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[RP]Eglise Saint Martial de Châteauroux (+ annonces de Rome)

---fromFRMaverick62
Mav s approcha d'Ysa en lui faisant la bise et ému le félicita

- Désole mon tit filleul (irl chargé ) mais sache que je suis de tout coeur avec toi

Mav s'éloigna et alla s'agenouiller devant l autel afin d y allumer un cierge et partit ..
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---fromFRYsaoth
Tout le monde était présent et Ysaoth se snetait maintenant appaisé. Comme lui soulignait sa futur filleule, il pouvait se détendre maintenant. Mais avant il fallait retrouver des vêtements un peu plus sec. C'est à peu près à ce moment qu'il s'apperçu du pigeon posé sur le dossier d'un banc de l'église. Il le pris et lu le message que lui portait le volatille.
Un message de la lointaine Italie. Dame Floryne de Loisel, grande Dame de Châteauroux, lui adressait ces félicitations d'Italie. Cela complétait parfaitement le cercle de personnes présentent ici, physiquement ou non, qui comptaient énormement pour lui. En effet il avait appris à connaitre et apprécier l'ancienne maire de Châteauroux, qu'il avait choisit quelques semaines plus tôt comme adjointe à la banque afin qu'elle partage son expérience avec lui.
Le pigeon avait repris son envol alors qu'Ysaoth était reparti dans ses pensées, une fois de plus, et les invités quittaient l'église déjà dans l'optique de rejoindre la taverne. Seul le son des cloches de l'église activée par le père Jean pouvait couvrir le brouhaha provoqué par les convives.
Ysaoth profita alors de ces quelques instant pour s'assoire sur le banc qui avait acceuillit le pigeon quelques minutes plus tôt. Il fit le vide dans son esprit. Les portes de l'église laissèrent apparaitre la lumière exterieur. Ysaoth s'appercu qu'une silouhète se tenait encore dans l'encadrement de la porte gigantesque..... Un ange? Mieux... Son ange... Eal l'attendait, souriante comme à son habitude.
Ysaoth se leva et alla rejoindre son amour. Il la pris par la main et l'embrassa.
Voila qui mettait fin parfaitement à ce moment si particulier.
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---fromFRDegaulle
Et c'est à ce moment là, qu'un pigeon entra dans l'église et se dirigea vers Ysaoth.
Celui-ci pouvait lire.

Citation:
Bonsoir Ysaoth

Je t'adresse toutes mes sincères félicitations pour ton baptème. Je sais que j'étais invité à y participer. Mais, malheuresement, je suis fort occupé dans les affaires de la marie et n'ai donc que très peu de temps. Je te prie d'accepter mes excuses.
Encore félicitations.

Degaulle
Maire de Châteauroux

_________________
"Vive le Berry libre"
Degaulle, le 25 septembre 1455, lors du 1er assaut tourangeau contre Châteauroux

Pensées :
" Sa grandeur, ainsi que son bien être, est, pour moi, chose essentielle. Sinon, ce n'est pas Châteauroux."

Ex-Maire de Châteauroux
CAC extérieur de Châteauroux
---fromFRDegaulle
lettre adressée à Ealena

Code:
Bonsoir chère filleule

Je sais ton grand empressement à te faire baptiser et que tu as besion, pour cela, d'un parrain baptisé. Cependant, j'ai moi-même un parrain qui n'est pas baptisé et qu'il ne souhaite pas l'être.
Adresse-toi directement au curé de Châteauroux afin de savoir s'il existe une alternative.

Je t'embrasse

Degaulle
Ton parrain

_________________
"Vive le Berry libre"
Degaulle, le 25 septembre 1455, lors du 1er assaut tourangeau contre Châteauroux

Pensées :
" Sa grandeur, ainsi que son bien être, est, pour moi, chose essentielle. Sinon, ce n'est pas Châteauroux."

Ex-Maire de Châteauroux
CAC extérieur de Châteauroux
Jean_le_petit
Messe épistolaire de funérailles à la mémoire de Messire Vondrak



Citation:
Le Glas avait sonné longuement ce matin du 21 avril 1456, le temps était gris et froid.

Le long cortège funèbre s'ébranla doucement vers les dix heures du matin, Messire SirSeb avait voulu une cérémonie belle et sobre. Les quatre chevaux noirs se mirent au pas tirant le char funèbre.

Messire SirSeb entouré de ses amis suivaient directement le char, ensuite venaient des enfants de choeur porteur de messages reçus par pigeon.

Puis venait une longue foule d'anonymes, de sans-grade qui tous avaient connu et apprécié le défunt, il s'était donné pour eux sans compter et tous voulaient lui rendre un dernier hommage pour lui dire "tu as toujours été là pour nous, aujourd'hui à notre tour d'être là pour toi"

A Saint-Martial, un trait de lumière, comme un doigt, tombait du ciel et illuminait le vitrail de Sainte Marie-Madeleine la patronne des Boulangers.

Le cortège entra dans la cathédrale, partout des fleurs avaient été apportées.


Messire SirSeb, mes enfants

La mort fait partie de la vie, elle n'est qu'une étape, nous commençons par une vie terrestre puis nous passons à une vie céleste. Cette cérémonie n'est pas tellement importante pour Messire Vondrak, car il a déjà rejoint le Très-Haut en son paradis, non elle est importante pour nous, elle nous permet d'adoucir la douleur du départ et de nous préparer au temps de la séparation, ce temps fait partie aussi de la vie et nous devons le franchir.

Je voudrais maintenant vous lire des extraits de textes Saints


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Sainte Spyosu, dans la Création, a écrit:
Le Très-Haut tourna de nouveau Sa voix en direction de l’humain et lui dit: “J’ai fait de ton espèce Mes enfants. A vous de prouver que vous en êtes digne. Lorsque Je déciderai que le temps prendra fin, Je détruirai le monde et ses occupants et jugerai tous les tiens. Ceux qui se montreront dignes de cet honneur seront élevés auprès de Moi. Ceux qui s’en montreront indignes seront jetés dans une éternité de tourments.”.

Alors, Le Très-Haut créa deux astres au-dessus du monde. L’un, rayonnant de lumière, fut appelé “soleil”. L’autre, luisant froidement, fut nommé “lune”. Etant des choses divines, ces deux astres entrèrent dans un mouvement circulaire autour du monde.

Le Très-Haut expliqua à l’humain: “Le soleil inondera chaque jour le monde de sa lumière, par preuve d’amour pour Ma création. Ceux, parmi les tiens, que j’y enverrai n’y connaîtront plus la tourmente. Mais entre chaque jour, la lune prendra la relève. Et ceux qui, parmi les tiens, y seront jetés n’y connaitront plus que la tourmente.”. (Création 4: le jugement)


Le Très-Haut a fait des humains Ses enfants. Mais cet honneur doit être mérité. Pour ce faire, nous nous devons de rendre au Très-Haut l’amour qu’Il éprouve pour nous. Le Très-Haut étant tout et tout étant en Lui, L’aimer, c’est aimer toute Sa création. Accepter Son jugement, c’est comprendre que la mort n’est pas une punition, mais le moyen pour ceux qui ont aimé Le Très-Haut de pouvoir vivre éternellement dans Son amour. Rejeter la décision du Très-Haut et considérer que cela est injuste, c’est nier que le défunt ait mérité de vivre une vie bien plus belle après la mort: c’est se détourner de l’amour du Très-Haut.

Saint Ypsous, dans la Pré-Histoire, a écrit:
Il ajouta: “J’ai créé pour vous un lieu appelé Enfer, où les pires d’entre vous connaîtront une éternité de tourments pour les punir de leurs péchés. Dans sept jours, votre cité sera engloutie dans les flammes de ces enfers. Les âmes de ceux qui y seront restés y passeront l’éternité. Cependant, Je suis magnanime, et ceux d’entre vous qui sauront faire pénitence passeront l’éternité en Ma Maison, que je nomme Paradis.”. (Pré-Histoire 3: la punition)


Car il fut un temps où tous les hommes et toutes les femmes se détournèrent de l’amour du Très-Haut. Leur vie de péché ne connut pas de limite à la débauche et Le Très-Haut fut grandement peiné. Mais Le Très-Haut aime les hommes et les femmes et sait qu’en chacun, il y a de l’amour qui ne demande qu’à s’exprimer. Donc, si vous aimiez Messire Vondrak, conservez cet amour pour lui, car vous la rejoindrez au Paradis et profiterez de son agréable compagnie pour toute l’éternité. Que les larmes qui coulent sur vos joues soit une preuve d’amour et non pas un rejet de la décision du Très-Haut, car Il vous aime, Il aime Messire Vondrak, et Le Très-Haut ne demande qu’à vous voir à ses côtés lorsqu’Il nous aura tous jugés. Ceux qui se sont détournés, se détournent ou se détourneront du Très-Haut, par leurs péchés, ne connaîtront pas l’amour de Le Très-Haut. Et ils seront les seuls pour qui la mort sera un bien grand malheur.

Saint Posuys, dans l’Apocalypse, a écrit:
Et Le Très-Haut me parla: “Vois. Ces hommes et ces femmes de tous temps et de tous pays sont maintenant unis dans l’attente du jugement de leur âme. Je vous ai faits aspirant à la vertu et j’ai fait celle-ci de telle manière que si l’un d’entre vous la pratiquait, elle se communiquerait aux autres.” Je reconnaissais là l’enseignement d’Aristote et les paroles de Christos! “Il y avait un but à cela, ajouta-t-il, me servir, m’honorer et m’aimer, mais aussi vous aimer les uns les autres. Je suis la main invisible qui guide vos pas, mais nombre d’entre vous se sont détournés de Ma Parole. Maintenant, tu sais ce qui vous attend tous. Alors transmets ce qui vient de t’être expliqué. Aristote et Christos ont transmis Ma Parole afin de vous permettre de rejoindre le Paradis lorsque j’aurai rendu Mon jugement. Seuls ceux qui resteront sourds à ce qu’ils ont enseignés souffriront mille morts en enfer.”, conclut-il. (L’Apocalypse)


Oui mes amis le temps de la séparation est arrivé, ce n'est pas une traversée du désert qui nous attend, c'est une vie pleine de rire et de joie où nous associerons volontiers Messire Vondrak en ayant une pensée pour lui, en nous disant que tel ou tel événement l'aurait fait rire aussi. Ce faisant ce temps de la séparation nous paraitra très court.

Reprenons ensemble le Credo de notre église:

e crois au Trés-Haut le Créateur tout puissant,
Qu’ a fabriqué avec rien le Ciel et la Terre,
Le Paradis, et tous les petits oiseaux de Lausanne,
Il est le Juge de notre âme ici et à la toute fin.

Je crois en Aristote, son prophète,
Un Grec, fils de Nicomaque et de Phaetis,
Expédié pour étaler sa sagesse
Et les lois divines de l'Univers sur les hommes chahuteurs.

Je crois aussi en Christos, un autre gars mystérieux,
Né de Maria et de Giosep, un couple pas ordinaire.
Il a voué sa courte vie à nous parler du Paradis, du chemin qu’on voyait pas pour s’y rendre.
C’est ce qui lui a coûté la vie par le martyr sous Ponce,
Mais il s’en fichait, c’est ce qu’il voulait pour nous sauver,
Et pour rejoindre la vraie Lumière où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Que la fulgurance d'Aristote nous accompagne !
Que l'extase de Christos nous transcende!
Que le Très-Haut nous garde !













































---fromFRSirSebb
SirSeb avait les larmes aux yeux, et dit tout bas,
tu nous manqueras Von, mais tu dois être bien mieux où tu es...
puis, il alla vers le Père Jean et lui dit,
je vous remercie pour cette cérémonie. C'est vraiment sympathique pour nous tous.
_________________
Bannière en "réparation"
Nokomis_chausiku
Noko avait écouté le sermon de Père Jean , elle avait tenu la main de Seb tout au long et le garda dans ses bras...., ses larmes coulaient toutes seules, et Noko ne pensait même pas à les retenir.....elle était là ... jute là..... accompagnant Seb dans sa propore douleur....en restant là pour le soutenir...


OUI Von tu nous manqueras toujours , et nous te gardons une place bien au chaud dans notre coeur ...dit-elle en murmurant


Noko, toujours au bras de Seb, sortirent sur le parvis de l'église et remercièrent le Père Jean de son Homélie......

Viens mon coeur dit-elle allons nous en .......il restera toujours auprès de nous......
_________________
Puisse Mon Esprit Garder la Droiture de Mes Pas où qu'ils Me Mènent...
---fromFRangie743
Moi la fiancée, se fesait petite dans l'église, ne voulant pas que les amis et autres personnes voient qu'elle pleuraient toutes les larmes de son corps.

Elle resta là, silencieuse dans un coin, écoutant le dernier adieu que fesait le Petit Jean à son seul et unique amour Vondrak qu'elle n'oubliera jamais et qu'elle aimera toujours.

Tout au fond d'elle, elle se disait que c'était injuste; qu'elle n'aurait pas du être là pour dire adieu à son amour. Mais qu'elle aurait du être là, avec lui a ses côtés afin de célébrer leurs baptêmes respectifs en vu de leur mariage.

A la fin de la cérémonie d'enterrement, toujours aussi effondré, elle sorti de l'église sans dire mots à qui que ce soit, de toute manière elle n'en avait pas la force. Elle disparu dans les rues de Chatô, et rentra chez elle.
Jennsen
Un pigeon messager, porteur d'un bien triste nouvelle, était parvenu jusqu'à Jenn.
Elle renvoya le volatile avec un message de circonstance, consciente qu'il n'apporterait que peu de réconfort à sa famille et à ses amis, mais voulant témoigner de son émotion.


Citation:
C'est avec grande tristesse que j'ai appris la perte qui frappe la population Castelroussine.
De Messire Vondrak je me rappelle les ronds de fumée qu'il savait si bien s'appliquer à réaliser, et de sa joie quand il évoquait son aimée.
Permettez moi, par ce billet, de m'associer à la peine de ceux qui l'ont connu et aimé.

Jenn
---fromFRYsaoth
Ysaoth était là. dans un coin sombre, la ou il à l'habitude de se mettre, un peu à l'écart de toute le monde, écoutant le sermon du prêtre. Von était parti trop tôt. Il n'y avait rien d'autre à dire...mais au moins là ou il est il sera protégé des hommes et de leur folie.
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Gilgaalad
Assis dans le fond de l'église, Gil avait suivi la cérémonie des funérailles avec un lourd sentiment de tristesse.

La soudaine disparition de Vondrak l'avait frappé en plein préparatifs de festivités. Le coeur n'y était plus.
Le souvenir de Vondrak était là, la tristesse l'avait envahi jusqu'au plus profond de lui.

Vondrak avait rejoint Aristote. Peut être que là, il se sentirait mieux.


Adieu Vondrak, ton souvenir restera toujours là quelque part dans un recoin de ce village qui t'avait accueilli.
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Jean_le_petit
Baptême de Dame Ardegonde le 21 avril 1456

Jean était resté à Saint Martial, malgré la tristesse de l'assemblée, il fallait continuer et une nouvelle brebis demandait à entrer dans l'église Aristotélicienne.
Revêtu de sa bure, de sa corde à nœuds, enfin lui-même, il rejoignit le Chœur et l’autel.
Dame Ardegonde était déjà là. Sa marraine, Dame Nouche et son parrain Messire Necroman étaient à ses côtés pour l'aider à franchir ce pas important dans sa vie. Quelques invités étaient également déjà installés.
Jean alla les saluer et tapoter comme à son habitude les bras des unes et des autres.
Puis il alla vérifier qu’il avait bien rempli le baptistère, et prit enfin la parole.


Notre Eglise d'Aristote et la communauté aristotélicienne vont s’enrichir de d'une nouvelle recrue. Ce n'est pas une inconnue pour un grand nombre d’entre vous ! C'est pourtant une âme toute neuve devant l’amour du Très-Haut qui frappe à la porte ! Qu’elle entre ! La baignoire fume et l’air se réchauffe !
L’entrée de Dame Ardegonde, car c’est d’elle dont il s’agit, dans la communauté, n'est pas un acte anodin, mais non !
C'est une action qui va engager entièrement cet enfant, car elle est un enfant aux yeux du Très-Haut et de l’Eglise, son corps, mais aussi son âme. C’est une renaissance, la véritable naissance, un engagement total et impossible à rompre. Même la mort ne pourra rompre le lien qui vous unira à la grande famille des Aristotéliciens.
Cet engagement n’est pas un jeu ! Devenir aristotélicien c’est une tache quotidienne et un labeur ardu ! Regardez moi, dans quel état j’erre, et vous comprendrez la portée de votre engagement ! On ne passe pas de contrat avec le Très Haut ! Ni avec le salut de son âme ! C’est un don de soi, gratuit, une projection absolue et sans retenue !
Avec le baptême vous pourrez faire le premier pas vers le Soleil, ce premier pas devra être suivi d'une vie exemplaire répondant aux exigences du Livre des vertus.
Approchez-vous devant le baptistère chère Dame Ardegonde, et répétez votre profession de foi, celle-ci exprime avec vos mots les raisons pour lesquelles vous voulez rejoindre notre grande église Aristotélicienne.
Que votre douce marraine, Dame Nouche, baptisée à Châteauroux par Sire de Gourdon et votre parrain Messire Necroman, baptisé à Si Aignan par le curé Kuzcau, témoignent ensuite en votre faveur
Et que les paroissiens qui le souhaitent enfin apportent leur contribution.
---fromFRardegonde85
Ardegonde se planta devant le baptistère et se perdit quelques instants dans ses pensées.
Un silence recueilli lui permit d'essayer d'y voir clair malgré la tristesse qui l'accompagnait telle un nuage sombre depuis la veille.
Elle releva le menton et regarda le curé dans les yeux...


Les raisons qui me poussent à me faire baptiser? Elles sont une, mon père. Une seule et simple raison.
Simple mais essentielle, puisque je souhaite être baptisée afin de pouvoir épouser Messire Gilgaalad ici présent que j'aime de toute mon âme et de toutes mes forces, selon les préceptes de la Foi , à laquelle il m'a initié, étant lui même un disciple d'Aristote.
Que notre union soit reconnue par le reste du village, par le Royaume tout entier est mon souhait le plus cher, mais cela ne sera rien si cette union n'est pas reconnue par le Très Haut.
Voilà....
Je vous l'avais dit mon père, simple.... mais essentielle à mes yeux.
Nouche
Nouche était à l'heure , ça devenait un peu trop courant curieusement .
Elle s'approcha du baptistère près de sa future filleule Ardegonde , prête à témoigner de son foie .... sa foi
Bartimeus12
La vicomtesse de Meillant avait assisté discrètement à la cérémonie à la mémoire de Sieur Vondrak qu'elle connaissait à peine. La vie continuait son cours et il était temps de célébrer le baptême d'Ardegonde. Barti s'était rapprochée un peu du choeur et observait en silence la cérémonie.
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