Kissiou
peut être qu'il veut faire de moi sa comtesse.
A peine un "Humpf" échapper d'sa bouche avec un léger rictus que son visage se tourna vers le bruit sourd d'la porte qui menait au geôle qui v'nait de se faire entendre laissant quelques secondes après apparaître devant eux le Comte.. Chuichian avec son air de toujours et égal à lui même, prétentieux, hautain, arrogant et dédaigneux... Avant ça lui faisait son charme mais aujourd'hui, depuis son annobliss'ment c'était insupportable, du moins pour elle. Et oui il était désormais venu ce fameux temps où il n'fallait plus mélanger les torchons et les serviettes ensemble. A croire qu'il oubliait d'où il v'nait et s'qu'il 'était au départ et les personnes qui lui portait de l'importance avant tout ça.. Les temps changeait.. et les personnes avec.. et la mémoire avec tous ça se faisait extrêmement courte, et n'parlont pas du cur, celui-ci devait être remplacer au moment d'la cérémonie.
La chieuse n'eut pas l'temps de prononcer un seul mot qu'il ordonna à un garde de l'a faire sortir. C'est vrai que sa fille était largement et incomparablement bien plus importante que Fayom mais le ton dont il avait pris pour lui parler ne lui avait vraiment pas plut, il n'payai rien pour attendre.. La chieuse le fusilla du regard avec mépris avant d'sentir la main d'son garde chien qui l'agrippa par le bras pour lui emboiter l'pas. Elle s'dégagea d'sa main pleins de doigts avec austérité avant de disparaître d'cet endroit marmonnant milles noms d'oiseau de malheur maudissant cet situation.
Une fois la porte ouverte l'garde la lâcha pas d'une semelle et l'emmena naviguer par ci et là à la recherche d' Extraelle et Kiiara comme sa Grandeur l'Comte du Poitou l'avait demandé, ordonné pardon. Puis finalement c'est en s'dirigeant vers l'bureau d'la Porte-Parole qu'ils pouvaient apercevoir devant eux deux silhouette. Et bien entendu il ne fallut pas de temps pour savoir qui ils étaient avec l'timbre dvoix d'la petite. L'garde aussitôt les interpella alors qu'la chieuse entrouvrit la bouche pour en faire d'même. Décidément ici rare était les moments où on pouvait avoir l'temps d'parler!
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A peine un "Humpf" échapper d'sa bouche avec un léger rictus que son visage se tourna vers le bruit sourd d'la porte qui menait au geôle qui v'nait de se faire entendre laissant quelques secondes après apparaître devant eux le Comte.. Chuichian avec son air de toujours et égal à lui même, prétentieux, hautain, arrogant et dédaigneux... Avant ça lui faisait son charme mais aujourd'hui, depuis son annobliss'ment c'était insupportable, du moins pour elle. Et oui il était désormais venu ce fameux temps où il n'fallait plus mélanger les torchons et les serviettes ensemble. A croire qu'il oubliait d'où il v'nait et s'qu'il 'était au départ et les personnes qui lui portait de l'importance avant tout ça.. Les temps changeait.. et les personnes avec.. et la mémoire avec tous ça se faisait extrêmement courte, et n'parlont pas du cur, celui-ci devait être remplacer au moment d'la cérémonie.
La chieuse n'eut pas l'temps de prononcer un seul mot qu'il ordonna à un garde de l'a faire sortir. C'est vrai que sa fille était largement et incomparablement bien plus importante que Fayom mais le ton dont il avait pris pour lui parler ne lui avait vraiment pas plut, il n'payai rien pour attendre.. La chieuse le fusilla du regard avec mépris avant d'sentir la main d'son garde chien qui l'agrippa par le bras pour lui emboiter l'pas. Elle s'dégagea d'sa main pleins de doigts avec austérité avant de disparaître d'cet endroit marmonnant milles noms d'oiseau de malheur maudissant cet situation.
Une fois la porte ouverte l'garde la lâcha pas d'une semelle et l'emmena naviguer par ci et là à la recherche d' Extraelle et Kiiara comme sa Grandeur l'Comte du Poitou l'avait demandé, ordonné pardon. Puis finalement c'est en s'dirigeant vers l'bureau d'la Porte-Parole qu'ils pouvaient apercevoir devant eux deux silhouette. Et bien entendu il ne fallut pas de temps pour savoir qui ils étaient avec l'timbre dvoix d'la petite. L'garde aussitôt les interpella alors qu'la chieuse entrouvrit la bouche pour en faire d'même. Décidément ici rare était les moments où on pouvait avoir l'temps d'parler!
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