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[RP- Privé ] Dispensaire de Thouars

Yoyo_le_rouble
C'était la première fois que j'entrais au dispensaire, de cette manière..
Je n'avais jamais eu le temps de véritablement faire attention à l'endroit, ses fenêtres, ses murs, ses meubles, ces détails qui donnent une identité à un lieu, ce lieu où elle y passait le plus clair de son temps, et dans lequel j'ai toujours voulu y jeter un oeil, par curiosité, mais n'ayant jamais trouvé de prétexte probant pour visiter l'endroit et venir la voir ici.

Et à présent que j'y étais, en qualité d'invité.. Je n'en profitais pas.
Car mes yeux ne pouvaient se détacher de Cali. Je restais silencieusement dans un coin, ayant bien vu qu'il y avait plus de peur que de mal pour ma filleule, et j'observai ma Cali, d'un oeil nouveau, d'une manière que je ne me serais jamais permise auparavant...
Je la regardai tendrement, son gestes appliqués, sûrs, attentionnés, ses petits sourires et ses mots pour la petite Méli pour la rassurer, puis cette lueur qu'elle avait dans les yeux lorsqu'elle avait terminé, cette joie dissimulée d'avoir pu aider.
Je sentais mon coeur battre un peu plus fort en constatant tout cela, l'impression de la découvrir un peu plus... et qu'elle me plaisait d'autant plus.
Je regardai aussi la petite Méli imiter ses gestes en cachette... Preuve que Cali suscitait l'admiration, même chez les tout petits.

Je souris avec douceur, en voyant les petites attentions supplémentaires pour Méli, avec le petit noeud, le bisou magique et le caramel.


Monsieur………Monsieuuuuuuuurrrr ……..Vous avez un bobo vous aussi…….. Monsieuuuur YOYOOOOO ?

Il faudra pas oublier de lui donner un carammmmmel…… heinn Mamiiieeee ?


La voix angélique et de nouveau enjouée de la petite Méli me fit sortir de ma petite rêverie et m'arracha un petit rire.

Non, ma puce, ne t'en fais pas.. Je n'ai aucun bobo.

Je levai les yeux vers Cali, puis lui sourit tendrement.

Je n'en ai plus aucun, grâce à ta Mamie....

Euh... mais je veux bien un caramel, quand même si elle est d'accord et qu'elle me le conseille pour ma bonne santé.


Puis je m'approchai d'elles en souriant, et passai une main dans les cheveux fins de ma filleule.

Et pis d'abord, d'où ça vient ce "Monsieuuuuuuuuuur Yoyooooo" ?, gourmandai-je Méli avec une air drôle et faussement outrée, avant de lui sourire et de déposer une bise sur son front.
S'il te plaît, appelle-moi juste Yoyo, sinon je vais bouder dans un coin. Parole de canard.

Ça va mieux à présent, Princesse ? Comment tu t'es fait ça, dis ?

Je plissai un peu les yeux... remarquant les traces de terre et de mousse sur les vêtements de la fillette, et sur ses jambes... Me rappelant que gamins, je jouais à chasser des monstres imaginaires dans la forêt, et que ce n'était, pour la plupart du temps, pas sans égratignure.

Ou plutôt, qui t'a fait ça ...? Tu veux qu'on aille tous les deux leur régler leurs comptes tout à l'heure à ceux-là ?
Ariia
Aria fit un petit sourire à Akashia lorsqu'il lui demanda s'il pouvait avoir un avocat pour répondre aux questions qu'elle posait... Puis il lui indiqua le chemin ou se trouvait sa petite soeur Meli...

Sans attendre plus longtemps, elle prit donc le chemin de la salle ou était sa soeur et cria à Akashia :


"MERCIIIIIIIIIII"


En entrant dans la pièce, elle vit que Meli n'était pas toute seule, il y avait sa grand mère et Yoyo, ba oui yoyo car pour le moment, pour la fillette, il n'était plus son tonton, mais ça c'était juste le temps de se faire à l'idée qu'il soit amoureux de sa mamie... bien qu'elle aura beaucoup de mal à s'y faire... du statut de tonton, il passe au statut de papy.... mouarf...
Bref la fillette s'approcha alors de sa petite soeur et la regarde inquiète telle une grande soeur :


"T'as fait quoi p'tite soeur ? c'est qui t'as fait le bobo ? hein dis moi..."
Enguerand_reinhart


Retours au bercail

Elle était toute belle la petite kiiara qu’on avait connue comme une mini chieuse…
Elle revenait changé, plus sage, plus grande, quelque forme naissaient sur sa poitrine, en même temps que ses hanches s’épaississaient, Son visage angélique paraissait aussi innoncent que les coquelicots au soleil
Mais en son cœur un volcan….
C’était une jeune femme, la vie lui ouvrait les bras comme sa chaire était ouverte d’une blessure ressente.
Ses pas dans la poussière… ses yeux rivé sur les murailles. Elle entre part les grande porte du village
En ses yeux lueur triste mais fière à la fois, elle marche comme guidait par des souvenirs lointains…
Ses bras. Elle en n’a besoin… elle veut être soignait mais par physiquement… sa chaire ne saigne pas … mais plutôt en son âme qui semble condamné a une tristesse sans fin et une souffrance qu’elle ne peut définir…
Elle était sans aucun doute destinait à séduire pour mieux quitter … mais voilà. Événement qui change tout une vie en une fraction de secondes….
Elle stoppe sa marche.
S’arrête et lève les yeux pour regarder l’écriteau…
Oui elle y était enfin …
Ses yeux se remplissent de larmes sans qu’elle puisse les retenir et viennent inonder son visage nacrés
Ouvrant la porte elle reste sur le palier les bras ballant…
Et parle espérant que quelque par elle soit là… son restant de famille … sa ressource pour revivre…

Coucou, c’est moi ! Est-ce que t'es là ?
J'ai tellement froid, j'ai le cœur gros, ne veux tu pas me tenir chaud…. Tata …. Me revoilà"


Elle a comme des cailloux dans la voix …
Ses yeux azure ne sont qu’océan qui s’échoue sur le sable …elle s’écroule a l’entré anéantit…. Et sanglote comme une enfant … l’enfant qu’elle était … qui ne pleurait jamais… elle se laissa aller a cette tristesse qui n’était plus que touèrent qui se déverse… se laisser allé que cela faisait du bien…
Déjà elle imaginait les bras réconfortant de sa tante… elle lui raconterait tout. Cali lui dirait que ce n’est rien … qu’elle n’était plus seule… et enfin elle guérira c’était sur ! Enfin c’est se quel espérait…
Meliisende
Meli regardait son parrain avec tendresse, elle l’aimait bien se yoyuooooo ^^

Il lui répondit que tout allez bien mais qu’il aimerait bien un caramel.


Meli regarda tendrement Cali et lui dit.

Mammie on peut lui donner un caramel le pauuuvreee ? Il a besoin d’un médicament regarde il est tout maigre.

Bien entendu yoyuo ne manquait pas de nourriture mais Méli essayait de trouver des excuses pour que sa mamie veuille bien lui en donner.

Elle fit une grimace pour accentuer sa demande, quand soudain son parrain lui demanda comment elle avait fait ça. Son expression changea tout à coup et énuméra son aventure.

Elle se mit donc à raconter ses péripéties en omettant bien entendu ses petites bêtises.


Ben ce sont des méchants, ils m’ont attaqué..... alors moi j’ai fait comme çaaa……

à chaque phrase Melissende montrait par des gestes ce qui c’était passé

……. et puiis encore comme ca...... et encore comme ça

Meli fit des gestes afin de montrer comment elle avait du se battre contre ses ennemis ; Puis tristement elle rajouta

Mais ensuite mon ennemie juré le chevalier noire m’a attaqué par derrière. Et il m’a faiiiiiiit maaaal au doigt et piiiii ben il est parti en courant.

Yoyuo écoutant son récit lui proposa d’allez les combattre Melissence toute contente accepta et lui prit la main pour y aller tout de suite mais elle vit tout à coup sa sœur qui apparaissait dans l’entrebâillement de la porte.

Ma soeuuur.

Melissence s’empressa de montrer son bobo au doigt.

Regarde mamie m’a mit un nœud rose.

Elle rit de bon cœur et lui expliqua brièvement ce qui s’etait passé et lui proposa de venir avec elle.

En se dirigea vers la sortie lorsque Meli apercut une dame au sol de l’entrée. Se considérant comme sa mamii « médecin » ^^ elle lâcha la main de yoyuo et fonça sur la dame en appellant sa mamii


MAAMMIIIII…..MAMMMIIIII

Elle caressa les jolies cheveux de la dame en attendant l’arrive de sa mamie
Cali
Les larmes de Meliisende n'était plus qu'un souvenir . Elle gambadait gaiement dans le dispensaire sous les yeux Amusés de Cali et Yoyo en montrant fièrement son doigt enrubanné . La jeune femme les regarda tout les deux discuter du terrible événement et admira la façon dont Yoyo parlait à la petite. Avec lui, les choses se faisaient naturellement. Il avait vraiment un don pour parler aux enfants.

La porte s'ouvrit soudain sur la grande soeur de Méli , Ariia , la première fille de Téte. En fait , elle n'était pas si grande mais du haut de ses sept ans, elle avait déjà un caractère bien trempé.
Cali sourit en voyant qu'Ariia faisait comme si ils n'étaient pas là, s'adressant uniquement à sa petite soeur. Elle leur avait clairement fait comprendre que ça la dérangeait qu'ils soient amoureux l'un de l'autre. Ca chamboulait un peu ses repaires mais elle s'y ferait. Il fallait juste lui laisser le temps pour ça.

"T'as fait quoi p'tite soeur ? c'est qui t'as fait le bobo ? hein dis moi..."

Encouragée par sa soeur et Yoyoy, Meli partit dans un récit des plus rocambolesque où il lui était arrivé plein de chose dont sa rencontre avec le terrible chevalier noir !
Du coup tout le monde était sur le pied de guerre et après la proposition de Yoyoy d'aller régler leurs comptes à ces méchants, Meli embarqua Yoyoy, proposant à Ariia de venir avec eux.

Cali leur distribua des caramels en provision. Avec une expédition pareille, il leur fallait des réserves !


Euh.. soyez prudents !!


La médicastre sourit en les voyant partir puis se demanda où était Aka.


MAAMMIIIII…..MAMMMIIIII
Ca y est se dit Cali, ils n'ont pas le même nombre de caramels !!

Elle prit une poignée de caramels et arriva dans l'autre pièce en souriant mais fronça immédiatement les sourcils en découvrant Méliisende caressant les cheveux d'une jeune fille en pleurs assise à même le sol.

Cali donna les caramels à Yoyo et s'agenouilla devant la frêle jeune fille en larmes.


Ca ne va pas mademoiselle ? Vous êtes blessée ?

Elle souleva doucement son visage , la regarda puis blêmit. Lorsque la jeune fille posa les yeux sur elle, Cali se prit de plein fouet toute la détresse que son regard portait mais interloquée , elle resta muette un instant.
Elle ne l'avait pas reconnu de suite en la voyant. C'est enfant qu'elle l'avait vu pour la dernière fois et là, c'est une jeune fille qu'elle était à présent. Mais ses yeux, jamais elle n'aurait pu les confondre avec d'autres.


Oh... Kiiara... ma puce..
Cali s'assit par terre à ses côtés et la prit doucement dans ses bras en la berçant contre elle. Ca va aller... je suis là Kiiara....
Elle lui caressa doucement les cheveux en continuant à la bercer.


C'est ma nièce.. Kiiara... Yoyoy ? Tu veux bien emmener les filles ? Vous avez une chose à accomplir je crois.. et Kiiara et moi, on va rester ici ensemble.. on a à parler.

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Chevalier de la Plume d'Or - Championne du Poitou - Eprise de son Pierrot-Yoyo
Ariia
Ariia écoutait sa petite sœur lui conter brièvement son histoire... Puis celle ci lui proposa d'aller chasser les méchants avec Yoyo... Ariia les regardait et leur dit :

"Non, j'ai pas envie...Allez y tout les deux... moi j'vais aller j'sais pas ou..."

Puis elle prit la direction de la sortie sans même attendre de réponse... Elle voulait se retrouver toute seule comme toujours...
Enguerand_reinhart


Bras réconfortant d’une tante


Torrent de larmes sur des joues pures. Elle n’arrive pas à les sécher, voilà se que c’était que de les avoir retenue tant d’années.
Père mort beaucoup trop tôt…. Mère disparue… abandonnait ?elle n’arrivait pas a le croire… …? Pureté taché….c’était cela sa punition pour ne pas être sage ?
Une petite main se pose sur sa tête recroquevillait, elle fronce les sourcils un instant perplexe les mains de Cali étaient elle si petite ??? Elle ne s attendait a cette caresse si… lointaine…et levant la tête elle n’a pas le temps de voir de qui il s’agit que sa tante se précipite sur elle prenant son visage inonder entre ses mains.
Elle n’avait pas changé … certes quelques mini rides au coin de ses yeux étaient apparues… mais sa beauté était complète, son visage plonge dans son cou, oubliant la petite main frêle qui l’a câliné juste avant. Elle lâche prise recoquillait dans les bras de sa tante. Elle était enfin là… belle tel un ange tombé du ciel


Ho tata… tata…. Tata…..

Les autres autour ne compte pas, seul importe ses mains qui la berce… ce corps chaud qui a le dont de soigner n’importe quel blessure, « ho tata soigne moi je t’en pris j’ais si mal dans mon être » pense t’elle
Elle se sert contre elle inspirant cette odeur qui est presque celle de sa mère, une odeur qui lui manque plus que de raison …
La chemise de sa tante n’est qu’une marre de larme salée…. C’est toute son âme qui se déverse dans les bras familier….. ne l’avait-elle pas fait naitre ?... ne l’avait-elle pas sauvé d’une mort précoce ?
Cette fois elle en était sur elle avait frappé a la bonne porte…et toute ses année d’exile et de voyage semblait bien terne comparer a ce petit bout de femme … son restant de famille….
Akashia
Akashia était dans l'herboristerie ... Il se sentait de trop entre les enfants qui venaient voir Mami et Yoyo.

Quand d'un coup le calme revint au dispensaire. Il soupira d'aise décidément les petites étaient de vrais tornade ... Il ne se rapellait pas que Arie.anne avait était comme cela ... Et pourtant cela devait etre le cas car elle n'avait pas été un enfant des plus calme bien au contraire !!

Il sortit en sifflotant de la remise pensant etre seul quand il vit Cali agenouiller au sol tenant dans ses bras une jeune femme ... ou jeune fille encore peut etre il ne le savait pas ne pouvant voir son visage plongé dans son cou ... Et des sanglots ... des sanglots a n'en plus finir ... Il semblait que la jeune fille n'en pouvait plus de pleurer tant elle semblait avoir retenu trop longtemps un mal enfoui au fond d'elle.

Il regarda Cali un regard interrogateur ne sachant si c'était une nouvelle patiente épuisée d'un long voyage ... Ou une connaissance de son amie. Il se demandait s'il devait rester ou laisser les 2 femmes seules ...

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A vaincre sans peril ... On triomphe sans gloire ...

Oderint Dum Metuant
Akashia
Akashia préféra s'eclipser ... ca faisait bien assez longtemps qu'il était parti ... et n'aimait pas laisser sa femme trop longtemps seule actuellement si proche du terme ... Et puis elles avaient l'air de se connaitre et besoin de se retrouver seules !
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A vaincre sans peril ... On triomphe sans gloire ...

Oderint Dum Metuant
Cali
La jeune femme secoua la tête en voyant partir Ariia ronchonnante . Elle avait beaucoup de mal en ce moment avec la petite. Délà elle ne semblait pas accepter la relation qu'elle avait avec Yohan qui de fidèle amitié était devenu amour inconditionnel, et de plus les parents de ses deux petites filles étaient partis pour un temps, les laissant à leur charge. La gamine était déboussolée.

Cali regarda Yohan et Meliisende en espérant qu'ils pourraient la rattraper. Elle reporta son attention sur la petite chose toute fragile qu'elle berçait entre ses bras... sa nièce kiiara qui était devenue une ravissante jeune fille et qui avait hérité des magnifiques yeux azur de sa mère. La jeune femme la serra tendrement dans ses bras puis souleva son menton doucement en écartant les mèches de cheveux qui lui mangeait le visage et lui dit d'une voix douce.

Kiiara.. tu es revenue chez toi.. je suis là, ça va aller. On va aller boire quelque chose de chaud et si tu le veux bien , tu pourras me parler. D'accord ? Viens ma puce..


Cali aida la jeune fille à se lever et croisa le regard interrogateur d'Akashia qui venait d'entrer dans la salle. Il sembla comprendre la situation car discrètement il s'en alla, les laissant seules.
D'un bras encerclant sa taille fine, elle soutint sa nièce en l'accompagnant jusqu' à la petite pièce où elle la fit s'asseoir sur son lit de repos pendant que sur l'âtre elle mettait de l'eau à chauffer.
Ensuite elle la rejoignit et passa doucement un linge humidifié et parfumé à la lavande sur le visage baigné de larmes de la jeune fille. Ses gestes étaient doux, emprunts de tendresse.

Elle laissa le temps à Kiiara de se détendre pour avoir le courage de lui parler. La jeune fille était venue la voir elle, sa tante et semblait si perdue.
La médicastre était inquiète et espérait qu’il ne lui soit rien arrivé de terrible... cette enfant en avait déjà assez vu, la mort brutale de son père, leur agression où sa mère et elle avaient été laissé pour mortes à Poitiers.. Elle se souvint comme son coeur avait été déchiré de peine et de rage en soignant le petit corps blessé..... et Kiss qui avait disparue....

Cali caressa tendrement la joue peau de pêche de sa nièce avec une infinie tendresse.

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Chevalier de la Plume d'Or - Championne du Poitou - Eprise de son Pierrot-Yoyo
Enguerand_reinhart


La confidence

A la maison. Elle était à la maison …
Un mots qu’elle n’avait pas entendu depuis des années…soutenue par Cali elle fut transportait loin des yeux curieux et inquièts, assise sur le lit elle baissa la tête en tripotant ses mains d’un air fébrile Le doux linge chaud éfleura sa peau douce mais rougit d’avoir toujours autant de larmes dans les yeux Elle planta son regard azure dans ceux de Cali et prit ses mains qu’elle serra plus que se qu’elle aurait voulu
La sentir était déjà un réconfort incomparable
Se geste était plus là pour lui demander de ne plus bouger .. car si qu’elle devait lui dire devait sortir de sa bouche avant qu’elle n’en n’ais plus la force
Un souffle sort de ma commissure de sa bouche.. pour dire une phrase qui brûle ses lèvres … lèvres meurtit…

Pardon .. tata … pardon…

Elle recommence a frotter ses bras vigoureusement

C’ ma fautes…
Ses yeux se referment aussi fort qu’ils le peuvent laissant des larmes a nouveau térrasser son visage de porcelaine

Il était trop fort .. trop lourds… tellement… brutale

Elle eclate en sanglot….

Ma robe tata… ma jolie robe…il l’a déchiré…

Elle se recroqueville sur elle-même….

Sa bouche tata…sur ma bouche.. il m’a presque étouffé..... j’ais était si faible… si lâche j'aurai du... j'aurait put!

Elle pensa a sa mère qui l’aurait surement trouver bien terne comparer a la fougueu qu’elle aurait mit pour le massacré ….le repousser.. surement aurait t’elle trancher quelque membres…
Quel était pale compraré a elle…

elle la regarde en fronçant les sourcils de douleur..

tata… il m’a déchirer les entrailles… j’ais eu si mal … j’ais… si mal … j’ais si honte… je ne veux plus jamais sortir … je veux mourir…!!
elle se revoyait sur le sol, échouer comme une vague sur la plage.. ses vêtement ouvert avec violence.. la jupe blanche immaculée tache de rouge qui se deverse sans comprendre vraiment d’où et pourquoi …
l’homme lui avait prit sa lune .. elle était encore vièrge de caresse … et de baisés, aujourd’hui ne n’était que l’ombre d’elle-même et entre ses larmes elle n’arrêta pas de chuchoter

Pardon … pardon… pardon….
Cali
Cali posa le linge humide machinalement sur le lit quand Kiiara lui prit les mains dans les siennes, les serrant fermement et planta son regard triste et azuré dans le sien.
Elle resta assise à ses côtés en hochant doucement la tête pour l'encourager à se confier.


Pardon .. tata … pardon… C’ ma fautes…


La jeune femme observe le visage de sa nièce qui ferme les yeux faisant perler à nouveau des larmes qui coulent lentement sur ses joues et elle ne peut retenir un léger soupire de soulagement... une bêtise, elle est juste en train de lui avouer une faute. Cali souffle discrètement après avoir retenue sa respiration.


Il était trop fort .. trop lourds… tellement… brutale…


Brusquement son corps frissonne de la racine des cheveux jusqu'à ses jambes dénudées. Cali cligne des yeux de façon imperceptible ... c'est impossible... elle a du mal entendre, mal comprendre.
Kiiara éclate en sanglot et poursuit..


Ma robe tata… ma jolie robe…il l’a déchiré…Sa bouche tata…sur ma bouche.. il m’a presque étouffé..... j’ais était si faible… si lâche j'aurai du... j'aurait put!


La jeune femme blêmit au récit haché de sa nièce, chaque mot prononcé martelant violemment son coeur , le sang pulsant sourdement à ses tempes . Une foule de pensées l'assaille... Sa nièce, pour elle encore une enfant... violentée par une brute.. Cette idée lui semble tellement aberrante et monstrueuse. Imaginer son corps innocent luttant en vain contre la force de son agresseur pour protéger sa vertu..

Cali regarde sa nièce, la nausée au bord des lèvres, retenant ses larmes.


tata… il m’a déchirer les entrailles… j’ais eu si mal … j’ais… si mal … j’ais si honte… je ne veux plus jamais sortir … je veux mourir…!!

A ces mots, Cali enlace Kiiara et la serre fort dans ses bras, tentant vainement de lui insuffler sa force rassurante , incapable encore de prononcer un mot puis la berce doucement en posant un baiser sur son front tandis que la petite sanglote .


Pardon … pardon… pardon….


Pardon?.... blessée et meurtrie dans sa chair comme dans son âme, l'innocence volée par un gredin... elle demande pardon ?..... Cali ferme les yeux tout en continuant à bercer doucement sa nièce .
Les mâchoires serrées, en proie à des sentiments contradictoires où se mêlent peine et douleur, colère et haine, dans ses yeux maintenant ou rougeoie sa haine pour le violeur, son esprit demande vengeance.
La jeune femme prend sur elle en inspirant profondément. Pour l'heure sa nièce a besoin de toute sa tendresse et son réconfort mais plus tard...... elle retrouvera sa soeur, même si elle doit la traîner par la peau des fesses hors de sa retraite où qu'elle soit.

Cali regarde à nouveau Kiiara. Il fallait qu'elle lui ôte cette idée de la tête. Elle était une victime, avant tout. Chassant sa colère en maîtrisant sa voix elle lui dit:


Kiiara... ma puce.. Le seul responsable c'est cet homme qui a abusé de toi par la violence, par sa supériorité en force. Tu n'es sans doute pas la première... ni même la dernière qu'il ait abusé . S'il s'en était pris à moi qui suis une adulte , je ne suis pas sûre que j'aurais eu le dessus... alors tu penses bien qu'une frêle jeune fille comme toi... arf.. il t'était impossible de lutter.


Tendrement Cali caresse la joue de la jeune fille.


Ma puce... cet être vil et sans scrupule est un voleur et un violeur. Il t'a volé ce que toute jeune fille garde comme un trésor et pour ce faire, il a usé de brutalité. Il a fait de toi une victime.. alors s'il te plait, ne demande pas pardon.
C'est lui qui devra implorer ton pardon à genoux et c'est ainsi que je le vois... rampant à terre. Tu es très au dessus de lui et tu le seras toujours.
Ecoute moi... pour l'instant c'est la peur, la douleur et le dégoût que tu ressens mais avec le temps tu y penseras moins.


Cali s'arrête un instant de parler et plonge son regard dans celui craintif de sa nièce.


Je ne dis pas que tu oublieras mais le souvenir des ces instants douloureux s'estompera.
Pis.. tu rencontreras un jeune homme, doux et affectueux qui t'aimera avec tendresse et qui te montrera combien l'amour peut-être tendre... et tu verras, tu l'aimeras..


Doucement elle lui demande :


Kiiara... est ce que tu connais le nom de cet homme qui t'a agressé ?

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Enguerand_reinhart



Coeur en miette...
Sa tante la berce et elle s’y blottit comme elle s’y blottissait souvent quand elle était petite
Les mots qu’elle lui disait avec douceur raisonnaient dans sa tête jusqu'à se mélanger totalement, elle sentait comme un vertige l’emparer, l’emportait et elle ferma les yeux qui perlèrent encore
Ha ca non plus jamais on la toucherai plus jamais elle serait la victime d’un homme et de ses envie pervers, elle secouer la tête pour bien lui montrer que personne ne guérirait cela que, jamais elle oubliraitelle était trop sale trop nul, trop impure

nan tata, veux plus sortir ne m'oblige pas! je t'en supplis je veux plus sortir!!!! plus jamais !!!

s'accrochant a sa chemise elle l'empoigna pour appuyer ses mots avec plainte
Elle avait envie d’un bain… oui depuis ce fameux jours elle passé des heurs dans son bain à frotter sa peau jusqu'à se qu’elle en saigne et ses bras en garder encore des trace. Elle était salit a jamais et aucun bain d’arriverai jamais a hotter cette souillure.
Puis un silence… elle se dit que ca y est cela était dis et que tout allé mieux maintenant mais c’était sans compter la dernière question

Mais non tata je ne sais pas qui c’est !! Il m’a attrapé par derrière et ma bander les yeux !!! Je ne connais que ca voix. Il n’a pas arrêté de…

Tressaillement a ce souvenir.
De gémir avec une grosse voix… comme un ours ! C’était dégoutant !!!!

Elle se blotti à nouveau contre elle pour sangloter

Tata… je voudrais prendre un bain c’est possible…

Elle mordilla sa lèvre nerveusement et planta son regard azure et tristounet dans le sien, elle espérait que sa tante n’aller pas vérifier ses dire en l’auscultant…
Cali
Kiiara s'accrochait désespérément à sa tante en la suppliant de ne pas la forcer à sortir.

Mais non tata je ne sais pas qui c’est !! Il m’a attrapé par derrière et ma bander les yeux !!! Je ne connais que ca voix. Il n’a pas arrêté de..De gémir avec une grosse voix… comme un ours ! C’était dégoutant !!!!


La gamine en sanglot se blottit à nouveau dans les bras de Cali qui , serrant les mâchoires de colère contenue , la berça en essayant de la rassurer. Elle gardait ses pensées pour elle mais imagina toute la panoplie de ce qu'elle ferait subir à ce violeur d'enfants si elle mettait la main sur lui.


Tata… je voudrais prendre un bain c’est possible…


La médicastre regarda au tour d'elle et soupira.


Bien sûr ma puce c'est possible.


Elle lui adressa un sourire bienveillant.


J'ai tout ce qu'il faut chez moi. Tu y as ta chambre aussi, je tiens à te garder avec moi.
Il y a un grand jardin avec un étang, ça sera mieux encore qu'une petite bassine... et c'est en lisière de forêt, au calme et sans proche voisin... Tu verras, tu y seras très bien.


En attendant qu'elle retrouve sa soeur Kiss, Cali décida de prendre sa nièce sous son aile et le premier qui tenterait de l'approcher risquait de passer un sale quart d' heure !

Viens Kiiara, ma maison est dorénavant la tienne ...


La jeune femme entoura la jeune fille d'un bras protecteur et sortit avec elle du dispensaire maintenant désert en refermant doucement la porte.


Absente Irl du 8 au 16 Juillet... à bientôt !

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Chevalier de la Plume d'Or - Championne du Poitou - Eprise de son Pierrot-Yoyo
Akashia
Akashia rentra dans le dispensaire désert ... Nul trace de Cali ... ni de personne d'ailleurs.

Haussant les épaules il s'installa au soleil devant le dispensaire au cas ou quelqu'un aurait besoin d'aide ...

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Oderint Dum Metuant
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