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[RP- Privé ] Dispensaire de Thouars

Cali
Cali voyait revenir Aka, il lui fallait faire vite. Elle se pencha sur Zak et tout en lui caressant la joue , lui murmura doucement .

Zak... je n'ai pas le choix. Je vais devoir te cautériser... pardon pour la mal que je vais te faire.... Mord ça.


Entre ses lèvres entrouvertes, elle plaça un ceinturon en cuir. Elle n'aimait pas voir souffrir ceux qu'elle aimait et encore moins leur imposer des souffrances.

Les lèvres frémissantes, elle croisa le regard d'Aka puis glissa ses doigts sur les siens afin de prendre la lame chauffée à blanc qu'il lui tendait. Les plaies suintantes que Izaki zi avait au niveau des épaules n'étaient pas grandes mais profondes. Elle n'aurait pas à étendre la cautérisation heureusement , mais il en garderait à jamais les traces.

Lorsque ses doigts se refermèrent sur le linge qui entourait la lame , sa main se fit plus ferme et sa détermination aussi. La médicastre fit un signe de tête à son assistant afin qu'il maintienne en place le patient, puis elle posa son autre main sur le dos dénudé de son cousin et appliqua une première fois la lame à plat sur la plaie.

Il lui fallait rester stoïque et continuer malgré le grésillement de la peau se fondant sous la lame et l'odeur caractéristique des chairs brûlées, faire abstraction de la douleur insupportable qu'elle causait à Zak.
Puis elle retourna vivement la lame et l'appliqua sur l'autre épaule en priant pour que son cousin ait perdu connaissance.

C'est seulement en relevant la lame que sa main se mit à trembler. Le visage blafard, Cali partit jeter la lame dans les braises de la cheminée, emportant avec elle une bouteille de vin qu'elle se mit à boire directement au goulot, puis reposant la bouteille sur une table à côté, elle prit appui de ses mains contre la pierre et laissa couler ses larmes de rage.

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Chevalier de la Plume d'Or - Championne du Poitou - Eprise de son Pierrot-Yoyo
Izaki_zi


Le regard vide, posant son regard sur la pièce. Le souffle court, en lançant des regard sur les personne présente. Le Thouarsais ne savait pas pourquoi il était venu, tous était vide dans sa tête, des tas de question se balança dans sa tête comme un jeu de Soule en plein mois de Décembre. Il posa son regard sur le visage de Cali qui lui murmurais des chose incohérent pour lui, il ne comprenez pas vraiment les mots employer par la douce Cali. Il ferma les yeux doucement, puis les rouvrit et continua comme cela quatre fois a la suite, laissant son souffle se propageait obliquement sur le sol en dessous de lui. Il ne compris que se mots, qui voulait dire beaucoup. S'inquiétant de ce mots Cautérisais, il soutenu son regard sur le visage de Cali cherchant du réconfort.

Le soleil était au plus haut cette journée, il ne devais pas être tard au bruit des oiseaux qui crié comme des enfants voyant des bestiole morte. La salle n'était pas très grande mais illuminé par ce soleil éclatant. Par un geste maladroit il regarda la pièce, bougeant..... Oui fallait bien qu'il fasse quelque chose. Les lèvres tremblante, et sa peaux également aurait'il peur de cette mort qui n'est pourtant que si douce, Pourquoi tremblait'il.... Il n'en savait pas Grand chose.

Il entendis cette phrase de Cali, qui résonnait en lui comme une cloche résonnant a des kilomètre a la ronde.

Zak... je n'ai pas le choix. Je vais devoir te cautériser... pardon pour la mal que je vais te faire.... Mord ça.
Qu'avait'il bon dieu, Ces blessure lui faisait un mal de chien. Il serra les dents au rythme des lancement des blessure.A peine sentis, un autre lancement, qu'une lame le frôla pour ne touchais ces blessure. Le regard vide, cherchant un rien une image qui pouvait gardais dans sa mémoire, et percuta sur les visages de Akashia et Arylis. Il essaya de rassembler des mots de sa bouche prise par un ceinturon, ce mots devais sûrement être un Merci, mais par manque de compréhension il n'en voyait que un mots mal prononcé.

Après que Cali avait fini, de chauffer toute ses blessure il laissa tombé sa tête sur la table serrant les dents sur le ceinturons sans ne prononcé aucun mots, aucun crie ne sortait de sa Bouche.Même si il aurait voulu crié, il se retenu.
Arylis
Arylis avait arrêter de s'occuper de Cali, elle surveillait du coin de l'oeil Lafée tout en continuant son rangement, faut dire qu'il y en avait des choses. Elle eut une pensée pour le pauvre Akashia qui avait du tout porter depuis Poitier.

Alors qu'elle allait poser le dernier flacon, rempli d'une odorante huile de violette, une autre odeur bien plus âcre s'insinua jusqu'à ses narines. Elle se retourna dans l'instant pour découvrir Cali, une lame chauffée à blanc dans la main, en train de cautériser les blessures de l'homme mal en point. Son nez se fronça avec violence, ses yeux bleus virèrent au noir et se mirent à briller de larmes. Ses points se serrèrent et elle fut la seule à voir danser les lumières jaunes, à entendre les cris d'agonie, à sentir cette odeur tellement plus forte et mêlée à celle du feu de bois.
La cautérisation fut rapide, Cali ne s'attarda pas. Lorsqu'elle s'éloigna du corps immobile pour jeter la lame souillée dans l'âtre, la brunette lut sur le visage d'habitude rieur la marque amère que laisse le dégoût et la douleur.

La jeune fille reprit rapidement ses esprits. Elle s'approcha et prit la place de la médicaste qui devait elle aussi se remettre. Se penchant vers l'homme qu'elle croyait évanouie quelle ne fut pas sa surprise de découvrir qu'il n'en était rien. Elle se mordit la lèvre et des larmes faillirent jaillir de ses yeux, il devait souffrir au-delà du possible. Elle comprit qu'ils ne pouvaient pas le laissa là. S'il avait perdu connaissance cela aurait simplifier les choses et la douleur se serait estompée avant son réveil. Mais dans ces conditions il lui était intolérable de le laisser ainsi et il n'existait nul calmant pour la brûlure, la seule solution était l'eau vive qui permettait de chasser petit à petit la chaleur.

Akou. Il faudrait le transporter à la rivière afin de l'arroser à volonté. on doit bien avoir une civière quelque part pour le transporter. Tu m'aides ?

Posant une main fraîche sur la joue du blessé elle lui sourit et hôta délicatement le ceinturon d'entre ses dents.

Doucement. Ca va aller. Nous allons essayer de calmer la douleur. Laissez vous faire.

En attendant Akashia, partit chercher un brancart, la brunette chercha le regard de Cali et par là-même son approbation pour déplacer le patient.
Akashia
Akashia vit la main de Cali trembler avant de se saisir du couteau. Il croisa son regard et lui insuffla autant de courage et de volonté qu'il pouvaitPuis le regard se durcit.

Akashia vérifia que le ceinturon soit bien placé dans la bouche et croisa le regard du blessé. Au signal il bloqua l'homme contre la table. Cali plaqua le couteau chauffé a blanc contre les blessures. le grésillement caractéristique de la peau qui brule ... une certaine odeur de cochon grillé sauf que c'est la chair humaine qui grille ... L'homme se raidit sous ses mains et il assura sa poigne sur lui afin que Cali puisse travailler dans les meilleurs conditions possible.

Enfin ce fut fini ... L'homme avait réussi a étouffer ses cris dans le ceinturon mais avait la machoire verrouillée sur le cuir.

Cali s'éloigna et il crut qu'elle allait vomir ... lui meme avait l'estomac un peu retourné ...
Arylis lui demanda d'aller chercher un brancard ... mais il se demanda si c'était une bonne idée de le transporter avec un traitement pareil ...

Il alla prendre la bouteille des mains de Cali et prit aussi une bonne rasade ... Puis alla en verser sur le dos du blessé pour finir de désinfecter les blessures. L'homme se cambra sur la la table avant de retomber vaincu par la douleur sur la table.

Il la redonna a Cali a qui il demanda ce qu'il convenait de faire a présent.

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A vaincre sans peril ... On triomphe sans gloire ...

Oderint Dum Metuant
Cali
Akou. Il faudrait le transporter à la rivière afin de l'arroser à volonté. on doit bien avoir une civière quelque part pour le transporter. Tu m'aides ?

Cali releva lentement la tête en entendant Arylis....s'occuper de la douleur... l'eau éteint le feu..... La médicastre se reprit et s'approchant de son cousin, vit avec horreur qu'il n'avait pas perdu connaissance . Elle s'agenouilla face à ses yeux fiévreux afin qu'il la vit.


Zak... on va calmer cette douleur.. tiens bon...


Cali se redressa et regarda Arylis.


En effet il m'est arrivé de calmer le feu des brûlures par la fraîcheur de l'eau mais il faut trouver un moyen pour que son corps bouillant de fièvre ne soit pas immergé dans l'eau glacée. Il ne supportera pas la différence de température.
Par contre à nous trois on peut facilement verser de l'eau en relais sur ses brûlures.

Il y a un puits juste près du dispensaire alimenté par l'eau fraîche de la rivière.

Cali se tourna vers Aka pour lui expliquer.


Aka tu veux b.... AKA NON !!!!


Cali lâcha la bouteille que son assistant venait de lui coller dans les mains, abasourdie de l'avoir vu trop tard verser du vin sur le dos du patient et hurla.


MAIS QU' EST CE QUE T'AS FAIT ???


Elle attrapa une cruche posée sur une table et arrosa le dos de Izaki zi puis regarda furieusement Akashia.


Mais nom de Dieu il te passe quoi par la tête? On ne met jamais d'alcool sur une brûlure !! C'est comme si tu attisais le feu!!

Vite Arylis ! Au puits, il faut rafraîchir ça ,vite!!


La médicastre s'empara d'un récipient et courut au puits remonter de l'eau glacée puis revint en verser doucement sur les plaies cautérisées de son cousin et repartie en faisant plusieurs fois le trajet, secondée par Arylis.


Aka ! aller toi aussi fait vite et va chercher de l'eau!

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Arylis
Ce qui se passa avant la brunette le vécu comme dans un rêve. Ses yeux bleus s'étaient perdu dans la contemplation horrifiée des larges marques qui s'étendraient à présent pour toujours sur le dos de l'homme.

Ainsi leur peau laiteuse avait fini avec cet aspect là ?
Leur chevelure si magnifiques avaient subit un sort semblable ?
Leurs mains si expertes et si douces n'avaient donc pas été épargnées par ce feu dévastateur ?

Elle perçu les premiers mots de Cali à travers un brouillard d'incompréhension et n'en sortit qu'en entendant Cali crier. Elle vit le liquide sanguin sur les brûlures et sentit le blessé se cabrer sous ses mains. Ce fut comme si le corps meurtri s'enflammait.

Vite Arylis ! Au puits, il faut rafraîchir ça ,vite!!

La médicastre était déjà partie, Arylis la suivait et elles se relayèrent ainsi jusqu'à ce qu'Akashia vienne les aider.
Cali
La douleur semblait s'être calmée car Izaki zi paraissait plus détendu.
Cali passa un linge sur le front humide de sueur de son cousin puis lui prépara une tisane calmante. Doucement après avoir sécher son dos, elle déposa un baume sur ses brûlures , plaça des compresses et banda ses épaules.

Le patient lui murmura quelques mots à l'oreille et Cali approuva de la tête en se redressant.

D'accord Zak.. comme vous voulez.

Cali se retourna vers Arylis et Aka.


Je dois partir quelques jours en retraite. Zak aimerait que je l' emmène avec. Il en repartira lorsqu'il se sentira mieux et qu'il aura recouvré un peu de force.

Je vous confie le dispensaire à tout les deux . Je serais de retour le 18.


Cali les embrassa en souriant.


A bientôt !


Elle fit venir une chariotte dans laquelle elle aida son cousin à s'installer et partit avec lui chez les nonnes.

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Arylis
Après avoir abondamment arrosé le blessé Cali avit fini de panser ses blessures pendant qu'Arylis s'occuper d'éponger toute l'eau qui s'était échappée des seaux lors de leurs folles cavalcades. Lorsque tout fut à nouveau propre et net la brunette revint vers Cali, Akashia près d'elle.

Je dois partir quelques jours en retraite. Zak aimerait que je l' emmène avec. Il en repartira lorsqu'il se sentira mieux et qu'il aura recouvré un peu de force.

Je vous confie le dispensaire à tout les deux . Je serais de retour le 18.


La jeune fille hocha la tête.

D'accord Cali, on arrivera à s'en sortir d'ici là. Mais du coup je ne pense pas te revoir car je partirais moi-même en retraite, et pour deux semaines.

Arylis rendit sa bise à la médicastre puis la regarda s'éloigner avec le dénommé Zak. Elle pressa affectueusement l'épaule d'Akashia puis se dirigea vers le lit de Lafée. La brunette inspecta les pansements et ne notant aucune trace de sang elle sourit à la femme.

Bon tout ça m'a l'air correct. Si tu le souhaites tu peux partir en compagnie de ce monsieur qui tient tant à te tirer de mes griffes. Mais fait attenion à toi Lafée et évite les folies en taverne pour le moment.

Après un clin d'oeil entendu la jeune fille s'éloigna pour préparer une petite bourse de cuir dans laquelle elle glissa diverses plantes.

Des tisanes calmantes, autant pour la douleur que pour t'obliger à avoir un bon sommeil. Garde ton pansement aussi longtemps que possible, une semaine minimum, ensuite s'il ne se défait pas garde le deux semaines. Et enfin un flacon de pommade que tu passeras ensuite le matin sur tes plaies. Voilà. Bon retour.

Arylis avait énuméré toutes ses précautions en accompagnant sa patiente à la porte. Lorsque Lafée et son compagnon furent hors de vue la jeune fille inspira un grand coup.

J'irais bien faire un tour moi ...

Avisant un éclair gris dans les arbres proches elle en conclut que c'était un signe. Criant à Akashia qu'elle sortait pour quelques heures elle se mit à courir pour rejoindre l'écureuil sous le couvert des arbres et bientôt, ils disparurent.
Akashia
Avant meme de dire OUF ... Akashia se retrouva comme un c... tout seul dans le dispensaire ...

C'est pas possible ca ...

Il passa la tete par la porte et hurla :

MAIS PUISQUE JE VOUS DIS QUE JE ME SUIS LAVEEEEE !

trop tard ... plus personne ... le dispensaire était vide et rangé ! c'est pas possible ca !

C'est en grommelant qu'Akashia partit en claquant la porte .

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Oderint Dum Metuant
Xenav
xenav rentre en boitant et sourit.
bonjour qu'elle qu'un peut m'aider une plache met tombe sur le genoux
Cali
Arrivée juste derrière Xenav qu'elle avait croisé en taverne et envoyé au dispensaire , Cali aida la jeune femme à prendre place sur la table de la petite salle d'auscultation.

Oui ton genoux est enflé mais il n'y a pas de fracture. Xen , je vais te faire un emplâtre mais toi ensuite tu vas me faire le plaisir de prendre du repos sur un des lits du dispensaire.
De toute façon, après la pose de l'emplâtre, il ne faudra pas bouger donc ça tombe bien.


La médicastre mélangea dans un récipient , de la farine et un oeuf puis trempa dans un bol d'eau des feuilles de figuier et de pavot champêtre. Elle appliqua sur les genoux les feuilles fraiches et badigeonna la mixture qu'elle mit pardessus en l'appliquant à l'aide de ses mains.

Ca va jeune Demoiselle ?
Tout en lui parlant, Cali entoura le genoux de larges bandes de tissu .


Voilà ! Je me lave les mains et je t'aide à te mettre au lit. Repos en attendant que l'emplâtre prenne et je te garde une nuit. On verra demain comment ça va.

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Datan
Datan entra de le dispensaire, une main dans un linge, et regarda les lieux comme un simple promeneur. Patiemment il attendit qu'on vienne s'occuper de lui, tout en espérant ne prendre la place de personne. Il s'aperçut alors que le dispensaire était fort utile et pensa au refuge qu'il préparait à Dampierre avec ses proches.

Il chercha Cali du regard pour voir si elle était dans les parages...

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Cali
Xenav s'était reposée un temps , puis était repartie son genoux allant mieux.
Cali avait profité du beau temps pour donner les draps à laver à des blanchisseuses et faisait l'inventaire après ce long et rigoureux hivers.

Un son à peine perceptible lui parvint de la pièce d'à coté. La médicastre jeta un coup d'oeil et vit Datan au beau milieu du dispensaire.


Datan ? Quelle surprise ! Visite de courtoisie ou tu as un soucis ?


Elle s'approcha de celui qui fut son compagnon il y a peu de temps et son ami maintenant et posa une bise sur sa joue.

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Akashia
Akashia qui aidait Cali de si de la vit entrer Datan.

Il se demanda s'il devait rester a proximité au cas ou Cali aurait besoin d'aide ... Ou s'il devait s'éclipser.

Il opta pour une compile des 2 et alla dans la salle attenante a portée de voix ...

Et commenca l'inventaire des plantes séchées en sifflotant

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Oderint Dum Metuant
Datan
Ah ! Cali, je suis heureux de te voir. C'est bête, tu vois, il m'arrive une mésaventure... rien de bien grave, enfin j'espère. J'ai... disons que dans la maison où je vis à Thouars, il y a quelques rats et j'ai voulu leur tendre un petit piège.

Datan découvre la linge et montre ses doigts pris dans le piège.

Malheureusement, tu vois, c'est la grosse bête qui s'est fait prendre et je n'arrive pas à enlever ce foutu piège d'une seule main...
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