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[RP] Ce soir, on danse !

Elisandre
Elisandre sentit une main se poser sur son bras. Elle se retourna et vit Quirin....

La main de Quirin prit la sienne, il la débarrassa de sa cape et l'emmena avec lui s'asseoir a l'ombre d'une tenture.

Je partais car je ne me sentais pas a ma place tu sais ici. Tu semblais m'ignorer, les autres aussi... Que pouvais je faire d'autre?

Partons ensemble si tu le veux bien, quittons ces lieux ou tout nous est étranger, ou personne ne nous voit....

Ou alors allons voir les musiciens et montrons leur comment nous, on danse a Mende, qu'en penses tu?

Moi je serais pour la seconde idée, au moins on ne serait pas venus pour rien. Et après tout nos danses mendoises valent celles ci...

Qu'en penses tu? que risquons nous?
Skip
-Moi je vais répondre que à vous deux vous ne risquez rien de bien grave! Au contraire! Allez-y et faite lever la fête!!! dit-il en remarquant le désarroi de la dame! La pauvre! Visiblement pas habitué. Mais il faut bien un début à tout!

-Allez, Quirin, je vous laisse. Je vais aller voir pour trouver d'autre monde. Va danser avec la dame et revenez-moi quand vos pieds vous ferons mal! Allez ouste, je veux vous voir danser!!!

Skip les regarda s'éloigner et partie dans un autre coins. La pauvre Élisandre, si seulement elle savait comment Skip pouvait ce sentir seul... Mais celui-ci n'en laissa rien paraître! Pas lui! Il alla donc dans un autre coin voir qu'est-ce qui ce disait d'intéressant et s'il pourrait se greffer à une conversation...
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Christina64
La musique douce et rythmée qui résonnait de toute part, venait bercer la jeune femme au plus profond de son âme. Elle se laissa aller à quelques balancements suivant des yeux les danseurs virevoltant de tout côté.

Soudain, la musique ne fut plus qu'une sourdine, les convives s'évanouirent, un sourire radieux se dessina sur les lèvres de Christina, ses yeux pétillèrent de joie, lorsqu'elle aperçut un homme vêtu d'un habit noir près du banquet. Elle posa son verre d'hydromel, traversa la salle de danse d'un pas léger pour rejoindre celui qu'elle avait eu peine à reconnaître sans son inséparable équipement de combattant.

Elle lui murmura quelques mots puis lui dit,


Tu viens ?

Elle prit délicatement sa main dans la sienne, l'entraina à l'extérieur de la salle. Elle passa alors ses mains sous son mantel pour le serrer tout contre elle et posa ses lèvres sur les siennes.
Jhaampe
Jhaampe écoutait Maélie avec attention, de toutes ses oreilles, de tout son coeur. Il avait ralenti le pas pour mieux se concentrer. Tout cela était tellement nouveau pour lui... Les années en mer, depuis pratiquement son enfance, puis les années de travail acharné au service d'un Comté qui l'avait accueilli comme un fils, tout ça ne lui avait pas laissé le temps de cultiver les Courtoises manières...

Briller... Briller... Ce n'est pas avec mes braies et ma chemise que je vais briller... Comme je me maudits de ne pas avoir pris le temps de soigner quelque peu mon apparence...
Faut dire aussi que la seule fois où nous nous sommes retrouvés en son échoppe, nous avons pensé à... euh... à tout autre chose...!
Comment voulez-vous que je rivalise avec les ors et argents qui nous entourent! Je ne suis pas fait pour toutes ces richesses!


La musique s'était tue.
Sa dernière phrase résonna en lui: "pourquoi danserait-elle avec un homme comme le Coms, en votre présence?"
Il sentit une chape de glace le paralyser...
Mounia... Cristols...! Ils allaient si bien ensemble...!
Il n'avait jamais pensé que...
Il fixa Maélie, désemparé,...
La dernière fois, et la première d'ailleurs, que j'ai courtisé une femme, c'était la compagne d'un Ponot lors d'une joute à l'épée, je n'ai rien trouvé de mieux que de piquer le cheval de mon lieutenant et de l'enlever... elle... !

Au point où j'en suis, je pourrais peut-être recommencer...!

Quoique... non...!

Qu'est-ce que j'ai pris quand elle s'est réveillée...!


Il jeta un coup d'oeil au couple qui continuait de bavarder.
Il se sentait perdu devant ce monde inconnu... effrayé par les bouillonnements qui le bouleversaient...

Il avait besoin d'air...
Accepteriez-vous de faire quelque pas dehors en ma compagnie? J'ai encore besoin de vos conseils...
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Procureur-adjoint près la Cour de Justice de Lengadoc.
Médiateur et Brigadier empêché à Nîmes
Avocat empêché à la Cour de Justice du Languedoc
Ambassadeur près le Béarn, la Gascogne et la Guyenne
Chambellan pour les Provinces d'Oc
Quirin
Sans s'en rendre compte Quirin avait pris la main d'Elisandre, puis toujours sans être maitre de ses gestes l'avait débarassé de sa cape, il n'y a pas à dire, il faudrait qu'il consulte un médecin, ce n'est pas normal des automatismes comme ça incontrôlés, et toujours aussi machinalement l'avait emmené s'assoir dans un coin isolé, ce qui ne répondait pas du tout à ses envies en fait, mais le seergent se secoua et repris ses esprits quand il entendit la voix de la forgeronne Mendoise

Ou alors allons voir les musiciens et montrons leur comment nous, on danse a Mende, qu'en penses tu?

Mais ma douce Elisandre, ça ne me dit rien du tout, déjà que j'ai horreur de danser, même à Mende, que je suis venu ici par erreur, la seule chose qui me tente c'est de boire et faire ripaille, et puis pourquoi pas si un bon combat s'annonce.

pour lui-même danser, c'est bon pour les donzelles ça, pas pour les hommes
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Spartan91
Spartan observait, depuis qu'il était arrivé, le bal qui se déroulait autour de lui. Cette musique et tout ces danses, il ne connaissait vraiment pas tout ceci. Le rythme était bien différent de son rythme habituel, qui balançait entre les études et la caserne. Il se sentait perdu en cherchant, du regard, autour de lui sa bien-aimé qui devait être présente.

c'est alors qu'il l'a vit, marchant dans sa direction. Elle avait dû la remarquer pour qu'elle se joigne ainsi à lui. Spartan sourit en conséquence et posa son verre qu'il sirotait depuis un moment déjà.

C'est alors qu'elle lui murmura dans l'oreille
: "Tu viens ?"

Il fut entraîné ainsi par la main de sa bien-aimé à l'extérieur de la salle.
Ils se prirent dans leurs bras et s'embrassère tendrement. Il était heureux d'être là, c'était d'ailleurs pour elle qu'il était venu en ce lieu.


Bonsoir mon amour, me voici arrivé.
Tu t'amuse bien dans cette soirée ?
J'ai vu beaucoup de monde, dont du monde "important". D'ailleurs j'ai reconnu plusieurs personnes dans la salle. Mais personne n'est venu à moi, aurais-je une apparence si terrible ? Ferais-je si peur que ça ?


Spartan sourit, car il est vrai qu'il était habillé très sombre, surtout pour ce genre de soirée. Il embrassa de nouveau Christina la tenant toujours dans les bras.
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Membre de la Garde d'Argent
Lieutenant de l'ost

Adriendesage
La soirée semblait s'allourdir d'une certaine froideur. Si les musiques s'enchaînaient les unes après les autres, faisant valser les couples, nombre comme lui étaient venus seuls. Le baron de La Voulte triturait inlassablement les boucles chevelues qui coulaient le long de ses joues. Au fait, on aurait franchement dit que cette soirée était exclusivement réservée à la noblesse, qui pourtant n'était représentée que par le coms et lui même.
Certains avaient même commencé à quitter la salle.


Voilà un bal qui commence à tourner à la fleur d'oranger quand il devait être assaisonné d'huile et de vinaigre! Mordious, il est temps que les citoyens se mettent à festoyer, sinon on finira par enterrer un pendu avant la fin de la soirée!

Solitaire, froid, peu diplomate, voilà quelques uns des qualificatifs que des inconnus emploieraient aisémment pour désigner l'officier montpelliérain. Et s'il ne fuyait aujourd'hui pas cette description, il en fût tout autrement à une époque pourtant fort peu lointaine...
Et parfois, rejaillissaient ces quelques bribes d'une joie de coeur qu'il n'affichait désormais plus.

Ce soir là, on pourra mettre sur le compte de la pleine Lune, les évènements qui allaient suivre et la transformation stupéfiante qui allait bouleverser l'ambiance. Non, le baron de La Voulte ne se mit pas à pousser de lugubres hurlements tout en s'arrachant la chemise et laissant se déployer une toison grise.
En fait, il bougea simplement d'un bon coup d'épaule l'un des musiciens et s'empara d'un... comment déjà? S'avez le machin là, qui fait "boum-boum" avec des grelots... Wala, un tambourin!
Par respect, il dit pas explicitemment que le coms lui avait montré le maniement de l'instrument durant quelques réunions aux bureaux du CLE.
Ceci dit, il était à milles lieues de vouloir s'engager dans un concert solo... Un coup de hanche à un second musiciens et il balança une flûte vers le coms, en pleine tragédie amoureuse.
Et si, pour une fois, c'était la noblesse qui offrait quelque bonnes heures à ces citoyens si chaleureux? Une idée qui amusait le baron Desage, qui n'avait jamais oublié ces heureux moments à festoyer dans les tavernes du port de Béziers. Une belle époque, où le Languedoc résonnait par toutes ses bonnes villes, des rires de ses citoyens.


Mesdames, Messieurs...
Festons simplement, nòstre Lengadoc.


Un regard appuyé vers Maelie puis vers le coms, avec un sourire malicieux, attendant de voir qui saura garder sa chemise à l'endroit et ceux qui la retourneront...
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Cristòl
Le regard, le salut d'Elisandre avaient échappé au Comte, et cela était en train de causer du mal à la jeune femme... Et il ne l'avait pas vu. Et puis, Mounia lui répondit, lui proposa une promenade en extérieur, et l'idée lui plut. Il s'attacha, en chemin vers la porte, à tenter de clarifier les us des hommes - dieu, que c'était dur !

-« Si je peux généraliser mon être à tous les hommes, me fondre dans la masse, et ainsi parler au nom de toute la gent à laquelle j'appartiens... Oui, il viendra. Ou s'il ne vient pas c'est que vous lui êtes désormais totalement indifférente... Ce que je ne vous souhaite pas, Mestra Mounia. Les hommes... Nous sommes de grands enfants, qui n'aiment pas qu'on leur prenne leur jouet... Nous aimons les femmes et nous plaisons de leur compagnie, mais il nous est extrêmement douloureux de devoir les partager... »

Il eut un sourire un peu vague et un regard pas tout à fait franc, parce qu'il pensait à Margot, pour qui son amour avait été ardent, et s'il commençait à s'estomper, n'en demeurait pas moins assez présent. Jamais il n'avait osé la dérober à Louis-Raphaël, qu'elle n'aimait pas, pourtant. Jamais il ne l'avait poussée à l'infamie, mais Dieu, que c'était dur, d'être privé de l'objet de son désir par un autre homme ! Une pensée à la Comtesse du Gévaudan, et puis il continua :

-« Vous avez de la chance, d'être fiancée par amour... Vous serez protégée de tous les vices de la meilleure des manières, si vraiment son amour est puissant. Allons, sortons, et assurément, il ne mettra pas longtemps à venir vous réclamer. »

Mais *chtong !*. Un morceau de bois vint heurter la tête du Comte. Regard furibond au sol, puis aux troubadours : une flûte, et le Baron de La Voulte ! Il avait cru un instant à un attentat. Mais non... Et sans retenue, il explosa de rire.

-« Mestra, pardonnez-moi... Je crois que la sortie du Comte ne passera pas du tout inaperçu, et même que l'on cherche à me retenir ici... Permettez ? »

Il se pencha pour ramasser la flûte, et la fit tourner entre ses doigts, sourire goguenard au Baron de la Voulte. Allons, musique !
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Mounia
Mounia sourit aux paroles apaisantes du comte. Ils allaient sortir quand Cristol reçut quelque chose à la tête:une flute.

-« Mestra, pardonnez-moi... Je crois que la sortie du Comte ne passera pas du tout inaperçu, et même que l'on cherche à me retenir ici... Permettez ? »
-Faites donc!Vous m'avez prodigué suffisament d'attention et de conseils...Et puis voir jouer un coms est tout aussi plaisant qu'une sortie nocturne!

Cristol se dirigea donc vers l'estrade des troubadours et Mounia, après un coup d'oeil vers Jhaampe toujours en compagnie de Maélie, se dirigea vers le buffet où elle attrapa quelques fruits et un bon verre bien plein. Elle s'assit ensuite dans un fauteuil, les paroles du coms encore résonnantes dans sa tête. Elle chercha du regard Selva mais ne la trouva pas, pas plus qu'Yves d'ailleurs. Elle observa les convives et remarqua, que pour la première fois depuis son arrivée en Languedoc, qu'elle ne faisait pas tache dans le décor et que noblesse ou pas elle aimait beaucoup cette soirée même si quelque chose lui manquait cruellement.
Selvagia
Le buffet attirait vraiment chaque personne.. dès qu'une entrait, elle se ruait vers.. La personne pouvait passer pour une affamée.. mais qu'importe, tout le monde allait au même endroit. Les plats se vidaient petit à petit, preuve de leurs bons goûts et belles présentations.

Yves aimait danser, il proposait souvent à la brunette de l'accompagner lors d'une danse. En cette soirée, beaucoup de couple se mettaient en piste, et ce n'était sans trop tarder que les deux Nîmois les rejoignirent.

Les corps enlacer, les pas en harmonie, un sourire accroché sur leurs lèvres, un regard qui ne céssait d'être plongé dans l'autre, une douce musique, ils dansaient. Yves dirigeait Selva sur la piste, une bonne chose d'ailleurs pour cette femme n'ayant pas de grande expérience en danse, et puis ; Yves était l'homme, c'était donc son rôle d'être le "maître" de cette danse en binôme.

Selv' posa sa tête sur l'épaule de son aimé tout en continuant de tournoyer :

Oui.. c'est l'homme de noir vêtu.

Elle sourit à nouveau avant d'enchaîner :

Il s'appelle Spartan.. mais je l'appelle Spart.

L'instant d'après, la Nîmoise vue que l'homme en question était avec une femme, qu'elle ne connaissait pas d'ailleurs. Peut-être une Lodèvoise.
Elle laissa donc son regard vaquer vers d'autre chose. La musique s'arrêta soudainement, c'est alors que Selv' se défit de l'étreinte d'Yves puis se tourna vers l'orchestre où de "faux-musiciens" avaient pris les instruments en main.

Que font-ils donc...

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Elisandre
Décidément , Elisandre était déçue de la réaction de Quirin....Les hommes étaient ils donc tous les mêmes?????

Tant pis pour lui... elle s'approcha de la jolie table et but un verre de vin puis un second et croqua quelques biscuits...

Après tout, elle n'était pas dans son monde, entourée d'étrangers, avec un seul homme en qui elle croyait et voici que même lui la laissait d ecoté pour ripailler avec d'autres...
Cristòl
Le Coms fut, en quelques bonds, sur l'estrade des troubadours, près du Baron de la Volta, en pleine forme, celui-là ! Petit regard à Adrien, oseraient-ils faire montre de leurs talents, répétés dans le secret des couloirs du CLE ?
Clin d'oeil à l'assemblée - à qui exactement, le saurait-on ? - , sourire au Prévôt - elle allait bien chanter avec eux, non ? - et puis le Comte se mordilla la lèvre. Hum hum.


-« Bar de la Volta... Je crois que l'assemblée est mûre pour un petit discours, n'est-ce pas ? Autant les prévenir... »

Grande respiration, il fallait se motiver. Le Coms, fidèle à sa nonchalance dans de tels temps de loisir haussa les épaules, en réalisant qu'il n'avait rien préparé. Après tout, ça viendrait du cœur, et peut-être réussirait-il à ne dire que des choses sensées !

-« Adissiatz, Lengadocians ! Benvenguts, benvenguts ! Je vois là bien des visages connus, et d'autres aussi que je ne demande qu'à connaître. Il y a là des hommes en quête de boisson, des femmes esseulées en quête de cavaliers... Laissez-moi un peu de temps - surtout mesdames - et chacun aura son compte ! En tant qu'hôte de cette fête, j'aurais beau jeu d'en laisser sur le bord de la piste de danser... Je suis heureux de vous voir ici, et non moins heureux de vous proposer une réalisation unique, longuement préparée par le Conseil Culture, Loisirs, Evénements ! » Très crédible... Songea-t-il en son for intérieur, avant de poursuivre :

-« C'est donc armés de cette motivation et de cette envie de plaire que nous voilà, le Baron de la Voulte, le Prévôt, et moi-même, dans une œuvre unique, qui restera, nous l'espérons, dans les mémoires ! »

Et il lança un regard suppliant à Maëlie, façon de dire : "J'espère que vous ne nous lâcherez pas... Ou nous serons ridicules."
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Jhaampe
Une voix rieuse lançait un discours.
Jhampe se retourna vers l'estrade et aperçut le Coms, une flûte à la main avec le Lieutenant de Montpellier à ses côtés, ...

Il sourit, tout en cherchant Mounia du regard.

Surprenant le regard du Coms vers Maélie, il se pencha vers la Prévost Il me semble que Messire Cristols a besoin de votre aide... Dans ma grande bonté, je vous laisse le rejoindre... Non, je rigole! Merci pour votre présence...
Il la quitta en s'inclinant avec un sourire de reconnaissance.

Il s'approchait du buffet losqu'il aperçut Mounia perdue dans un grand fauteuil, un verre en main. Il croisa Elisandre qu'il salua d'un grand sourire et s'approcha de sa fiancée.
Il mit un genou en terre devant elle, très cérémonieusement.
Mes respect, Dame Mounia. Je ne sais si le manant que je suis peut avoir l'audace d'encore lever les yeux vers votre grandeur, toute trémulante et palpitante des bras qu'elle vient de quitter... Sachez cependant que votre règne s'étend bien au delà, jusqu'à mon très modeste coeur dont les battements s'arrêteront s'ils ne peuvent pas s'accorder à ceux du vôtre...
Ah... Mounia... Mounia... pensait-il... Si tu savais tout ce que ces pauvres mots recouvrent... !
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Procureur-adjoint près la Cour de Justice de Lengadoc.
Médiateur et Brigadier empêché à Nîmes
Avocat empêché à la Cour de Justice du Languedoc
Ambassadeur près le Béarn, la Gascogne et la Guyenne
Chambellan pour les Provinces d'Oc
Mounia
Mounia savait ce que les "nouveaux musiciens" préparaient, elle avait donc encore plus hate que quiconque de les voir jouer. Elle sourit au discours du Coms et vit arriver à ses genoux le beau Jhaampe.

Mes respect, Dame Mounia. Je ne sais si le manant que je suis peut avoir l'audace d'encore lever les yeux vers votre grandeur, toute trémulante et palpitante des bras qu'elle vient de quitter... Sachez cependant que votre règne s'étend bien au delà, jusqu'à mon très modeste coeur dont les battements s'arrêteront s'ils ne peuvent pas s'accorder à ceux du vôtre...

Elle se retint de rire, de peur de perdre toute crédibilité. Elle se contenta d'une moue boudeuse.

Messire Jhaampe, si votre coeur bat pour moi, pourquoi me délaissez vous à ce point?Vous savez pertinemment que je vous aime non?Je vous l'ai prouvé et même déclaré en public, il me semble...Vous qui connaissez si bien le droit, je vous laisse celui de vous défendre...

Elle sourit, pour faire comprendre à Jhaampe qui ne se relevait pas qu'il ne s'agissait que d'un jeu et qu'il était déjà tout pardonné.
Maelie
Maëlie était gênée de devoir abandonner ainsi Jhaampe, mais elle espérait que leur petit entretien lui avait ouvert de nouvelles perspectives pour reconquérir son bonheur. Au pire, elle ferait en sorte de se tenir là où il pourrait la trouver en cas de besoin.
Avec un sourire d'excuse, elle le salua et s'éloigna, hocha la tête à l'intention du Coms pour le rassurer, et souriant chaleureusement au Bar de la Volta qui avait eu le courage d'assumer son défi. Elle se tint à leurs côtés, non sans avoir offert une très théatrale révérence au Coms devenu baladin.


A votre service, Senhèr Coms! Quand vous voudrez...

Son sourire mutin montrait un peu trop de malice pour rassurer ses compagnons, mais qui pouvait s'en douter?
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Fenêtre sur le monde...
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