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Les premières étincelles dénonce la Justice Limousine

Ryllas
Pas démonté, Ryllas manque de couper la parole au Juge Adrienne et avant même que le Procureur n'engage la suite des débats, intervient de nouveau.

J’ai l’impression que vous ne m’avez pas compris Madame le Juge.


Un tel avis de la Grande Chancellerie est impossible car il remet en cause le principe selon lequel les provinces hors DR sont libres de mettre en place les organisations et les loys qui leur sont agréables et cela sans entrave autre que le Droit Royal.


Citation:
Nous considérons que, peu importe les modalités d'édification ou d'abrogation des lois par rapport aux droits locaux, seul le Comte/Duc régnant d'une province possède les pouvoirs législatifs;


Le Grand Chancelier ne peut considérer de lui-même que les modalités d’édification et d’abrogation des lois ne sont que du ressort du Duc quand un certain nombre de provinces font état eux-mêmes d’une toute autre organisation. Vous n’êtes pas sans savoir que dans certaines provinces le pouvoir législatif est du ressort du Conseil donc du Duc et des conseillers, et non du seul Duc. Tenter d’imposer le contraire va à l’encontre des principes qui régissent le royaume de France, à moins que le Grand Chancelier ne nous dise qu’il s’agit là d’une nouvelle loi royale qui impose au Duché que seul le Duc régnant possède les pouvoirs législatifs. Hélas, il ne m’a pas semblé que les pouvoirs du Grand Chancelier soit d’édicter, de voter et de promouvoir lui-même les loys sans en passer par un vote de la Pairie.

Je vous rappelle ici les statuts de la Grande Chancellerie :


Citation:
Article second – De ses objectifs

Le Parlement Royal est un collège de magistrats ayant pour objet la rédaction des textes de loi, et d’amendements du Droit Royal. Celui-ci soumet par l’intermédiaire du Chancelier ses propositions à la Pairie, seul organe détenant le pouvoir législatif et décidant de la mise en place de tout édit de loi. Tout texte juridique n’ayant au préalable reçu l’aval de la Pairie ne peut être considéré comme valide au sein du Royaume de France.


La promulgation, puisque promulgation il y a en Royaume de France, des loys royales n’étant que du ressort du Roy, il semblerait que ce texte du Grand Chancelier ne soit pas passé par la procédure réglementaire. Nous considérons donc ce texte inapplicable en l’état.

Il est d’ailleurs très drôle de voir que l’organe qui détient le pouvoir législatif dans le Royaume de France soit la Pairie, mais que le Chancelier veuille dénier ce droit aux Conseils élus des provinces du royaume de France dont voici une liste non exhaustive.


Je cite :


Duché d’Alençon :
Citation:
LIVRE IV – LES LOIS
Art 1. Le Duc/Duchesse et le Conseil disposent du pouvoir législatif.


Comté d’Armagnac :
Citation:
Le pouvoir législatif:

- Les Edits comtaux sont promulgués à la suite d'un vote au seing du conseil comtal.


Artois :
Citation:
Art 1.2 : Pour modifier cette Constitution, le Conseil élu doit obtenir la majorité des trois quarts.


Béarn :
Citation:
Loi concernant la Procédure des votes au Conseil
[…]
Le texte de loi modifié sera porté au vote et restera ouvert à celui ci deux jours maximum. Le vote aura lieu à main levée et consistera en un oui, un non ou un refus de se prononcer exclusivement, le temps du débat étant passé.
Le texte ne sera adopté qu'à la majorité absolue +1 : 8 voix.
ou si un quorum de 8 votants a été atteint et que le pour l'emporte avec au minimum deux voix d'écarts lors de la clôture des votes (7 jours)
La Voix du comte compte double en cas d'égalité des voix et il possède le droit de véto absolu.


Bourbonnais - Auvergne :
Citation:
Titre B : du pouvoir législatif
Article 1 : De l'initiative législative
Le Conseil Ducal dispose du pouvoir législatif : il peut voter des textes ducaux: lois, décrets et ordonnances.
[…]
Alinéa b : de la procédure de vote pour une loi
[…]
Pour qu'un vote soit définitivement terminé, il faut un minimum de 7 voies exprimées après les deux jours francs, que la majorité absolue soit atteinte par rapport au nombre total de votants, et que cette majorité soit le choix "pour" ou le choix "contre" ; dans le cas contraire, le vote sera ajourné pour un nouveau débat et, s'il est toujours souhaité, un nouveau vote.
En cas d'égalité dans le vote, le vote du Duc compte double, et si celui-ci donne la majorité absolue au "pour" ou au "contre" alors le vote est définitivement terminé.


Gascogne
Citation:
Art 1. Le Duc/Duchesse et le Conseil Ducal disposent du pouvoir législatif.
Art 2. Le Duc/Duchesse et le Conseil peuvent abroger une loi ou amender une ancienne loi.


Languedoc
Citation:
Chapitre III – De l’élaboration de la loi
Article 2.1.3.1. – Le conseil dispose seul du pouvoir législatif d’initiative et de vote des lois.
Article 2.1.3.5. – Une proposition de loi est réputée adoptée si elle obtient à la majorité simple des voix exprimées aux jours dits du vote et si au moins 7 des conseillers se sont exprimés.


Lyonnais
Citation:
III.2 : Procédures de vote au conseil ducal
Les conseillers ducaux proposent, discutent et votent au cours de leur mandat divers projets, textes et lois qui permettent d'organiser la vie du Duché et de ses institutions.
III.2.a : Majorité
L'approbation d'un texte par le Conseil Ducal est permise par la majorité simple des suffrages exprimés par les conseillers ducaux en présence. En cas d'égalité des voix, il revient au Gouverneur de trancher. Un minimum de 6 votes est requis pour assurer la légalité d'un texte.


Normandie :
Citation:
Art 2 -De la proposition de Loi au Vote d'icelle :
Le texte de loi modifié sera porté au vote et restera ouvert à celui ci deux jours maximum. Le vote aura lieu à main levée et consistera en un oui, un non ou un refus de se prononcer exclusivement, le temps du débat étant passé.
Le texte ne sera adopté qu'à la majorité absolue : 7 voix.


Périgord
Citation:
Opus IV - Des décisions du conseil comtal
Article 2.2.4.1. - Un vote est établi pour une proposition de loi, c'est à dire une modification, une abrogation, ajout ou un avis portant sur un objet particulier.
Article 2.2.4.2. - Seuls les conseillers comtaux élus ont droit de vote.
Article 2.2.4.3. - Un vote doit permettre aux conseillers comtaux élus de s'exprimer selon ces trois points : pour, contre, ne se prononce pas.
Article 2.2.4.4. - Un vote peut être déclaré clos par le Comte quarante-huit heures après son ouverture.
Article 2.2.4.5. - Les décisions issues d’un vote sont prises à la majorité des personnes ayant voté, la voix du Comte comptant double.



La réalité est que le Grand Chancelier intervient pour donner un avis mais que cet avis dépasse les compétences données à sa fonction. Il ne peut remettre en cause le libre choix des duchés à s’organiser comme bon leur semble. Or, puisque l’avis du Grand Chancelier sur l’édification et l’abrogation des loys dans les provinces tient uniquement par le fait qu’il soustrait ce droit au Conseil pour le remettre dans les seules mains du Duc mais que cela ne lui est pas permis - sauf à édicter une loy royale le spécifiant - alors toute la construction sur laquelle il s’appuie pour dire que point n’est besoin d’une signature ou d’un scel sur un acte juridique, puisque, par essence, cela ne peut venir que du Duc, s’écroule.


Or, peu importe que les loys soient édifiées au nom du Duc. Il s’agit là d’un faux argument. La promulgation, c’est-à-dire l’apposition du scel et/ou d’une signature, ne vient pas authentifier l’acte juridique comme ayant bien été voté en son nom mais comme ayant bien respecté la législation locale. Organe chargé de proposer les loys, organe chargé de les rédiger, période de temps suffisant pour le débat, vote à la majorité simple ou vote à la majorité des deux tiers par exemple, avis d’un organe de surveillance etc… C’est à cela que sert la promulgation des loys. Et c’est par sa signature et/ou son scel que le Duc rend compte qu’une loy vient d’être adoptée en toute conformité et selon le cheminement imposé par les loys ducales.

Le nouveau fonctionnement d’un Duc détenant nécessairement les pouvoirs législatifs n’est qu’une vision partisane de l’esprit du Grand Chancelier. Il ne rend absolument pas compte de ce qu’il se passe dans une très grande majorité des provinces de France. Ce fonctionnement ne peut donc être considéré comme ayant été la règle générale jusqu’à aujourd’hui. Cet avis de la Grande Chancellerie ne peut donc valoir pour l’affaire qui nous concerne.

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Messie du bon peuple languedocien... en toute simplicité.
Louishubert
Tut tut tut.

Seul le Comte/Duc a le pouvoir législatif, à la base. Ensuite, si historiquement il a fait voté des lois contraignants son pouvoir, c'est une autre histoire.

Un pouvoir, ça se délègue.
Je n'édifie aucune loi ici, j'établis une interprétation de la coutume au sens de pouvoir triparti (judiciaire, législatif et exécutif), comme je l'ai toujours fait.

Avant de quitter la salle, j'ai simplement un petit commentaire. Vous dites que je suis responsable de l'équilibre de la loi dans le Royaume, que mes décisions ont une portée très importante. Pensez-vous que j'ai fait cet édit, que la Curia l'a voté, sans avoir pensé? Imaginez un peu le nombre de corpus législatif qui n'ont pas de sceaux mais qui sont tout de même considéré comme légitime - et ils le sont - dans le royaume. Nous avons ici la preuve que le sceau n'est pas source de légitimité, mais preuve de légitimité. La différence est grande. Si la Chancellerie s'était pliée à votre argumentaire - erroné selon moi et la Curia - imaginez un peu le vide juridique que nous aurions créé dans tout le royaume, et le nombre de procès qui seraient devenus caduques. On frole l'anarchie non?

Sur ce, je vous quitte.
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Louis-Hubert d'Harlegnan, dit le Cerf,
Vicomte de Lannoy, de la Motte-au-Bois & de Poperinge,
Chancelier de France.
Adrienne
Comme en attestait son teint rubicond, le Juge fulminait ... L'avocat à la robe en lambeaux avait une fois de plus dépassé les bornes. Dans son entêtement à vouloir à tout prix obtenir gain de cause, il outrageait l'ensemble des membres de la Curia dont le digne représentant de l'administration judiciaire à l'avis duquel tout officier royal de la Cour d'Appel avait à se soumettre.

Par ses prises de paroles intempestives et son refus d'obtempérer aux injonctions de celle qui menait les débats, il retardait lourdement le cours de l'audience et portait gravement préjudice à la défense de ses clients. Posant sur Maître Ryllas un regard courroucé, elle lança d'un ton ne prêtant à aucune contestation :


Maître, il suffit ! Puisque vous ne me laissez d'autre choix ... Prononcez encore un mot, une malheureuse syllabe sans mon assentiment et vous serez expédié manu militari hors de cette auguste salle le temps que ce procès s'achève en toute quiétude. Si l'avis de son Excellence ne vous plaît point, je ne puis que vous conseiller d'envoyer missive à Sa Majesté ou au Grand Maître de France pour leur exposer vos contestations. En attendant une éventuelle et improbable réaction de leur part, nous poursuivrons cette séance, avec ... ou sans vous !

Se levant, elle s'inclina respectueusement devant le Chancelier comme l'assemblée l'imitait et lui dit :

Votre Excellence, soyez remercié pour votre intervention. Nous n'abuserons pas plus longuement de votre présence.

Regagnant sa chaire, elle invita d'un regard l'honorable Procureur à intervenir.
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Ryllas
Ryllas regarda le Grand Chancelier s'en aller :

Allons Madame le Juge, vous n'allez pas imposer à mes clients une telle frustration qui serait injustifiée. L'avis de la Grande Chancellerie est bien suffisamment difficile à supporter pour l'esprit qui est le mien et l'espoir que mes clients avaient mis dans ce qui est aujourd'hui une entourloupe juridique. Je n'ai pas dit mon dernier mot mais je me plie volontiers à vos désirs de sortir de ce débat qui de toute façon se termine puisque le Grand Chancelier s'en va, coupant cours à toute discussion.

Se tournant vers le procureur en faisant une légère courbette.

Vous pouvez continuer les débats Monsieur le Procureur, je retourne m'asseoir.

Regarde sa robe avec une moue dubitative et va s'asseoir à sa table, sort un parchemin et commence à écrire.
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Messie du bon peuple languedocien... en toute simplicité.
Arnaut_de_chesnais
Le Procureur resta de longues minutes sans prendre la parole, accoudé sur son pupitre, il écoutait d’une oreille discrète la teneur des débats. Portant son regard vers la fenêtre, il laissa échapper un soupir imperceptible en songeant à la perdre de temps qu’engendrait ces prises de paroles intempestives. Il était tout simplement las et la fatigue qui se lisait sur son regard témoignait de cette lassitude. Ses pensées dérivèrent vers des sentiers n’appartenant qu’à lui.

Monsieur le Procureur ?! Réveillez-vous !

Chuchotements au creux de son oreille, pressions sur son épaule. Le Vicomte se redresse brusquement, lançant un regard de gratitude envers l’âme charitable ayant daigné le sortir de sa torpeur. Il se leva, rendant son salut au célèbre avocat. Il reprit immédiatement son calme et son autorité légendaire avant de dire d’une voix assurée.

Bien…

Ma première question demeure fort simple et s’adresse à Messire Trokinas :

Que pouvez-vous nous dire, Vicomte, sur les requérants présents en ce lieu ?
Ont-il apporté quelque chose de bénéfique pour le Limousin ?
Trokinas
Le Vicomte reporta donc son attention sur le Procureur en entendant une nouvelle question.

Absolument. Je n'ai jamais mis en doute l'intégrité ou les compétences des requérants. Je connais la Baronne Valeriane de longue date, elle m'a apporté beaucoup. Elle m'a formé dans la police par exemple. Nous avons eu des divergences d'opinion durant ma carrière, et cela a été plus important pendant mon mandat, mais cela n'enlève rien à ses qualités. je connais le Baron Sytral depuis mes débuts également, il a mis une procédure de défense en place, et était Recteur pendant mon mandat. Nous avons eu quelques échanges, et ses compétences sont indéniables. Le Sieur Plum, est un Lieutenant de Police zélé et reconnu. Quant à Dame Yarwelh, elle a rempli ses fonctions à l'Université avec talent. Donc la réponse est sans hésité oui, mais je ne vois pas le rapport avec le procès en question.
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Ryllas
Ryllas écouta la question du Procureur ainsi que la réponse du régnant de l'époque, ne peut que se balancer en arrière, satisfait, en laissant échapper un discret :

Héhéhé...moi je vois.
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Messie du bon peuple languedocien... en toute simplicité.
Arnaut_de_chesnais
Le procureur écouta avec attention les propos du Vicomte, il prit quelques notes avant de se lever et de prendre la parole d’une voix posée.

Pouvez-vous, Monsieur le Vicomte, exposer à cette cour la teneur précise et le but de la loi électorale en vigueur sur les terres Limousines ?
Trokinas
Le Vicomte se mit à sourire. Il avait enfin réussi à mener le débat sur le vrai problème de fond, histoire que l'abcès soit percé une bonne fois pour toutes.

Je vois où vous voulez en venir, Monsieur le Procureur, et pourquoi l'avocat de la défense sourit de manière satisfaite. Le but de cette loi est d'évincer une liste constituée de personnes non fiables. Les personnes ici présentes, le sont fiables, indéniablement. Mais la liste ne l'était pas, pour des raisons que je ne dévoilerai pas ici, vu que ce n'est pas le propos. Le but de la loi est de s'assurer que la liste qui arrive en position d'obtenir le pouvoir garantisse un certain sérieux. J'ai moi même connu des conseils avec de nombreux sièges vides, et la loi a donc été fait pour contrer cela. La loi n'évalue pas les individus mais une liste. La liste dans son intégralité a été jugée non valide. Vous allez me rétorquez que j'aurais pu ne pas les mettre en procès, mais là loi parle de tous les membres de la liste. De plus, j'ajouterai deux points : premièrement, j'ai proposé à la tête de liste de l'époque, en raison des personnes constituants la liste de faire des arrangements : par exemple que la liste ne soit pas menée à terme, ou qu'elle se retire des élections, et je m"engageais à ne pas poursuivre les membres, mais seulement la tête de liste. J'ai proposé, une fois que la liste avait été validée par les fonctionnaires, que si la tête de liste prenait la responsabilité de cette affaire, elle serait la seule poursuivie : rien de tout cela n'a été accepté. Je le conçois, mais alors il faut assumer ses choix.


Le Vicomte regarda en face l'intégralité des requérants. Il semblait déterminé, et était toujours convaincu du bien fondé de sa conduite à l'époque.

Deuxièmement, je suis persuadé que même l'avocat de la défense sera d'accord avec moi pour dire qu'une loi ne s'applique pas en fonction des individus, mais que tout le monde est égal devant la loi. Par conséquent, j'ai fait appliqué la loi, en évitant de considérer les liens que j'avais avec ces personnes, et le respect que j'avais pour eux. Quel genre de Comte aurais-je été si je faisais appliqué la loi en fonction des personnes concernées? J'ai essayé de trouver des arrangements, ils ont été refusé, mais c'était la seule entorse qu'il me paraissait possible de faire.


Puis le Vicomte attendit, patiemment les questions suivantes.
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Arnaut_de_chesnais
Poursuivant d'une voix posée, il répondit :

Bien, en vous remerciant Vicomte.
Veuillez rester à notre disposition, nous n'avons pas encore terminé avec votre personne.

Se tournant vers la juge.

Pour l'heure, la procure souhaite entendre Messire Aldric_le_fourbe procureur au moment des faits.
Ryllas
Ryllas lève la main.

Puis-je poser une question, avant que le Comte ne s'en retourne s'asseoir?
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Adrienne
L'audience avait repris son cours dans le calme, la plume du juge crissait sous les aspérités du support. Elle s'apprêtait à permettre au Vicomte de regagner son siège et de répondre à la requête du Procureur quand Maître Ryllas réclama la parole.

J'accède à votre demande, Maître.
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Ryllas
Merci Madame le Juge

Ryllas se rapproche de Trokinas.


Monsieur le Comte, vous dites :

Citation:
Par conséquent, j'ai fait appliqué la loi, en évitant de considérer les liens que j'avais avec ces personnes, et le respect que j'avais pour eux.


Lorsque vous dites "j'ai fait appliquer la loi", voulez-vous dire que la justice attendait un signe de votre part pour se mettre en marche?
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Messie du bon peuple languedocien... en toute simplicité.
Trokinas
Oui Monsieur l'Avocat, j'avais demandé un délai supplémentaire, d'où d'ailleurs le jour de retard par rapport à la loi. Et ceci pour deux raisons. La première, c'était que compte tenu des personnes, j'ai décidé de donner leurs chances à ses personnes de revenir sur leurs décisions. La deuxième, est que le Juge et le Procureur de l'époque, n'étaient pas objectifs, et par conséquent, ils ne pouvaient à mes yeux faire un procès équitable. Je précise que le procureur reconnaissait avoir un penchant net pour les requérant, mais le Juge, un penchant net dans l'autre sens. J'ai donc du convoquer une réunion de Conseil exceptionnelle pour permettre de trouver les personnes capables de rendre un procès équitable, et ceci dans le propre intéret des requérants : un Juge ayant un parti pris contre les accusés, ne peut, selon moi juger correctement.

Le délai supplémentaire d'un jour était donc dans l'interet des requérants, et je trouve étonnant qu'on me le reproche aujourd'hui. Je précise que ce délai, était connu de la tête de liste, je lui avais accordé une espèce de rallonge exceptionnelle, et cela à sa demande, et je lui ai accordée, vu les personnes concernées.

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Ryllas
Je vous remercie, Monsieur le Vicomte.
Pourriez-vous maintenant nous rappeler qui est le garant de la loi électorale et qui décide qu'une liste électorale est valide?

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