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[RP/IG] Bataille de Dax !

Zouz83
Au campement


Zouz pépère en train de siroté une bouteille quand Falco commença à entassez ses bières et ses tonneaux, pensant que Le Cartel avait décidé de faire de la place pour un bureau Zouz ce contenta de regardé la montagne d'alcool en souriant il y avait de tout autant de sorte de cuve et de tonneaux que de vins et de bières, une collection de toute une vie.

Soudain Falco. sortie une sorte d'appareil qu'il frotta, cela produisit une énorme éteincelle et un énorme bruit d'un coup la pyramide de bonheur ce transforma en temple de désolation la larme a l'oeuil Zouz n'en croyait pas ses yeux une fumé enivrante (ce qui était le cas de le dire^^) s'échappait de cette échafaud les bières de Zouz étaient comme sa taverne entrain de partir en fumée.

Assis sur sa chaise Zouz resta comme la carpe sans voie.. Poussez de sa chaise en dehors de la tente Zouz ce ramassa en voyant tout s' embrasé.Falco était la le sourire au lèvres comme si ce qu'il venait de faire était intelligent! Gaspillé des centaines de litrons que Zouz aurait aimé s'envoyé... Trop de déception Zouz a terre sa tente en l'air la fumé envoyant quelques morceau de bois et d'étoffes dans le ciel.

Zouz ce tourna vers Falco. qui dit:

Koreldy, te voila promu Sergent Recruteur en Milieu Tavernier.
Zouz..Et bien, ton prochain verre sera pris dans une ville qui ressemble à ton camp. Comprendo?

Zouz ne put s' empêcher de rire nerveusement au éclat.

Y a interet que la prochaine taverne ou je bois me donne plus de plaisir que ce que j'aurai pu me donné avec sa

Zouz montra le reste de son alcool qui n'était que feux et fumée.

Pense tu qu'on devrais donnez une leçon au dacquois? il stresse comme des poules devant un renard et personnellement sa me fait bien rire...

Zouz qui avait pas suivie du tout ce que ce disait Korel et Falco. continuait de regarder son feux, oui il lui appartenait un peut puisque c'était que des bouteilles a lui..
D'un coup il senti comme une étreinte Korel était entrain de le serré dans ses bras comme on sert sa grand mère quand on sait qu'on va plus avoir la chance de la revoir souvent...Korel lui dit alors:

Mon amis, j'ai jurer de protéger le peuple et je le ferais.Si tu t'attaque au plus faibles alors nous serons ennemis.Que dieu te garde et te ramène au plus vite vers moi.

Zouz regarda Korel d'un regard déçu.

Si dieu me ramenne a toi c'est que je serrais six pied plus bas que les tiens et personnellement je ne compte pas laissé ma peau ici moisir dans une tombe de dax... Trop peut pour moi je veut être enterré au panthéon a coté des plus grand!

N'oublie jamais une chose Korel les gentils ce font toujours marché sur les pied soit pas comme eux et choisie la voie d'aristote la vrai pas celle qu'on voie dans les livres celle qui te dira que tué ton prochain ferra de toi un homme comblé.

Sur ce Zouz ce retira non pas sous sa tente.... Car un gros malin venait d'en faire une merguez mais plutôt quelques mètres plus loin sur un tronc coupé. Il pensa alors a tout ce qui pouvait être bien a faire et tout ce qui pouvait être encore mieux a faire!
Deubs0
En sa demeure a Mimizan

Apres quelques passes a Labrit, il venait de rentrer sur Mimizan. Apres une bonne nuit de sommeil et une journee assez calme, il fit le tour des pigeonniers et vit un message qui l'attendait...

Citation:
Je vous écrit pour vous demandez l'autorisation d'adéré votre soeur a mon armée.

Si vous lui dites qu'elle peut y entrée elle le ferra elle a juste peur de vous l'annoncé.

Voila mon armée est loin d'être si cruelle qu'on l'entend dire et votre soeur serra traité avec tout le respect qu'elle mérite pour son rang.

Je vous salue.

Zouz


Il commenca a lire, une grimace se formant sur son visage... A peine venait il de retrouver sa soeur qu'elle etait melée a des faits obscurs a la Gascogne, il fit une boule avec la feuille, sorti une feuille et une plume et commenca a ecrire:

Citation:

Messire Zouz,

Votre demande est des plus surprenantes et deconcertantes, comment pouvez vous croire que je puisse donner mon moindre accord a ce genre de demande. Jamais je ne cautionnerai qu'un membre de ma famille collabore a vos plans funestes que je soumets de stopper, avant qu'il ne soit trop tard....

Deubs
Vicom de Frejus,
Conseiller ducal


Il accrocha le manuscrit a la patte d'un pigeon et l'envoya vers son destinataire...
il sorti une second feuille...

Citation:
Kassie, ma soeur,

Je viens de recevoir une demande etrange de la part du messire Zouz, afin que je t'autorise a rentrer dans ses plans nefastes. J'ose esperer que tout ceci ne soit qu'un malentendu et que tu ne sois aucunement melee a toute cette histoire. Je serai decu qu'a peine retrouver, je doive renier ma soeur.
J'attends des explications concises a tout ceci.

Je me rends sur Dax esperant t'y trouver

Ton frere, Louis Philippe



il envoya le second pigeon et se rendit a l'ecurie faire preparer ses son cheval pour se rendre a Dax
Kassie
Kassie etait en train de preparer ses affaires pour prendre la route lorsque celle ci reçu un pigeon, elle libera la pauvre bete fatiguée de sa charge et la deposa sur le rebord de la fenetre, s'asseya et lu le courrier .......

Citation:
Kassie, ma soeur,

Je viens de recevoir une demande etrange de la part du messire Zouz, afin que je t'autorise a rentrer dans ses plans nefastes. J'ose esperer que tout ceci ne soit qu'un malentendu et que tu ne sois aucunement melee a toute cette histoire. Je serai decu qu'a peine retrouver, je doive renier ma soeur.
J'attends des explications concises a tout ceci.

Je me rends sur Dax esperant t'y trouver

Ton frere, Louis Philippe,


Elle se mit à rire en lisant les mots de son frere, elle ne pensait pas qu ele Messire Zouz avait été serieux en le disant en taverne, seulement elle ravala aussitot son sourire lorsqu'elle lu les derniers mots de son frere. Elle attrapa un encrier et la plume ainsi qu'un parchemin et se mit à ecrire

Citation:
Louis Philippe, mon tres cher frère,

Ce messire t’a ecrit pour rien car la fille du Maire de Dax alias Dame Aelyce a demandé de l’aide lorsque je me suis trouvée en taverne. Son pere a mobilisé la ville afin de la defendre.
Comment peux tu penser que je signe pour cette armée ? Je porte le même nom que toi , il est or de question que je ternisse l’image de notre famille.
Afin d’aider la ville de Dax j’ai constitué une lance qui a défendue la nuit derniere. Cette lance je l’ai detruite ce matin car je prends la route ce soir afin de retrouver quelqu’un qui m’ai cher.
Mon tres cher frere , j’espere que l’on pourra se revoir bientôt et j’espere que mon explication te suffira.

Kassie ta Sœur.


Kassie plia le parchemin, le scella , attrapa le pigeon, lui accrocha la missive et l'envoya en retour à son frere......
_________________
Zophia
Près du campement dans la nuit.

La rouquine, n'arrivant plus à trouvé le sommeil, marchant droit devant elle, refermant sa cape et remontant son capuchon pour se prémunir du froid, elle avança sans regardée où elle allait, son esprit hantée par les souvenirs.

Une flâmme bleu, verte suivi d'un boum arrêta son regard et la sortit de ses pensées lugubres, quelque chose brûlait plus loin, elle haussa les épaules.

Sûrement Zouz et sa foutu armée!..pff!. Comme d'hab, il doit être saoul et s'amuse comme un môme imature.

La rouquine s'arrêta, posa une main sur son front comme pour voir plus loin, elle réussi à voir trois silhouettes, elle cru reconnaitre son ami Koreldy, mais chassa cette idée, pensant que Kor ne pouvait pas être là, lui qui la sermona chaques fois quelle lui parlait de ses envies de rejoindre Cartel. Zophia s'avança unpeu plus sans se faire remarqué, et vit au loin des bas rouges, elle retient un fou rire, puis examina unpeu plus les lieux, le seul quelle connaissait avec des bas rouge aussi hideux, était celui quelle aimait comme un paternel, celui avec qui elle avait voulu faire son premier galop!. Celui quelle admirait le plus depuis sa plus tendre jeunesse.Falco!.

Un malaise l'envahit soudain, la rousse gamine tentait de se cachée au mieu, une chose certaine elle ne voulait pas se faire voir, elle savait que Falco devait être déçu, très déçu, elle ne lui avait même pas envoyer un simple pigeon, pour tout lui expliqué. Rien. Rien du tout, restant dans son mutisme d'enfant gâtée.

La rouquine, se mit à se rappeller les derniers évènements, oubliant les trois formes unpeu plus loin, son coeur était lourd, elle se transporta à Mortagne en pensée, revit plusieurs évènements, un Zouz, sympatique et drôle qui la faisait rire à chaques fois, il l'avait presque charmé, et non! il l'avait bien charmé, elle se revit acceptée d'être sa femme, un sourire se dessine alors sur ses lèvres, puis ils avait ensemble animées le village de Mortagne, les deux jeunes amoureux, faisait rire les gens avec leurs éternelles disputes et leurs rapprochements amoureux. Puis Zophia un jour, partie pour Alençon, puis s'apperçue que son amour pour Zouz était au faite qu'une grande amitiée sincère et solide aussi et peut-ête même plus que les liens du sangs.Il lui écrivit pour lui dire, que tout leurs amis exileraient, qu'ils partaient en Gascogne, la rousse grimaça, et tappait du pied à cette annonce, mais suivit ses amis en marmonnant certe, mais, suivit quand même.

La rousse sursauta, elle venait d'enttendre une voix au loin, mais se sachant bien à Labrit des regards, elle continua ses rêveries. Oui, Gascogne fut dificile pour elle, et lentement elle s'y était faite. Maintenant elle était partie intégrante de la Gascogne, mais resterait à l'ombre. Ces pensées revennait vers Zouz, combien de fois lui avait-elle dit qu'ils n'était plus fiancés, qu'ils était de bons amis, quelle aurait voulue être sa soeur, et rien d'autre. Une semaine plus tôt avec son amie Simone, Zophia avait expliquée à Zouz en taverne, quelle n'était pas son épouse, sinon elle le saurait,elle qui était toujours chaste et pure l'aurait su, sinon quelques baisés innocents la gamine ne connaissait rien encore à la vie dites d'adultes, même son amie Simone avait essayer d'expliquée à Zouz la différence entres mariés, fiancés et amis, mais, comme toujours sans résultat. La rousse voulait vivre ses propres expériences, mais attachée ainsi, elle n'y arriverait jamais, elle rêvait en silence d'un homme, un vrai qui la ferait rêvée.

Petit rire
Déception
Frustration
Peine
Désillusion
Courage
Espoir

La rousse aimait tellement cet imbibé, cet alcoolique de première quelle considérait comme son grand frère, quelle ne voulait surtout pas lui faire de mal, et cela d'aucune façon, mais, hélas! il continuait à dire partout quelle était sa fiancée. Zophia malheureuse, ne sachant plus quoi lui dire pour qu'il comprenne, décida de se faire transparente, elle qui adorait les tavernes, passa maintenant devant sans même y mettre un pied, Zophia choisi de vivre en retrait, elle irait travailler pour sa survit, et mangerait pour augmenté son charisme, mise à part cela elle se ferait silencieuse, oubliant ces propres rêves et son désire d'être une Cartel à part entière.

La douce, effaça des larmes, du revers de la main, elle avait tant essayer de le raisonné, sans succès, elle avait alors choisi de s'enfermée dans un mutisme, ainsi elle ne lui ferait aucun mal, car elle l'aimait d'un amour fraternel pure et sincère et surtout ne voulait pas le voir souffrir, donc elle avait choisi de mettre sa vie au grenier, pour ne jamais lire dans ses yeux le chagrin.

zophia enttendit des pas, elle reconnu facilement son ami Koreldy, elle se cachait dans le noir, la tête et son visage et surtout sa longue chevelure rouge feu bien cachés par sa capuche. Elle retint son souffle, puis attendit qu'il s'éloigne, pour regagnée la triste vie qui l'attendait.

Elle quitta sans un seul regard derrière elle, souhaitant tout bas dans son coeur, que son Zouz serait heureux et se sortirait vivant de cette folie de se faire une armée, encore là..Elle avait bien essayer de le raisonné, mais encore et toujours sans résultat.

Zophia murmura comme pour elle même.

Bonne chance mon Zouz, désormais je serais pas là..Mais si un seul te touche et fait coulé ton sang..Je fais le serment de lui arraché le coeur et cela sans aucune pitiée...Parole de Zophia!

Zophia sortit de ses rêveries, et profita du calme apparent pour se fondre dans la nuit et retournée chez elle, dans sa course, elle laissa échapée une barette qui lui retenait les cheveux, puis elle disparue dans la nuit avant que le crépuscule ne se lève.
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Vole..vole petit papillon bleu et surtout ne t'arrete jamais..
Falco.
Feu de camp et remparts Dacquois


L'un part l'autre s'installe tel la piéce manquante d'un tableau flambloyant.
Il regarde Zouz aller se dorer le cuir aprés avoir écouté Koreldy.
Son refus ne l'étonne guére.
L'homme est plein d'envies mais entre le vouloir et le faire, une barriére l'empêche d'avancer.
Ils sont tant comme lui. Timorés se croyant sages et réfléchis. Comme si l'action était synonyme d'inconscience.

Zouz est superbe dans sa fragilité devant les flammes de sa tente. L'air s'ondule de force sous la chaleur, les derniéres flasques explosent en sourdine.
Pour le Fossoyeur, le rôle de conseiller ne s'arrêtera pas à cette premiére leçon en forme d'autodafé.
Bruler pour que Zouz saisisse bien que son présent va changer, sa vie obliquer radicalement.
Il sera sans doute un dur professeur.
Une armée sert à tuer, à rien d'autre.
Si les duchés les voient comme un remplacement des marechaux ou un signe de puissance destiné à impressionner les passants c'est leur probléme.
Une armée n'a pas sa place derriére ou devant des remparts.
Une armée est offensive, mobile, légére et soudée.

Le Sud reproduit les erreurs des Duchés plus anciens. La faute à ses élites issus de ces derniers.
Lui vient des terres ou les Franches Compagnies excellérent et dont les qualités furent adoptées par les Osts.
Que la Gascogne le veuile ou non, elle se verra dotée de ce genre de troupes.
Car tôt ou tard il faudra contrer des armées brigandes ou un voisin belliqueux.Et si Gascogne a capacité à tuer dans l'oeuf ce genre de chose, cela ne passera que par l'usage de troupes montées et aguerries..Et, la il sourit, furieusement commandées par des fous.

Perdu dans ses reflexions, engourdi par la chaleur, il rédige un mot pour Zouz.
Inutile de le déranger pour le moment. Chaque chose en son temps.

Citation:

Général Zouz,
Je vais aux abords de la cité affrêter harnois de guerre, troupes et vivres à rassembler sous la banniére de Cartel.
Fais de même.
Tu as deux priorités.
-Trouver d'autres érudits militaires afin de poser ta logistique d'Armée.
-Rediger à l'intention du nouveau Duc et de la population tes intentions et banniéres publiquement.
Nous devrons sans doute rencontrer discretement quelques Conseillers pour aborder notre droit à exister avant d'être contraints et forcés de le faire en exterminant des soldats gascons.
Tu sais que nous avons des alliés au sein du Conseil.
Nous devrons bien sûr ne pas l'afficher afin d'éviter une crise politique nuisible pour nous et la gascogne.

Haut les coeurs et courage.
Te voilà général et responsable de bien des vies.

Falco

Ps:
Il reste 6 bouteilles d'eau de vie sous ton bouclier.


Mot déposé sur ledit écu.


Remparts de Dax..Un bref galop de charette et à peine quelques heures pour rassembler chevaux et cavaliers, nouer de précieux contacts, accueillir les volontaires.
Et attraper une discrête Zophia rêveuse aux portes de la cité.


Alors joli papillon? Qui tiendra l'étendart de Cartel, mes deux mains sont prises. Aux armes ma belle. Tu vois ces gens ici? Méne les , je t'en prie.

Simplicité , pas de fioritures.
Un long tas d'os penché sur son palefroi rappelant à une dame timide qu'elle a des talents à éveiller
_________________
Fossoyeur, marchand, gascon
Rivoli
ACTE I : "De l'art d'observer"

Le ciel est bleu à présent, et l’on distingue au mieux le fameux camp dit de fortune.

Rivoli, était en train de peindre dans son fameux carnet la scène. Son maître en peinture lui avait bien enseigné :

« regardes bien les détails, et enregistres lès au plus profond de ton esprit pour les faire tien, puis dessines… »

Un tas de bouteilles et d’immondices structures le sol et marque le sillage des allées retour entre camps et taverne, des fameux brigands.
Une équipe de bras cassés dépourvue d’une quelconque finesse stratégique, plus habille à la menace en taverne, qu’a réellement, faire trembler la petite communauté de Dax.

ACTE II : "De l'art d'écouter"

Il pensait à son grand-père le fondateur de NOVA, qui lui aussi en son temps infiltra grands nombres de groupes, dans l’ombre sans gloire mais pour la défense des siens et sa communauté :

« tu vois petit, disait-il, notre travail est fondamental, essentiel, sans nous de grandes catastrophes s’abattraient dans nos campagnes et nos villages !
Notre travail est essentiel et pourtant n’attends jamais aucune récompense, aucun remerciement, aucune gloire de ce que tu auras fait ! Nos vies sont un sacrifice que nous mettons sur le bûcher, et seuls les grands du comté auront conscience de cela… »

La soirée fut rude en taverne, car malgré tout, il avait pu faire croire pendant une journée qu’il serait de la fameuse « armée du rire », mais cela lui coûta cher !

C’était le prix ! Acceptez de se corrompre, pour les siens, voilà le plus beau des sacrifices….

Après tout il avait suivi les directives du nouveau patron de NOVA :

« espionnez et intoxiquez coûte que coûte ce groupe, et dévoilé ensuite vos véritables intentions aux élus locaux ».

C’était l’occasion rêvée de faire ses preuves, le patron avait sans doute de bonnes raisons de garder un œil sur cette équipe de rigolos, et des enjeux plus importants étaient peut être en cause…..

ACTE III : "De l'art dans déduire"

Finalement ces drôles étaient plus dangereux que cela. Ce n’était sans doute pas d’ailleurs cet éternel ivrogne de zouz amoureux, d’une fille sans convictions et ne valent pas le pris de la platine auquel elle aurait voulu prétendre, (à force de jouer au couteau on tombe sur quelqu’un qui c’est bien sans servir), mais plutôt ce Falco et son fameux Cartel !

Brillant personnage, suscitant admiration et yeux doux? Mais qui parlait comme il pensait, sans aucune cohérence, sans élégance et sans une réelle conviction…

Esprit torturé, tourmenté, côtoyant depuis trop de temps la mort et son cortège de souffrances. S’écoutant parlé pour doublement jouir de l’effet de ses babillardes sur les autres et parfois sur lui-même. C’est vrai, l’âge est là mais ce dernier se surprend sans doute encore, quelque fois à ressentir une émotion ! Tien un os….

Qui es-tu Falco ? Un œil te regarde depuis la tombe ! Le reconnais-tu ?

ACTE IV : "De l'art de défaire"

Zouz voulait se monter une armée à lui pour faire joue joue en campagne, et pourquoi pas si l’occasion se présenta, saisir une mairie ou une sénéchaussée.
Cet ex maire partie en exil pour mettre un peu de piment dans sa vie, du changement, de l’aventure avait sombré sans le plus grand alcoolisme et la plus grande solitude intérieure.
Rivoli eu soudain un peu de pitié pour ce pauvre homme…
Il aurait eu envi de lui dire :

« Va, le véritable amour est bon marché, celui qui coûte cher est de mauvaise espèce »

« Que cherches-tu dans tes lugubres plans ? Si ce n’est toi-même…. »

Mais Falco, quel était son intérêt ?

Rivoli avait bien sa petite idée, mais la gardée encore pour lui….

ACTE V : "De l'art de partir"

Puis se levant tout en refermant son fameux carnet :

Bien, il est l’heure d’intégrer ma lance, pour faire du nettoyage…

Puis tournant le dos ce pathétique événement (camps de fortune), il pensait déjà à sa nouvelle mission que le patron lui avait assignée de bon matin….




[/i]
Zouz83
Correspondance

Zouz voyais des pigeons plus ou moins éclopé arrivé de toutes des lettres d'amour? Euh... Pas vraiment plutôt des lettres pour le boulot il y en avait des choses de prévue... Zouz pris donc un pigeons lentement dans la main le caressa tendrement la bête qui, d'abord apeuré semblait devenir plus calme peut à peut. Une fois l'animal en confiance Zouz lui sourit la bête était la silencieuse les yeux d'un enfant qui a fini de pleurer quand sa maman le prend dans les bras.

Zouz senti ses doigts ce resserrez peut a peut l'animal ne fît pas un bruit trop surpris par ce virement de situation. Les yeux de la bêtes ce remplissait peut a peut de sang a mesure que les paluche du Zouz ce fermais. Une larme une seul puis le petit coeur de l'animal qui avait un court moment battu plus fort sous les index de son tortionnaire ne battirent plus. L'animal inanimé dans les mains de Zouz, les mains finirent ce qu'elles avait commencé. Le sang de l'animal coulais enfin par la bouche de ce dernier.

Zouz avait l'encre. Il lui fallait maintenant une plume il choisie une belle aile la ou les plumes sont les plus résistante et les plus longues et l'arracha délicatement afin que la racine viennent bien entière. Zouz trempa alors la plume dans la bouche du pigeons et pouvais commencé à écrire.

Citation:

Bonjour Messire Deubs,

Je trouve bien dommage que vous n'autorisiez point votre soeur à ce ralliez a la douce cause qui es la notre.
Pour nous stopper vous savez comment faire je vous laisserai donc le soin de faire cela avec la beauté du geste un Duc qui tue un Chef d'armée je trouverai cela très noble je vous attendrai donc si vous le voulez à Dax peut être nous pourrons prendre une bière avant de ce tapé sur la tête afin que je puisse parlez de nos projet à l'armée et à moi pour la Gascogne et non contre comme il semble ce faire entendre.

Ceci est donc une invitation a vous d'y fixé des règles mais en général 3 personnes par camps suffisent à s' exprimé en toute confiance et à avoir un dialogue constructif.

Très Cordialement
Zouz.



Premier courrier en direction du futur Duc préparé, Zouz pris un pigeons stressé qui laissa coulé une marque de stresse qui arrive souvent quand on touche à des bestioles si faibles. La fiante qui était liquide et collante ne fut pas gâché Zouz enroula le courrier et le fixa avec l'aide de l'excrément du messager. Une fois ce dernier envolé Zouz pris un autre papier et commença une autre lettres toujours en prenant soin de posé sa plume dans le bec de la bestiole morte.

Citation:
Bonjour Cher Cartel,

J'ai suivis vos instruction et ai écrit quelques courrier au érudits qui réponde pour la plus part négativement voir m'insulte c'est bien sur les seuls lettres que je garde pour pouvoir m'endormir le sourire au lèvre.
En ce qui concerne les Conseillers il ce peut que nous en rencontrions mais les lettres sont pour le moment encore a l'état de feuille blanche pour ne pas dire que l'inspiration me manque...

En ce qui concerne les bouteilles cela fut très sympathiques mais la prochaines fois es qu'elle pourront être pleines?

Cordialement

Le grand capitaine commandeur de l'armée qui a pas encore trouvé son nom....

Ps: d'ailleurs pour le nom faudrait faire une genre de casserole avec des idée dedans.




Pigeons suivant pour Cartel une petite ficelle qui s'enroule sur le parchemin pas la peine de ce la joué comme avec le Duc. Pigeons posté pigeons envolé pigeons qui meurt pas avant de disparaître loin de la vue de Zouz.
Staron
Assis sur le bord du rempart, les pieds ballants dans le vide, le regard posé sur la galette blanche faisant office de lune perchée sur l'horizon, Staron tente de faire le point.

"Tu as fait le bon choix" se persuade-t-il.

Puis, baissant les yeux sur le campement de l'armée en formation, en déformation devrait-on dire, dont les braises encore rougeoyantes forment autant de petits points qui clignotent comme des lucioles, il doute. En moins de dix jours, Dax a déjà vu deux périls peser sur elle, et voilà le troisième qui apparait, encore plus menaçant. Dax souffre, chaque fois un peu plus.

"Jusqu'où la folie de certains mènera la vie des autres ?"

Le regard de Staron descend encore pour venir se poser sur ses sandales usées de pèlerin.

"Ma vie n'est pas ici, elle est sur les routes ... avec Lou."

En arrière-plan, les créneaux, parties du rempart qui défendra la ville, encore une fois. Encore une fois, il a répondu présent à la demande d'Aelyce, encore une fois il l'a suivie, comme poussé en avant par la main de Dieu.

"Ce soir encore je te suis Aelyce, ce soir encore ..."

...
Namaycush


[Ville de Dax, bureau du Maire, poste de commandement ad’hoc interarmes]

Effervescence, désorganisation centrale de l’ost, histoire habituelle en fait, le magistrat, officier, réunit la cellule de crise dans son bureau….

Ael, convoque-moi Craftouille ici en séance ainsi que les conseillers en ville de Dax., au plus vite ! Ainsi que Grinwold, qu’il organise le plan d’intégration des civils à l’armée. Merci !


Dax, joyau et place forte de Gascogne, protégée par de hauts et épais remparts, pouvait se prémunir d’être quasiment imprenable. Ou du moins le prix à payer et le risque à prendre étaient si extraordinaires que beaucoup plieraient bagage devant l’immensité de la tâche.

Logistique de guerre intégrée, comptabilisée, pichets en concentration, il se sert une coupe de ce petit blanc de pays gascon, trinque à tous ceux qui sont pas là…

Que voulait exactement ce Zouz avec son armée, s’amuser à prendre une ville, se venger de Labrit et de son maire,…..sourire carnassier,….non….Ysengrine cherchait une revanche…

Quoi qu’il en soit, il s’agissait de frapper dur, fort , de manière à ce qu’il soit dit par delà les monts , les terres, les rivières, qu’il ne faisait pas bon se frotter à Dax et à la Gascogne.

Inconscience, courage, notoriété ou témérité, que motivait donc Zouz ? Imbécillité, sottise, vanité ? Il n’avait pas l’air idiot pourtant !

A un moment dans son existence, l’homme a parfois besoin de se mesurer à plus fort que lui, afin d’aller au bout de lui même, s’améliorer ou tout simplement se jauger….

Dans cette nuit froide et humide d’automne rougeoient au loin les braseros bien peu nombreux du camps de fortune des infortunés renégats de Gascogne……

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Aelyce_h
Dax, ville étonnante en ce moment même et qui laissait la jeune femme bien perplexe.

La bataille promettait d'être d'une singularité désarmante. Dans les tavernes se côtoient au quotidien les principaux protagonistes dans le respect et la bonne humeur. Miliciens et défenseurs de Dax, d'un côté, et puis le seigneur de Cartel et Zouz de l'autre..Les Dacquois arrivent, écoutent, boivent, s'émeuvent ou demeurent de marbre puis choisissent leur camps ou même de rester neutre.
Cette fois ci, ce n'était guère le noir et le blanc qui s'affrontaient, mais des nuances de gris bariolées de quelques couleurs, c'en était presque devenu une histoire de goûts, d'affinités.

Les lances de remplissent, se désemplissent, fuient, ça parle rafistolage, ça rentre dans celle ci, parce que celle là bouge, ça rentre dans l'autre puis ça change d'avis. Et le tout entre deux éclats de rire, deux calembours, deux chopes, deux chansons grivoises.
Elle en perdait son latin, et même son gascon jamais acquis.

Et puis elle était émue, encore et toujours émue, par la confiance que certains dacquois plaçaient en elle. Émue de voir Dax vivante, prête à se battre, dans un camp ou dans l'autre, émue de voir les gens répondre présents, même les voyageurs, même Shadna la Béarnaise, la suivre sans rechigner. Elle donnerait sa vie pour les protéger, eux et Dax toute entière.

Ce matin là, Aelyce pénétrait dans le bureau du bourgmestre en poussant un pigeonnier roulant sur rondins en bois, le même qu'on lui avait bricolé depuis la traque. Ne les avait ont pas menacé d'attaque en justice, juste parce qu'elle en avait manqué d'envoyer un? Un frisson lui parcourait l'échine tandis qu'elle débarrassait son épaule de la sangle en cuir pour déposer par terre une besace pleine de parchemins de toutes les épaisseurs et qualités, et puis de l'encre à foison et des plumes d'alouettes, d'hirondelles, des plumes de chouettes et d'aiglons.

Son père était debout près de la fenêtre, concentré, silencieux, il était la tête pensante et elle un bras..elle hésitait à s'approcher car sans se retourner il savait qu'elle était là, pas en tant que sa fille, mais en tant qu' employée de la mairie, que copiste exécutant ses ordres. Elle mourrait pour Dax certes, mais avant Dax, elle donnerait sa vie pour son père.

Une Plume bavouillant du bleu en main, elle attendait tête baissée repensant à certaines personnes qui égayaient sa vie, qui la rendaient heureuse même dans la tumulte. La voix de son père lui fît relever sa tête tandis qu'elle replaçait une longue mèche brune derrière ses oreilles et que ses yeux ambres étaient traversés d'éclats de miel.

Ael, convoque-moi Craftouille ici en séance ainsi que les conseillers en ville de Dax., au plus vite ! Ainsi que Grinwold, qu’il organise le plan d’intégration des civils à l’armée. Merci !

Sitôt dit, que quelques pigeons quittaient déjà leur escadrille en fredonnant un petit roucoulement grivois.
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--Simonedebeauvoir
Fraîchement débarquée du Béarn proche, elle errait près des remparts de Dax à la recherche du campement de l’armée en formation, à l’affût de cris, de fracas de ferrailles, de piaffements chevalins, enfin des clameurs hétéroclites qu’on serait en droit d’attendre des abords d’un campement militaire. Nulle tente à l’horizon pourtant.

Elle allait et venait en fulminant, outrée qu’on ne se précipite pas pour accueillir la Lieutenante. Où se cachait donc ce maudit Commandant ? Une odeur de brûlé vint lui agacer les narines. Pouah. En cherchant la provenance, elle s’approcha du monticule noirâtre d’où semblait émaner la pestilence. S’y enchevêtraient des lattes de fûts à demi calcinées, des débris de verre, des bouteilles partiellement fondues et quelques lambeaux de tissu pour couronner le tout.

Ses yeux s’agrandirent d’effarement quand elle eut compris qu’il s’agissait des vestiges du campement. On avait donc attenté à la vie du Commandant. Mais s’en était-il sorti vivant ? Elle répugnait à fouiller les décombres à la recherche d’un cadavre éventuel. Pourtant l’heure était grave. Après une grande inspiration, elle souleva la charpie de la tente et jeta un coup d’œil en dessous. Rien qui à première vue évoque un macchabée. Elle la laissa retomber avec un vague soulagement, quoique qu’elle ne fût pas plus avancée au final.

Se redressant, elle jeta un œil alentour. Là-bas, une silhouette près d’un arbre. En tapinois elle s’en approcha sans savoir à qui elle avait affaire puisqu’on lui tournait le dos. Mais peut-être était-ce la personne qui avait incendié leur campement. Mieux valait prendre quelques précautions.

Hé, vous ! Lâchez tout d’suite c’que vous avez dans les mains !!




Posté a la demande de Simone_de_beauvoir qui ne peut venir sur la gargote étant bloquer en béarn par un bug.
Zophia
Aux portes de la cité

Falco avait réussi à rejoindre la rousse, aux portes de là cité, la jeune fille se retourna quand elle enttendit ça voix.

Alors joli papillon? Qui tiendra l'étendart de Cartel, mes deux mains sont prises. Aux armes ma belle. Tu vois ces gens ici? Méne les , je t'en prie.


Elle s'arrêta à sa hauteur et leva la tête vers lui.Demandé ainsi comment pouvait-elle lui refusé. Elle lui lança un sourire éclatant puis lui répond en haussant les épaules

Ben oui..Comment pourrais-je te dire non? Demandé ainsi..

Puis elle le regarda faisant une moue boudeuse et pouffa de rire.

Falco de Cartel, tu peux compté sur moi!.
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Vole..vole petit papillon bleu et surtout ne t'arrete jamais..
Zouz83
Au campement

Zouz assis dans sur sa chaise de bois faite par un amis charpentier regardait entre la ville et son campement. La bas le fameux lanceur de poisson faisait manoeuvrer ses troupes ils s'amusaient a faire des formations et des déformations pas mal d'éclopé ne connaissait a vue de nez pas la différence entre leur droite et leur gauche.

Voir cela faisait bien marrer le Zouz apparemment le Duché avait choisie à défaut de la sagesse, l'effusion de sang. D'un coté la chaire a cannons faisait partie de l'armée celle même qui paye ses impôts si elles pouvaient être blesser afin de resté la quelques temps de plus bloquer a l'hospice cela arrangeait surtout les conseillés véreux qui s'en foutaient plein les poches.

Le capitaine avait l'air d'un pantin malheureux qui faisait gesticulé une armée d'escargots. Zouz s'avais que le combat s'il avait lieu d'être serrait sanglant et rapide contre des personne sans expérience Zouz et sa petite armée avait toute ses chances.

Un costume trop chic pour allé mourir Zouz alla ce changé dans sa tente. Casque, braies, col et chausses rouges voila ce qui serrait assortie au sang des gueux qui allaient mourir ce soir.

Une envie toute rose,
Un arbre morose,
Un jet jaune qui l'arrose,
Un intrus qui s'interpose.

Hé, vous ! Lâchez tout d’suite c’que vous avez dans les mains !!


Zouz lâcha l'engin ce qui eut pour effet de faire partir le jet dans une direction non prévu.. Des belles braies rouge baptisé... Zouz ce retourna les braies au niveau des cuisses sans complexe et reconnue alors Simone.

Sa va? Tu te rince bien les yeux? Tu t'amuse à interrompre beaucoup d'homme pour analysé leurs anatomie ou c'est juste réservé a moi? Je peut relevé mes braies?

Bon a par sa sa fait plaisir que tu soit venue, pas trop de soucis pendant le voyage? Ta pas rencontré quelques inconscient qui veulent intégré une petite armé?

Allé viens boire un coup... d'eau.. erf le fait qui es plus d'alcool est une longue histoire que je t'expliquerai plus tard

Zouz releva ses braies et alla avec simone à la table de camp.
Falco.
] Portes de Dax - Couvent (Bah oui, imaginez pas le quotidien d'un fossoyeur, pfiuu)

Zophia, tu feras honneur à ta Maison, j'en suis certain.
Ah..Si tu croises un certain Rêveaulit ou Ramoli, bref un type plutôt sournois et biaiseux..Dis lui que dorénavant il devra prendre soin de toujours se trouver derriére de larges épaules ducales.
On m'a soufflé bien mauvaises actions de sa part.


Marrant comment cet escogriffe sur son palefroi pas aimable passe du rire grinçant au ton de sépulcre.
Avec le sourire, c'est trés important de maitriser l'immense palette des sourires.
Son crâne chauve attrape les derniéres luisances d'un crépuscule violacé tandis qu'il éperonne sa monture pour franchir les portes.
La on imagine la barbacane principale de Dax, avec ses machicoulis et ses gardes teigneux..
Mais pas du tout la grosse poterne donnant sur le lac avec ses filets puants et la mousse sur les créneaux.
Pas fou le Fossoyeur, il sait que Namay sait que Cartel est le bras de Zouz..A défaut d'être son cerveau ce qui serait sans doute bien plus profitable.

La porte donc, à travers la petite foule chamarrée des pêcheurs et marchands de truites fumées si prisées dans les beaux quartiers. En droite ligne vers le premier carrefour de ruelles car il faut l'avouer, il maitrise peu l'intra muros Dacquois.
Il demande son chemin, on lui donne poliment. Vraiment des gens charmants.
Le voici à l'entrée d'un mignon couvent.

Il en fait le tour, l'observe et le mesure. Avec en tête une ritournelle.

Faire pipi dans l'gazon, pour embêter les coccinelles euu..
Faire....Gazon....Les papillons..

Voici le mur qui clôt le jardin des bonnes soeurs, et la un portillon vermoulu gardé par un pavillon contenant sans doute quelque serviteur aussi vieux que laid..Les méres supérieures affectionnent ce genre d'homme à tout faire pour cotoyer des nonnettes amatrices à la foi fragile.

Le clocher de Dax sonne l'heure du souper alors qu'il gare son cheval et sa carcasse à l'ombre du mur d'enceinte.
Pile ponctuel le Falco. Si son information est exacte...Ce que lui confirme un cliquetis de serrure et une file furtive de robes et cornettes chuchoteuses.
Heure de fugue pour des jouvencelles trop citadines pour rester en retraite spirituelle sans aide de spiritueux.
Il talonne son étalon qui tient du percheron pour mettre désordre et cris surpris dans la colonne pré ethylique.

Dame Eilith..Ouste les autres..Votre séjour au couvent s'achéve. Montez en croupe sans cris ou je sévis.
C'est dit sur un ton enjoué plus pour effrayer les autres car la main qui se tend contient plus d'amitié que les mots le suggérent.
C'est ainsi que le Fossoyeur va à la rencontre d'une quasi inconnue.
Pourquoi et le caetera ne se devinent guére derriére ses yeux rieurs.

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Fossoyeur, marchand, gascon
Deubs0
La route fut longue entre Mimizan et Dax, et pourtant son cheval fut mit a contribution, mais avec les bifurcations par Mont de Marsan, il ne fallait pas s'etonner que la bete mette plus de jour pour arriver a Dax...

En route il avait vu arriver un pigeon, porteur d'une missive. Lorsqu'il la prit dans la main, une desagreable sensation lui glissa le long des doigts, il maronna quelques mots le temps de prendre un mouchoir, de se nettoyer les mains et de commencer a lire la missive...

il stoppa son cheval, sorti une plume une feuille, la posa sur un calpin et commenca a ecrire

Citation:
Bonjour messire Zouz,

Si monter une armee illegale, est pour vous, une noble cause, le trouble et les intentions qu'elle sucite ne me font point partager votre avis.
Vous enfreignez deliberement les loys gasconnes, et je vous invite une nouvelle fois à cesser vos activites et dementeler votre camp aux portes de la ville.

Deubs
Duc de Gascogne


Il songea a la propostion d'une entrevue, mais avant de rencontrer le belligerant, une rencontre avec le futur capitaine etait necessaire...

il ecriva une seconde missive pour repondre a sa soeur

Citation:
Kassie,

Tu m'en vois la rassure, reste a Bayonne, je te rejoindrai une fois cette histoire sur Dax finie.

Chaleuresement
Deubs,
Ton frere


il se remit en route vers Dax et lorsqu'il arriva dans l'enceinte de la ville, il se mit en quete du commendant du renseignement. Arrive proche de son bureau, il intercepta une secretaire....

Bonjorn Dona,

Menez moi au sieur Namaycush, sur le champs....

un sourire et il la suiva dans les inombrales couloirs a celui qu'il requissait...
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