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[RP] Tranches de vie ...Le lac de Sarlat

Frah
Frah passa par le lac….lui as qui elle se confiait…
Son regard triste…
Son ami parti pour rejoindre Aristote…
La vie devant elle s’effondrait…
Frah se mit as marcher sur le bord du lac…
Pourquoi ne pas s’y enfoncer…
Pourquoi ne pas disparaître…
Pourquoi continuer as vivre quand le sort s’acharne…
Pourtant son cœur lui appartient…À jamais…
Cela lui en fait mal…mais un amour qui fait mal…
Il resteras as jamais dans son cœur…même s’il doit partir voir d’autre horizon…
Elle garderas cet amour au plus profond d’elle…le garder comme un trésor précieux.
Des larmes de tristesse coulaient sur ses joues…
Mais, elle l’aimait tant…

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*La confiance est une chose rare....*
Sidhartha
Sid avait décidé en cette froide journée neigeuse d'aller marquer quelques pas autours du lac, dans la neige fraîchement tombée.

Quelques pêcheurs courageux n'avaient pas hésité à jetter leur barque à l'eau sans oublier d'y monter dedans.

Peut être bien que le p'ti frérot en était!

Il se mit à chantonner une oeuvre du troubadour Alain.


"Ram, rame, rameur, ramer,
On avance à rien, dan's canöé.
Là haut,
On t'mène en bâteau,
Tu n'pourra jamais tout quitter,
T'en aller,
Tais toi et rame,
Rame,
Rameur,
Ramer..."


Tout en chantonnant, il apperçu dame Frah! Il lui fit un grand signe et lui sourit tout en s'approchant d'elle.
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Frah
Frah vit Sid arriver vers elle, elle essuya rapidement ses larmes puis se retourna vers lui…
Et lui fit un signe de la main, resserrant sa cape contre elle…

Bonne promenade Sid ?

Comme vous le voyez, je passe souvent ici, le froid me fait du bien…

Elle tourna son regard sur l’immensité du lac…
Les pêcheurs avec leurs barques avait bien du mal as trouver poissons…

Elle avança quelques pas vers l’eau…

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*La confiance est une chose rare....*
Sidhartha
Dame Frah se retourna et Sid découvrit un visage empreint de tristesse. A chaque fois qu'il la croisait, il ressentait comme une oppression au niveau de la poitrine. Quel chagrin l'empoisonnait tant?
Il était pourtant persuadé que le coeur de cette femme avait connu la fraîcheur du printemps et non pas uniquement la froideur de l'hivers.


Citation:
Bonne promenade Sid ?

Comme vous le voyez, je passe souvent ici, le froid me fait du bien…


Frah se retourna vers le lac et un temps Sid eût la crainte qu'elle ne s'y jette.
Comme devinant l'état d'âme de Frah, des mots sortir de sa bouche sans qu'il n'y réfléchisse. Etais-ce lui qui prônonça ces mots? Il en douta dans l'après coups.


"La mélancolie est un tendre piège où il est aisé de s'embourber.
Après l'hivers, quelques soit sa rudesse, vient un nouveau printemps."


Sid ne sût si il était l'auteur de ces deux phrases. Il avait parfois l'impression étrange de n'être qu'un instrument.
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Frah
Frah lui répondis sans se retourner les yeux toujours fixer sur le lac….un lac si cher as son cœur…
Il avait vu tant de larmes couler…

Le printemps peu être aussi froid que le plus cruel des hivers….même l’été on peu grelotter tellement plus rien ne nous touche…
Il y a que ici que je dépose mon masque….quand je suis seule…

Mais vous….je ne vous avait pas encore vu au lac…

Il est si magnifique….si apaisant…ce lac pourrait en raconter des choses avec tout ce qu’il peu voir et entendre…

Frah tourna un bref instant la tête vers Sid….puis s’assis as même la neige juste au bord de l’eau…

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*La confiance est une chose rare....*
Sidhartha
Comme il s'y attendait, le coeur et l'âme de Frah semblait bien sombre.

"Vous faîtes bien Frah. Les eaux du lac recèlent bien des forces qui dépassent l'entendement humain.
L'eau à un rôle de purification. Au printemps, baignez vous donc dans ces eaux miraculeuses, à l'image de Christos qui s'éveilla à une vie nouvelle après avoir été baigné dans les eaux du Jourdain par Baptiste."

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Frah
Parce que vous pensé qu'une baignade fera l'affaire ?
Non je ne pense pas, pourtant c'est pas faute de mit avoir tremper quand le temps le permet...
Et je ne pense pas que cela changeras quelques chose pour moi....


Frah resta assise là...songeuse...
Repensant as sa vie...
Elle laissa une larme couler, mais l'enleva de suite...il ne fallait pas...

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*La confiance est une chose rare....*
Sidhartha
"Puissiez vous ne point ignorer la Lumière quand elle se présentera! Le désespoir est un tendre piège. Je vous souhaite de tout coeur la force, le courage et l'humilité suffisante pour ne point vous oubliez et vous niez.
Vous seul détenez le pouvoir de saisir à nouveau les rênes de votre destiné."


Sid s'éloigna lentement, quelque peu chargé de la tristesse de Frah. Le desespoir lui faisait penser à une épidémie. Les émotions pertubatrices se transmettaient aux autres insidieusement.

Mais comment pensez à autrui quand on s'oublie soi même. Un sentiment de profonde compassion envahit le coeur et l'âme de Sid. La tristesse l'accablait à présent.
Il se rappela l'histoire contée par son grand père quand il était enfant. Il lui parlait souvent d'un sage d'Orient, dont il portait le nom d'ailleurs.
Celui-ci expliquait qu'assis au bord d'une rivière, il fallait laisser passer les émotions pertubatrices sans les retenir, regarder les bulles s'élever à la surface de l'eau et les laisser exploser à la surface.
Sid se dit qu'il restait bien du chemin à parcourir...

Il se promit de tenter d'honorer la vie autant qu'il pourrait...

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Frah
Frah leva la tête et le vit partir de son coté....elle se retrouvait seule...
La force et le courage...elle en avait asser...mais cela servait as quoi....as plus rien...

Elle se mit as regarder l'eau si calme...alors qu'elle bouillait dans son coeur..
Pourquoi cela fait si mal que ça...
Partir encore....cela ne suffirait pas cette fois ci...
Elle se sentait briser...

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*La confiance est une chose rare....*
pnj


Il était six heures ,il faisait à peine jour, elle avait peu dormi.. mais qu'importe ...fermer les yeux parfois vous entraîne dans de terribles lamentations...Roxanne aperçut Frah au loin...


Ce matin était glacial, le vent glissait dans sa sombre chevelure, emportant les rubans qui les maintenaient...Elle laissait l'austère saveur s'engouffrer , la pénétrant et mortifiant son âme...Elle ferma quelques instants les paupières...pourquoi avoir besoin de prières pour ôter sa peine qui rend son âme de pierre...
Malgré ses jours glorieux auprès de lui... Pourtant, si heureuse près de lui,
Elle était seule à présent...La solitude accablante dévore tous les merveilleux moments...Dans ces temps, il parait qu'il faut laisser le vent emportait le désespoir mais l'égoïsme de celui-ci vous traîne dans l'accablement , vous laissant... perdue dans l'immensité larmoyante...


-"Non ,ne cherche pas les instants de bonheur...c'est le vent vaniteux qui te les a pris...te laissant ici...devant ce lac ...te laissant penser que tu y noieras ta solitude...mais regarde les saules pleureurs qui ornent ce lac n'ont jamais redressé leur feuillage et le vent n'hésite pas à caresser ces âmes en peine, ce faisant passer pour leur ami"

Là devant cette frivolité agonisante...les yeux dans le vide,elle n'oubliait pas la tristesse de la terre, la tristesse qu'elle portait depuis toujours...alors que celui dont elle destinait ses pensées, avait su la rendre forte, elle avait appris à lutter contre les difficultés...Les baisers fougueux de l'amour...où sont-il? Ils se sont envolés comme des papillons...
Roxanne regardait son amie, qui ne cessait de tremper ses lèvres aux amertumes de cette vie..

Le lac...vêtu de son manteau de glace, reflétait de douces couleurs apaisantes...mais craquelé par endroits, lui aussi souffrait de ce poids mortuaire...
Il laissait le soin au soleil de cacher sa tristesse...
Ses apparences étincelantes et éblouissantes...dissimuler d'inexpressifs secrets...renfermant tous les regards des coeurs isolés
.
Vonafred
Vonafred à l'abri du vent derrière un bosquet ,
allongé sur une botte de paille, les yeux perdus dans l’infini ensoleillé...
Le doux clapotis de l'eau berçant sa profonde méditation.

Se rememorant de récentes conversations en taverne avec Dame Roxy,la mélancolie déstructrice de Dame Frah...

Son visage d'ordinaire si doux sembla soudain marqué par un sillon invisible,une plaie vive venait de s'ouvrir...
Une souffrance enfouie au plus profond de son être s'était rallumée...
Je ne peux t'oublier murmura t'il...rien ne sert de renaître, changer de nom de pays ...tu me hantes, me désespère...

Une lutte intense s'engagea entre deux improbables protagonistes ...lui et ...un songe tout droit surgit... de son passé.
Non ne me dit plus rien...j'ai choisis...laisse moi...assez.
Un fin rayon de soleil vint fort à propos le tirer de ce mauvais pas...

Le visage soudain illuminé, il reprit en un murmure imperceptible...tu ne gagneras pas, je ne suis plus celui que j’étais,
sors de ma mémoire...
A jamais je te bannis dans les limbes de l’oubli
.

Apaisé, un large sourire aux lèvres...Vonafred ferma les yeux.
Je t'ais vaincu...tu ne reviendras jamais
_________________
CANA,au service du Périgord Angoumois.
Frah
Frah était toujours là…elle avait froid…mais elle ne voulais pas bouger…
Mais attendre quoi…Elle pris une lettre, qu’elle gardait près de son cœur…
Se mit as la lire, encore et encore…

Elle se mit as la froisser…laissant ses larmes couler pour la dernière fois…
Ne plus attendre…
Ecoutez ce que les autres lui disait….
Vivre, encore …juste un peu…

Elle fit quelque pas, avançant doucement dans l’eau froide…
Mais ce froid là, ne lui faisait plus rien…
L’eau montait doucement sur ses jambes…
Non, elle ne pouvait faire cela…

Frah regarda fixement le lac…
Puis se recula…
Elle retourna sur au pied d’un arbre…
Pris place par terre doucement…
Serrant sa cape contre elle….
Se laissant bercer par les bruits….

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*La confiance est une chose rare....*
Frah
Elle avait passé les jours as venir au lac…
Le laisser encore derrière elle…
Partir encore…comme toujours…
Laissant ses amis derrière elle….
Mais pour combien de temps….
Elle ne savait pas encore et reviendrait –elle…
Seul son cœur lui dirait…
Frah marcha doucement encore sur le bord du lac…
La vie était ainsi faite….de joie et de tristesse…

Elle pris son balluchon et monta sur la petite colline…
Regardant avant de partir Sarlat…
La lune était sa compagne du moment…
Pour cette nuit…


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*La confiance est une chose rare....*
Patbis2007
Pat passa près du lac et se blottie contre un arbre.

« Hum cher lac qui inspire tant de Sarladais, pourrais-tu me rasséréner, pourrais-tu me faire oublier tous ces cris, ces plaintes, ces insatisfaits qui sont incapables de s’unir pour notre beau village.

Ce sera à celui ou celle qui crachera le plus sur son prochain, pourquoi ? Est-ce qu’ils croient que c’est ainsi que les nouveaux venus vont rester, vont se sentir chez eux ?

Ils ont tous de belles phrases mais ils se déchirent sans arrêt. Ont-ils oubliés leurs débuts, ces balbutiements que d’autres ont observés avec tendresse ? Sont-ils tous aigris, mesquins, oublieux de leurs devoirs ?
Tout ça je ne peux leurs dire mon beau lac, ils seraient vexés et revanchards, ils me diraient que je n’y connais rien, que je suis nouvelle et que je ne suis pas au courant des mauvais coups passés… Pfff, les pauvres, toujours à tourner en rond dans leurs blessures, ils oublient ce qu’ils doivent à ce village, ils pensent d’abord à leur géguerre et moi je n’y ai pas ma place.

Peut-être quelqu’un un jour aura t-il envie de me voir prendre part à tout ça, mais moi non je ne peux pas. Mais tu es là mon beau lac et même si certains disaient que ce n’est pas le mien je m’en moque. Je suis Sarladaise et tant pi si cela en dérange certains, j’espère aider mon village du mieux que je pourrai.

Mais pas dans les cris et la grogne, dans le débat constructif, dans des propositions de solutions, ou du moins de nouvelles pistes, peut-être est utopiste possible, mais je veux y croire.

Mon doux lac, tu m’as apporté le bonheur et l’espoir d’une nouvelle vie, tu m’as réappris à sourire et à rire. Peut-être un jour viendrais-je pleurer sur tes berges, mais je ne veux y croire.

Une amie chère s’est éloignée hier soir et j’attendrai son retour près de toi. Les êtres rares sont précieux et elle fait partie de ces personnes que j’admire : courage, loyauté, fragilité et guerrière ^_^. Je ne serai pas seule à l’attendre, je le sais et cela me réconforte.

Je suis contente de t’avoir parlé, toi tu écoutes et tu ne juges pas, qui en est encore capable de nos jours... »

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Vonafred
Vonafred se promenait le long des berges l'esprit tout entier à sa Douce si loin de lui...
Tu me manque...murmurait il...tu me manques déja terriblement...
Il vit à quelques pas de lui Dame Patbis son amie...et surpris quelques bribes d'une oraison plutot triste...
il l'a regarda silencieux...toute à son discours elle ne le remarqua pas...
Von s'approcha...Pat...est ce toi Pat ?
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CANA,au service du Périgord Angoumois.
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