soldat qui criait à tue tête à une invasion. Encore à moitié endormie les mots résonnèrent dans sa tête et percutèrent en quelques secondes, si bien qu’elle fut immédiatement réveillée par la décharge d’adrénaline qui la parcouru comme un frisson.
Elle se trouvait dans la chambrée des femmes, elle sauta dans ses braies et réveilla les soldats des deux chambrées dont l’agitation n’avait nullement perturbé le sommeil.

Debout !
On nous attaque, dépêcher vous, laissez vos doux rêves de cotés et rejoignez vos Corps d’Armes.

Ensuite la Duchesse de Suse était allée dans la cour en éclaireuse elle s’était faufilée entre les bâtiments des garnisons, armée de son épée prête à fendre l’air et de son bouclier prêt à se lever en cas d’attaque.
Elle restait dans l’ombre des tours dans lesquelles crépitaient des feux, apportant un peu de lumière aux gardes qui scrutaient les environs. Mais de ce que Niac avait pu en voir, les gardes n’étaient plus à leurs postes, probablement assommés par l’assaillant pour faciliter le passage de leurs hommes le plus discrètement possible.

L’obscurité l’empêchait de voir au loin les attaquants, elle n’en n’aperçut qu’une partie, elle continua de se glisser lentement vers la tour principale, de là elle allait pouvoir observer tous les événements, elle pourrait alors également allumer le feu de détresse, celui qui dégage une grosse fumée et dont les lumières s’aperçoivent jusque la Capitale : Chambéry !
Bucher d’habitude éteint qui ne sert qu’en cas d’attaque pour prévenir la population que quelque chose se trame, et pouvoir ainsi mettre en sureté toutes les richesses du duché. Mettre à l’abri femmes et enfants dont la faible force de combat n’est point indispensable. Permettre aussi aux renforts d’être prévenu et de se diriger vers la caserne d’une part et vers le château d’autre part.
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La carte de la Caserne à consulter pour tout mouvement par soucis de cohérence RP :
http://armeesavoyarde.forumpro.fr/la-cour-f62/plan-de-la-caserne-de-l-armee-de-savoie-t4163.htm

Quorum

Quorum se leva de son lit et sonna le clairon à la chambré des hommes

Templar ! Syxte ! Bourbier ! Eddo ! Avec moi !

Quorum commençait à distribuer les armes, lances et bouclier,pendant que les soldats s'habillait de leur côte de maille.suivit de Templar, Syxte, Eddo et Bourbier ils parcoururent le quartier annecien.Rien à signaler ! Il donna les ordres:

Mon CA vous irez avec moi.2eme CA suivez Calcoir jusqu'au troupe belleysanne et Le premier CA...Ben vous ferez ce que vous dira votre lieutenant.

Ceci montrait le désarroi dans la caserne.Le troisième CA faisais un tour de garde pour voir l'état de la caserne 10 minutes plus tard ils était revenus.

Lieuteant percé du coté de la cour d'honneur le deuxième CA il est partit sous mes ordres que faisons-nous ?
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Laveur de vaisselle

Eddo

Cela faisait plus d'un an qu'Eddo n'avait pas eu d'exercice militaire, un an ou il n'avait pas vraiment prit la peine de faire plus d'exercice que nécessaire. Pourtant quand le clairon sonna, quand le sergent hurla, Eddo se leva d'un coup, comme si cette année n'avait pas existé, comme s'il était revenu au bon temps des attaques surprises. Une fois levé Eddo mis sa chemise, non pour le fait de s'habiller, mais parce qu'il faudrait être fou pour mettre une cote de maille sur un simple haut de corps. Puis après avoir enfillé la cotte et l'avoir ajusté, Eddo prit l'épée et le bouclier, soupesant l'un et l'autre Eddo les positionnât et suivit son sergent.

En faisant ces gestes machinales, tant et tant de fois répétés, dans tant et tant de conditions, Eddo comprit qu'une chose clochait dans l'exercice. Pourquoi se raffut, pourquoi cette fumée, pourquoi ces cris et ce sentiment d'un danger omniprésent? Et c'est quoi ces hurlements? Pas des chiens, pas des loups, quoi alors?

En toute logique, le sergent commença par faire le tour du bâtiment, le crédo "réfléchissez, sécurisez, contre attaquez" comme un mantra revenait dans les oreilles du novice. Mais contre attaquer qui? ou était le lieutenant et la capitaine... Eddo eu un moment d'arrêt, la Régente et si elle était dans la caserne?

Sergent Quorum, la Régente? est-elle dans les murs?

Eddo savait qu'il n'avait pas à diriger l'opération et cela lui changeait, en bien, pas de décision à prendre, pas de regard affolé comme vis à vis, juste des ordres et du sang.

Dehors la pluie tombait en continue, le froid mordant entrait dans les bâtiments et par les fenêtres l'on pouvait voir que l'assaillant, ou l'exercice de grand ampleur, touchait toute la caserne. Des ombre passait dans la cour, ami? ennemi? mais si ennemis, qui?

Citation:

Lieutenant percé du coté de la cour d'honneur le deuxième CA est partit sous mes ordres que faisons-nous ?

Eddo avait déjà trois ordres en tête, mais se retint, tu ne diriges pas la défense, tu ne fait que de la charpie des ennemis qui passent. pensa Eddo, il raffermit sa garde et continua à suivre son sergent.

ripouf

À maintes reprises Ripouf se fût demandé de sortir de là. Il était en effet le dernier et se sentait soulagé, mais fît vite sortie de ses espoirs en voyant que la fumée commençait à entrer dans la pièce...

Bon, et bien c'est à mon tour...

Il se jeta sur les draps comme les autres et se joignit aussitôt au Capitaine.

Ne sachant pas quoi faire, la panique s'en était prit à lui...

Capitaine, il a peut-être encore du monde à l'intérieur, et les brigands sont peut-être encore ici, et Naurestel elle.....? Il perdit souffle à force d'énumérer le tas de choses qu'il lui passait par la tête.
La pluie du mois de novembre tombait à grosses gouttes. Celle-ci tombait encore plus fort, et cette pluie manquait de très peu d'être transformé en neige s'il aurait fait plus froid. Ripouf qu'en a lui, avait encore le torse nue, à cause de la chemise qu'il à sacrifier à mettre sous la porte...

Il grelottait, mais ne s'empêcherait pas de raisonnée pour autant. Maintenant il devait suivre les ordres du Capitaine. Ils se rendirent avec efficacité et rapidité sur le champ de tir pour y prendre les arcs de mauvaises qualité, mais qui serait sans doute mieux que n'importe quoi d'autre. Ils se retournèrent, arc bandé, flèches encoché et la seule chose qui se fit attendre était: Ils n'ont qu'à bien se tenir....
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D'ici jusqu'au bout du monde, présent je serai, d'ici jusqu'au bout du monde, j'y arriverai.

forigoler

Quand Forigoler quitta l'infirmerie ce jour là, elle décida de passer voir sa jument à l'écurie. Elle commençait à vraiment aimer le contact de ce bel animal. Ensemble, chaque jour, elles s'entrainaient à l'attaque des brigands sur des pantins de paille. Forigoler manquait encore de beaucoup de force pour pouvoir réussir l'exercice de la lance mais chaque jour les progrès étaient notoires.

Ce soir là, la jument lui parut différente des autres soirs. Elle ressentait une inquiétude dont elle ne pouvait comprendre la raison. Alors tendant l'oreille, elle écouta les bruit de la nuit et ... elle aussi, perçut des bruits étranges ... des hurlements bestiaux ... puis des bruits de clairon ...

Que ce passait-il ? Un exercice ... une attaque ... ? Quoiqu'il en soit, il valait mieux aller voir ... mais pas sans arme. A cheval, c'était peut-être moins risqué mais plus bruyant aussi ... quel dilemme ... Elle alla donc récupérer une épée qui servait lors des entrainements d'équitation, contoura les bâtiments et c'est là qu'elle vit l'ampleur de la situation, la caserne flambait.

Elle retourna donc aux écuries, scella sa jument, et se dirigea au pas vers les batiments de la garnison.

Elle rejoignit quelques uns de ses compagnons qui semblaient comme elle désemparés ... Elle prit quelques renseignements auprès d'eux mais ils attendaient les ordres qui ne semblaient pas venir ...
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xarius

Xarius entendit crier. Il se demanda pourquoi il y avait tant de mouvement. Puis il vit Fori qui lui dit que la caserne etait attaqué. Il regarda autour de lui et cria

Cavalier a cheval Il courra chercher tout le monde puis monta sur sont cheval
Loucy j'attends tes ordres
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Jacouillet

Jacouillet était assis sur une chaise à l'extérieur, en train de jouer du luth, un verre d'eau de vie à portée de main. En face se trouvait un auditoire, plus ou moins intéressé par la musique. Certains profitaient de ce moment de calme pour bichonner leur épée, ou dormir. Il faisait froid, très froid, et les peaux de bêtes biens chaudes et moelleuses étaient de rigueures. Cependant son coeur avait froid, il commençait déjà à en avoir assez de se temps pourri.

Il finit par s'arrêter de jouer et posa son instrument juste à côté de lui. Il s'étira et bailla en même temps. Il se leva, fit quelques pas afin de se dégourdir les jambes. Il leva les yeux vers le ciel.

Des cris le firent sursautés, au loin il vit Quorum, l'épée au clair et qui hurlait.

"Templar ! Syxte ! Bourbier ! Eddo ! Avec moi !
"

Jacouillet comprit tout de suite qu'il se passait quelque chose de mauvais. Il dégaina son épée et lui aussi se mit à crier

Aller les gars, il est temps pour nous de bouger nos petites fesses. Vous avez entendu, au boulot et montrez que vous êtes dignes de l'armée de Savoie. Tous à vos CA.

Jacouillet courut rejoindre le sien.
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Les Cotereaux

On avait relâché les hyènes, les vraies. Dans ce branle-bas de combat point organisé, les soldats semblaient désorientés mais quelques uns déjà, pommeau au poing, heaumes et salades de travers, en découdaient déjà avec la meute à quatres pattes. Très vite, les animaux se dispersèrent, fuyant sous les coups meurtriers des épées, ou fonçant droit dans l'action, les crocs découverts, salivant à qui mieux mieux.

Encore et toujours, tout se déroulait sans le moindre cafouillis qui aurait pu compromettre quoi que ce soit.
On observa les petits groupes se former autour d'officiers qui criardaient dans la nuit. On se mit en place, cordes se tendirent. Le signal fut attendu.

Le ciel laissa zébrer quelques éclairs, continuant à asperger doucement la pierre, le bois, la terre, métamorphosant certains en surfaces glissantes, d'autres en boues gluantes.

Dans l'indescriptible bazar , au travers fumée et cris, le clairon trompetta à nouveau. Des flèches fusèrent de toutes parts, des créneaux, des tours, des bâtiments, des recoins de la cour. De courts poignards furent tirés de leur ceinture et tranchèrent à maintes reprises. Pris à même les réserves savoyardes, de lourdes barriques furent ouvertes du haut des remparts. Un déluge s'ajouta à la pluie alors que l'eau contenue dans les tonneaux se déversaient sans vergogne. Les flèches atteignirent leurs cibles, transperçant les sacs de paille et de farine, suspendus en hauteur qui laisserent tomber une neige plutôt particulière. Sans compter les énormes sacs de jutes éventrées qui laissèrent échapper des plumes diverses sur les officiers, cibles privilégiées. Au final, un peu en retard, comme imprévu au plan, les chevaux furent relâchés au fond des écuries en direction de ladite cour en pagaille. Piqués aux flancs, les équidés galopèrent en désordre, manquant percuter les soldats en maintes occasions.

Et comme si ce n'eût pas été assez, de l'ombre sortirent les maîtres du capharnaüm. Tout de noir vêtus, ils restaient difficiles à distinguer mais à la lueur des zébrures lumineuses du firmament, on peut entrapercevoir leurs rapières, leurs épées et autres outillages tranchants. Leurs cris fusèrent, mi-coyotes, mi-hyènes, comme une horde d'hommes sauvages. De leurs gorges ils poussèrent moults ricanements sadiques et discordants, à la manière d'horribles démons. Ils s'engagèrent dans les couloirs, dans la cour, se fondant un instant dans l'ombre, se montrant aux yeux le moment d'après.

Tous avaient un but précis. S'approcher des officiers et leur en faire voir de toutes les couleurs, et même plus.

Ils franchirent le chaos à toutes jambes, comme entraînés à la situation. Quelques petites grappes d'obscurs personnages se formèrent. L'une d'entre elle se rapprocha de Grangousier et ceux qui tentaient de s'orienter autour de lui. Vifs comme pas possible, les agitateurs attaquèrent de partout, à dextre ou à senestre, dans des attaques bien orchestrées, les armes frappant boucliers, choquant contre leurs vis-à-vis de leur ennemis. Même scénario se reproduit envers Quorum, Xarius et tout autre officier accompagné par sa petite troupe de soldats.

Du côté des lices, un groupuscule d'individus ténébreux s'insinuèrent sous le couvert de la nuit vers ceux qui tentaient de se procurer des arcs. Leurs ordres étaient on ne peut plus clair; Ils devaient séparer la Régente et Capitaine du reste des troupes qui pourraient l'accompagner. Telles étaient les paroles du chef, qui s'occuperait probablement d'elle personnellement... très probablement. Les assaillants fondirent sur leurs proies en poussant leurs affreux hurlements, obligeant ceux qui se munissaient d'arcs à les délaisser pour prendre des armes de corps à corps, ou bien, en désespoir de cause, la fuite...

/HRP Je tiens à préciser qu'aucun des personnages non-joueurs de mon crû ne pourront être blessés ou tués par autre que mon bon vouloir. Battez-vous contre eux, mais sachez qu'ils ne menaceront pas votre vie, et que, de même, vous ne pourrez menacer la leur. Merci.

lavava

Lav qui ne dormait pas depuis la mort de mahaut avait décidé de quitter un peu la mairie pour se réfugier là où elle se sentait le mieux. Couchée sur sa paillasse elle fixait le plafond, incapable de fermer les yeux quand un bruit qu'elle exécrait, celui du clairon, finit de l'énerver. S'en suivit un vacarme assourdissant. Tout ceci ne présageait rien de bon. Elle sauta dans ses chausses, attrapa son bâton et son bouclier et courrut dans les couloir enfumés. La fumée âcre irritait ses yeux, sa gorge brulait. Elle courrait dans les couloirs, il fallait qu'elle sorte le plus vite possible...
Enfin ! Enfin de l'air ! Elle respira un grand coup
Le sergent Xarius était en train de rassembler ses soldats. Albus qu'elle n'avait pas eu le temps de désseller, était toujours au même endroit à l'écart, énervé par tout ce vacarme et cet affollement. Elle courrut vers lui, eut juste le temps d' rattraper ses rennes avant qu'il ne s'enfuit appeuré. Elle réussit apres maints efforts à le calmer un temps soit peu et grimpa en selle. Elle partit enfin rejoindre son sergent.
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Niac

Niac se rapprochait de la plus haute tour, la Grande Tour, celle ou se trouvait le feu de détresse ! Ce coin était plutôt calme, la bataille se déroulait de l’autre coté, prés des remparts et de la grande cour.
Elle entra dans l’hôpital et se saisi d’une torche afin d’allumer le bûcher. Elle se dirigea à toute vitesse vers la dites tour et grimpa les escaliers, la paille prit en un clin d’œil, elle attendit quelques secondes afin de s’assurer que le bucher prenait bien.
Le feu était recouvert d’un petit toit surélevé afin que la pluie ou la neige ne l’éteigne pas, petit toit qui s’enflammerait surement une fois que le brasier prendrait de l’ampleur.

Elle redescendit par où elle était montée et pris le chemin vers la cour, là où le remue ménage se passait. Elle repassa sur le côté de l’hôpital, entre les deux terrains de lices et bifurqua à droite vers la cour où elle arriva.

Le spectacle était plutôt surprenant et désolant, des plumes volaient dans tous les sens, de la farine, ainsi que d’autres condiments et marchandises provenant des réserves de la caserne.
On aurait dis que certains soldats s’étaient battus avec des poules dans un poulailler. Elle imaginait les soldats dans le petit poulailler.
Niac ne put réprimer un léger sourire mais la réalité la fit revenir à elle aussitôt.

Dans la cohue, elle aperçu la Régente, Loucy et se dirigea vers elle.
En effet, elle ne reconnaissait pas son Lieutenant dans l’agitation.

Elle commença par la saluer et à se présenter, bien que les deux femmes étaient amies, et se connaissaient bien, ce fut un automatisme pour Niac que de le faire.

Madame la Régente !
Soldat Vétéran Niac, Fantassin d’Elite d’Annecy, à vos ordres Madame.

La Duchesse attendit un signe de la Régente !
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La carte de la Caserne à consulter pour tout mouvement par soucis de cohérence RP :
http://armeesavoyarde.forumpro.fr/la-cour-f62/plan-de-la-caserne-de-l-armee-de-savoie-t4163.htm

thornton

A l'hôpital

Foutu quinte de toux! A peine remis de la maladie qui l'avait maintenue au lit quelques jours. Thorn travaillait dans la caserne et classait quelques dossiers, inspectant quelques soldats. Foutre dieu, des bombardes semblaient tombaient sur la caserne, à croire qu'Aristote faisait les éclairs et qu'il les dirigeaient droit sur la caserne. Des cris lui emplirent les oreilles, il se leva et prit son épée et son bouclier non loin de lui. Il mettait toujours un poignard à sa ceinture... Au cas où se disait. Ben peut être bien que ce cas où sera ce soir.
Courant vers la naissance du bruit, il se demandai qui avait l'audace de causer un tel bordel. Ah! Les foutus Judas avaient attaqués! Cela ne pouvait être que ça...Finalement, le jeune Louis allait surement l'accompagner à la potence, enfin s'ils survivaient.

Sergent Grandgousierrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr! Qu'est ce que c'est que ce boxon?
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Soldat-infirmier

cuistox

Cuistox entendu qu'il se passait quelque chose d'anormal et sortit du batiment pour voir ce qu'il s'y passait et vit que tous les soldat prenaient leurs armures et armes!

D'un coup il vis son luitenant qui lui cria de s'armer au plus vite et de les rejoindre car nous étions attaqué.

le sang de cuistox ne fit qu'un tours et sans demandé d'autres explication fonca jusqu'a l'écurie pour prendre son cheval et partir au plus vite rejoindre ses frères d'armes pour leurs preté main forte!

Sergent! cria cuistox je suis avec vous!
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Cavalier de Belley

Loucy

Arrivés pour prendre les arcs, ils eurent la mauvaise surprise de voir qu'il en manquait un. Un soldat devrait combattre avec son épée. En tant que Capitaine, et sachant manier l'épée, ayant pris cette habitude, Lou décida qu'elle ne prendrait pas d'arc, les laissant à ses soldats.

Une fois équipés, ils se hâtèrent de se diriger vers la Cour. La jeune femme tenait son épée et gardait son bouclier, surveillant autour d'eux à chaque pas. Elle criait quelques ordres aussi, leur ordonnant de rester grouper et de ne pas hésiter à tirer sur les ennemis. Elle leva la tête vers ce qui tombait sur eux.

Mais qu'est ce que c'était que ce bazar ! Voilà que des plumes et des denrées alimentaires leur tombaient dessus. Manquait plus que ça, pensa-t-elle. Ils étaient bien beaux à voir .. Enfin ce n'était pas le moment de penser à ça, il fallait rester concentrer, l'heure n'était pas à l'esthétique !

Ils n'avaient que peu avancer, étant toujours du côté des lices quand elle entendit une voix familière l'interpeler.

Madame la Régente !
Soldat Vétéran Niac, Fantassin d’Elite d’Annecy, à vos ordres Madame.

Bien. Soldat Niac, en attendant de trouver votre lieutenant, restez avec nous. Je vous prends sous mes ordres. Suivez nous, nous nous rendons dans la Cour afin de combattre.

La Régente vérifia que Niac avait son équipement et fit un léger sourire en voyant que c'était le cas.

Elle venait à peine de vérifier cela qu'elle aperçut des ombres bouger. Elle regarda autour d'elle et pensa à ses soldats aussitôt. Ils étaient trop près ... Beaucoup trop près pour utiliser des flèches ... Ca ne servirait à rien dans ce cas là ...

N'utilisez pas vos arcs ! Vous gâcheriez des flèches et ne les blesseriez pas ! Que chacun d'entre vous utilise son arme ! Battez vous ... Vous en êtes capables !

Loucy se mit en position d'attaque, évaluant en même temps la situation, chose difficile dans le noir ... Elle n'était pas sure de voir tous les individus... Quoiqu'il en soit il était hors de question que ses soldats perdent la vie, elle venait déjà de perdre une soldate de son CA, il n'était pas envisageable que cela se reproduise.
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Duchesse et Capitaine
Sergent du CA des archers de Belley
Co Chef du recrutement

xarius

Xarius etait sur sont cheval. Puis il appercut Forigoler accompangné de Lavava et de Cuistox. Il les regarda et leur demenda
Ou est Sirlapinus ? Nous allons rester grouper !!!

Xarius tourna la tete et vit que les envahisseur s'approché de plus en plus
Tenez vous pret !!! Sortez vos epée et montrer leur comment se defend un savoyard !!
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Grandgousier

Les Cotereaux a écrit:

Ils franchirent le chaos à toutes jambes, comme entraînés à la situation. Quelques petites grappes d'obscurs personnages se formèrent. L'une d'entre elle se rapprocha de Grangousier et ceux qui tentaient de s'orienter autour de lui. Vifs comme pas possible, les agitateurs attaquèrent de partout, à dextre ou à senestre, dans des attaques bien orchestrées, les armes frappant boucliers, choquant contre leurs vis-à-vis de leur ennemis.

Grandgousier para le coup d’estoc de l'homme en noir avec son bouclier, la douleur résonna dans tout son bras. Vivement il feinta à senestre, repoussa l’ennemi déséquilibré d’une poussée violente et manqua de lui ouvrir la mâchoire de sa bâtarde, d’un coup remontant en diagonale. Encore mal réveillé, couvert de sang et de boue il voyait le dernier carré des quelques compagnons qu'il avait pu rassembler s’amenuiser de minutes en minutes autour de lui. Et ces hommes de l'ombre qui revenaient sans cesse. Comment était-il possible qu’ils soient aussi nombreux ? Par Aristote ! Plus nombreux que les grains de raisins dans les vignes de feu le duc Alpi. Des fantassins dur au mal qui encaissaient aussi bien que ses vaillants compagnons.

Il ne vit pas venir le poignard de l'homme masqué qui s’enfonça dans sa cuisse. Il en poussa un tel rugissement de colère et de douleur qu'il y eut un léger reflux des combattants masqués, impressionnés bien malgré eux par sa masse verte et le tonnerre qui lui servait de voix. Il avait réussi à saisir son agresseur par le col:

- Mortecouilles, est-ce ainsi que tu comptois me faire rendre mon âme à Dieu, vermyne noire ? Bats-toi ! gronda-t-il, avant de le lâcher tout aussi brutalement.

Il se reprit immédiatement, et tous ses hommes avec lui, guère plus d’une vingtaine, galvanisés par sa puissance brute et animale. Grandgousier tout en se battant furieusement entonna le chant du deuxième CA chambérien d'un ton rageur. Tous le reprirent. La plupart des agresseurs se figèrent pendant quelques secondes. Qui étaient ces fous qui allaient à la mort en chantant des paillardises ? Qui étaient ces fous qui se battaient en chantant ? Mais cela ne les arrêta pas bien longtemps.

Et puis de l’extérieur du cercle de fer il reconnut la voix gromellante de Thorton :

Thornton a écrit:

Sergent Grandgousierrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr! Qu'est ce que c'est que ce boxon?

Il meugla à son tour par dessus le fracas des armes:

- Par icy, Thorton, vil broute-légume ! A moy Chambéry, viens doncques te battre ! Fini la sieste à l'infirmerie ! Il faut croire que Dieu a d’autres projets pour nous !

L'excitation du combat et la pensée de voir un Thornton à peine réveillé sortir au combat les braies sur les genoux décuplèrent son énergie. Il était hilare.
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thornton

Le soldat entendit son sergent beugler, preuve qu'il n'était pas encore mort et même qu'il se battait courageusement. Dégainant son épée, il alla défendre son sergent et s'attaquant à l'arrière garde du cercle, il repoussai les ennemis, tranchait à tout va.

Salopiots! Vous me ferez pas un deuxième trou là où j'en ai déjà un Taïhaut!

Il se précipita vers l'ennemi, en fendant les épées, son bouclier droit devant lui et beuglant toujours à la mort. Le bouclier lui masquait la vision, il trébucha sur un corps sans vie et se retrouva nez à nez avec son sergent.

Ah! Bonsoir GG, belle soirée pour mourir non?

Il lui sourit et sans attendre sa réponse ou son coup de pied au cul, il se remit en garde, prêt à repousser les ombres.
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Soldat-infirmier

Asiac

Asiac qui lui était tranquille dans son bureau entrain de remplir de la paperasse en fumant de sa pipe préféré entendit sa porte presque défoncer par les coup porté à cette dernière. Il se leva en sursaut et alla vite ouvrir l'épée à la main. Derrière la porte se trouvait un garde de la caserne. Il avait l'air essoufflé. Il prit une gande inspiration et dit très rapidement:

Une attaque sur la cserne vite!

Asiac pris les jambes à son cou et partit aux pas de courses rejoindre son Capitaine qui avait surement besoin de lui. Il sortit de l'état major et s'arrêta pour tenter de voir ou d'entendre de ou se battaient les soldats. Le garde réussit à le ratrapper et posa une main faible sur son épaule.

La Capitaine est à la grande tour Messir.

Asiac se retourna vers le valheureux garde.

Merci à vous cher garde, rejoignez votre corps d'arme et soyez prêt svp.

Asaic repartit à la course, direction la grande tour. Il passait par tout les petits raccourcit qu'il connaissait. Ayant lui même contruit de ses mains nues cette caserne, il savaittrès bien tout ses petits secret. Il arriva finalement devant la grande tour. Il s'arrêta brusquement pour tenter de trouver Loucy. Il la vit au loin, le dos contre la parroit de la tour. Il se dirigea le plus vite qu'il put vers elle. Il s'installa à ses côtés et lui donna un petit coup de coude pour qu,elle se rendre compte qu'il était là.

Bonjour, Capitaine, on m'a dit qu'il se passait quelque chose de pas commun et de non désiré? Qu'est-ce que je peux faire pour vous aider?

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Naurestel

La jeune femme tentait d'avancer vers le centre de la cours. Là ou le plus d'action se déroulait. Elle savait bien que c'était la pagaille et qu'ils étaient tous désorganisés. Mais ainsi isolée elle était qu'un agneau sans défense. Frappant les hyènes de plus belle. Tuant tout ce qu'elle pouvait. Elle avança lentement et surement.

Un cheval effaré passa à quelques centimètres d'elle. Elle dut retenir un cri de surprise avant de s'esquiver prestement. Il n'était guère le moment de distraire qui que ce soit. Revenant du terrain d'entrainement elle distingua au loin Ripouf aux prises avec des hommes. Il y en avait partout! "Pourquoi?"

Elle repéra quelques hyènes qui se rapprochait dangereusement. N'écoutant que son courage elle s'élança et se plaça derrière Ripouf, dos à lui pour protéger ses arrières.

- Tout le monde est sorti?, s'enquit-elle entre deux coups. Ça va?

Un canidé bondit droit sur elle, mais sa lame, parfaitement ajusté porta un coup. Un seul. L'animal retomba la tête tranchée.
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Soldat-Infirmière de Belley

robter

S'éveillant brusquement au son d'une grande détonation. Il trouvait que le maître Canonnier exagérait de faire ses essaie à une heure si matinale, quand dire, dans la nuit. Dans le quartier général où il se trouvait en train de dormir sur son dernier rapport en tant que Logisticien de l'Armée "Dia Loupious danya dé Savoy". Furieux il se leva pour aller lui dire sa façon de pensée.

Lorsqu'il sortit il vit des flammes au sein de la caserne elle même.

Ah mais qu'elle bourde ! Puis il réfléchissa rapidement, jamais Frode ne pointait ses gueules de feu vers la caserne. Ils sont envahi fut sa rapide compréhension. Il entendait des hurlements qui furent suivit par le cliquetis d'armes et armures. Il aurait aimé que se soit un banal cauchemar, mais tout le ramenait sur une réalité plus que tangible.

Avant de se diriger vers le lieu de la bataille il prit soins avec l'aide du Connétable Asiac d'assurer à ce que le quartier général soit sécurisé. Il posta soigneusement les Soldats aux endroits stratégiques pour en effectuer la meilleure défense qui soit. Il demanda à ce que deux hommes assurent le rôle de guetteurs sur les toits.

Ceux-ci l'avertirent que les Sergents Grangousiers et Quorum et leurs hommes respectifs se battaient déjà vaillamment et que le signal d'avertissement brûlait déjà son toit. On lui fit remarquer que l'étendard de la régente faisait toujours figure de ralliement. C'est ensuite qu'il alla vers ses hommes dans la caserne de Belley, qui est la plus populeuse. Il se dit que de là bas ils pourraient tout réorganiser. Avant de s'y rendre il envoya une cohorte vers la porte d'entrée afin d'éviter que d'autres assaillants ne viennent en renfort. Mais on lui dit que la herse était toujours close et sous bonne garde, mais par où l'ennemi était-il passé ?

Mon Connétable, je crois que cette pluie leur a certainement servit de couverture pour s'approcher sans se faire entendre.

C'est le Sergent Xarius qu'il vit en premier, il lui commanda de prendre la tête avec ses Cavaliers pour effectuer une reconnaissance des lieus tout en prêtant main forte aux Sergents Quorum et Grangousier.

Xarius, Lavava, forigoler et Cuistox, attaquez l'ennemi seulement après votre reconnaissance et lorsque mes deux CA de fantassins auront commencer à attaquer dans la cour. L'effet de surprise sera total. Que le Très Haut vous protège.

Lavava j'espère qu'il y a l'assassin de Mahaut la dedans.

Les Archers Belleysans sous la gouverne de la Duchesse il n'avait point à s'en occuper. Il rassemblera tout les fantassins de Belley avec le Sergent Batfranki pour y débusquer ces canailles et leurs hyènes.

Passant aux côtés de Ripouf il lui dit :

Tu en voulait une mission, et bien tu es servis maintenant. Rejoins les autres Archers avec le Capitaine.

Quartier général sécurisé.
Casernes en flammes qui j'espère sera ralentit par la pluie du Très Haut.
Porte d'entrée sécurisé.

Avec ce constat il se dirigea avec une poignée de frères et soeurs d'armes vers la Cour où l'action se déroulait. En passant par le comptoir du Mess il eu la surprise de voir s'étaler sur lui une montagne de plumes poisseuses et collantes, quel mauvaise plaisanterie.

Mais qu'est-ce que c'est que ça !!! S'essuyant à tout le moins le visage pour ne pas perdre son sens le plus précieux du moment, la vue. Que de ridicule, mais il n'est point le temps de pleurnicher.

Aux abord de la bataille dans la Cour, il vit Naurestel qui avait mal à partir avec ces maudites hyènes et elle était isolée en plus. À l'arrivée d,une troupe si nombreuse celles ci s'enfuiyèrent et il damanda à ce que L'archer infirmière les rejoignent, puis d'un pas décidé, bravant les flèches tout en augmentant la cadence pour aider les Soldats de Bourg et de Chambéry.

CHARGEZ !!! AAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH !!! Bouclier et épée en main, visière baissée.
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Lieutenant et Recruteur de Belley
Ex-Logisticien

Naurestel

La présence de son ami et Lieutenant Robter la rassura très vite. Ayant remonté jusqu'à Ripouf, elle se battait avec hargnes. La nuit s'annonçait longue. Très longue. Mais cela n'importait que peu à présent. La bataille faisait rage dans les rangs de l'armée savoyarde. Une première vraie bataille depuis qu'elle avait rejoinds ses rangs. Décidés à repousser l'ennemi coute que coute, elle resta néanmoins attentive aux ordres qui étaient crier ça et là.

Robter tentait de son mieu d'organiser les troupes, tandis que Loucy faisait elle aussi de son mieu. Une hyène apparut dans son champs de vision et elle frappa. Ne perdant pas une seule seconde elle céda le passage à une autre avant de refrapper. Un homme tout de noir vêtu se présenta à elle. L'envahisseur.

Naurestel sentit la colère et l'adrénaline monté en flèche, mais se contrint uniquement à se défendre à qui mieu mieu. Elle ne connaissait rien de ses hommes et ce n'était pas le moment de les sous-estimer.
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Soldat-Infirmière de Belley

ripouf

Ripouf, toujours placez prêt du capitaine, avançait vers la cour. Au fur et à mesure qu'ils avançaient, la peur s'en prenait d'avantage tout comme l'excitation. Ils avancèrent dans le vacarme des bruits sourd du clairon et les soldats en alerte lorsque, sortit de nulle part, le groupe se fait assaillir de tout bord tout coté... Il vit non loin de lui le lieutenant qui s'approchait, maniant l'épée avec grâce et se frayer un chemin jusqu'au groupe.

Citation:

Tu en voulait une mission, et bien tu es servis maintenant

il ne pût s'empêcher de rire, même si le moment était grave.

Mais Lieutenant où est votre CA? Bahh pas la peine de discuté, nous devons protéger Loucy!

L'assault fût commencer, et après la demande du capitaine de changé d'arme puisque ceux-ci était trop près, Ripouf se sentit plus confiant. Les épées s'entrechoquèrent. Un combat sans merci des soldats contre les brigands. Un combat à faire défrisé les caniches. L'entraide était toujours le mot d'ordre et voilà qu'ils combattaient vraiment ensemble pour la première fois.

Mais ou est Naurestel!? ce demanda-t-il juste au moment ou, reculant d'un pas, fit dos à dos avec elle.

Ahhh! te voilà! et déjà armé! tant mieux! On se lance sur c'est 2 là!

Il pointa en direction du coté droit du capitaine...Il n'avait pas le temps de faire du bavardage, il fallait réagir.

Ripouf voyait la bataille se déroulé, chacun se donnait au maximum... Il fit quelque regard rapide en direction de Loucy, tout allait bien, elle se débrouillait....

À l'assault!!!!!
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D'ici jusqu'au bout du monde, présent je serai, d'ici jusqu'au bout du monde, j'y arriverai.

alex6560

Alex s'éveilla brusquement suite à de noimbreux bruits dans a caserne. Il fut réveillé aussi par le hurlement du sergent Xarius dans la garnison de Belley. Il se leva, s'habilla rapidement bien chaudement, pris son fourreau et son bouclier et avança vers les remparts.

Beaucoup de soldats étaient rassemblés et la pagaille faisaient rage. Il avait peur, peur pour tous ces amis et il espérait que rien ne leur arriverait. Il sortit son épée et s'avança, essayant de chercher un officier, esquivant les denrées alimentaires qui tombaient de toute part accompagné de plumes qui grattait le nez lorsqu'elle tombait trop près. On entendait des cris de rage d'aissaillants qui grimpaient les remparts mais il n'en vit pas encore malgré le tintement des épées que l'on pouvait entendre et le crissement de la corde des arcs.

Il pensait aussi au sergent Batfranki, il avait peur qu'il lui arrive quelque chose alors que celui ci venait d'être papa mais il ne fallait pas y penser et il aurait aimé le voir avant le grand combat .....
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louis1er

Quorum

Jacouillet

Quorum

ocdbill

Turbulette

Quorum

forigoler

Turbulette

Les cotereaux :

Citation:

Frode

robter

***Ceci est un message de modération.***

Quorum a écrit:

louis1er

sirlapinus

cavalier du 1er régiment de cavalerie de Belley

Grandgousier

Citation:

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thornton

xarius

Fori on retourne au combat. C'est pas une petite blessure qui va m'arreter !!!
Il remonta sur sont cheval et alla en direction de Sir
Je suis la Sir alors vous restez sous mes ordres.
Nous allons les contournes et voir si il y en arrive pas d'autre ensuite nous partirons au frond.
En avant
Il donna une petite tape sur sont cheval puis parti
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forigoler

J'en étais sûre Sergent ! Je vous suis ...

L'oeil aux aguets, ils continuèrent leur repérage, non sans éliminer ci et là quelques hommes noirs dispersés.
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Asiac

Asiac avait entendu l'ordre donné par Quo, il n'était pas d'accord, mais il se dit qu'il règlerait cela par après. Pour l'instant il se devait de se concentrer sur ce qui se passait sur le champ de bataille. Il se décolla du mur et d'un coup sec trancha la gorge d'un ennemi qui passait à pleine course. Il fit une roulade sur le côtés et faucha un autre ennemi au cheville, se dernier se lamentait parterre. Asiac lui transperça le thorax. Asiac se retourna et aperçu Louis, aux côtés de Loucy. Il détourna son regard vers la droite et aperçu un ennemi qui se lançait à pleine course dans le dos de ces deux derniers. Asiac prit ses jambes à son cou et évita les coups des ennemis qui arrivaient de partout pour tenter de se rendre au Porte-Parole et à la Capitaine.

Il arriva juste attends et faucha la tête de l'ignoble ennemi. Au même moment, Louis et Loucy se retourna et fit un saut. Asiac les regarda et leur sourit.

Mes cher ami(e)s. Regardez derrière vous. Je ne serai pas toujours là pour vous protégez sur le champ de bataille. Louis, J'espère que vous accepterez les ordres que je vous dennerai. Si jamais quelque chose arrivait à Loucy!
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Neottie

Cela faisait quelques jours qu'ils étaient à Annecy et il n'y avait pas d'alerte. Neottie demanda à son frère la permission d'aller à Chambéry. Elle et son époux Laclemanus étaient écuyers de l'Ordre des Lames, ils ne pouvaient partir comme cela.
Neottie voulait aller à Chambery au couvent voir sa sœur qui dépérissait d'une maladie que les nonnes avaient du mal à guérir. Les jours d'Edlweisss n'était pas en danger mais elle souffrait d'une sorte de langueur qui lui prenait toutes ses forces et elle survivait.
Neottie voulait embrasser sa sœur et lui présenter son époux. Bien entendu Lub, le vicomte de Thonon accepta surtout qu'il était aussi le frère de Edelweisss.
Ils partirent tôt, galopant, faisant la course. Ils s'aimaient et ils étaient libres. Ils ne purent pas jouer longtemps, la nuit était là déjà et il pleuvait de surcroit mais que leur importait. Ils pensaient arriver dans la nuit à Chambery pour aller au couvant rapidement.
Bien sur ils n'avaient pas leurs armures, mais ils avaient épée et bouclier, on reste toujours soldat et Neottie qui était une archère hors pairs avait son carquois et son arc, elle ne se déplaçait jamais sans.

"Tu entends ? Regarde chéri ! De la fumée qui s'élève de la caserne, c'est bien de la fumée, ça ? Non ? Malgré la pluie, on voit de la fumée dans la nuit ? On y va !! Il faut aller voir, surement un incendie qui a du prendre."

Cela n'était pas encore venue àl'esprit de Neottie que cela pouvait être une attaque, elle talonna Neige et fonça avec Laclemanus. Elle connaissait bien Chambéry, elle y avait habité de plus elle avait été soldat aussi.

Ils arrivèrent à la porte qui était grande ouverte, des soldats se battaient contre des individus dont elle ne reconnaissait pas l'habit. Neottie sortit son épée

"Ce n'est pas un incendie c'est une attaque ! Viens Lac !! Sus !"

Samo

Soit la chance, ou la malchance, peut importe en fais, le hasard avait décidé que le lieutenant burgiens reviendrai ce soir là. Ayant pris les chemins doucement, sans se presser, ce n'était que tard, alors que le soleil avait cédé sa place à la lune, qu'il arriva à la caserne. Il s'attendait d'être accueillit par deux ou trois garde frigorifiés, attendant la relève avec impatience.

En approchant il se détrompa bien vite. Ce n'était pas le bruit de ronflement, de beuverie ou d'entrainement qui s'élevait de l'autre côté de la muraille qu'il longeait. Des coups d'épées, des cris de douleurs et une lueurs orange écartèrent l'hypothèse d'un entrainement... Il se passait quelque chose... Comme auparavant... Il mit la main au pommeau et descendit de monture. Le chevalier s'approcha du coin de la muraille qui faisait face au boisé. La scène qui se déroulait lui rappela la dernière fois... Presque une copie de la scène, sauf que cette fois l'ennemi semblait plus dangereux, et lui se trouvait à l'extérieur. Mort il n'aiderai pas. Il fallait qu'il aide sans se faire tuer. Que faire? Une idée passa dans son esprit. La plupart des ennemis semblaient tenir combat sur les remparts. Samo pourrait probablement utiliser le même moyen pour les rejoindre, mais il ne devait pas se retrouver seul contre toute une horde... Il longea le mur, dans l'obscurité, cherchant des échelles ou une brèche. Il trébucha et s'arrêta. Il venait de marcher sur un grappin. Il le prit se recula doucement et légèrement, cherchant un endroit plus sur. Il grimaca. Il y en avait partout.

Son entreprise allait être dangereuse. Un bruit de galop s'éleva de la porte, deux cavaliers chargeaient, apparament, dans le groupe qui tentait de briser les soldats dans la porte et d'entrer. Cela lui servirai de diversion. Il lanca le grappin et rata son premier lancé. Le deuxième fut le bon. Il se hissa, du mieux qu'il put. L'armure était lourde et il lui fallut un bon moment pour monter. Sans la diversion des cavaliers, le chevalier aurait surement eut le temps d'être apperçu. Arrivé en haut, il se retrouva nez à nez avec un homme en noir, qui n'avais pas encore compris qu'il ne s'agissait pas d'un allier qui rejoignait la bataille. Samo ne perdit pas de temps et le fit trébucher. Il déboula des escaliers, et se retrouva inconscient en bas.

Le lieutenant dégaina son épée, et s'avança en direction des combats, là où il y avait plus d'adversaires. Deux hommes l'aperçurent finalement et fondirent sur lui. Il parada l'attaque du premier, le forçant à bloquer son compagnon d'arme. Il lui envoya sa botte dans les côtes, et termina son attaque par un coup de pommeau. Le second passa à l'action. Les deux lames se percutèrent, et un échange s'engagea.

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Lieutenant et Juge de Savoie
Grand-Maitre et chevalier de l'Ordre du lac d'amour
Seigneur d'excevenex

Frode

Frode tua la hyene en lui tranchant la gorge et regarda la bataille.
Frode en voyant que les troupes était encore bien melangé malgrés la formation d'un herisson jura et chercha une autre cible.
Il la trouva facilement, 5 Hommes se marchaient en direction des combats a decouvert. Frode alluma la meche et les six cartouches partir pour toucher 2 hommes.
Les 3 autres l'avaient reperé et le voyant seul se precipiterent vers lui. N'ayant qu'une épée a deux mains comme arme efficace il ne pouvait pas prendre la fuite sans avoir a la lacher. Il attendit donc patiement ses adversaires.
Le premier lui fonça directement dessus mais ne trouva que le vide et un coup de gantelet dans la machoire. Frode l'acheva vite car le second homme arrivait deja sur lui. Lui non plus ne semblait pas trés agueries car aprés deux passes Frode lui mit son épée en travers de sa gorge. Mais c'est a ce moment la ou son épée était bloqué que le troisieme en profita pour l'attaquer. Frode eu le reflex de reculer sa tete met senti une vilente douleur au visage et remarqua qu'il ne voyait pas de l'oeil gauche.
Se rendant compte qu'il était devenu borgne Frode sorti sa dague , son épée ayant été laché sous le coup, et l'enfonça dans le ventre de son adversaire qui pensé n'avoir qu'a lachevé. Poussant un cri de rage Frode se laissa tombé a terre.

ocdbill

Bill apperçu Frode a terre il s avança afin de lui porter secour un lache enemi fondait sur lui pour l achever Bill lui asséna un violant coup d épée lui tranchant la gorge
-Frode mettez vous a l abri je protége vos arrieres!
-un infirmier vite un des notre est salement touché!!!!
attendant l arrivée des secour Bill restait en défense pres de Frode
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lavava

Lavava avait du mal à tenir son cheval. Le vacarme, ces animaux horribles et les ombres terrifiantes qui surgissaient de nulle part le rendaient extremement nerveux. Ils étaient partout, se faufilant tels des serpents dans tous les coins de la caserne.
Elle éperonna sa monture et partit en reconnaissance. D'une main tenant ferme les rennes, de l'autre la lourde épée lui brisant le poigné, elle forçait le passage, s'aidant de la carurre de son cheval pour faire reculer l'assaillant.
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Laclemanus

Laclemanus et Neottie venaient de franchir les portes de la caserne ou régnait un chaos indescriptible, eux qui avait quitté Bourg pour Annecy afin d'assister au mariage de son beau-frère pour ensuite partir en voyage de noce, cela commençais bien.

Il stoppa son cheval et regarda rapidement autour de lui, partout des hombre sorties de nulle part couraient et se faufilaient dans chaque recoins. Des cris, le bruit des épées qui s'entrechoquent, des ordres et des râles venaient de tout les endroits de la casernes. Au milieu de tout ce foutoir, il tentait de reconnaitre un visage familier mais ne vit que des individu à l'accoutrement bizarre, accompagné de drôles de chiens aux pattes arrières plus courtes qui donnaient l'impression de rire plutôt que d'aboyer, c'était la première fois qu'il voyait de telle créatures.

Instinctivement, il avait dégainé son épée se tenant prêt à toute éventualité, sa main serrait le pommeau, il était nerveux, se trouvant pour la première fois au milieux d'une bataille. Il n'eu pas le temps de réfléchir plus longtemps, car Neottie avait déjà lancé son cheval sur un petit groupe qui arrivait sur eux.

"Ce n'est pas un incendie c'est une attaque ! Viens Lac !! Sus !"

Leur arrivée à cheval sur le groupe le disloqua, frappant au passage ceux qui ne s'étaient pas écarté assez rapidement, n'étant pas à l'aise sur sa monture pour manier l'épée, il mit pied à terre rapidement et fonça sur l'adversaire le plus proche qui se relevait après avoir été bousculé, il se trouvait encore à genou quand il lui enfonça son épée dans le ventre, ne lui laissant pas le temps de se ressaisir. Il se retournait, faisant front aux trois autres individu, cherchant sa femme dans la nuit.

-Neo!! ça va?
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Soldat et recruteur de Bourg

Neottie

Neottie avait foncé avec Neige, elle était aguerrie au combat à cheval, elle était archère et cavalière. Elle se penchait et tailladait dans le vif, toutr ce qui ne portait pas les couleurs de la Savoie étaient des ennemis, un instinct sur lui faisait reconnaitre l'ennemi du son frère d'armes. Laclemanus lui coupait de l'ennemi à terre, pas encore habitué à se battre sur Empereur. c'était la première fois qu'ils combattaient ensembles, ils n'avaient fait que des gardes et rosser un brigand qui les avait attaqué.
Là c'était une bataille. Elle l'entendit l'appeler

-Neo!! ça va?

"OUI !!! je vais bien !! On se rapproche de nos amis et tue moi ces sales bêtes !!"

Neottie fit avancer son cheval, pietinant sans étât d'âme les ennemis et leur bete, elle en tua une qui allait mordre la jambe de Neige.

Naurestel

La jeune femme suivit Ripouf en direction de la Capitaine et régente. Elle s'esquiva alors que son adversaire frappait et se mit à courir en sa direction tout près de son compagnon.

Elle enjamba quelques obstacles et se pencha pour éviter un coup qui aurait dû être mortelle. Elle para un autre coup qui fusa à sa gauche et freina juste à temps pour ne pas foncer dans une hyène. Il y en avait tellement! Elle se demanda même si leur nombre n'était pas infini. La bête grogna férocement, se préparant à lui sauter à la gorge. Quelques secondes passèrent. Précieuses. Durant lesquels Naurestel évalua ses chances. Lorsqu'elle bondit, la jeune Belleysanne s'était projetée en avant.

Sa vue fut obstruée par la boue, mais elle se leva rapidement et d'un geste vif, elle s'essuya en se retourna. La bête était prête. Nouveau saut. La lame brilla. Promesse mortelle. Sans se préoccuper du cadavre elle repris sa course et rejoignit Ripouf. Elle évita un cheval, qui apeuré, menaçait de piétiner quiconque qui serait sur son chemin. Quel chaos. Les conditions du combats était d'autant plus difficile. Surtout avec la mauvaise température.

Ses pieds s'enfonçaient dans la boue qui devenait de plus en plus compacte et glissante. Les risques de blessures et de mort s'accroissait dangeureusement. Pestant contre cet enfer, elle atteignit finalement Loucy qui se battait fort bien en compagnie de Niac.
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Soldat-Infirmière de Belley

ripouf

Parer les attaques, contre-attaquer, esquivé... voilà se que Ripouf faisait depuis plusieurs minutes. Le temps semblait s'arrêter, tandis que la température continuait à s'acharner... Ripouf c'était éloigné du groupe, sans savoir de quelle manière, et maintenant il était rendu loin de son but premier: Protéger...

Mais qu'est-ce que je fou là moi... se demandait-il, fougueusement.

Il recula tranquillement, guettant toujours au alentour. Le chaos régnait dans la nuit... Ripouf pensait déjà au histoires à conté au lendemain...

Bon, pas la peine de commencer à faire le barde! j'ai d'autres chats à fouetter.

Aussitôt près du groupe, Ripouf eu juste le temps d'avertir du dangé qui arrivait par derrière et il se mit assomer et tomba face première dans la boue.

aussitôt au sol, les autres s'écrièrent et Ripouf fût relever par sa compagne Naurestel, avec qui, depuis quelque temps, avait tisser des liens d'amitié et qui, de toute façon, passait par là. Il fût relever aussi vite qu'il avait tombé...

Bahhh! Je n'ai rien! je voulais simplement me faire un faciale^^'

Bien évidemment, un homme est toujours orgueilleux et après se coup, il trouvait quand même le moment de blaguer... il reprit aussitôt contrôle de lui-même, remerciant ceux venu l'aider et se relança dans la bataille, toujours aussi déchainé qu'au début...
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D'ici jusqu'au bout du monde, présent je serai, d'ici jusqu'au bout du monde, j'y arriverai.

Naurestel

La jeune femme qui s'était rendue au près de la capitaine s'était rendue compte que son ami ne la suivait plus. Tournant sur elle même elle vit ce dernier arriver à la course et se faire assomer. N'écoutant que son coeur, elle s'élança. Son agresseur était déjà loin. Elle releva prestement son frère d'arme et l'examina brièvement.

Même s'il prétendait que tout allait bien, la jeune femme savait qu'il avait reçu un dur coup. Mais ne voulant pas émousser d'avantage son orgueil, elle acquiesça tout en s'assurant que ce dernier soit en état de se battre.

À peine eut-elle fini que ce dernier s'élançait au combat la remerciant. Toujours près de la Cap', elle se retourna.

- Capitaine!

Un coup fusa droit sur elle. La jeune femme s'esquiva de justesse. La lame de son ennemi ne fit que froler sa peau frèle et blanche. Elle para un second.

- Ripouf ne t'éloigne pas trop!!, lui cria-t-elle en s'esquivant de nouveau. C'est pas que je ne suis pas capable de me défendre mais là ya trop d'ennemi!

Un sourire apparut sur ses lèvres. Presque de joie. Jubilation inconnue. Elle n'avait jamais pensé prononcer ses mots un jour. Le combat ne l'enchantait guère. Mais tout ceci lui paraissait étrange. Un cauchemard devenu réalité. Elle pria silencieusement Aristote. Pour leur salut. Pour leur victoire.
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Soldat-Infirmière de Belley

Quorum

Quorum combattait avec les poings contre un gros balourd blond ou roux et remercia Robter de son aide en déclarant

Merci Robter mais sans me faire d'illusion votre quartier brule, non ?

Quorum était rouge à cause du nombre de coup qu'il se prenait et un petit coup de pied dans ******** pour s'en débarrasser mais l'homme esquiva et envoya au sol le sergent.Quo était K.O. et se réveilla plus tard au coté d'une infirmière qu'il ne reconnu pas car il voyait flou et s'endormit
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Laveur de vaisselle

Jacouillet

Jacouillet avait fini par retrouver son CA, et tous tentaient de repousser l'ennemie de toutes leurs forces. Il vit Frode partir vers la réserve à canon.

Mais qu'est ce qu'il fait ?

Jacouillet le suivit en truscidant quelques sbires au passage. Lorsqu'il y arriva Frode était couché par terre, un oeil en moins. Bill était à côté de lui et défendait Frode, sans doute en attendant les secours.

Jacouillet eut une idée.

Bill, on va l'amener nous même à l'infirmerie, d'accord ?

A ces paroles un des types en noir sauta sur eux, l'épée à la main. Jacouillet, fit un tour complet sur lui même et lui trancha la tête.

Grrrrr c'est la deuxième fois qu'on me fait le coup. Je commence à en avoir marre de tout ça.

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xarius

Les cavalier de Belley etaient parti en reconaissance. Xarius regarda un peut partout et vit une bande attaque en direction des soldats .
Cavalier on attaque.Il fit signe et parti avec sont cheval
Il arriva devant les envahisseurs. Il frappe un peu partout et il apercut Lavava,cuistox,Forigoler et Sirlapinus qu'ils l'aidait dans sa demarche.
C'est bien nous allons les repoussés
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Frode

Frode était a terre un peu sonné , le visage toujour en sang et son oeil gauche toujour absent.
Il se raprocha de son canonet en entendant Jac il repondit d'un voix qui se voulait normal

Tu est assistant cannonier Jac , alors recharge ce fout ridbaudequin et commence a faire feu sur dés que les ennemis se regoupent.
Et merci au fait vous deux , vous n'auriez pas un peu de vin?

Disant cela, Frode se releva et tituba un peu avant de se retenenir au canon

sirlapinus

Xarius était revenu et j'était heureux pour lui mais la rage du combat m'avais prise.

A vos ordres sergent

Charger et encore charger, combattre ses bêtes féroces et ses ombres aux formes humaines. Qui étaient ils ???? peu importe ils allaient mourrir ici.
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cavalier du 1er régiment de cavalerie de Belley

Jacouillet

Bien, mais assis toi d'abord, tu n'es pas encore en état pour retourner guerroyer. Par contre je n'ai pas de vin sur moi, désolé

Jacouillet chargea le canon, mit un boulet un boulet à l'intérieur et attendit qu'une occasion se présente et il fallait bien faire attention à ne pas blesser les soldats amis.
Une occasion en or se présenta, un groupe d'ennemis arriva, sans se douter qu'un funeste destin les attendait devant la gueule du canon. Jacouillet mit le feu à la mèche et cria.

Aller brûler en enfer, chiens !!!!!

Le boulet sortit, dans un fracas assourdissant. Il fit de sérieux dégâts parmis les assaillants, des membres volaient un peu partout. Jacouillet s'approcha des survivants pour les achever et retourna au canon pour le recharger.
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Frode

Frode suivit le conseil de Jac puis le regarda le tir de Jac et sourit en voyant le resultat, puis en le voyant revenir lui dit

Au fait tu en eu combien?
Moi sept, pour un oeil perdu c'est pas si mal

Frode tenta de rire puis prit une arme plus legere a un ennemi mort pour se sentir moin vulnerable.

cuistox

Cuistox s'étais retrouvé a terre après une attaque de l'ennemi mais ils n'avaient pas frappé assez fort car son armur était a peine griffée.

Sa jument lui avait permis de ne pas être pris par ceux ci en ruant sur l'un de mes deux assaillant me permettant de me relevé aussi tot.
L'ombre noir qu'il dinstinguait plus ou moins pris son compagnons et fuya a toutes jambes!

Cuistox était un peu sonné mais en vie!

Il se secoua la tête et se remis en selle remerciant sa jument sans qui l'histoire aurait peut etre été conté autrement dans les livres!

Cuistox rejoint son sergent et ses frères d'armes qui attaquait l'ennemi!

Ca y est l'ennemi commence a reculé! Sergent! dit Cuistox. Ne devrions nous pas demandé un soutien pour que se soit définitif?
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Cavalier de Belley

Turbulette

Turbulette vit arriver Naurestel et Ripouf. Turbulette était déjà auprès du Capitaine et de la régente à ce moment là. C'était un véritable chaos autour d'eux. Les ennemis s'acharnaient avec ardeur. Turbulette se demandait quel était leur but... car ils devaient bien en avoir un. De plus le temps n'était pas de leur côté. Turbulette sentait le froid la saisir mais son esprit et ses membres étaient bien trop occupés pour se plaindre. Elle essayait tant bien que mal de repousser ses assaillants à coup de bâton, à coup de pied, etc. Quand Naurestel et Ripouf arrivèrent plus près d'elle elle les regarda et leur dit :

Nau, Ripouf, il nous faudrait nos arcs mais ils nous empêchent de les prendre ! Il faudrait réussir à les repousser assez pour atteindre nos arcs...

Elle les regarda, attendant une réponse de leur part. Puis elle vit sur son épaule une balafre qui suintait légèrement du sang. Elle évalua sa blessure comme étant légère et décida de pas en tenir compte.
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Soyez réaliste, demandez l'impossible.

Archer à Belley

Naurestel

La jeune femme réfléchissait à toute allure. Ils avaient réussi à s'approcher de leurs compagnons. S'ils agissaient de nouveau en concert ils pourraient très certainements atteindre ces derniers...Elle évalua la distance et le nombre de leur ennemi. Ils avaient une chance. Une seule.

- Je crois avoir une idée, assura-t-elle. Nous pourrions Ripouf et moi partir vers le champs de tir. Nous sommes arrivés à vous sans être trop écorchés et le contraire reste faisable. Qui plus est, nous ne serons que deux et donc moins visible. Qu'en dites-vous Cap'?

La jeune femme attendit une approbation. Elle ne pouvait se lancer sans permissions à la recherche des arcs. Son CA avait déjà les leurs. Mais quelques arcs supplémentaires ne feraient pas de mal. Surtout si les archers parvenaient à se placer au loin.
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Soldat-Infirmière de Belley

Jacouillet

Jacouillet répondit à Frode.

Hum et bien je ne sais pas trop. Je sais que je me suis pas mal battu, mais ces gars là son très rapides. Certains s'enfuyaient pour mieux revenir à l'attaque. Dès fois j'avais même l'impression de frapper dans le vide tellement j'avais du mal à les discerner dans la nuit. En tout cas je me demande d'où ils peuvent venir ceux la.

La place ou se trouvait les trois soldats étaient calme tout d'un coup. Jacouillet restait la afin de surveiller le canon, car les ennemis pourraient s'en emparer et s'en servir contre les soldats Savoyards. L'excitation du combat retomba peu à peu, et pour la première fois, il craignait pour sa vie. Il repensa à sa tendre Aoife qui était au chaud à la maison, avec un mini Jacouillet ou une mini Jacouillette dans son ventre. A George, son fidèle ami ours. A ses amis, dont certains étaient en train de se battre aussi. Jacouillet regarda le ciel et pria intérieurement pour son salut.
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forigoler

Les cavaliers avaient chargé d'un même élan. Forigoler se défendait tant qu'elle pouvait, puisant sa force au fond d'elle même pour ses compagnons d'arme et pour la Savoie. De son épée, Forigoler avait touché plusieurs ennemis lors de la charge ... malheureusement pour elle, elle y laissa son épée lors d'un assaut. Elle se retrouva donc désarmée et pour le coup, même un peu isolée du reste du groupe. Qui étaient donc ces hommes et que voulaient-ils à la fin ??? Ils n'hésitaient pas à se jeter sur eux et les chevaux mais pourquoi ? D'ailleurs, ils s'approchaient à présent dangereusement d'elle ...
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ocdbill

Jac s occupant de Frode Bill pouvait reprendre son poste en défense auprés de son Capitaine il enfourcha son cheval et revint se placer en défense attendant les ordres ...
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batfranki

Lorsque le lieutenant Robter avait fait irruption dans son bureau, il n'avait pas tout de suite compris ce qu'il voulait dire. Il parlait d'attaque, il parlait d'invasion, et le sergent, bien loin de tous les conflits auxquels participaient activement les soldats, n'avait pas trop bien compris.

Il arriva dans la cour au pas de course et constata avec effroi que la caserne était assaillie de tous côtés. Seul le quartier où se trouvait son bureau avait été plus ou moins épargné.

Sans perdre une seconde, il s'empara de son glaive (toujours à la ceinture ) et de son bouclier (toujours au poignet) et s'apprêtait à défendre la caserne comme il l'avait fait autrefois.

Le brave sergent toucha son épaule avant d'attaquer, se rappelant la dernière attaque vécue à la caserne au cours de laquelle il avait été tranché de part en part sous la clavicule gauche. Un léger frisson le parcourut, mais pas assez fort pour l'horrifier et l'empêcher de faire son travail d'officier.

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Les Cotereaux

Pluie, plumes, paille, farine, boue, ça vous glissait le dessous du pied! La nuit s'en allait vers l'aube, la caserne Savoyarde était de plus en plus comparable à un merveilleux fouillis, un véritable chef d'oeuvre. Nombreux sont les artistes qui ont aurait rêvé de peinturlurer une toile pareille.

Les combats faisaient rage, stables, sans incidences majeures, sinon une coupure ici ou là, fautes de piètres mauvais mouvements et postures. Rien de point pardonnable. À cette époque, on estropiait à la même mesure qu'on s'empiffrait de victuailles chez les nantis, c'était donc chose ordinaire, un vrai bout de quotidien.

Les guerriers noirs continuaient à pourfendre armes et boucliers, ils étaient plus artistes que brigands, à y voir clair. Mais comment pouvait-on s'user de ses yeux lorsque l'adversaire épousait le sombre du coin de mur où il se tenait? Chez les officiers savoyards, on avait la situation bien en main à présent. Les soldats se battaient bien, tentaient de repousser les envahisseurs de maintes manières et obtenaient un succès certain. Mais ils auraient été forts déçus de savoir que c'était voulu. Les hommes aux habits teintés de noirceur ne faisaient que grapiller par ici, tripoter par là, disparraissant lorsque cela s'envenimait un brin trop. On évitait les cavaliers qui galopaient avec bravoure dans la pagaille, on se faisait invisible devant le surprenant canon des militaires. D'ailleurs, on se réorganisait déjà pour aller déranger les manieurs de cet engin explosif. Un petit détour et les tireurs devraient ressortir rapières et écus.

Du côté des lices, le plus grand nombre d'assaillants ricanants s'acharnaient à scinder les vaillants combattants de leur courageuse Capitaine. Enfin, on réussit à tasser Niac archarnée, valeureux Louis et autres soldats à lame fine, ainsi qu'un seul Asiac sur qui on devait se mettre à plusieurs pour lui limiter le coup d'épée qu'il avait vif et ma foi, dangereux. Un chemin s'ouvrit devant la Régente Savoyarde qui se trouva, bref moment, face au clou du spectacle.

Sous ses toges noirs trop petites pour ce qu'elles contenaient, on voyait les muscles saillir. Une masse d'engrenages corporels impressionnants, le genre de chose qu'on ne voit point souvent. Il était grand, très grand, énormément haut. Ses épaules tenaient la comparaison, sur le sens large de la largeur. Un clairon doré au ceinturon, une longue épée bâtarde qu'il tenait d'une seule de ces pattes d'ours, on l'imaginait bien le chef des envahisseurs. On pouvait, qu'à le voir ainsi, songer aux colères terribles que cette créature pouvait engendrer, il était colère, la Ire elle-même. Un gaillard inimaginable et très vrai. Enfin, dur de confirmer sous ses parures noires si c'était un homme ou une femme, mais on pouvait tout de même tenter de deviner. Un colosse. Colossal. Et pas qu'un peu.

Il s'approcha de la Dame, la maitresse actuelle de la fière Savoie. Il n'en fit qu'une bouchée. Pour avoir pris un brin de repos entre les combats, il était frais comme une rose , ou dans son cas, un gargantuesque buisson de rosiers. Le bonhomme la désarma à l'aide de son outil métallique démesuré. Elle, très bonne guerrière pourtant, n'y put rien cette fois, certainement un peu fatiguée par la bataille qu'elle menait depuis un long moment. Le petit Géant rangea sa lame dans son fourreau. N'allait-il pas achever la Régente? Semblerait que non chers amis. L'empoignant doucement puisqu'elle était enceinte, par la taille d'un de ses bras de grizzli, il la chargea sur son épaule. Et ils s'en furent, elle, impuissante, qui ne pouvait que matraquer de ses poings le dos de la côte de mailles qu'il portait sous les tissus noirs.

À travers la symphonique cacophonie de cliquetis des métaux, du hennissement des chevaux, ça se battait toujours. On ne vit pas passer l'ombre entre les ombres, celle qui portait un chargement bien particulier sur son épaule. On évita les lieux où se tenaient les noyaux officieux d'officiers et on entra dans les couloirs principaux de la forteresse savoyarde. Une porte s'ouvrit et se referma. On alluma torches de sa main valide pour faire la lumière sur la situation, puis on déposa délicatement la Dame sur une chaise. Celui qu'on aurait pu désigner comme maître des brigands se détourna de la Régente, semblant chercher quelque chose. Il lui laissait le dos libre, comme en confiance avec celle qu'il avait mesquinement enlevée, mais se tenait quand même entre elle et la porte du bureau de la Capitaine.

L'impressionnant gaillard retira sa capuche pour mieux y voir et on pu ainsi voir son crâne immaculé, rasé de près. Soudain, d'une voix éraillée et caverneuse, méconnaissable, par les multiples combats menées à crier comme un déchaîné, le colosse avoua:

- Tu as à boire?

Je tiens à préciser que tout épisode sanglant a été ignoré de ma narration. J'ai seulement conservé les traces de valeureux combats menés. Je rappelle qu'aucun de mes personnages ne peuvent mourir. J'apprécie tout de même la créativité que certains ont eu à trancher têtes et autres membres du corps. L'histoire n'est point terminée, mais puisque toute bonne chose a une fin, il faudra finir celle-ci en beauté. Continuez à écrire avec passion mais évitez les effusions de sang.

Loucy

Loucy se battait du mieux qu'elle pouvait, elle donna son autorisation à Naurestel pour qu'elle aille chercher des arcs. Mais elle se doutait que cela ne servirait pas à grand chose.

Elle continua d'attaquer, alternant coup d'épée et protection grâce au bouclier. Les coups qu'elle stoppait ainsi la fatiguait, ses adversaires étaient vraiment là pour attaquer, ils ne retenaient pas leurs coups.

Regardant rapidement autour d'elle, elle remarqua qu'elle était seule. Tous étaient occupés par des adversaires qui les entrainaient à l'écart d'elle.

Bon sang ... Il faut que j'aille les aider ... pensait elle.

Mais elle n'eut pas le temps de se déplacer. Déjà devant elle, un homme approchait. Il était si grand par rapport à elle. Pourtant elle n'avait jamais été vraiment petite ... Mais là .. Elle se sentait presque vulnérable. Cela avait le don de l'agacer, ce sentiment. Il était hors de question qu'elle se laisse faire.

Ils échangèrent quelques coups, très peu, et il réussit à la désarmer. Elle n'eut pas le temps de comprendre comment, elle se sentait fatiguée. Mais elle savait une chose, ses soldats réussiraient.

Il n'avait pas l'air de vouloir la blesser pour le moment, il lui restait quelques instants de vie, tranquillement. Quand il la mit sur son dos, elle lui donna de vains coups sur ce dos si large. Il devait à peine les sentir, mais cela la soulageait.

Elle observait où il la menait... Et reconnut le chemin de son bureau ! Le lâche comment osait il ! Pénétrer dans son bureau ! L'endroit où elle passait tant de temps ...
Elle fut assise avec une délicatesse inattendue. Elle ne comprenait pas ... Pourquoi la laisser libre ainsi ? Pourquoi la traiter avec autant de douceur ? Et puis pourquoi cette confiance ?

Un homme ne tourne jamais le dos à son ennemi .. Pourquoi le faisait il ? Il avait pourtant sembler très prudent jusqu'à maintenant ... Elle ne comprenait pas... Tout ce qu'elle savait, c'est qu'il fallait qu'elle sorte d'ici. Qu'elle aille retrouver ses soldats.

Pourtant quand l'homme osa la tutoyer, chose que beaucoup actuellement n'osaient plus faire, elle resta tout d'abord sans voix. Comment osait il la tutoyer ! Elle sentait la colère la gagner. Nan mais qui était il pour se permettre ce droit !

Comment osez vous ! Comment osez vous m'enlever ainsi ! Me tutoyer ! Me demander à boire ! Vous pensez peut être que je vais vous faire préparer un festin pour fêter quoi ? Mon enlèvement ! Il en est hors de question !

Elle se releva, prête à engager un nouveau combat. Elle avait compris pourtant qu'elle était en situation de désavantage, mais elle se battrait jusqu'au bout ... Elle fulminait à présent. Malheureusement, l'homme lui avait fait lâché son épée ... Elle regarda autour d'elle et trouva un espèce de bâton et l'attrapa. Il fallait toujours avoir quelque chose pour frapper... C'était mieux que rien .. Elle était prête à le frapper, mais il fallait qu'elle prenne de la hauteur pour atteindre son crâne facilement. Elle grimpa avec facilité sur le bureau et se tenait prête à le frapper.

Elle pensa quelques instants à son fiancé ... à cet enfant ... à son fils ... Mais elle était prête à tout, quitte à donner sa vie. Cet homme avait osé attaquer la caserne .. Quitte à donner sa vie, elle ne le laisserait pas ainsi !
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Duchesse et Capitaine
Sergent du CA des archers de Belley
Co Chef du recrutement

Turbulette

Turbulette continuait coûte que coûte à combattre comme ses confrères et consœurs. Malgré les coups donnés aucuns des assaillants ne semblaient faiblir. Cela faisait déjà un petit moment qu'elle n'avait pas levé le nez pour voir ce qui se passait plus loin autour d'elle.
Elle laissa s'écouler encore quelques minutes, le temps de pouvoir se libérer d'un assaillant qui se battait avec ardeur, puis Elle jeta un regard autour d'elle.
Ils s'étaient tous plus où moins éloignés les uns des autres. Elle voyait encore Naurestel, Ripouf, Louis, Asiac mais elle ne voyait plus Loucy. Ses yeux cherchèrent dans la pénombre... sans succès. Elle décida donc de se frayer un chemin jusqu'à Ripouf pour savoir si lui il en savait plus.

Ripouf, saurais-tu où est partie le Sergent Loucy, la Duchesse ?

Turbulette jeta un deuxième coup d'oeil autour d'elle sans la trouver.

Je ne la vois plus...
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Soyez réaliste, demandez l'impossible.

Archer à Belley

batfranki

Les mouvements des uns et des autres avait fait se soulever la terre battue sous forme de poussière au-delà des têtes des soldats. L'air devenait irrespirable mais personne n'avait l'air d'en souffrir. Le plus gênant restait l'épais brouillard que formait toute cette poussière et qui empêchait de distinguer clairement les attaques sournoises en traître.

Le sergent Batfranki craignait que les assaillants ne soient pas tous aux prises avec un adversaire savoyard et que l'un deux en profite pour attaquer plus haut. Un lieutenant, un officier qui meurt, c'est plus cahotique qu'une poule décapitée qui court. Pour avoir la victoire, les assaillants devraient sans aucun doute s'attaquer à la Jeanne d'Arc locale : le capitaine Loucy.

Bat chercha sa chère cousine du regard et s'inquiéta de ne pas l'apercevoir. Le blizzard l'empêchait de distinguer qui que ce soit et il partit à l'aveuglette à la recherche de son amie, en tentant d'éviter un coup d'épée fatal, rampant au plus près du sol, là où la poussière n'était désormais plus.

Une épaisse masse d'homme manqua de lui écraser la main. Il courait, se créant un passage à travers les soldats pour entrer dans la caserne. Suivant un pressentiment, Bat se releva et suivit son sillage, entre les duels.
Refusant d'ameuter les troupes et de faire échouer une telle entreprise, il suivit seul l'homme, sans avertir quiconque.

Dans la caserne, il prit quelque peu ses distances et sursauta en entendant des petits cris féminins étouffés. Qui pouvait-ce être ? A entendre l'énergie dégagée par ces cris, le sergent en douta très peu... Il n'y avait pas de détresse ou de peur dans la voix, juste une immense rage de vaincre si caractéristique : Loucy.

Quelques longs cheveux d'un noir de jais achevèrent de le mettre sur la voie et il s'efforça de suivre l'homme qui s'engouffra dans une pièce sombre, avec la capitaine.

Tout en veillant à ne pas être découvert, le sergent plaqua son oreille avec délicatesse contre la lourde porte afin d'entendre des bribes de conversation... Il ne pouvait pas imaginer qu'on fasse du mal à sa chère amie, mais il attendait le moment opportun pour intervenir !

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Jacouillet

La bataille reprenait autour du canon, mais cette fois ci les hommes en noir étaient au courant qu'une petite surprise les attendaient s'ils osaient pointer le bout de leur nez devant la gueule du canon. Ils attaquèrent Jacouillet et Frode en passant par les murs, devenant ainsi intouchables. Les gardiens du canon se battirent comme ils pouvaient, mais ils étaient trop nombreux et bien mieux entraînés. Tous les deux furent vite encerclés, mais continuaient à se battre comme des lions. Jacouillet cria afin d'avoir du renfort.

A l'aaaaaaaide, ils veulent prendre possession du canon !!!!!!.
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Frode

Frode se batait du mieux qu'il pouvait au coté de Jacouillet voyant que la bataille pour le canon allait etre perdu, il enleva le bandage qui cachait sa blessur metant ainsi a la vu de tous sa balafre et son oeil gauche crévé. Il chargea en hurlant comme il en avait l'habitude et frappa encore et encore.
En voyant la visage en sang de Frode et sa rage, l'ennemie qui semblait etre le plus jeune prit la fuite, d'autre l'imiterent bien vite mais se fut une grande minorité. épuisé par son effort Brenus s'effondra et perdi conscience. Il entendit juste Jacouillet appeler a l'aide et un ennemie qui disait que le fou était mort.

robter

La situation semblait bien se résorber dans la cour, l'ennemi prenant fuite. À plusieurs reprises il entendit la gueule de feu crier. Mais, là cela faisait longtemps qu'elle s'était tue. La bataille serait-elle sur le point d'être gagnée ?

Avec quelques frères et soeurs d'armes, de sa vue perçante il remarqua une bataille autour du canon.

Allons vers la gueule de feu, l'ennemi ne doit pas prendre cette nouvelle arme et la pointé contre nous. Vite, vite, allons yyyyyyyyyyyyyyyy ! En criant pour être certain d'être à la fois entendu et obéit.

En ce moment il n'avait pas encore prit conscience que la Duchesse était captive, que fera-t-il quand il le saura ... ?
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Lieutenant et Recruteur de Belley
Ex-Logisticien

xarius

Xarius entendit Robter crier "Allons vers la gueule de feu, l'ennemi ne doit pas prendre cette nouvelle arme et la pointé contre nous. Vite, vite, allons yyyyyyyyyyyyyyyy ". Il alla le voir avec sa monture et dit
Je suis avec toi RobIl lui fit un clin d'oeil puis partat au galop recuperait le canon
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Laclemanus

Laclemanus toujours face à deux adversaires accompagnés de leurs bestioles entendit Neottie lui crier.

Citation:
"OUI !!! je vais bien !! On se rapproche de nos amis et tue moi ces sales bêtes !!"

-Tue moi ces sales bête, tu en as de bonne toi, tu les as vues? Elles ont vraiment pas l'air commode et elle sont accompagnée de leur maître, c'est pas de simple matou!

Tout en parlant, il donnait un coup d'épée sur la tête du premier animal qui s'était approchée la gueule ouverte, le laissant sur le carreau.

Voyant les deux soldats fondre sur lui, il couru vers son cheval pour prendre son bouclier et s'en munir, il n'eu que le temps de le faire quand deux épées s'abattirent sur son écu. Il fut surpris par la violence du choc qui le projeta au sol, le faisant lâcher son épée, une fois à terre, sa main trouva un bâton et il s'en saisi pour frapper l'assaillant le plus proche dans les tibias le faisant fléchir dans un grand cris. Laclemanus se releva rapidement, lâchant son bouclier pour se saisir du bâton à deux mains et l'abattre sur la tête de son ennemi qui tomba sans connaissance.

Il fit un pas de côté pour éviter le deuxièmes bougres qui fonçait sur lui et dans le même mouvement, le frappa de son bâton qui se cassa sur le côté de la tête, projetant au loin son casque. Lâchant le bout qui lui restait en main, il se précipitait sur lui pour en finir mais n'en eu pas besoin, le trouvant inanimé, il récupéra son bouclier et retrouva son épée qu'il saisi, cherchant à nouveau Neottie qui avait du en finir avec ces bêtes démoniaques lorsqu'il entendit Robter crier.

Citation:
Allons vers la gueule de feu, l'ennemi ne doit pas prendre cette nouvelle arme et la pointé contre nous. Vite, vite, allons yyyyyyyyyyyyyyyy ! En criant pour être certain d'être à la fois entendu et obéit.

N'ayant vu personne de la Garnison de Bourg, il décida de se diriger d'ou venaient les cris.

-Neottie! Tu es ou? Bon sang, je n'y vois rien dans cette obscurité et dans toute cette fumée, tu me suis ?
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Soldat et recruteur de Bourg

ripouf

Ripouf arriva près du groupe auquel ils étaient destiné. Le petit groupe reprenait l'avantage perdu avec 2 personnes de plus. Et voilà que maintenant Naurestel voulaient repartir chercher les arcs....

Je doute que se soit une bonne idée! D'ici là, ils auront peut-être perdu l'avantage... Je refuses de m'y rendre, pardonne moi...

Il regarda la Régente.... Je m'excuse, je ne veux point vous désobéir, mais il me semble sage que je reste ici.... essaya-t-il de crier par dessus la cacophonie du chaos.

La bataille reprenait plus d'ardeur, et ce fût à cette instant, que le sol sous leur pied, ce mit à tremblé... Il vue quelque chose, de gigantesque, d'énorme sortir de l'ombre...

Mais qu'est-ce que c'e.......

Ripouf n'avait pas eu le temps de terminé sa phrase... Une ''chose'' colossale se présenta devant eux, l'archer en était bouche-bée....

Il sortie aussitôt son épée bâtarde et s'engagea dans un combat contre Loucy qui ne dura quelque minute, puisque la capitaine était désarmé...

Couvert par d'autre ombre malicieuse, Ripouf tentait vainement de se frayer un chemin près d'eux.... mais aussitôt un qui tombait au sol, il en avait toujours un autre pour le remplacer... Peut-être était-il perdu... Ripouf n'avait pas remplis sa mission avec succès...

Pensant déjà au pire mort que Loucy pourrait subir, Ripouf se sentit faible... J'aurais pût faire quelque chose, se répéta-t-il sans cesse...Malgré qu'il savait très bien que cette chose en aurait fait une bouchée.

Le combat devenait plus intense car chacun voulait aller la sauvée, mais sans aucun espoir.... Le groupe avec lequel il était, semblaient aussi terrifié à la vue de ce moment d'horreur... Nous devons faire quelque chose, mais quoi? les hommes était toujours remplacé... impossible de se frayer un chemin... mais peut-être qu'en les attrapant par derrière...

Naurestel tu as raison! allons y chercher les arcs!

Il se retourna vers le soldat Turbulette et lui cria:

Faites attention à vous! Je veux revenir et que vous soyez toujours en bonne état!

Il lui témoigna un sourire, mais un sourire sans espoir.... il fallait que sa fonctionne...
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D'ici jusqu'au bout du monde, présent je serai, d'ici jusqu'au bout du monde, j'y arriverai.

louis1er

Louis voyait la déferlante des ennemies sur lui, il se battait vaillamment, mais au furent et à mesure l’inexorable paraissait arrivé, les victimes se comptait par dizaine et il observait Asiac tailler dans le vif avec une efficacité redoutable. Le chevalier de l’annonciade excellait dans se rôle de bucheron. Vint le moment ou tous furent séparé et qu’un colosse à l’épée batarde géante entra en action. Il arriva en face de Loucy et l’enleva sur son dos, sans qu’il ne puisse rien faire. Louis laissa aller sa haine, mais il était trop tard…

Il aida les soldats à finir le travail, prisonnier furent fait, Louis se précipita vers eux et dit, où vous emmenez la régente ? Parlez maintenant, car ce que vous vous apprêtez à vivre sinon n’en vaut pas la chandelle. Son regard n’était que haine…
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[RP] Singulière invasion