Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2   >>

laissez-rester

Enduril
Enduril écouta d'une oreille attentive la diatribe de la si gentille jeune femme qui se transformait d'un seul coup en furie. Pensive, elle se tourne vers Polstephie en entendant le son de sa voix.

Je ne sais pas ce qu'il en est pour vous, mais cette personne est pour le moins étrange. Sans doute une de celles qui traine derrière les armée apportant le réconfort de leurs bras aux soldats et écartent les cuisses pour tirer des informations.

Ses hommes... Vous pensez que ces gens pratiquent l'acte sacré de procréation en groupe ?

Elle sourit.

Je suis désolée de vous infliger pareilles remarques, mais je pense qu'il restera toujours au fond de moi le souvenir de ce que je suis. Une noble de mérite, pas de naissance. Une femme qui ne doit ses titres qu'à son travail. Qui a trimé par tous les temps aux champs, travaillé dans les mines et surtout qui fut soldat assez longtemps pour en garder un certain esprit... grivois.

De toute façon, j'aimerais bien savoir où elle a pu se procurer ses vêtements. Je n'ais qu'une seule tenue noire et je la garde pour les grandes circonstances. Je n'oserais dire le prix que m'a coûté la teinture qu'à mon confesseur. Et encore, je l'ais fait pour rendre service à un marchand qui se mourrait de faim de ne pouvoir vendre de produit qui lui avait couté si cher à l'achat...

Enfin, je pense que vous devez avoir plus urgent que d'écouter mes bêtises.

Ah oui ! Quand vous aurez un moment, vous qui aimez mélanger les couleurs, pourrez-vous recevoir quelques-uns de mes enfants pour qu'ils choisissent la brisure de leur blason ?
_________________
"Qui médit de moi en secret, me craint; qui me loue en face, me méprise"
Polstephie.
La Comtesse Gevaudanaise se releva.

Vous exprimez simplement à voix haute, Comtesse part de mes interrogations et conclusions.

Quant à ce que ces gens pratiquent... Ma foi.. Peu me chaud tant que c'est loin de moi et surtout de mes enfants...

...

La teinture noire est fort chère oui. Mais même si j'ai la possibilité d'en avoir, je ne pourrai porter Son Deuil autrement qu'en blanc. Je crois que vous vous en doutiez...


Hum... Ma foi, je ne suis pas encore très à l'aise, mais je crois pouvoir les recevoir rapidement. Mon Mèstre serait content de me voir œuvrer plus souvent au grand jour et pour autre chose que des esquisses banales.


Et elle s'inclina de nouveau. L'esprit déjà ailleurs... Le corps encore présent dans la pièce.
_________________

Persegueira de Armas de Lengadòc
[Embaissadora Lengadociana al ras de la Borgonha]


Comtesse du Gevaudan, Baronne d'Alaigne et Dame de Sainct Martin du Lavardin
cobolte
cobolte qui etait arrive depuis quelque minute attendais patiement derriere la porte et ecoutais d'un air distrait l'oeil furetant sur la demeure...

breiz sortit le pas vif comme l'eclaire lui lancant qu'on pouvait s'assoir sur le laisser passer et qu'elle allait au camps soigner ces renards.
celui ci entra tranquilou les mains dans les poches un epis de blé au coin de la bouche

holla les pekors




seul de pauvres paysans pouvaient cancanner de la sorte pensa t'il...



et bien qu'il est facile de jouter verbalment

sur l'innocence et l'absence

vous jugez bien vite...




il pris place confortablement pour pas dire se vautra dans un fauteuil devant le bureau

puis reprenant tout en machouillant son brun



je me presente cobolte le jeune cornu

fils de dumoulin

oncle de dame lefunambule et de sire pi

citoyens d'honneur de la ville de como

ancien soldat de l'armee de l'ost ayant participer a quelque geurre...

delivreur du chateau de dijon

voyageur ayant fait le tour du royaume

et d'apres vos renseignement rusé




cobolte se mit a rire a ces dernieres paroles...

et s'arretta de deballer la longue liste



ma foi je comprend que l'on a pô notre laisse passer

pour qu'elle motif?on c'est pô annoncer?

notre cher vaxilar vous a fais part de notre venu

je me souviens encore de ses paroles...

donc dire que l'on vous a pris au depourvus me semble leger

surtout que vous etes plutot bien informez...

puisque d'apres mes renseignement nous sommes piste depuis polignac...

et je ne vois pô en quoi deux bohemiens peuve porter prejudice

a votre petite vie...




cobolte se mit a regarder la piece sous toutes ces coutures laissant l'oeil agare et la bouche bé aux deux cancanieres.
Enduril
Enduril hoche la tête en répondant.

Je connais vos raison pour ce deuil et j'aimerais que lorsque viendra le jour de mon trépas, l'on me rende pareil homage, si ce n'est le choix de la couleur. Mon tempérament préférant un colori qu'elle n'eut pas aimé...

Allons, je vais vous raccompagner à la hérauderie et nous discuterons en chemin.

Elle se tourne vers les gardes et leur lance.

Veuillez faire sortir cette engeance incapable de comprendre que nulle demande n'a été faite pour eux et qu'ils peuvent aller se faire pendre ailleurs. Pensez à lui laver la bouche au savon. Ces gens du Nord on déjà un accent pointu à percer les tympans d'un occitan, mais il semble en plus que ce larron ne soit même pas capable de se comporter convenablement. Sans doute trop de piquettes de ses terres froides ont du gâter son esprit.

Et si il persiste à manquer de respect à la noblesse de ce comté, quelque bastonnade seront lui apprendre les manières.

Et faites-moi brûler ce siège, il doit être bourré de vermine maintenant.


Sans plus se préocuper de l'insolent que ses premiers langes, elle se dirigeat vers la porte, continuant sa conversation si facheusement interrompue.


Figurez-vous que je parlais à Pézenas des avatages à avoir blason familial et je pense que mon vassal devrait aussi en avoir un.

Pézenas n'a pas la moindre idée de ce qu'il aimerait y voir figur...

Et les voix s'éteignent au fur et à mesure que les deux femmes s'éloignent vers la hérauderie sous escorte discrète de la GA.
_________________
"Qui médit de moi en secret, me craint; qui me loue en face, me méprise"
cobolte
cobolte ecouta la noble paysanne parler et se mit a rire
et bien je vois qu'en plus que vous ne savez meme pô ecouter
moi la vermine?


et se mit a rire de plus belle

je n'ai aucunement dit que vaxi avais fais la demande pour nous...
faudrait il vous laver les oreilles voulez vous dont le savons dont vous parlez temps...

quand a vaut intimidation de bastonnade
j'ajouterais sur se point que je ne suis pô nez de la derniere pluie
et que plus d'un sans est deja venter mais point n'a encore reussit

comme je dit toujours sa parlois mais sa n'agit pô té
quand au respect vous etes bien mal place pour donner la lecon...
quand a notre piquette comme vous dites avant de critiquer faut venir le gouter


puis regardant les deux gardes affuble de leur apparat se croulat de rire

non mais vous etes serieuse?


il se releva les mains dans les poches
se dit qu'il vallait mieux entendre sa que d'etre sourd...
il regarda les deux pekors s'eloigné et fit le tour de la piece admirant tenture et tableau avant de saluer les deux jouvenceaux qui ne connaissait rien a l'art de l'epee puis sortit rejoindre ses amis le sourire jusqu'au oreilles...
See the RP information <<   <   1, 2   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)