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[RP] Tranches de vie ...Le lac de Sarlat

Persan
Persan écouta gravement Phyl et lui sourit quand elle le défia de faire un galop.

Je suis votre homme, Dame Phyl.

Sans attendre davantage, il talonna son étalon qui prit aussitôt le triple galop. Le vent dans le visage, Persan poussa un cri de joie pure.
Phyladelphia
Hééééeee Tricheur

Phyla talona Goliath qui ne demandait que sa et ce lanca à la poursuite de Persan
Son cheval avait une tel rage qu'elle sentait tout ces muscles vibré sous elle
Mais toute sa puissance ne pouvait rien faire contre l'agilité du cheval à Persan et c'est en haut de la coline qu'elle pu enfin ce mettre à sa hauteur...

Puréééeee c'était Genial...

Elle éclata de rire....
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Persan
Persan la vit arriver et rit avec elle.

Oui, grandiose. Ca faisait longtemps !

Du haut de la colline, il observa le lac et la campagne environnante. Plusieurs barques flottaient gaiment sur les ondes. Persan se sentait bien.

Et maintenant ? On rentre de la même manière ?
Phyladelphia
Si on rentre à cette allure... on va faire tombé les murs de l'enceinte ...
Phyla le regard amusée
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Persan
Bah, ça donnera du travail aux artisans... Yaaah !

Poussant un cri, Persan lança son étalon, avant de regarder derrière lui et d'attendre Phyl. Cette fois, ils feraient la route ensemble.
Phyladelphia
Les deux chevaux galopèrent cette fois ensemble
Ils passèrent les portes poussant la course jusqu'a la rue des Tavernes
Affolant tout les passants des rues qui flanaient
Ils prirent un malin plaisir à ne pas réduire leur allure...
Arrivant devant les tavernes ils stopèrent leur monture et ce regardèrent en riant
Puis regadèrent derrière eu pour entendre les réclamations...

Descidèment Phyla ne finira jamais ces betises dans cette ville...
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Orkaange7876
Orka se balladait une dernière fois autour du lac avant de repartir. cela lui avait fait du bien de voir d'autres personnes, même si Angoulême lui manquait. Elle avait tout de même le coeur lourd, pensant rentrer avec le mini chevalier.. Mais celui ci était resté introuvable et elle ne pouvait l'attendre indéfiniment. Elle s'assit sur la berge, ses cheveux blonds lui revenant dans la figure et posa le casque de Emery à côté d'elle. Elle ne l'avait pas vraiment voulu ce gamin, il lui était tombé dessus presque par hasard.. Elle se remémorait la première apparition du chevalier en herbe dans la taverne d'Antan. Il était maigre, sale, affamé, plein de poux et de vermines, rebelle et sauvage.. Puis il était revenu, et ils s'étaient apprivoisés mutuellement, apprenant à se connaitre et à s'aimer.. C'était un sentiment inconnu pour la blonde, l'amour qu'on portait à un enfant, tellement différent de celui qu'elle portait à Cap.; Et pourtant tellement complémentaire.. Elle soupira de nouveau, souriant un peu malgré les larmes qui lui montaient aux yeux.. Ils lui manquaient tous les deux quand ils n'étaient pas là.; Elle aurait aimé qu'ils soient près d'elle pour contempler le lac, son calme et sa sérénité.

C'était une belle journée, elle voyait les arbres au loin qui ondulaient doucement à la brise de printemps, les canards et autres volatiles paradaient.. C'était le printemps, saison des amours.; Et pour l'heure elle se sentait seule. Elle frissonna et s'allongea dans l'herbe, son balluchon sous la nuque, le casque de Emery serré contre elle. L'herbe était haute et grasse et on apercevait à peine la tache de couleur de ses braies roses perdue dans la verdure ambiante. Elle ouvrait grand ses yeux bleus comtemplant les nuages qui passaient à grande vitesse au dessus de sa tête et qui dessinaient des formes étranges. Elle attendait l'heure du départ....

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Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal.
Patbis2007
Je me dirige vers toi et j'ai un grand besoin de tes bras...
Hum elles partent toutes en ce moment et elles me manquent déjà.
Que les routes leurs soient propices et qu'elles prennent soin d'elles.
Encore une qui va partir (je prendrai soin des colombes )...
et une autre ensuite (j'ai parlé à Iris, tu auras ton chaton )...
Les Sarladaises (et autres périgourdines) ont la bougeotte et
sont très impliquées, je souris à nos moments passés en taverne
à refaire le monde, ou à s'entrainer...
Heureusement, d'autres sont arrivés, bien sympatiques, et bien accueillants et
cela fait du bien de sentir Sarlat si vivante !
Arrivée au noisetier, je pose ma besace, me déshabille... et plonge !
(hum il n'y a vraiment que toi pour redonner la pêche...)

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Miquette
Miquette se rendit au lac, elle avait besoin de calme et de tranquilité.

Oh toi lac, qui m'a accueillit à mon arrivée me vois tu aujourd'hui dépérir.
Je ne comprend plus ce qu'il m'arrive, tellement de joie et aujourd'hui le vide.
Pourrais je un jour m'en relever je ne le pense pas et en ai je vraiment l'envie.
En tout cas très cher lac, sache que même si je devais partir, tu resteras dans mon coeur, un magnifique souvenir.



Puis elle s'assied et regarda le mouvement de l'eau, cette fois elle ne pouvait retenir ces larmes
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Patbis2007
Prête à commencer ma journée de travail parce qu'enfin détendue, je sors de l'eau, m'essuie et me rhabille...
Mon rituel de Bergerac me reprends et je m'assoie sur la berge sors une miche de pain et commence
à grignoter, les hooligans à plume se rapprochant dangereusement pour avoir leur part de pitance...
" Tout doux les piafs, moi d'abord ! J'ai bosser dur pour cette miche, alors je mange et je vous laisse les restes !"
Satisfaite de mon petit discours je déjeune en laissant errer mon regard sur la brume matinale qui t'enveloppe.
Soudain j’entends des pleures... Je laisse un quart de miche à la meute pépiant autour de moi, remballe le
reste et me dirige au son... Quelle n'est pas ma stupeur lorsque j'arrive et reconnais Miq, en larmes, mais pourquoi ?
D'abord je ne dis rien... Je m'assoie près d'elle... Sors mon reste de miche et mon couteau et la partage en deux...
Je tends un morceau à ma voisine et je me lance

" Tiens ma belle, manger est toujours le premier pas vers la guérison des peines... J'étais si heureuse
de te revoir et, je ne sais pas pourquoi, nous ne nous sommes pas retrouvées... Je t'ai bien croisée à l'AJRS,
mais tu étais si concentrée sur ton jeu que ne n'ai pas osé t'aborder... Et maintenant que je te retrouve
enfin tu es en larmes, visiblement dans une grande peine, avec un air dans le regard qui dit
-vous ne me voyez pas, c'est normal, je ne suis plus personne-
Est-ce que je peux te prêter mon épaule pour te soulager et mon oreille pour t'écouter ? "


J'attends sa réponse, angoissée à l'idée qu'elle se replie sur elle-même sous l'effet de la douleur...

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pnj
mail avait entendu parler du lac, alors c'est d'un pas sautillant et non-chalant qu'il gambadait sur les rives.
aly lui avait appris qu'on appellait ça la grève, les bord du lac avec tous ces petits galets mi plat, mi rond.
il en rammassa un , bien plat, bien ovale et prit son élan pour faire un ricochet.

et un , et deux, eeeettt troooiiiiisss.....argfouch.

joli lancé, la pierre rebondit sur la surface comme lui il y a quelque jours quand il est tombé de son cheval.
Jour de chance ou intervention divine, une truite trop curieuse sort la tête de l'eau et bing, ko sur place.


waou, super!

il plonge , nage comme il peut jusqu'a la bête, la saisit de ses dents et revient sur la berge.

j'ai bien fait de venir, je vais direct au marché, merci le lac.

et le voila reparti tout gilleret vers le village.
Patbis2007
Je suis restée plantée là avec mon bout de pain et j'ai attendu... Elle a continué à faire comme si je n’étais pas là... Alors je me suis relevée, ne comprenant pas vraiment son comportement... Mais les comportements idiots faisaient légion ses derniers temps, et avec l'âge, certain ne s'arrangeaient pas !

C'est vrai les insinuations débiles bahhh on y était habitué et ça touchait plus personne, ça aurait pu continuer encore, mais cette violence verbale, cette volonté de sentence mortelle, ce besoin d'exécution NON !

Mon beau lac, ils deviennent tous fous ! Je pense que le côté malsain de certains est en train de ressortir et je trouve ça bien grave. Qu'un petit vieux puisse se permettre de prononcer de telles paroles est scandaleux !

La méchanceté on s'en fiche, les mauvaises langues ne comptent pas, elles se pourrissent d'elles-mêmes, MAIS CA NON !
Toute personne prônant la violence quelle qu'elle soit n'a pas sa place à Sarlat, ici malgré les empêcheurs de tourner en rond habituels, c'est une ville paisible, la violence y est intolérable et je suis choquée mon lac que certains pensent qu'ils peuvent se cacher derrière des masques pour dire de telles choses.

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Patbis2007
La soirée est calme et les rencontres agréables, il est temps pour moi de te retrouver pour le meilleur et non plus pour le pire. La lune est caché, mais tu es toujours aussi magnifique, c'est un privilège de te confier nos vies, nos pensées, nos peines, nos joies...
Ce soir comme hier je suis seule, Iris et Truffe sont très occupés, printemps oblige.

Arrivée près du noisetier, je dépose ma précieuse besace et me déshabille. Ce soir je ne veux pas plonger, je veux sentir mon corps se refroidir peu à peu au contact de l'eau glacée, je veux tout ressentir et tout me souvenir.
Nager dans tes eaux calmes c'est comme se laver de tout, se purifier... C'est rire du ridicule, sourire du compliment, pleurer la perte d'un être cher et jouir de tous les plaisirs.

Je crois que je vais finir par rester à nager toute la nuit si je continue, mais bon il faut laisser la place aux amoureux, aux pêcheurs, aux promeneurs avec leurs chiens et aux enfants... Nous n'avons pas assez d'enfants dans ce village, qui jouent, courent et crient.

Je pense à toi qui est sur les routes et traverses bien des soucis, je pense à toi que je vais peut-être enfin retrouver, je pense à vous qui êtes loin et pourtant si près et si "proches".

Je regarde Sarlat et ses quelques lumières et je me dis que nous avons beaucoup de chance, que nous sommes des privilégiés et qu'il serait temps que tout le monde l'admette et marche enfin dans le bon sens... Celui de la ville qui les distrait, les nourrit, les loge et les protège... Est-ce trop en demander ?

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pnj


C'est à la tombée de la nuit, lorsque les derniers rayons de soleil s'échappaient vers d'autres cieux, que Thaumas décida d'aller se confronter au lac. Le soleil fuyant laissait encore danser quelques reflets argentés, comme des brisures de miroir.

Thaumas s'assit, le regard plongé dans ce fameux lac , un lac qui lui en rappela un autre lointain que sa femme aimait tant. Les promesses faites il y avait si longtemps dans son coeur, des promesses perdues a jamais mais, ce soir là, c'était une promesse à demi honorée qu'il tenait, il était seul...sans elle. Il ne serait plus jamais accompagné de celle pour qui il aurait tout donner, meme sa vie

Leurs souvenirs, leurs baisers, son visage, défilaient sur ce lac, telle une toile vivante, hélas une toile qui ne reflétait que leurs amours passées et mortes à jamais. Ses yeux ne purent retenir le flot de douleur, ce flot d'amour passionné. Il voulut crier sa souffrance, il voulut hurler son manque...il ne le put. Cette séparation l'avait anéanti, même les mots l'avaient quitté.

Son regard triste ne quittait plus la noirceur de l'étendue d'eau. Ce lac, cette nuit là, était comme lui, son propre reflet, sombre, profond et inerte.
Le silence de la nuit comme un écho à lui-même, Thaumas se fondait dans les abîmes d'une tristesse silencieuse.

Il resta assis sur ce rocher pendant des heures. Toutes ses pensées ne s'adressaient qu'à Elle, son Ange devenue demon pour causer sa perte. Puis, il s'allongea sur le dos, ses mains tremblantes soutenaient sa tête, ses yeux n'eurent comme seule destination le ciel. Le ciel, ils le regardaient tous les deux lorsqu'ils étaient éloignés l'un de l'autre, ils y voyaient toujours une étoile...
A cette époque, ces pluies d'étoiles les éblouissaient, des fragments d'Amour...

Malheureusement, cette nuit là, le regard de Thaumas ne croisa pas d'étoile, ses yeux se mêlèrent seulement à l'obscurité des cieux, une mer sombre où l'on ne distinguait plus le ciel de la terre.
Les ténèbres terrestres l'accueillaient. L'éther et le lac s'étaient donnés rendez-vous pour recevoir son âme en peine, son coeur inconsolable.

Il n'avait de cesse de penser à ces promesses, à cet Amour avorté.
Il l'avait aimé par-dessus tout, il aurait donné sa vie pour elle.
En sanglots, il serinait son prénom, telle une incantation.
La passion l'avait devoré un peu plus chaque jour, jusuq'a cette trahison sans nom, cette trahison qui avait failli lui couter la vie. Après avoir tout eu, pouvoir, argent, amour, fonction respect, et aussi un enfant a naitre
Il n'était plus qu' Un gueux solitaire et mélancolique.

Il resta là, assis, des heures durant, ses larmes abreuvant le lac, son désespoir nourrissant les ténèbres qu'il arpentait. N'ayant plus la force de vivre, il devrait, à présent, se contenter de survivre. Sa femme avait été sa vie, sa raison de vivre.Maintenant la trahison qu'il avait subit ne faisait de lui qu'un etre errant dans l'obscurité
Patbis2007
Je cours vers toi mon lac, je trébuche, m'égratigne, tombe, me relève, et tout ça en pleurant...
Rien ne m'avait préparée à ça, non de toute façon jamais rien n'y prépare, et haletante, désemparée, dépassée et endolorie je m'effondre au pied du noisetier hagarde, manquant d'air, manquant tout simplement...
Je jette mon sac et rentre habillée dans l'eau, je ne sens rien, j'avance c'est tout...
Alors je me laisse aller dans tes bras qui m'enveloppent et j'essaie de n'être plus rien, mais c'est encore trop violent, trop brutal, trop inattendu et inconcevable... Et je hurle

Pourquoi ?..............

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