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[RP] Ce soir, on danse !

Mounia
Comme à son habitude, Jhaampe avait esquivé la question ce qui donna à Mounia l'envie de ronchonner à nouveau. Mais elle n'eut pas le temps de s'adonner à ce nouveau loisir car Jhaampe l'entraina dans une ronde. Elle se prit au jeu en riant.
Adriendesage
[Dans les jardins du chateau comtal]

Dehors, au milieu des fleurs et arbustes, Pierrot et Sylvaine dissertaient sur le magnifique ciel étoilé au dessus de leurs têtes de paysans. Joyeux bougres, le couple était chargé de l'entretien d'une partie des jardins et avait décidé ce soir là de prolonger leur temps de présence sur leur lieu de travail, afin de profiter de cette douce soirée automnale à la fraîche.
Assis sur un banc, tendrement entrelacés, il s'amusaient à faire des formes avec les étoiles.


Oh regarde ma douce, là on dirait un cul de poulet!

Hihihi, tu as raison mon amour! Et regarde celles là! Elles forment comme une vache et le petit nuage donne l'impression qu'elle est entrain de péter!

Mouhahahaha!

Hihihihi!

MOUHAHAHAHAHA!

HIHIHIHI!

Bref, un moment passionant et bourré d'émotions...
Mais soudain, le ciel s'assombrit, d'énormes nuages vinrent masquer le cul de poulet et la vache entrain de se dégazer. Des éclairs se mirent à déchirer le ciel et une pluie torrentielle vînt s'abattre sur les deux amoureux.


Par la sainte culotte de Christos, c'est une malédiciton! Fuyons mon amour, la colère divine s'abat sur le monde!

[A l'intérieur de la salle de bal, dans le même temps]

Le baron de La Voulte s'était mis à chanter...
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Nothias
Nothias menait la danse simplement, au son de la musique,au rhithme de la cadense, la main droite prenant la gauche de Majda et l'autre vice versa, il s'employait dans la rugeur de ses mouvements éssayant de ne pas passer pour un piètre danseur, il faut dire que Majda s'en sortait bien aussi, Je vais tres bien ma cousine
Et ce tour de piste me va à ravir

Il lui proposait ensuite une pause amuse geule, la menant vers des confiseries, d'ont il savait sa cousine tres friande.....

Un petit amuse bouche Majda ?

Il souriait, sachant bien la réponse ....
Roukina
La lieutenante d'Alais commencait vraiment à s'ennuyer a ce bal, ces amis était pensifs, trop même. Tenant son verre qu'elle bu avec modération elle marcha après s'être excusée auprès de Severant et Shap vers la fenêtre

[Regardant par la fenêtre]

La jeune femme s'efforçant de boire, regardait par la fenêtre, la nuit était tombée depuis bien longtemps. la lune éclairant la cour donnait à celle ci un air triste.

Je sais même pas pourquoi je bois ni pourquoi...

Roukina se tût brusquement, son verre venait de tomber de ses mains...

Heureusement pour elle, la musique étouffa le bruit du verre qui s'était cassé

Elle se retourna le visage livide ne saluant personne, elle courut jusqu'à la porte.. malheureusement pour elle se tordit la cheville..


Ah!!! Ah!!! Ah!!!!!
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La Mouette survit à ses blessures, et dans le malheur de son destin personnel, elle trouve la force d'âme pour le dépasser et atteindre la vérité dans l'art.

Nothias
Nothias pu reconnaitre la vieille Roukina et sourit!!!
Excuse moi Majda une vieille connaissance !!!je reviens vite !!!
Il alla vite relever la donà qu'il avait pu connaitre dans ca jeunesse se présentant au cas ou elle ne le reconaitrait pas, il avait tant changé


héhé comment vas tu mamie roukina ???? tu t'èchappe ??? arfff reste la je te dois des verres ....
Nothias
sur ces dires !! il imagine bien la jeune femme se tordre de Colère !!!! La vieille !!! allait bien toucher .... Il lui souriait !
ehhh moi aussi j'ai grandi
Roukina
Roukina venait de se faire relever par Nothias, la jeune femme le regarda les yeux humides, normal elle venait de se tordre la cheville et avait très très mal. le jeune messire qu'elle appréciait fortement n'avait pas eu de ses nouvelles depuis le mois d'août, date de son départ de Carcassonne.

héhé comment vas tu mamie roukina ???? tu t'èchappe ??? arfff reste la je te dois des verres ..
..

Roukina grimça, j'avoue qu'avoir mal et se mettre en colère n'est pas chose facile, Nothias connaissait le carcactère de la brune, mais elle aussi, très taquin de nature, elle lui avait souvent pardonné ces petits écarts de... langage

Petit messire!!!! tu te fais pousser la barbe ou tu t"es dessiné ça toi même ...

La jeune femme avait mal mais rit. de bon coeur, Nothias était comme son fils enfin son fils si elle avait euh...
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La Mouette survit à ses blessures, et dans le malheur de son destin personnel, elle trouve la force d'âme pour le dépasser et atteindre la vérité dans l'art.

Nothias
Il la regardait, feignant de ne point se plaindre......
Mouais tu n'a pas changée, toujours aussi forte !
Ceci dit je suis heureux de te revoir !!!!

Nothias la regardait.... désolé pour elle ! il Partait chercher une chopine ainsi que Majda lui demandant de la suivre afin de lui présenter une amie, il revenait le verre a la main .... tient !!!

je te présente Majda la belle et douce maire de carca....
Majda_eulalie


Après une danse avec son cousin, il lui proposait de se restaurer un peu. Se rappelant combien il aime la taquiner sur sa gourmandise, elle le regarde, un peu surprise, et le voyant se précipiter pour aider une dame qui semble en difficulté, elle se permet de croquer dans une petite douceur.

Il revint la chercher pour lui présenter une amie à lui. Majda se demandait ce dont il s'agissait encore... Son cousin est tellement juvénile par moment. Acquissant, elle l'accompagne.

Voyant que la dame semble en difficulté pour se tenir debout, Majda fait signe à une servante de lui apporter de quoi s'asseoir. Reconnaissant la dame qui il y a quelques temps s'était montrée si difficile dans la taverne que sa mère tenait à l'époque, Majda se demande si elle se souvient aussi d'elle. Cette femme, sans égard pour son rang avait souhaité se faire servir par elle ! Regardant son cousin qui semble si heureux de la voir, elle se dit que peut-être, il ne s'agissait que d'une erreur... Cependant....

Il ne serait pas très aristotélicien de ne pas pardonner une erreur, même si tout en elle se révolte, Majda se donne une contenance, et esquisse un petit sourire.


Il me semble que nous nous connaissons déjà dit-elle à Nothias.

Bonser Donà Roukina. Vous souvenez-vous de moi ? Majda_eulalie Shaggash d'Exat. Nous nous étions rencontrées au moment de la prise du château. L'armée campait aux portes de la cité de Carcassonne.

Comment va votre cheville ? Doit-on faire appeler quelqu'un ?
Satin01
Satin déambulait comme à son habitude...nouvellement arrivée dans le périmètre elle entendit des gens rire, danser et s'amuser
la musique portait au loin dans la campagne..
elle s'approcha un peu.... à l'écart, regarda tout ce beau monde qui s'amusait ...s'interpellait

cela lui rappella des beaux jours, dans son village, ceux de l'été où tout est propice à la fête...aux retrouvailles durant les soirées plus longues et douces d'amitié

une musique particulière lui rappela des joies oubliées..elle esquissa un pas de danse..seule à part..en regardant la lune..la nuit était fraiche..cela lui réchauffait le coeur ..elle regarda une dernière fois ...au loin les convives et sourit

"profitez ...de la chance que vous avez...on ne vit qu'une fois..."

elle s'éloigna en continuant de sautiller au son de la musique..puis disparut dans la nuit
Christina64
Tendrement enlacée dans les bras de son amour adoré, la jeune femme perdait toute notion de temps et d'espace. Elle était au comble du bonheur.
Mais soudain une pluie torrentielle s'abattit sur les deux tourtereaux les extirpant de leurs caresses voluptueuses.

Maudit, soit l'être malfaisant, vil et jaloux qui a déchainé le ciel ! Pensa-t-elle très, très fort.

Contraints à se précipiter dans la salle de bal pour ne pas mourir sur place, noyés ou grillés par la foudre, ils assistèrent à un spectacle étonnant.

Christina fut d'abord surprise de la musique qui s'y jouait et n'avait plus de doute en écoutant l'homme au tambourin sur l'individu provocateur de la foudre

Heureusement la douce voix de Maëlie accompagnée de la flûte enchanteresse du Coms venaient sauver la petite troupe de troubadours d'un nouveau genre.

La salle était comble et dans le brouhaha des conversations, des claquements de talons et des verres qui se brisaient, elle avait peine à apprécier la mélodie.
Entraînant son amour par la main, elle se faufila entre les danseurs pour se rapprocher de l'estrade et s'exclama :


Plus forrrrrrrrrrrrrt, que l'on vous entende vraiment ! tout en adressant un clin d'œil à Maëlie.
Cristòl
Ouch, ça faisait mal aux oreilles... Sans cesser de jouer de la flûte, ayant renoncé à assassiner le Bailli de lui avoir 'emprunté' ses effets, le Coms lança un regard suppliant au Bar de la Volta, espérant qu'il cesserait les dégâts.

Mais la chanson continuait, et l'on entendit le ciel vibrer, au dehors, gronder si fort que les murs du château en résonnèrent.

Alors, dans la salle, près de l'estrade, une exclamation alarma le jeune Sìarr :


-« Plus forrrrrrrrrrrrrt, que l'on vous entende vraiment ! »

Là, le flûtiste n'y tint plus. Il lâcha son instrument, cessant la mélodie, et s'écria :

Ah, non ! Mais, vous êtes folle ! Vous voulez que la foudre divine s'abatte sur ce toit ? Grand dieu, non, demandez plutôt au Baron de se taire ! »
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Christina64
Le mot folle prononcé par le Coms à son encontre résonna comme un coup de tonnerre dans la tête de Christina. Haïe !!!!

Les joues de la jeune femme s'enflammèrent, rougissant telles des braises incandescentes, sa main se crispa sur celle de Spartan qui la retint près de lui un instant l'empêchant d'envoyer un soufflet magistral à ce malappris qui venait de l'insulter.


Sachez, Messire, que je ne suis point folle !
Certes, je ne suis qu'une simple paysanne, mais non dépourvue d'esprit et vous, vous venez de faire la démonstration que Titre de Noblesse ne rime pas in-extenso avec Noblesse de cœur et d'esprit.


Voyant le Coms bouche bée, Christina prit un verre bien rempli sur la table du banquet, sauta sur l'estrade, se plaça en face du mufle pour lui jeter au visage, d'un geste vif et précis, le liquide épais et rougeâtre.

S'écartant légèrement des musiciens, elle ne put s'empêcher de rire aux éclats en voyant le liquide dégouliner sur les cheveux, les joues, et le tabard du Coms.

Puis toujours sous l'emprise de ses rires, elle détourna son regard vers celui du Baron pour observer sa réaction.
Maelie
Etait-ce la fin? Avait-elle tant péché que les portes de l'enfer s'entrouvraient pour elle?
Hélas, non... rien d'aussi simple ou radical.
C'est un visage déformé par une expression d'extrême repentance que Maëlie se tourna vers le Bar de la Volta. Elle faisait son possible pour ne pas interrompre son chant et couper court à la malédiction que semblait invoquer le Baron sur l'assemblée, mais son regard demandait grâce.

Elle entendit Christina demander avec enthousiasme qu'on augmente le volume, et se sentit mal : la pâleur soudaine de son teint aurait pu suffir à exprimer son malaise, mais elle l'assortit, bien malgré elle, d'un petit couinement qui fit un contrepoint étrange à sa mélodie.

Le Coms fut plus rapide qu'elle à intervenir, et -Oh misère!- la fougue de ses paroles, révélant un atterrement semblable au sien, fit lever chez la soldate cette fierté toute lodévoise qui, en d'autres lieux et en d'autres temps, aurait soulevé un grand élan de solidarité chez la pauvre chanteuse.

Elle assista, impuissante, à la concrétisation de la malédiction du Baron : la boucle était bouclée, le Comte était mouillé...

Bouche bée, Maëlie était enfin rendue muette, immobile devant la scène, clignant des yeux en espérant que le temps refasse sa ronde dans l'autre sens.

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Fenêtre sur le monde...
Quirin
Ouf, le soulagement s'était emparé de Quirin, la maire de Mende ne s'était pas entêtée à vouloir le faire danser, ce qui était mieux pour l'avenir des orteils de la forgeronne et surement au passage de quelques autres.

Enfin un divertisssement avait montré son nez, par l'intermédiaire d'un trio de nobles descendant de leurs piedestals pour monter sur l'estrade, offrir un spectacle qui habituellement leur était offert. L'oeil, et l'oreille - pour son malheur - du sergent Mendois se firent plus attentifs

Oui, Oui, Bravo pensait-il, sentant venir en lui une envie d'applaudir, envie décuplée lorsque s'éleva la voix, aussi fausse que la sienne, Montpellieraine, voix oh combien rassurante, ce sont des hommes, pas des dieux !
Pire, Quirin devait bien se l'avouer, il se demandait même si il n'y avait pas action du vilain quand lui même beuglant à tue-tête dans son champ il déchainait les éléments à l'instar du Baron-Lieutenant


Des Nobles se montrant humains, réconciliant pour un soir cette engeance avec le Mendois qui d'un coup ne songeait plus à leur reprocher leur état, mais au contraire avait envie... allait-il le faire, oui, non ? SI!

Mercé ! Grandmercé ! Senher Coms, Dona e Senher Bar ! Mercé de demorar cochadiu. Meravilhós present !

Criant plus que disant, Quirin se rendit compte quil n'était surement point séant de faire de la sorte, une légère roseur surement se serait emparée de ses joues si elles nétaient déjà pas muries par de longues heures passées en extérieur
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