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[RP- Privé ] Dispensaire de Thouars

Sylphide
Rassasiée La Louve écoutait d'une oreille distraite son vis a vis pépier sans pour autant dévier son attention de lui....C'est juste que ce qu'il racontait ne l'atteignait pas vraiment vu quelle n'y comprenait que dalle a tous ces sons et grincements...

Mais bon c'était plutôt agréable comme musique a son oreille a la longue il faut bien l'avouer...Son timbre calme et doux l'apaisait même si elle ne lui faisait pas plus confiance qu'a un autre bipède, elle aimait la chaleur ressenti lorsqu'elle l'écoutait discourir à son intention...son discours pour elle parlait de calme et de sécurité.....

Penchant un peu la tête de coté elle l'écouta avec plus d'attention, même si vraiment elle n'entendait rien a ce qu'il racontait...

Doucement le calme se fit au fond d'elle même un oeil s'ouvrit et une autre attention pointa au fond de la conscience du fauve.....Sylphide montra un petit bout de nez de derrière l'épaule de sa protectrice de toujours....sécurité......chaleur......protection....

Blabla ...bla...blabla...bla..bla......Alpha....

Hummm? Alpha ???? comme ça ALPHA ??!!! Mais de quoi lui parlait il la ce bipède ?? Pourquoi lui parlait il de la Meute?? Et comment avait elle compris ce qu'il disait à l'instant ?? Effarouchée par la colère et la méfiance de sa protectrice, Sylphide referma la porte reprenant sa place bien en sécurité derrière la Louve...la ou elle se savait a l’abri de la souffrance.....

Le regard sombre la Louve observa avec une attention accrue et pleine de défiance, son vis a vis..... Les bipèdes et leur don de vous embrouiller l'esprit par leurs paroles trop souvent trompeuses.....Plus jamais elle ne les écouteraient lui faire du mal.....Levant la tête elle laissa échapper quelques jappements à l'adresse de la meute qu'elle sentait pas très loin derrière les murs de bois et gronda sourdement retroussant les lèvres elle lui fit face le dos au mur....

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Akashia
Akashia regarda sa louve somnoler ... peut etre que Sylphide reviendrait a la surface comme ca.

Jusqu'a ce qu'il la vit changer d'attitude ... son regard redevenir froid et décidé et lorsqu'il la vit regrogner ...

Ca le fit a son tour disjoncter ... Il sauta sur ses jambes et la regarda les yeux froids aussi ... il voulait bien etre patient mais la ca devenait un manque de respect flagrant ... elle était louve alpha ... il lui devait pleins d'égard de par son poste ... Mais elle aussi sacre bleu !!

Il la regarda en grognant a son tour ... il avancait vers elle a pas de loup bien décidé a lui réapprendre qui elle était et ou était sa place ! A ses cotés et non contre lui !
Il avancait, prudent mais bien décidé. Il changeait d'appui , s'avancait vers sa droite ... Puis sa gauche ...
Plus il s'approchait, plus il grognait fort et claquer de sa machoire

Il essaya de l'entrainer mais elle ne se laissa pas prendre ... il ne put s'empécher de sourire puis aussitot reprit son combat de soumission ... car ca en était un ... il ne fallait pas s'y tromper.
et a ce jeu la ... pas de pitié ... pas de galanterie sinon on perd le combat au mieux ... la vie au pire !

Il profita qu'elle prenne appui sur sa jambe blessée pour lui sauter dessus et la fit tomber en arrière sous son poids lui donnant un coup au passage de la paume de la main contre son plexus pour lui couper le souffle puis une béquille bien appuyée sur la jambe encore valide ... roula sur lui meme et se remit debout en grondant férocement ...

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A vaincre sans peril ... On triomphe sans gloire ...

Oderint Dum Metuant
Sylphide
Surprise elle le vit s'assombrir et gronder sourdement tel un loup furieux....s'appuyant au mur elle se releva le plus prestement possible malgré ses blessures et essaya de lui échapper sachant très bien qu'il soit bipède ou loup elle n'avait aucune chance de gagner ce combat dans l’état ou elle était en ce moment....

Peine perdue il était beaucoup plus rapide et fort qu'elle et en quelques mouvements et coup bien placés, elle se retrouva au sol le souffle coupé par le coup au plexus qu'il venait de lui assener....Levant les yeux elle le vit la surplombant les crocs sortis et la rage au fond des yeux....Il ferait un bon meneur de meute....Il était donc Alpha a sa façon.....

Et face a un Alpha...elle n'avait qu'à baisser le regard et ravaler sa rage....ce qu'elle fit en restant au sol, respirant profondément le souffle rauque pour se reprendre et contrôler la douleur que ce court combat avait ravivé dans tous son corps déjà bien meurtri et affaiblit...Qu'il fasse donc comme bon lui semblait de toute façon son cœur et son âme resteraient toujours sa propriété propre....qu'étais ce qu'un corps après tous.....il pouvait bien en faire ce que bon lui plairait ce n'étais après tous qu'une enveloppe...

Inspirant à fond elle laissa les battements de son cœur affoler se calmer au fur et à mesure que ces réflexions lui venaient en tête, allant même jusqu'à esquisser un sourire désabusé au planches du sol se disant que finalement le bipède "Alpha" avait dompté une part de la Louve......

Elle serait humble et calme le temps qu'il faudrait pour reprendre assez de force pour gagner sa liberté...

Retrouver Sécurité et Chaleur voila quelle serait son but premier... sa victoire sur la vie... Gaia lui donnerait la force nécessaire....

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Akashia
Akashia regarda sa louve au sol faisant soumission devant son alpha. Il espérant ne pas y avoir été trop fort .. Mais c"était chose nécessaire chez les loups que d'affirmer sa position et son rang sinon on perdait toute crédibilité ...

il lui sourit acceptant sa soumission lui donnant un coup de nez sur le sien et l'embrassant tendrement a présent pour lui signifier qui l'accepter.

Puis lécha une plaie sur le bras de Sylphide qui recommencait a saigner. Il savait que normalement c'était a elle de le faire vu qu'elle s'était soumise mais bon... une petite entorse au réglement n'était pas inutile pour le coup!

Puis il alla ouvrir la porte de la salle et enfin celle du dispensaire faisant jaillir les loups de la meute qui firent irruption dans le dispensaire et se dirigèrent directement vers Sylphide suivit de près par Akashia.

Il semblerait que le mieux pour elle maintenant était de retourner chez eux ... pres des siens ... peut etre que ca l'aiderait ou en tout cas ca ne lui ferait pas de mal.
Il remplit sa gourde de la tisane apaisante, prit quelques compress et emplatres puis fit signe a toute la meute de le suivre ... avancant doucement pour que sa louve puisse suivre car vu son état elle ne pouvait avancer vite mais que avancer par ses propres moyens lui ferait le plus grand bien ... surtout parmis les siens

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A vaincre sans peril ... On triomphe sans gloire ...

Oderint Dum Metuant
Sylphide
Toujours prostrée au sol, elle ne réagit même pas lorsqu'il s'agenouilla devant elle, prenant doucement son visage entre ses mains et l'embrassa avec tendresse presque comme un amant....il lécha une plaie ré-ouverte par l'affrontement...si l'on peux appeler cette raclée reçue, un affrontement digne de ce nom, mais bon c'étais fais....

Étrange d’ailleurs ce comportement....Douceur après cruauté...

Il se releva traversa la pièce suivit par le regard intrigué de la Louve, mais qu'est-ce qu'il allait encore bien pouvoir inventer celui la....

Surprise elle le vit ouvrir les portes laissant jaillir la meute vers l'intérieur ,les loups inquiets virent l'entourer, la sentir, donner des petits coups de museaux et de langue pour lui faire connaitre leur bonheur de la revoir....Premier vrai sourire depuis son éveil dans ce bâtiment de bipède, elle caressa tendrement chacun d'eux des larmes pleins les yeux, enfouit son visage dans leur fourrure...FAMILLE.....

Puis sur un ordre de l'Alpha tous convergèrent vers la sortie, la Louve vacillante se releva lentement, suivant tant bien que mal.

Dehors il faisait doux, le soleil brillait, posant un pied sur le sol de terre battue elle se dit que cela était le premier pas vers la liberté... Elle retrouverait SÉCURITÉ et CHALEUR même si pour ça elle devait y perdre sa vie entière....serrant les dents elle emboita à la meute lentement le pas en claudiquant et en se tenant le coté...

Surement que jamais les bipèdes de ce village n'avait vu pareil défilé...Un Mâle Alpha sur deux jambes, suivit d'une meute au grand complet traversant la place et à la traine, une Louve, elle aussi sur deux jambes et qui plus es entièrement nue au pas hésitant (ah bah oui fallait y penser avant de la trainer dehors de force sans égard pour la pudeur du bon peuple et vlan je lui tire la langue moi à l'Alpha de cette Louve un brin étrange).

Bon donc pas âme qui vive n'osa mettre le nez dehors tous au long de cet étrange procession même le vigile a l'entrée du village les observa avec de grands yeux ahuris au travers la fenêtre de son poste de garde.

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Sylphide
(La suite vous intéresse ? Tant mieux car vous le trouverai à la Louve et la Meute. Bonne lecture à vous...

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Yoyo_le_rouble
Je soufflais vers le haut, soufflant quelques mèches de cheveux trempés de sueur sur mon front, avant d'y passer ma manche pour l'éponger.
Je me redressais et m'étirais, ne manquant pas de faire craquer un peu mes os au niveau des épaules et au bas du dos, dû à ma position inconfortable gardée trop longtemps.
Je penchais la tête de côté d'un oeil inquisiteur sur les nouvelles portes d'entrée du dispensaire que je venais d'installer, après que l'ancienne ait eu le malheur d'avoir l'idée inconsciente d'être fermée avant le passage d'Akashia et de la meute.

Faisant pivoter la porte sur les gonds afin de vérifier que rien ne clochait, l'ouvrant et la refermant plusieurs fois, je tournais la tête en direction de Balthazar, notre immense Terre-Neuve, qui me donna aussitôt son avis professionnel en hochant la tête d'un air sérieux, ponctué par un aboiement sonore, comme pour dire que j'avais fait du bon boulot.
Je souris, amusé, et lui lançais en posant les poings sur les hanches et en arquant un sourcil :


- .. Comme si t'y connaissais quelque chose, toi, gros toutou..

Il arrêta alors d'agiter sa lourde queue joyeuse et tourna sur lui-même avant de repérer une chaise du dispensaire qui était bancale, et que j'avais emmené dehors afin de la raboter. Le grand chien fit tombé la chaise de côté d'un gracieux coup de fessier, avant d'aller chercher près du tas de bûches une hache qu'il souleva dans sa gueule comme si c'était une vulgaire brindille.
Puis il s'assit près de la chaise en se tenant bien droit, et lâcha subitement la hache dont la lame se planta lourdement dans le sol sous mes yeux surpris et effrayés, frissonnant de terreur au plus profond de moi-même en imaginant le pire. Après un temps où je m'assurais que Babal avait encore tous ses doigts aux pattes, je remarquai qu'un des pieds de la chaise avait été tranché.
Clignant des yeux, je remis la chaise debout. Et Balthazar sembla sourire en laissant pendre sa langue de côté en agitant de nouveau sa queue, fier de lui. La chaise n'était plus bancale, elle avait été réparé.


- .. Hum.. euh.. oui, bon d'accord... mais euh.. et.. et est-ce que tu sais euh.. te gratter le ventre avec tes pattes avant ?! Ahaaa ! Eeeeet nooon euuuh !

Je lui jetais un regard mécontent, prenant un faux air de défi. Le Terre-Neuve n'en ratait jamais une pour me jouer des tours, mais il fallait bien avouer qu'heureusement qu'il était là.
Durant les jours qui avaient suivi avec la porte d'entrée esquintée qui ne fermait plus, Babal avait veillé toutes les nuits devant le dispensaire, défendant quiconque d'entrer. Et chaque matin, il venait rapporter à sa Maîtresse bien-aimée une belle collection de bouts de braies arrachés à des imprudents.. qui je me demande au fond si certains n'avaient rien demandé, en fait.
Je finis par rigoler et Babal me plaqua au sol joyeusement, triomphant, m'assénant des coups de langue affectueux.

J'entrais ensuite dans le dispensaire où ma Cali faisait encore un peu de nettoyage et l'inventaire, après tout ce qui s'était passé ici récemment. J'avais dû également remplacer quelques portes de certaines chambres, à l'intérieur de la bâtisse, ainsi que quelques planches en mauvais états sur le parquet, après avoir inspecter les meubles qui auraient besoin d'une seconde jeunesse, les griffures ne manquant pas.
Je me glissais doucement derrière elle, et je passais doucement la main sur son épaule avant de déposer une bise à l'arrière de sa tête.


- Mon amour à moi que j'aime ? Avant que j'emmène les meubles à l'atelier, autant en profiter. Est-ce que tu aurais d'autres meubles avec des portes qui grincent ou ferment mal, ou qui sont bancals, ou qui auraient besoin de quoique ce soit ?

Je savais que ma compagne ne prêtait guère attention à ce genre de choses, car ce qui pouvaient représenter des défauts pour d'autres, Cali les apprivoisait, les acceptait avec le temps et faisait avec, au point de ne plus y faire attention, s'attachant à ses affaires et son mobilier comme ils étaient et comme ils l'accompagnaient, chacun racontant une histoire, des histoires, des vies, des souvenirs, des pleurs, des sourires.
Mais elle pensait aussi avant tout au bien de ses patients et savait parfois, même trop souvent, à contre coeur, choisir entre son confort et celui des autres. Et si je pouvais l'aider, je ne pouvais qu'être heureux.
Arrivant
Il arriva dans Thouars, se repéra selon ses vieux souvenirs.
Il finit après 10 minutes de marche dans la ville, de repérer un bâtiment qu'il connaisait déja : Dispensaire de Thouars. Il toqua sur la porte, personne ne répondait. Il rentra donc et d'une voix hésitante :


Euh....Quelqu'un est là? Dame Cali?
Cali
[ Quelques jours avant la remise en état du Dispensaire ]


Il était temps pour la médicastre de revenir au Dispensaire après l'épisode Akashia-Sylphide, sans compter la meute de loups.
Du bout des doigts, Cali poussa la porte laissée entrouverte en croisant les doigts , puis entra les yeux fermés. Et finalement se décida à ouvrir un oeil.


- GNAAAAAAAAAAAAAAAAAKAAAAAAAAA ! PURÉE AKA SI JE T'ATTRAPE !!!

Les yeux grands ouverts cette fois, la bouche toute autant, un hurlement guttural expectoré de ses poumons, la médicastre constata l'état de la grande pièce principale... VIDE !!
- Mes meubles !! Mes lits ! Bon sang où sont-ils passés???

Cali cligna des yeux, s'avançant éberluée dans le dispensaire désespérément vide.
- Je ne sais pas si Syl a retrouvé la mémoire mais moi j'aimerais retrouver MES meubles !

Devant elle, une seule porte, celle de la salle d'opération. Cali l'ouvrit prudemment et la referma aussitôt, la mâchoire pendante en s'y accolant.

- Aka... je vais te GRRRRRR... te plumer, t'épiler poil par poil, te faire frire dans.. euh... ma poêle.

Soupirant, elle leva les yeux au ciel en pensant à ce qui avait derrière cette maudite porte... un assemblage de meubles poussés à la va vite surmonté de TOUT les lits enchevêtrés les uns sur les autres.
Baissant les yeux, Cali vit Babal, remuant de la queue gaiement, avec un bout de tissu entre les crocs.

- Ah tu es là toi? Qu'est ce que tu tiens dans la gueule ?


Levant le bout de tissu devant ses yeux en le manipulant, elle s'aperçut qu'il s'agissait d'un fond de culotte.
Cali regarda le chien, puis le bout de braie ,et d'un coup se mit à rire en se tapant la cuisse.

- Ho c'est un brave toutou ça, qui protège les biens de sa maîtresse !

Agenouillée elle l'enlaça à l'encolure et lui fit un gros câlin, puis très cérémonieusement se tint droite devant lui.

- Babal premier, je te nomme officiellement " Gardien exclusif du Dispensaire".

Le terre-neuve sentant qu'il avait un rôle important à jouer, releva la tête bien droite et ne bougea plus.
Cali se retint de pouffer et remercia le ciel d'avoir encore une pâte de fruit dans sa sacoche. Elle enleva le joli ruban bleu de ses cheveux pour en faire un collier à son chien et lui donna la récompense aussitôt avalée sans même être mâchouillée.

- He ben. Les marauds n'ont qu'a bien se tenir avec un tel appétit!

Cali dut s'absenter pour aller prévenir son Yoyo qu'il y aurait quelques réparations à faire et un bon coup de main à donner.
Les jours suivants et durant chaque absence, Babal lui ramena chaque jours un fond de braie qu'elle finit par mettre dans un grand cadre avec inscrit dans le bois:




Envie de figurer dans le cadre? Nan?
Alors passe ton chemin si tu comptais visiter le dispensaire !




Heureusement que son compagnon était là et qu'en plus il était charpentier car il en profita pour refaire la porte à neuf. A eux deux ils remirent en place lits et meubles.
Cali souriait en voyant la complicité entre Yoyo et Babal.
Par contre elle souriait moins en faisant l'inventaire. Il lui faudrait se rendre à la capitale pour se réapprovisionner.


- Mon amour à moi que j'aime ? Avant que j'emmène les meubles à l'atelier, autant en profiter. Est-ce que tu aurais d'autres meubles avec des portes qui grincent ou ferment mal, ou qui sont bancals, ou qui auraient besoin de quoique ce soit ?

- .. mmm...
Cali se retourna au son de la voix de son aimé et l'enlaça tendrement en lui picorant les lèvres de bisous.

- Non mon amour, tu as même trouvé des défauts là ou je n'en voyais pas. Merci pour tout.

Euh....Quelqu'un est là? Dame Cali?

- Ah ! On dirait qu'on a de la visite. OUI !! Par ici !

La jeune femme quitta les bras de son compagnon pour s'approcher de l'homme qui venait de l'appeler.
- Je suis Cali. C'est pour quoi, messire ?
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Chevalier de la Plume d'Or - Championne du Poitou - Eprise de son Pierrot-Yoyo
Pgarlequin
- Je suis Cali. C'est pour quoi, messire ?

L'homme sourit de pouvoir voir sa vieille amie.
Il enleva sa capuche et ajouta :


C'est moi Pg, j'espère que tu te souviens de moi....
Tu as tellement changée, tu est devenue une grande fille maintenant.

L'homme laissa échapper un ricanement

Je viens de Guéret, mais j'ai eu la permission de m'installer ici et de pouvoir m'y reposer....
Je tiens à te voir en taverne la vieille, héhé, je suis sur qu'on a plein de truc à se raconter
Cali
Cali fronça les sourcils en observant l'encapuchonné dont la moitié du visage restait dans l'ombre. Mais lorsqu'il laissa retomber sa capuche en souriant, elle le reconnut de suite.

-Je viens de Guéret, mais j'ai eu la permission de m'installer ici et de pouvoir m'y reposer....
Je tiens à te voir en taverne la vieille, héhé, je suis sur qu'on a plein de truc à se raconter


- Pg ! Espèce de vieux cachotier! Tu parles qu'on va fêter ton retour en taverne!

En souriant elle lui fit une accolade puis recula en le regardant.

-Tu n'as pas changé. Un peu plus carré des épaules peut-être. AH! Mais qu'est ce que tu as fait de ta moustache ? He bien si je m'attendais à pareille surprise.
Te reposer ici dis-tu ? Mon pauvre, ton retour en Poitou se fait en plein conflit. Les poitevins sont tous, épées, bâtons ou fourches à la main et sur le qui-vive.
On en reparlera plus tard en taverne si tu le souhaites. Attend.....


La médicastre se retourna et fit quelques pas vers Yoyo . Main dans la main elle revint près de Pg en souriant.

-Tu dois reconnaître aussi Yoyo, non ? Nous étions très amis quand tu étais encore là puis comme tu le vois, nous sommes ensemble. Et ce depuis plus de seize mois.
Cali sourit à son compagnon en serrant doucement ses doigts.

- Tu as du croiser Pg en taverne, il fait parti comme moi des anciens de Thouars.

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Chevalier de la Plume d'Or - Championne du Poitou - Eprise de son Pierrot-Yoyo
Yoyo_le_rouble
Cali alla accueillir le visiteur, tandis que je me remis à inspecter la pièce, voir si rien n'avait été oublié, écoutant d'une oreille distraite la conversation.

Je m'arrêtais net en entendant le nom de Pg, tournant la tête, surpris, et reconnaissant soudainement la voix et la tonalité familière. Cali vint me prendre la main pour me rapprocher et faire les présentations.
Je souris, faisant un petit signe négatif à Babal qui s'approchait à pas de velours dans le dos de l'arrivant, l'arrière des braies en ligne de mire. L'immense Terre-Neuve soupira et retourna dans un coin mâchouiller un bâton de réglisse, sous le cadre de sa petite collection, plissant des yeux en ne perdant pas de vue l'inconnu.

Je passais un bras autour de la taille de Cali, reprenant sa main, en l'entendant dire que nous étions ensemble.


- Oui, bien sûr que je le reconnais, Namour.
Il était sergent ou lieutenant à la Maréchaussée, si je ne me trompe pas, et un bon. Il m'a beaucoup aidé dans le passé et n'a jamais hésité à me fournir des renseignements pour les voyageurs ou les petiots qui cherchaient une route sûre dans leurs périples.

Comment vas-tu ? Content que tu sois de nouveau parmi nous.
Pgarlequin
Cali partit chercher yoyo

- Oui, bien sûr que je le reconnais, Namour.
Il était sergent ou lieutenant à la Maréchaussée, si je ne me trompe pas, et un bon. Il m'a beaucoup aidé dans le passé et n'a jamais hésité à me fournir des renseignements pour les voyageurs ou les petiots qui cherchaient une route sûre dans leurs périples.

Comment vas-tu ? Content que tu sois de nouveau parmi nous.


Pg sourit en voyant Cali et yoyo ensemble, il s'était toujours dit qu'ils allaient bien ensemble et esperer les voir finir heureux

Eh bien oui, je reconnais Yoyo, il était souvent tribun si je me souviens bien. Et oui j'étais bien sergent à la maréchaussée

Moi ca va, je viens du comté d'a coté et je peut m'installer ici me la couler douce avec ma chérie que j'ai rencontré en taverne héhé
Je dois dire merci à Cyphus d'ailleurs!

Pg dit à ses amis qu'il part en taverne
Yoyo_le_rouble
- Eh bien oui, je reconnais Yoyo, il était souvent tribun si je me souviens bien. Et oui j'étais bien sergent à la maréchaussée .

Je souris en prenant un air nostalgique.

- Oui, tout à fait. Il m'est souvent arrivé de me retrouver au bureau du Tribun.. mais c'est l'histoire d'une autre époque, il y a bien longtemps.

Je resserrais doucement l'étreinte de ma Cali contre moi, en me disant que finalement j'étais bien plus heureux aujourd'hui.

Pg continua son petit tour des retrouvailles, nous le saluâmes tandis qu'il s'en allait en lui proposant de se revoir plus longuement autour d'un verre en taverne une autre fois.

Le calme revint au dispensaire, et je déposai doucement une bise sur la tempe de ma compagne que je gardais contre moi, avant de reprendre la parole.


- Namour ? Que dis-tu si je t'aidais à finir un peu le rangement, puis qu'on allait déposer les meubles à raboter à mon atelier et ensuite qu'on prenne Lauryo pour aller à la capitale afin de faire les achats pour réapprovisionner le dispensaire ?
Comme ça on n'aura pas à s'occuper du temps que cela nous prendra et on pourra dormir sur la route ou n'importe où dans un petit bosquet au calme.


J'entendis Balthazar s'ébrouer et venir vers nous, ses grosses pattes cliquetant sur le sol, mes yeux glissant vers sa bonne bouille, la langue pendante de côté.

- Hum.. et on pourrait emmener le gros toutou.. Je ne sais pas pourquoi, mais c'est plus facile de marchander avec les commerçants lorsqu'il est avec nous.

Je plissais les yeux en souriant, fixant l'immense Terre-Neuve qui sembla prendre un air entendu et mystérieux à mes mots.
Cali
La guerre avait changé tout, leurs projets, le paysage qui ressemblait plus à un champ de bataille qu'à un champ tout court. Les tavernes se remplissaient selon l'humeur du moment, mais jamais jusqu'à la lie , comme des assoiffées de compagnies qui restent sur leurs faims.

A défaut de visite romanesque dans la capitale, c'est armés que Yoyo et Cali étaient partis sur la route de Poitiers. Ville dont ils ne virent même pas le début d'une pierre, fauchés tous deux par une armée royaliste qui ne laissa derrière elle que deux corps piétinés et transpercés de coups d'épées.
Près de deux mois s'étaient écoulés depuis. Fort heureusement, le couple s'en était sortis de justesse... pour cette fois.

Remise depuis peu, la médicastre avait rouvert le dispensaire. Elle refusait de changer sa vie à cause de la stupidité des hommes. L'habitude, la maîtrise des gestes tant de fois répétés dans le dispensaire lui apportaient l'équilibre nécessaire pour ne pas se laisser aller à la colère ou à l'anxiété. Ils en avaient vu d'autres et tant qu'ils seraient ensemble, ils seraient forts.
Les fêtes de fin d'année s'approchaient à grands pas, et avec eux leurs lots de surprises, comme la venue de sa soeur Zézé et de son compagnon Sandino.
Cali sourit en se disant que personne ne pourrait changer cela, heureuse que les bohémiens de son coeur arrivent avec leur bonne humeur.

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Chevalier de la Plume d'Or - Championne du Poitou - Eprise de son Pierrot-Yoyo
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