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[RP- Privé ] Dispensaire de Thouars

Cali
Les rayons de soleil traversant la fenêtre vinrent dessiner des arabesques sur le parchemin qu'elle lisait, la tirant de sa rêverie. Elle enroula le précieux message , lui remit son ruban rouge et tirant vers elle le tiroir du bureau, le rangea soigneusement.

Elle s'étira voluptueusement et se levant, alla offrir son visage à la chaleur du soleil derrière la vitre . Les yeux fixés au loin sur un point imaginaire, la jeune femme voyait défiler les événements des dernières semaines.
Winnisette ayant réouvert l' Auberge des Trois Roy, elle lui avait cédé des pièces jouxtant l' auberge afin que Cali puisse ouvrir un dispensaire. La jeune femme se rappelait de ses débuts fracassants... C'est le cas de le dire ! Les travaux effectués avec Kiss avaient été des plus bruyants.. mais quel résultat.

Cali détailla la grande salle où s'alignaient deux rangées de lit contre les murs, séparés chacun par des rideaux blancs. Elle même se trouvait dans la pièce moins grande qui faisait office de bureau, salle d' opération . On y trouvait deux armoires remplies de matériel , de plantes et herbes diverses, draps... Ainsi que deux lits pour y prendre un peu de repos quand le besoin s'en faisait sentir.

Que de souvenir ici... Cali regarda la table ou elle avait désespérément essayé de sauver la vie de Krohr... avec l'aide de Kiss et Eli... arf... elle chassa ce douloureux souvenir en secouant la tête et se dirigea vers la porte pour aller travailler à la mine .




Sur le chemin de la mine.....



Citation:
Dix jours.... Dix jours déjà qu'elle travaillait à la mine. Le chemin caillouteux, elle le connaissait par coeur à force d'y aller, les bras ballants et le nez dans ses pieds. Alors à force, elle aurait pu dire ou se trouvait le moindre monticule, le moindre talus longeant la route.

Le travail à la mine était dur. Elle en ressortait chaque fois à la nuit tombée, les cheveux collant sur son visage qui était gris et sale de poussière et de sueur. Le peu de vêtement qu'elle supportait sous l'étouffante chaleur était encore ses haillons de vagabonde qu'elle avait heureusement gardé.

Lorsqu'elle rentrait enfin chez elle, c'était dans une bassine qu'elle se décrassait encore et encore de cette infâme saleté qui lui collait grassement à la peau . Jamais une plainte n'était sortit de sa bouche. Elle le faisait parce qu'il le fallait et c'était suffisant pour qu'elle reprenne chaque jours, le même parcourt.

Son pain entouré d'un linge sous le bras, Cali leva le nez et aperçu un drôle d'équipage qui arrivait vers elle. Stupéfaite, elle reconnut Bamba portant sur son dos , un corps ballotté sous le rythme de ses pas.

Bamba ? Qui est ce ? Relevant la tête penchée de l'homme, elle vit que c'était Mac . Bon ben tu me diras plus tard ce qui c'est passé. Il a l'air mal en point avec son teint de craie. Ils se passeront de moi à la mine. Je t'accompagne au dispensaire.... Heureusement, je viens de renouveler le matériel et j'ai tout ce qui faut... enfin j'espère.
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Chevalier de la Plume d'Or - Championne du Poitou - Eprise de son Pierrot-Yoyo
Bambata
[ Sur la route menant au dispensaire ]

Bamba commençait a fatiguer . A chaque pauses , il déposait Mac sur le sol où Cali s'afférait a tenter de le réanimer . Bamba lui s'asseyait sur son séant , reprenant son souffle .
Ils n'étaient plus très loin du dispensaire , peu être encore quinze , vingt minutes .
Aidé par Cali , Bamba reprit Mac sur son dos .
Pendant le trajet , Cali lui posait de multiple question . Bamba lui expliqua , donc , le peu de chose qu'il savait . C'est a dire qu'il l'avait trouvé , gisant par terre , dans la galerie . Bamba ne savait rien de plus . . .

Ils entrèrent dans la ville . Bamba fatiguait de plus en plus , mais faire une autre pause n'aurait pas été permise , et de ce fait il accéléra le pas .
Ils se frayèrent un passage dans les venelles , écartaient , bousculaient les gens pour ce faire un passage .
Puis , le visage de Bamba s'illumina , ils étaient arriver a l'entrée du dispensaire .


[ Dispensaire de Thouars ]

Cali prit son trousseau de clé . La porte s'ouvrit dans un grincement de boiserie . Ils se dirigèrent vers le lit le plus proche . Bamba , pressé d'en finir , posa sans ménagement Mac sur un lit . Celui ci , poussa un leger gémissement a peine perceptible .

-Gnaaaaaaah ? Où suis je ?

- Il se rév...... pas le temps de finir la phrase que Mac referma les yeux

Bamba resta un moment coi , ne sachant pas trop quoi faire , laissant Cali faire les quelques soin .
Mac_hyavel
Gnaaaaaaah ? Où suis je ?
Paupières s'ouvrant faiblement, afin de s'acclimater à la lumière du soleil pénétrant dans la pièce, Mac Hyavel reprenait petit à petit ses esprits. Il essayait de se remémorer ce qu'il s'était passé...

L'entrée de la mine, l'odeur suffocante, le travail harassant, et puis ...

Puis une espèce de monde à mi chemin entre le cauchemar et la réalité, un cauchemar terriblement réel, un réalité cauchemardesque... Souvenirs des pires moments de sa vie, déformés par son imagination, plus fantasmes que réalité, mais terriblement crédibles...

Il se tâte, vérifie qu'il existe, regarde par ci par là, cherchant avec angoisse un visage connu, espérant voir la beauté de son aimée, mais tout est encore flou. Puis épuisé, ferma les yeux et se laissa tomber dans son abîme, ne sachant toujours pas où il est...
Cali
Cali penchée sur le corps inconscient de Mac, essayait de l'ausculter .

RRRA ! Je ne vois rien avec cette crasse qui le recouvre .
La jeune femme alla chercher une cruche d'eau , une écuelle et un linge blanc. En passant elle remit à Bamba une goûteuse liqueur alcoolisée revigorantes à base de plantes.

Bois ça Bamba ça te fera du bien. Tu es épuisé .

Cali lui adressa un sourire puis retourna auprès de Mac. Avec d'infinies précautions, elle lui ôta ses vêtements ne lui laissant qu'un linge de corps et entreprit de le laver entièrement puis le sécha. Sans dire un mot, elle lui souleva la nuque en déplaçant sa tête.
La nuque était souple, aucune contusion visible sur le cuir chevelu ni sur la face. Les pupilles étaient réactives à la bougie qu 'elle passa devant ses yeux.

La jeune femme inspecta ensuite le corps du malade ne laissant rien au hasard . Elle ne descella ni coupure, ni piqûre , ni traces suspectes. En pliant ses jambes et ses bras, elle ne constata aucune fracture. Cali se redressa et regarda Bamba


Arf! Rien d'apparent ....
Elle regarda quand même de plus près sa langue et soulevant ses paupières, inspecta de nouveau ses yeux.

Tu sais Bamba... A part le fait évident qu'il est à bout de force, je ne vois rien .... mais.. arf... je ne sais pas, un doute persiste. Je pense qu' Extra pourra peut- être m'en dire plus. Peux- tu l'envoyer chercher ? S 'il se réveille, je pense que ça lui fera du bien de voir sa bien aimée. En attendant, je le veille et lui fais prendre quelques remèdes.

.... ha dis bien à Extra de lui ramener de la viande et quelques fruits, ça ne pourra que le remonter lorsqu ' il reviendra à lui. Pour l'instant repos !!

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Chevalier de la Plume d'Or - Championne du Poitou - Eprise de son Pierrot-Yoyo
Laudanum
Les lieues à pieds ça use pas que les souliers. Ca refile de sacrées belles ampoules aussi. Et une ampoule qui suinte ça fait rudement mal. Sûrement moins que la fistule anale des cavaleurs. Et sûrement moins mal placée aussi. Mais tout de même, faire la route en boitant faut avoir la patience...

La brune sous sa couche d'acrimonie n'en avait aucune, et elle maudissait les petites cloques qui se formaient sous sa peau meurtrie. La vase lui manquait. Lorsqu'elle y pataugeait elle avait la peau douce, et un parfum tenace de poiscaille qui lui rebouchait les pores et étouffait la sueur. Mais voilà, ici pas de lac. Des touffes vertes perchées sur des troncs à plus savoir quoi en faire, mais point d'étendue gorgée d'écailleux.

Quand elle franchît les murailles de la ville elle se rendit en taverne souffler un peu, et en profita pour se déchausser. C'est qu'il fallait bien aérer ces petites plaies aussi vicieuses que la peste, tant elles pouvaient handicaper le plus vaillant des marcheurs.
C'est là qu'elle eu vent de l'existence d'un dispensaire où l'on administrait des cataplasmes en soin à ce type de désagréments. Cataplasmes à base de vase certainement se dit-elle...c'était le traitement tout indiqué, et elle prît donc le parti d'aller se faire porter pâle. Elle suivit donc les panneaux indicateurs à défaut du Pano, en comptant les chardons croisés en chemin, et poussa la porte de la bâtisse...


Hey la tavernière, z'êtes là?
Bambata
Bamba , grimaçant , le dos courbé , les mains sur les hanche , essayait de reprendre son souffle . Ce ne serait pas dégradant de dire que Mac n'était pas léger .
Cali , se dirigeant vers Mac , lui donna , au passage , une goutte d'alcool .Il pensa a un verre d'eau bien frais , et de ce fait , l'avala d'un trait . Il eu la désagréable surprise de s'être trompé . Il eu l'impression que sa gorge s'en flammée . Pendant un court instant , il ne pouvais même plus espérer parler .
L'effet estompé , il posa sa main sur l'épaule de Cali , qui s'occupait de Mac , et lui dit tout simplement :


- Waou ! Il n'osa pas lui demandé d'en apporté en taverne

Cali , se retourna vers Bamba , et lui demanda d'aller chercher Extra ... Bamba poussa long soupire ,assez théâtrale , et , d'un pas nonchalant , il se dirigea vers la sortie .
Il manqua de peu de se perdre dans les couloirs du dispensaire . Dans une intersection entre deux couloirs , il tomba nez a nez avec celle qui manifestait une grande admiration pour les chardons de Thouars . Celle ci se mit a crier :


-Hey la tavernière, z'êtes là?

Tout en continuant sa route , marchant en arrière , pointant le doigt vers le lieu dit , il lui criait ,

- Oui , suivez le ce couloir . C'est la deuxième porte a gauche !

Puis Bam sortie dans les ruelles de Thouars , se dirigeant vers le bureau du Maire
Cali
Bamba venait de partir à l'instant quand elle entendit brailler à tue tête.


-Hey la tavernière, z'êtes là?


Et aussitôt , la voix de Bamba répondit - Oui , suivez le ce couloir . C'est la deuxième porte a gauche !


Délaissant un instant Mac, Cali alla ouvrir la porte et se trouva nez à nez avec Laudanum, un poison qui de suite avait annoncé la couleur... ça la changeait des poisons habituels qui se diluent tellement dans leur perfidie qu'ils en deviennent fades .

Cali la pria d'entrer.
Laudanum
L'esgourde pointait en guise de boussole, tentant d'appréhender les râles des malades. Mais le seul écho qui faisait tinter son enclume était celui du silence monacal qui tapissait les lieux. Froncement de sourcils, lui aurait-on menti sur l'endroit? Après tout elle trouverait bien de quoi soigner ses ampoules, et ptet aussi de quoi limer le cor qui s'invitait sous sa voûte plantaire, sans avoir demandé de laisser-passer. Elle en était à cet instant de profonde réflexion, quand elle croisa un autochtone qui lui indiqua le chemin à prendre.

"- Oui , suivez le ce couloir . C'est la deuxième porte a gauche !"

*Deuxième porte à gauche...deuxième porte à g... bon bah c'était pas bien compliqué...

Elle n'eut pas le temps de frapper que déjà la brunette lui ouvrait la porte.

Elle balaya la pièce du regard, humant l'odeur du vinaigre qui devait servir ici de désinfectant. Un lit était disposé à un bout d'une pièce, et un pauvre hère semblait y avoir établi ses pénates pour le temps de son agonie, ou avec l'aide de la malchance, jusqu'à sa guérison. Elle revint ensuite à la tavernière, et afficha un sourire enjoué.


Bon alors, c'est où que je me déchausse?
Cali
Laudanum jeta un regard dans la pièce en regardant un instant Mac encore inconscient.
Puis elle regarda Cali et souriante comme il se doit , elle lui dit :



Bon alors, c'est où que je me déchausse? Cali la précéda en lui montrant la petite pièce du fond utilisée pour les soins. Elle la fit asseoir sur la table et attendit qu'elle se déchausse puis se pencha sur ses pieds.

Houla! Ca c'est des pieds qui ont foulé beaucoup de route !
Cali souleva chaque pieds en regardant autour et entre les orteils aussi.

Bon! De jolies ampoules prêtes à éclater et un durillon sous la voûte plantaire . Pas de quoi fouetter un chat mais de quoi vous empoisonner la marche.

Je vais vous poncer le durillon en premier.


La jeune femme approcha une chaise et prenant place , mit le pied de Laudanum sur ses genoux . Et vas y que je te ponce avec une pierre râpeuse prévue à cet effet. Cali regarde sa patiente...


Hé oui!! Ca chatouille hein? Attendez de voir le reste !!
Du coup, ayant fini, elle donna un petit coup aussi sous l'autre pied pour prévenir.

Allongez vous sur le ventre... heu.. s'il vous plaît .
Cali alla chercher dans l'armoire une aiguille et du fil. Elle fit rougir l'aiguille sur la flamme d'une bougie pour l'aseptiser et passa le fil dans le chas.


Je sais que vous avez du en voir d'autres mais rassurez vous, vous ne sentirez rien.

La jeune femme perça délicatement chaque ampoules du pied droit et fit glisser le fil à l'intérieur en le laissant en place. Elle fit de même pour le pied gauche.


Ne bougez pas. Je laisse en place le fil, le temps que l'eau s'écoule de vos ampoules. Ensuite , je vous passerais une pommade .


Cali délaissa un instant sa patiente pour aller voir Mac. Elle se lava les mains et lui apporta un verre d'eau dans lequel elle avait distillé quelques gouttes de fortifiant.
Lui soulevant doucement la tête, elle le lui donna au goutte à goutte. La moitié du liquide se perdit le long de ses lèvres, Mac n'étant pas encore très réactif.
Cali secoua le tête et revint vers Laudanum.


Tout ne c'est pas encore écoulé. Il faut attendre encore un peu. Ca va?
Extraelle
Extraelle arriva essouflée au dispensaire. Elle avait couru à perdre haleine depuis la mairie, y laissant hôte, affaires en cours et une bonne partie de sa raison.
Elle surgit comme une folle échevelée dans la pièce et s'arrêta net devant Cali et une brunette qu'elle reconnût comme l'autoproclamée empoisonneuse publique.


Bonjour Cali, salutations corrosive damoiselle...

Puis apercevant Mac sur une couche au fond, elle se précipita sur lui sans autre forme de procès.

Cali, que s'est-il passé ?

Elle passa la main sur le front de Mac, tentant de calmer les battements de son coeur affolé, et notant mentalement qu'il n'avait pas de fièvre. Il avait le teint blème, les lèvres pâles et l'air épuisé. Elle s'approcha de son visage et lui souffla:

Mon amour ? Tu m'entends... ?
Bambata
[ retour au dispensaire ]

Bamba ouvra la porte , et annonça :

- Bon , elle devrait pas tar..... C'est là qu'il vit Extra , déjà arrivé , se tenant prés de Mac . Étonnée , il se demanda si c'est lui qui avait trainé sur le chemin du retour , ou si , plutôt , c'était Extra qui avait courut a vive allure ....

Puis , il vit Madame Poison . Légèrement , il se gaussa de la voir dans cette situation . Allongé sur le ventre , attendant que ces cloque se vide . Il regretta de ne pas être passé par la forêt , pour lui ramener un " Chardon de Thouars " en guise de souvenir .
Puis , se sentant réellement fatigué , il tira une chaise jusqu'a la fenêtre , s'assit .
Ses yeux ne tardèrent pas a ce fermer . . .
Cali
Laudanum n'eut pas le temps de répondre que Extra faisait irruption dans le dispensaire. Cali fit un signe de tête à sa patiente et alla rejoindre Extra. Lui posant la main légèrement sur l'épaule, en guise de réconfort, elle lui dit:

Extra.... Bamba l'a trouvé comme ça, inanimé à la mine . Mais il n'y a rien d' apparent. Ecoute.... Il est épuisé mais toi qui le connaît bien. Comment dire... Est ce qu'il souffre d'autre chose ? Ne me cache rien, même si ça te paraît anodin .

Du repos, bien sûr il en a besoin . Il me semble quand même de santé fragile.



Cali se retourna soudainement en entendant la porte s'ouvrir sur.... Bamba! Le pauvre n'arrêtait pas courir. Il s'assit sur une chaise et s'assoupit peu de temps après.
La jeune femme sourit et déposa sur lui une couverture.


Laudanum
Laudanum s'assit sur la table qu'on lui indiqua et jeta ses bottes à terre. Elle agita ses petons abîmés devant la tavernière devenue soigneuse, qui auscultait le moindre écart entre ses orteils.

"Houla! Ca c'est des pieds qui ont foulé beaucoup de route !

Bon! De jolies ampoules prêtes à éclater et un durillon sous la voûte plantaire . Pas de quoi fouetter un chat mais de quoi vous empoisonner la marche.

Je vais vous poncer le durillon en premier."


Le diagnostic était posé, rien d'alarmant somme toute, mais en effet de quoi empoisonner sa foulée, et pour l'Poison, c'était un comble. Elle avait bien essayé de ronger elle même son durillon, mais malgré sa souplesse elle n'était pas parvenue à atteindre l'endroit. On lui avait conseillé de le faire faire par un rat, mais ces petites bêtes étaient porteuses de germes encore plus vilains qu'elle.

Elle savourait le ponçage, qui était loin d'être désagréable, quoiqu'un peu chatouilleux. Mais elle avait l'habitude des algues et autre squatteurs d'eau douce et sa sensibilité s'y était faite, elle y prenait maintenant plaisir.


"Allongez vous sur le ventre... heu.. s'il vous plaît ."

Yep! Z'allez me faire un massage maintenant? Mais la brune ne l'entendit pas.

Elle s'exécuta, et attendit qu'on lui fasse les soins. Un pied, puis l'autre, de file en aiguille ses ampoules étaient percées. Elle n'avait pas mal, et pensa même faire un somme, mais les va et vient incessants l'en empêchèrent.

Ne bougez pas. Je laisse en place le fil, le temps que l'eau s'écoule de vos ampoules. Ensuite , je vous passerais une pommade .


*bah je risque pas de bouger vu la position dans laquelle je me trouve...si on pouvait m'installer un oreiller, et puis je serai pas contre une bière non plus. Et si l'autre comateux pouvait aussi faire moins de bruit...réclamait-elle intérieurement lorsqu'elle fut troublée par l'entrée d'une donzelle, apparemment intime avec l'alité. Elle allait répondre à son bonjour de circonstance, quand l'autre énergumène croisé précédemment dans les couloirs, et plus tôt encore en taverne, déboula lui aussi.

Nan mais c'est la fête ici, vous voulez pas aussi qu'on fasse un banquet? Ceci dit moi j'ai rien contre si y a de quoi étancher sa soif avec aut' chose que de la picrate. D'ailleurs z'auriez pas un truc à picoler par là?
Datan
Datan arriva peu après Extraelle, mais il avait du forcer le pas derrière elle pour ne pas la perdre de vue. Il pénétra dans la pièce où se trouvait Mac. En entrant, il salua les personnes présentes dont certaines qu'il avait croisé en taverne la veille.

Il s'approcha discrètement du couple d'amis, tout en restant à une certaine distance, et attendit de voir quelle était la situation. Il était réellement inquiet pour Mac, car il aimait bien ce couple qui semblait si uni. Depuis le temps où il avait connu ce jeune homme à Niort, il n'avait de cesse de suivre son parcours.

Aujourd'hui il voulait être là, à leur côté.
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Mac_hyavel
Mac Hyavel était encore dans son monde quand une douce voix le fit revenir quelque peu.

Mon amour ? Tu m'entends... ?


Sourire aux levres, il répondit

Oui, peux tu me donner de quoi écrire, avant que je me rendorme ?


Il voulait évacuer son cauchemar afin de faire de doux reves, avec notamment le visage de sa bien aimée...
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