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[RP] Tranches de vie ...Le lac de Sarlat

Phyladelphia
Prés de l'arbre à Ranin



A nouveau David, Zalome et Phyla étaient de retour à Sarlat pour quelque jours
Phyla instala la roulotte a sa place habituel pres de l'arbre à Ranin
Elle y retrouva l'endrois du feu de camps et des troncs pour s'assoir et festoyer jusqu'a plus d'heure
Elle respira un grand coup avant de commencé l'instalation du camp...
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http://laroulotte.xooit.fr/index.php
Drine65
Drine arriva au lac,

elle avait besoin de reflechir a sa vie a Sarlat, a ses amours ratés, elle soupira ne retira pas ses vetements et s enfonça dans le lac en soupirant.
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Bellealyssa
Alyssa se promena près du lac quand elle vit Drine s'enfoncer dans le lac..
Alyssa courrût le plus vite possible et rejoingna sa coupine dans l'eau..



Dis donc toi ma coupinette.. Tu me fais quoi là.. Je vais te botter les fesses moi.. Allez vient au bord du lac et on va parler..
Alyssa prit les mains de sa coupine et l'entraina hors de l'eau.. Tiens regarde là, on va être bien toutes les deux, un joli coin de verdure ensoleillé, ca nous sèchera en même temps..
Alyssa invita sa coupine à s'asseoir.. Allez raconte moi tout..
J'aime pas te voir comme ça et tu sais que je suis là, alors pas de bétises de ce genre..


Alyssa regarda sa copine et espérait qu'elle allait se confier..
Patbis2007
J'avais couru dans tous les sens toute la matinée et une partie de l'après-midi, mais désormais il était temps que je rentre chez moi.

J'avais convié Mari à habiter à la maison avec Lilou et moi, tant que l'enfant ne serait pas né et Zoltem arrivée, nous pouvions logées toutes les trois ensemble sans problème.

Lilou ma sauvage, toujours aussi discrète, brillait par son absence, mais je la savais présente, à quelques petits signes, mes toiles et mes pinceaux qui circulaient de l'atelier vers sa chambre, ma réserve de thé, ramenée par Al, qui baissait à vue d'œil, et le garde manger toujours bien rempli, moi qui n'y pensais pas vraiment...

Me voilà arrivée à la maison, Mari sûrement en train de se reposer quelque part je file à pas de loup dans ma chambre et me prépare une besace de choc : linge pour m'essuyer, savon, huile de massage, gourde vide, miche de pain, tige d'amadou au cas où je resterai plus tard que prévu, un peu de jambon fumé, des vêtements propres.
Après être passée à l'écurie pour voir si les chevaux allaient bien, je file en direction du lac...

Arrivée sur mon sentier préféré, je vois au loin Aly se précipiter à la poursuite de Drine qui était dans le lac toute habillée. Incapable de courir désormais, c'est à marche forcée que je me précipite pour les rejoindre... Le temps que j'arrive, les voilà toutes les deux assises, Aly parlant et Drine les yeux dans le vague, prostrée !

Peuf peuf... non mais ça va pas non ! Peuf peuf... qu'est-ce que tu voulais faire là ??? Peuf peuf... Heureusement qu'Aly est arrivée, j'aurais rien pu faire !!! Peuf peuf...

Je prends appui sur l'arbre et les regarde à la fois rouge d'avoir essayé de courir et de colère...

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Drine65
Drine regarda Aly,

je ne peux plus vivre Aly j ai le coeur detruit, Drine fit un triste sourire a Aly,

je dois me reconstruire mais je sents que ça va etre long tres long je vais avoir besoin de vous mes amis.

Drine soupira et regarda l horizon, elle aperçu Pat, sa Patou adorée

Pat tu es rentrée viens m embrasser, viens que je te raconte, viens.....
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Barde_julien
Barde qui avait suivi la saine depuis le début du haut de son arbre soupira

Ahhhh .... je m'en doutais ...

Barde sauta et rejoignit drine,aly et pat

Drine la leçon qu'on t'as donné ne t'as pas suffit ?

Et si t'etais morte qui j'entraînerait moi ^^ ?
Coxwen
coxwen passa faire un tour au lac pour prendre un peux l'air il marcha tranquillement ou au loin il cru voir son aly il couru très vite pour la rejoindre il la regarda toute trempée ainsi que drine et a coté pat et barde étaient la également

qu'est ce qui se passe mon cœur pourquoi vous êtes trempée toutes les deux

cox attendit une explication et retira sa chemise pour la mettre sur son aly adorée
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Patbis2007
Commençant à me calmer, je me décide à m'installer près de Drine, lui prends la main et lui fais les gros noeils

Je rentre à Sarlat et c'est pour voir ça ! Non mais ça va pas non ! Moi les tentatives de suicide je supporte pas donc tu vas reprendre tes esprits et me dire ce qui se passe !

Avant qu'elle n'ait pu me répondre Barde et Cox arrivent et s'installent avec nous. Je me dis que Sarlat est vraiment en crise, dire que l'on faisait la fête il y a encore deux ou trois semaines, et maintenant c'était n'importe quoi !

Tenant toujours la main de Drine je regarde ce lac que j'aime tant et qui est si important pour nos villageois, amoureux, fripouilles, sirènes... etc. Je me demande juste si cette folie va encore durer longtemps, si chacun va retrouvé ses esprits...

Je regarde Drine et attends ses explications...

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Drine65
Drine regarda Pat et fini par lui parler :


Pat, je n en peux plus je fais tout de travers, ma vie me file entre les mains je n ai plus d envies je n ai plus d espoir je veux en finir

Drine se retourna et vit tous ses amis autour d elle.

Elle se sentie génée tout d un coup du sentiment de solitude qui l avait traversé, elle n était pas seule elle avait des amis et c est ce qui etait le plus important pour elle.

Elle retrouva le sourire et fit un bisou a chacun d eux en les serrant tres fort contre son coeur.
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Patbis2007
Je l'écoute, cela remue quelque chose en moi, un vague souvenir, une lointaine envie qu'une merveilleuse nouvelle avait balayé, je ne comprends que trop ce que Drine peut ressentir, mais je ne sais que trop également comme c'est dangereux et surtout si injuste !

Ma douce, je sais que la vie peut être parfois très cruelle, que tu as beau regarder de tous côtés, tu ne vois pas d'issue, d'échappatoire, mais pourtant c'est faux. La souffrance, la lassitude, le jugement des autres nous aveuglent, si tu laisses faire alors ils auront gagné !
Tu n'as de devoir, de comptes à rendre, qu'envers toi-même ! Le reste n'est que faux-semblants, conformisme, modes de vie étriqués... Tu es un électron libre, donc forcément plus fragile, plus souvent victime du jugement des autres, parce qu'incomprise...

Rappelle toi une chose, ce que les gens ne comprennent pas leurs fait peur ! Si ton cœur souffre pour le moment, il finira par guérir, je te l'accorde parfois cela peut mettre bien plus de temps que l'on ne le voudrait, mais tu le sais mieux que personne... "Ce qui ne vous tue pas, vous rend plus fort !"
Je souris...

Un peu lasse, je m'allonge dans l'herbe et regarde le ciel, ce truc que l'on fait quand on est gosse et qui nous fait voyager... Un truc simple... Revenir à l'essentiel !

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Barde_julien
Barde qui pensait que ce qui devait être dit était dit

Il se retourna les mains dans les poches et rentra chez lui

Il se retourna une dernière fois et dit :

Et que l'on ne te reprennes pas Drine !

Il continua son chemin tranquillement
pnj
Grillon n'avait encore jamais vu le lac. Elle vivait à cent à l'heure depuis sa récente arrivée, cueillant ses légumes, courant à la mine chaque matin, s'endormant comme une masse en fin de journée. Et là, en ce chaud début d'après midi, alors que quelques heures de repos se présentaient à elle, elle décida enfin d'approcher cette grande étendue d'eau qu'elle voyait miroiter de la fenêtre de sa chambre.

Sarlat, écrasée sur un soleil de plomb, était déserte. Grillon traversa la grande rue principale, se fraya un passage entre deux petites maisons et s'engagea sur le sentier qui menait aux berges. En chemin, elle croisa un jeune homme pensif qu'elle n'avait encore jamais eu le plaisir de rencontrer. Elle le salua de la tête, le gratifia d'un sourire et tout deux continuèrent leur route.

Le lac était immense, d'un bleu très sombre. Sa surface immobile, à peine effleurée par une brise légère, laissait voir en transparence un monde sous marin peuplé d'algues et de particules en suspension. Grillon regarda autour d'elle : à gauche, sur la rive, un groupe de jeunes gens entourait fébrilement une femme prostrée, à droite, une petite pente de terre friable menait sur une "plage" de galet.

Intriguée mais ne désirant en rien s'immiscer dans ce qui semblait se jouer entre les quelques personnes rassemblées, elle descendit la petite butte et se retrouva vite les pieds dans l'eau, à humer un parfum à la fois rance et doux d'herbes marines et de poisson frais.
Patbis2007
[LE LENDEMAIN]

La veille, Drine avait repris ses esprits et nous étions tous repartis en tavernes...

Cette nouvelle journée avait été étrange, un peu entre deux eaux... Je n'avais pas trainé en taverne bien tard, j'étais rentrée à la maison pour dîner avec Lilou. Après son départ, je me suis mise à tourner en rond et rien ne me satisfaisait, sachant qu'il ne me restait plus qu'une chose à faire, je suis sortie... et me voilà !

J'aime cette heure tardive, les pêcheurs sont tous rentrés, et j'ai l'impression de t'avoir tout à moi... Je souris, toujours aussi possessive avec toi mon lac, il faut que j'en profite, encore quelques jours et ensuite... A part quelques sauts de grenouilles sur mon passage, tout est très calme, quelques bruits de la nuit, le clapotis de l'eau, les rumeurs des tavernes face au lac. Plus je m'avance, plus c'est le silence, tout ce qu'il me faut, juste un peu de calme... et les étoiles...

Deux yeux brillants dans la nuit, à travers les roseaux, je souris, comment fait-il pour toujours savoir quand j'arrive. Je le regarde venir à ma rencontre, plutôt calme, c'est étrange cet instinct, depuis que ma grossesse se voit il ne me saute plus dessus comme avant, il est beaucoup plus doux, mais toujours aussi câlin... Salut mon beau Je lui gratouille le cou et continue d'avancer sur le sentier...

Me voici rendue dans mon endroit préféré, les saules d'un côté et le noisetier de l'autre, que de souvenirs... Peut-être un jour aurais-je également des souvenirs coquins ici, ou du moins amoureux... J'enlève mes chausses et mes bas, retire ma jupe, m'avance jusqu'au bord. Pointant le bout de mon pied dans l'eau je frissonne, elle est déjà bien fraîche, pourtant avec le soleil de plomb qu'il y a eu aujourd'hui... Je rebrousse chemin et finis de me déshabiller.

Te rejoindre mon lac m'a toujours été salutaire, même dans les moments difficiles, et après tout je te dois le bain de minuit de mon baptême, celui que je n'ai jamais pu prendre... Je me glisse dans l'eau, tremblante de froid lorsqu'elle me recouvre petit à petit et je m'immerge, nageant tranquillement, savourant la caresse de tes bras, allant plus loin encore, m'éloignant du bord. Je me mets sur le dos, baleine solitaire sur ton onde, je regarde les étoiles à travers le prisme des gouttelettes d'eau recouvrant mon visage... une éternité... quelques secondes... va savoir.

Rappelée à l'ordre par une mâchoire puissante qui m'attrape délicatement le bras, je me remets à nager pour rejoindre la rive... Toujours à veiller sur moi mon beau, toujours... Arrivée sur le bord, je sors frissonnante, et je me frictionne avec un linge, pas de soleil pour sécher nue sur une pierre à cette heure... Une fois habillée, je m'allonge dans l'herbe, sont grand corps chaud blotti contre moi, réclamant papouilles, mon visage enfoui dans sa fourrure, cachant mes l....

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Patbis2007
[Quelques jours plus tard...]

Pleine d'entrain après avoir quitté la taverne de G et Nuage, je repasse par chez moi, prends quelques affaires, mets du pain et du fromage dans ma besace, emporte une gourde de jus de raisin et ressors...

Le soleil étant là, et la matinée ayant bien commencé, une envie très forte d'aller au lac m'avait tenaillée et il était temps de l'assouvir... J'avance sur le sentier en chantonnant, ben oui quand y'a personne je peux chantonner, je casse juste les oreilles aux zozieaux... et en profite pour emplir mon regard de cette vue magnifique. Les reflets sur le lac sont chatoyants, la lumière éblouissante, quelques barques voguent tranquillement à la recherche d'un bon coin de pêche, quelques enfants lancent quelques cailloux plats jouant à celui qui ferait le plus de ricochets... Je souris en les regardants, il y avait longtemps qu'elle ne s'était pas amusée à ça et après tout pourquoi pas... Je m'approche du bord et me mets à chercher quelques cailloux bien plats, trouvant enfin mon bonheur je me penche oubliant mon état et manque de basculer. Arf, je crois que je reprendrai ce jeu après mon accouchement, je n'ai plus la même souplesse ! je ris de mon ridicule et repars sur le sentier...

Pas de traces de Truffe ce matin, c'est vrai que nos rencontres sont plutôt nocturnes, il n'aime pas trop la foule... Un peu déçue néanmoins de ne pas le voir, je continue et arrive enfin à ma crique habituelle, heureusement déserte et plutôt à l'abri des regards... Posant mes affaires je commence à me déshabiller vérifiant que personne n'est dans le coin... Une fois prête, je me dirige vers le bord et trempe mon pied, frissonne et rentre dans l'eau d'un coup brrrrrrrrr elle est glacée encore à cette heure !!!! Nageant le plus rapidement possible pour lutter contre le froid bon d'accord c'est pas très rapide en ce moment mais bon... On fait ce qu'on peut hein !!!! Je retourne sur la berge, sort de l'eau et me couche sur la pierre plate pour me sécher au soleil...

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pnj
Grillon avait toujours eu une peur bleue de la baignade. Ces grandes étendues flottantes, cachant un monde sous marin verdâtre où pataugeaient toutes sortes de bêtes dangereuses la glaçait d'effroi.
Et pourtant il faisait si chaud en cette fin d'après midi de Juillet, que la jeune fille, sortant de la mine exténuée, trempée de sueur, ses haillons lui collant au corps, décida de filer droit vers le lac pour y tremper ses membres raides et fatigués.

Elle descendit le chemin doucement, comme dans une sorte de ralentit, les coups de pioche résonnant encore dans sa boite crânienne. Le bassin scintillait sous le soleil, tel l'immense miroir d'Aristote. Y fixer son regard était impossible.

Arrivé sur les berges, Grillon les longea, en quête d'un endroit tranquille loin des regards indiscrets. Une petite rive pentue attira son attention : entourée de grands bouleaux touffus, elle était pratiquement invisible.

La jeune fille se dévêtit en vitesse et plongea son gros orteil dans l'eau. Elle poussa un soupir : c'était parfait. Elle attacha ses cheveux en un petit chignon improvisé et, faisant abstraction de la vase glissante et répugnante sous ses ses pieds, elle s'immergea jusqu'à la taille. Rien ne pouvait lui faire plus de bien : c'était une libération, un bien être absolu. Elle ne s'aventura pas plus loin, malgré son envie presque vitale d'y entrer toute entière : elle ne savait pas nager et ne prendrait pas le risque d'une noyade aujourd'hui.

Elle resta donc ainsi, debout, au milieu des animalcules en suspension et des algues rances, et ce pendant de longues minutes.
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