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[RP] Tranches de vie ...Le lac de Sarlat

Miquette
Elle prit la bouteille et y goutta
C'st vrai qu'il est bon meme tres bon..

Citation:
- Miquette, je me trompe peut être, mais je te trouve bien soucieuse. Un souci te mine on dirait. Veux tu m'en parler ?


Oui enfin ce n'est rien...

Elle se rechauffa aupres du feu
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Yug78
Sentant bien qu'il avait deviné juste mais qu'elle ne désirait pas en parler. Yug s'abstint donc de poser des questions et s'abima pensivement au spectacle des flammes devant lui. Puis reprenant un autre sujet, Yug reprit la parole:

- Miquette, je n'ai jamais eu trop l'occasion de te le dire, n'était malheureusement pas assez présent pour cela. Mais je profites de t'avoir prés de moi en cet instant pour te dire que j'avais grandement apprécié notre collaboration lorsque tu étais maire et moi lieutenant. Peu de gens l'ont su mais j'avais trouvé notre binôme très efficace.

Reprenant une gorgée de vin, il remit de l'ordre dans ses idées et continua:

J'ai également a appris à te connaitre, à apprécier ta présence et ta personnalité. J'en dis peut être trop. Mais j'aime les choses clairs et je deteste les non dit. Je ne sais pas ce que tu en penses et te demandes pas de me répondre, mais tenais tout de même à profiter de cet instant d'intimité pour te dire tout cela.

Ayant fini, une autre gorgée et il tendit la bouteille à une Miquette certainement trés étonnée par ce qu'elle venait d'entendre et qui ne pensait pas à prendre des mains la bouteille que Yug lui présentait.
Celui ci quand à lui avait reporté son attention au feu de bois.

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Miquette
Miquette écouta Yug avec attention.
Elle le regardait les larmes aux yeux, caché par l'humidité du lac.


J'ai aussi apprecié travailler avec toi.
Te concernant...
rougit... j'aimerai te connaitre mieux...

Le regardant, elle prend la bouteille et boit une gorgée. Puis elle pose sa tête sur son épaule, et profite du feu.
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Yug78
Recevant bien plus qu'il ne l'espérait, yug se risqua à passer son bras derrière le cou de Miquette et posa sa main sur son épaule et la serra contre lui. Puis il l'embrassa tendrement et celle ci se laissa aller plus prés de lui.
Le feu les réchauffant, ils s'endormirent l'un contre l'autre dans la chaleur du feu et le doux clapotis du lac prés d'eux.

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Jonquiere
Bien caché, Jonquière avait observé le lac. Il avait vu de loin des gens s'y baigner et se faire un feu. Profitant maintenant de la nuit, un peu avant l'aube, il s'approcha de l'eau. Il retira ses lambeaux puis s'y glissa lentement. Elle était très froide. Son corp se crispa à son contact. Il était frèle et sale. Il se plongea complètement sous l'eau.

Il enleva la terre et la crasse qui s'était accumulé durant ces longues journées à extraire l'or de la mine. Il sortit du lac. La lune était très claire et lui tenait compagnie. Il aurait bien aimé voir celle qu'il avait rencontré plus tôt dans la journée. Elle lui avait appris l'existance de cet endroit. Il se sécha puis s'alongea sous son buisson histoire de récupérer un peu. au moins, la prochaine fois qu'il rencontrerait des gens, il serait propre.
Cerise00
Cerise venait de passer une agréable soirée avec son ami Edou qui devait malheureusement partir cette nuit elle n'oubliera jamais cet ami, des bons moments passés ensemble à rire, à parler, sans oublier la grande complicité qui les liaient.. Sur beaucoup de point ils étaient d'accord.. Tu me manqueras mon Ami.....

Cerise quitta la taverne préférant laisser ses deux amis profiter l'un de l'autre en amoureux, et de plus le coeur de Cerise n'y était pas ce soir..

La nuit était là depuis longtemps, un léger vent soufflait sur Sarlat.. Cerise marchait dans les ruelles du villages les larmes coulant sur son visage.. Elle se dirigea vers le lac, cet endroit si triste ou elle avait dit au revoir à sa cousine...

Cerise s'approcha du lac, la lune se reflétait dans celui ci, elle se sentait attirée par ce lac... Comme s'il l'appelait... Allez savoir pourquoi ? Cerise retira ses bottes et avança vers le lac.. Elle avait de l'eau jusqu'aux genoux..Elle pensa que si elle avançait encore et encore elle disparaîtrait sans que personne s'en aperçoit........... Mais........... Décida de longer le bord du lac les pieds dans l'eau.. Quand elle vit un arbre sur sa Gauche elle s'en approcha..

Cerise se laissa glisser le long de l'arbre pour se mettre au sol, elle replia ses genoux sur elle et les serra avec ses bras.. Elle regarda l'horizon, les larmes coulaient de plus en plus sur les joues de Cerise...

Elle se sentait si seule, si abandonnée, si......

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Patbis2007
Ce n'était pas encore l'aube, mais il était temps... Sortant de la maison le plus discrètement possible, après être passée embrasser mes amours endormis, je traverse l'avenue et vais trainer au port...

Il faudrait que je revienne pour nettoyer la barque, la pêche a été bonne hier, avec la mine, les écuelles ont du mal à se remplir, et ce soir, une fois n'est pas coutume, tout le monde pourra manger à sa faim...

Je prends le sentier habituel, m'attendant à me faire sauter dessus par Truffe à tout moment mais rien... Bizarre... J'avance un peu inquiète, avec tout ce qui traine en forêt, je m'attends toujours à ce que des traqueurs de loups, et autres malfaisants, s'attaquent à lui.

Une fois passé les roseaux séparant les deux criques, j'arrive à la crique aux saules et je m'arrête, interdite ! Truffe est là, couché contre une jeune femme que je n'identifie pas sur le moment, malgré le clair de lune, au pied du noisetier.
J'ai un moment de douleur intense, déjà que je n'arrivais pas à revenir ici, me voilà avec des visions. Aly ? C'est toi ? Pour moi cela ne fait pas de doute, Truffe ne se laissait approcher que par Aly, alors le voir coucher là, vautré contre une jeune femme, me fait me dire que je suis en train de devenir folle...

Essayant de reprendre mes esprits, je m'approche et Truffe se lève d'un coup, venant me faire la fête le plus naturellement du monde, comme si cette situation n'était pas extraordinaire... Arrivée à la hauteur du noisetier, je me rends compte que la personne est endormie, et n'a absolument pas la notion de ma présence. Surprise, je reconnais Cerise... Mais que fait-elle ici ? Elle ne dort plus chez Cox ?

Ne sachant si je peux la réveiller, je fais signe à Truffe de rester près d'elle et m'éloigne un peu pour me déshabiller. Le spectacle de mes horribles cicatrices pourrait lui faire avoir une crise cardiaque si elle se réveillait maintenant, inutile de la traumatiser dès le début de la journée...

Je m'éloigne encore et pose mes affaires sur la pierre plate, frontière aléatoire entre la crique et les roseaux... Je sens un picotement que je reconnaîtrait entre mille, quelqu'un est là, en plus de nous trois, malheureusement, vu le sens du vent, Truffe n'a pas identifié la présence de l'intrus. Je retourne à la pierre, prends ma petite dague entre le dents, et prise d'une soudaine intuition, je la repose en souriant...

Me mordant la lèvre pour ne pas parler, je range la dague et sort de ma besace un pain de savon que je pose bien en évidence... Je murmure si quelqu'un ressent le besoin de se laver avec ce savon, qu'il le fasse !

J'éclate de rire malgré moi et plonge bien décidée à faire mes longueurs habituelles. Quoi que rien n'était habituel aujourd'hui, la présence de Cerise et, il me semblait bien le deviner, ..... Celle de Jonquière....

La vie est étrange parfois...

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Vonafred
Revoir le lac...
Louis Vonafred n'était pas revenu depuis ce qui lui semblait être une éternité...il arpenta au pas la berge nord du lac profitant d'un temps exceptionnellement doux...
Un sourire, il décide d'une baignade improvisée...


-Yeaaah, comme au bon vieux temps vieille banche...
Il lança sa monture dans l'eau, l’éperonnant vivement.
Le destrier se rua dans l'eau sans ménagement.
-Taïaut mon beau...
L'eau atteignit rapidement l'encolure mais la bête nageait sans se démonter.
Cramponné à sa criniere, le capitaine riait aux éclats tout en encourageant l'animal.

La rive opposée n'était plus très loin, ils l'atteignirent sans encombres...
Un feu brula rapidement, le jeune seigneur se dévêtit prestement et s'allongea goutant la douce chaleur des flammes du brasier...


-Qu'il est bon de te retrouver mon lac...
Il s'assoupit tranquilement, le cœur léger.
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CANA,au service du Périgord Angoumois.
Cerise00
Cerise regardait toujours l'horizon, et ne pouvait s'empêcher de pleurer.. Sa vie n'était que déceptions sur déceptions, elle se demandait ce qui la retenait la.. Elle ne savait plus à qui faire confiance, ou était les amis que sa cousine lui avait parlé.. Elle ne les trouvait pas... Tout en se ressassant ca une bonne partie de la nuit Cerise avait réussi à s'endormir..

La nuit venait de se terminer, Cerise dormait tout le temps, mais elle qui avait frissonné toute la nuit sentait un peu de chaleur au près d'elle.. Elle pensa les rayons du soleil, pfff non pas à ce moment de l'année, elle ouvrit légèrement les yeux, elle regarda cette présence à côté d'elle.. Elle insista et reconnu truffe.. Se redressa..

Et bin que fais tu là? Ma Pat doit te chercher partout.. Elle lui fit quelques papouilles puis regarda autour d'elle.. Elle aperçut une personne dnas le lac, cerise se leva et essaya de voir si c'était sa Pat... Mais bon avec le jour qui se levait Cerise avait du mal à voir les traits de cette personne dans le lac..

Elle décida de se rasseoir et continua de faire des papouille à Truffe.. Et les larmes coulaient à nouveau... Cerise savait qu'elle devait se ressaisir.. Mais toute cette déception accumulée elle n'en pouvait plus..


Et après on lui dit bats toi !! soit forte !! Mais la Cerise ne pensait qu'à une chose disparaître... Et laisserait aucun vide pour personne... Il faut arrêter de lui faire croire l'inverse.........

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Patbis2007
L'aube pointait, il était temps que je sorte de l'eau, nager sans Truffe m'avait fait bizarre, mais bon... Depuis le jour où il m'avait choisie, je m'étais habituée à ne le partager avec personne, mais c'était moi qui lui appartenais, pas le contraire...

Lorsque je me rapproche de la pierre plate, le pain de savon a disparu. Je souris, étonnée qu'il ne m'ait pas rejointe dans l'eau, une soudaine timidité peut-être... Je sors et m'essuie avec un linge sorti de ma besace, je range mes accessoires et m'habille... lentement... consciente du regard brulant qui ne me quitte pas...

Attrapant ma besace et la basculant par dessus mon épaule, je quitte la lisière des roseaux et me dirige vers le noisetier. Cerise est réveillée et Truffe accoure à ma rencontre, sautillant à son habitude comme si il était encore un jeune louveteau fou... Je souris à ses frasques comme toujours, et je m'adresse à Cerise.

Bonjour toi ! Tu ne m'as pas l'air très heureuse, que se passe t-il encore ? Pourquoi n'as-tu pas dormi à la maison auprès de Cox ? Pendant que je la regarde en coin, me demandant ce qui pouvait la mettre dans cet état, je ramasse du bois et prépare un feu et m'assieds près d'elle...

Pour moi tu sais, à part ceux que je partage avec les enfants, à cet instant très précis, c'est le meilleur moment de la journée. Je viens de nager, je me fais un feu et je sors de ma besace les gourmandises que j'ai voler dans le cellier...


Joignant le geste à la parole, je sors un cake au noix, une gourde de lait, des pommes du jardin et quelques châtaignes grillées de la veille...

Je la regarde avec un grand sourire, t'as pas faim ?

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Cerise00
Cerise papouillait Truffe quand son amie Pat apparu et son jeune loup alla à sa rencontre lui sautant dessus..

Citation:
Bonjour toi ! Tu ne m'as pas l'air très heureuse, que se passe t-il encore ? Pourquoi n'as-tu pas dormi à la maison auprès de Cox ?


Bijour ma Patoune !! Bin je suis très triste en ce moment je ne vais pas te le cacher.. J'accumule déception sur déception.. Beaucoup me déçoivent si tu savais..Mais bon je vais pas m'étaler... Passons..

Et toi comment vas tu ma Belle? et les ti monstres ca pousse?
lui sourit de toutes ses quenottes...

Elle regarda Pat ramasser du bois, puis je fis de grand n'oeils en voyant toutes les bonnes choses que Pat sortait de sa besace.. En plus Cerise n'avait pas mangé la veille, en touchant son ventre on pouvait y entendre quelques tites grenouilles.. et d'un coup entendit les mots magiques.. t'as pas faim ?

Lui fit un sourire de gourmande... OH que siiiiiiiiiiii !! BEAUCOUP FAIM..

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Jonquiere
Jonquiere avait entendu du bruit. Il avait observé puis c'était une silhouette féminine. D'ou il était, il ne pouvait bien la discerner. Il l'entendit dire quelque chose mais il ne comprit pas très bien jusqu'au moment ou elle prononça son nom. C'était bien Pat. Il s'approcha furtivement. Elle commençait à nager. Il récupéra le savon puis retourner se cacher.

Il resta immobile plus près de l'eau. Il espérait pouvoir l'observer. Il se demandait si son élégance était vraiment le résultat du travail de sa tisserande.

Lorsqu'il la vit sortir de l'eau, il se sentit mal. Il ne pouvait pas l'espionner. C'était plutot déloyal. Il arrêta de l'observer puis fila sans se faire remarquer.
Patbis2007
Le picotement avait cessé, il n'était pas sorti de sa cachette, la présence de Cerise sans doute, ou celle de Truffe...


Citation:
OH que siiiiiiiiiiii !! BEAUCOUP FAIM..


Je regarde Cerise et sa bouille de Sarladaise la plus gourmande que je connaisse et j'éclate de rire

Hmm, j'aime bien ce qui se passe en ce moment... les jeunes Sarladais sortent enfin de la mine et viennent en taverne, mon frère et ma belle-sœur se montrent à nouveau et viennent d'ouvrir leurs échoppes, Max est de retour comme sa sœur, et toi tu as ton air de "je vais mourir si je dois attendre une seconde de plus pour avoir du cake au noix !!!"

Ma belle, quels que soient tes soucis, tu sais que je suis là, je n'ai jamais fait faux bon à mes vrais amis. Les autres m'avaient trahi et la vie n'étant que justice, à fait son œuvre...
Dis-toi que ceux qui te font du mal, la vie se chargera d'eux également...

Je suis là, et je serai toujours là... Bon prends ce morceau de cake par pitié on dirait que c'est moi que tu vas manger !
Je lui tends une part de cake et lui souris. Sortant un godet que je tends à Aly, j'y mets une bonne rasade de poire venant de la distillerie de Lubna.

Au cas où tu aurais un peu frais.... Réchauffement garanti !!!

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Patbis2007
Quelques jours plus tard...

Le lac me manquait, il était temps que je retrouve ce moment privilégié que je partageais seule avec Truffe... Le soleil a du mal a passer les nuages, mais peu m'importe, cela n'a vraiment que peu d'importance lorsque l'onde transparente vous appelle... Les enfants dormaient encore et de toutes façons Mélie veillait.

En passant près du port, Iris me rejoint, agréablement surprise, je souris. Il y avait longtemps qu'elle ne m'avait pas accompagnée au lac, toujours à jouer avec les enfants et son petit, la voilà qui reprenait nos vieilles habitudes hivernales.

Le chemin traversant les roseaux était plutôt boueux, j'enlève mes chausses, inutile des les gâter et puis marcher pieds nus dans la gadoue, me rappelait mon arrivée à Sarlat, en plein hiver et ma solitude de l'époque avec une chatte et un loup comme seuls amis...

Tout avait bien changé depuis, et heureusement d'ailleurs, j'avais appris à communiquer avec les autres au paradis des anges et ensuite petit à petit j'avais volé de mes propres ailes, pas tout de suite bien sûr, il y avait eu socrate épouse moi, au bon coup, l'auberge du sanglier et Bergerac évidemment ! Je souris en repensant à mon deuxième village refuge, oui un village si calme mais si chaleureux...

Boueuse jusqu'aux genoux, j'arrive à la crique aux saules et Truffe courre jusqu'à nous, batifolant avec Iris... J'éclate de rire en les regardant se donner à coeur joie à leurs retrouvailles et je rejoins le noisetier, toujours là, fidèle... Je me déshabille, frissonnante et pince les lèvres en rentrant dans l'eau. Une seule chose à faire... plonger !

Faire quelques longueur avant de retrouver les enfants et d'aller à la mine...

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Jonquiere
Jonquière avait travaillé à la mine sans relâche. Il n'était pas revenu au lac depus qu'il avait trouvé un savon. Il revenait de taverne où il avait croisé Cerise. Il était soucieux et déçu. Lorsqu'il arriva tout pret de l'eau, il se rendit compte que quelqu'un nageait. Ouff, quel courage. L'eau ne doit pas être chaude.

Il entreprit d'allumer un feu avec les brindilles et les bouts de bois qu'il récupéra autour de lui. Au moins, il aurait une source de chaleur pour se faire sécher. Le feu commença à crépiter. Il regarda vers l'eau puis s'accroupit devant le feu pour se réchauffer.

Seulement vêtue de haillon noicis par le dur labeur à la mine, il ajouta du bois au feu qui grandissait.
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