[RP] La salle du trône

Petitjehan

Sa Grandeur Icie entra toujours aussi altière et il la salua d'un signe de tête. Elle se tint en bonne place et un page vint lui remettre un pli. Jehan, qui la connais bien voit son visage se décomposé un bref instant avant qu'elle ne reprenne sur elle...
Il ne sait encore comment il va faire mais il doit se rapprocher histoire de lui apporter au besoin son soutien.

Il salue Theodobert d'une inclinaison de tête et sourit en voyant Malone et Meileen entrer. La petite a pris de l'assurance et trottine comme une petite souris avec un grand regard émerveillé.

Puis le Prévot fait son entrée avant de rejoindre Davor et tous les deux se rapprochent de la famille...du clan.
C'est alors qu'elle arrive...la Baronne d'Apremont compte énormément dans la vie de Jehan, sa présence ses conseils avisés et son charisme en ont fait un conseil précieux...
Elle les rejoint...

Ma tante mes respects et toute mon affection...je suis bien heureux de vous voir avec nous.

Ensuite entre Xavix suivi de pres par Cyclope et...d'Alienor la seconde filleule de Jehan qui se réfugie sous l'aile de son Commandant de promis... Jehan sourit.

Le Comte de Montaigu entre toujours aussi digne mais un peu sombre depuis quelques temps...Jehan le connait et l'estime espérant que le tracas du Comte n'est que passager. C'est ainsi parfois la vie vous bouscule et l'humeur change.

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Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Magoo

Magoo, comme c'était maintenant semble t'il son habitude, arrivait en retard, du moins le pensait elle. Mais en pénétrant dans l'imposante salle du trône, elle fût rassurée en voyant que rien n'avait encore commencé. Elle en profita pour faire le tour des salutations avant de rejoindre son petit clan. La comtesse de Coudray Salbart qui se trouvait auprès du comte de Montaigu semblait chiffonnée.

Mes amis, dit elle en se postant devant eux. Voilà longtemps que je n'ai point eu l'occasion de vous saluer. Vous portez vous pour le mieux?
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--Rhan.

Quelques jours plus tard, arriva en Poitou une petite troupe de cavaliers portant fièrement les armes de Boiscommun -le chêne entouré de sa demi-douzaine de fleur de lys- qui escortaient leur seigneur jusqu'à Poitiers, bien loin vers le couchant de leur orléanais natal. Le baron était venu bien armé autant pour la sécurité sur les routes de France que pour sa mission en Poitou qui pouvait risquer d'être un peu musclée. Il n'était pas son épouse et cela ne se passerait pas comme ça, même s'il avait l'avantage d'être plus diplomate et moins caractérielle que celle-ci.

Enfin ils arrivèrent donc jusqu'à Poitiers où après avoir aménagé dans l'une des meilleures auberges de la ville et avoir fait reposé leurs montures, l'ancien connétable de France se remit en selle avec quelques uns de ses hommes pour se rendre jusqu'au palais comtal. Après avoir franchi les premières portes assez facilement en déclinant son nom et sa condition de noble, il arriva jusqu'au centre du chateau où il héla quelques gardes pour se faire annoncer dans la salle du trône vers laquelle convergeait déjà un certain nombre de personnes.

Veuillez annoncer Rhân de Crocy, vicomte d'Avize, baron de Boiscommun, seigneur de la Beslière-sur-Thanaise, des Fontaines-Chappées et de Villemurlin, héraut d'armes de France.

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Sur ma bannière, vous voyez 3 gentils lapins dans un champs, hein?.. Bah vous avez tort

Petitjehan

Jehan regarda arriver sa tante Magoo le chef du clan des Fortunat.
Il émanait d'elle une autorité naturelle et sous des dehors simples et calmes se cachaient en fait une volonté de fer et une détermination à toutes épreuves.
D'aucuns, à tort, la pensaient peu encline à l'affrontement...Ils risquaient un jour ou l'autre de cruellement déchanter.
Il la salua avec affection se sentant proche d'elle...

Mes affectueux respects Ma Bonne Tante Magoo. La famille est donc au complet...
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Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Letilet

La Baronne repondit par un grand sourire aux paroles de celui qui, bien plus qu'un neveu, faisait partie du cercle des plus proches.

Moi aussi Jehan, tu sais à quel point ta présence à mes côtés est.....
Malone? Mon dieu que tu as grandi ma belle!
Et cette petite tornade c'est bien la petite Meilleen, n'est ce pas?

Letilet éclata de rire

Vous êtes toutes deux adorables!
Venez que je vous embrasse...

Puis regardant Jehan

Excuse moi mon neveu, la jeunesse n'attend pas!
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Oane

A travers les flaques de lumières disséminées ça et là sur le par terre de marbre de cette salle du trône, l''immense silhouette de son enfance avançait lentement son ombre vers elle. Elle fut tout à fait engloutie par elle avant que sa grandeur de père ne posât ses yeux de jais d'ordinaire si opaque sur elle, une flamme les éclairant soudain, ce qui était rare chez le comte et préfigurait généralement soit qu'il allait parler de ses projets de royaume soit entrer dans une colère métallique. Oane se tint pourtant droite et ne bougea point d'une once ainsi qu'elle en avait l'habitude depuis sa prime enfance. Elle releva le menton et plongea dans les prunelles paternelles un instant de son regard aux couleurs aussi changeantes que celle de l'océan, un sourire perlant à ses lèvres couleur cerise, un sourire radieux, désarmant ...

Oane... C'est donc toi?!

Oh père ! Il semblerait que je sois toujours aussi ... moi !

Oane rit doucement de cet étonnement puis, elle se hissa sur ses petits pieds et glissa un baiser sur la joue de sa grandeur, ce qui fit rougir un tantinet le comte au grand plaisir de sa coquine de fille qui sourit et, plissant ses yeux ou se mêlent un couple d'amants terribles nommé tendresse et malice et dit à voix basse *

Auriez-vous oubliez que ma majorité approchant, les sœurs m'ont laissé sortir de ce couvent où vous me fîtes enseigner pour y apprendre ce que votre digne fille doit savoir ? [/b][/color]

Oane parle d'un ton de reproche rieur devant cet homme qui a si peu de mémoire pour ce genre de détail et beaucoup pour d'autres questions compliquées

Je suis arrivé ce matin et ne vous trouvant pas au château, j'ai pensé que vous aimeriez que je vous rejoigne ici mesme.

Elle se penche vers lui et chuchote un frisson la parcourant :

Mais, je crois que j'aurais préféré vous retrouver dans l'intimité de nos murs, tout cela est si ... rituel et ... si impressionnant

* silence puis sur un air complice *

Père, regardez la petite Malone ! Enfin pas si petite ... cela lui fait mmmh quel age déjà 13 ou 14 ans ? Je ne vois pas Isabelle et Kiiara, croyez vous qu'elles viendront ?
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Chuichian

[Quelques part dans le château]

L'on avait prévenu le Comte que l'hérauderie avait fait venir un nouveau représentant. Il avait souris lorsqu'il avait appris l'identité du dénommé "Orléans": l'époux de Dame Ylalang dit Sylvestre, celle dont la présence en terre poitevine n'était toujours pas souhaitée ni souhaitable. Montjoye ne manquait pas d'humour assurément.

Soit, faites le venir.

Et le garde revint quelques instant plus tard avec le dénommé Vicomte Rhân de Crocy. Les échanges de politesses habituelles passés le Comte suivit du héraut se rendirent en salle du trône.

[Salle du Trône]

Sa Grandeur Chuichian De Montignac, Comte du Poitou, annonça le garde avec force, suivit de Monseigneur Rhân de Crocy, héraut d'armes de France.

Le Comte remonta l'allée que la noblesse formait, un tapis avait été disposé jusqu'au trône quelques tentures aux armes du Poitou sur les murs: tout rappelait la puissance et le prestige Poitevin. Pas un bruit sur le passage du comte, quelques chuchotements tout au plus. Deux marches séparaient le trône comtal de son actuel occupant, marches qui furent vite monté.
Le Comte se tourna, fixant quelques instant la foule, avant de prendre place sur le trône.
D'un regard il indiqua au valet d'apporter les différents parchemins et velins dont le héraut aurait besoin.
Les deux portes en chêne se refermèrent, la cérémonie pouvait effectivement commencer.

Meileen

Meileen lève les bras et serre puis désserre ses petits doigts. Malone comprend et la prend pour la soulever.

Voilà, Meileen, tu dis aussi bonjour à Tante Letilet ?!

La petit regarde la Dame sans un mot, la détaillant. Elle ne se souvient pas d'elle, mais sourit et secoue sa petite menotte. Elle aussi c'est une Grand mama comme Magoo?

'oujour!

Letilet se penche pour lui déposer un bisou sur la joue et Meileen baisse les yeux avant de fourrer son visage dans le creu du cou de sa soeur.
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21 mois

Icie

Ahhhhh voilà que le comte du Poitou fait son entrée suivant le protocole, chuchota Icie à son ami Elra. Messire Rhân de Crocy, vicomte d'Avize, tu connais? il semble que ce soit le héraut .....

Mais Sa Grandeur Chuichian passait devant eux et Icie salua respectueusement d'un leger mouvement de tête. Elle lui était supérieur en rang et n'avait donc pas lieu de plonger en une réverence.
Tel était le protocole.
Cependant, les choses en allait autrement lors du serment l'allégence.

Elle sourit songeant au poids des coutumes et à leur symbolisme
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L'insulte HRP ne passera pas!! Qu'on se le dise!!

Malone1

Malone sourit au bonjour encore imparfait de sa cadette. C'est que je lui en apprends des choses à ma soeur, moi !

Citation:

Moi aussi Jehan, tu sais à quel point ta présence à mes côtés est.....
Malone? Mon dieu que tu as grandi ma belle!
Et cette petite tornade c'est bien la petite Meilleen, n'est ce pas?

Letilet éclata de rire

Vous êtes toutes deux adorables!
Venez que je vous embrasse...

Et qu'on la trouve grandie ... voilà qui allait lui étirer le sourire jusqu'aux oreilles d'ici peu.
Le voyage avec Jehan m'a beaucoup faite grandir, oui.
Et c'est effectivement ma Meileen, ma petite soeur. La seule l'unique. Elle aussi elle grandit beaucoup ... ça ne fait pas si longtemps qu'elle marche.
La jeune Fortunat s'approcha pour la bise demandée, et tendit sa soeur pour le même motif, s'interrogeant pourtant sur cette manie qu'avaient les adultes de leur faire des bisous, alors qu'ils ne s'en font pas entre eux ? C'est bizarre quand même, les adultes ...
Meileen aussi semble trouver ces manies bizarres, et se recroqueville dans le cou de sa soeur.
Doucement quand tu gesticules, ma Meileen, tu deviens grande pour que je te porte... Tu veux aller dans les bras de quelqu'un d'autre ? Il y a plein de monde ici, tu vas voir Grand Mama ? Ou Cristoff ? Ou Jehan ? Tu le connais bien lui ma Meileen...
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Meileen

Sa soeur lui parle encore et Meileen lève les yeux vers elle, concentrée pour enregistrer tous les mots et réussir à les comprendre.

Tu veux aller dans les bras de quelqu'un d'autre ? Il y a plein de monde ici, tu vas voir Grand Mama ? Ou Cristoff ? Ou Jehan ? Tu le connais bien lui ma Meileen...

La petite Montbazon regarde tour à tour les visages des personnes indiquées. Grand Mama? Meileen lui sourit. Cristoff? Elle l'observe un moment un peu intimidée. Jehan... Oui elle le connait bien, il est presque autant là que Malone!

Son petit coeur s'accélère quand elle le voit et elle gigotte comme une petite folle avant de tendre les bras vers lui en lachant un sonore:

PAPAAAAAAAAAA!
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21 mois

Alienor.1

Alienor regarde écoute, se sent de plus en plus mal se recule de plus en plus. Elle ne sais même pas pourquoi venir ici, lieu qu'elle ne supporte pas, pour lui... pour eux peu être.

Elle regarde les petites filles en souriant, elle n'ayant pas de passé juste une grande soeur et un grand frère retrouver!.

Voyant Cyclope occupée elle se recule encore doucement pour partir.
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Petitjehan

Citation:

PAPAAAAAAAAAA!

Le cri retentit pile au moment ou le Comte vient de passer dans un silence quasi religieux.
Jehan n'a que le temps de rattraper Meileen au vol et de déposer un bisou sur son front...son regard se porte alors sur Davor interrogatif...
Viens ma puce et sois sage...
Il berce l'enfant qui se pelotonne contre lui comme si cela était naturel.
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Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Allydou

A force de voir passer tant de monde devant cette porte, la curiosité, toujours elle, l'emporte sur le bon sens et elle pousse doucement la porte, pensant juste pouvoir jetter un rapide coup d'oeil et repartir aussi vite.

Ni vu, ni connu, à ce qu'il parrait.

Elle s'avance, juste assez pour faire cogner le battant de la porte dans le dos de quelqu'un, voila qui commence mal pour la discretion....

Pardonnez mo... Oh Alie, mais pourquoi tu restes devant la porte comme ça ? Toi aussi tu arrives tout juste ?

Tu crois qu'on peut rester et faire les curieuses ... si on se met dans un petit coin, ça devrait aller.

Elle l'entraine par le bras, en la tirant bien un peu quand même.
Etrange retournement de situation, la voila, elle, Ally en train de motiver l'autre Alie à rester ... on aura vraiment tout vu ici.
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Alienor.1

Alie sursaute piégée par Ally, d'habitude c'est le contraire... Elle lui sourit

Non non je partais All....

Trop tard Ally lui attrape le bras, voyant l'assurance de son amie elle se laisse faire en grimaçant. Tout se chamboulait dans sa tête.Elle suivit en évitant le moindres regards en observant Cyclope occupé
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La salle du trône

Chuichian

Au coeur du Palais des Comtes se trouvait la salle du trône: Lieu exprimant toute la puissance du Comte régnant, elle offrait un spectacle éblouissant par sa richesse à quiconque y entrait.
Le plus impressionnant encore était le trône en lui même: une aura émanait de ce siège, comme si la puissance que le Comte obtenait lors de son sacre y était enfermée.

Un long tapis rouge traversait la salle, recouvrant les dalles au sol, allant de la double porte en bois massif au pied du trône. C'est sur ce tapis que s'avancerait la noblesse poitevine afin de faire allégeance.
Les murs étaient recouverts par quelques tentures, scènes de chasses et de combats principalement, exprimant le courage et la valeur de celui qui présidait le Poitou.

Quelques gardes étaient également présent délimitant l'espace réservé à la noblesse de celle de la bourgeoisie; les allégeances étaient publiques, l'un des rares moment où elle était accessible au poitevin.

C'est sur ce siège que le Comte Chuichian poserait son séant quand la cour serait réunie. Les invitations étaient partis, conviant la noblesse en ce lieu pour un rituel presque sacré. Le Comte entrerait dans la salle en dernier instant: son valet se chargerai d'expliquer le déroulement de la procédure.

Nina27

Nina reçut un pigeon tôt se matin afin de se rendre a la salle du trône

cette fois si elle choisie sa tenue avec soin pris sa plus belle houppelande lissa c'est cheveux elle regarda le résulta dans son miroir et sourit

bon enfin je ressemble a une dame et pas a un soldat

pris son fidèle destrier et se rend immédiatement au château

il n'y avait encore peu de monde elle en était satisfaite elle pourrait voir tout le monde afin de les salué

entre toujours impressionnée par se lieu elle regarde c'est magnifique tapisseries et boiseries garnie d'or
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Ventreachoux

Ventreachoux prit connaissance du parchemin q'un pigeon arrivé dans la nuit avait déposé sur le rebord de sa fenetre.
Il se rendit au chateau et fit son entrée dans la salle du trone, apercevant dame Nina.

quel joie de vous revoir dame de Magné,
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Cyphus

Cyphus s'époussette en ralentissant son pas.
-Seigneur Cyphus Garion! Seigneur d'Erguenault et Baron de Tiffauges. Annonce un garde.
-Bonjour dame de Magné! s'exclame le baron en s'inclinant devant Nina.
Vous êtes bien en beauté, une robe vous sied tout autant qu'un uniforme!
-De La Rocheservière! Bien le bonjour.
Il s'incline tout autant et s'avance sur le tapis rouge pour contempler le nouvel agencement des meubles.
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Sexybabyphat

Sexybabyphat Garion d'Erguenault Baronne de Tiffauges arrive à la salle de trône bien mise pour l'allégence du Comte Chuichian suivit de son époux.

-Bonjour Dame de Magné! Bonjour Seigneur de la Rocheservière! Vous allez bien?

Elle leur fit un beau sourire et alla rejoindre Cyphus. Elle examina les alentours et trouva très belle la nouvelle salle de trône , bien décorée avec son beau tapis rouge.
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Nina27

bonjour messire ventreachoux bonjour dame Sexybabyphat sourit

messire cyphus quelle plaisir... les saluts

oui sa va trés bien merci et vous même ?
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Cyphus

-Du mieux du monde dame! Savez-vous si l'on vient nous accueillir? Je ne vois ni hérault ni comte!
S'il n'y avait pas la garde je nous croirais trompés de lieu.
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Kiriell

kiriell avait reçu tôt le matin un pigeon qui portait un pli scélé par le comte en personne.
il décida alors de se vêtir de ses habits d'apparats pour se rendre au château et en arrivant il fut surpris de voir que la cérémonie serait publique et donc ouverte à l'ensemble des Poitevins mais aussi des visiteurs !

la gargote, encore une idée original ! décidément, cette fameuse cérémonie des allégeances est pleine de rebondissement !
une chose est sûre, le comte chuichian bouscule les habitudes et marquera sans aucun doute son emprunte lors de son siège au plus haut poste du Comté du Poitou. pensa t' il...

quelques personnes étaient déjà là et il en profita pour les saluer en attendant l'arrivée des autres nobles du Poitou et bien entendu du comte lui même qui viendra sans doute expliquer le déroulement de cette cérémonie.
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--Yohan

Yohan, scrutait la vaste salle attentivement, et parcourait du regard chaque objet, chaque détail.

Il se mêlait furtivement à la foule qui commençait à s'amassait peu à peu, et vérifiait minutieusement que chaque chose était en ordre, à sa place, qu'il ne manquait rien et qu'il n'y avait rien en trop.

Il listait mentalement au fur et à mesure en regardant tout autour de lui, le visage impassible, et veillait à ce que tout soit conforme au protocole pour la cérémonie. Tout avait son importance, tout avait sa symbolique, et Yohan prenait à cœur que tout soit parfait, irréprochable.

Il regardait aussi, parmi la foule, les atours et les parures des gens, pour vérifier qu'il n'y avait rien d'incorrect dans leurs tenues, d'injurieux ou de déplacé.

Il n'était qu'un valet, et ce n'était sans doute pas sa fonction première de se préoccuper de tout cela. Mais c'était à vrai dire plus fort que lui, et il ne pouvait s'en empêcher, de tenter de faire son travail du mieux qu'il pouvait, et en tout cas pour un tel évènement.

Il lista mentalement une dernière fois, apporta discrètement quelques retouches infimes, donna quelques instructions silencieusement.

Puis il se rendit aux appartements du Comte pour voir s'il avait besoin de lui, et pour prendre avec lui la liste des personnes qui devront prêter serment, en se disant qu'il ferait encore une dernière vérification juste avant la cérémonie.

Sexybabyphat

-Je vais très bien dame de Magné! Merci...toujours dans l'armée?

Sexybabyphat regarde Cyphus qui a sans doute hâte de voir le Comte arrivé comme tout le monde. Elle lui donne un baiser pour le faire patienter.
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Faooeit

Le comte Faooeit arrivait à son tour dans la salle du trône, sans hésitation ni émerveillement, mais avec aisance et familiarité dans ce lieu qu'il connaissait fort bien. Après un léger salut aux nobles déjà présents, il leur dit:
Bien! Cette fois-ci, peut-être la cérémonie pourra-t-elle réellement se faire... Après tout, avec ou sans héraut la noblesse poitevine n'est pas du genre à renier un serment fait à son comte.
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Quentinx

Quentinx entra dans la salle et s'installa au fond

voyons voyons, qui va t'il virer de la salle cette fois ci ?
il rit intérieurement en pensant au héraut...
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Cristof

Le Vicomte pénétra dans la salle du trône, peut-être que cette fois la cérémonie irait à son terme. Il eu beau regarder partout, il ne vit pas de trace d'un héraut. Il s'installa donc en attendant la suite des évènements.
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Oane

Flaque éclatante d’ocre sur les dalles de pierres, tapis vermeille aux entrelacs d’une finesse incroyable, enserrant en leur écrin, une scène campagnarde de badinage aux allures à la fois divine et coquine. Tout son être est plongé dans ces fils tissées et ses pensées s’entortillent aux gré des mailles. Puis, son regard océan mêlé d'émeraudes se déplace sur un meuble d’excellente facture, en bois sombre, lustré, elle en détaille les coins, remarquablement dorés à l’or fin qui dessinent des têtes de lions dormant sur une plume, puis les pieds qui donne une allure vivante au guéridon avec ses pieds d’or, on dirait qu’il va d’un instant à l’autre se déplacer et apporter à cette visiteuse la carafe qui le coiffe et cette coupe d’argent qui doit sûrement contenir un liquide à même d’étancher sa soif et de lui faire oublier pour quelque instant encore, cette émotion qui l'étreint. Elle sourit. Devant elle se presse une foule multicolores en grandes tenues d’apparat. Les nobles venant prêté allégeance de par tout le pays.

Quelques voix graves s’échappent pour venir ricocher ici et là. Oane, frêle roseau parmi ces chênes illustres, attend que le valet se soit occupé des personnes devant elle puis, lorsque l’homme s’avance vers elle, commence un non dialogue convenu d'avance

Qui dois-je annoncer dame?

Vous ne devez annoncer personne, je * rougit légèrement* ... suis juste venue assister à l'allégeance mais mon père, Faoeiit de Surgères, comte de Saintonge et d'Oléron prêtera seul cette allégeance pour nous.

Le jeune valet avait paru si décontenancé un instant qu'il se dandinat d'un pied sur l'autre puis, semblant se décider il trompeta et annonça haut et fort

la Dame de Surgères

Les joues de le jeune femme virèrent au coquelicot et elle se mordit la lèvre inférieure. Elle pencha la tête sur le côté et regarda le "trompettiste" courir à petit pas pressé pour exécuter avec zèle sa tâche puis, son regard azur se perdit au détour d’un tissus chatoyant qui rasait le sol, ce qui lui permettait de baisser le regard et d'échapper ainsi au sentiment de se sentir exposée et lui autorisa ainsi quelques instants pour laisser passer son envie folle de rire en pensant au petit tour du trompettiste et à la tête de son père en entendant son nom. Lui qui la voulait cloitrer sauf mention express de sa part... quand elle releva son menton volontaire; l'ovale de son visage était un masque de porcelaine qui ne disait rien des ses émotions. Elle avança dans la salle du trône.
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Davor

La cérémonie d'allégeances au Poitou, une grande histoire d'amour... Le Baron de Pouzauges se rappelait du règne de Son Infinie Grandeur Faooeit de Surgères, lors duquel il était arrivé que la cérémonie ne soit pas effectuée. Cela avait d'ailleurs causé quelques soucis à sa défunte épouse Elliandra. Ou alors la dite cérémonie se faisait à la toute fin du règne, ou bien sans héraut, comme cela semblait être le cas ici.

Hochant la tête amusé, il regarda autour de lui, remarquant la présence d'une frange non négligeable de la noblesse poitevine, même s'il manquait encore beaucoup de monde. Il chercha sa douce du regard, mais elle ne semblait pas être déjà arrivé. Prenant son mal en patience, il se plaça sur le côté de la salle, attendant patiemment que la cérémonie débute.
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Petitjehan

Jehan vint au Château sans précipitation ni spéciale joie.
Le fait que le Héraut soit absent de la cérémonie en fait lui importait peu puisqu’il venait, une nouvelle fois faire allégeance à son cher Poitou en la personne du Comte légitime.
Il était en fait plus à la joie du retour de sa Douce épouse du monastère où elle avait été gardée en raison de son état de santé.
Son fils Geoffrey disparu après l’agression dont il avait été victime avec sa jumelle Isabelle, cette dernière victime d’une seconde agression se reposait à Limoges attendant de pouvoir être en état de voyager pour revenir à La Trémouille.
Il entra dans la salle et salua les personnes présentes, constatant que Sa Grandeur n’étant point encore arrivée il était par conséquent en avance.

Il alla, en neveu respectueux, saluer son oncle…

Mon oncle je vous salue bien, espérons que cette cérémonie aille jusqu’à son terme cette fois…Ma tante n’est pas avec vous ?

Puis tout en parlant le Vicomte vit son cousin Davor à qui il fit signe de les rejoindre. Les Fortunat devaient montrer l’union familiale.

Petit geste amical à des connaissances amicales comme le Seigneur de la Rocheservière ou le Baron de Tiffauges flanqué de sa si jolie épouse, Kiriell et Nina. Il espérait que sa Douce le rejoindrait à temps.
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Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Theodebert

Theodebert entra dans la salle du trône et vit que quelques nobles poitevins étaient déjà arrivés, c'est donc d'un élan tout naturel qu'il se dirigea vers eux.
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Icie

La comtesse de Salbart était passé surveiller la construction de l'hôtel particulier familial. Les fondations étaient enfin terminées. Elle avait revu les plans avec l'architecte, annoté quelques modifications .
Les charpentiers étaient arrivés le matin même.

Apres discution avec son argentier, Icie de Plantagenêt avait rejoint le château du Poitou situé à proximité.

Que cette salle était imposante, pensa t elle. Chaque fois elle lui faisait le meme effet. Elle se dirigea vers la droite, pres des hautes fenêtres qui ouvraient sur le parc.
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L'insulte HRP ne passera pas!! Qu'on se le dise!!

Malone1

Avant leur petite escapade en Alençon en compagnie de Jehan, on voyait généralement Meileen dans les bras de Malone. Mais là bas, la petite héritière de la baronnie de Pouzeauges avait appris à marcher. Devant la porte, Malone posa donc sa sœur à terre, et c'est chacune sur leurs jambes qu'elles entrèrent dans l'impressionnante salle du trône.
Allez ma Meileen ! Montre leur tous comme tu marches bien ! Tu viens avec moi ?
Et c'est main dans la main qu'elles avancèrent.
Comment un bébé et une toute jeune fille se trouvaient-elles là ? Eh bien ... juste derrière Jehan, bien sûr ! Depuis la mort de leur mère, le Vicomte était leur seul point fixe, et elles s'y étaient fermement raccrochées.

Malgré la différence d'âge, c'était pour elles deux la première cérémonie d'allégeance à laquelle elles assisteraient, et le faste déployé leur faisait tourner la tête de toutes parts ... enfin surtout Malone. Elle eut un petit regret d'être venue en avisant le veuf de sa mère, et se concentra par la suite pour ne même pas le regarder, mais sourit en avisant Oane à l'autre bout de la salle : enfin quelqu'un d'un âge proche du sien, peut être pourraient-elles faire connaissance ? Peut être ... mais pour l'heure, Jehan se dirigeait vers Cristoff, l'époux de Grand Mama, que Malone salua poliment à son tour, d'une petite révérence tout droit imitée d'Isa.
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Kalimereth

Kali se faufila comme elle put au travers de la foule qui commençait à être conséquente, cherchant des yeux son tendre qui lui avait demandé de le rejoindre. Elle l’aperçut enfin et poussa un soupir de soulagement voyant qu’il était un peu à l’écart. Elle se glissa discrètement à ses côtés, et lui prit la main en souriant.

Désolée du retard mon ange, je n’ai pu me libérer plus tôt.
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Davor

De sa position un peu à l'écart, Davor regardait les nobles poitevins qui continuaient d'arriver. Que de personnes valeureuses et fidèles à leur Comté dans cette salle du trône... Le sourire du Baron s'agrandit lorsqu'il vit Kali entrer dans la salle et se diriger vers lui. Il porta sa main à ses lèvres et y déposa un léger baiser.

Désolée du retard mon ange, je n’ai pu me libérer plus tôt.

Tout va bien ma douce, tu n'es pas en retard, la cérémonie n'a pas encore commencé. On attend surtout le Comte en fait.

Sur ces paroles, il aperçut son cousin Jehan, fraîchement Vicomte d'Olonne, qui lui fit signe de se rapprocher de lui et de Cristof. Le Baron aperçut derière son cousin Malone et Meileen et eut un sourire attendri en les voyant.

Viens mon ange, allons les rejoindre.

Il lui sourit tendrement et traversa la salle en direction du petit groupe des Fortunat, sans lui lâcher la main, saluant tout le monde d'un grand sourire, sans plus penser à tous les soucis qui pouvaient lui tomber dessus en cours de journée à la caserne. Tiens, cela lui faisait penser qu'il faudrait qu'il s'entretienne avec sa cousine la Baronne d'Apremont, qui devrait sûrement passer par ici, obligatoirement même.
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Letilet

La Baronne d'Apremont fit une entrée discrete dans la Salle du Trône.
Comme toujours depuis le décés de son epoux, elle arborait une sobre tenue de deuil sans fioriture ni artifice....
Elle fit un rapide tour d'horizon, saluant d'un hochement de tête et d'un sourire les membres de la fiere noblesse poitevine déja présents.

Elle se dirigea ensuite vers le petit groupe constitué des membres de la famille Fortunat.

Mon neveu, mes cousins, Dame Kalimereth, je vous salue....
Comment allez vous?
Et bien messieurs, on aurait pu croire que la gent feminine familiale avait été décimée, heureusement que j'arrive pour sauver l'honneur!^^

Ma cousine Magoo ne vient elle pas Cristof?
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Meileen

Décidément, la petite Montbazon voyait du pays avec sa soeur et Jehan! Tanto Laragne, puis Gerzey, l'Hermenault, l'Alençon puis la salle du tône... Ses yeux n'avaient pas fini de s'agrandir d'émerveillement.

Encore plus depuis qu'elle savait marcher et pouvait à loisir aller explorer les environs, quand Malone acceptait de lui lacher la main. Ah Malone... sa seconde maman, son point de repère, son phare, dans ce monde où elle n'était pas sure encore de où était maman et de qui était papa...

Elle entre dans la grande salle du trone, trottinante aux côtés de la blonde. La taille, la décoration et le monde lui font tourner la tête et elle reste éberluée un instant.

Allez ma Meileen ! Montre leur tous comme tu marches bien ! Tu viens avec moi ?

Cette phrase la ramène un peu sur terre. Depuis peu elle comprend casiment tout ce qu'on lui dit, sans pouvoir encore vraiment y répondre, mais c'est déjà ça. Les adultes se seraient-ils mis à parler enfin son langage? Si seulement elle avait conscience que c'était elle qui arrivait enfin à comprendre le leur...

Aux mots de son ainée, elle sourit fièrement et dans un élan d'excitation, lache la main et se met à courir de ses petites gambettes vers le centre de la salle. Elle s'arrete soudainement et regarde autour d'elle portant un doigt à sa bouche.

Mince, j'ai été trop vite... Elle ne reconnait personne, mais cherche, tourne sur elle même, inspecte. Que des grands, de jolies robes, de belles capes, un mélange de couleurs. Le brouahah. Ses yeux émeraudes se posent alors sur Malone et elle se sent soulagée. Elle galope vers elle et enfonce son visage dans sa robe, tout sourire.
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21 mois

Xavix

Xavix se présenta à la salle du trône, un petit sourire en coin en se disant Que va-t-il se passer cette fois ci ? Je n'aurais jamais imaginé qu'une cérémonie d'allégeance pourrait être si intéressante et si mouvementée !
Puis il entra dans la salle après en avoir reçu l'autorisation, et vu quelques uns de ces amis qui étaient déjà arrivés. Il fit le tour de la salle pour les saluer un à un et discrètement se rangea dans un coin observant les allées et venues et attendant la suite des événements.
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Cyclope

C'est en tenue de militaire,épée sur le côté et rangé dans sons fourreau que le commandant Cyclope franchit la salle du trone,accompagné par sa fiancée Alienor..
Cherchant une plaçe ou s'asseoir c'est amicalement qu'il saluat au fur et à mesure les seigneurs et nobles présent ..demandant quelques nouvelles rapides..
Il trouvat place prêt du Viconte Jehan accompagné par une partie de sa famille...

Souriant à Alienor ,le commandant formulat quelques phrases de politesse à l'encontre des autres nobles présent ..prêt du vicomte..les saluant au fur et a mesure..
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Faooeit

la Dame de Surgères, venait-on d'annoncer.
Au son de cette voix, Faooeit regardait vers l'entrée de la salle, et vit une jeune femme s'approcher... Il allait vers elle, la dévisageant de manière intriguée et arrivé à sa hauteur, après quelque hésitation il lui dit avec une légère émotion dans la voix:
Oane... C'est donc toi?!
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Alienor.1

Alienor avait cette fois ci accompagnée Cyclope à la cérémonie à reculons, Elle avait mauvais souvenir de la dernière cérémonie.Peiti sourire de circonstance, inclinaison de la tête, aucunes courbettes à faire.
Elle tenait la main de Cyclope en regardant autour d'elle. Elle remarqua Jehan et lui fit un sourire pour qu'il ne remarque rien.
Muette elle écoutait les dires de certains. Elle sera la main de Cyclope et se blotti contre lui.
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Elra

Elra pénétra, une fois encore, dans la salle du trône. Il salua les personnes déjà présentes. Il reconnut Icie dans l'assistance, il alla prendre place à ses côtés, saluant au passage, le Comte Faooeit de Surgères, Messire Cyclope et Dame Alienor, Messire Xavix, Messire Davor, Dame Letilet, Messire Theodebert bien sûr, chef des Phoenix de Saintes, Son Excellence le Vicomte Jehan, le Vicomte Cristof. et bien évidemment le Comte du Poitou, Sa Grandeur Chuichian.
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Icie

Ainsi cette belle damoiselle était la petite Oane de Surgeres.....mon dieu que le temps passe, pensait la comtesse Icie. Et la petite Malone et sa soeur........comme elles étaient attendrissantes toutes les deux........

Une ombre passa devant le visage d'Icie, et elle ferma vite les poings pour empecher l'emotion de la submerger. Que d'absents autour d'elle.....comme il lui manquait la presnce de son époux, de sa petite fille, de son fils...un étau etreint son coeur et elle accueillit avec plaisir la venue d'Elra à son côté.

Avoir des amis, était sa seule consolation.

Votre Grandeur, un pli pour vous. Urgent m'a t on dit. Le page lui tendait le plateau d'argent d'un air intimidé. Il était bien jeune et sans doute était ce ces débuts.
Merci, jeune homme

Elle observa le cachet..Anjou ? elle connaissait ce cachet mais c'etait si vieux..........

Intriguée, elle fit sauter la cire et commença à lire.

Damnation......damnation..........au fur et à mesure de sa lecture, ses traits se durcissaient, oscillant entre l'ecoeurement et une colère froide. Tour à tour ses yeux passaient de l'etonnement à celui d'un ciel chargé d'éclairs.
Ils osaient......ils osaient................

Rageusement elle froissa le pli en une boule compact. C'etait tout ce qu'il méritait pour l'instant. Elle le fourra dans sa poche et regarda autour d'elle

Ce calme........ce calme...........se maitriser et reflechir. Chaque chose en son temps.
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L'insulte HRP ne passera pas!! Qu'on se le dise!!

Malone1

Davor qui s'approche, et Malone qui tourne la tête pour ne pas le regarder, aussi énervée que gênée. Comment peut-il donc faire comme si de rien n'était ?!
La jeune Fortunat aperçoit ainsi la comtesse Icie, qu'elle salue d'un sourire et d'un mouvement de tête.
Par chance pour elle, une Grand-Tante approche, et elle en profite pour la regarder elle. Malone la voit rarement, mais impossible de la confondre avec une autre, vu ses robes noires toujours pareilles. Enfin Grand-Tante ... ça se dit vraiment vous croyez ? Hésitant, la jeune fille prend le parti de faire "comme les autres", puisque personne autour d'elle ne fait vraiment autrement. A part Grand Mama, mais Grand Mama c'est pas pareil, c'est Grand Mama ...

Tante Letilet, Bonjour.
L'habitude sûrement, elle veut se pencher pour dire à Meileen de faire pareil, et dire bonjour. Tiens, mais Meileen ?! Elle est entrée avec, mais ...
Un choc dans ses jambes, la voilà, le nez dans les jupes de sa soeur comme souvent. Malone se penche, soulève Meileen et la hisse dans ses bras.

Voilà, Meileen, tu dis aussi bonjour à Tante Letilet ?!
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Petitjehan

Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Magoo

--Rhan.

Sur ma bannière, vous voyez 3 gentils lapins dans un champs, hein?.. Bah vous avez tort

Petitjehan

Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Letilet

Oane

Chuichian

Meileen

21 mois

Icie

L'insulte HRP ne passera pas!! Qu'on se le dise!!

Malone1

Malone sourit au bonjour encore imparfait de sa cadette. C'est que je lui en apprends des choses à ma soeur, moi !

Citation:

Meileen

21 mois

Alienor.1

Petitjehan

Citation:

PAPAAAAAAAAAA!

Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Allydou

Alienor.1

Allydou

Oui ben tu partiras plus tard, on ne va quand même pas se faire remarquer plus encore non ??

Et arrêtes avec tes grimaces, tu vas finir par faire peur à la petite la ...

Elle sourit à Alie, en lui montrant de la tête, Meileen dans les bras de leur parrain.

A force de se faufiler, elles se trouvent deux chaises, un peu en retrait de tous ces gens présents, et s'installent, en attenant que la ... fête commence.
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--Rhan.

L'orléanais salua le comte du Poitou avec courtoisie bien qu'assez froidement pour concilier le protocole et le déplaisir qu'il avait eu d'entendre le récit du départ de sa chère épouse. Mais il n'était pas là non plus pour provoquer en duel les nobles poitevins mais pour accomplir sans état d'âme son office de héraut et avec certainement bien moins de passion que son épouse ce qui lui jouerait sans doute moins de tours. Il serait toujours temps d'y repenser plus tard.

Le vicomte entra donc à la suite du comte du Poitou dans la grande salle du trône où s'était rassemblée tout la noblesse locale qui formait de part et d'autre d'eux un rempart silencieux. Il s'arrêta au pied des marches du trône que le comte finissait de monter, revêtit son tabard fleurdelysé par dessus son pourpoint, prit son caducée en main et tria parmi les velins qu'un serviteur lui apportait ceux qui allaient lui servir.

Une fois que la lourde porte en chêne se fut refermé, le héraut s'avança un peu, un parchemin à la main pour déclarer à voix haute :

Nobles du Poitou!
Voici le moment de rendre hommage au nouveau comte du Poitou Chuichian de Montignac. La cérémonie durera toute cette journée [1 mois Irl]. Présentez vous devant le comte, chacun à votre tour, selon l'ordre d'arrivée ou de rang comme il plaira au comte de vous recevoir.
Pour que l'hommage soit valable, il doit comporter le serment de fidélité, d'aide et de conseil. Vous devez bien évidemment attendre que le comte l'accepte et vous jure en retour protection, justice et subsistance avant de repartir. Pour les missives elles doivent être scellées ou signées de manière à ce que leur expéditeur soit clairement identifié.

Sont donc appelés à rendre hommage au comte:

Messire Faooeit de Surgères et dame Lady d'Elric pour leurs terres de Saintonge, d'Oléron et de Luçon,
Messire Haverocq Chénaneguène pour ses terres de Montaigu et de Marans,
Messire Gaëlik de Plantagenêt et dame Icie Algédor Balmyr pour leurs terres de Coudray-Salbart, Bressuire et Lusignan,
Dame Olivyaa de Fontenoy pour ses terres d'Aunis et de l'île de Ré,

Messire Cristof et dame Magoo pour leurs terres d'Aulnay de Saintonge, de Frontenay et de l'Isle-Jourdain,
Messire Baillant pour ses terres de Pons et de Mauleon
Messire Maxime d'Alesme pour sa terre de Fontenay,

Dame Abaelle de Rochefort pour sa terre de Rochefort,
Dame Letilet Fortunat pour sa terre d'Apremont,
Messire Davor pour ses terre de Pouzauges et de Saint Sauvant
Messire Cyphus et dame Sexybabyphat Garion pour leurs terres de Tiffauges et d'Erguenault,

Messire Theodebert pour sa terre de Chadignac,
Messire Cyclope pour sa terre de Marsay,
Dame Zalina de Montmorency pour sa terre de Colombiers,
Dame Nina27 pour sa terre de Magné,
Messire Jehan de Proisy-Fortunat pour sa terre de L'Hermenault,
Messire Squal2a pour sa terre de Mareuil,
Messire Napoo pour sa terre de Lagordet,
Messire Quentinx pour sa terre de Saint Vincent Sterlanges,
Messire Kiriell de la Rose Noire pour sa terre de L'Aiguillon sur Mer,
Messire Xavix pour sa terre de Beaurepaire,

Recevrons ensuite des mains du comte:
Messire Jehan de Proisy la vicomté d'Olonne,
Messire Jérémius la seigneurie de Saint-Savin,
Dame Allydou la seigneurie de Maillezais,
Messire Ventrechoux la seigneurie de Rocheservières

Après avoir un peu soufflé avec ce court discours et cette longue liste, le héraut s'empara d'un nouveau parchemin que le valet venait de lui confier puis se retourna et s'avança vers le comte.

D'après les informations qui arrivent des monastères poitevins, il semblerait que la comtesse Olivyaa, la dame Abaelle et l'impénétrant Jérémius se soient actuellement retirés du monde.

Puis il se remit à sa place pour observer la cérémonie qui allait se dérouler, un œil vers le trône, un autre vers un valet pour qu'il raye de la liste après chaque hommage le noble venu pour savoir où la cérémonie en était. C'était maintenant au comte d'inviter ses nobles à venir et à la noblesse poitevine de venir se presser vers le trône.

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Sur ma bannière, vous voyez 3 gentils lapins dans un champs, hein?.. Bah vous avez tort

Meileen

A son cri, Jehan tend les bras et l'embrasse sur le front. Meileen entoure le cou de l'adulte de ses bras et colle son front dans son épaule, comme pour Malone tout à l'heure. Elle n'est plus sure que Malone lui ai dit un jour que c'était lui son père, mais en fait, c'est l'homme adulte le plus présent dans sa vie depuis sa naissance, la figure qu'elle voit le plus. A ce même titre, elle aurait pu appeler Malone maman, mais elle sent au fond d'elle qu'elle n'est pas vraiment une adulte. Et les parents, c'est forcément des adultes. Et puis Malone n'a jamais essayé de lui faire prononcer maman.

Légitimement alors, elle l'a considérée automatiquement comme sa grande soeur. Et Gaïlen lui? C'est son frère? Difficile à dire, elle ne l'a vu qu'une seule fois, donc ça ne doit pas être ça. Meileen se souvient aussi avoir entendu Isa dire papa à Jehan une fois, au gouter à l'Isle Jourdain. Alors c'est aussi sa soeur Isa? Ca elle n'est pas très sure, Isa elle s'occupe pas d'elle comme Malone le fait.

Bah comme c'est compliqué...

La petite enfourne un pouce dans sa bouche et observe les alentours.
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21 mois

Faooeit

Faooeit avait un regard admiratif envers sa fille et il l'écoutait parler, la fixant des yeux.
Tu es à présent en âge d'enfanter. Dès que ta mère sera plus disponible, nous songerons à ton baptême et à ton mariage... Je suis bien aise d'avoir une fille si ravissante et je l'espère, si fertile.
Il regardait autour de lui, tout le monde se parlait, et chacun arrivait avec sa femme, sa compagne ou même ses enfants. Étrange spectacle, pour une fois pour une cérémonie d'allégeance où l'on s'occupait de tout, sauf de la raison principale de la présence de chacun. Il retournait les yeux vers Oane quand le comte et le héraut étaient en position:
La cérémonie va commencer, et ma femme la comtesse n'est toujours pas là. Reste un peu à l'écart, peut-être vais-je y aller dans les premiers.
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Cristof

Le Vicomte, après avoir rassuré Jehan sur la présence imminente de sa tante et salué la Noblesse déjà présente, s'installa au milieu du clan.
Les enfants encore un peu turbulent furent rapidement rappelés à l'ordre par leurs parents et le Comte du Poitou pu ainsi faire son entrée suivit par un héraut qui ferait donc office.

Tout les éléments étaient désormais rassemblés pour un somptueuse cérémonie digne du Poitou dans le respect de sa Noblesse et de sa Grandeur.
Au passage de sa Grandeur, le Vicomte s'inclina respectueusement comme le veut l'usage.
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Letilet

Alors qu'elle venait d'embrasser les deux enfants, Letilet assista l'etrange spectacle de la petite Meilleen se jetant dans les bras de Jehan et l'appelant papa...

Mais....

Un coup d'oeil à Davor, un regard vers Jehan, la Baronne , quelque peu décontenancée, s'apprétait à interroger son neveu mais déja une chappe de silence s'etait abattue sur la salle.
L'entrée du Comte Chuichian était annoncée.
Laissant ses questions en supens, la jeune veuve repris sa place dans les rangs aux côtés de son clan et, relevant légèrement les pans de sa robe, éxécuta la révérence de circonstance au passage du régnant.
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Malone1

Malone aussi, entendant Meileen, fut un peu surprise. Elle avait effectivement expliqué à la petite ce qu'était qu'un papa. Mais jamais elle n'avait nommé personne à cette place. Elle hésitait à corriger quand l'entrée du comte vint la sauver.
Observant Tante Letilet, la jeune Fortunat estima que si elle en faisait ainsi, il serait peut être bon d'imiter, et improvisa une révérence qui n'oscillait presque pas.
Elle écouta sans broncher le Héraut parler, puis se pencha vers tante Letilet, qui était la plus proche d'elle. La tête vers le haut, elle lui murmura tout bas.

Et si un des nobles ne vient pas prêter allégeance alors qu'il n'est pas en retraite, il se passe quoi ?
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Letilet

Letilet sourit à celle qu'elle avait connu nourrisson puis fillette se cachant dans les jupes de sa mère.... Elliandra serait trés fiere de voir la jolie jeune fille qu'elle est devenue....
Elle lui repondit discretement:

Il s'agit d'un manquement grave aux obligations d'un vassal, cela peut être considéré comme une trahison et le fief peut être retiré....
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Ventreachoux

Ventreachoux silencieux, ne perdait pas d'une miette la cérémonie qui se déroulait sous ses yeux, puis sentant la pression montée en lui en pensant que le comte du poitou allait lui remettre une seigneurie.
"surtout ne pas bafouiller"
pensa t'il, toujours anxieux il jeta un coup d'oeil furtif sur tous les nobles présents, semblant analyser leur comportement comme pour se rassurer.
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Alienor.1

Alie écouta et entendi le nom de son amie Allydou. Elle se retenu de rire.

Tu vas y passer mal Belle hihi, je pense faire ma curieuse la et reste pour te voir montrer que tu as la tête haute malgré les absurdités dite depuis tout ce temps.
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Allydou

Du regard, elle détaille la pièce, les décorations, les tenues et la noblesse présente, quand l’homme qui était arrivé avec le Comte entame un discours.

Elle l’écoute d’une oreille un peu distraite énumérer les noms de ceux qui allaient devoir se présenter.

Sur le point de faire remarquer à sa voisine qu’ils allaient en avoir pour un bon moment à tous passer, son cœur manque un battement.

Elle va pour se pencher vers Alie, mais celle-ci l’a devancé et commence déjà à se moquer gentiment.

Grumpf, je n’ai donc pas mal entendu, c’est bien Allydou qu’il vient de dire ?

Mais heuuu je venais juste regarder un peu moi, je n’avais pas prévu ça …

Maudite soit sa curiosité qui encore une fois, l’avait poussé à se mettre toute seule dans l’embarras.
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Faooeit

Quelques instants passèrent, Faooeit était prêt à intervenir puis finalement, s'avança vers le comte. Tête nue, il se mit à genoux, puis lui dit:

Comte Chuichian, moi, Faooeit de Surgères, Comte de Saintonge et d'Oléron, et Baron de Luçon, viens à vous pour vous jurer ma fidélité, mon soutien militaire et mon conseil du mieux que je peux et comme je l'ai toujours fait pour le Poitou. Pour ce faire, je n'ai point besoin de quelque héraut qui me dise comment vous promettre ceci de la même manière qu'il m'explique comment m'essuyer le séant après avoir usé de la chaise de commodité.
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Malone1

Malone opina du chef, sa curiosité apaisée par l'explication reçue. Elle observa avec attention Faooeit prêter allégeance, comptant mémoriser la façon de le faire pour plus tard, au cas où ... Mais point besoin d'avoir vécu des décennies durant pour comprendre que ce n'était pas comme ça qu'il fallait faire si l'on ne voulait pas se faire remarquer.
Elle tenta d'étouffer le rire qui la prenait en entendant la déclaration faite, mais la chose n'était pas facile, et elle plaqua une main sur sa bouche.
Du regard, elle chercha la jeune fille de son âge qu'elle avait vue quelques instants avant cette incartade lui parler. Comment réagirait-elle donc ? Qui était-elle pour lui ? Ce ne pouvait tout de même pas être la fille de Fao, Oane ?? Quoique ... très grandie, mais elle ressemblait effectivement à Oane ... Oane ?
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--Yohan

Yohan se plaça à un endroit discret d'où il aurait une bonne vue sur l'ensemble de la salle pour voir ce qui se passait, et d'où il entendrait clairement les serments, sans se faire remarquer.

Il se devait de rester concentrer tout le long de la cérémonie. Il tenait en main la liste des nobles qui devaient prêter allégeance. Et il ne les rayerait de la liste que lorsque ledit noble aura accompli son serment de fidélité, d'aide et de conseil, de la façon qu'il se devait de le faire en respectant le protocole, et que le Comte à son tour accepte ce serment et jure protection, justice et subsistance en contrepartie.

Yohan ne cocherait sa liste qu'à ces conditions. Et il veillerait à ce que tout soit fait de manière correcte. Cela n'aurait aucun sens selon lui, dans le cas contraire.
Et il ferait ensuite signe au héraut et aux autres que c'était fait et qu'ils pouvaient faire avancer le prochain noble de la liste.

Il jetait également des coups d'oeil autour de lui voir si on lui faisait signe, au cas où un imprévu requerrait son aide.
Mais pour l'heure, il s'effaçait, invisible aux autres, et observant tout.

Abaelle

Vêtue de bleu nuit avec des touches d'or, les couleurs de Rochefort, comme à son accoutumée pour les occasions officielles, Abaelle se tenait à la porte de la salle du trône.

C'est tardivement qu'elle avait pris connaissance de l'invitation du Comte alors qu'elle effectuait une salutaire retraite dans un monastère retiré.

La cérémonie avait déjà débuté, elle salua Icie, Elra, Petitjehan et les autres nobles présents d'un discret signe de tête, puis observa le comte Faooeit prêter allégeance.

Faisant signe à un page, elle lui remit un petit mot destiné au hérault, pour annoncer sa présence.
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Kiriell

Après avoir écouté le héraut, kiriell attendit donc que le comte fasse savoir l'ordre de passage pour rendre allégeance.

Il en profita pour se faufiler vers les tables afin de se désaltérer et se sustenter...
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Chuichian

Déja le Comte Faooeit s'avançait, égale à lui même... enfin presque, il avait usé d''un langage assez fleuri pour exprimer son opinion quand à la présence de "Parisiens" et assimilé en salle du trône.

Comte Faooeit de Surgères, Comte de Saintonge et d'Oléron, Baron de Luçon, moi, Chuichian de Montignac, Comte du Poitou vous accorde protection, justice et subsistance en nos terres.

Icie

Icie s'avança à son tour devant le comte du Poitou. Elle plia un genoux et tendit son épée devant elle

Au nom de ma famille, moi, Icie de Plantagenet, comtesse de Salbart, vicomtesse de Bressuire, baronne de Lusignan, promet fidélité et conseil, et apporterai soutien militaire si cela est necessaire, au Poitou et à son representant le Comte du Poitou.
Qu'Aristote vous prête longue vie , Votre Grandeur

Icie leva la tête et attendit
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L'insulte HRP ne passera pas!! Qu'on se le dise!!

Cristof

Alors que la Comtesse Icie prêtait à son tour allégeance, le Vicomte repensait au Page qui avait apporter un pli à son amie.
Curieux, il l'avait regardé le lire puis le chiffonner pour ensuite le glisser dans sa poche.
Discrètement, il se dirigea vers la place où la Comtesse allait revenir après son allégeance, bien décidé à lui demander pourquoi son visage s'était fermée après la lecture de ce courrier.
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Mackx

Le Vicomte avait reçu un courrier une bonne paire de jours plus tôt, lui demandant de se rendre en salle du trône afin d'y renouveler son allégeance au Comté du Poitou et à son nouveau Comte Chuichian de Montignac. Il avait donc quitté la Bretagne avec le groupe qu'il escortait afin de revenir au plus vite en Poitou ... mais la Bretagne était grande et il n'avaient passé la frontière que ce matin.
Qu'importait, les tavernes bretonnes étant bien pourvues en eau et la saison ne se prêtant ni aux poussières collantes, ni aux gadoues boueuses, le rochelais n'avait pas besoin de passer par chez lui afin de se changer. Il était plus qu'honorablement vêtu et devait de toute façon partir très rapidement pour le Limousin.

Il arriva donc en salle du trône après avoir démonté devant la porte et avoir laissé son cheval à un palfrenier qui avait reçu quelques écus pour nourrir et brosser ladite bête qui devrait repartir sous peu. La grande majorité des nobles poitevins étaient déjà là et Icie se tenait devant le Comte, sans doute en train de faire allégeance. Il salua d'un mouvement de tête tous ceux qu'il connaissait en cette salle ... enfin, tous ceux qu'il arriva à rencontrer ...
Bien, il attendrait donc qu'elle ait reçu réponse du Comte avant de s'avancer à son tour. De toute façon, il avait au moins quelques heures devant lui avant de repartir, ce qui lui laissait quelques latitudes.
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Chuichian

Ce fut au tour de la Comtesse Icie de s'avançait, la plume et l'acier aurait pu être la devise de la Plantagenêt.

Comtesse Icie Algédor Balmyr de Plantagenêt, comtesse de Salbart, vicomtesse de Bressuire, baronne de Lusignan, moi, Chuichian de Montignac, Comte du Poitou vous accorde protection, justice et subsistance en nos terres.

Il se retint d'ajouter que les devoirs de protection et de justice allait de paire dans son cas et était plus que nécessaire.

Abaelle

Abaelle avait vu Icie devenir blême à la lecture d'un pli et se demanda quel souci pouvait bien frapper son amie.

Le Comte ayant répondu à la dernière allégeance, elle s'avanca pour renouveler sa promesse. Posant un genou à terre devant le Comte Chuichian, elle appuya la pointe de son épée sur le sol et énonca son serment d'une voix claire.

Votre Grandeur,

Moi, Abaelle de Verrières, Baronne de Rochefort, me présente devant vous pour renouveler mon allégeance au Poitou.

Je vous reconnais comme souverain légitime et vous promets obéissance, conseil et soutien armé dans la mesure de mes capacités.

Elle se releva, et attendit la réponse de son suzerain.
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Chuichian

Il n'avait croisé que de rare fois la Baronne Abaelle, mais ce que l'on disait d'elle était plutôt flatteur.

Baronne Abaelle de Verrières, Baronne de Rochefort, moi, Chuichian de Montignac, Comte du Poitou vous reconnais comme vassale et vous accorde protection, justice et subsistance en nos terres.

Mackx

Il n'eût pas à attendre longtemps ... le Comte répondit très rapidement à la Comtesse Icie. Ce fut alors au tour d'Abaelle de s'avancer et de recevoir à son tour réponse à son serment.
Le Vicomte regarda alors à gauche et à droite mais ne voyant personne s'avancer, il décida de s'avancer lui-même afin de renouveler son allégeance.

Quelques pas après, il posa un genou en terre devant le trône comtal et s'apprêta à poser ses mots d'une voix ferme mais calme. Rien ne servait de gueuler ni de débiter trop vite ces mots qui étaient et seraient toujours la quintessence des rapports vassalistiques (quoi ? ça se dit pas vassalistiques ? m'en fous d'abord !).
Un petit coup d'oeil à Rhân, pour voir s'il prenait bien note, puis, il se lança.

Mon Comte, lorsque les voix du peuple poitevin vous a porté sur le trône, la mienne y était. Alors il va de soi que quand les voix de la noblesse poitevine viennent vous prêter serment, la mienne y est aussi !

C'est pourquoi, Nous, Maxime d'Alesme, Vicomte de Fontenay par la volonté d'Aristote et du Comte du Poitou, vous reconnaissons comme souverain légitime en ces terres poitevines et vous jurons obéissance, conseil et soutien armé le cas échéant.

Que votre règne soit juste Votre Grandeur !

Ces mots dits, le rochelais leva la tête vers le Comte en attente de sa réponse avant de pouvoir se relever et regagner l'assistance.
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Quentinx

Quentinx s'avança devant Chuichian et posa un genoux à terre

Moi, Quentinx, Seigneur de Saint Vincent Sterlanges, Commandant du bataillon des Aigles de Thouars, je jure fidélité aide et conseil au Comté du Poitou, à son peuple et à son Comte.
Mon épée est au service du Poitou, depuis des années et jusqu'à la fin de mes jours !
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Chuichian

Le Vicomte Maxime d'Alesme s'avança ensuite, un petit sourire se forma sur le visage du Comte avant de s'effacer afin de garder la sérénité du moment. Après tout, le voila également sur le comtal trône, un peu plus d'un an après celui qui lui avait déconseillé d'emprunter le même chemin que lui.

Vicomte de Fontenay, nous avons eu de trop rares occasions de nous croiser, même si ces rencontres ont toujours été fortes instructives. Vous avez toujours cherché le meilleur pour le Poitou, maintenu ce que vous avez cru être bon pour lui, malgré de nombreuses réticences.
Nous, Chuichian De Montignac, Comte du Poitou vous reconnaissons comme vassal et nous vous accordons protection, justice et subsistance en nos terres.

Et enfin le premier noble Thouarsais se présenta. Ce n'était pas le Vicomte de Pons mais bien le Seigneur Quentinx. A un autre instant, presque dans une autre vie, il aurait sourit en imaginant Quentinx poser son genoux devant lui. Il répéta alors la seconde partie de ce lien qui unissait un vassal à son suzerain.

Nous, Chuichian De Montignac, Comte du Poitou, reconnaissons votre valeur et vous accordons protection, justice et subsistance en nos terres.

Theodebert

Théodebert qui assistait à l'allégeance de ses pairs depuis quelques temps s'avança à son tour et plantant le genou au sol devant sa grandeur Chuichian, il s'exclama :

Moi, Théodebert, Seigneur de Chadignac, commandant du bataillon des Phénix de Saintes, je jure fidélité, aide et conseil au représentant légitimement élu du Poitou ainsi qu'au Poitou dans son ensemble. Mon bras sera armé pour défendre notre beau Comté aussi longtemps qu'Aristote me prêtera vie.

Puis il se retira, laissant la place à d'autre fiers nobles du Poitou.
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Icie

La comtesse Icie de Plantagenêt se releva ne pouvant retenir un mouvement de tête en signe de remerciement. Elle avait conscience que les comtes du Poitou qui s'étaient succédés depuis le tragique évenement qui avait boulversé sa vie, l'avaient soutenu. Soutenu non pas dans l'acte, car cela était impossible evidement, mais moralement.
Malgré le malheur qui frappait encore à la porte de sa famille, elle reconnaissait la chance qu'elle avait d'avoir tant d'amis et tant de personnes qui l'épaulaient.

Elle se recula pour laisser la place aux autres nobles et se placa pres d'Elra et de Cristof. Abaelle les avaient rejoint.

Un fameux trio d'amis, pensa Icie
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L'insulte HRP ne passera pas!! Qu'on se le dise!!

Cristof

La Comtesse Icie ayant repris sa place, le Vicomte se pencha vers elle.

Chère amie, qu'est-ce donc que ce courrier que vous avez chiffonné rageusement.
Encore de mauvaises nouvelles ?

Attendant la réponse, le Vicomte vit Mackx se présenter à son tour, bientôt suivi par Theodebert. L'ordre établi ne semblait plus respecté, il prit le temps d'attendre la réponse avant d'y aller à son tour.

*Edité pour l'orthographe
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Elra

Elra suivait la cérémonie avec intérêt. Puis à la question de Cristof à la Comtesse Icie, pour ne point se montrer indiscret, il se décida à se diriger vers le trône pour y faire allégeance.

Votre Grandeur,

Nous, Haverocq de Marigny dit "Elra, Comte de Montaigu, Baron de Marans et Seigneur de Miremont, venons renouveler notre allégeance au Comté du Poitou et ainsi vous rendre hommage.

Nous vous promettons ainsi obéissance, conseil et soutien armé.

Puisse Aristote veiller sur notre Comté.
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Olivyaa

Après plusieurs semaines de repos, la Comtesse se rendit aux allégeances du nouveau Comte. Malgré son indisponibilité, elle ne pouvait manquer cette cérémonie qui la touchait particulièrement.

Elle s'agenouilla devant Chuichian

Nous, Olivyaa de Fontenoy, Comtesse d'Aunis, Dame de Ré, renouvelle en ce jour allégeance au comté du Poitou et vous reconnaissons comme souverain légitime.

Nous vous jurons obéissance, fidélité et conseil.

Elle se releva et retourna dans la salle
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Baillant

Baillant avait reçu missive écrite de la main du Comte pour accomplir son devoir de vassal.
Bien que sensible au fait que le Comte envoie lui même un courrier, le Vicomte n'avait pas encore trouvé le temps de se rendre en salle du trône.

Finalement il se décida (ou se rappela c'est selon) à rejoindre la salle du trône.
Arrivant au niveau de l'entrée, il resta assez discret pour éviter que son arrivé tardive ne soit trop remarquée.

Après quelques instants à avoir observé le déroulement de la cérémonie, le Baron de Mauléon s'avança vers le trône comtal.
Chaque fois qu'il avait du s'avancer devant ce trône, il se remémorait avec nostalgie l'époque où il était assit à cette place.

Arrivé face au Comte, après l'allégeance d'Olivyaa, il redressa la tête, posa un genou à terre et parla d'une voix forte et distincte.

Votre Grandeur,

Il est des devoirs qui, en certaines occasions, se révèlent être un réel plaisir à accomplir.
Soyez assuré que celui que je m'apprête à accomplir envers vous, Comte Chuichian, est l'un d'eux.

Aussi, Moi, Baillant de Mauléon, Vicomte de Pons, Baron de Mauléon et fier Thouarsais vient ce jour renouveler l'allégeance qui me lie au Poitou.
Je vous promets, Comte Chuichian, obéissance, conseils et fidélité.
Puisse votre règne être long et fructueux !

Le Vicomte observa le Comte assit sur le trône comtal, un léger sourire se dessinant sur les lèvres, puis il ajouta quelques mots dans sa barbe.

J'aurai aimé qu'Aristote me donne un héritier tel que vous.

Baillant attendit la réponse du Comte avant de rejoindre sa place et laisser se poursuivre la cérémonie comme il se doit.
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Chuichian

Un second Commandant d'armée se présenta au pied du trône, après celui de la cité la plus au nord, c'était au tour de celui la plus au Sud.

Seigneur de Chadignac, Nous, Chuichian De Montignac, Comte du Poitou vous reconnaissons comme vassal et nous vous accordons protection, justice et subsistance en nos terres.

C'est alors que Haverocq de Marigny, comme il convenait de l'appeler désormais s'avançait. Il y a des régnants qui marquent les esprits, il y a des régnants que l'on prend en exemple, Elra était de ceux là: sa parole était toujours le reflet d'un esprit incisif , son avis toujours au plus proche du plus juste des choix. Les paroles que le Comte Chuichian prononcerait maintenant était lourde de conséquence: être le suzerain de noble comme Elra signifiait approcher au moins ce qu'ils avaient été.

Nous, Chuichian de Montignac, acceptons votre hommage et vous assurons protection, justice et subsistance en nos terres.

Une chevelure noire s'agita alors et remonta l'allée. Cette chevelure appartenait sans aucun doute à la plus belle Dame du poitou. Un temps le Lieutenant au Fouet puis la Comtesse Fouetteuse, celle qui avait été sa marraine ou presque, du moins celle qui lui avait évité les écueils et l'avait pris sous son aile, était à présent devant lui, un chapitre entier de sa vie... Ces mots, ces phrases avaient encore une fois une très forte signification, et dans son cas était unique. Une profonde inspiration et enfin... surtout ne pas dire Chouchou...

Votre Grandeur Olivyaa de Fontenoy, Dame de Ré, en ce jour, nous Chuichian De Montignac vous reconnaissons comme notre vassale et nous vous accordons Protection, Justice et Subsistance en nos terres.

Les paroles avaient été prononcés... elle laissait un goût particulier... mais un goût au combien plaisant.

Les allégeances ont quelque chose de transcendant, mais elles ne laissent pas la possibilité d'apprécier ces instants, sentiments qui se succèdent. Le Vicomte de Pons approchait... un bref instant il se souvint que ce Vicomte fut le premier à lui adresser la parole... alors candide, le jeune Thouarsais avait demandé au maire de Thouars des explications sur la mauvaise tenue du marché. Ce maire lui avait donc répondu de se rendre auprès du Lieutenant par intérim qui n'était autre que la Comtesse qui venait de se relever, Olivyaa. L'histoire se répéterait-elle?

L'esprit du Comte revint en cette salle du trône, un instant cette couronne semblait être bien lourde pour ce Comte... et si Elra avait raison? A côté de ces Grandeurs éternelles du Poitou qui se succédaient, comment pouvait-il oser figurer?

Votre Grandeur,

Il est des devoirs qui, en certaines occasions, se révèlent être un réel plaisir à accomplir.
Soyez assuré que celui que je m'apprête à accomplir envers vous, Comte Chuichian, est l'un d'eux.

Aussi, Moi, Baillant de Mauléon, Vicomte de Pons, Baron de Mauléon et fier Thouarsais vient ce jour renouveler l'allégeance qui me lie au Poitou.
Je vous promets, Comte Chuichian, obéissance, conseils et fidélité.
Puisse votre règne être long et fructueux !

Il se souvint qu'il y a encore quelques temps, une baronnie provenant d'un Vicomté Poitevin lui avait été proposé... et à ce moment là la couronne lui avait réellement paru bien lourde, il l'avait refusé d'ailleurs, non sans malice promettant au Vicomte que la Couronne qu'il porterait serait celle du Poitou. Il ne pensait pas cet instant serait aussi proche.
La phrase qu'il murmura parvint à ses oreilles... et le toucha profondément. Nouvelle inspiration, nouvelle phrase même si les mots ne semblaient pas être assez fort.

Moi, Chuichian De Montignac, Comte du Poitou, reconnais le Vicomte de Pons et Baron de Mauléon, Sa Grandeur Baillant de Mauléon, comme vassal et lui accorde Protection, Justice et subsistance en nos terres.
J'aurais aimé qu'Aristote me fasse être votre fils., ajouta t'il à voix basse.

Cristof

Laissant Icie à ses pensées, il lui glissa rapidement "je vais revenir" et s'avança à son tour vers le trône.

Il posa un genou au sol et s'inclina devant la Grandeur du Poitou. Il en avait fait du chemin le p'tit Prévôt depuis qu'ils s'étaient rencontrés et c'est fort méritoirement qu'il avait reçu la couronne du Poitou.

Nous, Cristof renouvelons en ce jour solennel notre allégeance au Poitou en rendant l'hommage à son illustre représentant.
Nous lui jurons fidélité, que les jours soient bons ou mauvais, nous lui promettons conseil avisé s'il nous consulte et l'aide militaire qu'il jugera nécessaire à la défense des intérêts du Poitou.
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Oane

Apres des anées d’absence, enfin ils se retrouvaient …le cœur d’Oane soulevait sa poitrine dans l’échancrure du corsage

Tu es à présent en âge d'enfanter. Dès que ta mère sera plus disponible, nous songerons à ton baptême et à ton mariage... Je suis bien aise d'avoir une fille si ravissante et je l'espère, si fertile.

Oane avait tout d’abord sourit radieuse à la vue de son père puis, elle l’avait écouté religieusement, son sourire s’était épanouit sur ses lèvres couleurs cerises comme une belle de nuit quand les étoiles se mettent à briller au firmament jusqu’au mot « ravissante » mais étrangement, il s’était soudain éteint et Oane avait senti un instant sur le bout de sa langue le goût des cendres. Elle serrait ses poings menues et lorsque son père lui accordait à nouveau son attention, sa bouche s’ouvrit sur un O mais aucun son ne sorti : son père l’avait coupé

La cérémonie va commencer, et ma femme la comtesse n'est toujours pas là. Reste un peu à l'écart, peut-être vais-je y aller dans les premiers.

Le regard d’Oane vira au gris acier en contemplant la cape pourpre ourlée d’or de son père qui se dirigeait vers le comte régnant du Poitou. Elle écouta son père prêter allégeance et de son œil naïf perçut la cérémonie comme un symbole important. Une aura mystique entourait le comte dans ses plus beaux atours, un rayon de lumière surgit d’une fenêtre et reflété dans une décoration en bronze sise au mur de pierre, se posa sur la couronne du comte Chuichian l’auréolant telle un saint. Oane se signa éblouie puis, l’ombre de son père vint s’interposer entre elle et le rayon. Elle écouta son père et sourit à demi lors de la sortie de son père. Il était rare que ce dernier se montrant grossier et cela le rendait tellement plus humain qu’Oane en aurait bien rit à gorge déployée, ce qu’elle ne fit pas grâce à une longue habitude acquise chez les nonnes. D’un naturel rieur, elle surveillait ses explosions qui lui avait valut tant de punitions en se pinçant jusqu’à la douleur. Si bien qu’une personne au regard acéré aurait pu surprendre son geste. Mais le demoiselle était habile à ce jeu et dissimulait tout cela derrière ses longues manches en biseau. Le temps qu’elle se reprenne déjà dame Ici de Plantagenêt s’avançait suivi de bien d’autres grands du Poitou. Oane vit bien que Dame Icie semblait avoir un ennui avec un courrier et que ses amis s’empressaient autour d’elle. Elle soupira et se senti tout à coup … et son regard soudain bleu pluie vogua au dessus des nobles réunit à travers la salle à la recherche de quelque chose.. une lueur ténue . Son regard revint sur dame Icie et Critof qui parlaient ensemble. Elle se rapprocha doucement du groupe.
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Petitjehan

La cérémonie se déroulait, l’ordre de préséance semblait passé aux oubliettes…
Aussi dès que son oncle prêta son allégeance Jehan décida de lui emboiter le pas. Les Fortunat se regroupaient pour montrer leur attachement à ce Comté quoi qu’il pût arriver.

Non seulement il connaissait personnellement le Comte depuis une certaine rencontre sur un terrain de soule mais il était son Chancelier puisque celui-ci le lui avait demandé.
Mais là il ne venait ni en diplomate ni en compagnon de soule, il venait reconnaître celui qui incarnait le Poitou.
Pour avoir tenu le poste très récemment il en savait la charge, les doutes et les difficultés.
La cérémonie d’allégeance non seulement rassemblait la noblesse autour de son souverain mais aidait ce dernier à prendre conscience de son rôle. Le souverain ne s’appartient plus il « est » le Poitou avec tout ce que cela implique. Contrairement à ce que d’aucuns naïfs pensaient ou colportaient çà et là les décisions prises ne laissaient qu’une infime parcelle à l’amitié. L’intérêt de la province seul comptait.

Son regard doré dirigé vers le Comte, Jehan s’avance et pose genoux en terre avant de prononcer..

Nous, Jehan de Proisy-Fortunat, Seigneur de l’Hermenault, renouvelle en ce jour allégeance au comté du Poitou et vous reconnaissons comme souverain légitime. En cela nous vous jurons obéissance, fidélité et conseil.

Là le vassal à deux solutions. Soit il baisse la tête en signe de soumission, soit il regarde son suzerain droit dans les yeux en signe de franchise.
N’étant, par nature, que peu soumis le Seigneur de l’Hermenault soutint le regard de son suzerain pour renforcer son serment en homme qui sait que jamais il ne reviendra dessus fut ce sous la torture.
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Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Cyclope

Le sommandant Cyclope à son tour se présentat devant le comte ,une foit avoir laisser passer les nobles qui venaient de preter allégeances...

Il pointat comme a son habitude l'épée au sol et mettant un genoux a terre s'exclama :

Moi cyclope
Commandant de La Légion Poitevine et Seigneur de Marsay,je prête au souverain actuel , fidélité et conseil ainsi que toute aide miltaire si le besoin s'en ferait sentir !
A ce titre je renouvelle mon serment d'allégeance au nouveau souverain!

Le seigneur de guerre se levat ,prenant son épée et la rengainat dans son fourreau....
Il se dirigea vers la place qu'il avait délaissé juste avant...laissant la place à d'autres nobles..
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http://legionpoitevine.bbactif.com

Nina27

Nina arriva devant le trône.

Un genou à terre, les mains posées sur son épée plantée devant elle, s'exclama :

" Nous Nina 27, Dame de Magné, commandant de l'Armée des ours de Niort, renouvelle allégeance au Comté, ainsi qu'à son représentant, sa Grandeur CHUICHIAN, Comte et Souverain du Poitou à qui je souhaite un long règne et à qui je promets obéissance, conseils et fidélité ".
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Zalina

Un page s'était glissé discrètement dans la Salle du Trône peu après le début de la cérémonie. Impressionné par tout ce monde, et du beau monde, il resta en retrait et laissa les nobles s'avancer en observant tranquillement.
Attendre que le précédent est reçu l'acceptation du Comte avant de s'avancer il avait dit le monsieur. Alors on attend... puis finalement, certains n'attendaient plus. Mais notre petit page resta dans son coin. Il allait s'avancer pour donner son message... puis finalement non, on venait de s'avancer avant lui. Il attendit encore.
Puis à bien y réfléchir, ce serait mieux de laisser passer tous les "hauts nobles" du Comté avant. Voyons voir, il restait encore au moins trois Barons. Il finit par s'adosser contre le mur. Son tour n'était pas encore venu.
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Absente les 7 et 8/11

Magoo

Magoo ne s'avança pas pour poser genou à terre, L'allégeance de Cristof suffisant pour eux deux. Elle tenait néanmoins à faire montre de sa présence à cette cérémonie comme gage de son dévouement pour le Poitou.

Les mouvements allaient et venaient, autant de paillettes dansantes dans la grande salle du trône. Elle notait l'absence de Gaëlik, que l'on avait pas vu depuis fort longtemps, constamment représenté par son épouse. Peut être était il en voyage... Toujours auprès d'Haverocq, elle avait été rejointe par son époux avant que celui-ci ne s'avança vers le comte. Elle attendait que cela se passe afin de pouvoir deviser avec ces derniers des dernières actualités.
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Petitjehan

L'ancien Comte patientait genoux en terre...
La situation devenait cocasse car il avait été prévu d'attendre que le Comte réponde à chaque Seigneur avant de prêter soi-même allégeance.
C'est ce qu'avait fait le Seigneur de l'Hermenault, futur Vicomte d'Olonne.

Puis était arrivé le Seigneur de Marsay qui, sans façon s'était mis à côté de lui avait prêté allégeance puis s'était relevé sans plus de cérémonie. Suivit la Dame de Magné qui avait aussi posé genoux en terre. Bref il étaient désormais deux, à regarder vers le Comte attendant son bon vouloir pour se relever.

Il ne pouvait, tout au moins pour Jehan selon ses principes, en effet être question de se relever avant que d'avoir reçu réponse du suzerain qui exprimait ses devoirs en réponse à ceux des vassaux.

Il avait ainsi patienté fort longtemps lors de son allégeance Royale et il avait, de ce fait, acquis une certaine patience.

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Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Eragon_killer

Eragon voulait vraiment assister à une cérémonie d'anoblissement, pour un candidat au poste de héraut c'était la moindre des choses de se renseigner sur le côté pratique de sa tâche. Il avait voulu le faire la première fois mais suite à un concours de circonstances cette cérémonie ne s'était pas déroulée comme il le pensait. Ensuite, il avait du descendre au Sud, le Poitou devait exporter ses ressources et Eragon aimait le commerce,le voyage et rendre service à son Comté. Il venait donc tout juste de revenir au Poitou et sans prendre le temps de passer au domaine des Lisaran il dégota les plus beaux atours qu'il aurait jamais pu trouver et se dirigea vers la salle du trône. Connaissant le comte le fait que cette cérémonie soit publique était un avantage, que le public puisse voir que la noblesse poitevine était à ses pieds pendant ne serait ce que quelques secondes devait être drôlement stimulant.
Il commençait à connaitre un certain nombre de nobles, sa charge de Poursuivant d'Armes l'obligeait à envoyer missives sur missives aux nobles du Comté.
Il pouvait à l'heure actuelle aisément reconnaitre chaque noble rien qu'en regardant leurs armes ou même leurs sceaux.
Il pénétra donc dans la salle sans bruits, la cérémonie avait déjà commencé et il ne voulait en aucun cas déranger cette cérémonie qui avait eu du mal a commencer.
En fait il venait surtout encourager sa fillote, il ne passait que peu de temps avec sa famille et durant ses voyages il avait réalisé que ses réactions et ses encouragements n'avait pas souvent dû être à la hauteur.
Il s'approcha donc d'elle sans qu'elle le remarque et posa une main chaleureuse sur son épaule. Il la gratifia d'un sourire supplémentaire mais ne prononça aucun mot de peur de ne pas trouver les bons.
Il salua respectueusement les nobles avec qui il traitait souvent puis retourna dans un coin de la salle, proche de valet qui s'occupait de lister les allégeances ne voulant pas qu'il y ait d'écart de procédure.
Un regard vers le héraut dont il avait beaucoup entendu parler et qui avait fait fi des querelles, préférant que la cérémonie se passe le mieux du monde.
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Chuichian

Nous, Cristof renouvelons en ce jour solennel notre allégeance au Poitou en rendant l'hommage à son illustre représentant.
Nous lui jurons fidélité, que les jours soient bons ou mauvais, nous lui promettons conseil avisé s'il nous consulte et l'aide militaire qu'il jugera nécessaire à la défense des intérêts du Poitou.

Il ne se souvenait plus du moment où il avait rencontré le Vicomte; la vie c'est avant tout des rencontre, et c'est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres, forgent une destinée. Jehan s'avança également, emboitant le pas à son oncle.

Nous, Jehan de Proisy-Fortunat, Seigneur de l’Hermenault, renouvelle en ce jour allégeance au comté du Poitou et vous reconnaissons comme souverain légitime. En cela nous vous jurons obéissance, fidélité et conseil.

Il aurait du faire changer les serments d'allégeances du Trémouillois Jehan par "Nous reconnaissons Thouars comme la plus grande équipe de soule et les supporter Thouarsais comme les plus grands buveurs de bière." Oui un serment ressemblant à cela aurait été plaisant. Bien du temps était passé déja... mais le Comte s'interrogerait sur la relativité du temps plus tard. Quelques secondes seulement s'étaient écoulés, mais déjà les seigneurs suivant s'étaient avancés. Il en parlerait au poursuivant d'arme plus tard.

Nous, Chuichian De Montignac, Comte du poitou, connaissons la valeur du Vicomte d'Aulnay de Saintonges et du Vicomte Jehan de Proisy. Par conséquent, je reconnais comme vassaux et accorde protection, justice et subsistance en nos terres aux Vicomte Cristof et Vicomte Jehan.

Le Seigneur de Marsay était aussi devant le trône et avait répété les phrases classique.

Moi, Chuichian De Montignac, Comte du Poitou, reconnais le Seigneur De Marsay, Cyclope de Marsay, comme vassal et lui accorde Protection, Justice et subsistance en nos terres.

Les commandants s'étaient fait passer le mot sans aucun doute.

Moi, Chuichian De Montignac, Comte du Poitou, reconnais la Dame de Magné, Nina, comme vassale et lui accorde Protection, Justice et subsistance en nos terres.

Cyphus

Après quelques minutes de silence, Cyphus trouve opportun de s'avancer à son tour.
Il serre doucement la main de son épouse pour lui faire comprendre de se lever; puis il s'avance sur le tapis rouge avec la baronne.

Quelques mètres avant d'être à portée de vue de l'assemblée, il lâche la main de Sexybabyphat et porte la main à la garde de son épée.
-Votre Grandeur Chuichian de Montignac, comte du Poitou.
Il dégaine et posant la pointe de son arme au sol, regarde son vieil ami dans les yeux.
-Nous, le Seigneur Cyphus Garion d'Erguenault, Baron de Tiffauges, venons respecter nos engagements envers notre Comté et ses sujets, et ainsi venons reconnaître son souverain légitimement élu par le Poitou.
Il s'agenouille et baisse la tête, tenant fermement le pommeau de Sobrié entre ses mains.
-Juro obsequium, auxilium et consilium.
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Sexybabyphat

Sexybabyphat saisit la main de son époux et s'avanca sur le tapis rouge. Elle s'agenouilla devant son bon ami le Comte Chuichian de Montignac.

Nous, Sexybabyphat d'Erguenault, Baronne de Tiffauges promettons obéissance, conseil et fidélité à notre souverain de Poitou.

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Chuichian

Cyphus... l'énumération des postes qu'il avait tenu, des choses qu'il avait fait aurait pris la journée. Ses terres de l'Eruguenault et sa Baronnie, ses décorations diverses, exprimait déja cela clairement.
Le serment d'allégeance n'avait rien de banal quand il l'exprimait, elle reflétait tel un miroir l'indéfectible loyauté à son Comté.

Moi, Chuichian de Montignac, Comte du Poitou, reconnait en vous ses vassaux. J'accepte votre serment et vous promet protection, justice et subsistance en nos terres.

Cyphus

Cyphus lève la tête vers le représentant du comté et se redresse.
Il rengaine son épée et sourit très discrètement à Chuichian, puis se retourne en offrant sa main à son épouse.
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Sexybabyphat

Elle s'incline devant le Comte Chuichian et se relève...

Sexybabyphat prend la main de son époux fièrement et va se rasseoir avec lui.
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Kiriell

voyant que la place restait libre et que les seigneurs passaient les uns après les autres, kiriell se dit que c'était à présent venu son tour sans doute, le héraut n'ayant pas fait d'appel jusque là.

Kiriell pose le genoux droit à terre, alors que son épée touche le sol, il y pose sa main gauche dessus et portant la droite sur son cœur il relève la tête et s'adresse au comte

Moi kiriell de la rose noire, seigneur de l'aiguillon sur mer, vous reconnais comme souverain de notre grand Poitou.
je vous jure obéissance, fidélité et conseil

il relève sa main droite et prononce

obsequium, auxilium et consilium.

Puis il baisse la tête en signe de respect attendant que le comte s'adresse à lui.
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Allydou

Un, deux, trois …. Combien en restait-il à devoir passer avant elle ?
Elle assiste aux serments de tout le monde, de plus en plus intimidée au fur et à mesure que le temps passe.

Résistant avec peine à l’envie grandissante de filer discrètement par une porte dérobée, elle sursaute quand elle sent une main se poser sur son épaule.

Concentrée comme elle l'était, elle n'avait pas entendu les pas s'approcher d'elle.

Ainsi il était revenu à temps de son voyage.
Elle regarde en souriant, son oncle et parrain, sans lui à ces cotés, cette journée aurait eu un arrière gout amer. Elle pose machinalement sa main sur la sienne et la serre fort.

Et puis maintenant qu’il était la, elle allait pouvoir demander ce qu’elle devait dire ou faire quand viendrait son tour de se présenter devant le Comte…
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Davor

Voilà, le défilé des allégeances était entamé, joyeux ballet où chacun disait la même chose, à peu près. Mais combien étaient sincères dans les paroles prononcées ? Davor espérait que tous l'étaient, mais rien ne pouvait l'assurer, l'on avait pu voir tant de trahisons, de changements de camp, que l'on ne pouvait présager de rien. Mais là, son esprit n'était pas vraiment concentré sur la cérémonie, d'abord parce que Meileen avait appelé Jehan papa. Il s'était tout d'abord retourné, croyant avoir mal entendu, puis hésita, ne sachant quelle conduite adopter. Sans rien laisser paraître de ce qu'il ressentait, tout simplement parce qu'il ne savait pas vraiment ce qui se passait dans sa tête à cet instant, il esquissa une ébauche de sourire, puis reporta avec difficulté son attention sur la cérémonie.

Cela devait être à lui maintenant. Il attendit que Kiriell prête allégeance et, après un léger baiser à sa douce accompagné d'un tendre regard, s'avança d'un pas décidé jusqu'au devant du Comte, posant un genou à terre pour prononcer d'une voix claire mais quelque peu fatiguée.

Nous, Davor, Baron de Pouzauges, renouvelons icelieu notre allégeance envers le Poitou et son Comte. Nous lui jurons obsequium, auxilium et consilium, pour que le Poitou rayonne dans tout le Royaume.
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Phil1

Phil1 de Valois arriva dans la salle du trône, convié par sa Grandeur Chuichian et Messire Eragon-Killer ; un peu en retard, certes, mais il espérait que le Comte ne lui en tiendrait pas rigueur.
Esquissant un sourire, il pensa qu’il était amusant de constater qu’i devait être un des rares nobles poitevins à ne pas avoir de lettre de patente, enfin, alea jacta est …
Il se prêtait volontiers au cérémonial de l’allégeance à la suite de Davor.
Après avoir donné sa cape à son fidèle valet, il se dirigea vers le trône
Posant un genou à terre, son épée Armageddon, la pointe touchant le marbre du sol, il prononça d’une voix claire

Nous, Phil1 de Valois seigneur de l’Agord,, renouvelons notre allégeance au Poitou.
Nous vous reconnaissons comme souverain légitime et vous promettons obéissance, conseil et soutien armé tant qu’Aristote nous prête vie.

Après s’être relevé et avoir rengainé son épée, Phil1 de Valois gagna la foule des nobles têtes pour en saluer quelques unes qu’il connaissait fort bien puis quitta la salle pour rejoindre son frison dans l’écurie et aller lui dégourdir les sabots.
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Zalina

C'est que çà s'éternisait cette histoire. Et notre petit page, il commence à avoir la gorges sèche et mal aux pieds à attendre debout. Surtout qu'après, il y a encore le retour à faire jusqu'à Paris. La nuit va tomber et il n'a pas réservé de chambre à l'auberge, ni une place à l'écurie. Repartir de la capitale après le coucher du soleil ne l'enchantait pas. Non, fallait qu'il trouve une autre solution.

Coup d'oeil à droite, coup d'oeil à gauche. Un Héraut, çà pourrait bien être son sauveur. La Patronne avait dit de donner la missive en fin de cérémonie au Comte ou au Héraut. Vu que le Comte est occupé et qu'il n'allait pas le déranger en pleine allégeance, le page se dirigea discrètement vers l'officier Royal en longeant les murs autant que possible, sur la pointe des pieds.
Arrivé non loin, il l'interpella.

Psss, M'sieur. Voudrez bien filer çà au Comte quand il aura fini de recevoir les allégeances ? M'ouai faut qu'j'm'en r'tourne avant qu'il soit trop tard.

Plis glissé à Rhân et notre bonhomme repart, toujours en longeant les murs, le plus discrètement possible pour ne pas déranger les allégeances en cours.

Citation:

A Sa Grandeur Chuichian de Montignac, Comte du Poitou,
De Zalina de Montmorency, Damoiselle de Colombiers,

Salutations et connaissance de Vérité,

Qu'il soit de vous connue chose que par la présente je vous reconnais, vous Sa Grandeur Chuichian de Montignac, comme Comte du Poitou et Vassal de Sa Majesté Lévan III de Normandie, Roy de France.

Item que je vous promets respect, aide pour la protection du Comté et conseils autant que la loi Poitevine m'y autorise, en toutes circonstances.

Bien à vous,
Faict aux portes de Paris
le 28ème jour d'août 1457

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Absente les 7 et 8/11

Xavix

Le balais des nobles allait bon train... chacun son tour ils s'avançaient pour préter allégeance. Tous avaient l'air bien habitués de telles cérémonies.

Xavix repris sa respiration et s'avança a son tour d'un pas ferme pour prêter allégeance pour la première fois...
Arrivé devant le comte, il s'agenouilla, fixa Chuichian et dit :

Moi, Xavix, Seigneur de Beaurepaire, prête ce jour allégeance au comté du Poitou et vous reconnaissons comme souverain légitime. Je vous jure autant que la vie m'en donnera la possibilité, obéissance, fidélité et conseil pour le bien et la grandeur du Poitou.

Puis il s'inclina un instant, se releva ensuite pour laisser la place aux suivants.
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Letilet

La Baronne d'Apremont avait le sentiment d'attendre là depuis des heures...
Elle n'avait pas osé dans un premier temps s'avancer, voulant respecter l'ordre imposé par son rang dans la noblesse poitevine.
Mais trés vite, comme c'est souvent le cas en Poitou, et elle aurait tout de même pu s'en douter, la pagaille générale s'était imposée.

Depuis lors les serments d'allégeance s'étaient enchainés et Letilet avait été coiffé au poteau à chaque fois qu'elle avait voulu faire un pas en avant.

Oh et puis Flûte à présent, je me lance tant pis pour l'ordre établi, tant pis pour les serments à la chaine.....

La Baronne s'avança donc ,visage résolu, aux pieds du trône comtal.
Puis Posant genou à terre et déposant devant elle son épée, elle s'adressa au Comte et ce, même si l'état d'éveil de ce dernier semblait des plus compromis.

Nous, Letilet Fortunat Du Bodil, Baronne d'Apremont, renouvelons en ce jour notre allégeance au Comté du Poitou dont nous vous reconnaissons Comte unique et légitime.
Au Poitou et à son Comte jurons, fidélité, obéissance et conseil tant qu'Aristote nous prêtera souffle de vie.

Baissant la tête en signe d'hommage la Baronne attendit l'intervention de sa Grandeur Chuichian.
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Eragon_killer

Eragon vérifiait donc avec sa liste à ce que tout les nobles présents aient fait allégeance, il avait même réussi a faire venir Phil1 qui makgrès ce que l'ont croyait n'était pas déstitué.

Citation:

Faooeit de Surgères et Lady d'Elric
Comtes de Saintonge (Faooeit) et d'Oléron (Lady)
Barons de Luçon (Lady)

Haverocq Chénaneguène, dict "Elra",
Comte de Montaigu
Baron de Marans
Seigneur de Miremont (BA SIM Mauriac)

Olivyaa de Fontenoy,
Comtesse d'Aunis
Dame de l'Ile de Ré

Gaëlik de Plantagenêt et Icie Algédor Balmyr
Comtes du Coudray-Salbart (Gaelik)
Vicomtes de Bressuire (Icie),
Barons de Lusignan (Icie)

Cristof et Magoo Fortunat
Vicomtes d'Aulnay de Saintonge (Cristof) et Frontenay (Magoo)
Barons de l'Ile Jourdain (Magoo)

Baillant,
Vicomte de Pons
Baron de Mauléon

Maxime d'Alesme, dict Mackx,
Vicomte de Fontenay
Seigneur de Saint Pierre d'Oléron, (SIM Oléron)

Jehan de Proisy dict "Petitjehan" et Willelmina Flamme
Seigneurs de L'Hermenault (Petitjehan)

Abaelle
Baronne de Rochefort

Letilet Fortunat
Baronne d'Apremont

Davor
Baron de Pouzauges
Seigneurs de Saint Sauvant (SIM Saintonge)

Cyphus et Sexybabyphat Garion,
Barons de Tiffauges (Cyphus)
Seigneurs d'Erguenault (Cyphus)

Theodebert,
Seigneur de Chadignac

Phil1,
Seigneur de l'Agord

Cyclope,
Seigneur de Marsay

Zalina de Montmorency,
Dame de Colombiers
Dame de Haisnes (SIM Flandres)

Nina27,
Dame de Magné

Squal2a,
Seigneur de Mareuil

Napoo,
Seigneur de Lagordet

Quentinx,
Seigneur de Saint Vincent Sterlanges

Kiriell de la Rose Noire,
Seigneur de L'Aiguillon sur Mer

Xavix,
Seigneur de Beaurepaire

_________________

--Rhan.

Les nobles de la provinces défilaient régulièrement devant le trône comtal pour remplir leurs devoirs de vassaux pendant que le vicomte notait, ou plutôt rayait les personnes qui se présentait au fur et à mesure afin de n'oublier personne. Il reconnut quelques personnes dans les personnes qui passaient comme le vicomte de Fontenay à qui il sourit au passage.

Citation:

Messire Faooeit de Surgères et dame Lady d'Elric
Messire Haverocq Chénaneguène
Messire Gaëlik de Plantagenêt et dame Icie Algédor Balmyr
Dame Olivyaa de Fontenoy

Messire Cristof et dame Magoo
Messire Baillant
Messire Maxime d'Alesme

Dame Abaelle de Rochefort
Dame Letilet Fortunat
Messire Davor
Messire Cyphus et dame Sexybabyphat Garion

Messire Theodebert
Messire Cyclope
Dame Zalina de Montmorency
Dame Nina27
Messire Jehan de Proisy-Fortunat
Messire Squal2a
Messire Napoo
Messire Quentinx
Messire Kiriell de la Rose Noire
Messire Xavix

Alors qu'il était en train d'essayer de saisir les armes de la prochaine personne à se présenter devant le comte, un page se glissa discrètement derrière lui pour lui confier un parchemin scellé en lui murmurant quelques mots.
Il prit le parchemin, remercia le petit valet, examina le sceau et fit une petite croix devant un nom avant de se reconcentrer sur la cérémonie en cours.

_____________________

Sur ma bannière, vous voyez 3 gentils lapins dans un champs, hein?.. Bah vous avez tort

Malone1

Malone ne put s'en empêcher de bailler, et sa main devant sa bouche masqua mal sa somnolence. Le silence et le calme de la salle avaient apaisé sa rage, lorsqu'elle avait vu Davor ne pas réagir au "PAPA!" que Meileen avait adressé à Jehan ... si elle le considérait comme son père, au moins la petite aurait un père digne de ce nom en la personne de Jehan ...
Les allégeances défilaient, elle aurait quelques questions à poser à l'occasion. Tiens ?! Le premier Fortunat à portée de main reçut un léger tiraillement de manche.
Pourquoi ils disent tous différemment et pareil à la fois ? C'est quoi les choses qui doivent absolument être dites ?
_________________

Letilet

La Baronne, toujours agenouillée, commençait à sentir chacun de ses muscles s'ankyloser, peinant à garder sa position.
C'est avec insistance qu'elle se mit à fixer le Comte se demandant combien de temps allait-il encore la laisser ainsi courbée à ses pieds....
_________________

Ventreachoux

Ventreachoux esquisse un sourire en regardant la scène de la baronne prêtant serment, il se demandait si celle-ci n'allait pas s'affaler sur le sol par manque de force, toutefois il se tenait prêt à intervenir pour la relever au cas ou.
_________________

Chuichian

Bien nombreuse était la noblesse Poitevine, le ballet continuait encore et encore.
Kiriell d'abord...
Nous, Chuichian de Montignac, Comte du Poitou, vous reconnaissons comme vassal. Nous acceptons votre serment et nous promettons protection, justice et subsistance en nos terres.
...puis le Baron Davor...
Nous, Chuichian De Montignac, Comte du Poitou, vous reconnaissons comme vassal. Nous acceptons votre serment et nous promettons protection, justice et subsistance en nos terres.
...ensuite le Seogneur Phil qui suite à un imbroglio héraldique s'était vu retiré son fief avant que le héraut nouvellement promu lui certifie qu'il lui appartenait encore...
Moi, Chuichian De Montignac, Comte du Poitou, vous reconnais comme vassal. J'accepte votre hommage et vous promet protection, justice et subsistance en nos terres.
...et les serments se suivent, c'est alors que le Comte vit un jeune page apporter un pli au héraut officiant, le dénommée Rhan. Il apprendra par la suite qu'il s'agissait de Dame Zalina. Il ferait évidemment suivre à la Dame de Colombiers un courrier lui assurant de son renouvellement d'allégeance.

Xavix vint se présenter ensuite. Une première pour ce poitevin méritant qui avait été annobli peu de temps auparavant.

Nous, Chuichian De Montignac, Comte du Poitou, vous reconnaissons comme vassal. Nous acceptons votre serment et nous promettons protection, justice et subsistance en nos terres.

Enfin la Baronne Letilet s'avança... Letilet... quelque chose de particulier émanait de cette trémouilloise, une aura discrète faisant de ces interventions un nuage de douceurs, sans pour autant ôter de perspicacité ses propos.

Nous, Chuichian De Montignac, Comte du Poitou, vous reconnaissons Letilet Fortunat Du Bodil, Baronne d'Apremont, comme vassal. Nous vous promettons protection, justice et subsistance en nos terres.

Clovis1

Clovis, qui avait eu vent, le soir même en taverne, de l'ouverture de la cérémonie d'anoblissement, était rapidement passé chez lui pour revêtir une tenue correcte, avant de se rendre à la salle du trône. Quand il arriva, la soirée était déjà bien avancée, et il peina à se frayer un passage parmi la foule, qui s'étendait des portes jusqu'au premier rang, qui devançait de quelques mètres seulement le trône, et qu'il n'arrivait pas à distinguer d'où il se trouvait.

Enfin il put apercevoir le comte, entourés de ses nouveaux vassaux. Il reconnu Davor, son ancien capitaine, et un sourire s'afficha sur ses lèvres à le voir ainsi agenouillé, bien plus sérieux qu'à son habitude. Puis il entendit la voix de Letilet, et tourna la tête pour l'apercevoir, elle aussi agenouillée, comme le voulait la tradition, et visiblement toute aussi impatiente que Davor de se relever. Mais tous deux respectaient sagement la tradition, et bougeaient à peine.

Une fois qu'elle eut fini, et tandis ce que Chuichian prenait la parole, il fit le tour des personnes présentes, puis reconnut très vite, dans un coin, son Amour, entourée de son parrain. Il se faufila parmi la noblesse poitevine, avec le plus de discrétion possible, pour les rejoindre. La sentant préoccupée à l'approche de sa prise de parole, il se plaça à ses cotés, prit sa main libre dans la sienne, sans prendre le risque de dire un mot, de peur de se faire remarquer, et lui adressa un large sourire, se voulant encourageant.

Petitjehan

Allydou ma filleule cela ne devrait plus tarder d'être à toi.
Ne t'inquiètes pas je veille tu verras tout va bien se passer.

Petit salut amical à Clovis qui était venu les rejoindre et prenait la main de sa douce. Sa présence à elle seule pouvait calmer la nervosité de la future noble. Jehan savait le trac qui vous prenait à ce moment là, enfin tout au moins pour les gens sincères qui n'avaient pas forcément recherché ce genre d'honneur...D'autres plus calculateurs se débrouillant pour que les circonstances les portent à l'anoblissement sans forcément avoir vraiment fait rien d'extraordinaire de plus que leur tâche.

Meileen, pour sa part se tenait sagement dans les bras de Jehan, sa tête doucement posée sur l'épaule de l'homme, son pouce dans sa bouche.
Malone suivait avec une attention soutenue la cérémonie et Jehan avait compris qu'elle demandait à Letilet des précisions sur la cérémonie. La Baronne, comme à son habitude, répondait le plus simplement possible afin que la fillette, bientôt majeure, put comprendre et assimiler la raison et les étapes de la cérémonie
_________________

Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

--Rhan.

Voilà bien longtemps que la cérémonie avait commencée et plus aucun noble n'arrivait. La journée se finissait, il était temps de conclure tout ça. Le héraut s'avança alors vers le comte pour lui remettre le parchemin qu'on lui avait donné.

Votre Grandeur,
La dame de Montmorency m'a fait remettre ceci pour vous :

Citation:

A cette heure-ci manque encore à l'appel messire Squal2a qui n'a apparemment aucune excuse pour n'avoir pas rempli son devoir de noble.
Messire Napoo, absent lui aussi, semble pour sa part s'être retiré du monde depuis un certain temps.
Il vous appartient de décider si vous voulez saisir les terres de Mareuil pour défaut d'allégeance. Je vous propose d'octroyer les fiefs d'Olonnes, de Saint-Savin, de Maillezais et de Rocheservières et de me communiquer ensuite votre décision quand à votre vassal.

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Sur ma bannière, vous voyez 3 gentils lapins dans un champs, hein?.. Bah vous avez tort

--Rhan.

Le héraut sortit les parchemins qu'il avait avec lui et comme l'un d'entre eux manquait pour des raisons internes, il l'écrivit et le scella.

Bien, j'ai également tout ceci aussi. Le prochain héraut du Poitou se chargera de les classer et de les ranger.

Citation:

Nous, Leah Melani, dicte Sylvestre, Maréchal d'Armes de France, ayant blancseing du Roy d'Armes Montjoye

A toutes et tous que la présente liront ou entendront

Salutation !

Par la présente, faisons acte de la demande de Sa Grandeur PetitjehanComte du Poitou quant à l'octroi d'une baronnie se trouvant sur les terres, fief nommé Tiffauges, à Messire Cyphus.

Après consultation du collège héraldique, nous validons et contresignons la procédure d'anoblissement de Messire Cyphus.

Apres recherches héraldiques dument entérinées, le Fief de Tiffauges est bien Baronnie du Comté du Poitou.

Après consultation des registres, il est avéré que le baron de Tiffauges porte D'azur semé de lys d'or au franc canton de gueulles à l'épée d'argent, soit, après dessin :

Par nostre Scel, actons ce document comme valide et conforme aux réglements Héraldiques .

Faict le 21 eme jour du Mois de Juillet 1457 sous le règne de nostre souverain bien aimé le Roy Levan le troisième de Normandie.

Citation:

Nous, Leah Melani, dict Sylvestre, Maréchal d'Armes de France,

A toutes et tous que la présente liront ou entendront,

Salutations !

Par la présente, faisons savoir :

Qu'en vertu des textes & coutumes héraldiques, accédons à la demande de Sa Grandeur PetitJehan, Alors Comte de Poitou, concernant son fief dit de retraite.

Qu'en conséquence, Messire Jehan, se voit remettre le fief d'Olonne, fief érigé en Vicomté. Il portera donc d'azur, au lion d'or, accompagné en chef d'une divise d'argent, surmontée de trois étoiles rangées.

Soit d'après le dessin,

Pour que nul ne remette en question cet écrit, nous y apposons notre sceau.

Fait le 16 Aout de l'an d'Horace MCDLVII en la chapelle de Saint Antoine le Petit.

Citation:

Nous, Leah Melani, dict Sylvestre, Maréchal d'Armes de France,

A toutes et tous que la présente liront ou entendront,

Salutations !

Par la présente, faisons savoir :

Qu'en vertu des textes & coutumes héraldiques, messire Jeremius est élevé au rang de Seigneur de St Savin.

Qu'il portera d'azur, à une palme d'or et un coutelas d'argent emmanché d'or passé en sautoir, accompagné en chef d'un "E" couronné d'or et de trois fleurs de lis du même aux autres cantons.

Soit d'après dessin :

Pour que nul ne remette en question cet écrit, nous y apposons notre sceau.

Fait le 16 Aout de l'an d'Horace MCDLVII en la chapelle de Saint Antoine le Petit.

Citation:

Nous, Leah Melani, dict Sylvestre, Maréchal d'Armes de France,

A toutes et tous que la présente liront ou entendront,

Salutations !

Par la présente, faisons savoir :

Qu'en vertu des textes & coutumes héraldiques, messire Ventreachoux est élevé au rang de Seigneur de Rocheservière.

Qu'il portera de gueules à la croix partie d'or et de sable.

Soit d'après dessin :

Pour que nul ne remette en question cet écrit, nous y apposons notre sceau.

Fait le 16 Aout de l'an d'Horace MCDLVII en la chapelle de Saint Antoine le Petit.

Citation:

Nous, Rhân de Crocy, dict Orléans, Héraut d'Armes de France envoyé en Poitou,

A toutes et tous que la présente liront ou entendront,

Salutations !

Par la présente, faisons savoir :

Qu'en vertu des textes & coutumes héraldiques, dame Allydou est élevée au rang de Seigneur de Maillezais.

Qu'il portera de gueules aux deux clefs d'or en sautoir liées du même.

Soit d'après dessin :

Pour que nul ne remette en question cet écrit, nous y apposons notre sceau.

Fait le 31 Aout de l'an d'Horace MCDLVII en la chapelle de Saint Antoine le Petit.

Sinon puisque je n'ai pas de réponse à propos de votre vassal défaillant, je suppose que vous ne voulez sévir? Il gardera donc sa terre. Si d'aventure vous vouliez en décider autrement avant la fin de votre règne, il faudra le signifier à votre héraut

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Sur ma bannière, vous voyez 3 gentils lapins dans un champs, hein?.. Bah vous avez tort

Eragon_killer

Eragon prit la parole

Allydou et Ventreachoux, je vous demande d'avancer et de prêter allégeance au Comte Chuichian afin de recevoir vos fiefs.

Puis s'adressant a Jehan

Jehan,voici ta patente :

Citation:

Pour que nul ne remette en question cet écrit, nous y apposons notre sceau.

Fait le 16 Aout de l'an d'Horace MCDLVII en la chapelle de Saint Antoine le Petit.

_________________

Ventreachoux

Le héraut du poitou fit un signe de tête à Ventreachoux lui signifiant que c'était à lui de venir prêter allégeances à son comte.Timidement il s'avançe vers le trône puis pose un genou à terre, pointa son épée vers le sol, incline légèrement la tête.

moi Ventreachoux, je jure fidélité, aide et conseil au représentant légitimement élu du Poitou ainsi qu'au Poitou dans son ensemble.
_________________

Allydou

Quand Eragon l'appelle, elle lache la main de son tendre, affiche un sourire crispée et s'avance à la suite de son ami Ventreachoux devant le trône du Comte.

Elle pose un genou au sol et annonce d'une voix mal assurée ...

Moi, Allydou, je jure fidélité, aide et conseil au représentant légitimement élu du Poitou ainsi qu'au Poitou à travers son représentant le Comte Chuichian.
_________________

Chuichian

La cérémonie touchait à sa fin. Les nouveaux arrivants au sein de la noblesse Poitevine, ceux que le Comte Jehan avait jugé comme étant particulièrement méritant s'avancèrent.

Moi Chuichian De Montignac, Comte du Poitou, reconnait Allydou De Lisaran, Dame de Maillezais et le Sieur Ventreachoux, Seigneur de Rocheservière comme mes vassaux et leurs promet protection, justice et subsistance en terre du Poitou.

Eragon_killer

Enfin, la cérémonie prit fin, il tendit a sa nièce et nouvellement Dame et Maillezais et à son ami leurs patentes :

Citation:

Nous, Leah Melani, dict Sylvestre, Maréchal d'Armes de France,

A toutes et tous que la présente liront ou entendront,

Salutations !

Par la présente, faisons savoir :

Qu'en vertu des textes & coutumes héraldiques, messire Ventreachoux est élevé au rang de Seigneur de Rocheservière.

Qu'il portera de gueules à la croix partie d'or et de sable.

Soit d'après dessin :

Pour que nul ne remette en question cet écrit, nous y apposons notre sceau.

Fait le 16 Aout de l'an d'Horace MCDLVII en la chapelle de Saint Antoine le Petit.

Citation:

Pour que nul ne remette en question cet écrit, nous y apposons notre sceau.

Fait le 31 Aout de l'an d'Horace MCDLVII en la chapelle de Saint Antoine le Petit.

Toutes mes félicitations à vous deux.
_________________

Petitjehan

Jehan s'approche et reçoit des mains de Poitou sa patente.

Il attend, assistant à la remise de fiefs de Ventreachoux et Allydou.
Une fois la cérémonie achevée il s'approche des deux nouveaux nobles.

Je vous félicite tous les deux pour votre accession à la noblesse et gage qu'elle sera source de futurs engagement.
Surtout ne changer rien, vous avez l'in comme l'autre été anobli en raison de ce que vous êtes. Alors demeurez le, le plus longtemps possible...

Puis il sourit et s'éloigne allant vaquer aux affaires de ses terres...
_________________

Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Allydou

Le Comte avait pris la parole, elle pouvait se relever et se reculer.

Elle sourit à son oncle lorsqu'il lui remet sa patente, heureuse que ce soit lui précisément qui le fasse.

Merci tont... Merci parrai... roo comment doit-elle l'appeler, ici dans cette pièce elle ne voulait pas le mettre mal à l'aise en commetant un impair Merci mon oncle ! Voila, cela irait.

Puis se tournant vers son autre parrain.

Merci aussi à toi, Vicomte, merci pour ... tout !
_________________

Eragon_killer

Des coursiers s'affairaient dehors, des missives étaient partis par dizaines auprès de tous les nobles de mérite du Poitou aussi éloignés fussent-ils.
Chaque noble aurait pu lire :

Citation:

A vous, nobles Poitevins,
Salut,

Par la grâce des urnes, un nouveau Comte vient d'être nommé pour le trône du Poitou.
En effet, Sa Grandeur Cristof à été élu.

Je viens donc vous apeller à prêter allégeance au Poitou à travers son représentant , le Comte.

Si vous n'êtes pas actuellement au Poitou, je vous invite à envoyer une missive datée,signée et scellé, en précisant que vous apporterez fidélité, aide et conseil.
Toute dérogation à ce devoir qu'est l'allégeance pourra entrainer une destitution de vos fiefs.

Fait à La Trémouille, le 12 Octobre 1457 sous le règne de nostre souverain le Roy Lévan III de Normandie.
Eragon de Lisaran
Héraut du Poitou

Le héraut quant à lui s'était rendu dans la salle du trône, il avait conversé avec le Comte afin que la cérémonie se déroule sans encombre.
Les allégeances se feraient donc par ordre d'arrivée. Et ils s'étaient mis d'accord pour être intransigeant sur la forme, deux nobles ne pouvaient prêter allégeance en même temps.
Il y avait deux anoblissements de prévus en fin de cérémonie qui allait nécessiter la venue d'une personne bien attendue au Poitou..

Eragon prit place derrière un pupitre de quoi écrire dans les mains, et une liste qu'il allait ajourner a chaque allégeance

Citation:

Faooeit de Surgères et Lady d'Elric
Comtes de Saintonge (Faooeit) et d'Oléron (Lady)
Barons de Luçon (Lady)
Haverocq Chénaneguène, dict "Elra",
Comte de Montaigu
Baron de Marans
Seigneur de Miremont (BA SIM Mauriac)
Olivyaa de Fontenoy,
Comtesse d'Aunis
Dame de l'Ile de Ré
Gaëlik de Plantagenêt et Icie Algédor Balmyr
Comtes du Coudray-Salbart (Gaelik)
Vicomtes de Bressuire (Icie),
Barons de Lusignan (Icie)
Magoo Fortunat
Vicomtes d'Aulnay de Saintonge (Cristof) et Frontenay (Magoo)
Barons de l'Ile Jourdain (Magoo)
Baillant,
Vicomte de Pons
Baron de Mauléon
Maxime d'Alesme, dict Mackx,
Vicomte de Fontenay
Seigneur de Saint Pierre d'Oléron, (SIM Oléron)
Jehan de Proisy dict "Petitjehan"
Vicomte d'Olonne
Seigneur de L'Hermenault
Abaelle
Baronne de Rochefort
Letilet Fortunat
Baronne d'Apremont (Connexion le 14 Octobre)
Davor
Baron de Pouzauges
Seigneurs de Saint Sauvant (SIM Saintonge)
Cyphus et Sexybabyphat Garion,
Barons de Tiffauges (Cyphus)
Seigneurs d'Erguenault (Cyphus)
Theodebert,
Seigneur de Chadignac
Phil1,
Seigneur de l'Agord
Cyclope,
Seigneur de Marsay
Zalina de Montmorency,
Dame de Colombiers
Dame de Haisnes (SIM Flandres)
Nina27,
Dame de Magné
Napoo,
Seigneur de Lagordet
Quentinx,
Seigneur de Saint Vincent Sterlanges
Kiriell de la Rose Noire,
Seigneur de L'Aiguillon sur Mer
Xavix,
Seigneur de Beaurepaire
Chuichian,
Seigneur de Sigournais
Ventreachoux,
Seigneur de Rocheservière
Jeremius,
Seigneur de Saint-Savin
Allydou,
Dame de Maillezais

On l'avait informé que Baillant, Letilet, Napoo et Jeremius était actuellement indisponibles.
Il ne manquait plus que l'arrivée du Comte

HRP

La Cérémonie dure en gros 1 journée RP, 1 Mois Temps Reel
Les Nobles du Poitou se doivent à l'allégeance sous peine de dérogeance, soit de vive voix soit en Missive (datée, signée, scellée)
Ils doivent Aide, Conseil, et Protection. En contre partie le régnant leur devra Susbistance, Aide et Justice. Le contrat étant scellé par l'accolade vassalique et/ou le baiser de Paix. Attention l'allégeance se fait à deux, on ne dit pas "et en échange le duc de Touraine me doit...", le Régnant serait en droit de refuser l'allégeance et de la faire recommencer.
La cérémonie se déroulera selon la demande du régnant (présséeance ou au premier venant)
Par soucis de réalisme par la peine d'enchainer les allégeances, une allégeance c'est un vassal et le régnant qui lui répond, donc pour un peu plus de réalisme c'est chacun son tour.
Les Missives d'appel à Allégeances seront envoyés afin que tous les nobles de merite soit au courant de la cérémonie.
Bon RP...

/HRP
_________________

Petitjehan

Le dernier règne avait laissé un gout amer à la noblesse. Un Comte qui la bafoue tentant de lui forcer la main et de l’entrainer dans des positions absurdes tout cela à la seule fin de faire oublier les carences dans la protection de la capitale…
Les choses lentement mais surement revenaient semblait il. La noblesse, toutes tendances confondues, rassemblée derrière un Comte qui, s’il pouvait passer de prime abord pour malléable et facile à manœuvrer tenait en réalité les choses d’une main de fer dans un gant de velours.
Le Vicomte le connaissait bien pour avoir longuement échangé avec lui, au coin du feu, certaines soirées d’hiver.
L’âme du Poitou chevillée au corps ce Comte se battrait jusqu’à son dernier souffle pour faire rayonner le Comté et surtout le faire respecter.
Les premières décisions le montraient déterminé.
Aussi cette allégeance se distinguait elle des précédentes. De la dernière cela était aisé…Tout d’abord se serait « Poitou » qui officierait. Donc pas de coup d’éclat à prévoir entre un Héraut maladroit et un Comte tatillon même si, Jehan devait le reconnaître, il avait approuvé de voir le Héraut congédié « sine die ».

Aussi le Vicomte s’installa-t-il à une croisée de la salle du trône afin de jouir de la vue sur le parc du château qui commençait à prendre ses couleurs automnales.

Les nobles ne seraient pas long à le rejoindre et il aimait les voir arriver un par un chacun signant son arrivée de son caractère et de sa sensibilité.
Il y avait les « surs d’eux » pour qui il s’agissait là d’une formalité. En général ils se dépêchaient de l’accomplir. Non pas que la cérémonie n’eut plus de signification pour eux mais tout simplement parce qu’ils considéraient que l’allégeance allait de soit.
Puis les « convaincus » qui, comme Jehan, estimaient que pour le nouveau Comte cette allégeance le confortait, si besoin en était, dans sa légitimité. Ils essayaient, avec plus ou moins de réussite, de faire passer un sentiment de respect et de service mais jamais de servilité.
La troisième catégorie l’amusait y ayant appartenu en tant que tout jeune Seigneur. Arriver dans cette salle des plus impressionnantes, voir assemblée toute la noblesse Poitevine partagée entre hautains regards et bienveillance, il faut dire que cela impressionnait. Convaincus du devoir d’allégeance en général les nobles de cette catégorie avaient hâte de remplir leur devoir mais se bornaient, le plus souvent, à une simple apparition.

Jehan méditait, un petit sourire aux lèvres son esprit vagabondant… La vie suivait son cours avec ses peines et heureusement ses joies, et il semblait qu’une embellie se profile à l’horizon pour lui. Une nouvelle source de joie, de force pour se battre et faire front. Jamais il n’avait été aussi occupé et parfois craignait de ne pouvoir tout faire. Il avait beau vérifier les journées n’étaient pas extensibles mais il arrivait grâce aux aides précieuses qui l’entouraient à se tenir à flot. De toutes façons c’est ainsi qu’il se sentait bien…
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Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Ventreachoux

C'est en franchissant une nouvelle fois les portes de la salle du trône accompagné de la dame de Talmont que Ventre très fier de prêter allégeance au comte du poitou Cristof, qu'il se remémorait les conseils que lui avait prodigué le comte Cristof à ses débuts de maire, c'est un homme que lui respectait par dessus tout,il est d'une sagesse exemplaire, il savait pertinement qu'avec lui le poitou allait pouvoir dormir sur ses deux oreilles.Avant de sortir de ses songes il souriait en pensant au compliment que ce grand homme lui avait signifié, il le gardait profondément ancrer dans ses souvenirs.Revenant à la réalité il alla saluer le vicomte d'olonne.

Bonjour Vicomte, comment vous portez vous?
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Wantaka

Wantaka marchait au bras de Ventre, elle tenait a assister a la cérémonie.Apres avoir franchis les portes, elle laissa son coeur aller saluer les gens et se placa a l'égard pour ne pas se faire remarquer et elle lui fit un sourire.
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Quentinx

Quentinx entra dans la salle du trône, salua les personnes présentes et attendit tranquillement
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Allydou

Au moment de rentrer une nouvelle fois dans cette salle, pas forcément plus à l’aise que la dernière fois, elle prend un temps pour elle.
Cette fois, elle ne passerait la porte pour faire la curieuse.
Cette fois, elle ne serait pas cachée dans un coin.

Elle avait comme les autres, reçu la missive lui annonçant le temps des allégeances proche.

Nouveau mandat, nouveau Comte, nouvelle cérémonie, elle allait devoir s’y habituer maintenant.

Assez hésité, elle relève la tête, prend une grande respiration et pousse la porte, il n’était pas arrivé encore le jour ou elle devrait être honteuse du titre qui lui avait été accordé.
Elle irait, non sans rougir, mais ça elle n’arrivait pas à le contrôler, se présenter devant le Comte Cristof.

Une partie du sourire qu’elle avait ce jour là était du aux souvenirs de son premier jour à la mairie de LT, quand celui qui n’était pas encore Comte lui avait … tendu la main pour lui laisser le temps d’apprendre et de comprendre.
A sa manière, et sans qu’elle ne lui dise jamais, lui aussi, avait fait partie de ses « bonnes rencontres ». Le plaisir de se présenter devant lui ce jour là, n’en était que plus grand.

En attendant, elle avance vers Jehan pour aller le saluer.
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Sexybabyphat

Sophie rentra dans la salle du trône accompagnée de son époux qui l'a tenait par le bras, avec 6 mois de grossesse, elle se portait bien et avait le sourire aux lèvres devant l'assistance bien remplit. Elle salua ceux qu'elle connaissait et suivit Cyphus pour se trouver une place avant que les allégeances commencent...celà risquait d'être long. Elle s'arma de patience et attendit avec tout son courage que le comte Cristof se présente dans la salle...
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Cyphus

-Le Seigneur Cyphus Garion et son épouse la baronne Sophie Garion dicte Sexybabyphat; Barons de Tiffauges!
Son aimée à son bras, Cyphus s'avance doucement dans la salle du trône.
Le seigneur d'Erguenault salue Quentinx d'une bonne poignée de main puis son ami héraut d'un geste, lui perché derrière son pupitre.
Après une bise et un salut au jeunes mariés, il va discuter avec Jehan et Allydou, tandis que Sophie s'assied, un peu inconfortée par son état.
_________________

Petitjehan

Voilà ils arrivaient tous tout comme l'avait prévu Jehan. Ce dernier se plaça non loin du trône saluant les nouveaux arrivants.
Le jeune Seigneur de Rocheservières et sa charmante épouse furent les premiers et vinrent le saluer ce qui toucha Jehan. Il avait plaisir à les revoir ici et ne doutait pas qu'ils graviraient patiemment mais surement les échelons vers le sommet.

Bonjour Ventre et mes hommages Dame Wantaka...

Quentinx ariva ensuite et les deux hommes se saluèrent d'un signe de tête.

Vint ensuite la Dame de Mallezais... Jehan sourit heureux de voir qu'Allydou, après une période d'adaptation, venait ici avec semblait il moins de crainte et un peu plus d'assurance...

Quand arrivèrent Cyphys et Sexybabyphat il leur sourit d'autant que ces derniers vinrent le saluer rapidement et discuter un instant avec Ally et son parrain.
Un siège fut avancé pour la jeune baronne...

Baronne je vois que le Poitou va compter d'ici peu un ou deux ressortissants de plus. Bravo à tous les deux. Cyphus comment te portes tu?
_________________

Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Cyphus

Cyphus sourit en rosissant un peu à la remarque du vicomte à son épouse.
-Le mieux du monde mon ami! Dit Cyphus dans un sourire; le retour à l'Intendance m'a fait grand bien. Je me sentais un peu inutile de repos.
Et toi Jehan, que deviens-tu?
_________________

Alienor.1

Alienor arriva discrètement et se posta dans un coin, elle voulait voir son amis Allydou porter allégeance, elle était venue pour la soutenir à sa façon et la retenir si celle ci se sauvait par timidité.
Elle lui sourit et fit un signe de tête en gage d'encouragement suivis d'un clin d'oeil.

Olivyaa

Et voilà, un nouveau mandat une nouvelle allégence, elle arriva devant la salle du trône, arrangea sa coiffe et sa robe puis entra dans la salle. Cette fois, elle n'était pas en retard, un rapide coup d'oeil, les nobles commençait à arriver. Elle arriva à hauteur des personnes présentes et les salua.
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Kiriell

Kiriell qui arrivait à Poitiers pour se rendre à la salle du trone reconnu la dame de ré.

Il confia son cheval aux laqués puis entra dans le palais où il déposa ses armes à la salle des gardes.

Saluant la noblesse qui commençait à arriver, il attendit le comte avec les autres profitant pour aller saluer la dame au fouet.

bien le bonjour chère loli, et heureux de te rencontrer.
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Icie

Se reposer.......... se reposer..........un bain chaud et une peau parfumée par le lait que les servantes auraient pris soin de préparer......doux rêves encore. Doux rêves et tête pleine d'une angoisse difficilement maitrisée.

Dans la cour de Salbart, les charrois attendaient à la queuleuleu le signal du départ pour Paris. Il ne manquait plus que l'escorte des parents et amis.

Mais il restait des devoirs à accomplir, l'allegeance au comte du Poitou !

Icie avait quitté les préparatifs et le coeur serré elle entra dans la salle du trône.
Y aurai t il une prochaine fois? Reverrai t elle un jour ces lieux?
Elle ne put empecher sa main de tracer un signe de croix sur son coeur avant de rejoindre les premiers rangs de la noblesse poitevine.
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L'insulte HRP ne passera pas!! Qu'on se le dise!!

Lady

La Comtesse Lady patientait sagement dans la salle. Elle n'avait pu être présente à la cérémonie précédente, la première manquée en 25 passations de pouvoir depuis que la hérauderie lui a officiellement déclarée qu'elle n'avait plus le droit de se balader en haillons et sans blason... Son représentant de l'époque avait d'ailleurs manqué s'étrangler quand elle lui avait benoîtement demandé si c'était la hérauderie qui prenait en charge les frais de vesture. Bin quoi ils offraient bien le blason...
Plongée dans ses pensées, elle se frotte distraitement le poignée droit (perclus de rhumatisme) en attendant que l'heure soit aux serments. Comme à chaque fois, elle se rappelle que l'habitude ne doit en rien entamer la valeur des mots qu'elle a a prononcer.
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Cristof

Le Comte du Poitou fit donc son entrée après l'arrivée des Nobles Poitevins.
D'un pas décidé et absolument pas solennel, la couronne bien vissé sur la tête il se dirigea d'abord vers la Noblesse pour la saluer.

Salutations Nobles Poitevins, je compte sur vous pour donner de l'allant à cette cérémonie afin qu'elle ne traîne pas en longueur. je suis heureux de vous voir ainsi dans vos belles tenues, les dames sont des plus ravissantes et vous Messires êtes des plus distingués.

Il laissa les Nobles qui désiraient lui répondre le faire.

Allons y maintenant, le protocole n'attendra pas plus longtemps ma présence sur le Trône. Je vous souhaite à tous, ainsi qu'à vos familles, une bonne journée.

Il se dirigea vers le trône, salua Poitou, lui faisant comprendre ainsi qu'il était prêt, et s'assoie sur le trône.
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Eragon_killer

Quelques nobles étaient arrivés,
Le Comte avait fait son entrée
Il était bien temps de commencer.
Poitou pris la parole

Noblesse du Poitou, la cérémonie peut enfin débuter. Le passage pour les allégeances se fait au premier arrivé. Nous nous sommes mis d'accord avec le Comte pour être intransigeant avec les nobles ne respectant pas le protocole. Il n'est pas imaginable d'être deux à prêter allégeance au Comte.
Et les allégeances ne sont pas quelque chose de facultatif.

Sur ce..

Il s'installa a son pupitre et s'apprêta à noter un à un les nobles.
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Cyclope

Le seigneur de guerre arriva et salua les nobles présent chaleureusement.
Il prit place sur un banc et attendit la suite de la cérémonie..
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Petitjehan

Jehan salua de manière tres appuyée la Comtesse Icie. Plus le temps passait plus son admiration pour elle grandissait.
D'autres nobles arrivèrent puis ce fut le tour du Comte Cristof.
On eut dit qu'il avait fait cela toute sa vie. Sa démarche décidée mais pas à outrance, même pas un brin de raideur...
Bigre, il maîtrise drôlement ou alors quel diplomate se dit le Vicomte en souriant.
Poitou, l'ami de longue date, fit son entrée et annonça les modalités de la cérémonie...
...premier arrivé...
Premier arrivé? Peste mais...mais c'est moi! T'as perdu mon Jehan lui susurra une douce voix...pas à l'ordre mais à l'arrivée allez allez au boulot mon garçon!

Jehan s'avança, mit genoux en terre devant le trône et, son regard doré dans celui du Comte entama donc la cérémonie...
Votre Grandeur,

Nous, Jehan de Proisy-Fortunat, Vicomte d'Olonne et Seigneur de l'Hermenault, venons renouveler notre allégeance au Comté du Poitou et ainsi vous rendre hommage.

Nous vous promettons ainsi obéissance, conseil et soutien armé.

Puisse Aristote veiller sur notre Comté et éclairer votre règne.
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Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Eragon_killer

Un valet arriva avec trois plis.. un pour le Comte et deux pour le héraut..

Eragon ouvrit la première et la parcouru :

Baillant a écrit:

Moi, Baillant de Mauléon, Vicomte de Pons & Baron de Mauléon renouvelle par cette lettre l'allégeance qui me lie au Poitou.

Nous reconnaissons comme suzerain vous, Cristof, Comte du Poitou par la grâce des urnes.

Nous vous assurons respect (obsequium), aide (auxilium) et conseil (consilium) de notre part,

Que si un conflit armé venait vous opposer à un tiers, nous jurons que nous prendrions cause pour vous.

Que nous ne puissions enfreindre la page de ce serment, ou aller à son encontre par un courage téméraire. Si cependant nous osions le tenter, que nous sachions que nous encourrerions l'indignation du Dieu tout-puissant et de ses bienheureux prophètes.

Pour que l'autorité de notre sermentation obtienne une vigueur plus ferme dans les temps à venir, nous avons décidé de la confirmer par notre main et de la signer par l'impression de notre sceau.

Baillant de Mauléon

Eragon annota la date en dessous du parchemin afin qu'il n'y ait nul doute.
Puis il ouvrit la seconde lettre

Mackx a écrit:

Chinon, le quinze octobre mil-quatre-cent-cinquante-six,

A vous, Cristof d'Aulnay de Saintonge, Comte du Poitou

Et copie en est faite à vous, Eragon de Lisaran, pour que vous puissiez l'archiver sans devoir voler celle du Comte,

Salutations ami,

Etant donné notre non présence dans les terres poitevines que nous chérissons, nous ne pourrons être présent à la cérémonie d'allégeances marquant le début de votre règne sur ce Comté qui est notre.

Néanmoins, nous sommes ravis de votre accession au trône du Poitou. Pour avoir déjà vécu un conseil sous votre règne précédent, je sais que nos terres sont dans de bonnes mains. Nous vous félicitons donc de cela et vous remercions pour le temps que vous donnez et que vous donnerez encore alors que vous auriez pu tranquillement profiter de votre Vicomté de retraite.

Nous vous jurons aussi en ce jour conseil, obéissance et aide armée si jamais le cas devait advenir en ces jours. Comme vous le savez, mon épée sera encore au service du Poitou sous votre règne, comme elle le fut depuis bien longtemps.

Enfin, ne vous donnez pas la peine de remettre ce pli au héraut après l'avoir lu afin qu'il puisse l'archiver, je lui ai fait mander copie.

Amicalement,

Maxime d'Alesme, Vicomte de Fontenay

Il présenterait les lettres d'allégeances au Comte plus tard.
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Icie

Etait elle la suivante? Elle l'ignorait mais son dos semblait lui rappeler que ses vingt ans étaient loin et qu'une chaise serait la bienvenue.
Un regard aux alentors pour s'assurer que nul ne s'avançait.

Elle se plaça devant le trône, mis un genoux à terre en presentant son épée.

Nous Icie de Plantagenêt , je me joints à mon époux Gaelik de Plantagenêt, pour vous assurez obsequium, auxilium et consilium.
Nous faisons ce serment par devant le Poitou et Votre Grandeur Cristof, son digne représentant élu.
Qu'Aristote vous aide en ce règne.

La comtesse se leva et recula pour rejoindre les rangs de ses amis
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L'insulte HRP ne passera pas!! Qu'on se le dise!!

Cristof

Le Vicomte d'Olonne, Chancelier du Poitou et fidèle neveu s'avança le premier vers le trône. Un homme sur qui je savais pouvoir compter en toutes circonstances. J'avais appris à le connaître tant sur le plan familial que d'un point de vue politique, le Poitou avait de la chance de pouvoir compter sur un noble aussi digne de son rang.

Votre Grandeur,

Nous, Jehan de Proisy-Fortunat, Vicomte d'Olonne et Seigneur de l'Hermenault, venons renouveler notre allégeance au Comté du Poitou et ainsi vous rendre hommage.

Nous vous promettons ainsi obéissance, conseil et soutien armé.

Puisse Aristote veiller sur notre Comté et éclairer votre règne.

Vicomte d'Olonne et Seigneur de l'Hermenault, c'est un réel plaisir de vous assurer de ma protection et de ma justice en réponse à votre allégeance que je sais sincère. Je vous fais part de mon soutien moral dans la difficile épreuve que vous traversez à l'heure actuelle.
Relevez-vous et rejoignez les rangs de la Noblesse, votre présence y est indispensable au Poitou.

Ce fut ensuite la Comtesse Icie qui se présenta à moi...
C'était étonnant, elle qui était sur le point de rejoindre Paris, son mari aurait pu faire le déplacement pour elle.

Comtesse, je n'ai pas bien compris vos paroles, sans doute est-ce du au fait que je n'en avais pas fini avec le Vicomte d'Olonne.
Toutefois, avant de vous répéter, pourrais-je savoir où se trouve votre mari ?
Il est présent au Poitou et n'a présenté aucune excuse pour ne pas être ici ce jour.

J'attendrai donc sa présence pour recevoir l'allégeance de votre couple pour ces terres.

Le Noble suivant peut s'avancer, pendant que vous regagnez votre siège.

Un à la fois, merci.

Merci d'éviter les doubles posts, on édite ^^ {S_H}
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Ventreachoux

Citation:

Le Noble suivant peut s'avancer, pendant que vous regagnez votre siège.

Ventreachoux sortit du rang, ses pas le menait vers le comte poitevin.

A ce moment là, le seigneur Cervièrois ne put s'empêcher de se rémémorer leur première rencontre, il souria à l'idée qu'il était loin d'imaginer qu'un jour il le recontrerait de nouveau non pas pour lui demander d'intégrer le GIGN ou de le conseiller comme à ses débuts de maire, mais de lui prêter allégeance en le reconnaissant comme son souverain.
C'est avec une grande fierté qu'il alla lui prêter serment, son épée se libèra de son fourreau, il s'agenouilla, en posa la pointe de son arme sur le sol, inclina légèrement la tête.

Aussi, Moi Ventreachoux, seigneur de Rocheservière reconnait en sa grandeur Cristof de Saintonges comme comte du poitou.A ce jour je vous renouvelle mon allégeance en jurant fidélité, aide et conseil au représentant légitimement élu du Poitou ainsi qu'au Poitou dans son ensemble, qu'Aristote veille en permanence sur vous.
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Abaelle

Légèrement en retard, Abaelle entra dans la salle du trône sans bruit.

Elle avait pris le temps d'un bain, et de troquer ses braies et sa cape poussiéreuses contre une robe de cour d'un bleu profond bordé d'or. Elle aimait à porter les couleurs de Rochefort en ces lieux.

Elle salua d'un geste amical les nobles et seigneurs présents, et avisant Icie qui s'éloignait du trône, elle déposa un baiser affectueux sur sa joue et lui serra le bras en silence. Elle savait que le départ de son amie pour Paris était proche, et rageait de ne pouvoir l'accompagner. Mais une visite importante était annoncée à Rochefort, à laquelle elle ne pouvait ni ne souhaitait déroger.

Portant son attention sur la cérémonie en cours, elle observa le Seigneur Ventreachoux qui promettait dignement fidélité au Comte Cristof.
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Cristof

Et voici que s'avance Ventreachoux, un ancien et excellent maire de Niort. Mais néanmoins fort discret depuis qu'il avait été anobli. Je ne manquerais pas de lui rappeler

Seigneur de Rocheservière, en réponse à votre allégeance, je peux vous assurer de ma protection et de ma justice pendant la durée de mon règne.
J'espère vous voir plus souvent à la chambre de la Noblesse, je vous invite à y siéger pour me faire part de vos conseils.
Nous allons ainsi collaborer comme autrefois, si ce n'est que ce sera entre un vassal et son Suzerain.

Vous pouvez disposer et laisser place au noble suivant.
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Ventreachoux

Ventreachoux regagne sa place auprès du vicomte d'olonne, il se gratte la tête plongé dans ses pensées.

il faut vraiment que je la trouve cette foutue porte de la chambre de la noblesse ça fait des semaines que je m'y employe mais en vain, à ce rythme là on ramassera mon squelette dans un coin perdu du chateau.

Le seigneur donne un discret coup de coude à Petitjéhan et lui chuchotte.

dis! tu sais ou elle se trouve cette salle de la noblesse?
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Petitjehan

Le Vicomte observe l'allégeance du jeune Seigneur de La Rocheservière et quand celui-ci vient le rejoindre lui demandant où se trouve la chambre de la noblesse sourit...

Humm je parie que tu es passé cente fois devant. Alors voilà...

Le plus discrètement possible il essaie d'expliquer...
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Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Ventreachoux

Le Seigneur enregistra dans sa petite cervelle les explications du vicomte.

Citation:

Humm je parie que tu es passé cente fois devant.

Il lui lança un clin d'oeil en signe d'approbation.

deux cent fois même.
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Cyphus

Cyphus dans un sourire, voyant le silence retomber, offre son bras à son épouse.
-Baronne?
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Sexybabyphat

Sophie sourit à son époux!

-Oui Baron...

Elle prend le bras de son époux pour se diriger vers le comte et lâche son son bras en arriva devant lui.
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Cyphus

Cyphus et Sophie s'approchent doucement du trône, sur le grand tapis rouge.
Après quelques pas ils se lâchent doucement les mains et s'arrêtent devant le comte.
Le baron fait deux pas de plus et pose genoux à terre devant son ami.
-Votre Grandeur Cristof de Saintonge, Comte du Poitou; nous, le seigneur Cyphus Garion d'Erguenault, baron de Tiffauges; renouvelons notre allégeance au Poitou et en son représentant élu par le peuple poitevin.
Juro obsequium, auxilium et consilium.
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Icie

Icie s'approchait de la baronne de Rochefort quand

Citation:

Comtesse, je n'ai pas bien compris vos paroles, sans doute est-ce du au fait que je n'en avais pas fini avec le Vicomte d'Olonne.
Toutefois, avant de vous répéter, pourrais-je savoir où se trouve votre mari ?
Il est présent au Poitou et n'a présenté aucune excuse pour ne pas être ici ce jour.

Elle eu l'impression d'une douche froide et se retourna brutalement.
Le vicomte Jehan n'était plus devant le trône quand elle s'était avancée pourtant, ou l'age et les soucis lui jouaient ils des tours.
Où était son mari? Voilà bien une question saugrenue. S'il n'était là c'est qu'il avait de bonnes raisons, voyons.
Elle observa le héraut, retint une réponse cinglante sur le fait qu'un couple portant noblesse de mérite chacun, prêtait allégeance au nom de leur famille.

Puisqu'il fallait attendre son tour, la réponse attendrai aussi que tout un chacun fut passé.

Icie regarda le comte froidement et lui fit comprendre d'une legere inclinaison de tête qu'elle avait entendu. Elle n'allait pas l'interrompre n'est ce pas. N'avait elle pas assez de soucis .........
Elle se plaça à côté d'Abaelle et la remercia en souriant
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L'insulte HRP ne passera pas!! Qu'on se le dise!!

Cristof

Cyphus s'avança avec à son bras son épouse Sophie, le Comte du Poitou écouta son allégeance.

Cyphus a écrit:

Votre Grandeur Cristof de Saintonge, Comte du Poitou; nous, le seigneur Cyphus Garion d'Erguenault, baron de Tiffauges; renouvelons notre allégeance au Poitou et en son représentant élu par le peuple poitevin.
Juro obsequium, auxilium et consilium.

Il fut étonné que cyphus commença par "Seigneur...", ne devait-il pas se présenter d'abord comme Baron ? Il corrigea de lui même pour la suite, on verrait bien ce que dirait Poitou.

Baron Cyphus Garion de Tiffauges, Seigneur d'Erguenault, je réponds à votre allégeance en vous garantissant justice et protection pour vos terres, à vous ainsi qu'à votre charmante épouse.
Votre aide m'est précieuse Baron, je compte sur vous pour continuer à me prodiguer vos précieux conseils en matière militaire et pour collaborer à la défense de notre prestigieux Comté du Poitou.

Vous pouvez disposez dés à présent et rejoindre le rang en portant haut et fier vos titres.
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Xavix

Xavix observait la cérémonie et se tenait prêt quand son tour se présenterait... il allait s'avancer après la comtesse Icie, puis hésita, puis se dit que son rang ne lui permettait pas de passer avant qu'elle même eu prêté allégeance... il se recula donc de quelques pas et attendit sagement qu'on lui fasse signe de s'avancer.
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Abaelle

Aux côtés d'Icie, Abaelle avait écouté l'allégeance du Baron Cyphus. Elle s'impatientait quelque peu. Cette énième cérémonie d'allégeances ressemblait à tant d'autres... et elle avait des affaires à régler et des achats à faire à Poitiers avant de rejoindre ses terres de Rochefort, où elle espérait une importante visite.

Le Comte ayant signifié que le jeune Baron pouvait disposer, elle s'avança sans plus attendre, sourit au Comte, posa la pointe de son épée devant elle et un genou à terre et énonça :

Votre Grandeur, je vous salue et me présente devant vous pour renouveler mon allégeance au Comté du Poitou, et à travers lui à vous même, son Comte par la grasce des urnes.

Je reconnais en vous mon suzerain légitime et vous promets obéissance, conseil et soutien armé tant qu'Aristote me prestera vie.

Usant du pommeau de son épée comme soutien, elle se releva et regarda le Comte Cristof de ses yeux clairs.
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Cristof

C'était l'élégance personnifié, Abaelle était de ses nobles discrets mais toujours présente quand on faisait appel à elle. Sa noblesse déjà ancienne, peu de Poitevins savait pourquoi elle l'avait obtenue. Pourtant cette grande dame du Poitou en était digne depuis toujours, sans que cela ne puisse jamais être remis en cause.

Baronne de Rochefort, Abaelle de Verrières, en réponse à votre allégeance, je vous fait la promesse de remplir mon devoir de Suzerain envers vous. Je vous accorde donc protection et justice pour la durée de mon règne.

J'espère aussi vous voir souvent à la Chambre de la Noblesse et pouvoir toujours compter sur votre assiduité quand il s'agit de défendre le Poitou.

Levez-vous pour porter haut votre blason et retourner ainsi près de vos pairs.

D'un geste de la main, le Comte indiqua la direction des nobles.
Il attendait désormais le ou la suivante.
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Cyphus

Cyphus se rassied avec son épouse, tenant fermement sa main pour lui signifier de ne pas insister même s'il est vexé que le comte ne lui a pas laissé l'occasion de s'agenouiller elle aussi; d'autant qu'une maigre grimace à sa propre allégeance a quelque peut interpellé le baron qui, après une ironie mal placée du comte quand à ses idées d'élections, commence à rendre le baron défiant.
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Quentinx

Quentinx s'avança devant Cristof et posa un genoux à terre

Moi, Quentinx, Seigneur de Saint Vincent Sterlanges, Commandant du bataillon des Aigles de Thouars, je jure fidélité aide et conseil au Comté du Poitou, à son peuple et à son Comte.
Mon épée est au service du Poitou, depuis des années et jusqu'à la fin de mes jours !
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Cristof

Un premier Commandant de l'Ost s'avança pour prêter allégeance.
Le Comte était passé avant la cérémonie à la caserne pour y discuter avec les militaires et cela s'était très bien déroulé.

En réponse à votre allégeance, je vous promet justice et protection pendant mon règne. Commandant, si rien ne vous retient ici, vous pouvez rejoindre Thouars et vos hommes.
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Olivyaa

Olivyaa regarda autour d'elle, apparement c'était bien à son tour. Elle s'approcha, affichant une certaine joie de voir son ami de longue date Cristof de nouveau Comte.

Arrivée devant lui, elle s'agenouilla

Nous, Olivyaa de Fontenoy, Comtesse d'Aunis, Dame de Ré, renouvelons en ce jour allégeance au Poitou et Votre Grandeur Cristof, son digne représentant. Nous vous jurons fidélité, aide et conseil.
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Cristof

Son amie de toujours se présenta à son tour. Un des plus beau parti du Poitou, elle avait semble t'il découragé tous les prétendants. Certains disaient qu'elle maniait le fouet avec dextérité.

Il écouta son allégeance et se pencha d'abord vers l'oreille d'Olivyaa.

C'est Vicomtesse et non Comtesse mon amie.

Il se releva souriant.

Vicomtesse d'Aunis, Dame de Ré, Olivyaa de Fontenoy, Nous Cristof, Comte du Poitou en réponse à votre allégeance, promettons justice et protection pour la durée de notre règne.
Vous pouvez vous relever et et rejoindre les rangs de la noblesse.
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Eragon_killer

Eragon tilta à ce que répondit Cristof à la Comtesse d'Aunis.

Il s'approcha donc du Comte doucement sur le côté et lui glissa à l'oreille.

Humm Votre Grandeur, Olivyaa est bien Comtesse d'Aunis et non Vicomtesse.
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Elra

Le Comte de Montaigu, désormais habitué à ce genre de cérémonie qui avait su parfois réserver des surprises, s'avança à son tour vers le Comte.
Elra posa un genou à terre puis déclara :

Nous, Haverocq de Marigny, Comte de Montaigu et Baron de Marans, renouvelons notre allégeance au Poitou et à son digne représentant le Comte du Poitou.

Nous vous promettons ainsi obéissance, conseil et soutien armée.

Puisse Aristote veiller sur notre Comté et sur votre règne.
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Eragon_killer

Une nouvelle missive arriva

Citation:

Bonsoir Eragon_ killer,

Ci-joint une missive d'allégeance, étant absent du Comté depuis quelques semaines, car en mission :

Nous, Phil1 de Valois, Seigneur de l'Agord, renouvelons notre allégeance envers le Comté du Poitou et son représentant légitime, le Comte Cristof.
Nous lui jurons obsequium, auxilium et consilium.

Fait à Blois le 19 octobre de l'an de grâce 1457.

Phil1 de Valois
Seigneur de l'Agord

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Theodebert

Théodebert, arrivé depuis peu en salle du trône s'avança à son tour et posant le genou au sol devant le Comte il dit :

Moi, Theodebert, Seigneur de Chadignac, Commandant du bataillon des Phénix de Saintes, je jure fidélité, aide et conseil au Comté du Poitou, à son peuple et à son Comte ici présent.
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Eragon_killer

Eragon après avoir fait la remarque au Comte vit le seigneur de Chadignac se mettre à genoux alors que le Comte Elra y était déjà.
Il se permit alors de le faire remarquer car le Comte était occupé.

Seigneur de Chadignac veuillez je vous en prie attendre votre tour! Ne voyez vous pas que le Comte est déjà en train de prêter allégeance? Veuillez vous reculer ...
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Cristof

Eragon_killer a écrit:

Humm Votre Grandeur, Olivyaa est bien Comtesse d'Aunis et non Vicomtesse.

Se penchant à son tour vers Poitou

Mince alors, vous auriez pu me prévenir...Je n'en savais rien. Et d'où vient ? Je croyais que depuis la réforme, il n'y avait plus de Comté disponible comme fief de retraite. On doit recommencer, ou c'est bon ainsi.

Pas le temps d'avoir la réponse de Poitou, que déjà voici Elra qui s'avance.

Votre Grandeur Haverocq de Marigny, Comte de Montaigu et Baron de Marans, en réponse à votre allégeance, je promets de vous apporter justice et protection durant mon règne. Qu'Aristote veille sur vous, le Poitou et moi-même avons besoin de votre sagesse et de votre expérience et vos bons conseils.

Rejoignez les rangs de la Noblesse, je crois que d'autres sont impatients de prêter allégeance à leur tour. Ne faisons pas traîner les choses.

Un clin d'oeil vers son ami, et le Comte qui se penche à nouveau vers Poitou au cas où celui-ci aurait des précisions à lui donner.
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Eragon_killer

il attendit que l'allégeance avec Elra soit terminé pour répondre au Comte.
Humm je ne sais de quelle réforme vous parlez mais on devient Comte si l'on fait deux mandats au total or Olivyaa en à fait deux elle a donc eu un Comté de Retraite. Mais nous en rediscuterons plus tard si vous voulez des précisions. Mais le titre importe peu dans une allégeance tant qu'elle est faite et sincère
il lui tendit la fiche avec les titres des nobles afin qu'il n'y ait plus confusion (fiche en fin de page 8 )
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Magoo

Voyant que l'allégeance d'Haverocq était terminée mais que Théodebert ne s'avançait pas à nouveau, Magoo se demandait si elle pouvait y aller. Elle sonda Poitou du regard et lui fit un clin d'oeil en référence à la conversation qu'il avaient eut tantôt concernant son allégeance.
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Eragon_killer

La comtesse consort était arrivée et elle semblait l'interroger sur la possibilité ou pas de prêter allégeance dans le moment.
D'un sourire et petit hochement de tête il l'invita à le faire même si cela pouvait s'assimiler a faire allégeance à soi même .. certes..
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Magoo

Voyant le signe de tête de Poitou, Magoo s'avança et déposa un genou à terre devant son époux. Même si elle avait tendance à l'appeler Ma grandeur avec légèreté, ici n'était point le lieu pour les écarts de langage et d'étiquette.

Votre grandeur, vous avez été reconnu comte du Poitou par les conseillers élus par le peuple.
Nous, Magoo de Fortunat, Vicomtesse de Frontenay, Vicomtesse d'Aulnay de Saintonges de par mon alliance avec vous, Baronne de l'Isle Jourdain, renouvelons notre allégeance à notre comté, le Poitou et à son représentant le Comte.
Je jure fidélité, aide et conseil et met mes armes à disposition de ma patrie. Et c'est avec la plus grande modestie et le plus grand dévouement que je tiendrais le rôle de comtesse consort durant ce règne.

La tête toujours baissée, elle attendit la réponse de son époux.
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Theodebert

Théodebert s'était reculé, le temps d'entendre le Comte formuler sa réponse à sa Grandeur Elra. Et c'est là que le temps , souple comme le jaret d'une donzelle de 18 printemps, s'était permis quelques libertés en offrant au Seigneur de Chadignac une pause à propos de laquelle, plus tard, il ne saurait que dire.
La seule chose qu'il puisse en dire, c'est que dans ce laps de temps, le Comte Cristof s'était adressé à Elra, puis la Comtesse Magoo était passée près du commandant Saintais, et avait à son tour prêté allégeance.

Théodebert se remit donc à attendre son tour afin de ne pas troubler la sérénité pataude de cette cérémonie.
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Cristof

La belle épouse du Comte du Poitou s'avança à son tour, pour prêter une allégeance qui semblait bien inutile. Mais il semblait que ce soit à faire et le Comte s'exécuta.

Vicomtesse de Frontenay, Vicomtesse d'Aulnay de Saintonge, Baronne de l'Isle Jourdain, Magoo de Fortunat mon épouse devant Aristote et les hommes, nous vous promettons protection et justice pour la durée de notre règne.

Voilà qui est fait ma tendre épouse, si le Héraut le permet, je souhaiterai que vous vous placiez à mes côtés pour la suite. Sinon vous serez aussi bien près des nôtres.
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Eragon_killer

Le héraut approuva d'un signe de tête.
Et accompagna son geste par
Bien sûr, faites
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Magoo

Se relevant, un sourire destiné à son époux, elle vint se poster à ses côtés pour la fin de la cérémonie.
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Elra

Le Comte de Montaigu, continuant d'assister à la cérémonie des allégeances s'étonna une fois de plus. Il se pencha et chuchota à son voisin.

Il me semble que c'est la première fois qu'un Comte et qu'une comtesse font montre de leur volonté de régner ensemble.
Puisse Aristote les bénir et leur offrir descendance.
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Allydou

Un regard à droite, un à gauche, personne ne bouge. Aussi, elle s’avance à son tour.

Quelques pas de plus et elle est devant le trône, devant le Comte et son épouse.

Elle pose un genou à terre et relève la tête dans un sourire.

Moi, Allydou de Lisaran, Dame de Maillezais, prête allégeance au comté du Poitou et à son digne représentant le comte. Je jure fidélité, aide et conseil.
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Cristof

C'était une première pour Ally, c'était peut-être une bonne chose que ce soit lui. Elle le connaissait, cela la mettrait peut-être à l'aise.

Dame de Maillezais, Allydou de Lisaran, en réponse à votre allégeance, je vous promet justice et protection sur vos terres.
Comme Maire de La Trémouille, je compte sur vous pour soutenir votre Comté en matière économique.

Vous pouvez rejoindre la Noblesse du Poitou, dont vous faites partie depuis peu.
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Ventreachoux

Ventreachoux souriait amusé en voyant que le Seigneur de Chadignac se faisait griller son tour pour la deuxième fois consécutive.
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Allydou

Un léger sourire se forme sur ses lèvres quand elle se relève pour aller reprendre sa place.
Le soutien économique .. elle y réfléchirait, mais pas ici dans cette salle.

En passant devant Ventre, elle lui pince le bras, pour lui apprendre à se moquer, il n'a même plus besoin de parler pour le faire, son sourire le trahit.
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Icie

Icie s'était reculée bien au delà de ce que son rang lui permettait.
Songeant aux charroies qui attendaient, aux ordres qui manquaient en raison de son absence et à l'incapacité dans laquelle son époux se trouvait d'en donner.
Elle soupira, tentant de garder patience apres la rebufade qu'elle avait subi. Plus le temps passait plus il semblait qu'elle ne doive partir avant la fin.
Diantre voilà qui n'était point habituel. Une allegeance refusée , un départ pour Paris qui lui laissait un gout bien amer pour le coup.
Le Poitou aurait il si peu de reconnaissance qu'il en oublie ce qu'elle avait donné au point de ne pas vouloir entendre ce que tout héraut aurai accepté.

La comtesse était triste, se sentant humiliée d'être contrainte de presenter des excuses pour l'absence de son mari. Alors même que les règnes heraldiques étaient fort clairs: Son allégeance prêtée pour sa famille suffisait.

Devait elle douter? Ce qui ne l'avait jamais effleuré, au grand jamais, allait il advenir.?

Elle regardait de loin le cortege de la noblesse, ne sachant plus qui, quand, pourquoi................

Attendre? partir et écrire? Le resultat serait le même. Son époux serait tout autant absent.
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L'insulte HRP ne passera pas!! Qu'on se le dise!!

Petitjehan

Le Vicomte observait c'était là une de ses qualités. Regarder ses semblables et déceler ce qui les habitait.
Peste sa tante qui règne avec son époux...grande première en Poitou où les conjoints sont assez effacés en général à de rares exceptions près.

Son regard tomba sur Icie, l'amie, un peu le mentor même si désormais il se sentait de taille à affronter certaines situation. Il n'oubliait pas l'aide précieuse qu'elle lui avait apporté lors de son mandat...
Icie s'était reculée très loin comme déçue...

Pourquoi le Comte avait il fait cette remarque? De ses connaissances le Vicomte pensait que l'allégeance ainsi formulée était valide. A moins que quelque chose ne lui ait échappé...
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Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Theodebert

Theodebert avait, dans la noblesse d'âme qui le caractérisait, laissé passé une autre dame qu'il ne connaissait pas. Dame Allydou qui semble-t-il faisait allégeance pour la première fois.

Le Comte ayant répondu à l'allégeance, Théodebert s'engagea sur une voie rapide le menant directement au pied du trône. Il avait appris cette technique d'un ancien maître d'armes , le Comte Bizont de la Futaie, réputé pour sa vélocité dans le déplacement dans des lieux encombrés.

C'est donc devant le trône qu'il planta un genoux en terre et dit :

Moi Théodebert, Seigneur de Chadignac, commandant du bataillon des Phénix de Saintes, je prête allégeance au Comté du Poitou par l'intermédiaire de son représentant Sa Grandeur Cristof. Je lui jure fidélité, aide et conseil en toutes circonstances.
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Cristof

Enfin ce fut le tour de Theo qui semblait se précipiter. Un besoin naturel sans doute pour le plus ancien Commandant d'armée en activité du Poitou.

Seigneur Theodebert de Chadignac, en réponse à votre sincère allégeance, je vous fais la promesse de faire régner justice et protection sur vos terres.
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Alienor.1

Alie avait regarder son amie Ally faire, elle sourit en se disant Bravo ma belle, tu as été splendide.

Elle se leva doucement et sortit elle n 'etait venue que pour encourager son amie et elle ne voulait pas croiser un odieux personnage qui 'etait devenu pathétique.

Elle reprit le chemin d'Olonne voir ses petites soeurs
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Xavix

La majorité des personnes s'étant présentées et le calme tout doucement revenait, Xavix se décida enfin a prendre la suite du commandant des Phenix pour s'incliner a son tour devant le comte.

Xavix posa un genoux a terre et dit

Votre grandeur,

Moi Xavix Seigneur de Beaurepaire, viens prêter allégeance au comté du Poitou et à son digne représentant Sa Grandeur Cristof. Je vous jure fidélité et de vous apporter aide et conseils dans la mesure de mes capacités et en toutes circonstances.
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Cristof

Le juge du Poitou s'avança à son tour, un noble que je portais en haute estime.

Seigneur Xavix de Beaurepaire, je réponds à votre allégeance en vous jurant justice et protection, continuez à me procurer vos conseils, ils sont très souvent d'une grande pertinence.

Ne vous inquiétez pas pour vos capacités, vous êtes bien trop modeste.

D'un geste de la main, il invita le Seigneur à se retirer.
Puis, il regarda son épouse qui se trouvait désormais à ses côtés, et lui sourit.
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Icie

Etait ce à elle? enfin?
Ignorant qui était à venir, si c'etait le moment ou non, craignant de se presenter à nouveau sans que son tour ne soit venu, la comtesse regardait en direction du héraut.

Avec un peu de chance, il l'appellerait ou lui ferai signe. Sinon...........et bien, sinonnnnnnnn.........
Sinon le temps passait et la route était longue jusqu'à Paris
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L'insulte HRP ne passera pas!! Qu'on se le dise!!

Eragon_killer

Il manquait encore 11 nobles dont deux étaient en retraite, depuis assez longtemps d'ailleurs.

Théodobert c'était avancé afin de refaire dans les règles son allégeance mais Icie restait au fond. Le héraut prit donc la parole.

Comtesse vous pouvez y aller la voie est libre

dit il en souriant
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Icie

Citation:

Comtesse vous pouvez y aller la voie est libre

Ahhh enfin, elle pourrai prochainement finir ses bagages. Non pas qu'elle lugea cette cérémonie négligeable, bien au contraire, mais elle n'avait guere la tête au decorum en ce moment.

Elle s'avança donc

Votre Grandeur, mon époux est atteint de fortes fievres et craint d'apporter en ce lieu quelques mauvais souffles. Il vous prie donc d'accepter son absence dans le souci de protéger Votre personne.
Je suis donc porteuse du serment que notre famille a toujours offert au Poitou.

Elle mit un genou à terre devant le comte du Poitou.
Portant son épée devant elle, Icie prononça à haute et intelligible voix, au cas où, comme la derniere fois, ses paroles auraient servi le vent.

Par notre épée et notre honneur, nous Icie de Plantagenêt, au nom de notre famille, reconnaissons Sa Grandeur Cristof, Comte du Poitou. Nous faisons serment d'apporter obsequium, auxilium et consilium au Poitou et à son représentant élu.
Qu'Aristote l'ai en Sa Sainte Garde et le guide durant son règne.
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L'insulte HRP ne passera pas!! Qu'on se le dise!!

Cristof

La Comtesse, invité par Poitou à se présenter, arriva seule au trône pour prêter l'allégeance.
Le Comte regrettait que son époux n'ait pu l'accompagner, il aurait bien des choses à dire sur celui-ci.

Comtesse Icie, en réponse à votre allégeance, Nous Critof, Comte du Poitou, vous promettons à vous et à votre époux le Comte Gaëlik de Plantagenêt, protection et justice pour la durée de notre règne.

Comtesse, soyez assuré que de près ou de loin, nous serons présent, mon épouse et moi durant la très difficile épreuve que vous m'avez demandé d'affronter. S'il y a quelques choses que je puisse faire pour vous aider, n'hésitez pas à me le faire savoir.

j'ai personnellement demandé au Grand Chancelier de France que soit respecté votre rang au cours de ce procès. vous serez donc logé là où vous avez exprimé l'envie et dans les conditions que vous souhaitiez. Le Grand Chancelier en personne, s'en est porté garant devant les feudataires du Royaume.
Son Altesse Armoria de Mortain ayant elle aussi été témoin de cette échange.

Qu'Aristote vous protège, et qu'il guide les Pairs de France vers la Justice et non vers la vengeance.
Car celui qui exerce vengeance, devra commencer par creuser deux tombes.

Le Comte descendit vers sa vassale et lui tendit la main pour la relever.

Venez Comtesse, je vous raccompagne au près de vos amis.
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Kiriell

regardant passer le comte qui ramenait la comtesse icie, il pensa que cristof était un grand comte qui prenait attention à ses amis et respectait grandement ceux qui l'entourait.

Il patienta alors encore un peu en attendant que sa grandeur reprenne place au coté de son épouse sur le trône.
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Icie

Icie se releva en prenant la main tendue, plus émue qu'elle ne l'aurai voulu des propos de son comte et ami.

Je vous remercie mon comte, dit elle d'une voix qui tremblait un peu. Son cher Poitou, quand le reverrait elle.........

Elle se laissa guider par Cristof vers ses amis
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L'insulte HRP ne passera pas!! Qu'on se le dise!!

Kiriell

Voyant que la place semblait libre cette fois, kiriell qui avait passé son tour s'avança timidement vers le trône.

Votre grandeur, Moi kiriell de la rose noire, seigneur de l'aiguillon sur mer et maire de la Rochelle vous reconnait comme légitime comte du Poitou et ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour vous apporter aide et conseil. Je vous assure que je vous resterais fidèle comme je l'ai toujours été envers Poitou et son digne représentant que vous êtes.

Il baissa la tête pour recevoir la réponse du comte.
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Cristof

Le maire de La Rochelle s'avança à son tour.

Seigneur de l'aiguillon sur mer, kiriell de la rose noire, je réponds à votre allégeance par la promesse d'assurer protection et justice.

D'une main un peu lasse, il invita le Seigneur à rejoindre les rangs de la noblesse.
La cérémonie était déjà bien avancée, mais il restait encore des évènements à venir.
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Eragon_killer

Une bonne partie des nobles avaient prétés allégeance. Eragon s'avança avec la tablette et la montra au Comte.

Citation:

Faooeit de Surgères et Lady d'Elric
Comtes de Saintonge (Faooeit) et d'Oléron (Lady)
Barons de Luçon (Lady)
Haverocq Chénaneguène, dict "Elra",
Comte de Montaigu
Baron de Marans
Seigneur de Miremont (BA SIM Mauriac)
Olivyaa de Fontenoy,
Comtesse d'Aunis
Dame de l'Ile de Ré
Gaëlik de Plantagenêt et Icie Algédor Balmyr
Comtes du Coudray-Salbart (Gaelik)
Vicomtes de Bressuire (Icie),
Barons de Lusignan (Icie)
Magoo Fortunat
Vicomtes d'Aulnay de Saintonge (Cristof) et Frontenay (Magoo)
Barons de l'Ile Jourdain (Magoo)
Baillant,
Vicomte de Pons
Baron de Mauléon
Maxime d'Alesme, dict Mackx,
Vicomte de Fontenay
Seigneur de Saint Pierre d'Oléron, (SIM Oléron)
Jehan de Proisy dict "Petitjehan"
Vicomte d'Olonne
Seigneur de L'Hermenault
Abaelle
Baronne de Rochefort
Letilet Fortunat
Baronne d'Apremont
Davor
Baron de Pouzauges
Seigneurs de Saint Sauvant (SIM Saintonge)
Cyphus et Sexybabyphat Garion,
Barons de Tiffauges (Cyphus)
Seigneurs d'Erguenault (Cyphus)
Theodebert,
Seigneur de Chadignac
Phil1,
Seigneur de l'Agord
Cyclope,
Seigneur de Marsay
Zalina de Montmorency,
Dame de Colombiers
Dame de Haisnes (SIM Flandres)
Nina27,
Dame de Magné
Napoo,
Seigneur de Lagordet
Quentinx,
Seigneur de Saint Vincent Sterlanges
Kiriell de la Rose Noire,
Seigneur de L'Aiguillon sur Mer
Xavix,
Seigneur de Beaurepaire
Chuichian,
Seigneur de Sigournais
Ventreachoux,
Seigneur de Rocheservière
Jeremius,
Seigneur de Saint-Savin
Allydou,
Dame de Maillezais

Il manque encore 9 nobles mais 2 sont en retraites.

Puis il présenta encore une missive au Comte afin qu'il prenne acte de l'allégeance de la baronne d'âpremont.

Citation:

Cher héraut, étant souffrante et en retraite prolongée, puis je vous charger de remettre ce message à notre Comte?:

Moi Letilet Fortunat du Bodil, Baronne d'Apremont, reconnait le Comte cristof d'Aulnay de Saintonge comme Comte légitime du Poitou.
A lui et à mon Comté, je promets aide, conseil et fidélité en toutes circonstances et aussi longtemps qu'Aristote me prêtera vie.

Castel d'Apremont le 25/10/1457

Letilet Fortunat du bodil.

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Cyclope

Le seigneur de Marsay se leva et se dirigea vers le trone afin d'y porter allégeance envers son comte et comme le veut la coutume.
Il prit son épée de sa main ganté et la posant pointe au sol il posat un genoux a terre et s'exprima d'une voix forte:

Moi Cyclope ,Seigneur de Marsay et général de la légion Poitevine,prete en ces lieux allégeance a son comte et cela tant que durera son règne.
Je lui promet ainsi aide,conseil et fidélité,mettant mon épée a son service au péril de ma vie s'il le fallait.

Le seigneur attendit la réponse du Comte,son épée toujours pointé au sol.
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http://legionpoitevine.bbactif.com

Nina27

Nina arriva avec quelque retard

elle avais mis sa plus belle robe en l'honneur de sa grandeur cristof

s'avance , pose un genou a terre ,regarde sa grandeur

moi Nina, dame de magné jure de défendre le Poitou prête allégeance a sa grandeur cristof tant que durera son règne

jure de le défendre par les armes s'il le faut

lui jure aide, conseil, fidélité

se relève et le salut
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Cristof

Cyclope a écrit:

Moi Cyclope ,Seigneur de Marsay et général de la légion Poitevine,prete en ces lieux allégeance a son comte et cela tant que durera son règne.
Je lui promet ainsi aide,conseil et fidélité,mettant mon épée a son service au péril de ma vie s'il le fallait.

En réponse à votre allégeance, je vous promets protection et Justice Seigneur Cyclope.

Que la Dame de Magné s'avance

Nina27 a écrit:

moi Nina, dame de magné jure de défendre le Poitou prête allégeance a sa grandeur cristof tant que durera son règne

jure de le défendre par les armes s'il le faut

lui jure aide, conseil, fidélité

En réponse à votre allégeance, je vous promets protection et Justice Dame de Magné.

(Pas le temps de faire mieux)
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Lady

Lady, toujours à sa place commençait à s'impatienter quand un page en livrée lui glisse un plis. Son époux lui signifie que, "indisposé", il ne pourra finalement assister à la cérémonie et lui confie le soin de faire "diligemment" ce qui est attendu, évidemment "sans se ridiculiser".
Elle hausse un sourcil guère étonnée, froisse dans le creux de sa main gauche le billet et conserve la partie beaucoup plus élégamment tournée destinée au héraut.

La Comtesse se lève donc pour s'avancer une fois que la Dame de Magné sera libérée de ses obligations par le Comte.

Arrivée à la place désignée elle sourit au Comte Cristof ainsi qu'à Eragon et salue un peu plus raidement qu'elle n'aurait voulu (bin ça fait un bout de temps qu'elle était assise dans son coin^^)

Comte Cristof, je me présente devant vous aujourd'hui au nom de la famille de Surgères, mon époux n'ayant apparemment pu m'accompagner...

La Comtesse se permet de tendre la missive de son époux à Eragon, se faisant presque l'effet de tendre un mot d'excuse avant de déclamer des vers..mieux vaut éviter de mettre les mains dans le dos pour le coup!

Moi, Lady d'Elric de Surgères, Comtesse d'Oléron, de Saintonge et Baronne de Luçon, au nom de ma famille, déclare reconnaître la personne de Cristof d'Aulnay de Saintonge le Comte légitime du Poitou.
Je promets fidélité, aide, conseils et me rends disponible pour toute tâche que vous jugeriez bon de ponctuellement me confier .

Lady veille autant que possible à ne point trop trainer pour éviter d'allonger la cérémonie plus que de raison...
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Cristof

La Noblesse Poitevine vit alors avancé une des nobles les plus titrés du Poitou.
Elle s'avance, excuse son époux tendant un mot à Poitou puis se soumet à l'allégeance.

Le Comte mime celui qui regarde par dessus à gauche et à droite puis souriant à Lady.

je peux vous affirmer que votre vue ne baisse pas, votre époux n'a en effet apparemment pas pu vous accompagner.

Sourit à nouveau

Comtesse Lady d'Elric de Surgères, en réponse à votre allégeance, je vous fais la promesse de vous fournir protection et de faire régner la justice sur l'ensemble de vos terres.

Euh dites-moi ma chère, vous ne trouvez pas qu'il commence à faire soif ici.
Moi, je boirais bien un petit coup.

Coup d'oeil vers Eragon...

Dites-moi Poitou, est-ce que l'Hérauderie Française nous oblige à mourir de soif, ou bien puis-je faire amener de quoi nous désaltérer un peu ?
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Eragon_killer

Eh bien votre Grandeur je propose que l'on attende la baron Davor qui m'a ton dit arrivait incessamment sous peu. Ensuite vu que je viens de recevoir une missive de Zalina nous en aurons fini pour les allégeances car je ne crains que Napoo et Jeremius ne sortent de retraite dans la journée.

Nous pourrions alors prendre des rafraichissements et passer aux deux anoblissements du Comte Chuichian.

Voici la lettre de Zalina

Citation:

A Sa Grandeur Cristof d’Aulnay de Saintonge, Comte du Poitou,
De Zalina de Montmorency, Damoiselle de Colombiers,

Salutations et connaissance de Vérité,

Qu'il soit de vous connue chose que par la présente je vous reconnais, vous Sa Grandeur Cristof d’Aulnay de Saintonge, comme Comte du Poitou et Vassal de Sa Majesté Lévan III de Normandie, Roy de France.

Item que je regrette de ne pouvoir être présente en personne pour cette allégeance et y recevoir à nouveau votre baiser de Paix, vous qui fuse le premier à me confier un fief.

Item que je vous promets respect, aide pour la protection du Comté et conseils autant que la loi Poitevine m'y autorise, en toutes circonstances.

Faict à Vincennes, ce 12ème jour d’octobre 1457

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Davor

Décidément ces cérémonies d'allégeances, à peine a-t-on le temps d'en finir une qu'on a l'impression que l'autre commence, ou bien à peine en commence-t-on une qu'on a l'impression que l'autre est tout juste terminée. Bref, ça revenait un peu au même en fait. Assez peu intéressé par la politique comtale depuis la fin de son dernier mandat en tant que Capitaine, le Baron de Pouzauges avait néanmoins fait l'effort, nécessaire bien entendu, pour venir jusqu'à la salle du trône depuis La Trémouille. Surtout que c'était quand même un membre de la famille qui se trouvait être Comte, cela aurait été particulièrement mal vu de faire le difficile. Et comme en plus Davor appréciait beaucoup Cristof, voilà pourquoi il avait pénétré dans la salle du trône, un peu en retard il est vrai, mais mieux vaut tard que jamais, en compagnie de sa douce Kali. Il la regarda en souriant, sachant pertinemment combien elle n'aimait pas ce genre de cérémonie, et se détacha d'elle à regret lorsque la Comtesse Lady eût prêté allégeance en son nom et au nom de Son Infinie Grandeur Faooeit.

Le Baron sourit légèrement, repensant à une discussion qu'il avait eu avec le Comte il y a peu, ainsi qu'à une autre conversation, légèrement plus lointaine, qui fit par contre disparaître son sourire, le sujet ne s'y prêtant pas vraiment. Secouant la tête pour émerger avec difficultés de ses pensées, il s'avança lentement, une fois que le Comte et le Héraut eurent fini de discuter, et posa un genou à terre devant le Comte du Poitou.

Nous, Davor Fortunat de Montbazon-Navailles, Baron de Pouzauges et Seigneur de Saint Sauvant, prêtons allégeance au Poitou à son représentant. Nous lui jurons obsequium, consilium et auxilium, quelles que soient les circonstances, pour la plus grande gloire du Poitou.
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Cristof

Davor arriva donc avec retard à la cérémonie, le Comte était tout de même heureux d'en avoir bientôt fini. Il jeta un oeil vers son épouse, scrutant une réaction à l'entrée de Davor.

En réponse à votre allégeance, Nous Cristof, Comte du Poitou, vous jurons de vous apporter Justice et Protection pour le durée de notre règne.
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Magoo

Davor s'avançait en retard, à croire qu'il était en retard pour tout ces derniers temps, les deuils, les allégeances, les cérémonies... Son ancien beau fils semblait mener nouvelle vie, il venait d'ailleurs accompagné de donzelle qu'il n'avait épousée. Magoo remarqua le regard de son époux. Elle était d'accord avec lui, il était temps de se désaltérer. Elle lui pris le bras.

Mon cher, excellente idée que voilà. Allons nous désaltérer!
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Kalimereth

Kali avait une nouvelle fois suivi son tendre Davor à la cérémonie des allégeances, non pas qu’elle aime particulièrement s’y rendre, mais simplement pour y accompagner l’homme qu’elle aimait. Elle jeta un coup d'œil circulaire, reconnaissant un certain nombre des personnes présentes, puis se recula discrètement alors qu’il s’avançait vers le Comte. Elle ne le quittait pas des yeux, un sourire aux lèvres, pressée qu’il la rejoigne.
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Eragon_killer

[Une pause ripaille plus tard]

Eh bien nous allons pouvoir commencer les anoblissements du Comte sortant..

D'ailleurs ou était-il ? Ça c'était une bonne question.. cela faisait quelques temps qu'Eragon ne l'avait pas croisé.. il se mettrait à sa recherche après la cérémonie.

Missive avait été envoyée à Extraelle afin qu'elle vienne recevoir sa seigneurie.. Quant à Eragon, il était déjà la et fin prêt.

La maréchale d'Armes Sylvestre va donc nous rejoindre pour ces deux anoblissements.
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--Leah_melani

[Maréchal-Express, what else ?]

[Lecture]
Alors voilà, vous êtes tranquille en retraite dans votre transat aux Bahamas, quand soudain on vous rappelle que vous avez oublié de rendre un important dossier, et euh...

[Rembobinage]
[Lecture]
Alors voilà, vous êtes tranquille en retraite dans votre cellule du monastère, quand on vous rappelle que vous devez remplacer le héraut du Poitou pour la réception de son fief. Alors n'écoutant que votre devoir, vous enfilez votre cape de super-héros...

[Rembobinage]
[Lecture]
vous enfilez votre tabard de maréchal d'armes, pour vous rendre au Poitou, et aller flanquer une rouste à ces maudits...

[Rembobinage]
[Lecture]
et aller assister à la cérémonie en officier royal consciencieux que vous êtes.
Les portes s'ouvrirent, pour laisser entrer le maréchal d'armes de tutelle de la province du Poitou, pour le plus grand malheur des nobles de cette province. Apparemment elle arrivait pile au bon moment, c'était la grande classe. Elle avait déjà revêtu le tabard fleurdelysé sur une robe noire, ses caducées en main.

Elle se présenta au comte du Poitou, elle ne se souvenait même pas si elle l'avait croisé la dernière fois.

Votre Grandeur, je suis le maréchal d'Armes Sylvestre, venue ici pour officier en remplacement du héraut Poitou pour qu'il reçoive son fief. Nous débutons dès que vous le souhaitez.

Puis elle se dirigea vers le pupitre héraldique, tout en faisant un clin d'oeil à Eragon.

Extraelle

Si Extraelle avait voulu faire une entrée remarquée, elle avait réussi son coup. Déjà, il semblait que la cérémonie d'allégeances s'était écoulée fort rapidement, et qu'elle était plus ou moins attendue. Ensuite, elle arrivait d'un pas à la vivacité et à l'empressement inversement proportionnels à son envie de se trouver en ces lieux, et surtout emboité par un concert de grelots. Pour la discrétion, on repasserait, donc.

Pourtant, elle n'avait pas tant envie que ça de se faire remarquer, la brune, voire pas du tout. Et cela pour de multiples raisons. Déjà, elle sortait de quelques jours où ses seuls compagnons avaient été les vapeurs éthyliques des innombrables breuvages qui avaient pu lui passer sous la main, et dans la gargamelle, tant que c'était fort, amer, et doté de vertus amnésiques. Et même si elle était sobre en ce jour - et cela en grande partie à cause du spécimen coloré et bruyant qui la suivait - était quand même affublée d'un intense mal de crâne, de cernes longues comme une vie sans risques, et d'un détachement désabusé et mélancolique envers tout ce qui ne ressemblait pas à un liquide.

Ensuite, elle avait beau ne fréquenter que les tavernes mal famées ces temps-ci, la de Montignac savait que les bruits les plus farfelus couraient sur son frangin et leur mandat conjoint, et que celui-ci avait été emprisonné dans les geôles du château. Depuis qu'elle avait découvert le vrai visage de son frère, la brune soupçonnait que la trahison ne s'était pas limitée à l'archontat. Et sentait confusément que d'autres scandales étaient à prévoir. Mais elle était loin d'imaginer ce qu'il en était réellement, et surtout les raisons pour lesquelles le Comte en exercice avait cru bon de passer les fers à Chuichian. Étant liée de fait à celui qu'elle avait toujours soutenu, jusqu'à ce retournement impensable, il ne lui restait plus qu'à se demander dans quelle mesure tout ceci allait lui retomber sur le museau. Et même si le fait d'avoir perdu son frère et plus intime confident comptait bien plus à ses yeux que de devoir faire face à d'éventuelles calomnies, la brune n'en avait pas moins sa fierté. Et comme l'avait dit un jour l'homme des mains duquel elle allait recevoir son titre, l'ego le plus démesuré du Poitou.

C'est pourquoi, en entrant dans cette salle qui rassemblait tout ce que le comté comptait de nobles et de gens influents, Extraelle n'en menait pas large. Et bien évidemment, ce fut le pas énergique, la tête haute et le port altier, que la brune s'avança, saluant les personnes présentes sans fuir le moindre regard, et sans montrer le moindre trouble. Guerrière, jusqu'au bout. Mais elle se rendit vite compte, non sans un certain soulagement, qu'aussi curieux que les gens pouvaient être de la manière dont elle surmontait les événements de ces derniers jours, c'était la chose incongrue qui lui collait aux basques, qui attirait tous les regards.
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Extraelle de Montignac. Hauts, la tête et le verbe.

Cristof

Le Maréchal d'Armes dont on avait annoncé l'arrivée au Comte du Poitou était arrivé.
Le Comte reprit donc sa place avant de s'adresser à Sylvestre.

Nous pouvons y aller et passer à la suite.
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Lunarion..

Plaaaaace ! Plaaaace !

Une grosse boule colorée tamponne les bourgeois qui se pressent devant les portes du château pour récolter les dernières nouvelles.

Z'allez finir par dégager voui ? J'suis attendu moi ! Bouffon officiel des festivités d'allégeances.

On aura connu plus ronflant mais à force de coups de coude bien placés - sous la ceinture vu la taille de l'énergumène - il se trace sa route et rattrape Extraelle avant qu'elle ne passe les portes de la salle du trône.
Il a tout juste le temps de perdre un peu du rouge aux joues qu'il avait acquis en courant et de reprendre son souffle, un peu, pas trop, la grande ne marchant pas lentement.

S'parti la belle. On est dans la cage aux lions. Mais je vous promet que d'ici peu ça ira mieux.

Sous-entendu, c'est moi qu'on croquera.
Le fol n'avait pas menti, ses apprêts surpassaient presque ceux de la Montignac.
Pantalon bayadère. De sable et d'argent. Réhaussé d'or et d'azur.
Les couleurs de la famille donc. Qu'assortissent aussi le chapeau à clochettes dont chaque extrémité est terminée par un grelot tintinnabulant à chacun de ses pas.
La chemise est ample, truffée de poches remplies de douceurs ou d'artifices. Ses épaules se déversent en rubans de toutes sortes. Ses chaussures partent en circonvolutions au bout et clochinent à chacun des pas du bouffon.
Seuls les gants - d'argent - ont un semblant de simplicité. Ça et le sceptre qui se termine par une main tendue en un index accusateur.

Un nain de parade donc, qui trottine derrière sa maitresse.

Deux bavards commentent un peu trop son arrivée à son goût.
Il se décale un peu du sillage de la femme et va leur attribuer une petit tape sur l'épaule.

N'oubliez pas de voter Cartel aux prochaines Comtales.

Il leur souffle son message dans l'oreille et rattrape docilement l'Extraelle.
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Eragon_killer

Eragon répondit par un sourire franc au clin d'œil de sa maréchale.
Le Comte avait parlé.. les deux anoblissements pouvaient commencer..
Voyant Extra hésitante, le Trémouillois s'avança des quelques pas qui séparaient le pupitre du héraut au trône du Comte du Poitou.
Toute la noblesse Poitevine et d'autres le regardaient.. Pour sûr que ca allait jaser.. N'ayant jamais eu un poste au Conseil Comtale, n'ayant jamais été Maire..

Mais ce que l'on pensait de lui l'importait peu.. il faisait de son mieux pour le Poitou et remplissait les tâches qui lui incombaient du mieux qu'il pouvait. Et puis certaines des choses.. qui d'ailleurs étaient partie intégrante du pourquoi Le Chian avait demandé son anoblissement.. se devaient d'être gardées secrètes.

Trêve de pensées négative pour un jour qui marquerait son entrée dans la noblesse.
Eragon connaissait parfaitement la procédure. Il allait s'agenouiller .. jurer aide conseil et fidélite au Poitou par le biais du Comté élu..
Et c'est ce qu'il fît d'une voix sérieuse et solennelle ..

Moi Eragon de Lisaran, jure fidélité, aide et conseil au Poitou à travers son représentant, sa Grandeur Cristof.

Cela ne rendait pas pareil lorsque l'on est à la place de celui qui est à genoux. Quant on est sur son pupitre à cocher froidement des noms on ne se rend pas compte tout ce qu'implique le simple fait de se mettre à genou devant quelqu'un.

Il avait fait un serment lors de sa nomination en tant qu'Héraut du Poitou.
Il avait fait de même lors de la cérémonie, le nommant escuyer de Jehan de Proisy.
Il avait "signé" à la licorne..acceptant le fait que " La Licorne passe avant tout" même si cela lui avait fait un cas de conscience puisque cela pourrait être synonyme de rompre tous ces serments..
Et enfin, aujourd'hui .. il prêtait allégeance pour la première fois..
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Kalimereth

Kali tenait la main de Davor, souriant en voyant son oncle s’avancer vers le Comte. Elle était heureuse pour lui, et heureuse d’être présente pour assister à son anoblissement. Elle le regardait avec fierté, s’agenouiller avec prestance, et jeta un regard rapide vers Ally, qu’elle savait aussi émue qu’elle.

Elle l’entendit prêter allégeance d’une voix haute et claire, et avait hâte de pouvoir enfin le rejoindre pour le féliciter, et lui montrer que sa famille était là, unie et solidaire.
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Allydou

Sentiment de fierté à le voir s’avancer vers le Comte, lui son oncle, le premier de ses parrains, celui qui a toujours été la.
S’il lui fallait une raison supplémentaire au plaisir d’être en ce lieu, maintenant, elle l’avait la sous les yeux, le voir recevoir la noblesse.
Un large sourire apparait sur ses lèvres, lui qui l’avait fait répéter il n’y a encore pas si longtemps, lui avait apprit les mots à dire, voila à présent qu’il les prononce à son tour, d’une voix claire, sans bafouiller.

Rapidement, pour ne rien rater de la suite, elle tourne la tête du coté de sa cousine, un petit sourire discret, la pensée qu'a continuer comme ça, bientôt la famille au complet serait au rang de la noblesse Poitevine.

Elle tente de camouffler un petit rire, imaginant les De Lisaran en file indiène devant le Trône, avant de reporter son attention devant elle, attendant que le Comte prenne la parole.

Fière oui, elle l’est, et trépigne d’impatience de pouvoir aller le féliciter.
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Esperenza

Elle, elle avait vu la patente, bah oui... normale car le jeu de clef de la herauderie se trouvait dans sa poche de la même manière que le heraut.

Alors il y a quelques mois, elle avait rencontré Eragon, oui ils avaient tout deux la même aspiration, devenir heraut... et c'est ainsi qu'elle avait finit par ne pas faire la demande pour le devenir mais qu'elle continuait à errer dans les couloirs au château donnant par ci par la un coup de main à Poitou, et de la même manière elle n'avait pas perdu l'habitude de se rendre aux endroit ou ceux qu'elle considérait comme des amis fêtait un grand jour.

Surtout que la, ben oui... elle était au courant avant, ben oui dans un premier temps au vue de la paperasse elle avait rit.
Pas qu'elle eu vraiment trouvé ca drôle, mais c'était une de ses manières de réagir alors bien sur elle n'avait pas oublié de se faire inviter par Eragon pour le voir s'agenouiller face au comte comme tant de fois il le ferait faire à d'autres poitevins.

Alors ce jour la elle avait hésité à partir avec son uniforme militaire mais pour faire un effort elle l'avait échangé contre une tenue plus féminine, et, ensuite elle s'était pressé pour rejoindre la salle du trône.

De toute manière comme quand elle était apprentie de la dame Elliandra elle aimait assister à ce genre de cérémonie oui, car toujours on y apprenait un peu plus de chose sur l'heraldisme elle restait seule à enregistrer chaque mot de la jeune dame qui aujourd'hui n'était plus.
Elle eut donc une pensée pour celle ci...

Enfin la Von Strass entra alors que déjà cela commençait, la salle se remplissait petit à petit et le futur seigneur posait genoux à terre devant Cristof, elle resta dans un coin attendant que Eragon reprenne place ou elle pourrait allé le voir.
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Commandant des Lions!
Devenez un lion! engagez vous!
Pour ca écrivez nous!

Cristof

Et si tout cela n'était que fumisterie...le Comte hésitait à répondre à l'allégeance...
Oui pour la première fois, un Comte hésitait.
Le Poitou avait-il vraiment besoin d'autant de nobles qui de toutes façons n'étaient jamais là. ?
Encore un se dit-il qui sitôt anobli filera dans les instances Parisiennes et autres Ordres Royaux.
Ces mêmes instances qui n'avait aucun respect pour le Poitou, ces mêmes Ordres qui se baladaient qui prônaient la guerre sans relâche au Berry.

Il avait bien envie de jeter tout cela par la fenêtre et de quitter la cérémonie.
Il regarda son épouse, comme si dans les yeux de celle-ci, il cherchait la réponse.

Une silence lourd s'abattait sur la salle du Trône.
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Eragon_killer

Le Comte semblait ailleurs.. Alors que le Trémouillois à ses genoux attendait, le Comte plongeait ses yeux dans celui de son épouse.
Eragon se demandait bien ce qui pouvait se passer dans la tête du Comte..
Il se reconçentra, sans que son genoux ne fléchisse et leva les yeux vers le Comte.
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Petitjehan

Le Vicomte Jehan suivait la cérémonie, toujours aussi intéressé par la façon de faire des uns et des autres.
Il sourit en entendant son écuyer certes, mais surtout « Poitou » être invité à faire allégeance au Comte. Il connaissait bien le jeune homme et, même si le Vicomte, abhorrait l’ancien Comte Chuichian qui avait tenté odieusement de se jouer du Poitou et de sa propre famille, cela n’enlevait rien aux qualités du jeune Héraut.

Par contre l’entrée de Dame Extraelle de Montignac, la sœur du Comte précédant, fût des plus remarquée. Un personnage la suivait suscitant moultes chuchotis dans la salle. Le Vicomte sourit de voir le « petit homme » se hausser sur la pointe des pieds pour inviter deux nobles à voter…

Quoi ? avait-il bien entendu ou son esprit lui jouait il un tour pendable ? Cartel ? Non ? Impossible ! Se pourrait-il donc qu’Extraelle, femme de caractère mais femme intègre et d’une honnêteté reconnue se soit accoquinée avec telle engeance ? Le souvenir des liens de Chuichian avec certains membres du Cartel revint à l’esprit du Vicomte…Il était perplexe et se réservait de poser son jugement…

Le Comte semblait las et fatigué. Se trouvant assez prés de lui Jehan le regarda fixement. Il lui sembla mais il pouvait se tromper que ce dernier hésitait. Son regard cherchait celui de son épouse la Comtesse Magoo. Jehan se fixa sur le couple attendant la suite…
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Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault

Davor

Après les allégeances, c'était désormais le tour des anoblissements. Davor sourit en voyant Eragon et serra doucement la main de sa douce Kali, lui adressant un tendre regard, avant de reporter son attention sur la cérémonie. Un trémouillois de plus qui allait devenir noble, décidément après une longue période où La Trémouille avait été en retrait en ce qui concernait la politique comtale, c'était aujourd'hui parfaitement l'inverse, et c'était loin de déplaire au Baron.

Mais le Comte Cristof semblait prendre son temps, avant de répondre à Eragon. Peut-être attendait-il quelqu'un ? Sa femme Magoo ? Davor n'en avait aucune idée, souhaitant simplement que la cérémonie se termine au plus vite, pour aller féliciter son ami.
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Magoo

Eragon avait un genou à terre, son époux se taisait, il la regardait, comme pour lui signifier une question. Elle ne comprenait pas ce qui le taraudait malgré son regard insistant. Echanges de sourcils froncés. Elle se pencha vers son oreille et chuchota:

Mon époux, y a t'il quelque chose que vous voudriez me demander? Si vous avez un doute, peut être pouvez vous ajourner cet anoblissement?

La salle faisait silence, attendant patiemment la fin de la cérémonie et fixant le couple comtal.
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Cristof

Le Comte pesa le pour et le contre et finalement se décida.

Ca va aller ma douce, je crois que de toute façon, je ne peux corriger toutes les erreurs commises par mon prédécesseur.

Il se pencha sur Eragon.

En réponse à votre allégeance, je vous promet justice et protection sur ce qui va désormais être votre fief. Puissiez-vous en être toujours digne et ne jamais oublier que cette allégeance, c'est bien au Poitou que l'avez fait. Prenez garde au conflit d'intérêt...

Le Comte se tourna alors vers Sylvestre pour la suite.
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Extraelle

Ça jasait donc, et sévère. La brune marqua un temps d'hésitation, non loin du trône. Attendant elle ne savait quoi... d'être appelée, peut-être, ou foutue dehors, c'est selon. C'est ce moment que choisit le fou pour aller chuchoter à l'oreille de deux membres de l'assemblée. Elle n'y aurait pas pris spécialement garde si Petitjehan, qui était à proximité des deux bavards, ne lui avait alors jeté un regard plein d'interrogations et de... désapprobation ? Léger haussement d'épaules. Ben quoi, si on ne pouvait même plus ramener un peu d'animation... Elle ne savait pas Petitjehan si à cheval sur le protocole. Certes, elle le côtoyait peu depuis qu'il avait été comte régnant, mais avait-il tant changé ?

Bien entendu, elle était loin de se douter de la conversation qu'il avait captée et des projets de son nouvel acolyte à clochettes, et ce questionnement ne dura que quelques secondes, le temps de chercher Eragon des yeux, et quand il fut trouvé, de lui adresser un regard éloquent. Elle n'avait foutrement aucune idée de ce qu'elle devait faire... Et n'était guère friande de ce genre de cérémonie. Le seul anoblissement auquel elle avait assisté, était le seul où on l'avait expressément invitée, et c'était celui de son ami Petitjehan, justement. Seulement, si elle se souvenait avec clarté de l'émotion de ce dernier quand il avait reçu son titre, elle n'avait plus le moindre souvenir de ce qu'il avait dit ou fait, avant. Mémoire sélective l'Extraelle.

Fort heureusement, son ami Eragon, qui lui, était rompu à ce genre d'exercice, sembla comprendre la prière muette et lui sourit doucement, avant de s'avancer vers le trône. Soupir de soulagement. Elle n'aurait plus qu'à faire exactement comme lui. Sauf que. Elle avait beau être assez ignare en matière d'allégeances et de tout le saint-frusquin protocolaire, il paraissait assez évident que le grand silence qui suivit l'agenouillement du jeune héraut, n'était pas franchement naturel. Pas plus que le regard que le Comte Cristof jeta ensuite à son épouse. Il semblait... perdu, et la brune fronça les sourcils imperceptiblement.

Vrai que si elle était la soeur de Chuichian, Eragon était un de ses plus anciens amis. Chuichian, d'ailleurs, qui n'était pas dans la salle. Il n'avait donc sans doute pas été libéré. Qu'est ce que son frère avait bien pu faire pour mettre le Comte dans cet état ? Elle connaissait bien Cristof, il n'était pas du genre à hésiter, ni même à se formaliser des manières discutables de son entourage. N'avait-il pas, par le passé, rejoint la liste comtale de Gaëlik, qui aurait pu sans aucun doute donner des leçons de manipulation à son frangin ? L'archontat, la sortie de l'ADC, même avec les méthodes sournoises du Chian, rien de tout cela ne pouvait justifier ce regard-là. Ni une mise aux fers, d'ailleurs. Non, à l'évidence, Cristof savait quelque chose qu'elle ignorait, et elle se résolut à en avoir le cœur net.

Ce qu'il y avait de très énervant avec Extraelle, c'est qu'elle n'avait pas besoin de se demander très longtemps comment mettre à bien ses résolutions. En général, le hasard, ou le destin, ou tout substantif qui conviendra au lectorat, s'en chargeait pour elle, et ce jour-là ne fit pas exception. Tandis que le silence persistait dans la salle, se répandant même parmi les chuchoteurs qui un à un tournaient la tête vers le trône, conscients d'une anomalie dans le déroulement des opérations, un page se glissa près de la Montignac.

"Dame, un pli très urgent de la Dame de l'Isle d'Olonne, elle attend réponse orale de votre part."

Aliénor ? Que lui voulait-elle ? La lecture fut rapide, et il était heureux qu'Extra ne portât pas de corset trop serré, car elle crut défaillir. Souffla cependant au garçon, après une goulée d'air qui lui parut comme vicié:

"Dites-lui que j'arrive, aussitôt que j'ai prêté allégeance. Je ne serai pas longue."

Et pendant qu'une foule de questions et de sensations se bousculaient dans la tête et les tripes de la brune, l'anoblissement d'Eragon avait enfin lieu. Cela serait bientôt à son tour, et elle se mordit violemment la lèvre pour tenter de revenir, du moins physiquement, à la cérémonie.
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Extraelle de Montignac. Hauts, la tête et le verbe.

Eragon_killer

Cristof échangea des murmures avec son épouse.. Bien que cela soit des murmures, Eragon était tout près, aux pieds même du Comte et il lui avait semblé entendre "corriger.. erreur..".
Se retenant de se lever brutalement, il essaya de se persuader qu'il avait mal compris.
Soudain le Comte pris la parole

Citation:

En réponse à votre allégeance, je vous promet justice et protection sur ce qui va désormais être votre fief. Puissiez-vous en être toujours digne et ne jamais oublier que cette allégeance, c'est bien au Poitou que l'avez fait. Prenez garde au conflit d'intérêt...

Votre Grandeur, je vois de quoi vous parlez.. et c'est bien pourquoi je l'ai précisé dans mon allégeance.. Le Poitou.. je ne l'oublierai pas..

Puis il se releva
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--Leah_melani

Le maréchal ne s'était pas manifesté durant le temps de latence, comme si elle ne doutait pas de l'issue de la cérémonie. Et en fait c'était le cas.
Ylalang remit donc à Eragon deux exemplaires du contreseign de son octroi, un pour lui, et un pour son nobiliaire.

Citation:

Nous, Leah Melani, dicte Sylvestre, Maréchal d'Armes de l'Hérauderie Royale,

A toutes et tous que la présente liront ou entendront

Salutations !

Par la présente, faisons savoir :

Qu'après consultation du collège héraldique, nous validons et contresignons la procédure d'anoblissement de Messire Eragon de Lisaran, proposée par Sa Grandeur Chuichian de Montignac, alors Comte du Poitou.

Qu'en conséquence, Messire Eragon de Lisaran se voit octroyer le fief de Landeronde, fief élevé en seigneurie.

Qu'il devient donc Seigneur de Landeronde, et portera "parti de gueules et d'argent aux deux renards rampants de l'un et de l'autre affrontés sur la ligne de partition, enté en pointe de sinople à la branche de cinq rameaux d'ajoncs d'or ", soit après dessin :

Qu'afin que nul ne puisse contester cet édit, y apposons notre sceau.

Fait le premier de novembre de l'an 1457 en la chapelle de Saint Antoine le Petit.

Et d'enchainer.

Nous pouvons passer à l'octroi suivant Votre Grandeur.

Extraelle

L'octroi suivant...

Cela devait signifier que c'était à son tour de s'avancer. Mais pour avancer, la brune devait encore découvrir le paradoxe de l'essence humaine, qui est censée ne pas se définir comme une abstraction inhérente à l'individu isolé, mais dépasser le patrimoine génétique du bête bipède pour aller trouver son sens plein dans l'interaction sociétale*. Or là, pour ce qui était des circonstances sociales, l'enjeu paraissait pour le moins limpide: il lui fallait approcher du trône. Seulement, cet impératif publique était contrarié par un obstacle de taille, à savoir les lois biologiques qui gouvernent tout corps organique complexe, et que l'humain tente vainement d'oublier à grands renforts de volonté, de prières, ou d'abus de boisson - veuillez rayer la mention utile, si vous en trouvez une.

Pour faire plus simple, elle était tout bonnement paralysée. Et ce n'était pas le moment. Tous les regards étaient rivés sur elle, et la rupture brutale dans l'intrigue, assortie du long silence gêné et du suspense insoutenable, avait déjà eu lieu quelques minutes auparavant. La recoller une nouvelle fois au scénario aurait été de très mauvais goût.

Ce fut un autre animal à sang chaud qui vint rafistoler la trame de cette histoire quelque peu effilochée, à savoir le fou, qui ayant décelé le désarroi de sa maîtresse, eut la prévenance et la délicatesse de pousser le postérieur de la brune, lui faisant faire un pas vers le Comte. Pourquoi le postérieur, me direz-vous ? Eh bien, la narratrice n'a pas su se décider entre une soudaine pulsion lubrique et inavouée du spécimen à grelots, ou le simple fait que c'était le morceau anatomique d'Extraelle le plus à sa portée.

Mais épargnons les lecteurs courageux, qui à ce stade du récit, ne se comptent plus que sur les doigts d'une main, pour en venir aux faits. La de Montignac était devant le Comte régnant, sans bien savoir comment elle était arrivée là, et aux yeux noirs qui lui faisaient face, se superposaient les quinquets verts d'eau de son frangin, haï et aimé à la fois. Et elle fit ce qu'elle n'avait jamais fait de sa vie: elle courba l'échine.

Malgré son trouble et les sentiments complexes qui l'habitaient, elle eut le temps de se faire la réflexion qu'elle était heureuse que ce soit devant Cristof. Celui qui malgré leurs divers différents, l'avait portée là où elle était, lui avait appris ce qu'il savait. Une des rares personnes, avec Olivyaa, dont elle se sentait redevable. Mais avant tout, c'était devant le Poitou qu'elle était à genoux, cette terre qu'elle aimait et qu'elle avait défendue depuis leur rencontre, cet été 1456, et bien avant cette allégeance.

Un genou en terre, la pointe de l'épée plantée devant elle, elle dit d'une voix distincte:

"Moi, Extraelle de Montignac, reconnais Sa Grandeur Cristof, comme légitime Comte du Poitou. Lui jure fidélité, aide et conseil, et mets mon épée et ma vie au service du Poitou."

Redressant la tête, elle planta ses yeux fauves dans le regard un brin sévère posé sur elle, et la détermination qu'il put y lire valait tous les serments.

* [ Toute ressemblance avec des écrits de K. Marx ou un jargon philosophico-géopolitique ultérieur volontairement abscons, serait bien évidemment totalement fortuite - vu que personne n'y capte quoi que ce soit, moi la première. =) ]
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Extraelle de Montignac. Hauts, la tête et le verbe.

Xedar

Enfin xedar était de retour dans le Poitou après de longs mois d'absence. Sitôt passer la frontières avec la Bretagne il posa pied à terre et huma cette terre qui était sienne. Il inspira et expira profondement puis tenant son cheval par la bride il se mit à parcourir bois plaines et collines pour réveiller ses sens.
Après quelque heure passé, il réfléchit à la conduite à tenir. Il devait se reposer, retrouver les vagues de chez lui, retrouver ses amis, reprendre le boulot, et présenter le secrétaire d'état qu'il était devenu au comte.
Hum il aimait bien la première idée, et aussi la deuxième.
Puis il se remua.

Non Xedar le loisir après, zou bouge toi jusqu'au chateau.

Il passa quand même par chez lui, pris un bon bain, défit les paquet ramené de son voyage et s'habilla de magnifiques vêtements qu'il avait confectionner pendant une retraite en Flandres, habits fait du magnifique tissus de cette région. Ainsi préparer il se remit en selle et alla voir du côté du chateau.
Après avoir parcouru pendant de longue minute les couloirs sans voir trace de sa grandeur, il fut interpeller par la salle du trône.

Hum sur un trône doit se trouver un roi, ou dans mon cas un comte, donc il doit se trouver la.

Il avisa les deux boites métalliques poster devant la porte.

Est ce que sa Grandeur Cristof est présente?

Sans attendre de réponse il avança. En même temps qu'il poussait les battants, Xedar reçus en pleine tête le bruit de la foule qui remplissait le lieu. Il fit un pas en arrière.

S'auriez pus me dire qe'il était pas seul, ha j'vous jure.

Il repris sa route en avant, et passer les portes, il les referma en essayant de faire le moins de bruits possible.
Fatigué par la route il prit place sur un banc du fond, faisant soupirer quelques personnes obliger de se serrer, et patienta. Sa tête ayant tendance à s'incliner vers la bas...
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Cristof

La brune, il la connaissait et pas qu'un peu. Il avait été son mentor...lorsque jeune conseillère, la petite n'avait pas hésité un jour à lui dire qu'il était un requin en affaire, il l'avait pris sous son aile tout en lui laissant son libre arbitre. Les méthodes de gestion étaient uniques, mais les philosophies nombreuses, le tout était d'atteindre le but recherché. Elle en avait rapidement compris le fonctionnement, et développé selon son propre modèle économique, une méthode de travail qui avait profondément changé l'économie Poitevine.
Après une longue retraite, précédant son retour au pouvoir, le Comte du Poitou avait assisté à la démission de la Thouaraise, abusée par son propre frère selon ses dires. Toutefois, Cristof avait du mal à croire que la sœur, de celui qu'il faisait croupir dans un cachot à leur insu, n'était pas au courant des machinations du Chuichian. Qu'importe, si un jour il s'avérait que ses soupçons se confirment, il lui réserverait le même sort qu'à son frère. En ce jour, il ne pouvait que croire en une allégeance sincère, même si celle-ci serait bientôt confronté à un dilemme.

Dame Extraelle, en réponse à votre allégeance, je jure de vous apporter justice et protection sur vos terres. Cette noblesse de mérite, vous récompense de votre travail, de vos efforts, mais témoigne aussi de la qualité de grands services rendus au Poitou. Vous n'êtes pas à la fin d'un cycle, mais au début d'un nouveau.

Le maréchal d'arme, va vous remettre ce qui vous revient désormais de droit.
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[RP] La salle du trône