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Info: Après la mort de Sa Majesté Sirron I et maintenant, des troubles en Lorraine, sous l'efficacité quasi-imprononçable de la secte francophone.Le vieux et sage Seigneur n'avait plus d'espoir, car pour lui, le sort francophone était sceller, il fallait donc prier pour les autres, afin qu'il n'en arrive pas à ce degré, tel le notre. Dans son Carrosse, accoudée Say pensait et réfléchissait à des situations qui ne serait que limité tout dégât opportun.
Nsaymar en avait marre, marre, plus que marre! Marre des lourdauds qui ne se bougeaient pas, marre des routes immondes qui parcouraient les pays et toutes ces lois contraignantes et sans apports quelconques.
Say remarquait dans le carrosse qu'il n'était plus, on aurait dit qu'il voguait en plein vide, il avait l'air et un pressentiment de solution, mais le bout de la fin de ce rechapait toujours au moment ou il voulut s'en saisir sans résultât et se posait des questions que même Aristote songerait à y penser.
Que faire des hommes qui malgré des efforts ne comprendront ryen, rien et rien? C'est à croire que ce vaillant destin a pris des ailes, alors que ce n'est qu'une légende des siècles.
Dans son carrosse, Say était tout perturber à songer aux questions, attention, ces questions fut importantes, il vit en cela un essence qu'il n'imaginait même pas la capacité étonnante et quasi-Extatique de la vie.A ce moment, il se rappela que toute chose à l'excès était nuisible, quand il remarqua son état, il était à moitié endormi.A lors, il rouvrit largement les yeux, sa vision était trouble et voyait sa fille au loin, telle une glace ayant perdu toute clarté et clignait des yeux afin de recouvrer sa vision.
C'est à ce moment, qu'il se rendit compte qu'il n"était plus à Lyon et constata combien de fois, le temps n'avait aucun sentiment et ce fut même d'ailleurs d'où il tira son surnom.
-Ou sommes nous, Cassy, avons-nous passer les frontières Lyonnaises sans ennuis??
Il regarda sa fille avec un étonnement incertain, se posant toujours des questions sans réponses.Il n'était même pas dans le fameux carrosse ancestrale et admirait la vue du ciel, certainement sa fille, penserait qu'il serait entrain de la regarder et douter d'elle, mais de quoi?
Et là, le carrosse s'arrêta, ils étaient enfin arriver, mais ou?
[RP] Incompréhension Incertaine
Nsaymar
Après la mort de Sa Majesté Sirron I et maintenant, des troubles en Lorraine, sous l'efficacité quasi-imprononçable de la secte francophone.Le vieux et sage Seigneur n'avait plus d'espoir, car pour lui, le sort francophone était sceller, il fallait donc prier pour les autres, afin qu'il n'en arrive pas à ce degré, tel le notre. Dans son Carrosse, accoudée Say pensait et réfléchissait à des situations qui ne serait que limité tout dégât opportun.
Nsaymar en avait marre, marre, plus que marre! Marre des lourdauds qui ne se bougeaient pas, marre des routes immondes qui parcouraient les pays et toutes ces lois contraignantes et sans apports quelconques.
Say remarquait dans le carrosse qu'il n'était plus, on aurait dit qu'il voguait en plein vide, il avait l'air et un pressentiment de solution, mais le bout de la fin de ce rechapait toujours au moment ou il voulut s'en saisir sans résultât et se posait des questions que même Aristote songerait à y penser.
Que faire des hommes qui malgré des efforts ne comprendront ryen, rien et rien? C'est à croire que ce vaillant destin a pris des ailes, alors que ce n'est qu'une légende des siècles.
Dans son carrosse, Say était tout perturber à songer aux questions, attention, ces questions fut importantes, il vit en cela un essence qu'il n'imaginait même pas la capacité étonnante et quasi-Extatique de la vie.A ce moment, il se rappela que toute chose à l'excès était nuisible, quand il remarqua son état, il était à moitié endormi.A lors, il rouvrit largement les yeux, sa vision était trouble et voyait sa fille au loin, telle une glace ayant perdu toute clarté et clignait des yeux afin de recouvrer sa vision.
C'est à ce moment, qu'il se rendit compte qu'il n"était plus à Lyon et constata combien de fois, le temps n'avait aucun sentiment et ce fut même d'ailleurs d'où il tira son surnom.
-Ou sommes nous, Cassy, avons-nous passer les frontières Lyonnaises sans ennuis??
Il regarda sa fille avec un étonnement incertain, se posant toujours des questions sans réponses.Il n'était même pas dans le fameux carrosse ancestrale et admirait la vue du ciel, certainement sa fille, penserait qu'il serait entrain de la regarder et douter d'elle, mais de quoi?
Et là, le carrosse s'arrêta, ils étaient enfin arriver, mais ou? _________________ Secrétaire de l'université Impériale
Après la mort de Sa Majesté Sirron I et maintenant, des troubles en Lorraine, sous l'efficacité quasi-imprononçable de la secte francophone.Le vieux et sage Seigneur n'avait plus d'espoir, car pour lui, le sort francophone était sceller, il fallait donc prier pour les autres, afin qu'il n'en arrive pas à ce degré, tel le notre. Dans son Carrosse, accoudée Say pensait et réfléchissait à des situations qui ne serait que limité tout dégât opportun.
Nsaymar en avait marre, marre, plus que marre! Marre des lourdauds qui ne se bougeaient pas, marre des routes immondes qui parcouraient les pays et toutes ces lois contraignantes et sans apports quelconques.
Say remarquait dans le carrosse qu'il n'était plus, on aurait dit qu'il voguait en plein vide, il avait l'air et un pressentiment de solution, mais le bout de la fin de ce rechapait toujours au moment ou il voulut s'en saisir sans résultât et se posait des questions que même Aristote songerait à y penser.
Que faire des hommes qui malgré des efforts ne comprendront ryen, rien et rien? C'est à croire que ce vaillant destin a pris des ailes, alors que ce n'est qu'une légende des siècles.
Dans son carrosse, Say était tout perturber à songer aux questions, attention, ces questions fut importantes, il vit en cela un essence qu'il n'imaginait même pas la capacité étonnante et quasi-Extatique de la vie.A ce moment, il se rappela que toute chose à l'excès était nuisible, quand il remarqua son état, il était à moitié endormi.A lors, il rouvrit largement les yeux, sa vision était trouble et voyait sa fille au loin, telle une glace ayant perdu toute clarté et clignait des yeux afin de recouvrer sa vision.
C'est à ce moment, qu'il se rendit compte qu'il n"était plus à Lyon et constata combien de fois, le temps n'avait aucun sentiment et ce fut même d'ailleurs d'où il tira son surnom.
-Ou sommes nous, Cassy, avons-nous passer les frontières Lyonnaises sans ennuis??
Il regarda sa fille avec un étonnement incertain, se posant toujours des questions sans réponses.Il n'était même pas dans le fameux carrosse ancestrale et admirait la vue du ciel, certainement sa fille, penserait qu'il serait entrain de la regarder et douter d'elle, mais de quoi?
Et là, le carrosse s'arrêta, ils étaient enfin arriver, mais ou? _________________ Secrétaire de l'université Impériale