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[RP] Singulière invasion

xarius
Les cavalier de Belley etaient parti en reconaissance. Xarius regarda un peut partout et vit une bande attaque en direction des soldats .
Cavalier on attaque.Il fit signe et parti avec sont cheval
Il arriva devant les envahisseurs. Il frappe un peu partout et il apercut Lavava,cuistox,Forigoler et Sirlapinus qu'ils l'aidait dans sa demarche.
C'est bien nous allons les repoussés
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Frode
Frode était a terre un peu sonné , le visage toujour en sang et son oeil gauche toujour absent.
Il se raprocha de son canonet en entendant Jac il repondit d'un voix qui se voulait normal

Tu est assistant cannonier Jac , alors recharge ce fout ridbaudequin et commence a faire feu sur dés que les ennemis se regoupent.
Et merci au fait vous deux , vous n'auriez pas un peu de vin?


Disant cela, Frode se releva et tituba un peu avant de se retenenir au canon
sirlapinus
Xarius était revenu et j'était heureux pour lui mais la rage du combat m'avais prise.

A vos ordres sergent

Charger et encore charger, combattre ses bêtes féroces et ses ombres aux formes humaines. Qui étaient ils ???? peu importe ils allaient mourrir ici.
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cavalier du 1er régiment de cavalerie de Belley
Jacouillet
Bien, mais assis toi d'abord, tu n'es pas encore en état pour retourner guerroyer. Par contre je n'ai pas de vin sur moi, désolé

Jacouillet chargea le canon, mit un boulet un boulet à l'intérieur et attendit qu'une occasion se présente et il fallait bien faire attention à ne pas blesser les soldats amis.
Une occasion en or se présenta, un groupe d'ennemis arriva, sans se douter qu'un funeste destin les attendait devant la gueule du canon. Jacouillet mit le feu à la mèche et cria.

Aller brûler en enfer, chiens !!!!!

Le boulet sortit, dans un fracas assourdissant. Il fit de sérieux dégâts parmis les assaillants, des membres volaient un peu partout. Jacouillet s'approcha des survivants pour les achever et retourna au canon pour le recharger.
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Frode
Frode suivit le conseil de Jac puis le regarda le tir de Jac et sourit en voyant le resultat, puis en le voyant revenir lui dit

Au fait tu en eu combien?
Moi sept, pour un oeil perdu c'est pas si mal

Frode tenta de rire puis prit une arme plus legere a un ennemi mort pour se sentir moin vulnerable.
cuistox
Cuistox s'étais retrouvé a terre après une attaque de l'ennemi mais ils n'avaient pas frappé assez fort car son armur était a peine griffée.

Sa jument lui avait permis de ne pas être pris par ceux ci en ruant sur l'un de mes deux assaillant me permettant de me relevé aussi tot.
L'ombre noir qu'il dinstinguait plus ou moins pris son compagnons et fuya a toutes jambes!

Cuistox était un peu sonné mais en vie!

Il se secoua la tête et se remis en selle remerciant sa jument sans qui l'histoire aurait peut etre été conté autrement dans les livres!

Cuistox rejoint son sergent et ses frères d'armes qui attaquait l'ennemi!

Ca y est l'ennemi commence a reculé!
Sergent! dit Cuistox. Ne devrions nous pas demandé un soutien pour que se soit définitif?
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Cavalier de Belley

Turbulette
Turbulette vit arriver Naurestel et Ripouf. Turbulette était déjà auprès du Capitaine et de la régente à ce moment là. C'était un véritable chaos autour d'eux. Les ennemis s'acharnaient avec ardeur. Turbulette se demandait quel était leur but... car ils devaient bien en avoir un. De plus le temps n'était pas de leur côté. Turbulette sentait le froid la saisir mais son esprit et ses membres étaient bien trop occupés pour se plaindre. Elle essayait tant bien que mal de repousser ses assaillants à coup de bâton, à coup de pied, etc. Quand Naurestel et Ripouf arrivèrent plus près d'elle elle les regarda et leur dit :

Nau, Ripouf, il nous faudrait nos arcs mais ils nous empêchent de les prendre ! Il faudrait réussir à les repousser assez pour atteindre nos arcs...

Elle les regarda, attendant une réponse de leur part. Puis elle vit sur son épaule une balafre qui suintait légèrement du sang. Elle évalua sa blessure comme étant légère et décida de pas en tenir compte.
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Soyez réaliste, demandez l'impossible.

Archer à Belley
Naurestel
La jeune femme réfléchissait à toute allure. Ils avaient réussi à s'approcher de leurs compagnons. S'ils agissaient de nouveau en concert ils pourraient très certainements atteindre ces derniers...Elle évalua la distance et le nombre de leur ennemi. Ils avaient une chance. Une seule.

- Je crois avoir une idée, assura-t-elle. Nous pourrions Ripouf et moi partir vers le champs de tir. Nous sommes arrivés à vous sans être trop écorchés et le contraire reste faisable. Qui plus est, nous ne serons que deux et donc moins visible. Qu'en dites-vous Cap'?

La jeune femme attendit une approbation. Elle ne pouvait se lancer sans permissions à la recherche des arcs. Son CA avait déjà les leurs. Mais quelques arcs supplémentaires ne feraient pas de mal. Surtout si les archers parvenaient à se placer au loin.
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Soldat-Infirmière de Belley
Jacouillet
Jacouillet répondit à Frode.

Hum et bien je ne sais pas trop. Je sais que je me suis pas mal battu, mais ces gars là son très rapides. Certains s'enfuyaient pour mieux revenir à l'attaque. Dès fois j'avais même l'impression de frapper dans le vide tellement j'avais du mal à les discerner dans la nuit. En tout cas je me demande d'où ils peuvent venir ceux la.

La place ou se trouvait les trois soldats étaient calme tout d'un coup. Jacouillet restait la afin de surveiller le canon, car les ennemis pourraient s'en emparer et s'en servir contre les soldats Savoyards. L'excitation du combat retomba peu à peu, et pour la première fois, il craignait pour sa vie. Il repensa à sa tendre Aoife qui était au chaud à la maison, avec un mini Jacouillet ou une mini Jacouillette dans son ventre. A George, son fidèle ami ours. A ses amis, dont certains étaient en train de se battre aussi. Jacouillet regarda le ciel et pria intérieurement pour son salut.
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forigoler
Les cavaliers avaient chargé d'un même élan. Forigoler se défendait tant qu'elle pouvait, puisant sa force au fond d'elle même pour ses compagnons d'arme et pour la Savoie. De son épée, Forigoler avait touché plusieurs ennemis lors de la charge ... malheureusement pour elle, elle y laissa son épée lors d'un assaut. Elle se retrouva donc désarmée et pour le coup, même un peu isolée du reste du groupe. Qui étaient donc ces hommes et que voulaient-ils à la fin ??? Ils n'hésitaient pas à se jeter sur eux et les chevaux mais pourquoi ? D'ailleurs, ils s'approchaient à présent dangereusement d'elle ...
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ocdbill
Jac s occupant de Frode Bill pouvait reprendre son poste en défense auprés de son Capitaine il enfourcha son cheval et revint se placer en défense attendant les ordres ...
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batfranki
Lorsque le lieutenant Robter avait fait irruption dans son bureau, il n'avait pas tout de suite compris ce qu'il voulait dire. Il parlait d'attaque, il parlait d'invasion, et le sergent, bien loin de tous les conflits auxquels participaient activement les soldats, n'avait pas trop bien compris.

Il arriva dans la cour au pas de course et constata avec effroi que la caserne était assaillie de tous côtés. Seul le quartier où se trouvait son bureau avait été plus ou moins épargné.

Sans perdre une seconde, il s'empara de son glaive (toujours à la ceinture ) et de son bouclier (toujours au poignet) et s'apprêtait à défendre la caserne comme il l'avait fait autrefois.

Le brave sergent toucha son épaule avant d'attaquer, se rappelant la dernière attaque vécue à la caserne au cours de laquelle il avait été tranché de part en part sous la clavicule gauche. Un léger frisson le parcourut, mais pas assez fort pour l'horrifier et l'empêcher de faire son travail d'officier.

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Les Cotereaux
Pluie, plumes, paille, farine, boue, ça vous glissait le dessous du pied! La nuit s'en allait vers l'aube, la caserne Savoyarde était de plus en plus comparable à un merveilleux fouillis, un véritable chef d'oeuvre. Nombreux sont les artistes qui ont aurait rêvé de peinturlurer une toile pareille.

Les combats faisaient rage, stables, sans incidences majeures, sinon une coupure ici ou là, fautes de piètres mauvais mouvements et postures. Rien de point pardonnable. À cette époque, on estropiait à la même mesure qu'on s'empiffrait de victuailles chez les nantis, c'était donc chose ordinaire, un vrai bout de quotidien.

Les guerriers noirs continuaient à pourfendre armes et boucliers, ils étaient plus artistes que brigands, à y voir clair. Mais comment pouvait-on s'user de ses yeux lorsque l'adversaire épousait le sombre du coin de mur où il se tenait? Chez les officiers savoyards, on avait la situation bien en main à présent. Les soldats se battaient bien, tentaient de repousser les envahisseurs de maintes manières et obtenaient un succès certain. Mais ils auraient été forts déçus de savoir que c'était voulu. Les hommes aux habits teintés de noirceur ne faisaient que grapiller par ici, tripoter par là, disparraissant lorsque cela s'envenimait un brin trop. On évitait les cavaliers qui galopaient avec bravoure dans la pagaille, on se faisait invisible devant le surprenant canon des militaires. D'ailleurs, on se réorganisait déjà pour aller déranger les manieurs de cet engin explosif. Un petit détour et les tireurs devraient ressortir rapières et écus.

Du côté des lices, le plus grand nombre d'assaillants ricanants s'acharnaient à scinder les vaillants combattants de leur courageuse Capitaine. Enfin, on réussit à tasser Niac archarnée, valeureux Louis et autres soldats à lame fine, ainsi qu'un seul Asiac sur qui on devait se mettre à plusieurs pour lui limiter le coup d'épée qu'il avait vif et ma foi, dangereux. Un chemin s'ouvrit devant la Régente Savoyarde qui se trouva, bref moment, face au clou du spectacle.

Sous ses toges noirs trop petites pour ce qu'elles contenaient, on voyait les muscles saillir. Une masse d'engrenages corporels impressionnants, le genre de chose qu'on ne voit point souvent. Il était grand, très grand, énormément haut. Ses épaules tenaient la comparaison, sur le sens large de la largeur. Un clairon doré au ceinturon, une longue épée bâtarde qu'il tenait d'une seule de ces pattes d'ours, on l'imaginait bien le chef des envahisseurs. On pouvait, qu'à le voir ainsi, songer aux colères terribles que cette créature pouvait engendrer, il était colère, la Ire elle-même. Un gaillard inimaginable et très vrai. Enfin, dur de confirmer sous ses parures noires si c'était un homme ou une femme, mais on pouvait tout de même tenter de deviner. Un colosse. Colossal. Et pas qu'un peu.

Il s'approcha de la Dame, la maitresse actuelle de la fière Savoie. Il n'en fit qu'une bouchée. Pour avoir pris un brin de repos entre les combats, il était frais comme une rose , ou dans son cas, un gargantuesque buisson de rosiers. Le bonhomme la désarma à l'aide de son outil métallique démesuré. Elle, très bonne guerrière pourtant, n'y put rien cette fois, certainement un peu fatiguée par la bataille qu'elle menait depuis un long moment. Le petit Géant rangea sa lame dans son fourreau. N'allait-il pas achever la Régente? Semblerait que non chers amis. L'empoignant doucement puisqu'elle était enceinte, par la taille d'un de ses bras de grizzli, il la chargea sur son épaule. Et ils s'en furent, elle, impuissante, qui ne pouvait que matraquer de ses poings le dos de la côte de mailles qu'il portait sous les tissus noirs.

À travers la symphonique cacophonie de cliquetis des métaux, du hennissement des chevaux, ça se battait toujours. On ne vit pas passer l'ombre entre les ombres, celle qui portait un chargement bien particulier sur son épaule. On évita les lieux où se tenaient les noyaux officieux d'officiers et on entra dans les couloirs principaux de la forteresse savoyarde. Une porte s'ouvrit et se referma. On alluma torches de sa main valide pour faire la lumière sur la situation, puis on déposa délicatement la Dame sur une chaise. Celui qu'on aurait pu désigner comme maître des brigands se détourna de la Régente, semblant chercher quelque chose. Il lui laissait le dos libre, comme en confiance avec celle qu'il avait mesquinement enlevée, mais se tenait quand même entre elle et la porte du bureau de la Capitaine.

L'impressionnant gaillard retira sa capuche pour mieux y voir et on pu ainsi voir son crâne immaculé, rasé de près. Soudain, d'une voix éraillée et caverneuse, méconnaissable, par les multiples combats menées à crier comme un déchaîné, le colosse avoua:

- Tu as à boire?

Je tiens à préciser que tout épisode sanglant a été ignoré de ma narration. J'ai seulement conservé les traces de valeureux combats menés. Je rappelle qu'aucun de mes personnages ne peuvent mourir. J'apprécie tout de même la créativité que certains ont eu à trancher têtes et autres membres du corps. L'histoire n'est point terminée, mais puisque toute bonne chose a une fin, il faudra finir celle-ci en beauté. Continuez à écrire avec passion mais évitez les effusions de sang.
Loucy
Loucy se battait du mieux qu'elle pouvait, elle donna son autorisation à Naurestel pour qu'elle aille chercher des arcs. Mais elle se doutait que cela ne servirait pas à grand chose.

Elle continua d'attaquer, alternant coup d'épée et protection grâce au bouclier. Les coups qu'elle stoppait ainsi la fatiguait, ses adversaires étaient vraiment là pour attaquer, ils ne retenaient pas leurs coups.

Regardant rapidement autour d'elle, elle remarqua qu'elle était seule. Tous étaient occupés par des adversaires qui les entrainaient à l'écart d'elle.


Bon sang ... Il faut que j'aille les aider ... pensait elle.

Mais elle n'eut pas le temps de se déplacer. Déjà devant elle, un homme approchait. Il était si grand par rapport à elle. Pourtant elle n'avait jamais été vraiment petite ... Mais là .. Elle se sentait presque vulnérable. Cela avait le don de l'agacer, ce sentiment. Il était hors de question qu'elle se laisse faire.

Ils échangèrent quelques coups, très peu, et il réussit à la désarmer. Elle n'eut pas le temps de comprendre comment, elle se sentait fatiguée. Mais elle savait une chose, ses soldats réussiraient.

Il n'avait pas l'air de vouloir la blesser pour le moment, il lui restait quelques instants de vie, tranquillement. Quand il la mit sur son dos, elle lui donna de vains coups sur ce dos si large. Il devait à peine les sentir, mais cela la soulageait.

Elle observait où il la menait... Et reconnut le chemin de son bureau ! Le lâche comment osait il ! Pénétrer dans son bureau ! L'endroit où elle passait tant de temps ...
Elle fut assise avec une délicatesse inattendue. Elle ne comprenait pas ... Pourquoi la laisser libre ainsi ? Pourquoi la traiter avec autant de douceur ? Et puis pourquoi cette confiance ?

Un homme ne tourne jamais le dos à son ennemi .. Pourquoi le faisait il ? Il avait pourtant sembler très prudent jusqu'à maintenant ... Elle ne comprenait pas... Tout ce qu'elle savait, c'est qu'il fallait qu'elle sorte d'ici. Qu'elle aille retrouver ses soldats.

Pourtant quand l'homme osa la tutoyer, chose que beaucoup actuellement n'osaient plus faire, elle resta tout d'abord sans voix. Comment osait il la tutoyer ! Elle sentait la colère la gagner. Nan mais qui était il pour se permettre ce droit !


Comment osez vous ! Comment osez vous m'enlever ainsi ! Me tutoyer ! Me demander à boire ! Vous pensez peut être que je vais vous faire préparer un festin pour fêter quoi ? Mon enlèvement ! Il en est hors de question !

Elle se releva, prête à engager un nouveau combat. Elle avait compris pourtant qu'elle était en situation de désavantage, mais elle se battrait jusqu'au bout ... Elle fulminait à présent. Malheureusement, l'homme lui avait fait lâché son épée ... Elle regarda autour d'elle et trouva un espèce de bâton et l'attrapa. Il fallait toujours avoir quelque chose pour frapper... C'était mieux que rien .. Elle était prête à le frapper, mais il fallait qu'elle prenne de la hauteur pour atteindre son crâne facilement. Elle grimpa avec facilité sur le bureau et se tenait prête à le frapper.

Elle pensa quelques instants à son fiancé ... à cet enfant ... à son fils ... Mais elle était prête à tout, quitte à donner sa vie. Cet homme avait osé attaquer la caserne .. Quitte à donner sa vie, elle ne le laisserait pas ainsi !

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Duchesse et Capitaine
Sergent du CA des archers de Belley
Co Chef du recrutement


Turbulette
Turbulette continuait coûte que coûte à combattre comme ses confrères et consœurs. Malgré les coups donnés aucuns des assaillants ne semblaient faiblir. Cela faisait déjà un petit moment qu'elle n'avait pas levé le nez pour voir ce qui se passait plus loin autour d'elle.
Elle laissa s'écouler encore quelques minutes, le temps de pouvoir se libérer d'un assaillant qui se battait avec ardeur, puis Elle jeta un regard autour d'elle.
Ils s'étaient tous plus où moins éloignés les uns des autres. Elle voyait encore Naurestel, Ripouf, Louis, Asiac mais elle ne voyait plus Loucy. Ses yeux cherchèrent dans la pénombre... sans succès. Elle décida donc de se frayer un chemin jusqu'à Ripouf pour savoir si lui il en savait plus.


Ripouf, saurais-tu où est partie le Sergent Loucy, la Duchesse ?

Turbulette jeta un deuxième coup d'oeil autour d'elle sans la trouver.


Je ne la vois plus...
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Soyez réaliste, demandez l'impossible.

Archer à Belley
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