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[RP] Tranches de vie ...Le lac de Sarlat

Xyno


Tendit qu'il s'était allongé, il apercut une lame passer au dessus de sa tête puis d'un seul coup il reconnut la voix de Liselotte.


Holaaaa! Qui va là? Que faites vous ici vous? Faut pas s'gê.....

Ne répondant pas mais sortant la tête avec prudence avant de se la faire couper. Il lu ifit un grand sourire. Voyant le visage de Liselotte changé de teint à sa vue, il sourit.


Content de te voir Liselotte, m'a manqué de pas te voir sur les chemins. Je t'ai pas réveillé au moins?

Se faisant tirer par la manche, il ne résista pas et rejoigna avec Liselotte, Thib qui ouvrait ses yeux prêt du feu. S'asseyant, il prit le pain tendu, mordit dedans à pleine dents.

Mmh chééé qu'il est chrolement bonch che pain!!merchi lichelottche

Prenant ensuite une gorgée de liqueur de châtaignes, il repris un peu de couleurs sur le visage. Terminant de dévorer son pain, il regardait ses deux amies, heureux de les retrouver après cette mésaventure.


Non mais dis donc! C'est quoi ça de bouler hors de la chariotte en pleine nuit....

Euuuh, ben si je pouvais te répondre j'te le dirais bien mais alors la euuh... ben je sais pas. Me suis réveillé sur le chemin, un peu perdu, p'tre que suis tombé de la carriole.

Haussant les épaules, il les dévisagea.

Enfin comme d'ab j'ai la tête ailleurs et le réveil est douloureux. Et pusi je me suis demandé si toutes les deux vous étiez bien arrivé aussi. Il me tardait de vous revoir pour m'en assurer quand j'ai reconnu ton pigeon, j'ai été plus que soulagé.

S'allongeant sur le ventre, les flammes scintillant sur son visage, il regardait ses deux amies à tour de rôle, comme si une éternité les avait séparée.
Nattascha
d'un autre côté du lac... Là où les gens pêchent..


la nuit avait été longue et fatigante, mais il fallait se réveiller une fois pour toutes pour pouvoir envisager de travailler un peu, et en tout cas pour ressembler à autre chose qu'une bohémienne échevelée.
vrai qu'elle avait une sacrée tignasse Natt. elle l'aimait bien sa tignasse, mais elle demandait des soins, et là, yavait urgence.

des gens pêchaient un peu plus loin, et natt mit sa main en visière pour se protéger les yeux du soleil qui bien qu'il fasse encore frais, dardait ses rayons sur les rives du lac.
elle aperçut quelques pecheurs dont un qui attira particulièrement son attention. Mais oui, c'était bien Oengus qui avait délaissé son champ de légumes pour venir se détendre en attrapant queques poissons.
sans vouloir le déranger aucunement, elle s'approcha cependant non loin de l'endroit où il se trouvait.
elle se sentirait plus en sécurité pas trop loin de lui si toutefois ses ablutions attiraient quelques regards ou convoitises masculines.
soupirant parce que pas vraiment réveillée, et apréhendant malgré tout la fraicheur de l'eau, elle posa toutes ses affaires au bord de l'eau et entreprit de se déshabiller rapidement.
après une grande inspiration, le pain de savon dans la main, elle courut jusque dans l'eau en s'éclaboussant pour ne pas être trop saisie, puis se laissa tomber dans l'eau.
WAOUTCH fut le seul son qui sortit de sa bouche à cet instant. ce qui exprimait bien l'effet de l'eau froide sur elle.
il ne fallait surtout pas rester sur place à geler.. elle se lava rapidement de la tête aux pieds, balança son pain de savon sur la rive et joueuse, comme à son habitude, décida d'aller faire une surprise à Oengus..
il pêchait ? il allait trouver au bout de sa ligne un poisson hors du commun.
elle vérifia la direction à prendre et doucement se laissa glisser sous l'eau pour rejoindre en nageant l'endroit où il se trouvait.
quelques mètres avant de l'atteindre, elle sortit à peine sa tête de l'eau, suffisamment pour pouvoir le voir et scruta la surface de l'eau pour voir où sa ligne plongeait.
elle replongea doucement sa tête et rejoignit l'endroit en question... chercha sous l'eau ce qui ressemblait à un fil venant de la surface et le trouva. en souriant, elle l'attrapa entre ses doigts et donna quelques coups de semonce à la canne du pêcheur pour le faire réagir.

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pnj


Oengus était allongé dans sa barque, il fixait le ciel et essayait de dessiner le visage de Natt dans les nuages.
Le soleil l’éclaboussait de sa chaleur et il se dit que cela allait le faire brunir quelque peu. Il était bien dans sa barque mais elle lui manquait déjà.
Il vit le visage se desiner tout doucement, il se laissa aller alors à une douce somnolence, il avait bien entendu du bruit.
Mais il pensa que ce devait être un poisson qui avait sauté hors de l’eau et il préféra plonger dans des songes interdits.
Quand tout d’un coup, il sentit qu’il avait féré un poisson, et à la vitesse où sa bobine de fil se déroulait il sut que ce devait être une belle prise.
Il leva la tête et son visage s’illumina en apercevant sa Belle.

Salut toi !

Il constata qu’elle était nue

Et beh ma coquine… Il regarda autour de lui pour s’assurer que les autres pécheurs étaient loins.

Bouge pas, j’arrive !

Oengus retira ses fripes et se laissa glisser dans l’eau.

Arf, elle est gélée

Puis il se dirigea vers Natt. Il plongea la tête sous l’eau et lui attrapa les hanches, ensuite il l’embrassa au niveau du ****.
Il remonta vers la surface en soufflant des bulles sur le ventre de sa belle.
Puis une fois la tête sortie de l’eau il chercha sa bouche et commença à lui mordiller les lèvres.

Puis dans un murmure…Vient on sera mieux sous la couverture dans la barque
Nattascha
bien que l'eau fut glacée, Natt sentit une chaleur l'innonder lorsque les mains d'Oengus se posèrent sur elle.
quand enfin sa bouche arriva à hauteur de ses lèvres elle colla son corps contre le sien et ses jambes se mèlèrent aux siennes pour rester en surface.
elle lui sourit et lui glissa à l'oreille quelques mots qui le firent sourire à son tour.. l'eau était en effet trop froide pour permettre certaines occupations qui semblaient, autant pour elle que pour lui, leur occuper l'esprit.
elle regarda sur la rive ses vêtements et autres petites affaires qui l'attendaient et risquaient de disparaitre aussi vite qu'elles étaient tombées tout à l'heure le long de son corps. Bah peu importait.. on s'arrangerait si tout cela venait à disparaitre.
Se collant tout contre lui elle lui murmura que oui, l'idée de la barque était très bonne et dans un clin d'oeil partit doucement à la nage rejoindre l'embarcation.
bien évidemment, grimper dedans fut quelque peu chaotique pour elle.
bien qu'ayant mangé récemment suffisamment de viande pour gagner quelques bras de fer, la barcasse tanguait du côté de la nageuse lorsqu'elle s'accrochait à son rebord pour y grimper, et la force n'y suffisait pas.
elle laissa donc Oengus bien plus habitué à ce genre d'exercice visiblement, grimper prestement à bord le premier et lui tendit sa main pour le rejoindre.
un rire lui échappa lorsqu'ils se retrouvèrent ainsi, totalement nus dans la barque encore mouvante.
Rire qui se transforma rapidement en chair de poule et en grimace lorsqu'elle prit conscience que oui, ma foi, ça caillait pas mal à cette heure ci quand on avait le corps et les cheveux trempés.
Oengus ne semblait pas mieux loti qu'elle mais, bah c'était un homme, et sa fierté de mâle le faisait garder la tête haute malgré les frissons qui, Natt le voyait bien, parcouraient son corps.
Il avait parlé d'une couverture, alors elle chercha du regard ce fameux lainage qui les protègerait des regards et du froid, et une fois trouvée, l'attira vers elle pour les en recouvrir.
Puis passant ses bras autour du cou de son enflammé Oengus, elle l'attira vers le sol de la barque et l'embrassa tendrement, lui souriant ensuite en lui murmurant "je sens qu'on va retourner à l'eau plus vite que prévu, pas très stable tout ça"
Instinctivement la proximité de ce corps aimé provoqua en elle le besoin de le toucher, de le caresser, et ses mains commencèrent à glisser sur cette exquise anatomie, provoquant chez lui quelques frissons qui, maintenant qu'ils étaient sous la couverture, n'étaient vraisemblablement pas des frissons de froid.
encouragée par le répondant du corps contre le sien, elle entreprit des caresses bien plus appuyées à certains endroits qu'elle savait plus sensibles que d'autres tels que le **** ou les **** (censuré par l'auteur ^^). sa bouche se fit plus insistante aussi, et progressa du visage de l'aimé à d"autres parties de son corps qui réclamaient en cet instant une attention toute particulière, propice à des joies et des plaisirs que seuls deux êtres qui s'aiment peuvent connaitre...

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pnj


Oengus était frigorifié mais les caresses de sa Dame le réchauffèrent rapidement.
Allongé sur le dos, il vit sa Belle disparaître sous la couverture, les événements allaient se durcir. Il eut un tremblement de plaisir à l’idée de ce qui allait se passer, et eut en souvenir une étape d’un certain voyage qu’ils avaient fait récemment.
Il laissa sa douce le dévorer, tout en lui passant la main dans ses cheveux mouillés et lui caressant le dos.
Il se redressa dans la barque afin de pouvoir mieux saisir ses invitations.
Tous ses muscles étaient raides mais pas que ça.
Il souleva la couverture et regarda Natt en plein travail.
Tandis qu’une main descendait vers les ******, l’autre alla titiller un ****. (Censuré par l'auteur)
Se sentant tout à fait d’attaque, il l’invita à s’asseoir à côté de lui pour qu’il prépare son terrain, les ****** de Natt pointaient et sa bouche ne résista pas l’appel. Il fit glisser le ******* entre ses dents et ses lèvres et le fit rouler tout doucement. Sa main entama une descente vers la forêt qu’il commençait à bien connaître, et tel des pèlerins, ses doigts cherchèrent le chemin. Le sentier était humide, Oengus fit remonter son pouce pour qu’il aille caresser le petit mont, tout doucement pour ne pas l’abîmer. Et il laissa un doigt vagabonder en elle…
Nattascha
Natt sursaute, lève la tête, ayant un instant comme l'impression d'être surprise par des tas de regards qui épient leurs ébats..

mais les mains et la bouche d'Oengus se font à leur tour plus pressantes, et les regards alentours disparaissent de son esprit peu à peu. il est difficile de se concentrer cependant sur les flammes qui embrasent son corps tout autant que celui d'Oengus..
doucement, donnant des **** de **** partout sur le corps d'Oengus, elle remonte de sous la couverture jusqu'à son visage et lui prend les lèvres à pleine bouche pour l'embrasser aussi fougueusement que la situation l'incite à le faire.
lentement son **** se rapproche de celui d'Oengus et ses jambes passent par dessus les siennes, pour l'encercler et le garder prisonnier tout contre elle.
d'un mouvement elle prend ** **** ce **** qui ****** et laisse ses ******* se balancer dans un mouvement langoureux.
la barque commence à tanguer dangereusement et ajoute à l'excitation du moment.
elle sent ** **** ce **** qui vibre et se laisse aller à quelques *********** que personne ne peut entendre de là où ils sont, tout en regardant Oengus dans les yeux.
une main s'agrippe à ses cheveux et les ongles de l'autre main s'enfoncent petit à petit dans la peau de son amant, portée par l'extase elle se laisse submerger par les ****** de ******* qui la dévorent.
ses ********** s'********** petit à petit pour transformer cet instant de partage en ********** sauvage.
lentement, mais surement, l'******* monte en elle, jusqu'à atteindre le moment crucial où elle ***** de ****** en posant sa bouche sur celle d'Oengus pour étouffer un peu le bruit.
son corps est parcouru de *********** qui font montre de l'intensité de la ********** et c'est avec ses dernières forces qu'elle continue à le ********** pour lui, pour qu'il vive ce qu'elle vient de ressentir à l'instant.
pnj


Oengus sentit que Natt atteignait le paroxysme. Il sentit également que la barque tanguait dangereusement sous les assauts de sa Dame.
Il se dit qu’ils allaient à la baille si ça continuait comme ça. Mais cela ne l’empêcha pas de prendre le galop, et de suivre le rythme imposé. Il était bien ** ****, et contre elle, son corps chaud collé au sien.
Sa bouche étouffa le cri de ********** de Natt, et en profita pour lui ****** une gamelle d’anthologie.
Soudain, ne résistant plus à l’**********, il laissa son **** se libérer et lâcher la lave tout en grognant comme un ours. Les flammes de l’enfer le consumaient, perdu à jamais, il serra fort sa Belle et lui murmura…Natt, je brûlerai éternellement pour toi…
Nattascha
Oengus enfin libéré de cette tension qui ne s'évacue que dans un cri de plaisir, elle se laissa aller contre lui et reprit son souffle doucement, blottie contre lui sous la couverture.
ses mots contre son oreille lui procurèrent un dernier frisson de plaisir.

la pêche n'aurait pas été bien rentable aujourd'hui, mais penser à la rentabilité en permanence devait être d'un pénible et d'un lassant dont on pouvait de temps en temps se passer.
Après quelques moments et gestes de tendresse à faire fondre un glacier, Oengus se redressa et se rhabilla rapidement. faisait quand même pas chaud même après un exercice du genre.
Natt s'enroula dans la couverture et le regarda en souriant manquer maintes fois de finir à l'eau tant les mouvements de la barque qu'il provoquait en se trémoussant pour enfiler, soit braies soit chemise ou autre ceinture, risquaient à tout instant de le faire perdre l'équilibre.ceci fait, il s'assit, attrapa les rames, ramassa sa canne à pêche, et la regarda en souriant à son tour. vrai qu'elle devait pas ressembler à grand chose emmitouflée dans sa couverture et les cheveux dans tous les sens.
mais bon, les considérations esthétiques, on s'en fout un peu quand ça caille.
tu me ramènes sur la rive que je puisse récupérer mes affaires ste plait lapin ?
et elle lui fit un clin d'oeil pour marquer le "lapin" qui la faisait toujours sourire.
Et telle une princesse se faisant promener par un noble sire, Natt profita du silence troublé uniquement par le bruit des rames qui soulevaient un peu d'eau.
Oengus ne la quittait pas des yeux, et elle ne le lâchait pas non plus du regard..
du coin de l'oeil elle vit que ses vêtements n'avaient pas bougé de là où elle les avait laissés.
Un sacré dimanche au bord de l'eau que voilà.

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pnj


Oengus et Natt revenaient de Cahors ; le retour avait été court, à peine quatre heures à cheval.
En passant à côté du lac, Natt lui dit qu’ils devraient faire une petite pause. Ils s’arrêtèrent donc.

Le brouillard ne s’était pas levé, la brume d’automne flottait sur l’eau, donnant l’impression qu’un immense spectre avait laissé sa cape recouvrir l’étang.

Oengus comprit que Natt avait besoin d’un peu d’intimité, alors il s’assit sur une souche d’arbre et laissa son regard se perdre dans la vague brumeuse.

Un rayon de soleil, puis deux, percèrent le rideau, et un trait puissant éloignât le fantôme.

Lui, face à l’étendue d’eau, et elle…
Il tourna la tête, la contempla et la trouva magnifique.

Au loin des barques et des pécheurs apparaissaient.
Il ne péchera pas aujourd’hui, sa compagne et lui étaient en partance pour un beau voyage.

Le soleil réchauffait l’atmosphère. La nature délivrée de la gangue laissait éclater ses senteurs de saisons.

Puis il lâcha son regard et le laissa naviguer et suive les ondulations faites par le courant.

Ses derniers souvenirs sur ce lac lui revinrent et il sentit qu’il avait envie d’elle.
Il ferma et les yeux et se remémora. Sa peau, sa bouche, son **** et toutes ces sensations…

Il murmura : « Natt, je t’aime »
Nattascha


Arrivés à Sarlat, fatigués par près de quatre heures de galop..
Ils passèrent devant le lac et Natt avait besoin d'un bain, de se rafraichir, de se détendre un peu aussi.
Ils arrêtèrent le cheval et Natt en descendit après avoir volé un baiser à Oengus, décrocha son baluchon de la selle et s'en fut vers un endroit où elle serait un peu protégée des regards.
Un regard en arrière, Oengus qui s'asseyait sur une souche, il aimait cet endroit, elle le savait. pêcheur et pêcheur Oengus.. un sourire... consciente d'être bénéficiaire de certains de ces pêchés.
Elle déposa son baluchon, en sortit son pain de savon au miel qu'elle trainait avec elle depuis de lointains voyages, et se déshabilla, sans porter attention à quiconque pourrait bien être en train de l'observer.
elle savait Oengus pas loin, qui veillait sur elle.
L'eau était froide ce matin, et un léger brouillard recouvrait l'étendue devant elle..
Peu importe il fallait se lancer. Mais c'est d'un pas hésitant qu'elle pénétra dans l'eau pour, au bout de quelques secondes s'y jeter entièrement. Son corps fut saisi par la froideur mais quelques mouvements l'aidèrent rapidement à supporter le difficilement supportable.
Elle se lava, se savonna les cheveux, enfin, elle avait besoin de se sentir propre. Un instant de nostalgie en voyant la couleur de ses ongles salis la veille au soir. Eux deux seuls savaient le pourquoi de cela, et elle aimait cette idée d'avoir des petits secrets bien à eux. ils furent frottés et rincés autant de fois qu'il fallut pour être impeccables.
Puis, afin de se rincer totalement elle plongea, tête la première dans l'eau et fit quelques brasses dans ce monde du silence. Hors du temps et de tout le reste.
Lorsqu'elle sortit la tête de l'eau, elle envoya ses cheveux vers l'arrière afin de dégager son visage, se passa les mains sur les yeux et repartit vers la rive retrouver celui qu'elle savait être son autre elle même.
Une fois au bord de l'eau, elle essora ses cheveux et rinça rapidement ses vêtements couverts de la poussière accumulée durant ces deux jours de voyage.
des frissons la parcouraient et sa peau commençait à prendre une couleur bleutée signifiant qu'il était temps de se couvrir.
Elle sortit de son baluchon la couverture qui les protégerait les nuits de sommeil dans la nature et la posa sur ses épaules.
Un regard vers Oengus.. il était là, et, pensa t'elle, il serait toujours là.
Bien que frigorifiée, son coeur se réchauffa à la pensée de l'avoir près d'elle à chaque instant.
Elle ramassa rapidement son savon, prit sur son bras ses vêtements mouillés et partit le rejoindre, baluchon sur l'épaule.
Le soleil commençait à poindre à l'horizon. l'hiver approchait et il faudrait du temps avant que son linge ne sêche. Une branche un peu plus loin lui servirait d'étendoir.
Passant devant lui, pieds nus, dans sa couverture, elle lui déposa un baiser sur les lèvres avant d'aller en terminer avec ses nipes, puis finit par le rejoindre.
Serrant la couverture autour d'elle, elle vint s'asseoir au sol, entre ses jambes et s'adossa à lui, pour tenter de lui voler un peu de chaleur.
Il faudrait bientôt songer à une autre manière de prendre soin de soi. la fraicheur des matins d'automne et d'hiver deviendrait vite insupportable pour pouvoir effectuer ces choses là.

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Lubna
Apres un long voyage dans le PA...
Cela faisait un moment que Lubna n'etait plus revenue au lac...
Elle se dirigea dans un endroit secret ou elle y cachait sa barque...
Pauvre barque... Elle n avait pas servi depuis si longtemps...
Elle la tira vers le bord de la berge ...L'inspecta...

Non aucun trou... la barque semblait etre encore en bonne etat...
Elle y deposa une couverture et un panier remplit de virtuailles,
et s'asseya au bord de la berge en attendant la venu d un ami...
Pour une jolie promenade autour et sur le lac ....
Tout d'un coup Un poisson jaillit de l eau... Puis un autre,
derriere, le suivait tout en sautant...
Cela etait assez etrange des goujons qui s ammusaient comme les dauphins....
peut etre la saison des amours des goujons....
elle sourit...Un grand sourir...
puis se mit à rire...en voyant le manège des poissons...

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Frah
Il fallais qu’elle le revois…
Le lac…
Elle avait besoin de se ressourcer…
Allait-elle rester ici ou bien repartir…
Elle marcha le long du lac….
Retrouvant l’arbre auprès duquel elle aimait s’asseoir…
Trop de chose en tête…
Un choix à faire…même si cela pouvait encore la faire souffrir…
Elle pris place au pieds de l’arbre….
Fermant les yeux, elle se mit a repensé a son passé…
Trop d’amis de perdue…
Trop de souvenir qui font mal encore…
Un fantôme qui passe doucement…
Un peu plus loin…ses ‘amies’…
Elles revenaient as grand pas…

Elle se leva et avança vers le lac enlevant ses chausses….Elle continua d’avancer doucement….L’eau froide lui saisie les pieds, mais elle décida de continuer d’avancer encore un peu…

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*La confiance est une chose rare....*
pnj
Pguy se décida d'aller faire un tour au lac. Il sortit de chez lui et traversa la ville en cette direction. Une fois arrivé là-bas, Pguy se demanda s'il allait se baigner par ces températures. Bon et puis hop, il plongea et fit quelques brasses. L'eau était un peu fraiche mais ça faisait du bien de nager. Il sortit, se secha, se réhabilla et s'allongea dans l'herbe et dormit un peu.
Zabou83
Zabou décida d'aller se promener jusqu'au lac. Elle avait croisé Lise ce matin en taverne et voulait voir si Lise , Xyno et leur ami étaient bien installé. Elle avait hâte de les revoir.
C'est donc en pensant à leur derniere visite et aux bons moments passés ensemble qu'elle prit le chemin menant au lac.
Arrivée au bord, elle se dirigea vers un bosquet d'arbres, esperant y voir leur carriole, ainsi que ses occupants.
Liselotte*


Les tonneaux contenant la viande et le sel qui permettait de la conserver étaient alignés en rang d'oignons et Lise les inspectait lorsqu'une silhouette attira son attention... La main en visière, les yeux plissés, la jeune femme attendait qu'elle se rapproche pour savoir qui venait vers leur campement...Un sourire fleurit sur ses lèvres, lorsque Lise reconnut Zabou. Aussitôt elle leva la main pour lui faire signe et parcourut quelques pas...

-Le bonjour Zabou! C'est gentil de nous rendre une petite visite. Lise donna l'accolade à Zabou et toutes deux avancèrent vers le foyer improvisé

-Installons nous là devant le feu..Brrrrrr fait froid! Veux tu une tisane bien chaude? Sans attendre de réponse, Lise versa dans un guodet la tisane qui restait à chauffer sur une pierre sertie dans le foyer, et le tendit à Zabou. Puis d'un coup de regard circulaire...

-Je ne sais pas où sont Xyno et Reani....Peut être parti braconner! Voyant le regard interrogateur de son amie à l'énoncé du dernier nom...
-Ah mais oui tu connais Xyno mais pas Reani! C'est un ami Labritois qui a décidé de voyager avec nous....Dès qu'ils arriveront je ferai les présentations...Malheureusement Thibaude n'est pas du voyage cette fois...Elle a préféré rester à Labrit pour aider le maire...Un ami...

Lise plongea le nez dans son guodet, but une gorgée de tisane qui lui attira une grimace...

-Et toi ma belle? Quoi de neuf?....
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