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[RP] Une vie de château

Kissiou
peut être qu'il veut faire de moi sa comtesse.

A peine un "Humpf" échapper d'sa bouche avec un léger rictus que son visage se tourna vers le bruit sourd d'la porte qui menait au geôle qui v'nait de se faire entendre laissant quelques secondes après apparaître devant eux le Comte.. Chuichian avec son air de toujours et égal à lui même, prétentieux, hautain, arrogant et dédaigneux... Avant ça lui faisait son charme mais aujourd'hui, depuis son annobliss'ment c'était insupportable, du moins pour elle. Et oui il était désormais venu ce fameux temps où il n'fallait plus mélanger les torchons et les serviettes ensemble. A croire qu'il oubliait d'où il v'nait et s'qu'il 'était au départ et les personnes qui lui portait de l'importance avant tout ça.. Les temps changeait.. et les personnes avec.. et la mémoire avec tous ça se faisait extrêmement courte, et n'parlont pas du cœur, celui-ci devait être remplacer au moment d'la cérémonie.

La chieuse n'eut pas l'temps de prononcer un seul mot qu'il ordonna à un garde de l'a faire sortir. C'est vrai que sa fille était largement et incomparablement bien plus importante que Fayom mais le ton dont il avait pris pour lui parler ne lui avait vraiment pas plut, il n'payai rien pour attendre.. La chieuse le fusilla du regard avec mépris avant d'sentir la main d'son garde chien qui l'agrippa par le bras pour lui emboiter l'pas. Elle s'dégagea d'sa main pleins de doigts avec austérité avant de disparaître d'cet endroit marmonnant milles noms d'oiseau de malheur maudissant cet situation.

Une fois la porte ouverte l'garde la lâcha pas d'une semelle et l'emmena naviguer par ci et là à la recherche d' Extraelle et Kiiara comme sa Grandeur l'Comte du Poitou l'avait demandé, ordonné pardon. Puis finalement c'est en s'dirigeant vers l'bureau d'la Porte-Parole qu'ils pouvaient apercevoir devant eux deux silhouette. Et bien entendu il ne fallut pas de temps pour savoir qui ils étaient avec l'timbre dvoix d'la petite. L'garde aussitôt les interpella alors qu'la chieuse entrouvrit la bouche pour en faire d'même. Décidément ici rare était les moments où on pouvait avoir l'temps d'parler!

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Kiiara
Les jambe flageolante elle refuse toujours de faire un pas..
Tout a coup son père déboule… pas un regard pour elle, juste quelque reproche et ordre donner a sa tante …
La petite a le ventre qui se noue encore plus mais cette fois plus par la souffrance de son tit cœur en manque de tendresse de son père " sa grandeur du Poitou" qui semblait bien plus presser d'allé a la cave que de s'arrête une minute pour être gentil avec sa fille...
Si la colère n’emportait pas sa peine pour sur ses larmes jailliraient de ses yeux, tel la fontaine de la place du village
Petit point serré visage de succube sur ses trait pourtant Angélique elle le regarde partir et refermer la porte derrière lui sans un seul regard
Le garde qui a reçut ordre de les ramener dans ce château austère les intimes de la suivre. Et l’enfant les suis tenant la main de sa tantine mais doucettement la vapeur monte dans son petit corps et c'est quand il penetrèrent dans le chateau que la pression lâcha dans un hurlement de rage mêlé de tristesse


NNONNN z’entre plus dans ce sateau !!! zé rien a y faire, suis qu’une batarde, ze prefère partir très loin pour qu’on me retrouve zamais !!!

Lâchant la main de Extraelle l’enfant filent comme un éclaire dans les ruelles sombre de Poitiers, elle sent bien qu’on la poursuit derrière les pas son rapide mais c’est mal connaître ma petite peste qui d’accord a des petites jambes mais est agile et légère comme une plume
Le vent glisse sur sa peau et fait glisser ses larmes sur ses tempes, un panier arrive droit sur ses jambes elle donne un grand coup de pied dedans sans même ralentir histoire de ralentir ceux qui tente de la rattraper
Un angle se pointe a l’horizon et la ruelle encore plus étroite est encore plus sombre elle s’y engouffre, continuant encore sa course, un bouché au porte fermé passe a sur le coté, puis un monticule de cagette qui s’entassent les unes sur les autre elle se faufile dessous et s’assoie le plus loin qu’elle peut sous cette cabane improviser
Tout semble calme tout a coup seule son souffle a du mal a ralentir, il semble aussi bruyant que le vent par jour de tempête
Pourquoi rester au château si elle n’était que bonne a rester dans une chambre a attendre qui et quoi … elle pensait qu’en allant la bas son père lui aurait fait visiter les lieu… peut être lui aurait t’il montrer comment manier une arme… enfin bref passer un petit peu de temps vec elle…
Non au lieu de ca il ne lui parler même pas elle n’était un objet décoratif qui faisait beau dans le château
Est-ce que c’était sa faute si elle n’était pas née d’un mariage, que c’est parents ce détestaient, qu’il pouvait plus se parler sans immédiatement se jeter insulte et reproche a la figure, trop s’en était trop elle restera caché pour le restant de ses jours comme ca elle ne serait plus obliger de supporter tout ca…

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--Le_gros_geolier
Ahh le vide était enfin fait.. il ne restait que le Comte et lui..
Le GG était tout guilleret car a part les femmes il aimait aussi la torture.. ohh ca il savait faire il avait dans un placard pas loin de nombreux instruments de torture.
Il avait pour habitude de commencer par de bonnes gifles pour commencer.. cela lui permettait d'évacuer sa frustration.
Ensuite il fermait le poing pour donner plus de fermeté.
Il avait aussi une boite remplie de clous et d'aiguilles .. il adorait le moment ou ils transperçaient la peau et que des perles de sang coulaient lentement.
Le marquage au fer rouge aussi.. le classique mais qui était vraiment intimidant.
Il avait une boîte de plomb qui fondu et versé sur la peau de a victime faisait le plus bel effet.
Le reste il avait rarement à s'en servir et ils étaient confinés dans une pièce consacrée exclusivement à la torture.

Il se leva donc en silence et écouta le comte.


Citation:
Geôlier, procédez. Vous savez ce que vous avez à faire pour que le prisonnier parle sans trop de difficulté. Mais je veux qu'il parle, ne lui brisez pas la mâchoire tout de suite.


il sortit donc de sa tête le brise mâchoire.. oui vous savez cet appareil en métal et en bois. Il y a juste a insérer le brise mâchoire dans la bouche de la victime puis a tourner une petite roue. La roue au fur et à mesure écarte deux plateau qui font que la mâchoire s'écarte de plus en plus.. ce qui finit par briser des dents et la victime ne peut plus parler.. embêtant dans les cas ou l'on attend des réponses.

Bref il ouvrit donc les portes de la geôle prit une chaise qui trainait et força le Niortais a s'asseoir dessus. Il lia les pieds et mais de celui ci.. Il savait très bien que se débattre était vain. il attacha enfin le torse a la chaise pour qu'il n'ait pas a le remettre sur pied si la violence des coups le faisait tomber.

Il ne savait même pas ce que le comte attendait mais cela lui faisait tellement plaisir de servir et prendre plaisir à voir les prisonniers agoniser.

il se mît donc debout, face au prisonnier et envoya sa main valser contre la joue du malheureux.. la main bien plate si bien qu'un claquement sec se fît sentir déclenchant un petit cri de douleur. Le revers se fît le poing fermé et serré. dans la seconde qui suivit le coup on pouvait encore distinguer la marque des phalanges du geôlier sur la peau de la victime.

Il laissa un peu de temps au Comte pour parler.. profitant de ce temps pour sortir d'un tiroir un objet en fer légèrement ondulé d'un côté qu'il passa dans sa main. Les petites bosses en métal se positionnant juste à la place des phalanges
Chuichian
Alors que le bourreau plus que geôlier se préparait, Chu profita pour poser une question... après tout il fallait bien un prétexte: torturez les gens juste parceque leurs têtes ne lui revient pas serait du plus mauvais effet.

Ainsi donc, tout en évitant soigneusement de regarder Fayom il posa la question:

T'es tu déja senti trahis? Sais-tu ce qu'est la trahison? Le fait de rompre une confiance peut provoquer un sentiment de trahison. C'est là sa force et sa faiblesse. Un sentiment est si personnel, si dépendant d'un individu, l'on pourrait croire que l'on est trahi quotidiennement. Mais non. Etonnamment, plus l'offenseur et plus grande est l'offense. Et oui... là est toute la complexité de l'être humain, sa perception des choses. Aristote nous a fait ainsi.

Oui mais voila, il existe une offense bien plus grande à cela, une insulte, une souillure. Tu vois de quoi je parle? Salir un nom, salir ma dignité est loin d'être un sentiment. Dans ton cas c'est un fait. Avoue tes pêchers, avoue tout tes actes méprisables et peut-être ressortiras-tu d'ici rapidement. Reconnais tes erreurs et ta culpabilité en sera amoindri... comme le dis le proverbe, plus le coupable est grand et plus grand est le supplice.

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Fayom
Et voilà, le spectacle commençait : Fayom se faisait saucissonner sur un chaise par le geôlier; c'était pas la première fois pour lui mais il ne prenait pas autant de plaisir que lorsque Cibeline le faisait. Et maintenant qu'il est des plus dociles, le geôlier lui mit un aller retour dans la face, juste par plaisir. le retour avec été plus douloureux et Fayom avait comprit, ayant le goût du sang dans la bouche, que la première plaie était arrivée. Finalement le geôlier avait fait une mise en bouche soft, il laissait au comte le soin de lui parler du menu. Cependant le comte, sûrement empreint de piété dans ce moment si peu Aristotélicien, lui fit un sermon.

T'es tu déja senti trahis? Sais-tu ce qu'est la trahison? Le fait de rompre une confiance ... ZZZZZZ!!!..... une insulte, une souillure. Tu vois de quoi je parle? Salir un nom, salir ma dignité est loin d'être un sentiment.

Hein quoi qu'est ce que je dois voir ? Pourquoi tout ce discours ? Ne pouvait il pas lui poser une simple question, se demandait il

Avoue tes pêchers, avoue tout tes actes méprisables et peut-être ressortiras-tu d'ici rapidement. Reconnais tes erreurs et ta culpabilité en sera amoindri... comme le dis le proverbe, plus le coupable est grand et plus grand est le supplice.

Fayom observait le geôlier qui cherchait quelques outils amusants pendant qu'il analysait le discours du comte, enfin ce qu'il en avait retenu. Humm voyons, trahison, dignité, mes pêchers, grand supplice .

Et bien mon père, euh mon comte, je reconnais avoir pêcher mais croyez moi par ignorance. Oui c'est vrai je savais pas que Kiss était pas libre. Et puis franchement même si je le savais je vois pas où j'ai trahi, c'est vrai je vous ai jamais fait serment de ne pas vous faire cocu. Et puis c'est de l'histoire ancienne, vous vous êtes déjà défoulé au nouvel an. C'était vraiment pas la peine de se donner tant de mal pour être comte afin de passer un moment en ma compagnie. Bon ensuite j'ai quelques autres pêchers mais ne vous concernant pas, je préfère voir ça avec notre curé.

Fayom se doutait bien qu'il y avait peu de chance qu'il s'agisse de cela. Mais il laissait le soin à sa grandeur de détailler toute l'histoire, ainsi n'ayant que des réponses courtes à donner, il pouvait plus facilement se défendre bien que cela sera plus douloureux aussi.
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--Le_gros_geolier
V'la ti pas que le prisonnier était insolent.. il s'en doutait bien le GG que l'aller retour avait pas suffit.
Mais l'objet qu'il tenait dans sa main et qui en faisait le tour.. se terminant par des phalanges en fer allait vite lui faire changer d'avis ( sorte de coup de poing américain médiéval).
Il le positionna correctement puis sortit un grand récipient qui contenait une substance grise malléable.. de la fumée émanait du récipient indiquant au GG que le matériel était prêt.

Il retourna donc près du Niortais et déposa le récipient à la vue de celui ci afin que la peur s'installe.. et si cela ne suffisait pas il n'hésiterait pas à s'en servir.

Serrant son instrument de torture dans sa main il s'adressa au prisonnier.


Alors comme ca on fait encore l'mariole!

Sans attendre une réponse il enfonça les quatre parties métalliques dans le menton du niortais.. du sang perlait sur le fer et un lèger bruit d'os cassé se fit entendre.


Et ca t'en dis quoi? Ca te suffit ou pas? Tu vas tout dire oui?

Les questions du geôlier était purement inutile.. que le niortais se taise.. le plaisir n'en serait que plus grand.
Il donna du poids a ses questions néanmoins en enfonçant une fois de plus les quatre bouts de métal mais cette fois si dans la côte droite de l'homme.
Fayom
Le comte était résté stoïque à ses réponses, peut être s'attendait il à cela ou alors appréciait il d'avoir ainsi l'occasion de lui donner une bonne raclée. En tout cas, il ne fit même pas un signe au géôlier puis lui dire qu'il pouvait se défouler. A vrai dire celui là avait pris l'initiative lui même, il mit à sa main, une sorte de mitaine en métal. Puis s'approchant, il lui dit :

Alors comme ca on fait encore l'mariole!

Et vlan du métal dans le menton, créant une fissure de la mandibule. Fayom avait beau avoir l'habitude de la douleur en tant que soldat, il n'empêche qu'il apprécia pas du tout. Le geôlier lui dit alors tout fier :

Et ca t'en dis quoi? Ca te suffit ou pas? Tu vas tout dire oui?

Mais Fayom avait bien l'intention de continuer à se taire, c'était sa meilleure chance. Et puis il savait que le comte ne le voudrait pas de suite trop abîmé. Cependant le geôlier lui enfonça la mitaine en fer dans la côte qui se brisa. Fayom se mit à tousser, voulant se pencher en avant mais ficelé comme il était il ne pouvait pas et ressentait encore plus la douleur. Fayom grimaça alors et regardait si le comte allait enfin parler concrètement.
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Chuichian
Ne pouvait-il pas parler? Le Comte avait horreur de descendre en ces lieux...

Allons Fayom, pourquoi te taire? Il te suffit de dire que tu regrettes, que tu n'agiras plus ainsi. Nous ne te laisserons partir ensuite, sans t'avoir trop abimé. Nous garderons ce secret en ces lieux.

Il plongea son regard dans celui de Fayom, bien qu'il était plus que calme il flamboyait intérieurement: il l'aurait bien fait pendre discrètement en ces lieux... un accident rien de plus, cependant il ne voulait pas le voir mourir, pas ainsi. Rien de noble dans ce comportement.

Geôlier, à vous.


Il attendit que celui-ci fasse office à nouveau, laissant quelques marques sur la peau du niortais, marques qui ne disparaitraient pas avant de longues années.
Il finirait par craquer, il avouerait et il serait éliminer par la justice, proprement, mais pour cela il devait parler.


Fayom, simple question, as tu déja trahis le Poitou ou le Comte afin de satisfaire tes besoins privées?
Un simple oui te libérera de cette douloureuse situation. Tu pourras retrouver Cibeline, ta douce Cibeline qui attend ton retour. Ne la fait pas payer tes incartades, tes gestes inconscients... tu ne souhaites pas qu'il lui arrive malheur, j'en suis sur.


Alors qu'il disait cela, il fixait un couteau, posé parmis les outils du Geôlier, outillage qui évoquait les supplices et les cris de douleurs qu'ils avaient infligés.
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Fayom
Enfin le comte parlait de ses raisons clairement :

Fayom, simple question, as tu déja trahis le Poitou ou le Comte afin de satisfaire tes besoins privées?
Un simple oui te libérera de cette douloureuse situation. Tu pourras retrouver Cibeline, ta douce Cibeline qui attend ton retour. Ne la fait pas payer tes incartades, tes gestes inconscients... tu ne souhaites pas qu'il lui arrive malheur, j'en suis sur.


Fayom ne croyait pas à ces promesses: déjà il doutait qu'il le fasse pour un autre, mais pour lui impossible. Trop de choses entre eux pour qu'il soit clément. Il allait nier tout en bloque lorsqu'il entendit ces menaces contre Cibeline. Fayom entra dans une fureur noire et hurla :

ESSAYE UN PEU DE TOUCHER A CIBELINE, JE T'AURAI ETRIPE BIEN AVANT. DETACHE MOI QU'ON VOIT SI SA GRANDEUR A QUELQUE CHOSE DANS LES BRAIES, CE QUE JE DOUTE VU QUE SA COMPAGNE PREFERE VOIR AILLEURS.

Il avait qu'une envie c'était de lui sauter dessus et le massacrer, mais il avait beau remué, oubliant la douleur dans sa poitrine, les liens le retenaient.
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Kalimereth
Kali avait regagné son bureau, et avait commencé à s’avancer sur quelques dossiers. Certes elle avait d’abord prévu de prendre un peu de repos, mais les derniers événements avaient éprouvé ses nerfs au point de l’empêcher de trouver le sommeil. De plus elle avait promis à Fayom de redescendre le voir, mais l’idée de se retrouver de nouveau dans ces lieux ne l’enchantait guère.

Pourtant, repensant à Cib qui avait dû maintenant apprendre la nouvelle, elle poussa un long soupir, refermant le dossier sur son bureau et se leva. Elle se dirigea vers la fenêtre ouverte, espérant un souffle d’air frais, et d’un pas résigné prit la direction des geôles. Elle dut s’armer de courage, se préparant à faire front aux questions de Fayom, et était déjà prête à rembarrer sans ménagement le geôlier au moindre regard déplacé.

Grande respiration, la main sur la poignée, se demandant si elle faisait bien d’être là, et la porte s’ouvre offrant à son regard un spectacle inattendu. Sa Grandeur dans ce sinistre recoin du château, le geôlier un rictus écoeurant aux lèvres, et Fayom ligoté sur son siège, en bien mauvaise posture, hurlant sur le Comte.

Ses yeux vont de l’un à l’autre, dans un moment d’incompréhension, ne sachant dire si elle avait bien fait d’honorer sa promesse en redescendant ici. Elle les observe un instant, le geôlier qui semble prendre un plaisir évident, Fayom qui bout de rage et hurle sur le Comte, qui lui reste là… impassible. Elle se doute bien qu’elle doit dire quelque chose, elle ne peut rester plantée là ainsi, ni repartir après avoir assisté à cette scène.

Evidemment, c’est la question la plus bête qui soit qui finit par franchir ses lèvres :


Mais que se passe-t-il ici ?
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