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[RP/IG] Bataille de Dax !

Zophia
Portes de Dax

zophia regarde son papounet sur son palafroi, retient un fou rire en imaginant que s'il enttendait*papounet* elle aurait droit à une bonne fessée. Reprend son sérieux tant bien que mal et l'écoute attentive, plongeant son regard dans le sien en plissants les yeux.

Zophia, tu feras honneur à ta Maison, j'en suis certain.
Ah..Si tu croises un certain Rêveaulit ou Ramoli, bref un type plutôt sournois et biaiseux..Dis lui que dorénavant il devra prendre soin de toujours se trouver derriére de larges épaules ducales.
On m'a soufflé bien mauvaises actions de sa part.


La rouquine le regarde maintenant avec des yeux de tigresse et pose ses mains sur sa taille d'un air de défit.Nan mais voyons Papou...Heuu.Falco!. J'espère bien que tu a foi en moi.

Le regarde sérieusement droit dans les yeux, pose une main timide sur la sienne .

Je ferais honneur à Cartel tant que je vivrais Falco de Cartel ..Tu en a ma parole.

Et..quesque tu veux dire par
... Fou rire, le regarde moqueuse et taquine. Quesque tu veux dire par Rêveaulit ou Ramoli ?..il Rêve au lit? où il est ramoli?..non mais écoute, tu sais moi j'comprend pas toutes ces choses là. Hausses les épaules candidement puis lui fait une moue faussement boudeuse.
Parceque tu sais je pense pas que j'en rêve au lit s'il est ramolie..Erf!! oubli ça..Aller file Falco, j'te taquine simplement et j'sais que t'as à faire donc Hop!


La rouquine lui sourit puis le salut relevant gracieusement sa sa jolie menotte fine puis le salut avec un sourire honnête et ravageur d'une môme de son âge.

_________________


Vole..vole petit papillon bleu et surtout ne t'arrete jamais..
Eilith
Envol

Couvent de Dax



Elle avait du partir de sa lance d'origine et se présenter au petit matin à la porte du couvent. Il ne semblait pas y avoir d'autres solutions. Enfin, si elle le pouvait, elle essayerait de tromper la vigilance des nonnes. La journée s'était passée calmement, chaque minute s'étirant toujours un peu plus, la laissant aussi épuisée que si elle s'était amusée à faire trois fois le tour des tavernes... quoique, pour l'avoir déjà fait, elle pensait être moins fatiguée en sortant des tavernes, tout de même.

Malgré leur simplicité et leur accueil chaleureux, les nonnes étaient sévères. Interdiction d'aller en ville. Du coup, à part prier et lire, il n'y avait pas grand-chose à faire. Et faut dire qu'elle s'ennuyait rapidement, surtout s'il fallait lire.
La jeune fille décida malgré tout d'essayer de se faire la belle. En interrogeant quelques camarades tout autant désireuses de sortir, elles se rendirent compte que leurs gardiennes n'osaient s'aventurer jusque dans les tavernes -lieu de débauche où les vices se regroupaient, qui sait ? Enfin, elle n'arrivait pas à comprendre leur façon de penser-.

L'une de ses compagnes d'infortune se mit aussi à parler de la relation presque platonique entre Soeur Hélène et le jardinier. Soeur Hélène était celle chargée de les surveiller à l'heure du souper, c'est donc à ce moment qu'elles tenteront leurs chances.

C'est bientôt l'heure. La demoiselle avait raison, voici la Soeur qui fait les yeux doux au jardinier - qui d'ailleurs réunit à lui seul plus de graisse que tous les porcs du coin, mais bon, fallait croire que quelques temps coupée du monde, ça rend capable de n'importe quoi-. Les quelques jeunes filles marchent doucement sur le gravier qui mène à la porte de sortie. Plus que quelques pas, deux, un. Heureusement, la clé est sur la porte. Eilith l'ouvre, et fait sortir les autres devant elle, préférant fermer la porte, et surtout pouvoir rentrer très vite si besoin est. En particulier si une autre Soeur traîne par là.

Soudain, les jeunes filles se mettent à crier et à courir, la plupart bousculant Eilith au passage, et refermant la porte sur elle, ce qui la fait notamment valser vers l'extérieur.
Dans la confusion, elle a juste le temps de reprendre son équilibre, avant qu'une ombre lui passe sur le visage. En relevant la tête, elle voit un cheval. Faut dire qu'elle a tout juste la taille pour arriver à hauteur des yeux de l'animal. Mais celui-ci effectue un quart de tour, laissant apparaître son cavalier.


Dame Eilith.. Ouste les autres.. Votre séjour au couvent s'achève. Montez en croupe sans cris ou je sévis.

Elle se fige sur place en reconnaissant cet homme. Efflanqué et chauve, c'est lui qui tenait compagnie à Messire Zouz dans les tavernes depuis quelques temps. Elle se souvient de ce qu'elle lui avait dit la dernière fois qu'elle les avaient croisés en taverne et qu'ils essayaient de recruter tous ceux qui passaient par là à coup de tournées générales
: "Si vous arrivez à venir me chercher, d'accord je vous rejoins, mais, franchement, je pense pas que vous puissiez en être capable". Faut croire qu'il ne craignait pas grand-chose, décidément. Elle ne trouve rien à répondre, et préfère se taire plutôt de dire une bourde. De toute façon, il a précisé "sans cris", le silence vaut bien, donc.

Cela ne lui plait pas trop, mais il n'a pas l'air homme à qui on dit non facilement. Puis, sa mère lui a toujours dit de tenir parole.
Furtive vision de celle qu'elle considère comme sa mère poule, Aelyce, qui l'a tant aidée. Eilith jette un regard en arrière, vers le couvent. Les basses-cours sont pas vraiment faites pour elle, à vrai dire. Elle se tourne vers le cavalier, et saisit la main tendue.
Bizarrement, même si la poignée est ferme, elle n'en est pas pour autant hostile. Mais méfiance quand même, faut pas trop se fier juste à ses impressions. Ce n'est qu'en croisant son regard amusé qu'elle abandonne toute prudence. Le petit moineau va se placer sous l'aile du vautour, faisant taire ses scrupules.
SimoneII_le_retour, incarné par Eilith
L'homme se retourna. L'énorme masque rougeoyant qui le coiffait ne laissait voir qu'une bouche mince et déformée par la fureur, et de petits yeux cruels dans lesquels scintillait un éclat malveillant. La lieutenante n';en menait pas large. Sa main se porta instinctivement au côté de la ceinture où pendait sa dague.

Mais lorsque l'inconnu ouvrit la bouche le ton enfantin de la voix avinée la surprit.


Sa va? Tu te rince bien les yeux?

Zouz !

Elle resta un instant immobile, frappée de stupeur comme de soulagement, jusqu'à ce qu';un rire nerveux la secouât à la vue de son commandant braies aux chevilles. Détournant le regard, elle se plia en deux, hoquetante.


Tu t'amuse à interrompre beaucoup d'homme pour analysé leurs anatomie ou c'est juste réservé a moi? Je peut relevé mes braies?

Palsanstote ! Je n'ai pas demandé à voir ! Rhabille-toi, oui, par pitié ! Mais j'ai eu peur pour toi tu sais. Depuis cet été ils sont nerveux dans la région, notre armée, si modeste qu'elle soit, ne doit pas les enchanter.

Remis en état de décence il put enfin la saluer convenablement.

Bon a par sa sa fait plaisir que tu soit venue, pas trop de soucis pendant le voyage? Ta pas rencontré quelques inconscient qui veulent intégré une petite armé?

Tout l'plaisir est pour moi, Commandeur.

La main portée à la tempe en une ébauche de salut militaire, elle appuya le dernier terme avec un sourire moqueur.


Deux ou trois de mes amis devraient nous rejoindre. C'est bien connu que mes fréquentations n'sont pas des gens sains d'esprits. Le voyage s'est bien passé, oui, à part que je suis encore un peu décalquée, j'ai encore l'impression d'être à Orthez, curieux, non ? Tu n'aurais rien à m'offrir, juste histoire de me remettre les idées en place ?

Elle eut un petit sourire en coin, certaine de la réponse. Pourtant celle-ci la décontenança.

Allé viens boire un coup... d'eau..

Ses sourcils se froncèrent brièvement. Était-ce ainsi qu'accueillait la Lieutenante ? Ne méritait-elle donc pas plus d'égards ? Et d'ailleurs, que lui arrivait-il, à ce poivrot notoire ? Devenait-il rapiat ? Il dû sentir ce que sa proposition avait de baroque puisqu'il balbutia une vague explication.

erf le fait qui es plus d'alcool est une longue histoire que je t'expliquerai plus tard

Dites-moi, Commandeur, l'alcool n'a-t-il pas la réputation de donner du cœur ? Les soldats n'en auront-ils pas besoin, et nous tout particulièrement ? Je compte sur un renflouement rapide. Et pour commencer, où est ce maudit campement, que je cherche en vain depuis une éternité ? Et ce tas d'cendres, là, c'est quoi ?

Fatiguée, la Lieutenante commençait à s'agacer.

Simone_de_beauvoir ne pouvant toujours pas poster sur la Gargote, je me fais son intermédiaire pour cette fois.
Simone_de_beauvoir
L’homme se retourna. L’énorme masque rougeoyant qui le coiffait ne laissait voir qu'une bouche mince et déformée par la fureur, et de petits yeux cruels dans lesquels scintillait un éclat malveillant. La lieutenante n’en menait pas large. Sa main se porta instinctivement au côté de la ceinture où pendait sa dague.

Mais lorsque l’inconnu ouvrit la bouche le ton enfantin de la voix avinée la surprit.


Sa va? Tu te rince bien les yeux?

Zouz !

Elle resta un instant immobile, frappée de stupeur comme de soulagement, jusqu’à ce qu’un rire nerveux la secouât à la vue de son commandant braies aux chevilles. Détournant le regard, elle se plia en deux, hoquetante.


Tu t'amuse à interrompre beaucoup d'homme pour analysé leurs anatomie ou c'est juste réservé a moi? Je peut relevé mes braies?

Palsanstote ! Je n’ai pas demandé à voir ! Rhabille-toi, oui, par pitié ! Mais j’ai eu peur pour toi tu sais. Depuis cet été ils sont nerveux dans la région, notre armée, si modeste qu’elle soit, ne doit pas les enchanter.

Remis en état de décence il put enfin la saluer convenablement.

Bon a par sa sa fait plaisir que tu soit venue, pas trop de soucis pendant le voyage? Ta pas rencontré quelques inconscient qui veulent intégré une petite armé?

Tout l’plaisir est pour moi, Commandeur.

La main portée à la tempe en une ébauche de salut militaire, elle appuya le dernier terme avec un sourire moqueur.


Deux ou trois de mes amis devraient nous rejoindre. C’est bien connu que mes fréquentations n'sont pas des gens sains d’esprits. Le voyage s’est bien passé, oui, à part que je suis encore un peu décalquée, j’ai encore l’impression d’être à Orthez, curieux, non ? Tu n’aurais rien à m’offrir, juste histoire de me remettre les idées en place ?

Elle eut un petit sourire en coin, certaine de la réponse. Pourtant celle-ci la décontenança.

Allé viens boire un coup... d'eau..

Ses sourcils se froncèrent brièvement. Était-ce ainsi qu’on accueillait la Lieutenante ? Ne méritait-elle donc pas plus d’égards ? Et d’ailleurs, que lui arrivait-il, à ce poivrot notoire ? Devenait-il rapiat ? Il dut sentir ce que sa proposition avait de baroque puisqu’il balbutia une vague explication.

erf le fait qui es plus d'alcool est une longue histoire que je t'expliquerai plus tard

Dites-moi, Commandeur, l’alcool n’a-t-il pas la réputation de donner du cœur ? Les soldats n’en auront-ils pas besoin, et nous tout particulièrement ? Je compte sur un renflouement rapide. Et pour commencer, où est ce maudit campement, que je cherche en vain depuis une éternité ? Et ce tas d’cendres, là, c’est quoi ?

Fatiguée, la Lieutenante commençait à s'agacer.
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Falco.
Couvent- Mairie
(Quand j'dis que c'est pas une sinécure être danger public!)

Faudra te trouver une épée, et aussi autre chose que tes trucs de paysanne..Genre..T'as déjà porté un gambison et des plaques? Une brigandine?...Répond pas, j'me doute..

Ca lui fait tout chose au Fossoyeur de sentir l'Eilith être chahutée par le trot de sa monture. Pas qu'elle soit équipée d'une poitrine à tomber par terre, mais pile ce qu'il faut pour pas se casser une cote contre ses vertébres.
Leur trajectoire est émaillée de jurons. Dax a la rue étroite et lui un percheron manié comme une pelle dans de la neige fraîche.
Pour lui le petit peuple se résume à de la main d'oeuvre et des colonnes de fantassins envoyés en premiére ligne la plupart du temps.
Ou des tombes fraîches.
Souvent.

Trajectoire qui se termine par une arrivée en toute modestie sur le coté de la Mairie.
A observer un moment les navettes de pigeons ou de messagers variés en échangeant quelques banalités avec Eilith.
Il pose des questions sur le batiment, le Maire Capitaine, la noblesse ducale arrivée récement, etc..Tout en demandant une aide occasionnelle pour se changer.
Cela consiste principalement à revêtir une fort déplorable capeline jadis trés obscure. La pincer d'une fibule tarabiscotée en argent, de prendre son écu à son blason et son baton noueux.

Zouz doit être fort occupé à présent.
Lui a troupes et armes.
Il ne manque plus que quelques détails.
Rencontrer le Capitaine du Duché en est un.

Aprés tout les deux hommes se connaissent et aucune violence n'est encore à compter à Dax.



Pouvez m'accompagner ..
Quand on porte son nom et qu'on se trouve au coeur du pouvoir de gascogne, passer la garde n'est pas trop difficile.
Le plus dur est à suivre, au terme d'un escalier assez large pour y banqueter.
Obtenir un "Entrez" du seigneur des lieux.
Surtout quand on s'aperçoit qu'il a bifurqué dans le couloir directement vers la chambre de valais qui donne sur le cagibi dont le fond s'ouvre sur un cabinet de travail sans fenêtre permettant de toquer directement sans passer par la case Grande Porte.
Il aime bien les raccourcis tortueux le Cartel..
Et puis il ne va pas imposer sa visite en public à Namay.
Inutile de compliquer les choses.


Toc! Toc! Devine qui est la!

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Fossoyeur, marchand, gascon
Aelyce_h
Le pigeonnier était en plein effervescence..quelques volatiles à la patte loquace avaient déjà quitté le bâtiment.
Aelyce repensait distraitement à ses nouvelles attaches. Sa petite ingénue d' Eilith et Staron son pèlerin, droit et charmeur, qu'elle appelait affectueusement ses poussins, et qui l'appelaient Tata en retour. Depuis le premier jour où elle les a vu ces deux cousins là, ils occupaient une place particulière dans sa vie.
Elle n'avait pas attendu pour leur dire, le dire à tout le monde, que eux, ils étaient ses petits préférés. Puis au fil des jours, et de la confiance acquise, ils étaient devenus ses protégés, qu'elle défendrait bec et ongles. Il est des liens plus forts que les liens du sang. Aelyce le savait mieux que quiconque. Le lien avec son père adoptif étant des plus indéfectibles.


Toc Toc, devine qui est là?

Une voix d'homme ponctuait deux coups secs la fit sursauter. Un regard vers son père, et au sourire qui ornait ses lèvres, il savait pertinemment qui l'avait arrachée à la quiètude de ses pensées. Un ami sans doute.

Tu peux ouvrir, c'est Falco, mais fais le entrer dans l'anti-chambre secrète où on traite.

Sa main tire sur la poignée de porte, et leurs regards se croisent. Sourire en coin, en regardant son crâne luisant, un certain souvenir humide ressurgit malgré elle. première rencontre tumultueuse au campement. Depuis lors ils s'étaient croisé et recroisé, et le fossoyeur avait gagné son respect, et elle n'aurait aucune honte à dire, qu'il avait également gagné sa confiance.


Bonjour Falco! Suivez moi je vous emmène dans un endroit où vous pourrez..


la jeune femme s'interrompt car derrière le seigneur de Cartel, une silhouette lui avait échappé. Celle d'Eilith, elle se tenait derrière lui.

Aelyce la regardait à présent en écarquillant les yeux, tentant de comprendre ce que faisait la jeune fille à ses côtés, n'était elle pas censée être au couvent? Son regard plonge dans le sien interrogatif, et émerge avec une réponse. Sans nul doute, elle le suivait, elle l'avait décidé.
Eilith avait fait son choix, son regard était déterminé, tendre, navré. Elle baissa la tête un instant.
Aelyce en profita pour reprendre ses esprits quelque peu secouée, sa voix tremblait légèrement à présent.



-..où vous pourrez traiter.

Et toi Eilith reste ici j'ai à te parler, nous irons un instant dehors si ça ne te dérange pas.



Au regard effaré de la jeune fille qui cherchait approbation dans celui du fossoyeur, Aelyce lui mit une main sur son bras et le serra tendrement, la rassurant que quoi qu'il arrive elle respectera. ses choix.


-Je vous prie de me suivre Falco, je vous montre le chemin.
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Staron
- M.... ! C'est bien la peine de réfléchir des heures en équilibre sur les créneaux d'un rempart !
Une grande baffe au pigeon porteur de mauvaise nouvelle ...
Des escaliers dévalés quatre à quatre ...
Une porte qui claque.
- Lou, faut que j'te parle ...

Le visage radieux de savoir qu'ils partent loin des guerres laisse place au masque de la déception et de l'angoisse.
Plaintes, larmes ... des deux côtés.

- Elle a seize ans, je peux pas la laisser toute seule, tu comprends ?
Non, elle ne comprends pas, elle souffre.
- Tu sais qui c'est lui ? c'est pas un amuseur publique !
Elle, lui retourne sa phrase ...
Lui insiste ...
- Je peux pas la laisser, c'est la seule famille qui me ...
Il perçoit la portée de ce qu'il vient de dire.

Elle, lentement, de sa voix fragile, prononce quelques mots ...
Il ferme les yeux pour ne pas affronter son regard, secoue doucement la tête.
- Je peux pas la laisser seule ...

Staron prend Lou dans ses bras, l'embrasse sur le front. Il la reçoit contre son coeur. Si peu de temps qu'ils se connaissent pour un si grand amour. Les mains se touchent, se mêlent, s'enlacent, recherchant la moindre parcelle de peau nue pour ne faire qu'un avec l'autre et dire qu'il ne partira pas. Combien de regards, de sourires, de futilités échangées, de baisers, de caresses reviennent à leur esprit, à leur cœur, à leur corps. Tous et chacun leur manqueront, ils le savent.

Le pèlerin au visage buriné par le soleil et le vent, pleure.

Une infinité de mots d'amour, de touchers, de baisers pour refuser le départ, mais il est temps, le fossoyeur n'attendra pas.

Staron s'éloigne, laissant son cœur déchiré auprès de Lou.
La fuite en avant commence ...

Quelques affaires roulées dans sa besace, trois miches de pain, une outre d'eau, quelques écus ... ça suffira. Quelques centaines de mètres au pas de course, un détour pour récupérer la monture, et le château est en vue ...

Un cheval sans cavalier, il n'est pas encore sorti.

Staron reprend sa respiration. Dès que le seigneur de Cartel apparaîtra, il ira se mettre en travers du chemin et s'imposer à lui. Il faudra bien qu'il plie. Avoir Eilith, oui, mais ce sera en famille, avec Staron.

...
Falco.
Mairie et Conciabules


L'a côté du bureau ou Aelyce posséde un immense pouvoir sur le Fossoyeur. Il a sourit à la façon des anges déchus quand elle a ouvert. Il a acquiéssé et obéit sagement.
Parce que la piéce ou on l'invite à entrer seul...Déborde de documents confidentiels et plus amusant encore..De sceaux et parchemins paraphés!

Au moment ou Aelyce va le quitter, le laisser seul dans cet antichambre crucial, il ne peut s'empêcher de lancer, doucement:

Vous êtes bien pâle, Dame fille de Namay..Trop de bureau, pas assez de grand air..

La porte se ferme, il entend les trottinements des coursiers, le grattis d'une plume rageuse, celle de Namay. Une étroite fenêtre laisse entrer une clarté grise pluvieuse et la vision des toits de Dax.
Le Fossoyeur se met aussitôt au travail, mu par des années de vie clandestine à être l'Assassin de la MAison de Cartel. Une plume, l'encre, un parchemin vierge, un autre couvert de l'écriture du nouveau Duc.
Il écrit tout en rapprochant une bougie, un sceau, la cire.
Calmement, son coeur en chamade mais la main sûre.
Citation:


Objet:
Menace sur la Gascogne des troupes du félon Zouz .

Prévôt Namaycuh,
Le risque d'attaque diminuant , nous vous demandons de détacher une de vos lances de confiance pour renforcer la ville de Labrit.
Certaines informations certifient un regroupement suspect trés prochain de la part de Falco et son Cartel sur cette ville.
La récente reprise de la mairie par Sirvictor pourrait servir de motif à des troubles.
Nous vous ordonnons de déplacer la Lance d'Aelyce sur place et de collecter des renseignements plus précis tout aidant à l'éventuelle défense de Labrit.
Nous savons qu'elle a toute votre confiance et les qualités recquises pour cette mission.



Donné par nous, Louis Philippe Von Wittelsbach, Vicomte de Fréjus, Duc de Gascogne , dicte Deubs
En notre château de Mont de Marsan,
le 16ième jour du mois de novembre de l'an de Grâce 1456.






Le laisser en évidence? Non.
Il roule parchemin, le fourre dans sa sacoche pour le glisser dans les mains d'un des messagers aux couleurs ducales allant et venant à la Mairie.
Le matériel d'écriture retrouve sa place exacte, son oreille concentrée sur les sons du bureau voisin se détend.
Il se plante devant la fenêtre pour sembler se perdre dans la contemplation de la cité.
Pourquoi fait t'il cela?
Pourquoi Aelyce?
Il se souvient de la jeune femme rencontrée pendant une belle traque à travers la Gascogne.
Il a fait les connections entre Namay, entre ces gens aventureux qu'il assemble. Elle est vive, elle se déméne pour organiser la défense de Dax.
Et, étant dénué de scrupules quand il s'agit d'aider la Gascogne, même contre son grés, il a décidé d'explorer une idée folle.
La former , durement, aux aspects de la guerre et des escarmouches qu'elle méconnait.
Pour la plus grande gloire du duché qu'elle sert.
Jamais Namaycuh ne lachera sa fille.
La fin justifie les moyens.

Et quelle farce si elle fonctionne!
Le Fossoyeur sourit le front collé à la vitre. Attendant le bon vouloir des nouveaux puissants de Gascogne.

_________________
Fossoyeur, marchand, gascon
Eilith
Mairie de Dax

Ils étaient allés du couvent à la mairie, en passant par les rues sinueuses de Dax , avec quelques détours - Falco ne connaissait pas la ville, et Eilith avait décidément un très mauvais sens de l'orientation-.

La mairie... Elle se souvient de la première fois où elle y est allée, totalement perdue. C'est là qu'elle avait rencontré Aelyce pour la première fois. Elle répond aux questions du fossoyeur, lui donne un coup de main pour se changer, mais reste néanmoins distraite.

Elle suit son ravisseur à l'intérieur du bâtiment, et arrive devant une porte.


Toc!Toc! Devine qui est là!


La réponse ne se fait pas attendre.

Bonjour Falco!
Eilith reconnaît la voix d'Aelyce. Aïe. La culpabilité se met à l'envahir. Stupide. Voilà ce qu'elle était. Elle n'aurait jamais du aller autant en taverne, jamais du s'amuser à défier Messire Falco. Et là, elle ne pouvait pas se voiler la face en se disant que c'était parce qu'elle n'était pas instruite. Une personne raisonnable ne se serait jamais mise dans un bourbier pareil.
Suivez-moi, je vous emmène dans un endroit où vous pourrez...

Ça y est, elle l'a vue. Eilith croise son regard interrogateur.
"Pardon, Ael j'ai agi comme une idiote, mais je regrette, on oublie tout et tout redevient comme avant ?" Il aurait suffi de dire ça, et elle pourrait reprendre une vie normale à Dax, une vie en restant auprès d'Aelyce.
"Lâche". Elle ne peut pas agir ainsi devant la brune, elle ne doit pas se comporter comme une gamine et pleurnicher. Elle veut que la jeune femme soit fière d'elle, et pour cela, il faut qu'elle assume les conséquences de ses actes.

..où vous pourrez traiter.

Et toi Eilith reste ici j'ai à te parler, nous irons un instant dehors si ça ne te dérange pas.


Ses belles résolutions partent en lambeaux en entendant cette phrase. La jeune fille imagine les pires réactions, et se voit déjà saisie, emmenée, pour aller croupir en prison.
Mais Aelyce met une main sur son bras, comme pour la rassurer, ce qui a l'effet escompté.

Elle emmène Falco dans une pièce, et revient.

Et si on allait faire un tour pour en parler calmement ?

Eilith acquiesce, et les deux descendent les marches sans un bruit.
"Tu sais...." Elle hésite. "Tu sais, Ael, j'ai pas fait ça pour trahir Dax, hein. C'est juste que j'ai donné ma parole, et que..."
Aelyce l'ignore et la tire par la main. Cependant, lorsque la jouvencelle regarde son visage, elle y lit de la colère contenue. Elle préfère alors garder le silence plutôt que de déchaîner les foudres de celle qui l'emmène vers le perron.

Lorsqu'elles arrivent à la porte, elles voient Staron débarquer, toutes ses affaires avec lui. Eilith se doute du pourquoi de sa présence ici. Elle baisse les yeux et se mord les lèvres, submergée par la culpabilité et la reconnaissance. En relevant la tête, elle agit comme à son habitude lorsqu'elle est envahie par la peine ou la colère.
Elle sourit.
Namaycush


[Ville de Dax, cellule de coordination]


Toujours seul, pichet sérieusement entamé, ni le Duc, ni les conseillers sur Dax présents…

Il l’attend, il sait qu’il viendra….fort de cette conviction qu’ont parfois les gens se rejoignant au delà des préjugés….
Aussi aucune surprise ne l’assaille lorsque Zael le prévient d’une visite pressentie….et pour le moins attendue…

Toujours aussi hiératique, entouré de cet aura si présent, nulle part le Gypaète, comme il se plaisait à le nommer, ne passerait inaperçu…
Lui feint de l’ignorer, occupé dans sa paperasse, l’observe du coin de l’œil, se concentre néanmoins sur un courrier à l’attention de Zouz, celui-ci promettant de dissoudre son armée au plus vite….selon leur accord.
Le Casseur d’os est ici pour ça. Ils allaient traiter.
Falco, aussi tordu soit-il, dans les valeurs guidant son existence, animé par tant de conviction, ne manquait jamais à sa parole. Juste prenait-il parois un chemin pour le moins tortueux…

Se levant, estimant l’avoir assez fait patienter, pose sa main sur l’épaule si sèche qu’on la croirait cassante, à tort…


Je t’attendais, tu en as mis du temps, l’âge sans doute ?!

Viens…


Bouteille sabrée dans les règles de l’art, deux coupes aussitôt servies, toujours la même sacro-sainte convivialité du pichet, garante que les paroles échangées seraient d’honneur.

Nouveau passage d’un coursier, prend connaissance d’un courrier aux armes du Duc, intrigué que celui-ci emploie le terme de prévôt à son encontre, le fait renvoyer illico par Aelyce vers Craftouille, prévôt de Gascogne quand il n’est pas à la tête d’une armée…

Se retourne vers son interlocuteur, son meilleur ennemi, son allié aussi….trinque en sa direction..

Falco, partez-vous ce soir, armée dissoute, comme le promet Zouz ?

[i]L’imperator rose flamand, tiendrait sa parole, mais…sans l’accord de son mentor, l’ombre noire il ne ferait rien…

Le pouvoir souvent n’est pas tenu par la lumière. Dans les ténèbres, dans lesquelles beaucoup se perdent, se tirent beaucoup de ficelles, se tissent et se trament l’avenir des duchés, par alliance, par intérêt commun ou par fidélité parfois..ou…pour une femme !

Il ne faut jamais perdre de vue, en politique, à la guerre comme en amour,
que l’objet de la guerre est la victoire ;
Celui de la victoire, la conquête ;
Et celui de la conquête, la conservation.

Seulement ainsi deviennent quelques élus de grands Empereurs !

_________________
Zouz83
Campement

Zouz servit un verre d'eau à la brune et lui expliqua comment tout sa été arrivé ce qu'il avait derrière la tête et ce qu'il allait faire d'ici peut de temps. Une fois la lieutenant rassuré Zouz fît l'inventaire de son armée il y avait toujours du monde et chaque jours voyait son lot de nouveaux arrivant.

Après un petit tour en taverne, un vote unanime sur la couleur du drapeau et le nom de l'armée Zouz savais enfin ce qui lui restait a faire en rentrant chez lui. Il demanda a un amis anciens tisserand de Dax s'il pouvait ce servir de deux ou trois étoffes celui ci accepta. Une couleur superbe un rose éclatant tel était le choix de ses soldats et de lui même.

L'armée rose avancera dès le lendemain contre toute les villes qui ce lèverons contre elle tel était le but de cette armée constitué pour totalité de guerriers sans peurs.

Zouz en attendant le grand jour s'improvisa tisserande, un boulot de femme pour un commandant d'armée... ou va le monde!!! M'enfin il avait rien d'autre à faire puisque l'alcool avait disparue en fumé. Un épingle, un bâton et un morceau de tissus voila ce qu'il faut pour un jolie drapeau.

Une fois l'étendard en haut du piquet Zouz ce dit qu'il broderai bien le nom de l'armée dessus il pris une autre pelote de laine, et commença a écrire comme il le pouvais. après avoir fini il regarda son travail...


Citation:
AWDIIIP GDIPE ET BEAIITE




Hum.... Pas top top...

Zouz savais que ceux qui connaissait le slogan pourrait le redeviné mais les adversaires... M'enfin... Il fallait donc tout recommencé. Zouz déchira les morceau de laine qui servait de lettres et commença a s'appliquer en s'efforçant de passer bien dans chaque recoin de chaque lettre et de faire toute la longueur sans sauté trop de distance.

Arrivé a l'avant dernière lettre Zouz ce pris un pigeon expresse en pleine tempe. C'était un amis qui lui disais clairement d'arrêté la création d'armée pour des raison purement confidentiel. Toute la France du sud-ouest désirai la fin de cette petite armée de 5 personnes.

Ni avait-il dans ses endroit pas plus que 5 personnes par Ost? Cela restera à vérifié dans très peut de temps mais il avait plus important à faire pour le moment. On l'appelais au delà des frontières Gasconne pour faire coulé le sang de la noblesse Française celle qui pète plus haut que son cul, et qui regarde les gens de haut comme s'il méritait plus de vivre qu'eux.

Zouz écrivit répondit donc à Namay.



Citation:

Coucou namay,

Content que tu es accepté notre accord l'armée serra dissoute tu n'aura plus rien a craindre de moi, si tenté que tu es eut un jour des doutes envers moi. Soit dit en passant n'étant pas sûr du choix du Duc et j'étais entrain de me tapé de la broderie... Mon belle oriflamme rose ne verra jamais le soleil..

Comme prévu dans l'accord j'attend l'argent du Duc. Sa fille étant une amie je ne pense pas que sa posera de problème. Je pense aussi qu'il m'apprécie même si il ne le montre pas trop qu'en pense tu? L'argent pour mon armée il la trouvera comme il m'a prévenu dans la caisse remplie par les impôts du peuple.

Je te souhaite une bonne continuation en tant que Capitaine.

Un commandant déchu de ses fonctions par un accord plus qu'intéressant.

Zouz.


Après avoir renvoyé la réponse au Capitaine de l'Ost Gascon Zouz pris le drapeau et le balança sur les cendres de ses anciennes bouteilles il y mis le feux tout ses rêves partirai ainsi au même endroit vers le ciel et l'attendrai sûrement.
Staron
Une silhouette apparaît
Eilith, tu vas voir ce qui t'attends toi ...

Staron s'approche à grands pas, les yeux fixés sur la petite rousse

Une second silhouette apparaît derrière elle
Un moment d'hésitation ...
Oui, et de toutes façons, il faudra bien en passer par là, autant régler le problème de suite ...

Puis un autre doute s'installe
Ce n'est pas la silhouette du seigneur de Cartel ...

Staron sourit ... Aélyce

...
Koreldy
Dax, tout près de l'Adour, 77 Pont de l'Adour, sur un toit:

Un homme perché sur un toit c'est peu commun, un koreldy perché sur un toit dacquois, c'est habituel.

C'est perché sur le toit de sa maison, dont il avait fait express de le construire solide que Koreldy s'était mis pour réfléchir.Son regard se perdait dans l'Adour, bien qu'en hiver, le fleuve était toujours magnifique, toujours aussi attrayant.Dax s'enfonçait pleinement dans la froideur hivernale.

Koreldy réajusta son capuchon, pour laisser le moins possible le froid s'infiltrer.Son épée toujours près de lui en ce moment.Curieux sentiment, lui qui n'aimait pas plus que ça croiser le fer, il portait presque toujours une épée sur lui.Il réfléchissait a tout les événements passé mais aussi a ceux a venir.Tant de choses se bousculait dans sa tête et tant de regrets aussi.Mais au milieu de tout ça une lumière, une lumière qui le tirait peu a peu loin de cette noirceur.

Il se demandait quand ces magouilles incessantes allait finir en Gascogne, a croire que dans les hautes sphères, ils ne savaient faire que ça.On promu des doubles postes et ce pour des durées très longues.On déroge a la règle parce qu'on connait untel.Et ça magouille et ça magouille pendant ce temps la, le petit peuple ne sait rien.

Ses pensées se tournèrent vers son ami zouz, espérant que pour lui cela irait, une armée avec un oriflamme rose.Un large sourire se dessina sur ses lèvres, sourire imperceptible pour ceux qui pouvait l'observer en ce moment, son capuchon en cachait long.

Il joua avec le pommeau de sa lame, et s'amusa a contempler les armoiries enchâssé sur la fin du pommeau de son épée, se demandant si la vieille maison de Bruc était déchu, ou si elle vivait encore dans son pays natale.Sentiment bien particulier d'appartenir a une lignée sans ne vraiment rien connaitre, et en garder une chevalière pendant autour de son cou, de vieux parchemin et une épée

Il se demanda si zouz avait refait son stock d'alcool ou s'il était agen a cette heure.Un vieux souvenir de soirées en taverne a mortagne fit surface, kendok, yann et bien d'autre si trouvait, un brin de nostalgie, l'envahit quelque peu.

Koreldy contempla les innombrable fumée qui sortait de chaque habitation, imaginant les gens autour de leur âtre, et plus loin les rempart, ou l'agitation se sentait.Sentiment perceptible, celui d'hommes prêt a croiser le fer, d'autre ayant peur car ne l'ayant fait.Plus loin se ressentait l'envie de sang, ceux qui ne vive que pour le combat, ceux qui aime détruire et piller, ceux dont s'il le fallait, croiserait le fer avec lui.

Il reporta son regard sur l'Adour, se vidant l'esprit, se demandant dans quoi zouz s'était mis, attendant le couchez du soleil, dont les rayons se faisait bien timide.

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GuillaumeIV de Bruc dict Koreldy
Membre de l'ordre des Protecteurs
"Protéger et servir"
Membre du Parti gold
Rivoli
Un peu pus tard dans la soirée, le soleil vient juste de tomber…

Méditant comme à son habitude sur l’insoutenable, mais nécessaire besoin des être envers les désirs concupiscents de la chair, de l’esprit et des yeux….

Rivoli est installé sur son vieux fauteuil avec vue plongeante sur la porte de la ville non loin du marché et sur toute la plaine de Dax. Il adore cette perspective qui embrasse d’un seul coup d’œil la vie de la cité.

« Prendre de la hauteur, aide à mieux saisir quel furent les grands enjeux…. » Penses t’il.

Il entend au loin les galops d’un équipage et les cris des cavaliers. Intrigué, se rapproche pour voir de sa fenêtre quels sont ces bruits ?

« Ne serais ce pas la lance de ce fameux Falco. ? »

Mais oui!!! Sans doute ce dernier voulant se faire discret décide de l’heure de la journée ou il pourra faire le plus d’effets ?

C'est-à-dire ou tous les habitants de Dax rentrant des champs pourront bien constater qu’il prend la route de ……de …..Labrit ?

En voila une belle stratégie ?

......

Mais, depuis l’équipage soudain quelque chose brille et lui éblouit l’œil !

« Tien ? De si loin et sans soleil ? Qu’est ce cette lumière ? »

L’éclat provient d’un des cavaliers sans doute le plus léger, possédant longue chevelure, impossible de savoir qui ?……

Soudain troublé ce dernier se prend de vertiges, lutte contre lui-même, glisse se rattrape à son fauteuil et tombe au sol comme un poids !

….

Dans un songe

Une forme fluette s’approche, pose sa main sur son front et d’une voie douce lui souffle à l’oreille… Ne meurt pas encore, sinon tu ne connaîtrais point ton avenir ténébreux Rivoli…

« Hélène ? »
demande t-il d’une voie cassé

la forme lui répond alors :

« Viens! viens!…................Pâris m’a enlevée…. »

Il restera ainsi, là sur le sol jusqu’au petit matin.
Deubs0
Le Duc avait suivi la secretaire, un couloir, deux couloirs, a gauche, a droite, mon dieu que cette batisse etait grande.. , lorsque celle-ci lui indiqua une porte...

il l'ouvrit, trouvant son capitaine en compagnie d'un homme qu'il n'avait jamais rencontre, mais qu'on lui avait tant decrit qu'il le reconnut de suite... il fit quelques pas, allant croiser une une dame sortant avec un courrier auquel il cru recevoir le sceau ducal... il l'arretea, par le bras...


Pardon Dona, puis je voir cette missive....

il ne lui laisser point le temps de parler, qu'il lui prit de la main la feuille...il esquissa un sourire

Merci vous pouvez aller....

il lu la missive, une grimace se posant sur son visage, tant les mots etaient faux, tant le sceau semblait vrai,... il releva la tete et devisagea Falco, le regard noir, fit quelques pas pour se rendre a une table sur lequel il s'assit...
un regard au capitaine pour le saluer et il refixea Falco...


Je suis surpris de vous trouver ici,
je venais querir le capitaine pour lui parler d'une affaire importante, et que trouve?, le brigand le plus connu de la Gascogne....


durant qu'il parlait il avait enroule la missive et s'en server pour doucement taper dans sa main...

et encore plus interessant, j'intercepte cette missive....
il souria, un instant, avant de se relever et de reprendre son serieu...

Soit Sieur Falco, si vous etes ici, c'est que vous avez un but precis, alors faites, explique moi ce qui pourrait faire que je ne vous foutes pas au trou pour cette lamentable falsification...
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