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[RP] La salle du trône

Cristof
Cyclope a écrit:

Moi Cyclope ,Seigneur de Marsay et général de la légion Poitevine,prete en ces lieux allégeance a son comte et cela tant que durera son règne.
Je lui promet ainsi aide,conseil et fidélité,mettant mon épée a son service au péril de ma vie s'il le fallait.



En réponse à votre allégeance, je vous promets protection et Justice Seigneur Cyclope.


Que la Dame de Magné s'avance


Nina27 a écrit:
moi Nina, dame de magné jure de défendre le Poitou prête allégeance a sa grandeur cristof tant que durera son règne

jure de le défendre par les armes s'il le faut

lui jure aide, conseil, fidélité


En réponse à votre allégeance, je vous promets protection et Justice Dame de Magné.

(Pas le temps de faire mieux)
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Lady
Lady, toujours à sa place commençait à s'impatienter quand un page en livrée lui glisse un plis. Son époux lui signifie que, "indisposé", il ne pourra finalement assister à la cérémonie et lui confie le soin de faire "diligemment" ce qui est attendu, évidemment "sans se ridiculiser".
Elle hausse un sourcil guère étonnée, froisse dans le creux de sa main gauche le billet et conserve la partie beaucoup plus élégamment tournée destinée au héraut.

La Comtesse se lève donc pour s'avancer une fois que la Dame de Magné sera libérée de ses obligations par le Comte.


Arrivée à la place désignée elle sourit au Comte Cristof ainsi qu'à Eragon et salue un peu plus raidement qu'elle n'aurait voulu (bin ça fait un bout de temps qu'elle était assise dans son coin^^)


Comte Cristof, je me présente devant vous aujourd'hui au nom de la famille de Surgères, mon époux n'ayant apparemment pu m'accompagner...

La Comtesse se permet de tendre la missive de son époux à Eragon, se faisant presque l'effet de tendre un mot d'excuse avant de déclamer des vers..mieux vaut éviter de mettre les mains dans le dos pour le coup!

Moi, Lady d'Elric de Surgères, Comtesse d'Oléron, de Saintonge et Baronne de Luçon, au nom de ma famille, déclare reconnaître la personne de Cristof d'Aulnay de Saintonge le Comte légitime du Poitou.
Je promets fidélité, aide, conseils et me rends disponible pour toute tâche que vous jugeriez bon de ponctuellement me confier .

Lady veille autant que possible à ne point trop trainer pour éviter d'allonger la cérémonie plus que de raison...
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Cristof
La Noblesse Poitevine vit alors avancé une des nobles les plus titrés du Poitou.
Elle s'avance, excuse son époux tendant un mot à Poitou puis se soumet à l'allégeance.

Le Comte mime celui qui regarde par dessus à gauche et à droite puis souriant à Lady.


je peux vous affirmer que votre vue ne baisse pas, votre époux n'a en effet apparemment pas pu vous accompagner.


Sourit à nouveau

Comtesse Lady d'Elric de Surgères, en réponse à votre allégeance, je vous fais la promesse de vous fournir protection et de faire régner la justice sur l'ensemble de vos terres.

Euh dites-moi ma chère, vous ne trouvez pas qu'il commence à faire soif ici.
Moi, je boirais bien un petit coup.


Coup d'oeil vers Eragon...

Dites-moi Poitou, est-ce que l'Hérauderie Française nous oblige à mourir de soif, ou bien puis-je faire amener de quoi nous désaltérer un peu ?
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Eragon_killer
Eh bien votre Grandeur je propose que l'on attende la baron Davor qui m'a ton dit arrivait incessamment sous peu. Ensuite vu que je viens de recevoir une missive de Zalina nous en aurons fini pour les allégeances car je ne crains que Napoo et Jeremius ne sortent de retraite dans la journée.

Nous pourrions alors prendre des rafraichissements et passer aux deux anoblissements du Comte Chuichian.

Voici la lettre de Zalina

Citation:
A Sa Grandeur Cristof d’Aulnay de Saintonge, Comte du Poitou,
De Zalina de Montmorency, Damoiselle de Colombiers,

Salutations et connaissance de Vérité,

Qu'il soit de vous connue chose que par la présente je vous reconnais, vous Sa Grandeur Cristof d’Aulnay de Saintonge, comme Comte du Poitou et Vassal de Sa Majesté Lévan III de Normandie, Roy de France.

Item que je regrette de ne pouvoir être présente en personne pour cette allégeance et y recevoir à nouveau votre baiser de Paix, vous qui fuse le premier à me confier un fief.

Item que je vous promets respect, aide pour la protection du Comté et conseils autant que la loi Poitevine m'y autorise, en toutes circonstances.

Faict à Vincennes, ce 12ème jour d’octobre 1457

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Davor
Décidément ces cérémonies d'allégeances, à peine a-t-on le temps d'en finir une qu'on a l'impression que l'autre commence, ou bien à peine en commence-t-on une qu'on a l'impression que l'autre est tout juste terminée. Bref, ça revenait un peu au même en fait. Assez peu intéressé par la politique comtale depuis la fin de son dernier mandat en tant que Capitaine, le Baron de Pouzauges avait néanmoins fait l'effort, nécessaire bien entendu, pour venir jusqu'à la salle du trône depuis La Trémouille. Surtout que c'était quand même un membre de la famille qui se trouvait être Comte, cela aurait été particulièrement mal vu de faire le difficile. Et comme en plus Davor appréciait beaucoup Cristof, voilà pourquoi il avait pénétré dans la salle du trône, un peu en retard il est vrai, mais mieux vaut tard que jamais, en compagnie de sa douce Kali. Il la regarda en souriant, sachant pertinemment combien elle n'aimait pas ce genre de cérémonie, et se détacha d'elle à regret lorsque la Comtesse Lady eût prêté allégeance en son nom et au nom de Son Infinie Grandeur Faooeit.

Le Baron sourit légèrement, repensant à une discussion qu'il avait eu avec le Comte il y a peu, ainsi qu'à une autre conversation, légèrement plus lointaine, qui fit par contre disparaître son sourire, le sujet ne s'y prêtant pas vraiment. Secouant la tête pour émerger avec difficultés de ses pensées, il s'avança lentement, une fois que le Comte et le Héraut eurent fini de discuter, et posa un genou à terre devant le Comte du Poitou.


Nous, Davor Fortunat de Montbazon-Navailles, Baron de Pouzauges et Seigneur de Saint Sauvant, prêtons allégeance au Poitou à son représentant. Nous lui jurons obsequium, consilium et auxilium, quelles que soient les circonstances, pour la plus grande gloire du Poitou.
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Cristof
Davor arriva donc avec retard à la cérémonie, le Comte était tout de même heureux d'en avoir bientôt fini. Il jeta un oeil vers son épouse, scrutant une réaction à l'entrée de Davor.

En réponse à votre allégeance, Nous Cristof, Comte du Poitou, vous jurons de vous apporter Justice et Protection pour le durée de notre règne.
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Magoo
Davor s'avançait en retard, à croire qu'il était en retard pour tout ces derniers temps, les deuils, les allégeances, les cérémonies... Son ancien beau fils semblait mener nouvelle vie, il venait d'ailleurs accompagné de donzelle qu'il n'avait épousée. Magoo remarqua le regard de son époux. Elle était d'accord avec lui, il était temps de se désaltérer. Elle lui pris le bras.

Mon cher, excellente idée que voilà. Allons nous désaltérer!
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Kalimereth
Kali avait une nouvelle fois suivi son tendre Davor à la cérémonie des allégeances, non pas qu’elle aime particulièrement s’y rendre, mais simplement pour y accompagner l’homme qu’elle aimait. Elle jeta un coup d'œil circulaire, reconnaissant un certain nombre des personnes présentes, puis se recula discrètement alors qu’il s’avançait vers le Comte. Elle ne le quittait pas des yeux, un sourire aux lèvres, pressée qu’il la rejoigne.
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Eragon_killer
[Une pause ripaille plus tard]

Eh bien nous allons pouvoir commencer les anoblissements du Comte sortant..


D'ailleurs ou était-il ? Ça c'était une bonne question.. cela faisait quelques temps qu'Eragon ne l'avait pas croisé.. il se mettrait à sa recherche après la cérémonie.

Missive avait été envoyée à Extraelle afin qu'elle vienne recevoir sa seigneurie.. Quant à Eragon, il était déjà la et fin prêt.


La maréchale d'Armes Sylvestre va donc nous rejoindre pour ces deux anoblissements.
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--Leah_melani


[Maréchal-Express, what else ?]


[Lecture]
Alors voilà, vous êtes tranquille en retraite dans votre transat aux Bahamas, quand soudain on vous rappelle que vous avez oublié de rendre un important dossier, et euh...

[Rembobinage]
[Lecture]

Alors voilà, vous êtes tranquille en retraite dans votre cellule du monastère, quand on vous rappelle que vous devez remplacer le héraut du Poitou pour la réception de son fief. Alors n'écoutant que votre devoir, vous enfilez votre cape de super-héros...

[Rembobinage]
[Lecture]
vous enfilez votre tabard de maréchal d'armes, pour vous rendre au Poitou, et aller flanquer une rouste à ces maudits...

[Rembobinage]
[Lecture]
et aller assister à la cérémonie en officier royal consciencieux que vous êtes.
Les portes s'ouvrirent, pour laisser entrer le maréchal d'armes de tutelle de la province du Poitou, pour le plus grand malheur des nobles de cette province. Apparemment elle arrivait pile au bon moment, c'était la grande classe. Elle avait déjà revêtu le tabard fleurdelysé sur une robe noire, ses caducées en main.

Elle se présenta au comte du Poitou, elle ne se souvenait même pas si elle l'avait croisé la dernière fois.

Votre Grandeur, je suis le maréchal d'Armes Sylvestre, venue ici pour officier en remplacement du héraut Poitou pour qu'il reçoive son fief. Nous débutons dès que vous le souhaitez.

Puis elle se dirigea vers le pupitre héraldique, tout en faisant un clin d'oeil à Eragon.

Extraelle
Si Extraelle avait voulu faire une entrée remarquée, elle avait réussi son coup. Déjà, il semblait que la cérémonie d'allégeances s'était écoulée fort rapidement, et qu'elle était plus ou moins attendue. Ensuite, elle arrivait d'un pas à la vivacité et à l'empressement inversement proportionnels à son envie de se trouver en ces lieux, et surtout emboité par un concert de grelots. Pour la discrétion, on repasserait, donc.

Pourtant, elle n'avait pas tant envie que ça de se faire remarquer, la brune, voire pas du tout. Et cela pour de multiples raisons. Déjà, elle sortait de quelques jours où ses seuls compagnons avaient été les vapeurs éthyliques des innombrables breuvages qui avaient pu lui passer sous la main, et dans la gargamelle, tant que c'était fort, amer, et doté de vertus amnésiques. Et même si elle était sobre en ce jour - et cela en grande partie à cause du spécimen coloré et bruyant qui la suivait - était quand même affublée d'un intense mal de crâne, de cernes longues comme une vie sans risques, et d'un détachement désabusé et mélancolique envers tout ce qui ne ressemblait pas à un liquide.

Ensuite, elle avait beau ne fréquenter que les tavernes mal famées ces temps-ci, la de Montignac savait que les bruits les plus farfelus couraient sur son frangin et leur mandat conjoint, et que celui-ci avait été emprisonné dans les geôles du château. Depuis qu'elle avait découvert le vrai visage de son frère, la brune soupçonnait que la trahison ne s'était pas limitée à l'archontat. Et sentait confusément que d'autres scandales étaient à prévoir. Mais elle était loin d'imaginer ce qu'il en était réellement, et surtout les raisons pour lesquelles le Comte en exercice avait cru bon de passer les fers à Chuichian. Étant liée de fait à celui qu'elle avait toujours soutenu, jusqu'à ce retournement impensable, il ne lui restait plus qu'à se demander dans quelle mesure tout ceci allait lui retomber sur le museau. Et même si le fait d'avoir perdu son frère et plus intime confident comptait bien plus à ses yeux que de devoir faire face à d'éventuelles calomnies, la brune n'en avait pas moins sa fierté. Et comme l'avait dit un jour l'homme des mains duquel elle allait recevoir son titre, l'ego le plus démesuré du Poitou.

C'est pourquoi, en entrant dans cette salle qui rassemblait tout ce que le comté comptait de nobles et de gens influents, Extraelle n'en menait pas large. Et bien évidemment, ce fut le pas énergique, la tête haute et le port altier, que la brune s'avança, saluant les personnes présentes sans fuir le moindre regard, et sans montrer le moindre trouble. Guerrière, jusqu'au bout. Mais elle se rendit vite compte, non sans un certain soulagement, qu'aussi curieux que les gens pouvaient être de la manière dont elle surmontait les événements de ces derniers jours, c'était la chose incongrue qui lui collait aux basques, qui attirait tous les regards.

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Extraelle de Montignac. Hauts, la tête et le verbe.
Cristof
Le Maréchal d'Armes dont on avait annoncé l'arrivée au Comte du Poitou était arrivé.
Le Comte reprit donc sa place avant de s'adresser à Sylvestre.


Nous pouvons y aller et passer à la suite.
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Lunarion..
Plaaaaace ! Plaaaace !

Une grosse boule colorée tamponne les bourgeois qui se pressent devant les portes du château pour récolter les dernières nouvelles.

Z'allez finir par dégager voui ? J'suis attendu moi ! Bouffon officiel des festivités d'allégeances.

On aura connu plus ronflant mais à force de coups de coude bien placés - sous la ceinture vu la taille de l'énergumène - il se trace sa route et rattrape Extraelle avant qu'elle ne passe les portes de la salle du trône.
Il a tout juste le temps de perdre un peu du rouge aux joues qu'il avait acquis en courant et de reprendre son souffle, un peu, pas trop, la grande ne marchant pas lentement.


S'parti la belle. On est dans la cage aux lions. Mais je vous promet que d'ici peu ça ira mieux.

Sous-entendu, c'est moi qu'on croquera.
Le fol n'avait pas menti, ses apprêts surpassaient presque ceux de la Montignac.
Pantalon bayadère. De sable et d'argent. Réhaussé d'or et d'azur.
Les couleurs de la famille donc. Qu'assortissent aussi le chapeau à clochettes dont chaque extrémité est terminée par un grelot tintinnabulant à chacun de ses pas.
La chemise est ample, truffée de poches remplies de douceurs ou d'artifices. Ses épaules se déversent en rubans de toutes sortes. Ses chaussures partent en circonvolutions au bout et clochinent à chacun des pas du bouffon.
Seuls les gants - d'argent - ont un semblant de simplicité. Ça et le sceptre qui se termine par une main tendue en un index accusateur.

Un nain de parade donc, qui trottine derrière sa maitresse.

Deux bavards commentent un peu trop son arrivée à son goût.
Il se décale un peu du sillage de la femme et va leur attribuer une petit tape sur l'épaule.


N'oubliez pas de voter Cartel aux prochaines Comtales.

Il leur souffle son message dans l'oreille et rattrape docilement l'Extraelle.
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Eragon_killer
Eragon répondit par un sourire franc au clin d'œil de sa maréchale.
Le Comte avait parlé.. les deux anoblissements pouvaient commencer..
Voyant Extra hésitante, le Trémouillois s'avança des quelques pas qui séparaient le pupitre du héraut au trône du Comte du Poitou.
Toute la noblesse Poitevine et d'autres le regardaient.. Pour sûr que ca allait jaser.. N'ayant jamais eu un poste au Conseil Comtale, n'ayant jamais été Maire..

Mais ce que l'on pensait de lui l'importait peu.. il faisait de son mieux pour le Poitou et remplissait les tâches qui lui incombaient du mieux qu'il pouvait. Et puis certaines des choses.. qui d'ailleurs étaient partie intégrante du pourquoi Le Chian avait demandé son anoblissement.. se devaient d'être gardées secrètes.

Trêve de pensées négative pour un jour qui marquerait son entrée dans la noblesse.
Eragon connaissait parfaitement la procédure. Il allait s'agenouiller .. jurer aide conseil et fidélite au Poitou par le biais du Comté élu..
Et c'est ce qu'il fît d'une voix sérieuse et solennelle ..


Moi Eragon de Lisaran, jure fidélité, aide et conseil au Poitou à travers son représentant, sa Grandeur Cristof.

Cela ne rendait pas pareil lorsque l'on est à la place de celui qui est à genoux. Quant on est sur son pupitre à cocher froidement des noms on ne se rend pas compte tout ce qu'implique le simple fait de se mettre à genou devant quelqu'un.

Il avait fait un serment lors de sa nomination en tant qu'Héraut du Poitou.
Il avait fait de même lors de la cérémonie, le nommant escuyer de Jehan de Proisy.
Il avait "signé" à la licorne..acceptant le fait que " La Licorne passe avant tout" même si cela lui avait fait un cas de conscience puisque cela pourrait être synonyme de rompre tous ces serments..
Et enfin, aujourd'hui .. il prêtait allégeance pour la première fois..

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Kalimereth
Kali tenait la main de Davor, souriant en voyant son oncle s’avancer vers le Comte. Elle était heureuse pour lui, et heureuse d’être présente pour assister à son anoblissement. Elle le regardait avec fierté, s’agenouiller avec prestance, et jeta un regard rapide vers Ally, qu’elle savait aussi émue qu’elle.

Elle l’entendit prêter allégeance d’une voix haute et claire, et avait hâte de pouvoir enfin le rejoindre pour le féliciter, et lui montrer que sa famille était là, unie et solidaire.

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