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[RP] Ce soir, on danse !

Pulemetchik
Pule rouvrit les yeux et se redressat sur sa chaise, il regardat l'assemblée et constatat que rien n'avait bouger.
Les couples dancaient, le buffet diminuait, la bière coulait.....
Il se levat sans un mot, et se dirigeat vers la sortie.
Il crapahutat encore dans le chateau, pestant sur l'architechte ayant construit se labyrinthe et lachant tout du long une longue série de juron dans sa langue natale, le wallon.
Pendant qu'il s'en allait, un garde s'esclafat à son passage, lachant un long rire gutural.
Pule fit demi tour, se plantat devant le garde qui s'était sentit petit tout d'un coup, étant donner l'imposante taille du viking qui se tenait face à lui et le dépassait d'au moins deux têtes.
Un petit instant passat puis Pule repris son chemin, laissant le garde au sol, une main sur son nez en sang et l'autre sur son entre jambe.
Pule finit, après deux gardes maltraités et quelques escaliers descendus, à retrouver l'entrée du chateau.
Il déguainnat son épée restée atachée à la selle d'Almut et montat sur celui-çi.
Il avancat lentement dans la cour du chateau, s'arretat et lancat un dernier regard vers les fenetres de la salle de bal.

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Landyves
Toute cette nourriture si belle à regarder et si appétissante, il fallait donc que le benêt se change les idées avant qu’il ne se rue sur les plats et se goinfre comme un malpropre.
Il laissa son aimée manger et fixa les couples qui dansaient, envieux de les voir ainsi prendre plaisir à effectuer quelques pas.
Mais alors que ses pensées vagabondaient, Selva vint le ramener à la réalité et c’est non sans un certain contentement qu’il lui adressa un large sourire.
La jeune femme voulait elle aussi profiter de l’instant et se rendre au milieu de la salle pour danser.

Terminant son hypocras, Yves reposa la chope sur la table et présenta son bras à sa dulcinée, pour être aussi galant que possible, après tout, rien n’était trop beau pour cette nîmoise, et autant être présentable dans un tel endroit.
C’est alors que s’avançant vers la piste, il pencha la tête en direction du visage de Selva et répondit à sa dernière réplique par une question.


Et quel est le nom de cet ami ?

Son regard flâna un instant.

Est-ce l’homme vêtu entièrement de noir ?

Il continua d’avancer jusqu’à se retrouver nez à nez avec Selvagia.
Un nouveau sourire charmeur, il se plaça de sorte à tournoyer aussi rapidement, confortablement et élégamment que possible.
La danse commença donc doucement pour se remémorer petit à petit les pas et se poser sur le même rythme que la musique.

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Mounia
Tout en se mouvant avec grâce, les deus danseurs continuaient de discuter.

-"Peut-être parce que tout vaut d'être tenté... Il n'y a d'immuable que le temps qui passe, mais on doit bien pouvoir l'employer comme on l'entend. Et puis, vous me l'avez demandé, n'est-ce pas ? Il n'est pas dans mes habitudes de me dérober à la requête d'une jolie femme. "

Mounia afficha une moue dubitative. Elle? Une jolie femme?Elle tourna son regard vers Jhaampe qui ne semblait pas le moins du monde être touché par la mise en scène ce qui agaca au plus haut point la petite blondinette.

Et si tout vaut d'être tenté, n'avez vous pas une idée pour réveiller un peu l'amour que me porte le beau Jhaampe?Ce n'est pas que je me déplais avec vous, vous êtes plutôt bon danseur et bel homme, mais mon coeur et mon corps se languissent des siens...Et ma jalousie,de le voir danser avec une autre, se réveille...
Pulemetchik
Pule, après un court instant qui lui semblat pourtant long à admirer les vitres de la salle de bal, soupirat puis donnat un grand coup du plat de son épée sur l'encolure de sa monture, partant au galop de charge à travers les campagnes environnantes et fesant voler quelques mottes de terre à son passage.
Il fit sortir sa tignasse de sous sa cape, la fesant voler dans son sillage, ressemblant à une grande étoffe dorée ondulant dans l'air.
Il avait besoin de sentir le vent le parcourrir, le froid l'envahir.
Il avait besoin de se sentir comme dans ses souvenirs, quand il afrontait les tempetes à la proue de son drakkar, en pleinne mer.
Se vent lui fouetant le visage lui manquait, il avait crut avoir trouver une sirène qui l'aurait accompagner le long d'une dance de tempette, mais la douce n'avait pas daigner se laisser prendre dans ses dfilets et s'en était allée.
Il parcourait les campagnes, les cheveux au vent et fouetant son visage lorsqu'un bourasque venait le percuter dans son élans.
De loin l'on pouvait entendre les sabots du bourrin qu'il chevauchait, les sabots claquaient sur les pierres, provoquant un bruit ressemblant à celui d'un marteau sur une enclume, tel le marteau de Thor faconnant l'acier des hommes.
Il se sentait a peu près vivre dans sa chevauchée, sentant le vent faire voler sa tignasse, sentant sa monture éprouver autant de plaisir que lui dans cette fole chevauchée.
Il se sentait comme lors d'une de ces charges de combats qu'il aimait tant, il se sentait invincible et fragile à la fois, se sentant un homme plutot qu'une brute sanguinnaire.

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Quirin
Skip avait l'air heureux en l'interrogeant, mais Quirin vit en même temps un fond de nostalgie dans le regard du médecin

Bah tu sais, c'est un peu par la force des choses, après ton départ, d'autres ont suivis tentés par un changement d'air, et je me suis retrouvé le plus ancien
Mais et toi, ta médecine avance-t-elle ?

Quirin remarquait que l'habit de son ami semblait être de bonne facture, démontrant une certaine réussite
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Skip
Skip jetta un oeil à ses vêtements et sourit.

-Disons simplement que je n'ai pas à me plaindre. Je suis Vice-Médecin en Chef du Languedoc. J'évolue lentement, mais surement. Ma fortune se place surtout au niveau de la farine! Ce qui me donne assez d'aisance pour me payer quelques employé, pour ne pas dire domestique. Ce qui me permet de continuer mes expérience médical, heureusement. Car avec la caserne, l'hérauderie, la médecine et la médiation comtal, j'ai beaucoup à faire! Pas que ça déplaise, bien au contraire. Tu sais comment je suis, j'aime laisser trainer mon nez un peu partout.

Skip fit signe de leur servir des verres et les prit pour en tendre un à Quirin.

-Tien! Buvons à nous et à l'OST!
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Elisandre
Elisandre se sentit un peu perdue dans cette vaste salle emplie de monde...
Ayant revêtu ses beaux atours, coiffé ses cheveux, elle sentit certains regards sur elle...Elle connaissait si peu de monde ici....Elle commençait a regretter d'être venue, quand elle avisa Quirin bavardant dans un coin tranquille. Elle s'approcha des 2 hommes.

Bonsoir Quirin, Bonsoir Messire...
Heureuse de voir un visage connu dans cette foule...

Tout en disant cela elle regardait les couples évoluer avec grâce. Comme elle aurait aimé savoir dansé comme eux...

Son regard fut attiré par un homme qu'elle avait vu une fois déja, son visage s'empourpra et elle fit une révérence devant le Coms qui passait enlaçant une bien jolie femme. Sans doute ne l'avait il pas vue....

Jhaampe était la aussi. Décidément, elle connaissait quand même quelques personnes...
Cristòl
Tentative, cette fois, de stimuler son imagination... A des plaisirs légers et grisants, ceux de la jalousie, de l'envie et de la nonchalance. Nouvelle virevolte, sur la piste, et un regard, en même temps que la Nîmoise, au couple formé par Jhaampe et la fraîche Maëlie. Un léger soupir s'évapora des lèvres du Comte, en même temps qu'un sourire.

-« Et bien, pour le rendre jaloux... Peut-être faudrait-il que je fasse mine de vous courtiser, mais l'on finira par croire que c'est dans mes habitudes, et ma réputation en pâtira, en même temps que la vôtre, de vous laisser faire... »

Léger silence, et puis :

-« Nous pourrions aussi disparaître de la salle de bal... De tous, je crois qu'il sera bien le premier à qui des idées viendront, puisqu'il est celui qui vous surveille avec le plus d'ardeur. »
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Severant
Severant avait servi l’amie de sa fiancée et l’écoutait tout en la regardant …

Vous rendre visite à Alais sera un plaisir pour nous deux, n’est-ce pas mon amour ? Il se tourna un instant vers Shap.
Nous comptons, après notre mariage, faire un beau voyage de noces. Nous mettrons Alais dans nos destinations.

Il entreprit d’attaquer avec appétit son assiette tout en observant distraitement les autres convives.
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- On n'aime jamais assez -
Maelie
La jeune femme semblait aux anges, un sourire de délice accroché à ses lèvres, tournoyant avec abandon dans les bras de son cavalier.
Voila une sensation qu'elle n'avait jamais connue, et l'éclat de ses yeux verts semblait encore plus intense que d'habitude. Etait-ce la joie de la danse ou cet hydromel qui lui rendait la tête si légère?
Elle tourna la tête, comme pour chercher quelque chose, son regard croisant celui du Coms et de Mounia, sa cavalière. Elle leur adressa un franc sourire, joyeux, puis se tourna à nouveau vers son cavalier, prenant la parole d'une voix légèrement rauque.


Il semble que votre femme apprécie la danse avec Senhèr Coms. Elle a bien de la chance, au vu de l'intense concurrence qui s'est jouée à son arrivée : Aristote me préserve! Je n'avais jamais vu ça. Elle se le disputaient comme une vache au marché à bestiaux. Mais sans tous les cris quand même... Vous devez être fier d'elle, elle a décroché la première danse!
Enfin! Ca me fait tout drôle, ce bal. Ou alors est-ce l'hydromel de Messer Skip, allez savoir!
Et tiens, ça me fait bien plaisir de vous cotoyer en dehors du travail. C'est vrai quoi, je ne vous croise jamais qu'à Melgueil ou caché derrière les dossiers de plaintes...
elle eut une moue coupable, se mordillant la lèvre inférieure... que je vous dépose, c'est vrai.

Son discours semblait quelque peu décousu, comme si sa bouche suivait le fil erratique et spontané de ses pensées.

Mais dites, pourquoi donc êtes-vous venu tout déguisé?
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Fenêtre sur le monde...
Jhaampe
Jhaampe écoutait les paroles de sa cavalière... Babil étonnant ... Il était plus habitué de sa part à l'efficacité des phrases...

Il sourit à sa comparaison entre le Coms et une vache mais reprit son sérieux pour lui raconter sa route, l'idée qui avait germé à la vue du mendiant, que la défroque montre à Mounia sa contrition de l'avoir délaissée pendant ces dernières longues semaines... ... Vous voyez, j'ai été tellement pris par la Mairie, la Sécurité, les Elections, la diplomatie que je crains vraiment qu'elle ne me laisse tomber...
Mais pardonnez-moi, je vous parle d'une autre alors que cette danse est une vraie félicité.
Vous dansez très bien...
Vous avez encore beaucoup de qualités comme ça, cachées ou non?

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Procureur-adjoint près la Cour de Justice de Lengadoc.
Médiateur et Brigadier empêché à Nîmes
Avocat empêché à la Cour de Justice du Languedoc
Ambassadeur près le Béarn, la Gascogne et la Guyenne
Chambellan pour les Provinces d'Oc
Maelie
Maëlie faillit s'interrompre tout net lorsqu'elle l'entendit émettre sa théorie sur la reconquête de sa belle. Elle dû se mordre à nouveau les lèvres, mais cette foi pour retenir une irrépressible envie de rire.
Elle réussit néanmoins à se contenir suffisamment pour se contenter de sourire, en réponse à ses compliments.


Vous me flattez, Mestre mais c'est vous qui faites tout le travail : moi, je me contente de vous suivre et de profiter de la danse! Et je vous en remercie.
Si vous me permettez, j'ignore si c'est à mettre au compte de mes éventuelles qualités, mais figurez-vous qu'en tant que femme, j'ai quelque prétention à croire que je peux parfois comprendre la gente féminine.
Or, il se trouve - et j'espère que vous me pardonnerez mes propos, Mestre - que vous vous êtes totalement, mais alors cooooomplètement fourvoyé...


La jeune femme s'interrompit, gênée : elle venait non seulement de se mêler de ce qui ne la regardait pas, mais en plus pour critiquer son cavalier, qui venait juste de la couvrir de compliments. Elle balbutia légèrement.

Je ... je veux dire, je suis désolée, je ne veux pas vous paraître discourtoise, mais votre approche me semble... maladroite.
Voyez-vous, une femme, en général, aime qu'on prenne soin d'elle, qu'on l'entoure d'attentions. Elle aime que son homme soit beau, qu'il ai de la prestance pour qu'elle puisse en être fier. Elles aiment tout un tas d'autres choses en vérité, mais j'espère que vous voyez où je veux en venir...


Son regard glissa vers le couple que Mounia formait avec le Coms.

Si vous voulez qu'elle vous pardonne de l'avoir délaissée, vous devez briller, Mestre. Vous devez briller, et vous devez lui montrer que toute cette grandeur lui est dédiée et totalement dévouée. La contrition est dans l'attention, pas dans l'attitude : un cadeau, une courtoisie à toute épreuve, des compliments, ce genre de petites choses.
En vous diminuant, vous ne vous rendrez que moins brillant à ses yeux. Ce n'est pas sa pitié que vous voulez, n'est-ce pas?


Son regard plongea dans celui de Jhaampe, toujours brillant d'enthousiasme et de cette joie presqu'enfantine.

Oh, toutes les femmes ne sont pas ainsi... et je peux me tromper bien sûr. Mais dans ce cas, pourquoi danserait-elle avec un homme comme le Coms, en votre présence?

Dans son sourire cordial, nulle trace de malice : elle ne se moquait pas du Procureur-adjoint. A vrai dire, elle venait de comprendre ce qui était en jeu, son instinct féminin lui faisant entrevoir ce qui n'était pas dit, et l'amitié qu'elle éprouvait pour le pauvre homme la poussait à provoquer un peu sa fierté pour qu'il agisse dans le bon sens. Elle ne doutait pas le moins du monde désormais que Mounia ferait ce qu'il fallait pour faire sentir à Jhaampe le poids de son absence, comme toute femme l'aurait fait. Comme elle-même l'aurait fait... Un éclair de tristesse zébra la lumière de ses yeux, l'espace d'un battement de coeur.
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Fenêtre sur le monde...
Mounia
-« Nous pourrions aussi disparaître de la salle de bal... De tous, je crois qu'il sera bien le premier à qui des idées viendront, puisqu'il est celui qui vous surveille avec le plus d'ardeur. »

Si Mounia avait eu les mains libres, elle aurait probablement applaudit, de cette façon si enfantine dont elle n'arrivait pas à se défaire.Elle se contenta d'un sourire magnifique.

Quelle merveilleuse idée!D'autant plus que je tiens à mon honneur et au votre évidemment...Que diriez vous d'une ballade dans le jardin?L'alcool et la danse donne chaud...Et puis libre à lui de nous suivre.Vous qui êtes un homme, dites moi, croyez vous que toutes ces manigances le touchent?Qu'il viendra?

Mounia savait que ce qu'elle faisait était mal et digne d'une courtisane. Mais, elle avait l'habitude d'écouter ses sentiments et convictions plutot que les convenances.La musique s'arreta, Mounia avait soif et se promit de prendre un verre rapidemment. Elle aperçut Selva et Yves non loin et leur sourit en espérant qu'ils comprenaient la manigance et la soutiendraient.
Elisandre
Elisandre assise sur un banc regarda pendant un moment tout ce beau monde évoluer avec plus ou moins de grâce sur la piste de danse.
Quirin ne s'occupait pas de la faire danser en grande conversation avec son ami.
Le Coms ne la salua même pas au passage...
Et Jhampe semblait bien trop occupé pour venir l'inviter a danser.

Les larmes lui montèrent aux yeux , fallait il donc faire partie d'une certaine catégorie pour pouvoir s'amuser ici....N'y avait il de place que pour la noblesse et la bourgeoisie?....Alors pourquoi l'avoir invitée? Elle remit sa cape sur ses épaules, cachant ses larmes sous sa capuche et se dirigea lentement vers la sortie....
Décidément le travail et la solitude resteraient son lot quotidien.....
Quirin
Quirin allait lever sa choppe pour boire à l'Ost avec Lo Casalier lorsqu'il réalisa avoir entendu une voix qu'il connaissait bien

Citation:
Bonsoir Quirin, Bonsoir Messire...


Se retournant pour rendre son bonsoir à la mairesse de Mende, sa douce mie, il ne put que la voir s'éloignant déjà, il se hâta de la rattraper avant qu'elle ne sorte de la pièce

Bonsoir ma douce forgeronne, ainsi donc toi aussi tu as embarqué dans cette galère ? Mal informée, comme moi ?

Il est vrai que le sergent Mendois execrait ces bals de la haute société, préférant de loin la compagnie, moins maniérée, des gens de sa condition, la bonne odeur de la terre manquait lui manquait trop, et puis Quirin avait une sainte horreur de ces danses de la haute société, enfin danse est un bien grand mot. Ce n'était pas de la danse, à ses yeux, ce que faisaient les couples autour de lui, voir même certains se déhanchant en solitaires, non la danse c'était celle qu'il faisaient tous en rond autour du feu, à la saint Jean, ou à la fête du solstice.

Remarquant alors une vague humidité autour des yeux d,Eli

Mais qu'est-ce donc ma belle que ces larmes ? et pourquoi te sauves tu déjà après être venue de si loin ?
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